ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
TW IN RP : normalement indiqué dans les posts concernés GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : #9999cc RPs EN COURS :
☆ IZEN #13 + (when the sun shine, we shine together told you I'll be here forever Said I'll always be your friend) ~ #1 + #2 + #3 + #4 + #5 + #6 + #7 + #8 + #9 + #10 + #11 + #12
☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
☆ HELIVE #4 + (no longer waiting, remove illusions, no more complaining, forget confusion. No more compassion, not sentimental, I am now something experimental) ~ #1 + #2 + #3
last christmas, i gave you my heart crédits/ audreys-hepburn & selenamgifs @Alyson Cartwright12/2024 - maison des cartwright
L'appréhension est à son apogée quand Helen arrive devant la maison de ses parents ; son bras ne lui permet toujours pas de conduire seule, et elle n'est même pas certaine de tenir à le faire, alors c'est en taxi qu'elle est venue. Sa mère lui a bien proposé d'aller la chercher, mais elle a préféré se débrouiller seule ; voyez ici le début d'un processus, d'une véritable indépendance qu'elle cherche à obtenir petit à petit. Moins elle va demander à ses parents, moins ils pourront lui en demander en retour. En tout cas, c'est ainsi qu'elle voit les choses, et elle compte s'y tenir, la chirurgienne blessée. Armée de ses sacs qui débordent de cadeaux, la jeune femme pénètre chez ses parents sans même prendre la peine de sonner ou de frapper. Néanmoins, en s'engouffrant dans l'entrée de leur demeure toujours soigneusement rangée, elle s'annonce évidemment : « Maman, je suis arrivée ! » Elle appréhende le moment où ses parents vont lui demander où est Sam, mais elle inspire un bon coup : c'est aujourd'hui qu'elle compte leur annoncer la nouvelle de son divorce. Il existe meilleur jour, elle en a bien conscience, mais Helen en a marre de mentir depuis des semaines et des semaines ; elle ne comprend pas encore comment ils ont fait pour ne pas comprendre d'eux-mêmes, avec son accident et tout ça, ils n'ont absolument rien remarqué de son absence ? c'est gros, faut bien l'avouer. « Je suis dans la cuisine avec ta sœur ! » s'exclame-t-elle, alors Helen se prépare. Il lui faut affronter ses parents, et la présence d'Alyson risque d'être un soutien, n'est-ce pas ? Les deux femmes se sont rapprochés, dernièrement, alors il n'y a pas de raison pour qu'elle l'enfonce, elle aussi ? Elle peut bien y croire, Helen ? En arrivant dans la cuisine, la brune vient déposer une bise sur la joue de sa mère, puis elle vient oser en faire une également à sa petite sœur, bien que ce ne soit pas nécessairement dans leurs habitudes. Sa mère la jauge aussitôt lorsqu'elle arrête de s'affairer derrière les fourneaux et l'analyse en plissant les yeux : « Tu ne portes pas de robe ? » Instinctivement, Helen observe sa propre tenue qu'elle a déjà oublié, puisqu'à ses yeux, c'est vraiment pas le plus important ce soir. Elle a enfilé quelque chose de beaucoup plus confortable qu'une robe et, à raison, puisqu'elle est incapable de glisser ses jambes dans un collant toute seule avec son bras en écharpe. « Non, je n'arrive pas à enfiler mes collants... je te rappelle que j'ai eu un accident, et que j'ai le bras en écharpe. Ca te plait pas, mon pull et mon legging ? » Helen n'est pas non plus habillée comme une pouilleuse, c'en devient vexant ce regard dubitatif. La soirée promet, vraiment. Soucieuse d'avoir le soutien de sa sœur, plus que jamais, Helen se tourne vers Alyson pour lui demander : « Tu en penses quoi ? Je crains autant que ce que laisse entendre le regard de maman ? » - « Mais enfin Hel, qu'est-ce que tu racontes... c'est juste que tu es très jolie en robe, et je suis surprise que Sam t'ait laissé sortir comme ça, c'est tout. » Et voilà, l'infidèle est cité, ce sont les débuts des hostilités. « D'ailleurs, il est où ? Il arrive plus tard ? » Il n'a aucune raison d'arriver plus tard, mais il faut bien justifier pourquoi elle voit Helen, mais pas son mari en ce jour important de fêtes. Son père n'est pas là, alors la chirurgienne n'a pas envie de dévoiler la vérité maintenant : l'histoire, elle veut la raconter qu'une seule fois, et c'est tout. Alors elle murmure en soufflant presque : « On va dire ça... » Elle n'est pas convaincue, pas convaincante, mais mentir, ça la fatigue beaucoup trop, désormais.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.
Alyson Cartwright
le mouton noir
ÂGE : 32 ans (22/07/1992) SURNOM : Aly' ou Al' STATUT : célibataire et c'est très bien comme ça, c'est suffisamment le bordel dans sa tête pour y rajouter une histoire de coeur. MÉTIER : Community Manager de l'association Manzili & auteure de new romance (le premier livre a été un succès & le peuple attend le deuxième tome) LOGEMENT : #69 Kurilpa street à West end avec Jafar (le chat noir psychopathe) POSTS : 560 POINTS : 560
TW IN RP : grossiereté, tca, secrets de famille TW IRL : NCGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Demi finaliste Desserts Master Australia édition 2023 ◦ Auteure de New Romance qui bloque sur le deuxième tome de son roman à succès ◦ team petite ◦ têtue, dramaqueen, souriante, séductrice, malicieuse, fêtarde ◦ maman de Jafar le chat noir psychopathe ◦ bisexuelle assumée ◦ des TCA pas vraiment en sommeil, elle mange ses émotions ◦ Boxe & zumba, une vrai addictionCODE COULEUR : Aly dramatise en MediumPurple ( #9370DB ) RPs EN COURS : (02)Alyen#2 ◦ Mando#1 ◦ Alyen#3 ◦ Alyzan#2 ◦
Izan ◦ j’ai le pouvoir d'exaucer tes prières, je suis garanti, diplômé, certifié, tu as un génie comme chargé d’affaires. moi je te soutiendrai, je t'appuierai, quel est ton voeu, dis-moi, quel est ton souhait ? t’as déjà fait ta liste ? ok, banco, frotte-toi les mains, ...#1 › #2 ›
last christmas, i gave you my heart crédit/ haydenpanettieresgifs @Helen Stenfield ☆ Alyson
Nullement besoin de posséder des pouvoirs de divination pour savoir que cette journée allait être tendue. Déjà parce que n’importe quelle journée chez les parents était toujours source de stress pour moi. J’étais tellement paradoxale entre mon envie de m’éloigner à tout prix de cette famille et pourtant, je ne pouvais pas me résoudre à éviter ces repas familiaux, pourtant source de nombreuses angoisses. Mais je ne pouvais pas m’y soustraire cette année, surtout que les choses s’étaient un peu apaisées avec Helen. Et comme c’était noël, j’avais décidé d’essayer de ne pas énerver nos parents cette année … du moins, le temps du repas ! J’avais donc passé une grande partie de mon 24 décembre à faire une Pavlova que j’avais apporté à la maison familiale. Ma mère semblait plutôt contente et mon père s’était contenté de déposer une baiser sur ma joue avant de me faire remarquer que j’aurais pu faire un dessert plus light parce qu’il y avait déjà beaucoup trop à manger. Surtout ne pas s’en formaliser, ne pas répondre, ne pas s’énerver, ça lui ferait trop plaisir …
Le temps me paraissait interminable. C’est quand qu’Helen allait se décider à arriver ? Non parce que je ne me sentais pas à l’aise, ni dans mon élément avec nos deux parents … Je pousse presque un soupir de soulagement en attendant la voix de ma sœur aînée qui pénètre dans la demeure familiale. « Maman, je suis arrivée ! » - « Je suis dans la cuisine avec ta sœur ! » a répondu maman alors que je suis occupée à décorer quelques petits amuse-gueules qui vont passer au four. Helen finit par entrer dans la cuisine pour nous saluer et nous embrasser. Je suis la première surprise mais ne cille pas et me contente de lui adresser un timide sourire, soulagée que les choses soient restées, apaiser entre nous.
« Tu ne portes pas de robe ? » La voix sévère de ma mère – et sûrement son regard réprobateur, je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir qu’elle la regarde sévèrement – me faire rouler des yeux. Sérieusement ? Elle attaque maintenant ? « Non, je n'arrive pas à enfiler mes collants... je te rappelle que j'ai eu un accident, et que j'ai le bras en écharpe. Ca te plait pas, mon pull et mon legging ? » J’en profite pour mettre mon plat dans le four puis je me tourne vers ma mère et Helen, qui, justement, s’adresse – ou plutôt cherche du soutien auprès de moi. « Tu en penses quoi ? Je crains autant que ce que laisse entendre le regard de maman ? » Non bien sûr que non, son look ne craint pas et j’allais justement le dire quand notre mère nous interrompt. « Mais enfin Hel, qu'est-ce que tu racontes... c'est juste que tu es très jolie en robe, et je suis surprise que Sam t'ait laissé sortir comme ça, c'est tout. » Mes yeux s’écarquillent comme des billes. « D'ailleurs, il est où ? Il arrive plus tard ? » Je ne laisse pas à mon aînée le temps de répondre que je rebondis immédiatement, ulcérée d’entendre ce genre de discours. Un discours d’un autre temps ! « Non mais attends maman, on est pas à un défilé de mode, elle s’habille comme elle veut Helen. » ne puis-je m’empêcher de dire en jetant un coup d’œil à ma sœur, « Et à quel moment c’est un homme qui décide comment elle s’habille ? » interrogeais-je sans attendre réellement de réponse, de réponse valable en tout cas. « Tu peux pas être juste – je sais pas moi – heureuse qu’elle soit parmi nous ? Elle a eu un très gros accident et toi, la seule chose qui te chagrine, c’est sa tenue ? » L’étonnement se lisait sur le visage de la matriarche. C’est surtout qu’elle – et personne dans la famille d’ailleurs – n’avait l’habitude de nous voir nous serrer les coudes avec Helen. « Et depuis quand vous êtes du même côté toutes les deux ? » nous interrogea notre mère tandis que je prenais le bras de la brunette pour la guider vers le salon. « C’est pas une question d’être du même côté, » éludais-je la question, « C’est qu’elle arrive à peine, elle est crevée et toi, yu lui sautes dessus. Le plus important, c’est pas Sam, c’est elle. » Surtout pas ce con de Sam !! « Aller viens, je te sers un verre de vin et si Sam est pas là, tant pis pour lui … » dis-je suffisamment fort pour que notre mère m’entende. « Et à mon avis, un verre sera pas suffisant pour supporter cette journée. » lui confiais-je à l’oreille en gloussant tout en apercevant notre père, verre de whiski à la main.
I can buy myself flowers
Write my name in the sand, Talk to myself for hours, Say things you don't understand. I can take myself dancing and I can hold my own hand ( ☽☽ )
Helen Stenfield
la mécanique du cœur
ÂGE : trente-trois ans, presque trente-quatre (trente-et-un décembre 90) SURNOM : Izan s'est octroyé le droit de l'appeler "Mini-pouce" STATUT : séparée définitivement de Sam ; son cœur n'est plus un cœur à prendre, Helen est tombée amoureuse de Yasmin. MÉTIER : chirurgienne orthopédiste, mais envisage de démissionner depuis que sa vie est le chaos le plus total. LOGEMENT : #587 wellington street, bayside, depuis qu'Izan lui a donné son appartement POSTS : 1860 POINTS : 520
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☆ YASMEN #4 + (i can't wait to see your face, crash when we're switching lanes, but if i miss the brake, we're dancing in the flames, it's indescribable) ~ #1 + #2 + #3
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last christmas, i gave you my heart crédits/ audreys-hepburn & selenamgifs @Alyson Cartwright12/2024 - maison des cartwright
Contredire ses parents, ça ne sert généralement à rien. Contredire sa mère, qui pense comme dans l'ancien temps, ça ne sert généralement à rien non plus, puisque sa génétrice est persuadée d'avoir raison, et que tout le monde autour d'elle à tort. Ces moments sont toujours très frustrants, parce qu'elle aimerait sincèrement que sa mère comprenne qu'elle a eu un accident, la chirurgienne, et que cela a eu un impact sur sa vie, qu'elle le souhaite ou non. Helen trouve ça affligeant, que sa mère la rouspète parce qu'elle ne porte pas de robe somptueuse pour fêter Noël. Elle n'arrive pas non plus en pyjama, la brune a tenté de faire un effort dans le choix de son pull pailleté, puisqu'elle avait déjà anticipé ce genre de commentaires de la bouche de sa mère. Et puis, merde, non ? Elle fait ce qu'elle veut, aussi ? « Non mais attends maman, on est pas à un défilé de mode, elle s’habille comme elle veut Helen. » Elle le cherche, le soutien d'Aly, et elle est soulagée de constater qu'elle finit par lui offrir. Depuis son accident, les choses se sont littéralement apaisées entre elles, et ça a un côté soulageant. « Et à quel moment c’est un homme qui décide comment elle s’habille ? » C'est bien vrai ça, d'ailleurs. « Tu peux pas être juste – je sais pas moi – heureuse qu’elle soit parmi nous ? Elle a eu un très gros accident et toi, la seule chose qui te chagrine, c’est sa tenue ? » Ses mots la touchent, puisqu'ils sont très justement choisis. Helen aimerait sincèrement que sa mère ait la décence de réfléchir de la même manière qu'Alyson, mais ça semble être peine perdue, comme elle s'y attendait. « Et depuis quand vous êtes du même côté toutes les deux ? » Un soupir discret s'échappe des lèvres de la brune avant que sa cadette ne vienne s'emparer de son bras libre. « C’est pas une question d’être du même côté. C’est qu’elle arrive à peine, elle est crevée et toi, tu lui sautes dessus. Le plus important, c’est pas Sam, c’est elle. » A cet instant, Helen a très envie de serrer sa soeur dans ses bras. Elle ne compte pas le faire, et surtout pas devant ses parents qui n'y comprendraient rien... « Aller viens, je te sers un verre de vin et si Sam est pas là, tant pis pour lui … Et à mon avis, un verre sera pas suffisant pour supporter cette journée. » Elle apprécie de pouvoir s'éclipser de la cuisine, loin de leur mère qui marmonne des mots incompréhensibles devant ses petits fours. « J'appréhendais cette journée, mais je crois que je ne suis pas vraiment prête pour ce qui m'attend... » Souffle-t-elle à l'oreille de sa sœur en retour, pour ne pas que son père n'entende à son tour quelque chose qui ne lui plaise guère et qu'il se mette à son tour à sortir des paroles blessantes et vexantes. C'est pourquoi, Helen invite Alyson à poursuivre leur route jusqu'au canapé le plus éloigné de leur paternel, qui est pour le moment occupé à regarder la télévision. Sur la table basse devant elles se trouve tout un tas de bonnes choses à manger, le début des festivités vient d'être marqué par un amuse-gueule qu'Helen se fourre dans la bouche. « Pas trop de vin, c'est pas super compatible avec mes médicaments... mais si tu ne me sers pas, c'est papa qui va s'y mettre... si on peut éviter un nouveau drame.» L'objectif de ce soir : éviter les conflits, avant de passer aux aveux de son divorce. « Merci, pour tout à l'heure avec maman d'ailleurs... j'apprécie. » C'est rare, les témoignages d'affection et d'entente entre elles, mais Helen ne trouve pas ça désagréable, au fond. « C'est peut-être pas le meilleur moment mais... je comptais annoncer aux parents, pour Sam et moi... ça fait trop longtemps que j'attends. » Six mois, quand même. Six mois où ils ne se sont aperçus de rien non plus, faut dire.
it's gonna be weeks 'til I breathe again
Call me anytime you can see the lightning, don't you be alone, you can always find me, we've got our wild love raging, raging. Lost among a million changing faces, every day our eyes keep trading places, we've got our wild love raging, raging.