ÂGE : 30 ans SURNOM : Jerk, cqfd STATUT : Célibataire, laissez le tranquille, ça vaudra mieux pour tout le monde MÉTIER : répare des vieux appareils électroménagers aussi brisés que lui LOGEMENT : vit à Toowong avec son chien Braco, un Jack Russel un peu dingue, un appart qu'il partageait avec son ex, avant qu'elle s'en aille. POSTS : 57 POINTS : 110
TW IN RP : drogue - agressivité - homophobie, transphobie. TW IRL : NoneGENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : a un bracelet electronique suite à une condamnation pour détention et vente de drogue - couvre feu à 21h tous les soirs non négociable - dévore des livres sans le dire à personne - travaille à FixIt, une société qui répart des appareils électroménager car il est grillé dans son secteur de prédilection : la banque - n'a plus de contact avec sa famille avec qui il a coupé les ponts par manque de soutien de leur part après sa condamnation, sauf son cousin débile Roméo. DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : Jeck grogne en #006666 RPs EN COURS : Marybeth#2
Under a Sky of Ashes crédits/ drvgonqueen & cinderellc @Greta Moore12/2024 - le centre d'accueil
La lumière grise de l’aube filtrait à travers les fenêtres poussiéreuses de la salle polyvalente de Brisbane. Une centaine de personnes s’y étaient entassées pour la nuit, la plupart réfugiées après que la ville s’était réveillée la veille sous un ciel rouge embrasé. Les feux étaient aux portes de Brisbane, et l’air lourd et chargé de cendres rappelait à tous qu’ils n’étaient pas hors de danger. Jeck, assis sur un vieux matelas dans un coin, soupira en se levant. Il avait mal au dos et c’était suffisant pour le faire grogner. Ses cheveux blonds étaient en pagaille sur sa tête et il avait la marque de son oreiller sur sa joue. Sa gorge était encore irritée par la fumée, et le brouhaha ambiant lui pesait déjà sur les nerfs. Il toussait, se raclant la gorge, mais rien n’en sortait. Il se dirigea vers la table du point de sécurité où il devait pointer tous les jours tant qu’il était assigné à ce point de rassemblement. La procédure était simple : prouver qu’il était toujours là et qu’il n’avait pas tenté de fuir ses obligations. « Nom, prénom ? » demanda un agent derrière un masque, visiblement épuisé, comme si Jeck n’était pas le seul sous contrôle judiciaire dans le coin. « Jeck Tucker. Présent, vivant, toujours là, toujours pas en cavale. » L’agent leva à peine les yeux, décochant un soupir aussi las que Jeck, et fit un signe vers le tableau des affectations. Jeck s’y dirigea, bousculé par la foule agitée. Sur le panneau, des tâches étaient griffonnées : aide au poste médical, tri des dons, nettoyage des dortoirs. Rien de réjouissant, mais il n’avait pas le luxe de choisir. Un volontaire en gilet orange lui fit signe.« Eh, besoin d’un coup de main ? » « Ouais, j’veux bien un café s’te plait. » voyant le regard de l’homme en face de lui, il compris qu’il n’était pas là pour faire des blagues. « Zone de tri. » Le gars tendit un brassard. « Prenez ça et demandez Jane là-bas. » Jeck s’apprêtait à partir quand il entendit une voix familière. En se retournant, il tomba sur Greta, il était surement la dernière personne qu’elle espérait voir. Il éclata d’un rire léger, l’air faussement surpris. « Greta ? Sérieux, toi ici ? » Il la détailla brièvement, avant de lancer, avec un sourire moqueur : « Ta maison a cramé, ou quoi ? » Sa blague, malvenue, était teintée d’un humour noir qu’il savait déplacé, mais il n’y pouvait rien. Avec Greta, c’était toujours comme ça : tendu, électrique, et parfois un peu cruel. Jeck et Greta avaient un passé compliqué. Ils s’étaient rencontrés il y a un peu plus de quatre ans, par hasard, lors d’une soirée où l’alcool avait fait tomber bien des barrières. Leur relation n’avait jamais dépassé quelques nuits partagées, sans promesses ni attaches. Mais Greta lui en voulait toujours pour une nuit en particulier : celle où il s’était éclipsé sans prévenir, laissant derrière lui un vide et une colère qu’elle n’avait jamais digérée. Malgré cela, ils avaient recouché ensemble à plusieurs reprises par la suite, un mélange de désir et de rancune alimentant leurs retrouvailles explosives. Cela faisait bien deux ans qu’ils ne s’étaient pas croisés.
Don't get too close
When the days are cold And the cards all fold And the saints we see Are all made of gold. Don't get too close It's dark inside It's where my demons hide It's where my demons hide.
Greta Moore
le vertige du presque
ÂGE : 35 (18.02) SURNOM : G. STATUT : and i know that it’s wrong that i can’t move on but there’s something about you MÉTIER : romancière wannabe, elle s'est essayée à la biographie et ça a plutôt bien fonctionné. LOGEMENT : Spring Hill #17 POSTS : 2781 POINTS : 240
TW IN RP : alcool, drogue, age gap TW IRL : n/aGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : made in England • being rich doesn't make you happier • drama queen pouring wine after the smallest inconvenienceDISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP CODE COULEUR : lightseagreen RPs EN COURS : [09/08]
Mallen #7 • we just friends, just friends. when you say my name so casual, touch my hand, i stop and play it cool like i'm not into you
Moventry #17 • i've been holding on to hope that you'll come back when you can find some peace, 'cause every word that i've heard spoken since you left feels like an hollow street. i've been told, i've been told to get you off my mind but i hope i never lose the bruises that you left behind.
Emery #5 • Lost and insecure, you found me, you found me. Lyin' on the floor surrounded, surrounded, just a little late, you found me, you found me
Il ne manquait plus que ça. C’était ce que Greta s’était dit en voyant les informations, en se disant qu’elle était probablement hors de danger à Spring Hill, comme si un incendie pouvait faire le tri des quartiers à viser. C’était un peu idiot, mais c’était sa façon à elle de ne pas sombrer dans la panique alors que les événements devenaient de plus en plus réels. A ce qu’il se disait à la télévision ou sur internet s’était bientôt ajouté le sinistre tableau de l’extérieur : des flammes toujours plus hautes, toujours plus menaçantes et bientôt, l’ordre de quitter les lieux. La veille, elle se souvenait s’être presque moquée de l’hystérie collective, comptant sur les pompiers pour arranger la situation rapidement. Mais elle n’avait fait que s’empirer, laissant l’écrivaine incroyablement seule face à la catastrophe. La solidarité qui s’était mise en place dans son immeuble était arrivée jusqu’à elle, et on lui avait demandé d’emporter quelques affaires qui pourraient servir aux plus touchés avant de regagner un centre d’accueil pour ne pas finir intoxiquée par les fumées. Greta avait préparé ce qu’elle pouvait, ne sachant pas réellement ce qui pourrait être utile, réfléchissant difficilement dans la précipitation et l’angoisse. Arrivant au centre avec un petit groupe, elle s’était servi un thé qui n’avait aucune saveur, parce qu’il était de mauvaise qualité et parce qu’elle se sentait déjà oppressée dans cet endroit. La blonde avait fait un tour d’horizon, cherchant des visages connus, cherchant à trouver quelqu’un à qui parler pour passer le temps et calmer son inquiétude.
« Greta ? Sérieux, toi ici ? » Il ne manquait réellement plus que ça. C’était ce que Greta s’était dit, à nouveau, en tombant nez à nez avec Jeck. « Ta maison a cramé, ou quoi ? » « J’aurais préféré ça, vraiment. » Son haussement de sourcils et sa grimace suffiraient à lui faire comprendre qu’elle parlait bel et bien de ce face à face auquel elle ne s’était pas attendu. « J’aimais bien l’idée que t’aies disparu pour de bon, moi. T’essaies d’améliorer ton karma ? » Il avait disparu une fois, ayant laissé l’égo de Greta meurtri même si elle ne l’avait pas admis, se contentant de le prendre en grippe, et depuis leur dernière rencontre, elle avait espéré qu’il ait définitivement quitté sa vie. Et pour cause, elle avait bâti quelque chose de nouveau avec Arthur et n’avait plus la place pour des parties de jambes en l’air, aussi divertissantes étaient-elles. Ce point là aussi, elle l’avait gardé pour elle, s’interdisant de flatter un Jeck qui s’était permis de partir au petit matin comme si elle était n’importe quelle fille. C’était le principe d’un coup d’un soir, elle le savait pertinemment, mais elle préférait davantage ajouter un brin de politesse à ce genre de petit manège. « Alors t'étais passé où ? T'en as trouvé une autre à embobiner ? » avait-elle lancé, un sourire carnassier qu’elle n’arrivait à reproduire qu’en fasse de lui sur le visage. Elle espérait que cette perche lancée serait l’occasion pour lui de s’expliquer - il faisait partie du passé, mais si elle pouvait avoir l'assurance qu'il n'était pas aussi cruel avec toutes les autres, cela l'arrangerait. Juste au cas où.
just know this too shall pass
losin' your mind in the mirror like you have to, screamin' in your car in the driveway, spinnin' out, think your life's going sideways. sleep is so thin outta habit, hard to tell the real from the dreams you imagine. nights when one broken glass turns to total collapse just know this too shall pass.-byendlesslove
Under a Sky of Ashes - Greck
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