tw : Violences infantiles

Ce soir-là, John avait emprunté certaines armes dans le stock du Club afin de pouvoir s'entraîner toute la fin de l'après-midi au stand de tir de l'organisation afin de tester de nouvelles armes. A chaque séance, John s'assurait ainsi qu'il ne perdait aucune de ces capacités en tir et notamment sa vision qui lui avait fait gravir les échelons les uns après les autres, jusqu'à devenir le responsable du trafic d'armes du Club. Puis il était revenu en soirée pour rapporter les armes testées, seulement convaincu par l'un des pistolets afin qu'il le rachète pour venir compléter par la suite la collection qu'il détenait illégalement à son appartement. Une fois cela fait, il verrouilla le local à clef avant de se rendre compte de la poudre restante sur ses mains et certainement sur une partie de son visage alors il fila dans les vestiaires du casino qui était réservés aux personnes du Club. Il avait passé pas loin d'une dizaine de minutes sous l'eau chaude, laissant les gouttes d'eau ruisselaient de ses bouclettes brunes jusqu'à descendre le long de son torse musclé. Les gouttes d'eaux effleurant les stigmates de cicatrices qu'il avait reçus lors de tragiques accidents au cours de sa vie, comme celle balle qui l'avait reçu dans l'épaule juste au-dessus de son cœur, ou encore ce coup de couteau qu'il avait reçu à l'abdomen lorsqu'il avait voulu protéger sa soeur d'une agression de trois jeunes délinquants. John avait déjà affronté la mort à plusieurs reprises, y compris dans sa plus tendre enfance, et il avait malheureusement tendance à penser qu'il était parfois invincible. Mais depuis la fin d'année qu'il avait vécu, il savait que cela était faux. Spécialement depuis qu'il avait revu son amour d'enfance et qu'elle lui avait appris qu'il avait eu une fille qu'il ne pourrait jamais rencontrer. Cela avait révélé une vulnérabilité en lui qu'il n'avait jamais aperçu auparavant, plus depuis qu'il s'était renfermé sur lui-même à l'âge de 5 ans. Un moment de son enfance où il s'était créé cette carapace pour encaisser tous les coups que voulait leur porter cet homme qui se disait pourtant être une famille d'accueil. Déversant tout sa colère afin de faire ressortir les terribles démons qui semblait l'habiter à se défouler sur des êtres sans défenses. Il s'était alors bloqué devant sa sœur afin de la protéger et il avait provoqué volontairement cet homme pour qu'il en détourne son attention et se concentre uniquement sur lui jusqu'à lui laisser la trace de cicatrices de coups de ceinture reçus dans le dos en de multiples lacérations. Cette carapace qui remontait à plus de trente ans désormais s'était alors fissuré le mois dernier, lui montrant à lui-même qu'il était certainement beaucoup plus profond que le gros dur dont il voulait laisser l'image s'imprimer dans le regard des autres à chaque rencontre.

John avait fini de s'essuyer et de se changer avant de ressortir dans le couloir pour retourner vers le casino, prêt à rentrer chez lui par la suite, avant de s'arrêter lorsqu'il observa une femme complètement obnubilée par son téléphone qui se dirigeait dans sa direction sans même l'avoir remarqué. Il inclina légèrement la tête pour la suivre du regard jusqu'à ce qu'elle vienne littéralement se cogner tout contre lui. Il la laissa relever la tête vers lui jusqu'à croiser son regard bleu intense qui le dévisagea. "Je suis désolée, j’avais la tête ailleurs." S'excusa-t-elle avec un timbre de voix qui troubla John, un léger accent qui semblait lui rappeler une certaine mélodie dans le creux de ses oreilles. "Rude nuit, hm." Elle venait de ranger son téléphone avant de s'adresser de nouveau à lui alors que John fronça légèrement les sourcils. "La mine qui broie du noir est génétique ou est-ce une image de marque ?" lui demanda-t-elle finalement alors qu'elle devait remarquer sa mine fermée et à moitié perdue ailleurs dans un triste souvenir qu'elle ne pouvait qu'ignorer. Se sentant compte de cela, il laissa alors les traits de son visage se détendre afin de lui adresser un sourire léger. "En général, il est préférable de ne pas se fier aux apparences. En ce qui me concerne, je préfère creuser sous la surface avant d'émettre le moindre jugement..."  John la toisa légèrement du regard tout en se demandant ce qu'elle pouvait bien faire par ici, étant donné qu'il était persuadé ne l'avoir jamais croisé. Elle ne devait donc pas faire partie du Club et n'avait absolument rien à faire dans ce couloir. "Dans tous les cas, ce n'est pas par là que vous trouverez ce que vous chercher... Je vous raccompagne ?" John lui indiqua du menton la direction d'où elle venait afin de lui faire comprendre gentiment de ne pas continuer sa route mais plutôt de faire demi-tour alors qu'il s'assurerait de rester à ses côtés jusqu'à ce qu'elle ressorte d'ici.

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John avait observé cette femme qui ne l'avait pas remarqué et qui lui avait littéralement foncé dessus sans s'en rendre compte au beau milieu du couloir, tellement elle semblait absorbée par son téléphone. Puis, après une rapide excuse, elle lui posa une question sur l'origine de sa mine sombre et fermée avant que John ne lui précise qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, et que lui préférait creuser sous la surface avant d'émettre le moindre jugement. "Oh, je n’ai pas jugé." lui répondit-elle pour se défendre alors que John prit un air dubitatif. "J’ai posé une question pour déterminer un fait. Nuance." John plissa légèrement les yeux alors qu'il gardait un sourire en coin. "Vous semblez vouloir jouer sur les mots... Dans ce cas, je dirais que la question était plutôt là pour déterminer l'origine de l'expression de mon visage. Alors que "la mine qui broie du noir" est pour moi un premier jugement... Mais je ne vous en veux pas. Par contre on dit que la première impression est la bonne surtout quand elle est mauvaise... c'est dommage pour moi" Il roula légèrement des yeux comme s'il était déçu et offusqué d'avoir fait cette impression à la femme qui se dressait encore devant lui. Alors qu'il arborait un léger sourire pour indiquer qu'il prenait clairement cela pour de l'amusement, ne manquant aucunement d'autodérision sur sa personne. Puis John lui proposa de la raccompagner car il était persuadé qu'elle ne trouverait pas ce qu'elle recherchait en continuant par ici. "Ouh, quel air mystérieux. Je devrais en conclure que j’arrive à la zone à ne pas franchir ?" lui demanda-t-elle dans un léger air théâtral qui amusa particulièrement John. "Effectivement, je ne peux que vous conseiller de suivre ma proposition de faire demi-tour..." répondit-il d'un air qu'il voulu volontairement énigmatique. "Et comment savez-vous ce que je cherche ? En tout cas si c’est la discrétion que vous recherchez, essayez de passer un mot aux escorts qui imprègnent les lieux. Toute femme de mon âge, qui porte une robe haute couture et des escarpins à talons, n’est pas nécessairement à la recherche d’un gigolo." Si elle semblait sérieuse dans ses propos, visiblement tenue à son apparence et au jugement qu'il pourrait avoir à son effigie, cela ne manqua pas de faire rire légèrement John. "Dommage, moi qui venais juste de finir mon service..." plaisanta-t-il avec une mine enjouée, sous-entendant qu'il était un gigolo à la recherche d'une nouvelle cliente, avant qu'il ne reprenne finalement un air plus sérieux. "J'ai peut-être la tête d'un chien de garde ou d'un gigolo suivant ce que vous préférez... Mais en réalité, pour vous répondre, je suis juste observateur..." John ne la quittait pas du regard tout le temps qu'il s'adressait à elle, quelque peu absorbé par ces magnifiques yeux bleus. "Je vous ais observé me foncer dedans comme si rien autour de vous n'existait. Et vous étiez la tête fixée sur votre portable sans être en train de parler, ni en train de taper un message. Alors j'en ai juste déduit que vous cherchiez du réseau. C'est l'hypothèse qui me semble le plus probable et je vous confirme que ce n'est pas en allant dans cette direction que vous en trouverez davantage" Il la toisa légèrement en retour, la défiant quelque part de casser son esprit très cartésien, avant de prendre un léger temps pour la regarder de haut en bas pour finalement relever les yeux vers elle. Et si elle pensait l'avoir grillé à l'observer elle était loin d'être au bout de ses surprises avec lui "Mais si vous y tenez tellement, poursuivez votre chemin, vous allez tomber sur le vestiaire et les douches des hommes. En revanche, je ne peux décemment pas vous laissez y aller dans cette tenue toute seule. Je m'en voudrais trop s'il vous arrivait quoi que ce soit... Alors qu'est-ce qu'on fait ?" Il la regarda en la laissant choisir dans quelle direction elle préférait qu'il la raccompagne

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"Croyez moi, si je voulais jouer sur les mots comme vous dites, vous le sentirez à peine." Sa répartie faisait sourire John. Ainsi elle se sentait à l'aise à jouer avec les mots. Il se complaisait alors à l'imaginer enseignante ou peut-être avocate. "Donc, encore une fois, ce n’était pas un jugement, et encore moins une raison suffisante pour se faire une impression." ajouta-t-elle pour lui préciser au passage qu'il n'avait pas encore totalement gâché la première impression qu'elle pourrait se faire de lui. "C'est noté, je suis ravi de constater que j'ai encore une chance de faire une bonne impression alors..." John ne souhaitait pas confronter la femme qui se tenait devant lui à cet instant, cependant il ne pouvait pas la laisser aller plus loin et il lui proposa donc de la raccompagner à moins qu'elle ne préfère poursuivre sa route jusqu'aux vestiaires masculins qui se trouvaient dans son dos. Cependant, il ne la laisserait pas y aller seule, de peur qu'il puisse lui arriver quelque chose. "Il n’y a rien qui puisse m’arriver, mais rien qu’à imaginer l’état des lieux et le surplus de testostérone mal placé… Ew." Le dégoût de la situation qu'elle ressentait était perceptible et cela l'amusa une fois de plus. Nul doute qu'il avait visé juste pour qu'elle fasse gentiment demi-tour afin de sortir de cette zone réservée aux personnes autorisées. Cependant, il la trouvait un peu trop sûre d'elle malgré tout. Car si lui restait pacifique, ce n'était pas le cas de tous les types qu'il fréquentait au sein de l'organisation. Cependant la femme, dont il ignorait encore le nom, ne semblait pas presser de bouger, au contraire même elle avança un peu vers lui. "Hm, qu’est-ce qu’on fait… bonne question." John restait impassible devant l'air réfléchit qu'elle avait pris, se demandant bien ce qui pouvait bien passer par la tête d'un petit bout de femme comme elle. "Vu que l’opportunité s’y prête bien, déjà, je peux commencer par vous donner quelques conseils." "Des conseils ?" John haussa légèrement un sourcil en prenant un air dubitatif. Quel genre de conseils pourrait-elle bien lui donner sachant qu'elle ne le connaissait même pas. "Un, je n’aime ni me répéter ni recevoir des ordres." Elle avait fait un pas en avant vers lui et John en avait fait de même juste avant de lui répondre "Vous me paraissez bien directive pour ne pas apprécier de recevoir des ordres. L'égalité de traitement vous connaissez ?" Elle avait fait un nouveau pas vers lui, ne voulant visiblement pas lui céder de terrain. "Deux, comme vous le dites si bien, il est préférable de ne pas juger, et c’est ce que vous faites depuis le début. C’est un peu hypocrite." John avança également à nouveau vers elle pour l'imiter "Je n'ai pas jugé, j'ai juste déterminé des faits. Nuance" John avait gardé en tête la réponse qu'elle lui avait donné lorsqu'il lui avait dit la même chose en début de conversation, s'occupant juste de lui ressortir ses propres mots au moment adéquat. Il apprenait vite, très vite. "Et dire que je suis hypocrite, ce n'est toujours pas un jugement je pari ?" Un sourire malicieux se dessina alors sur son visage alors qu'elle fit à nouveau un pas vers lui juste avant que John en fasse de même, finissant ainsi de se trouver l'un en face de l'autre, séparé de seulement quelques centimètres en entrant incontestablement dans la bulle de l'autre pour aller au bout de leurs provocations respectives. "Trois, si vous êtes vraiment un gigolo, songez à une reconversion. C’est dommage de gâcher son potentiel pour si peu." John inclina la tête sur le côté sans la quitter du regard "Je vais vous rassurer... Je ne suis pas aussi facile à dompter qu'un gigolo" Un air de défi dans le regard, il se régalait de cette tension qu'il sentait s'installer doucement entre eux. Quelque chose d'hypnotique et d'électrique qui lui plaisait et qui mettait tout son corps en éveil. "Et je peux savoir dans quel domaine vous me verriez bien me reconvertir afin de pouvoir exploiter tout mon potentiel ?" Un nouveau sourire malicieux prit place sur son visage alors que son regard montrait toute la curiosité qu'il pouvait bien ressentir pour sa prochaine réponse. "Monsieur Perspicace peut-il me dire où je peux trouver du réseau maintenant ?" John rigola légèrement à sa question tout en observant le sourire joueur de celle qui lui tenait tête. Alors qu'il gardait ses yeux plongé dans les deux opales qui le détaillait "Monsieur Perspicace dirait que vu qu'il y a un panneau à l'entrée du casino qui dit que tout réseau est brouillé à l'intérieur de l'établissement afin d'éviter toute forme de triche possible. Il suffit donc d'aller à l'extérieur... Alors ? Je vous raccompagne ?" C'était à son tour de lui adresser un sourire joueur, persuadé d'avoir gagné le bras de fer qu'elle avait essayé d'initier avec lui.

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"L’égalité de traitement se mérite, comme beaucoup de choses dans la vie d’ailleurs." lui répondit du tac-au-tac, la femme qui se dressait devant John et qui ne manquait clairement pas d'assurance."Effectivement, mais personne n'est supérieur aux autres par défaut non plus..." lui répondit aussitôt John comme pour casser un certain ton hautain qui semblait de dégager d'elle. Elle avait beau être bien habillée et certainement faire partie de la haute société pour participer à une "party" au sein du casino, cela ne voulait pas dire qu'elle devait prendre les autres de haut pour autant, et notamment ceux davantage issue de la rue comme lui quelque part. Dans tous les cas, il ne lâcherait pas une once de terrain face à elle, lui aussi savait jouer et utiliser les mots à bon escient pour faire passer des messages. Ce n'est pas parce qu'il était tout en muscle qu'il n'avait absolument rien dans le cerveau. C'est d'ailleurs ce qui l'avait aidé à gravir les échelons dans l'organisation au fur et à mesure. "Je n’ai pas jugé, j’ai juste déterminé des faits. Pas vrai ?" John sourit à sa réplique "On peut continuer longtemps comme ça mais on n'est pas couché... Alors autant que je vous raccompagne directement chez vous..." Si elle cherchait à le déstabiliser, il avait aussi quelques atouts dans sa manche pour essayer de lui faire perdre pied en changeant totalement de sujet pour dériver vers un terrain plus glissant afin de la tester également et voir ses réactions qu'il espère outrée. En tout cas, il voulait lui faire passer le message qu'elle n'arriverait pas à le dompter aussi facilement que cela. "Oh, sweetie. Aucun homme n’est facile à dompter… Jusqu’au jour où ils le sont." Son accent le troublait fortement, lui rappelant celui de Lily, mais il ne voulait pas lui montrer cela pour autant, essayant de rester droit devant elle. "Peut-être... mais la joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté..." John laissa ses propos en suspens afin de les laisser s'imprégner dans l'esprit de son interlocutrice, alors qu'il se voulait philosophe en citant Sigmund Freud afin de lui faire comprendre qu'apprendre à dompter l'autre n'était pas une fin en soit mais qu'on éprouvait bien plus de plaisir à s'accepter l'un l'autre tel que l'on pouvait être plutôt que de chercher à manipuler autrui.

Cependant, après avoir avoué ne pas être un simple gigolo, John lui demanda dans quel métier elle le voyait bien exploiter tout son potentiel. "Détective peut-être. Vous semblez avoir un sens de logique et un enchaînement rationnel de pensées." John fit une légère moue, appréciant les qualités qu'elle avait énuméré, bien plus que la proposition de vocation qu'elle lui indiquait. "D’autant plus que si vous venez avec la paire de menottes qui servira à vous attacher, vous gagnerez bien plus de points aux yeux de ces dames qu’un gigolo." Sa dernière phrase le fit largement sourire. "Dois-je lire dans vos propos l'aveu d'un fantasme inassouvi ?" John en rigola légèrement pour la provoquer toujours plus dans une réplique qui se voulait volontairement grivoise. "Quel est votre métier ici exactement ? " lui demanda-t-elle ensuite, visiblement piqué au vif dans sa curiosité à son égard, certainement surpris par sa répartie et ses traits d'esprit bien éloigné du physique de colosse qu'il pouvait dégager à première vue. "Celui qui vous fera plaisir... Il parait qu'il n'y a pas meilleur stimuli que l'imaginaire..." D'un sourire, John avait bien l'intention de rester mystérieux ce soir face à ce personnage haut en couleur qui essayait de lui tenir tête alors qu'elle lui avait elle-même foncé dedans tête baissée. Mais visiblement elle ne semblait pas spécialement réceptive à ces allusions, s'inquiétant davantage de l'endroit où elle pourrait retrouver du réseau pour son téléphone, John lui précisa alors qu'il était normal de ne pas en trouver à l'intérieur de l'établissement. "S’il y a un panneau, il est très bien caché. Vous avez d’ailleurs une trentaine de supposés influenceurs sur les bras ce soir. Mon hypothèse, c’est que s’ils ne sont pas en mesure de commencer à poster le contenu de leur soirée grandiose bientôt, vous risquez d’avoir plus à gérer que votre histoire de vestiaires sales." "Me voilà concierge désormais ? J'aurais pensé que vous aviez plus d'imagination que cela... Et si cette trentaine d'influenceurs passent une soirée grandiose, ils devraient apprendre à se contenter de l'instant présent plutôt que de chercher toujours plus de superflu et de paillettes avec de tels futilités que leurs réseaux sociaux, vous ne pensez pas ?" C'était une question tout à fait rhétorique qui n'attendait pas spécialement de réponse de sa part. "Merci pour la proposition, mais c’est inutile." lui répondit-elle finalement alors qu'il lui proposait de la raccompagner vers l'extérieur. John se contenta alors de hausser les épaules tout en tournant les mains vers le plafond en signe de reddition. Après tout, si elle souhaitait partir toute seule, c'était son choix et il le respectait. "Au fait, moi c'est John..." se contenta-t-il de lui révéler avant qu'elle ne s'éloigne.

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