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 (greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes

Alma Barton
Alma Barton
le bonheur illusoire
le bonheur illusoire
  
(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 FQgUS3L Présence réduite
ÂGE : 35 ans (03.09.1989)
SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes
STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptent leurs années de captivité. ils en sont à six avec theo, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore
MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède
LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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POSTS : 10539 POINTS : 560

TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #7AA1D2
RPs EN COURS :
(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 Cc102a88d212ae29398a4e9a04ebcf93c1d60715
THELMA ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car
(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 7b0459f2090116c45b8399251f4cd1591ceca6ae
GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 203049
MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly

atlas#4victoriatheo#1lewis#2micah#1natalia#1 (fb 2020)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : ana de armas
CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©svgargifs (gifs profil, sign), @amandagifs (gif theo), ©gifstorage (gif greede), ©wcrgifs (gif malone) ◦ ©astra (code)
DC : jo carter & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/02/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t55943-i-struck-a-match-and-blew-your-mind-alma
https://www.30yearsstillyoung.com/t56062-throwing-my-life-to-the-wolves-or-the-ocean-rocks-alma

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Atlas Siede adore ce message


from sprinkler splashes to fireplace ashes
crédit gif - crédit/ungiffed
@Atlas Siede & Alma Barton

"Tu penses franchement que j’aurais été capable de te mentir à ce sujet ?" La réplique qu’elle appose à sa révélation est prononcée sur le doux ton de l’interrogation. Elle lui ment sur d’autres choses pour le préserver, surtout pour se préserver, pourtant dans la liste des choses à cause de quoi elle n’aurait pas été capable de le regarder en face si le moindre doute avait subsisté, le tenir à l’écart de sa potentielle paternité n’en fait absolument pas partie. Elle ne lui aurait jamais volé ce bout de lui en prétendant qu’il appartient à un autre, surtout quand cet autre s’avère être un homme comme Theo. Quand bien même ça aurait été difficile à vivre, ça l’aurait surement été moins qu’aujourd’hui où tant de choses restent des inconnues pour lui dont la mémoire défaille, bloqué sur une chronologie qui n’existe plus, ayant progressé au gré du temps qui passe et des erreurs qu’ils ont commises chacun de leur côté.

Alma se tient à distance de lui, elle peut toutefois distinguer les rouages de son cerveau qui mouline au travers de ses yeux qu’il détourne un instant pour les poser sur ses chaussures. Elle l’imite, réflexe qui met en avant le temps qu’ils ont passé ensemble et la synchronie instinctive qu’ils observent comme une routine dansante, loin d’être à l’abri des faux-pas. Ainsi, elle baisse la tête en l’entendant justifier maladroitement ses interrogations qui n’ont pas lieux d’être. Lui confirmer qu’en effet, aucun doute n’est possible, c’est se briser un peu plus le coeur en songeant en même temps que s’il avait eu le courage de ses ambitions à son propos, il aurait eu ce bonheur à sa portée, mais il n’aurait pas été le seul. Elle le fait cependant, lui disant en relevant la tête "Complètement impossible, Atlas." Elle prononce son prénom comme une mise en garde, un délicat retire-toi ça de la tête silencieux qu’elle maintient en même temps que le contact visuel qu’elle finit par rompre, gênée. Elle aussi, elle aurait vécu sa maternité différemment s’il avait été le père de son enfant. Elle aurait moins passé de temps à lister les défauts que son mari a légué à leur fille pour s’arrêter sur les ressemblances qu’elle aurait eu avec Atlas, et qui l’auraient fait l’aimer inconditionnellement dès le premier instant, elle aurait été la même mère que la sienne, à chérir son enfant comme un trésor sans égal, qu’elle aurait trouvé plus belle que toutes les pierres qu’elle a dénichées et tenues entre les mains, elle aurait tout fait pour être et rester disponible histoire d’apprendre à la connaître et de façonner la femme qu’elle deviendrait plus tard en la soutenant, lui fournissant toutes les clefs pour devenir quelqu’un qui n’a pas peur de vouloir réussir — le lien aurait été plus évident, moins douloureux qu’il l’est aujourd’hui lorsqu’elle pose ses yeux sur sa fille et qu’elle ne voit que l’autre, celui qui n’est pas Atlas. A lui, elle lui en veut certainement plus qu’elle n’est capable de l’admettre, d’avoir fait un choix pour eux en oubliant d’inclure ce qu’ils avaient mis des années à construire en n’ayant aucun doute sur la finalité de la vie qu’ils auraient dû mener ensemble. Lola lui en veut aussi d’avoir intoxiqué son âme avec des promesses non-tenues, de la réduire à croire que, malgré tout, ils sont quelque chose, sans savoir ce qu’ils sont vraiment ; que sont-ils l’un pour l’autre, finalement ? Le silence s’épaissit un instant, brisé par le jeune homme qui, somme toute, enfonce le couteau dans la plaie ; si fort qu’elle n’a pas le temps de le remettre sur les rails elle-même en lui disant à son tour d’arrêter de faire ça, de camper sur ce qu’il avait imaginé, ayant été incapable d’en faire leur réalité — il se reprend lui-même, et c’est peut-être bien la première fois qu’elle préfère garder le silence de son côté pour ne pas être tentée d’envenimer la situation, ou au contraire, de lui dire qu’elle aussi, c’était ce qu’elle avait imaginé pour la suite de leur histoire.

Elle bat en retraite. Ou plus ou moins, trouvant une parade pour orienter la discussion vers un horizon moins dangereux. Encore que, rien n’est moins sûr. De son bout de canapé, elle observe Atlas soupirer, puis enfin la rejoindre dans une démonstration exagérée de sa brusquerie qu’il met au service de la tension qui règne entre eux. Sa jambe qui touche la sienne, elle la repousse en claquant sa langue contre son palais, mais avance à nouveau la sienne lorsque l’espace qui les sépare installe un froid insupportable ; qui rapidement permute en quelque chose de dense à l’instant où, en même temps que lui, elle pose sa tête contre le renfoncement du dossier pour l’observer selon l’angle qu’il a choisi. Ils sont proches, épaule contre épaule, genou contre genou "Tu fais confiance à tes souvenirs maintenant ?" rétorque-t-elle avec un sourire en coin, se permettant de moquer ses trous de mémoire parce qu’elle devine ce qu’il essaye de faire et qu’elle ne sabotera pas ses efforts en devenant grave. Elle est frustrée cependant, de devoir traiter avec la distance qu’il souhaite garder entre eux alors qu’il détourne le regard pour le poser sur le plafond, et lui rappelle en ne ratant rien du profil qu’il lui offre et qu’elle admire, le mouvement frénétique de ses yeux butant contre tous les angles de son visage qu’elle pourrait toucher si elle décidait d’envoyer valser sa raison "C’est qu’une nuit, je te demande pas grand-chose." Elle est persuadée d’avoir déjà prononcé cette phrase avant, dans des circonstances différentes, mais pas moins chargées en tension, celle qu’elle tache de traverser sans peur quand il lui refile la responsabilité de sa présence à ses côtés plus tard "Est-ce que t’aurais envie de rester au moins ?" Lui dire qu’elle, elle aurait envie qu’il reste, c’est une chose ; partager le sentiment en est une autre, celui qu’elle lui offre sans crier gare s’échappant de ses lèvres à l’instant où ses yeux capturent les siennes à distance après avoir attendu sagement qu’il tourne à nouveau la tête dans sa direction "Tu me manques." Elle ne le laisse pas dire quoi que ce soit, ajoute dans le souffle qu’elle relâche en même temps qu’elle secoue la tête de droite à gauche, sa bouche restée entrouverte le temps de trouver ses mots "J’attends pas que tu me répondes quoi que ce soit. Je veux juste que tu le saches." Et aussi égoïstement que lui qui a espéré que Claudia soit sa fille, elle pense en silence : débrouille-toi avec ça, et n’attend pas plus longtemps pour amorcer un geste pour se lever du canapé.


    they said the end is coming, everyone's up to something, i find myself running home to your sweet nothings. outside, they're push and shoving, you’re in the kitchen humming, all that you ever wanted from me was sweet nothing.



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Atlas Siede
Atlas Siede
la chute du capitaine
la chute du capitaine
  
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ÂGE : quarante et un an, né un soir d'halloween quatre-vingt trois.
SURNOM : Siede pour la plupart des gens, Capitaine pour ses frères d'armes, seul son petit frère s'amuse à l'appeler "Attie".
STATUT : célibataire, supportant de moins en moins la solitude et les regrets concernant sa vie sentimentale. elle lui fait toujours autant tourner la tête, malheureusement.
MÉTIER : pilote de l'aéronautique navale, capitaine du squadron 816. en arrêt prolongé suite à son accident, il refuse sans cesse la retraite que ses supérieurs cherchent à lui imposer. prétends être à la recherche d'une nouvelle vocation, mais rumine sans cesse ce qu'il a perdu.
LOGEMENT : supportant de moins en moins la solitude, il a décider de partager son loft au #21 hardgrave road, west end, avec Maverick, un berger allemand de tout juste un an.
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POSTS : 9233 POINTS : 320

TW IN RP : crise de panique/angoisse, excès de colère, accident, douleur physique.
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : anglais par son père › second né de la fratrie Siede › s'est engagé dans l'armée après le Lycée, il a n'a fait que grimper les échelons pour arriver au grade de capitaine › a eu un accident de vol fin novembre 2022 › il a perdu quatre ans de souvenirs (période 2018 à 2022) › a 40 ans, il collectionne les regrets sur son parcours personnel › la femme de sa vie en a épouser un autre › les répercussions de son accident se font de plus en plus imposants au quotidien
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : seagreen
RPs EN COURS : (09) autumn #4sergiolewis #3helen #1 (fb)gayle #2alistairvictoriayasmin #2alma #4

(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 Yc876ehz
alma #4 › i bet we already knew our names before we met each other. i bet we've sailed the milky way, walked on the sun together. how could i forget those emerald eyes? they took me by surprise, but suddenly, i missed your face, i knew that smile from miles away. i knew that i have loved you forever and a day ❘ #1#2#3#4

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lewis #3 › if i was dying on my knees, you would be the one to rescue me and if you were drowned at sea i'd give you my lungs so you could breathe. i've got you brother

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gayle #2 › you gotta find your people, the ones that get the joke. who understand what you're saying before a word is spoke. you gotta find your people, that put the needle in the groove. when you're together, you got nothing to prove

communications
almalewis

RPs TERMINÉS : (2024)lewis #1ginny #2raelynalma #1gayle #1lewis #2yasmin #1alma #2alma #3

(2023) channingautumn #3amos #6lucy #1evelynava #2

(flashbacks) ava #1 (2011)
AVATAR : sebastian stan
CRÉDITS : harley (avatar), harley (gif profil & signa), crackshipandcrap (crackship siarton), rainbowkarolina (gif ginny), putalittleloveonme (gif lewis)
DC : shiloh atkins (ft. haley lu richardson) › arthur coventry (ft. françois civil) › nina sterling (ft. suki waterhouse) › ollie gallagher (ft. paul mescal)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 26/12/2017
https://www.30yearsstillyoung.com/t48003-we-re-a-world-of-strangers-chasin-signs-atlas
https://www.30yearsstillyoung.com/t48240-atlas-i-used-to-recognize-myself-it-s-funny-how-reflections-change

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Alma Barton adore ce message



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atlas & @alma barton le ciel rouge

« Tu penses franchement que j’aurais été capable de te mentir à ce sujet ? » Instinctivement, il répondrait que non. Pourtant, persiste en lui cette légère once de nuance qui tend à croire que son accident aurait pu arranger bien des choses, si la femme mariée s’en était allée bafouer les liens sacrés du mariage. Il n’en dira rien, se contente de secouer la tête sans jamais croiser son regard. « Non. » Il ose croire qu’elle n’aurait jamais été aussi cruelle envers lui. Il avait néanmoins envisagé l’idée que cette fillette soit la sienne. Il ne saurait réellement l’expliquer ou même le justifier. Il ne s’agissait que d’une chimère, un délire passager qui l’avait occupé pour ne pas panser ses blessures bien plus réelles. Il aurait aimé que la conversation s’arrête ainsi, qu’aucun d’entre eux ne cherche à développer quoi que ce soit ou que lui vienne l’idée de se justifier. Il faut croire que ces derniers temps, ils ont juré de tout se dire, qu’importe la façon. « Complètement impossible, Atlas. » C’est brutal et sans appel. Il encaisse le coup sans broncher, dévoilant un sourire pour ne pas suffoquer de l’intérieur. « Je ne suis pas certain que l’emphase se voulait nécessaire. » Il aurait tout autant compris si elle s’était contentée d’affirmer ce qu’il savait être une vérité. Lola n’a pu s’empêcher de marteler cette dernière comme un coup de poignard supplémentaire. Ne rêve pas, Atlas, c’est fini depuis longtemps tout cela. Il assène un coup à son tour. Il n’est plus question de vengeance, mais d’une honnêteté qu’ils auraient dû avoir l’un envers l’autre depuis longtemps.

Ils ne savent plus se parler sans que les décisions de l’un ou de l’autre viennent assombrir le paysage. Une part d’Atlas tendrait à croire que tout a pris fin entre eux, qu’il n’existe plus rien si ce n’est quelques souvenirs parfois encore trop tenaces. Il pourrait entendre, que le temps a fait son œuvre, qu’il devrait simplement tourner la page et s’éloigner. Pourrait-il se contenter de ne voir Alma que deux fois l’an ? Il connaît la réponse, mais pourrait continuer à prétendre. Quelque part, le karma doit se moquer d’eux. À les voir ainsi, elle qui bat en retraite, lui qui se rapproche dans la seconde suivante. Éternel ballet de deux âmes qui s’aiment sans plus réellement connaître les codes de ce qui devient acceptable. Elle peste, il se rapproche plus encore, créant une fusion de leurs genoux à leurs épaules. Il s’installe dans la chaleur confortable de sa présence à ses côtés. S’il voulait se brûler les doigts, il approcherait son visage du sien, mais Atlas s’abstient. Il s’abreuve des miettes qu’elle lui accorde, au travers d’un toucher, dans les recoins d’un sourire ou à la simple manière dont ses pupilles pétillent lorsqu’elle s’adresse à lui. « Tu fais confiance à tes souvenirs maintenant ? » Il voudrait rire, mais c’est bien une tout autre vérité qui s’immisce dans ses os, provoquant un frisson le long de ses bras. « Pas mes souvenirs. » Il ne leur fait plus confiance depuis longtemps. « Mon instinct, en revanche. » C’est ainsi qu’il qualifierait tout ce qu’il sait sur elle. Cela ne lui revient pas sous la forme de souvenirs, flashback d’une époque révolue ou d’un moment suspendu dans le temps. C’est plus profond, plus fort encore. Il saurait dessiner son sourire dans le noir, lui apporter son café préparé à la perfection, décrire avec la minutie d’un artiste chaque courbe de son corps, retraçant le moindre de ses grains de beauté. Il devine son rire sans même l’entendre. Il saurait où l’embrasser pour la faire frissonner en une seconde. Toutes les petites choses qui font de Lola une femme particulièrement singulière et qu’il a su accumuler au fur et à mesure des années, faisant d’elle une extension de sa propre personne. Il sait, sans savoir l’expliquer, que quelque chose se cache derrière son sarcasme et cette ligne qui ne cesse de se creuser entre ses sourcils. Il voudrait l’aplanir de la pulpe de ses doigts, mais ne s’autorise plus à bouger en harmonie avec les soupirs qu’elle lui offre. Le plaisir a été remplacé par un agacement certain, faisant virevolter un malaise constant qui les enveloppe dans cet entre-deux qu’Atlas a bien du mal à maîtriser, mais qu’elle domine avec une aisance parfois effrayante. « C’est qu’une nuit, je te demande pas grand-chose. » Il rit cette fois, face à cette dualité qu’elle lui présente. Il l’aime, elle fuit. S’il fuit, elle l’aime en retour. Un jeu du chat et de la souris qui ne pourra jamais bien finir, il le sait. Pourtant, il joue à son tour. Tel un adolescent qui ne veut plus se tenir droit. Il laisse enfin une certaine impulsivité s’installer dans ses gestes, un retour en arrière qui finira de la surprendre, alors que sa jambe se lève légèrement pour venir passer au-dessus de la cuisse d’Alma. Il est proche désormais, il envahit son espace, il pourrait passer son bras autour de ses épaules, mais il se contente d’enrouler son pied autour de sa jambe. « C’est vrai, c’est quoi juste une nuit collés l’un à l’autre ? » Est-ce qu’elle apprécie l’avant-goût ? Est-ce qu’il doit aller plus loin encore pour qu’elle prenne pleinement conscience de ce qu’elle lui demande, ce qu’elle réclame tel une enfant capricieuse. « Est-ce que t’aurais envie de rester au moins ? » Leurs regards se croisent, emplis de défi. Ose-t-elle sincèrement lui poser la question ? Il restera. Elle le sait, il le sait, le monde entier le sait. Et dans un aveu silencieux, le coin de ses lèvres s’étire dans un demi-sourire, alors qu’il s’approche encore d’elle. Il a toujours su y faire pour la déstabiliser. 

Il avait simplement oublié que, parfois, Alma est bien plus redoutable que lui, à ce jeu-là. « Tu me manques. » Elle triche, tirant bien trop près du cœur. Il s’éloigne comme si sa peau venait de le brûler. Il récupère son bras, sa jambe et son envie de s’amuser. Elle n’a pas le droit d’user de cette carte-là. Voilà qu’elle joue à la déloyale et qu’il lui adresse un regard soudainement devenu noir. « J’attends pas que tu me répondes quoi que ce soit. Je veux juste que tu le saches. » Elle est cruelle. C’est ce que son cœur lui hurle alors qu’il la voudrait contre lui. Elle lui manque plus encore. Il se sent affamé de sentir sa peau contre la sienne, de retrouver le goût de ses lèvres, d’avoir le droit à cela une fois encore. Elle emporte tout sur son passage alors qu’elle se lève et qu’il ressent le froid glacial qu’elle laisse à côté de lui. Il n’a plus envie de rire alors qu’il se redresse pour s’asseoir au bord du canapé. Ses coudes se plantent dans ses cuisses avant qu’il ne relève les yeux vers elle. « Qu’est-ce que tu veux de moi ? » Il se doit de demander. Elle lui a reproché de souffler le chaud et le froid. Agir ainsi ? C’est pire encore. « Dis-moi Lola parce que je suis plus sûr de comprendre. » Elle voulait un ami et maintenant elle le supplie de la prendre dans ses bras le temps d’une nuit. Elle se contentera d’une seule ou elle voudra plus ? Et cette tristesse qui voile sans cesse son regard, qu’est-ce qu’elle fait là ? Pourquoi est-ce qu’elle s’invite de partout comme une ombre sombre qui plane au-dessus de la brune ? « T’espères que je cède en premier ? Pour me tenir responsable ? » Coupable d’un faux pas, d’un écart dans son couple et son mariage ? Il n’a pas besoin de lui dire. Elle le sait. Pour elle, il cèdera un jour ou l’autre. Il prendra le blâme. À continuer ainsi, il deviendra fou. Un jour, il prendra ce qui lui manque sans attendre la moindre permission. Ce soir, il lève ses yeux bleus vers elle, attendant qu’elle lui donne une réponse.




When I'm old and getting tired, I'll get stoned, and I'll get high to try and remember what you're like. What I'd do for one more night, take me back, and let me cry, so you can hold me one more time. I know I'll never find, this love of mine





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Alma Barton
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Message(#)(greede #3) from sprinkler splashes to fireplace ashes - Page 2 EmptyJeu 9 Jan 2025 - 11:58

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@Atlas Siede & Alma Barton

L’emphase était nécessaire. Atlas peut dire ce qu’il veut, réduire à néant ses espoirs — il lui a avoué avoir espéré que Claudia soit sa fille à un moment donné —, c’est l’empêcher de continuer à se faire du mal pour rien. Désormais, plus rien ne pourra jamais le faire pencher vers des suppositions qui n’existent que dans son désir profond de voir un potentiel mensonge, une omission commode, là où il n’y a qu’une plaie qui palpite au rythme du coeur de Lola. Claudia n’est pas la fille d’Atlas, c’est triste, mais c’est comme ça. Elle n’ajoute rien toutefois, se contente de le regarder sourire de sa place en espérant qu’à un moment où un autre, il décidera de la rejoindre. Il le fait plus rapidement qu’escompté, et ils reprennent la conversation en tachant de tordre le cou à cette tension qui les enveloppe. C’est peine perdue cependant, elle est là et elle persiste, intoxiquant l’atmosphère au point de les faire suffoquer en silence. C’était agréable à l’époque, d’être en compagnie d’Atlas et de se laisser consumer par ce feu progressif qu’il y a entre eux encore aujourd’hui, mais depuis quelques temps maintenant, ils se brûlent chaque fois qu’ils sont près l’un de l’autre, et ça devient dangereux. Ça le devient d’autant plus qu’Atlas réagit à la proposition de Lola par de la provocation pure, jetant de l’huile sur le feu avec ce sourire d’adolescent turbulent qu’il décide de redevenir de temps à autre. Elle a envie de lui demander à quoi il joue exactement, mais elle ne réussit pas véritablement à aller au-delà de la sensation qui l’habite lorsqu’il envahit son espace pour de bon, et que le poids de sa jambe vient l’ancrer plus profondément dans le canapé qu’ils partagent. Elle ne comprend pas le point qu’il essaye de marquer en agissant de cette façon, et en vérité, ça la blesse même profondément qu'il s’amuse de la situation en s’imposant à elle pour lui tacher de lui démontrer quelque chose qui n’a pas besoin d’être démontré. Elle ne bouge pas, elle ne le touche pas, elle le regarde seulement avec une incrédulité visible sur chacun des traits de son visage qu’elle ne réussit pas à détourner du sien. Elle est tétanisée par sa façon d’agir, pense définitivement qu’ils ne se comprennent plus comme avant, même lorsqu’ils se parlent avec les yeux.

Alors elle s’exempte de tourner autour du pot en lui avouant qu’il lui manque. Il ne cherche pas à comprendre de quelle façon exactement. S’il l’avait fait, elle lui aurait répondu que ça comporte tellement de choses qu’elle ne sait pas par où commencer. C’est pour cette raison qu’elle fuit brusquement, le faisant récupérer sa jambe dont elle sent encore le poids contre sa cuisse lorsqu’elle s’éloigne pour aller appuyer ses reins contre le bord du bureau qu’elle rejoint en quelques pas seulement. Elle a pris le temps de poser une clause à la confession qu’elle vient de lui faire : elle n’attend pas de réponse-retour, elle n’en a pas besoin. Mais, comme toujours, Atlas voit les choses autrement, et la question arrive en même temps que ses yeux se posent à nouveau sur lui. C’est à son tour de croiser les bras sur sa poitrine, posture défensive qui l’interdit de s’imposer de nouveau à elle "Tu ne crois pas que t’es trop vieux maintenant pour qu’on te dise quoi faire ?" lui demande-t-elle sérieusement. Si elle y avait mis le ton, il aurait été facile de prendre sa rebuffade pour une boutade. Sauf que l’ombre qui teinte ses traits à ce moment-là ne laisse planer aucun doute sur la diligence qu’elle impose à sa réplique : il n’a jamais été un homme qui tâtonne, surtout pas avec elle. Une partie de lui sait parfaitement ce qu’elle veut de lui, et le silence qui s’installe sournoisement l’étaye davantage que si elle s’était échiné à le dire à haute et intelligible voix. Tout. Je veux tout de toi, pense-t-elle en le fixant sans ciller, s’autorisant à croire, l’espace d’un instant, qu’il va s’arrêter là, se lever et s’emparer de ce qu’elle est prête à lui donner sans aucune concession. Dans ces circonstances, qu’il s’impose à elle l’indisposerait moins que tout à l’heure, où elle a eu l’impression qu’il se moquait d’elle.

Peu à peu, le silence dominant la scène avant qu’Atlas ne reprenne la parole, elle songe aux répercussions d’une impulsion comme celle à laquelle elle pense sur l’instant, espérant en effet que l’instinct qu’il a mentionné tout à l’heure se rappelle à son bon vouloir et l’oblige à envoyer valser cette noblesse dont il fait preuve en la considérant désormais comme étant intouchable — parce qu’elle est mariée, parce qu’elle est maman. Ce serait si facile de lui dire la vérité maintenant, de tout lui déballer pour qu’il comprenne à quel point sa vie n’est qu’une façade qu’elle a charpenté à la force de sa volonté farouche de ne pas briser l’image parfaite qu’elle reflète, et qu’elle le regrette désormais tant ça lui aurait été plus salutaire d’admettre ses erreurs que de vouloir les cacher. Mais il lève ses yeux vers elle, et elle y lit une forme de déception qui prendrait certainement de l’ampleur si elle crachait le morceau maintenant. Elle ne sent pas capable de la supporter ; elle ne se sent pas capable d’assumer tous les mensonges qu’elle lui a raconté au cours des dernières années. Alors elle lâche un tout petit rire par le nez, ses sourcils se haussant quand elle détourne les yeux et la tête en même temps, ses bras se décroisant pendant qu’elle répond à ses dernières questions sans y répondre véritablement, se sentant soudainement sotte d’avoir été percée à jour. Oui, il y a de ça dans la façon dont elle se comporte avec lui : elle espère qu’il sera le plus faible d’eux deux "J’ai compris Atlas, tu passeras la nuit ailleurs, c’est inutile d’en faire toute une histoire." Elle se referme, c’est aussi physique que psychique. Elle se redresse pour s’avancer vers la porte du bureau, ajoute en balayant sans vergogne la somme des interrogations d’un Atlas à qui elle tourne le dos sans plus de cérémonie en pensant, injustement, que sa mémoire n’est plus ce qu’elle est certes, que sa lâcheté est, elle, restée inchangée. Elle annonce, attrapant la poignée de la porte "Je vais chercher Claudia, il commence à se faire tard."


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Atlas Siede
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la chute du capitaine
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ÂGE : quarante et un an, né un soir d'halloween quatre-vingt trois.
SURNOM : Siede pour la plupart des gens, Capitaine pour ses frères d'armes, seul son petit frère s'amuse à l'appeler "Attie".
STATUT : célibataire, supportant de moins en moins la solitude et les regrets concernant sa vie sentimentale. elle lui fait toujours autant tourner la tête, malheureusement.
MÉTIER : pilote de l'aéronautique navale, capitaine du squadron 816. en arrêt prolongé suite à son accident, il refuse sans cesse la retraite que ses supérieurs cherchent à lui imposer. prétends être à la recherche d'une nouvelle vocation, mais rumine sans cesse ce qu'il a perdu.
LOGEMENT : supportant de moins en moins la solitude, il a décider de partager son loft au #21 hardgrave road, west end, avec Maverick, un berger allemand de tout juste un an.
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POSTS : 9233 POINTS : 320

TW IN RP : crise de panique/angoisse, excès de colère, accident, douleur physique.
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : anglais par son père › second né de la fratrie Siede › s'est engagé dans l'armée après le Lycée, il a n'a fait que grimper les échelons pour arriver au grade de capitaine › a eu un accident de vol fin novembre 2022 › il a perdu quatre ans de souvenirs (période 2018 à 2022) › a 40 ans, il collectionne les regrets sur son parcours personnel › la femme de sa vie en a épouser un autre › les répercussions de son accident se font de plus en plus imposants au quotidien
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
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alma #4 › i bet we already knew our names before we met each other. i bet we've sailed the milky way, walked on the sun together. how could i forget those emerald eyes? they took me by surprise, but suddenly, i missed your face, i knew that smile from miles away. i knew that i have loved you forever and a day ❘ #1#2#3#4

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lewis #3 › if i was dying on my knees, you would be the one to rescue me and if you were drowned at sea i'd give you my lungs so you could breathe. i've got you brother

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gayle #2 › you gotta find your people, the ones that get the joke. who understand what you're saying before a word is spoke. you gotta find your people, that put the needle in the groove. when you're together, you got nothing to prove

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INSCRIT LE : 26/12/2017
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atlas & @alma barton le ciel rouge

Tu me manques. Des mots qui ne devraient pas avoir tant d’impact. Eux qui ne font qu’essayer de se retrouver, mais qui loupent sans arrêt, incapables de saisir les différences, d’avancer avec tout ce qui compose désormais une réalité bien différente de leurs rêves d’avant.  Il n’ose pas demander la signification d’une telle affirmation. Non pas qu’il soit effrayé de la réponse. Il aimerait l’entendre, plus que tout. Il ne sait simplement ce qu’il pourra encore contrôler lorsqu’elle lui aura avoué, probablement à demi-mots, la véritable raison qui l’avait poussé à affirmer une telle conclusion. Pourtant, elle lui manque tout autant. De manière viscérale. Au point où il ne faudrait qu’une simple impulsion pour qu’il finisse par se lever et aller réclamer ses lèvres dans un baiser indécent. Il en rêve les yeux ouverts. Il imagine, juste une seconde, avant que les conséquences ne se déroulent en cascade au milieu de ses pensées. « Tu ne crois pas que t’es trop vieux maintenant pour qu’on te dise quoi faire ? » Elle ne pense pas être trop mariée pour oser le regarder de cette manière ? Elle aurait eu un seul mot à dire pourtant. Il n’avait jamais attendu l’autorisation de personne, mais Atlas se sentait retenu par le peu de conscience qu’il lui restait dès qu’il s’agissait d’Alma. Se glisser entre ses cuisses, emprisonner son visage entre ses mains, clamer ses lèvres… Il pouvait le faire, mais à quel prix ? Pour quel avenir même ? C’est ce qui le tient collé au canapé. Cette loyauté a un statut qui n’est pas le sien, mais qui l’aveugle à chaque fois que son regard trouve la main gauche d’Alma. Elle est mariée. C’est la fin du jeu. N’est-ce pas ? Il campe sur des convictions qui vacillent. À un moment, il le sait, et elle le sait autant que lui, Atlas n’aura plus la patience. Il viendra réclamer ce qu’il désire sans même en demander la permission. Mais pas ce soir. Pas encore. « J’ai compris, Atlas, tu passeras la nuit ailleurs, c’est inutile d’en faire toute une histoire. » À son tour, il échappe un rire presque mauvais, ayant la sensation d’être le mari fautif qu’elle cherche à remettre à sa place. Inutile d’en faire toute une histoire effectivement. Il sait ce qu’elle pense, lui offre même tout le loisir de faire de lui un lâche. Elle l’en remerciera plus tard. « Je vais chercher Claudia, il commence à se faire tard. » À son tour, il se lève, pour la suivre. « Je vais aller lui chercher un lit. » Fin de l’histoire. 

Il s’est perdu dans des obligations qui ne lui revenaient pas, mais qui lui ont permis de rester un temps loin d’Alma et de sa fille. Aider à la préparation du repas, faire le service, donner un coup de main à la plonge. Puis installer les lits de camp, s’assurer que tout le monde soit bien installé. Faire une dernière ronde, aller fumer une cigarette sur le parking et finalement hésiter. Le dortoir ou son bureau ? Son cœur connaît la réponse. Sans la moindre hésitation, dans la vitesse d’un battement. Toute la journée, il s’est battu contre ses instincts. À quoi bon continuer à lutter ? Elle l’avait dit elle-même, n’est-ce pas, il ne s’agit que d’une nuit… Fatigué de batailler, il reprend le chemin qui mène à son bureau. À l’intérieur, seule la petite lampe posée à côté du canapé diffuse un peu de lumière. Claudia est endormie dans son lit de camp, son doudou cachant la moitié de son visage. Sur le canapé, Lola relève les yeux vers lui. Leur regard se croise et il attend, juste un temps, être sûr qu’elle ne le repoussera pas. Après un instant, il referme la porte derrière lui. La couverture qu’il avait à la main se retrouve au sol, lit de fortune pour son chien qui ne perd pas une minute pour s’installer. Lola a de nouveau son attention dédiée à son téléphone comme si elle se fichait bien de ce qu’il ferait par la suite. Tant mieux, car Atlas a décidé de ne plus hésiter. Otant ses chaussures, il finit par s’approcher de l’accoudoir du canapé. Une fois encore, leurs regards se croisent dans un silence qui pourrait en effrayer plus d’un, mais qui lui procure un sentiment d’être enfin à sa place. Sans un mot, il se glisse à la place qui lui revient, entre le dossier du canapé et le corps de Lola. Dans cette configuration, son visage trouve une place de choix entre les omoplates de la jeune femme. S’imprégnant du parfum familier de la brune, c’est tout son corps qui se détend enfin, ses jambes épousant la courbe des siennes, son bras venant lentement se poser contre ses hanches. Il ne réfléchit plus à rien lorsque ses lèvres embrassent le carré de peau qui dépasse de son tee-shirt, juste sur son épaule. « Toi aussi, tu me manques. » Elle n’attendait pas de réponse, mais Atlas est fatigué de faire semblant. Elle lui manque. Ce n’est qu’un constat criant de vérité. Elle lui manque tout le temps, au point de parfois créer des réactions physiques sous la forme d’une tension inexplicable dans sa poitrine. Il cherche sa main, mais ses doigts lévitent au-dessus des siens. Est-ce qu’elle lui accordera cela, sans se regarder, dans l’intimité d’un bureau qu’ils ne fréquenteront plus ensemble ? Il attend malgré tout, une permission qu’elle seule pourra lui accorder, ou non.




When I'm old and getting tired, I'll get stoned, and I'll get high to try and remember what you're like. What I'd do for one more night, take me back, and let me cry, so you can hold me one more time. I know I'll never find, this love of mine





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Alma Barton
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le bonheur illusoire
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ÂGE : 35 ans (03.09.1989)
SURNOM : alma est à peine utilisé par son entourage qui s’obstine à l’appeler lola depuis sa plus tendre enfance. c’est comme ça qu’elle jauge la valeur qu’elle a dans le coeur des gens qui se trouvent en face d’elle. lorsqu’on l’appelle alma, ça la met en alerte, et elle reste sur ses gardes
STATUT : elle compte ses années de mariage comme d’autres comptent leurs années de captivité. ils en sont à six avec theo, et pourtant elle a le sentiment d’en avoir subi davantage. ça aurait pu s’adoucir depuis qu’elle est devenue maman : c’est pire, bien pire encore
MÉTIER : récemment promue nouvelle directrice artistique des bijoux du géant de la joaillerie, michael hill, elle a travaillé longtemps au sein de l’entreprise en tant qu’acheteuse de pierres précieuses. elle garde un pied dans ce domaine aujourd’hui, assumant fièrement sa double casquette, ne tenant pas en place, plus que jamais motivée à redorer le blason de cette maison à laquelle elle tient malgré la réputation sulfureuse qui la précède
LOGEMENT : #99 st pauls terrace, spring hill, dans une villa de type hacienda construite juste après son mariage. elle aimerait sans doute cette maison si elle n’avait pas autant l’allure d’une cage ; son mari y est heureux, leur fille aussi, mais le sentiment n’est pas partagé, de ce fait elle la fuit dès qu’elle le peut
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POSTS : 10539 POINTS : 560

TW IN RP : accident de la route, délit de fuite, mensonges, manipulation, jeux de pouvoir, chantage, mention d’alcoolo-dépendance, mariage plus ou moins arrangé, déni de maternité (j’adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Ça ne m'intéresse pas.
PETIT PLUS : cubaine par sa mère ◦ nepo-baby ◦ ex-employée chez vogue australia, surtout ex-assistante de son éditorialiste phare, nicole greene, sa tante ; cousine de micah tomlinson ◦ carnet d’adresses aussi précieux que les pierres qu’elle déniche depuis 8 ans pour le compte de la mhi ◦ as des codes sociaux, pas contre d'utiliser son physique pour atteindre ses objectifs, adepte de l’opportunisme et de la manipulation ◦ épouse par dépit, mère par obligation ; n’aime pas son mari, déplore la naissance de leur fille, claudia ◦ alcoolo-dépendance tapie entre ses mensonges, sa culpabilité et son déni
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : #7AA1D2
RPs EN COURS :
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THELMA ◦ i would've died for your sins instead i just died inside and you deserve prison but you won't get time you'll slide into inboxes and slip through the bars you crashed my party and your rental car
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GREEDE ◦ so when i touch down call the amateurs and cut 'em from the team ditch the clowns get the crown baby i'm the one to beat cause the sign on your heart said it's still reserved for me honestly who are we to fight the alchemy?
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MALONE ◦ what if i roll the stone away? they're gonna crucify me anyway what if the way you hold me is actually what's holy? if long-suffering propriety is what they want from me they don't know how you've haunted me so stunningly

atlas#4victoriatheo#1lewis#2micah#1natalia#1 (fb 2020)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : ana de armas
CRÉDITS : ©ssoveia (av) ◦ ©svgargifs (gifs profil, sign), @amandagifs (gif theo), ©gifstorage (gif greede), ©wcrgifs (gif malone) ◦ ©astra (code)
DC : jo carter & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 12/02/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t55943-i-struck-a-match-and-blew-your-mind-alma
https://www.30yearsstillyoung.com/t56062-throwing-my-life-to-the-wolves-or-the-ocean-rocks-alma

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Lola ne s’attend à rien. Elle s’est empressée de dire à Atlas qu’une réponse à sa confession ne lui est pas utile, qu’elle peut faire sans. Mais la vérité, c’est qu’elle aurait aimé qu’il réagisse autrement qu’en mettant le doigt sur ce qu’elle essaye de faire ; se décharger de la responsabilité de craquer, parce qu’ils le savent tous les deux, même s’ils le nieront pour se donner bonne conscience auprès de ceux qui les observent, là-haut : ça leur pend au nez. Elle attend qu’il soit le plus faible d’entre eux, qu’il soit celui qui, sans attache, libre comme l’air, envoie valser toutes considérations au feu pour mieux les regarder brûler et se laisser consumer par ce qu’ils ne se disent pas, mais qui prend tant de place que ça devient suffoquant à la fin. Elle peut l’imaginer se lever, s’emparer de ses lèvres sans lui demander l’autorisation parce qu’il sait, Atlas, qu’elle n’attend que ça, et initier les prémices de quelque chose qu’elle devra étouffer en retenant ses soupirs, sont corps soumis à des années d’attente qui, chaque fois qu’ils se voient en tête-à-tête, se change en torture inhumaine. Sauf qu’il ne se passe rien. Atlas reste là, à la regarder, en tachant de comprendre comment elle en est arrivée là, ce qu’elle veut, comme s’il avait vraiment besoin qu’elle partage avec lui les pensées diffuses qui se reflètent dans ses grands yeux.

A sa manière, il joue avec elle, et ça la déstabilise ; de ne pas être la seule à mener son pion pour rétablir une équité sur la grand plateau qu’est devenue leur relation. Ils ne sont plus des gamins, ils ne devraient pas se comporter de cette façon-là, et soudainement, elle s’en veut. Embarrassée, elle se rappelle sa fille, elle se rappelle qu’elle a des responsabilités, et que si elles la font souffrir à mourir, elle doit les respecter puisque c’est ce qu’on attend d’elle, et qu’elle a choisi sa sentence, à défaut d’avoir assumé ses erreurs. Alors elle s’enfuit, gênée d’avoir cru à un fantasme de gamine naïve et expérimentée, qui base les avancées de ses relations sur un jeu malsain partant d’un fait pourtant simple : ils se désirent, il n’y a plus qu’à, si elle ose penser comme ça. Et elle ose, c’est bien ça le problème. Elle ose, oubliant combien ça doit être déroutant pour Atlas de constater rien qu’en la regardant qu’elle n’attend qu’une chose alors qu’elle est censée déjà tout avoir à la maison : le mari volontaire, la fille adorable, le mariage heureux, la vie parfaite. Il ne doit pas comprendre la manière dont elle se comporte, et elle n’a pas envie de lui expliquer. Naturellement, elle retrouve les rails, agit comme la femme droite et digne qu’elle est. Elle va chercher sa fille, fait la conversation avec ceux qui ont gardé un oeil sur elle, et s’obstine à laisser Atlas de côté pour mener son bout de chemin sans plus rien espérer de la nuit qui se profile qu’un peu de sommeil et de tranquillité.

Claudia est parfaite, comme à son habitude. Elle pose des questions, mais elles sont légitimes, alors Alma y répond avec douceur et patience avant de s’attaquer à une histoire qu’elle ne trouve pas dans les livres que la petite a apportés avec elle. Son espagnol murmuré rempli le bureau qu’Atlas a déserté. C’est une berceuse pour la gamine qui a demandé après son papa, bien sûr, mais qui a vite capitulé sous le ton mélodieux de la voix de sa maman qui l’a regardée longtemps avant de quitter son lit de camp en l’embrassant sur le front. Elle ne l’aime jamais plus que quand elle dort, c’est cruel, mais c’est une vérité dans laquelle elle se repaît sans délai, s’allongeant sur le canapé qu’elle a rejoint après avoir passé une tenue plus adaptée pour la nuit. Au bout d’un moment, elle empoigne son téléphone pour regarder ce qu’il se dit sur l’incendie, ignore les notifications qui viennent de Theo avec qui le dernier échange a suffisamment été houleux pour qu’elle ne veuille pas savoir où il en est de son trajet, lequel terminera sa course ici, à la base, où il viendra s’assurer par lui-même que sa femme et sa fille vont bien.

Cette idée la fait grogner en même temps que la porte s’ouvre, et qu’elle voit Atlas au seuil. Interdite, elle marque une pause aussi bien physique que mentale. Son attention est soudainement redistribuée, et elle qui a fait en sorte de ne pas penser à leur conversation au cours des dernières heures qu’elle a passé seule avec sa fille, voit ses espoirs renaître, et son coeur se mettre à tambouriner dans sa poitrine ; c’est à ce moment-là qu’elle reçoit un nouveau message de son mari qu’elle lit pendant que Maverick se met à son aise, et qu’Atlas s’approche du canapé. Elle sent sa chaleur l’atteindre alors qu’il est toujours debout, c’est assez pour qu’elle se soustrait à son écran qu’elle éteint pour mieux poser son téléphone sur une petite table qu’elle trouve en tendant le bras par l’arrière, son corps basculant sur le côté pour laisser une place au jeune homme qui se coule à ses côtés. Tout ça pour ça, pense-t-elle, non sans être ravie de sa présence qui pèse sur elle comme la douceur d’une couverture, ses jambes épousant la courbe des siennes, son bras trouvant ses hanches qu’elle creuse pour que son dos se moule contre son ventre qu’elle sent se gonfler sous sa respiration ; et ses lèvres qu’elle sent contre sa peau qui se parsème instantanément de frissons qui décuplent lorsqu’il lui parle à l’oreille pour lui confirmer quelque chose qu’elle sait déjà, mais qu’elle avait besoin d’entendre au point de pouvoir se contenter de ça pour trouver le sommeil : toi aussi, tu me manques "Je sais." s’autorise-t-elle à murmurer en retour, n’hésitant pas de son côté à intercaler ses doigts entre les siens pour guider sa main qu’elle pose sur son ventre pour qu’il sente que ça la ronge à cet endroit, d’en avoir une pleine conscience, mais de ne rien pouvoir y faire, sans que les répercussions ne soient désastreuses pour tous les deux.

rp terminé.


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