ÂGE : vingt-deux ans. SURNOM : ju par sa petite soeur de quatre ans, le reste du monde n'a jamais pris la peine de raccourcir encore plus son prénom. STATUT : célibataire, sa vie sentimentale est reléguée au second plan. MÉTIER : jeune fille au pair de la famille Allen, entame une année de césure après l'obtention d'un bachelor en communication. LOGEMENT : a investi la pool house des Allen au 550 highland terrace (toowong). POSTS : 127 POINTS : 1340 TW IN RP : homophobie, agression sexuelle, paternité, hercèlement. TW IRL : aucun à priori. si jamais vous avez un doute, parlons-en en amont. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : à brisbane depuis mi-novembre 2024 › originaire de wellington, nouvelle-zélande › ne connaît pas son père › joues du piano et de la guitare › compose secrètement des chansons › se promène toujours avec un carnet de dessin dans le sac › secrète, elle ne se confie que quand elle est en confiance › vierge et fière de l'être › préfère le thé au café qu'elle ne boira qu'avec du lait › fan de comédies musicales DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #cc9900 RPs EN COURS :
kayna.2 › A mother’s love for her child is like nothing else in the world. It knows no law, no pity, it dares all things and crushes down remorselessly all that stands in its path.
leonard.2 › You should have been my hero but you never got the chance to try. Today we are two strangers discovering the truth. Tomorrow will be the start of something new, both hoping we did not miss our chance.
mia › Sometimes, the act of forgiveness is more about healing ourselves than accepting their apologies. When a friend betrays, forgiveness might be the saving grace.
asher ›
lennon › poppy › primrose
(2025) kehlani › ian › poppy.2 › joshua › flynn › yuri
(13/10) oupsie RPs EN ATTENTE : riley › ellie ›
RPs TERMINÉS : (2024) kayna › leonard › sixteen ›
AVATAR : bailee madison. CRÉDITS : greenhouselab (avatar), bittersweetremains (gif bailee), hqroleplaygifs (gif kristen), rostovarps (gif adam), blondewhoregifs (gif lily-rose), NOVA (crackship). DC : non applicable. PSEUDO : mollywobbles. INSCRIT LE : 23/11/2024 | (#)Dim 15 Déc 2024 - 13:57 | |
| to be doing good deeds is man's most glorious task crédit gif - kaceypacks & chellamen Jules Anderson & @Lennon Davis Les feux qui brulaient autour de Brisbane étaient les seuls sujets de conversation du moment. C’était comme si tous les problèmes que les gens pouvaient avoir s’étaient soudain évaporés, remplacés par l’angoisse que le feu vienne avaler tout ce qu’ils avaient construit. Ta mère continuait de t’appeler plusieurs fois par jour pour s’assurer que tu allais bien. Son inquiétude te touchait mais tu ne pouvais pas t’empêcher de lui faire remarquer qu’il y avait fort peu de chance que ta situation change en quelques heures. Et si Toowong devait évacuer, ta mère en serait informée par les informations. Les écoles étant pour l’instant fermées, contrairement aux entreprises, tu étais passée d’une fille au pair qui s’occupait de la petite Quinn la journée et des garçons le matin et le soir à une garde de tous les trois quotidienne et sans pause. C’était extrêmement fatiguant, surtout quand tu te débattais contre ta propre anxiété et des questionnements qui ne pouvaient qu’émerger. Avais-tu bien fait de suivre ta famille à Brisbane ? Est-ce que tu aurais dû rester à Wellington, au milieu de tes amis et de tes repères ? Heureusement, les enfants semblaient t’avoir adoptée donc ils étaient une distraction et un réconfort immense. Aujourd’hui, Riley était venue te voir au petit-déjeuner pour te dire qu’elle avait négocié une journée off pour s’occuper des enfants. Elle te donnait donc congé pour que tu puisses te reposer et te changer les idées. Cela te toucha énormément parce qu’il était vrai qu’une pause te ferait énormément de bien. Tu l’avais remerciée chaleureusement et tu étais retournée dans ta chambre pour retourner au lit. Après quelques heures de sommeil, tu t’étais réveillée en début d’après-midi et avais attrapé ton téléphone. Alors que ta mère était de nouveau très présente dans ta vie, c’était moins le cas de Lennon avec qui tu avais plus échangé par texto qu’en face à face ces derniers temps. Tu lui envoyais donc un message avant d’aller prendre une douche. A ta sortie, alors que tu t’essuyais les cheveux, elle t’avait répondu que cela lui ferait plaisir de te voir mais qu’elle passait l’après-midi au centre d’accueil à aider les différents réfugiés. Tu lui avais demandé si tu pouvais la rejoindre ce à quoi elle avait dit oui.
La fumée qui surplombait l’ensemble de la ville était on ne peut plus pesante. Tu préférais ne pas penser aux impacts que cela pouvait avoir sur votre santé à tous et te protéger avec un masque. Tu arrivais au centre d’aide en une trentaine de minutes et quand tu passais la porte, la scène qui se jouait devant toi te brisa le coeur. Il y avait du monde, beaucoup trop de monde. Certains essayaient de garder le sourire mais d’autres étaient dévastés. Les enfants continuer à jouer et à courir mais les adultes avaient le visage couvert d’inquiétude et de cernes. Tu sentis une boule se former dans ta gorge et tes retrouvailles avec Mia te semblèrent alors un problème bien ridicule face à ce que traversaient les personnes présentes. Balayant la salle polyvalente du regard, tu finis par apercevoir Lennon debout derrière une table. Elle était en train de servir du café et des encas à des gens qui semblaient pendus à ses mots comme si elle allait pouvoir arranger tous leurs problèmes. Tu te dirigeas donc vers elle et vos regards se croisèrent avant que tu n’arrives à sa hauteur. Posant la carafe de café, elle fit le tour de la table et se dirigea vers toi. Ne pouvant t’en empêcher, tu la pris dans tes bras. Sans un mot d’abord, respirant juste son odeur familière qui t’avait toujours rassurée. « Ça me fait plaisir de te voir. » Et cela te fait du bien aussi mais ça, c’était une autre histoire. Lennon et ta mère n’avaient pas idée de la place qu’avaient prises tes angoisses depuis le problème cardiaque de cette dernière. La peur de la perdre ne semblant jamais disparaître. Te détachant légèrement d’elle, tu lui dis : « Je ne m’attendais pas à autant de dévastation. J’ai plus l’impression d’avoir porté malheur à cette ville qu’autre chose. » Dis-tu en haussant les épaules. Les feux n’avaient rien à voir avec ton arrivée en ville, bien entendu mais cela ne t’empêchait pas de faire un lien, certes douteux mais de le faire quand même. « Comment tu vas ? » Lui demandas-tu parce que cela ne devait pas être facile pour elle non plus de passer des heures dans un lieu pareil. |
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