ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12295 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
Elles commencent à toutes se ressembler, ces soirées. Le schéma est toujours quasiment le même, tellement que désormais, Jo n’a même plus besoin qu’on lui dise quoi faire. Elle est déjà instinctive pour ce genre de choses, mais depuis que c’est son job de jouer avec les flashs des appareils photos, tout le monde peut observer à quel point elle est née pour ça. Elle sait à peine pourquoi elle est là, quelle marque a fait sauter le budget pour mettre les petits plats dans les grands et accueillir l’élite de Brisbane qui s’est pressée sur place dans le seul but de se faire bien voir et de repartir avec un sac-cadeaux à la fin de la soirée. La lumière est douce, le décor l’est tout autant. Miser sur le minimalisme pour rester le plus Instagrammable possible, ça aussi, ça commence à devenir redondant. ll y a des influenceurs qu’elle évite comme la peste, pas sûre de vouloir respirer le même air que des gens qui mentent à leur public en leur vendant des contrefaçons de produits de luxe, tout ça en dégainant des codes promos sur lesquels ils gagnent des commissions, il y a aussi des gens plus haut-de-gamme, comme elle, qui ont été invités pour les bonnes raisons, soit leur talent qu’on célèbre et honore au gré des heures qui défilent sans que personne ne s’en soucie. Si de temps à autre, l’idée de se rendre à ce genre de soirée lui donne envie de se tirer une balle dans la bouche, ce soir, Jo se dit que c’est moins pire ; parce que ça se passe à la maison, qu’elle peut décider de partir quand elle veut sans craindre la solitude d’une chambre d’hôtel à l’autre bout du monde. Stefani n’est pas loin, à la surveiller du coin de l’oeil au cas-où elle s’emporterait pour une raison ou pour une autre, à croire qu’elle la paye pour qu’elle se comporte comme sa daronne et vienne lui tirer les oreilles en la traitant de vilaine fille. C’est moins désagréable qu’elle ne le laisse sous-entendre, éternelle boudeuse qu’elle est, mais à son âge — 27 ans, on le rappelle —, ça fait mauvais genre d’avouer qu’on aime se faire materner, surtout quand on a eu une mère comme la sienne. Qu’importe. Elle papillonne, elle discute, elle se laisse conter les derniers potins dont elle se fout éperdument au demeurant, mais l’impression d’être à sa place éponge le mépris qu’elle accorde à ceux qui s’intéressent à elle par opportunisme mal placé. Elle est l’étoile de demain, tout le monde le sait.
Et puis soudain, son cerveau déconnecte, l’ennui déboule à sa porte comme un ex envahissant. Elle lâche le fil des conversations, elle se perd dans sa propre tête en se demandant combien de temps tout ça va encore durer et si rentrer maintenant étouffera dans l’oeuf les progrès qu’elle a fait en matière de sociabilité. Elle s’en cogne au final, elle fait encore ce qu’elle veut en fait, et ça sera toujours le cas "J’y vais. C’est nul." qu’elle fait à Stefani dont elle s’approche sans subtilité après un instant, s’étant extirpée d’un salon privé où ça commençait à snifer autre chose que de la colle ; trop peu pour elle, merci. Etonnamment, elle a des principes Jo, l’un de ceux-là est de fuir ce genre de conneries le plus vite possible. Bien sûr qu’elle pense à Charlie, elle pense aussi à toutes ces starlettes avant elle qui ont été assez connes pour se retapisser les cloisons nasales avec de la merde de ce genre, et qui sont mortes bien trop jeunes. Franchement, elle a un trop beau nez pour estimer ça malin de l’user en se droguant, et puis la coke, c’est trop cliché pour elle dans tous les cas — et de toute façon, elle s’emmerde, elle veut décamper, et c’est ce qu’elle compte faire avant que son assistante la rattrape pour lui faire dans un murmure précipité "Tu reçois un prix, Jo." "Merde, tu déconnes ? Lequel ?" Comme une évidence, elle ne s’en étonne pas plus que ça — peut-être qu’elle n’a reçu aucune nomination aux Grammys cette année, elle a quand même été nommée ailleurs, ça soulage son ego. Elle en rit très légèrement, parce qu’elle a avalé cette info en même temps que sa rasade d’eau gazeuse, celle qu’elle s’est faite servir dans une flûte à champagne pour faire beau. Un gros soupir s’échappe de la poitrine de Stefani qui roule des yeux en secouant la tête. Elle s’exempte de lui répondre, la somme d’un index autoritaire de rester jusqu’à la fin pour récupérer son prix, et s’échappe sous le souffle profond de Jo qui bascule la tête en arrière en tapant du pied. Quand elle se redresse en se forçant à trouver tout ça pas si pire, c’est pour trouver le regard profond d’un tocard au loin qu’elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam.
Ou peut-être que si ? Réflexe un : elle le gratifie d’un majeur flamboyant, le liseré pailleté de son ongle brillant sous la lumière orangée qui enveloppe l’entièreté de l’établissement. Réflexe deux : elle plisse les paupières, le plumeau que forment ses longs cils maquillés assombrissant son regard qui fait la focale sur son visage tout petit, à cette distance ; il lui dit vaguement un truc, c’est vrai. Réflexe trois : elle juge son apparence, de la tête aux pieds, et elle grimace sans délai ; qui vient sapé comme un pouilleux à ce genre de soirée ? Réflexe cinq, l’ultime : elle réfléchit enfin, longuement, tout en le gardant dans son viseur lorsque, d’elles-mêmes, ses jambes terminées par une hauteur de talons vertigineux se mettent en mouvement pour rejoindre le coin du bar où s’est posé l’imposteur. Sa voix résonne, juste et maîtrisée "C’est pas la première fois que je te vois." Pas de bonsoir, c’est surfait dans ce genre d’évènement "T’es qui ?" Il semblerait qu’on lui apporte un remède à son ennui sur un plateau d’argent.
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.
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Miles Hawkins
la rage muette
ÂGE : 39 ans, lui qui pensait ne pas dépasser la vingtaine s'approche dangereusement de la quarantaine. Et après ? SURNOM : Tapez injures sur google, et vous aurez une liste de tous les noms donnés à Miles dans le répertoire téléphonique de ses proches. STATUT : En couple depuis plus de cinq ans. Elle est belle, elle est intelligente et elle l'accepte pour tout ce qu'il n'est pas. MÉTIER : Il serre des mains avec des pochons à l'intérieur, y récupère au passage quelques billets. Dealeur pour le compte du club depuis belle lurette, homme de mains (et de confiance) quand on le lui demande. LOGEMENT : Il vit au #57 bywong street, dans le quartier de Toowong. Il a emménagé dans cette belle maison il y a trois ans avec Sybil, sa compagne. POSTS : 128 POINTS : 0
TW IN RP : drogues, alcool, violence physique et verbale, décès d'un enfant, gang. TW IRL : try me. (n'hésitez pas à m'en parler au préalable si vous pensez qu'un sujet que vous abordez dans vos rps peut être déstabilisant). GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : darkred. RPs EN COURS : raelyn #1 & 2 › in spite of the way you were mockin' me, acting like i was part of your property. remembering all the times you fought with me. i'm surprised that it got so far. things aren't the way they were before, you wouldn't even recognize me anymore, not that you knew me back then, but it all comes back to me in the end
sybil #1 › look at all this heartache, what is left? forgetting how it started, this is how it ends. i know i've done wrong, and i'll pay for it. but it's your time to talk, for once i'm listening
jo AVATAR : casey deidrick. CRÉDITS : harley (avatar). DC : non. INSCRIT LE : 10/09/2024
Les nouveautés se bousculent dans la vie de Miles, depuis quelques mois. Ces soirées en font partie. Avant, il jonglait entre quelques quartiers pour refourguer sa came. Les ruelles de Brisbane n’avaient plus aucun secret pour lui et sa clientèle, en constante expansion, était fidèle au poste. Ce n’est que lorsqu’il a pris du grade au sein du Club qu’il a compris – après quinze ans, notons-le – que vendre à des personnes plus riches pouvait lui rapporter plus d’argent. Au Club d’abord, à lui ensuite. Un plus un font deux, et il aura fallu des années et des années à Miles pour le comprendre. Son arrivée à l’octopus et au sommet de la pyramide lui a permis d’obtenir un carnet d’adresses, ou plutôt de noms, assez conséquent. Des personnes influentes, qui viennent du monde de l’art dans sa globalité ; la musique et le cinéma étant les grands gagnants. C’est à croire que ceux-là ne peuvent pas monter sur scène ou faire face à la caméra sans avoir eu un petit rail avant, histoire de se mettre dans l’ambiance. Les premières personnes appelées ont tout de suite répondu à l’appel du vice – plus que de celui de Miles – et ont fini par l’intégrer dans ces soirées. Comme celle-ci, donc. Comme à son habitude, le brun erre entre les personnes les plus influentes du pays. Il a toujours cette même impression de faire tâche, comme s’il ne portait pas un costume sur lui mais ses vieux fringues de l’époque où il vivait dans la rue. Comme s’il était marqué sur son front qu’il n’a rien à faire ici, qu’il est plus de ceux qui servent que de ceux qui se font servir. Personne ne semble s’apercevoir de son imposture, il y a même parfois quelques personnes qui viennent lui parler comme s’ils se connaissaient depuis toujours. Ils alimentent des discussions banales, prennent des nouvelles, disent qu’il faudrait se revoir un de ces jours. Des personnes qu’il n’a jamais vu, qu’il ne reconnaît pas, et qu’il félicite de leur hypocrisie assumée.
Et puis, il y a cette fille. Aperçue au loin, qui semble lui faire un geste peu appréciable pour le saluer. Évidemment qu’il sait de qui il s’agit, il est impossible de ne pas avoir entendu parler d’elle en venant de Brisbane. Mais pour lui, elle ne représente aucun intérêt ; personne ne lui a jamais parlé d’elle comme d’une consommatrice, et elle n’était, de base, pas dans les noms qu’on lui a fourni. C’est pourquoi son regard ne reste qu’une demi-seconde sur elle, avant de retourner dans la foule. Il reste à sa place, dans un coin du bar, et cherche quelqu’un qui pourrait l’intéresser. La personne qui l’a convié à cet événement lui a dit que si jamais, on saurait le trouver. Et que s’il le voulait, il pouvait également chercher à vendre sans trop se faire remarquer. Il scrute et attend patiemment, en se disant que l’argent viendra à lui ou que, un peu plus tard, il ira le chercher. Mais quelqu’un semble bien décidé à l’empêcher de mener à bien son plan : Jo, qui visiblement, elle, ne l’a jamais lâché du regard. « C’est pas la première fois que je te vois. » Effectivement, il s’est rendu à plusieurs soirées en l’espace de quelques mois. Brisbane a beau être une grande ville, les personnes se rendant à ces événements sont souvent les mêmes. Jo Carter en est la parfaite représentation. « T’es qui ? » Il tourne doucement son visage vers elle, à une allure contrôlée, pour montrer à quel point il se fout de sa présence à ses côtés. Quand ses yeux se plantent enfin dans les siens, il fait mine de ne pas comprendre. « Miles. » Il annonce, comme s’il était quelqu’un de ce milieu, comme si elle se devait de le connaître. Et pour enterrer l’ego surdimensionné de la jeune femme, les prochains mots sortent comme une évidence. « Et toi, t’es qui ? C’est la première fois que je te vois. » Grand mensonge – son art préféré. Elle n’a rien d’une potentielle cliente et il le sait. Absolument rien ne l’inspire chez la brune, qui représente absolument tout ce qu’il déteste. Ces personnes qui se prennent pour les rois du monde alors qu’ils ne font rien de plus que pousser la chansonnette. Ces personnes qui pensent être au-dessus simplement parce qu’elles ont plus d’argent et plus de personnes à leurs pieds. Miles a connu la misère, la vraie. Il a même pensé qu’il ne survivrait pas à un des hivers passés dans la rue, à un moment donné. Les gens comme elle, toutes les personnes qui sont dans l’établissement, ce sont celles qu’il méprise le plus. Et comme un bon politicien le ferait – si jamais il décidait un jour de se reconvertir – il décide donc de pactiser avec l’ennemi. Sauf Jo, puisqu’elle ne lui apportera rien de bon dans tous les cas.
i kept everything inside and even though i tried, it all fell apart. what it meant to me will eventually be a memory of a time when i tried so hard and got so far, but in the end, it doesn't even matter
Jo Carter
Le feu des étoiles
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : #421 montague road, west end, dans un loft d’artiste retapé avec goût par la petite-fille de richie, le mari de sa grand-mère, et qu’elle loue pour pas grand-chose depuis son retour de tournée en novembre dernier POSTS : 12295 POINTS : 2060
TW IN RP : langage cru et grossier, humour de beauf t’as peur, mention de violence paternelle, mention de maladie d’alzheimer, (très) mauvaise gestion de la colère (impulsivité, violence, débordement de paroles), décès d’un proche, mention d’overdose, deuil, dépression, mention de traitement médicamenteux (somnifères) et suivi thérapeutique, célébrité (surexposition médiatique, slutshaming, bashing) sassiness high level, judgmental asf (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4everDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : #AB8BC3 RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ i'll be the first to say "i'm sorry" now you got me feelin' sorry i showed you all my demons all my lies yet you played me like atari now it's like i'm lookin' in the mirror hope you feel alright when you're in her i found a good boy and he's on my side you're just my eternal sunshine
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
LEROY ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
STEFANI ◦ you don't have to lift a finger it's lucky for you i'm just like my mother (and my sisters) all my (all my friends) the girl outside the strip club getting her tarot cards read we love to read the cold hard facts and swear they're incorrect we love to mistake butterflies for cardiac arrest (scénario libre)
"Non, non." Elle est à peine arrivée devant lui qu’elle fait valoir sa loi. La longueur de sa robe du soir, elle la repousse d’un coup de hanche tandis que son petit défilé s’arrête à deux, peut-être trois, pas du jeune homme qu’elle fixe, pas le moins du monde impressionnée par sa carrure. Jo, elle est la reine auto-proclamée d’un territoire qui lui appartient légitimement parce que des talents comme elle, on n’en trouve à tous les coins de rue, et qu’elle en a une conscience qui la rend aussi redoutable qu’insupportable tant elle sait au fond de son ventre que certain tuerait pour avoir ce qu’elle a toujours eu : un don, rien de moins. Elle ne sauve pas des vies, reste qu’elle en embellit quelques centaines de milliers grâce à ses chansons qu’elle partage avec un dévouement sincère. Elle donne d’elle-même, vraiment, personne ne pourra jamais dire le contraire, ça la rend spéciale, unique même, somme toute.
À défaut d’avoir appris l’humilité, elle a appris que ça là, ce qui coule dans ses veines et raffine le velours de sa voix, ça la place haut dans le panier où grouillent ses accointances. Elle n’en est qu’au tout début de sa carrière, c’est là que ça se joue pour asseoir sa légende, elle le sait d’autant plus qu’aucune de celles qui l’ont précédées n’en est arrivée à ce statut en vivant d’amour et d’eau fraîche. Elle veut qu’on se souvienne d’elle, putain. C’est viscéral, un besoin qui la ronge quand il n’est pas assouvi, alors elle fait en sorte que ça devienne une valeur universelle ; elle n’a pas besoin de plaire pour qu’on parle d’elle, tant qu’on parle d’elle. Ainsi, peu peuvent prétendre l’atteindre, et pas uniquement parce qu’elle tient dans une valise petit format. Elle sait ce qu’elle vaut, c’est tout, et ce n’est surement pas la condescendance d’un type dont elle se fout du prénom qui y changera quoi que ce soit. Elle lui fait savoir sans aucune gêne, encore moins de délicatesse "C’est pas ton prénom que je veux." Sa main soignée, gracieuse de ses années de piano, se lève devant son visage, ses doigts qui brillent papillonnent devant son propre nez avant de faire la même chose devant le nez de Miles, donc. Ce n’est pas son prénom qu’elle veut connaître, non. Elle est à peu près certaine qu’elle l’oubliera aussitôt : c’est son statut qui l’intrigue, à défaut de l’intéresser. D’accord, c’est exagéré, mais quitte à s’emmerder une heure ou deux de plus, autant le faire avec la certitude que ça sera moins pire qu’elle ne l’a anticipé en entendant Stefani lui sommer de rester.
Il n’a pas la dégaine qui match à la soirée à laquelle ils participent, et ça alimente une curiosité qu’elle ne peut assouvir qu’en allant fourrer son nez là où, visiblement, ça ne flaire pas la rose. Cependant, en pseudo-physionomiste qu’elle est, elle en vient à se dire que ce qu’elle avance sur leur précédente rencontre n’est pas qu’une supposition. Il gravite dans ce monde qui est le sien par défaut — bien qu’elle n’en maîtrise pas toujours les codes, sauvage comme elle est —, oui, mais que fait-il, au juste ? D’un coup, le regard sombre de Jo retombe, ses paupières s’alourdissent d’impatience lorsqu’il prétend ne pas la connaître en retour, ça élimine une piste de l’enquête bancale qu’elle s’apprête à mener pour avoir le fin mot de l’histoire, et elle lui fait, la hanche désaxée par son attitude, sa main venant maintenant envelopper le creux dénudé par le drapé de sa tenue tout en dentelle ajourée "OK, on peut déjà éliminer acteur de la liste étant donné que tu joues comme un pied." Personne ne la connait pas, surtout à Brisbane dont elle n’est certes pas originaire, qui reste néanmoins un endroit où elle a roulé sa bosse assez longtemps pour que son parcours soit salué par la population. Elle a beau être obligée de lever la tête pour le regarder, elle n’a pas besoin de faire sa taille pour reconnaître la mauvaise foi quand on en use pour viser son ego ; c’est elle qui a inventé le concept. Doucement, mais surement, elle arque un sourcil bien dessiné, incline la tête sur le côté, revoit rapidement son jugement, et ce pour lui renvoyer la balle "A moins que, attends un peu." Son index le pointe, son sourire se fait graduellement demi-lune "Dis-moi pas que t’es dans le porno ?" Elle se met soudainement à chuchoter comme si elle ne venait pas d’avoir un Eurêka qu’elle s’est empressée d’annoncer à haute et intelligible voix pour qu’on perçoive bien son discours — elle cache tout de même sa bouche avec sa main, histoire de parfaire son petit manège "Sur les plateformes, c’est ça ? C’est pour ça que tu fais ton timide et que tu restes tapis dans l’ombre, près du bar ?"
stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.