(noah) lucky strike

(#)Mar 07 Jan 2025, 22:39

NOAH EATON

Take a dirty picture, babe
I can't sleep and I miss your face.

Pièce d'identité

NOM ≈ Eaton, nom partagé avec un grand frère et une grande soeur aux carrières aussi éclectiques que la tienne, donnant une réputation haute en couleur à ta famille, chose qui ne manque jamais de te faire plaisir. PRÉNOM(S) ≈ Noah, un prénom typiquement masculin qui t'a valu des airs de surprises sur les visages de tous tes enseignants chaque fois que tu levais la main pour répondre "présente". Un prénom qui se répand désormais au sein des différentes communnautés queer de l'Australie, autant pour ta musique que ton implication au sein de cette dernière. ÂGE ≈ Vingt-neuf ans, la trentaine en approche, rien qui ne t'énerve vraiment, si ce n'est que tu espères voir, dans la prochaine décennie, ton nom et ta musique prendre davantage d'extension. LIEU DE NAISSANCE ≈ Cygnet, une toute petite ville en Tasmanie reconnue pour son charme bohème et ses galeries d'art en tout genre. Un endroit qui a grandement influé la manière dont tu as grandi et l'importance que tu apportes à l'art sous toutes ses formes. STATUT SOCIAL ≈ Officiellement célibataire, officieusement pas contre l'idée de passer de plus en plus de nuits dans le lit de Marceline. MÉTIER ≈ Chanteuse indie avec plusieurs EP à ton actif, tu connais une montée en popularité après qu'un de tes singles ait été dans une série populaire. Actrice à tes heures, activiste dans la communauté queer, tu aimes te rendre utile autant que tu aimes t'éparpiller un peu partout. En apparence, du moins. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Lesbienne fière et assumée. Il n'y a jamais eu que le corps des femmes et leurs douceurs pour faire réagir le tien. GROUPE ≈ 30 ans sinon rien AVATAR CHOISI ≈ La pétillante Phoebe Bridgers CREDITS GIFS ≈ lifedomain@tumblr.

Les informations en vrac

tw. intimidation, trouble obsessionnel compulsif, suicide d'un proche.

(flower farm) Grandir sur la ferme à fleurs la plus populaire de la Tasmanie, ça veut dire entendre toutes les blagues concernant les noms de fleurs dès tes premiers jours en école primaire. Ça veut aussi dire sentir constamment une fragrace ou une autre d'un parfum de fleur tout ce qu'il y a de plus naturel, éternellement collé à ta peau. C'est d'être la gamine dont les parents sont éternellement responsables des fleurs pour les grands évènements, les mariages autant que les funérailles, et devenir la petite aide qui suit partout, au même titre que ton frère et ta soeur. Ce sont tes parents qui ont bâti la ferme de leurs mains, avec le rêve de le passer à l'un d'entre vous ensuite. Fort heureusement pour toi, ta soeur s'est toujours portée volontaire pour ce projet, et si tu as longtemps aidé comme tu le pouvais dans la business familiale, ton intérêt à toi c'est toujours trouvé loin des fleurs, bien que parfois inspirée par ces dernières. ≈ (iris) Tu n'étais encore qu'une gamine, quand tu as compris que ta mère aimait vous comparer - ta soeur, ton frère et toi - aux fleurs dont elle avait toujours aimé s'occuper. Ta soeur était comme la lavande qui poussait dans le plus grand champ de la ferme, une quantité infini de mauve, douce et réconfortante, toujours à portée de la main, qui s'agence facilement avec tout et ne laisse jamais indifférent, sans jamais se faire insistant. C'est ce qu'elle est ta soeur. Si ton frère quant à lui a toujours détesté être comparé à une fleur, le sourire qu'il tente de cacher sur ses lèvres ne ment pas quand ta mère l'appelle sa petite tulipe, une rareté maintenant qu'il est un homme, père de famille ayant lui même donné des fleurs à ses filles, au plus grand bonheur de la femme qui lui a donné la vie. Les tulipes sont reconnues pour leur personnalité nonchalante et décontractée, mais à l'attitude éternellement positive qui attire toujours le meilleur autour d'eux. Et il y a toi. Celle que ta mère appelle son iris. À la personnalité tout aussi pétillante que ton frère, mais à l'énergie moins familière, qui s'impose dans sa différence. On ne peut pas dire non plus que tu détestes la comparaison à une fleur qui a été nommée après une déesse grecque représentant un arc-en-ciel. Ça semble en effet, assez rapproché de ta personne sur tous les points. ≈ (talent show) Il n'y a pas une salle de toute la Tasmanie sur laquelle tu n'es pas montée dans le cadre d'une occasion ou d'une autre. Que ce soit le podium du gymnase de ton école primaire, ou les quelques salles de spectacle disponibles dans la région, toutes les raisons étaient bonnes pour monter sur scène et montrer ce de quoi tu étais capable. De ta voix qu'on a commencé à complimenter dès ton plus jeune âge, à ton habileté à faire le clown et à faire rire les autres au sein de pièce de théâtre ou de match d'improvisation, tu t'es investie dans tout et n'importe quoi si ce n'est que pour avoir ce thrill de te retrouver devant une foule. Ça ne te dérangeait pas, qu'on te dise que personne ne connaissait les chansons que tu aimais jouer à la guitare pendant les talent show organisé par l'école ou par la ville, toi tu prenais toujours un grand plaisir à redécouvrir ces classiques rock des années 80 qui avaient bercé ton enfance. Tout ce que tu voulais, c'est être sur scène. Une passion qui ne pris que plus d'ampleur encore au fil des années. ≈ (girls girls girls) Assumée ton orientation sexuelle alors que tu entrais à peine dans l'adolescence n'est pas quelque chose à laquelle tu as dû réfléchir bien longtemps. Avouée à ta mère que tu avais un crush sur Amelia et pas sur Ethan n'avait été un choc pour personne. À l'école toutefois, on ne pouvait pas dire que la nouvelle était tout aussi simplement accepté. Parce que Cygnet était une petite ville, avec une mentalité encore assez fermée sur tout ce qui "sortait de l'ordinaire", une au sein de laquelle la religion jouait encore une grande importance. L'homosexualité toujours considéré comme un pêché, tu ne manquas pas de subir beaucoup d'intimidation de la part des élèves, mais aussi beaucoup de commentaires désobligeants de la part d'adultes censés être présents pour épauler et soutenir tous les élèves. Tu as été chanceuse d'être entourée d'une famille qui t'acceptait et t'aimait telle que tu étais, ton frère et ta soeur ayant souvent été les premiers à prendre ta défense dans les couloirs de l'école. Ta première année de lycée aura été la plus difficile, même si les commentaires et les jugements ont persisté pendant tout le reste de ton cheminement scolaire. ≈ (the great escape) Si l'intimidation que tu subissais encore de manière sporadique ne t'avait jamais empêché de prendre toute la place que tu souhaitais, te foutant bien des commentaires que cela pouvait engendrer, on ne peut pas dire que c'était la même chose pour Lila. Lila n'était pas prête à sortir du placard, mais qui l'a fait, plus accidentellement qu'autrement, pour être avec toi. Parce que vous avez été surprises à partager un baiser, dans un endroit qui n'était pas aussi privé que vous le pensiez. Et la nouvelle s'est répandue à toute vitesse dans les corridors de l'école. Elle n'a pas tenté de nier, Lila. Elle a pris ta main, elle a voulu montrer au monde entier qu'elle était capable d'en prendre, elle aussi. Jusqu'au moment où ce n'était plus le cas. Jusqu'au moment où l'intimidation se faisait telle que rien n'aurait pas aidé à convaincre Lila que ce n'était qu'un mauvais moment à passer. That it would get better. Tu avais beau tenté de lui offrir autant de support que possible, lui offrir de faire ce qu'elle voulait, que ce soit de continuer de vous afficher ensemble ou non, rien ne pu prévenir la décision qu'elle fini par prendre: celle de s'enlever la vie, la veille de son dix-septième anniversaire. À ce jour, tu possèdes toujours la lettre d'adieu qu'elle t'a écrite, celle que tu as trouvé dans ton casier le lendemain des évènements. C'est sa mère qui a trouvé Lila, après que cette dernière ait fait une overdose médicamenteuse toute seule chez elle, en une fin d'après-midi du mois d'avril. ≈ (trigger point) La mort de Lila a secoué tes fondations d'une manière que tu n'aurais jamais pu prédire. Elle a remis en question le respect et la confiance que tu octroyais d'office à autrui. Elle est venue créer une part d'ombre, sur ce monde que tu avais toujours vu en couleurs vives jusqu'à ce jour-là. Puis elle a déclenché quelque chose en toi. Quelque chose qui sommeillait, non-loin de la surface, mais inactif jusqu'à après sa mort. Des compulsions d'abord. Des pensées catastrophes, si réelles et si prenantes que tu étais persuadée qu'elles se réaliseraient, si tu ne cédais pas à la compulsion. Celle de recompter trois fois les bouquets de fleurs créer pour ta mère, par exemple. Ou de vérifier six fois que toutes les prises de courant étaient bien toutes éteintes avant de quitter. Compulsions sur lesquelles tu te faisais croire que tu avais le contrôle, mais elles ont bien rapidement eu plus le contrôle sur toi que le contraire... ≈ (freedom) Si tu as toujours été très proche de ta famille, il était une évidence que tu ne pourrais jamais être comblée dans une ville aussi petite que Cygnet, Tasmanie. La mort de Lila n’a été qu’une raison de plus qui t’a poussé à faire tes valises avec l’envie prenante de quitter la Tasmanie, dans l’espoir de te produire, mais surtout de te faire connaître un peu partout en Australie. Aucun plan d’étudier plus longuement, c’est sur ta musique que tu as envie de miser, sur tes chansons et tes compositions que tu veux mettre toutes tes chances et s’il te faut enchaîner les petits boulots à côté pour survivre de semaine en semaine, tu prête à vivre avec cette idée aussi. ≈ (melbourne) C’est dans les petites salles de Melbourne que tu prends réellement ton envol. Dans les cafés, dans les bars, dans n’importe quel endroit qui te permet de te produire, toi, ta voix et ta guitare, tes chansons inspirée autant de ce son de rock des années 80 tant aimé par ton père que cette tournure plus alternative qui est particulière et complètement tienne. Melbourne est accueillante, chaleureuse et surtout, particulièrement queer friendly. Là-bas, tu ne perds pas de temps à te construire un cercle d’amis et une communauté dans laquelle tu te sens tout de suite à ta place. Une communauté pour laquelle tu as l’impression de pouvoir redonner, dans laquelle ta musique devient aussi populaire et te fait connaître une certaine popularité, un premier réel envol vers ton rêve de pouvoir te qualifier enfin de chanteuse. ≈ (NOAH!) Le nom n’a rien de particulièrement original, surtout quand comparer avec quelques suggestions qui ont rapidement été rejeté de la part de ton frère et de ta sœur dont l’opinion vaut plus que quiconque à tes yeux. C’est d’ailleurs ton frère qui a suggéré NOAH! et qui a créer le logo désormais à ton nom d’artiste. Il juge que ça te représente parfaitement parce qu’il n’est pas rare que les gens doivent hausser le temps pour attirer ton attention, tout comme tu as cette tendance à prendre beaucoup de place quand tu es quelque part. NOAH!, c’est ta marque, ton bébé, tu t’en occupes avec beaucoup de précision et d’affection, choisissant avec attention les projets auxquels tu veux être associée, la majorité d’entre eux souvent en lien avec la communauté queer, là où la grande majorité de ton fan base est née. Avec la reconnaissance que tu connais désormais, tu utilises ta plate-forme pour faire de la sensibilisation, autant à l’intimidation connue par la communauté queer que de la prévention au suicide. À chaque année, lors de l’anniversaire de Lila, tu organises une soirée bénéfice en son honneur, les fonds sont remis à un organisme qui fait de la prévention au suicide auprès des communautés à risque. ≈ (ocd) Au fil des années, tu as bien fini par comprendre que les compulsions, elles portaient un nom. Trouble obsessionnel compulsif. Un diagnostic posé par un psychiatre, après de nombreuses rencontres avec divers spécialistes, tout particulièrement une psychologue que tu as commencé à voir au début de ta vingtaine. L’acception est une longue route que tu parcoures toujours, et si tu affirmes ne pas avoir honte de cette condition qui a pourtant un impact significatif sur ton quotidien, ralenti ton cerveau qui veut souvent aller trop vite, ce n’est pas quelque chose que tu te sens prête à clamer haut et fort comme tu le fais tout le reste. Ça se voit dans certaines manies, le temps que tu mets avant d’entrer sur scène quand tu comptes et recomptes chaque pièce d’équipement avant de te sentir en sécurité, dans les lumières de ton appartement que tu ouvres et éteins 9 fois avant de partir, et ceux qui sont près de toi savent, comprennent, respectent surtout. Mais ça ne sera peut-être pas toujours le cas, surtout avec ta célébrité montante. ≈ (brisbane) Si Melbourne devient rapidement familière, c’est vers Brisbane que tu t’installes à ta mi-vingtaine, suite à l’obtention d’un petit rôle dans une série populaire. Ça aurait pu être l’histoire de quelques mois seulement, mais la ville est un véritable coup de cœur pour toi, et tu décides de t’y établir, du moins pour quelques temps, découvrant scène après scène, bar après bar, t’impliquant autant sur la scène musicale que dans diverses associations, où ton nom t’aide à faire une différence de plus en plus. ≈ (movie night) Si ton cœur appartient réellement à la musique et à NOAH!, des rôles à la télé te permettent de joindre les deux bouts, quand le succès parfois aléatoire de tes chansons ne te permettent pas de vivre aussi confortablement que tu ne le voudrais. Ce à quoi tu ne t’attendais pas toutefois, c’est qu’on t’offre un rôle secondaire dans un film au cast populaire, et si tu craignais d’abord que cela n’empiète sur le temps que tu devrais passer sur ta musique, l’envie de découvrir quelque chose de nouveau t’a poussé à dire oui, sans avoir la moindre idée de ce qui t’attend. ≈ (situationship) Sentimentalement parlant, on pourrait facilement dire que tu t’éparpilles autant que dans tes projets professionnels, à papillonner ici et là. Ce n’est pas ce que tu souhaites pourtant, le cœur loyal, à la recherche de celle qui restera, qui voudra donner une chance à un futur à deux, digne d’une histoire comme celle de tes parents qui t’a toujours fait rêver (sans la ferme à fleurs et les gosses, idéalement). Mais si tu espères trouver, tu ne tiens pas à forcer quoique ce soit avec qui que ce soit, les situationships se créant et se défaisant au gré du temps, parfois par ta faute, parfois par celle de l’autre, parfois par des circonstances hors de ton contrôle. Tu gardes espoir qu’un jour, ce sera ton tour et en attendant, tu ne te prives de rien, ni de personne.

solaire ≈ sarcastique ≈ éclectique ≈ loyale ≈ entêtée ≈ passionnée ≈ change constamment d’idée ≈ autant qu’elle change de couleur de cheveux ≈ fonceuse ≈ honnête ≈ fragile ≈ vulnérable.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle vlastuin, mais appelez-moi marie. J'ai 31 ans, et je viens de melbourne, australie. J'ai découvert 30YSY grâce à ma présence constante dans les parages, et j'ai cédé à m'inscrire parce que c'est la maison. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) tous les jours. Mon personnage est un scénario de @Marceline Griffiths la parfaite (noah) lucky strike 1949770018

. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et je fais plus de promesse sur mon absence de nouveau compte, je sais pas les tenir :nono:

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Pour recenser votre avatar

Code:: <pris>phoebe bridgers ≈</pris> @"noah eaton"

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(#)Mar 07 Jan 2025, 22:40

Il était une fois, mon histoire

if the world was ending, you'd come over right?

Un. Deux. Trois. Quatre. Cinq. Six. Sept.
Un. Deux. Trois. Quatre. Cinq. Six. Sept.
Un. Deux...

Une voix tente d’attirer ton attention, mais tu n’arrives pas à entendre ce que cette dernière tente de te dire. Tu ne peux rien entendre, ni rien voir tant et aussi longtemps que tu n’auras pas terminer de compter. Trois. Une main sur ton épaule. Elle est envahissante, cette main. Elle te déconcentre. Elle va te faire perdre le fil et tu vas devoir recommencer du début. Tu es presque certaine d’avoir entendu l’annonce comme quoi tu devais monter en scène dans moins de trois minutes. Tu n’as pas le temps de recommencer du début. Quatre. Tu serres les poings, dégages ton épaule du contact indésiré. Tu es loin d’être quelqu’un qui se soucie de la proximité ou de contact en temps normal, bien au contraire. Tu es la première à te perdre dans les étreintes de part et d’autre, les contacts physiques pouvant facilement être considéré comme ton langage premier d’affection. Mais pas quand tu comptes. Pas quand la compulsion prend toute la place. Pas quand les secondes sont comptées avant que tu ne doives monter sur une scène pour présenter devant des centaines de personnes, des milliers sans doute à ce stade-ci, pour ce qui restera sans doute la soirée la plus importante de l’année. Cinq.Celle pour Lila. Celle qui honore sa mémoire, celle pour laquelle il t’est devenu si important de faire ce que tu fais, pour les causes que tu le fais. Six. La voix se fait plus forte encore. Tu es certaine de reconnaître ton prénom. Bientôt, tu pourras te retourner. Interagir. Arrêter de marmonner comme tu le fais présentement. Mais il faut que tu trouves ta guitare acoustique des yeux avant. Que la personne à tes côtés ne bloque pas ta vue. Tu ne sais pas qui est là, mais une chose est certaine; c’est quelqu’un qui ne te connaît pas assez bien pour reconnaître les signes, pour comprendre ce qui est en train de se passer. Tu tournes la tête, juste un peu. Tu l’aperçois, elle est juste là, exactement comme les 8 dernières fois que tu as vérifiée. C’est plus fort que toi, tu ne peux pas t’en empêcher. Une fois que le rituel est commencé, il se doit d’être complété, ou recommencé si interrompu. Combien de fois est-ce que tu as essayé d’aller à l’encontre de ça, seulement pour provoquer une crise de panique? Trop souvent pour les compter véritablement, celles-là. Alors en grande situation de stress, comme ce soir, tu abdiques, parce que c’est plus simple. Et à ton prochain rendez-vous avec ta thérapeute, tu pourras travailler en long et en large les stratégies que tu peux mettre en place pour que ce ne soit pas si contraignant, même si les stratégies n’arrivent pas toujours à être efficace comme tu le voudrais. Le dernier chiffre marmonné, tu as l’impression qu’on te rend une pleine vision, un plein contrôle de la situation. Aucun malheur ne t’arrivera en montant sur scène ce soir. Tes proches ne souffriront pas. C’est pour cette raison que tu comptes, après tout. Mais ça, tu as beau tenté de le justifier de toutes les façons, personne n’arrive vraiment à le saisir, à le comprendre dans le sens pourtant le plus basique qui soit. Tu croises finalement le regard de celui qui a bien failli t’interrompre, un guitariste qui t’accompagne pour la première fois ce soir. Un garçon un peu plus jeune que toi, qui a perdu sa sœur d’un suicide, suite à un coming out difficile. Une histoire qui rappelle Lila et qui t’a évidemment interpellé, assez pour l’inviter à se produire avec toi ce soir. Une question sur la dernière chanson est posée, une réponse rapide est donnée et te voilà de nouveau dans ton groove, quand les applaudissements dans la salle commencent à résonner et que plus rien n’existe sauf l’envie et le besoin de leur faire un bon show, tout en faisant honneur aux Lila et aux Zoe de ce monde, qui devraient encore être avec vous ce soir pour célébrer. Tu entends facilement les encouragements de ceux qui te sont chers par-dessus les autres, tes parents, ton frère et ta sœur qui ne se déplacent plus aussi souvent qu’avant pour tes shows, mais qui font point d’honneur d’être présent pour celui-là. Des amis de Melbourne qui sont venus jusqu’à Brisbane pour l’occasion aussi, et puis cette nouvelle communauté que tu te construis depuis quelques années. Tu es franchement bien entourée. Tu n’as pas à te plaindre, tu en es bien consciente. Et sur cette scène ce soir, tu donnes l’impression d’être exactement là où tu devrais être, sans savoir si ce sentiment exact saura perdurer comme tu l’espères tant.

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(#)Mar 07 Jan 2025, 22:59

AAAAAAAAAAAAAH AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!! (noah) lucky strike 2684487361

Le service express le plus express jamais vu mdrrr :l:

Rohlala, je vais me répéter, mais je suis TELLEMENT contente que tu ais eu ce petit coup de cœur pour Noah, surtout après notre occasion ratée sur un précédent scénario :l:

J'ai tellement hâte de la découvrir sous ta plume et toutes les bêtises qu'on va faire (noah) lucky strike 1031338396

longue vie à nos deux blondes chaotiques hihi (noah) lucky strike 1031338396

what if I roll the stone away? they're gonna crucify me anyway

my boredom's bone deep, this cage was once just fine, am I allowed to cry? i dream of cracking locks, throwing my life to the wolves, or the ocean rocks, crashing into her tonight

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(#)Mar 07 Jan 2025, 23:08

rebienvenue à la maison (noah) lucky strike 394614564

j'aime déjà Noah, j'ai trop hâte de lire la suite (noah) lucky strike 3922047296

(#)Mar 07 Jan 2025, 23:09

Rebienvenue (noah) lucky strike 2523491165

A qui sait bien aimer, il n'est rien d'impossible. 

KoalaVolant

(#)Mar 07 Jan 2025, 23:47

Amuse toi bien avec ce nouveau perso alors (noah) lucky strike 2523491165

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(#)Mer 08 Jan 2025, 00:04

re-bienvenue chez toi et bonne rédaction de ta fiche :l:

beginnings are always messy

A fresh start. A new chapter in life waiting to be written. New questions to be asked, embraced, and loved. Answers to be discovered and then lived in this transformative year of delight and self-discovery.

(#)Mer 08 Jan 2025, 00:40

Excellent choix de PL et de FC, je suis absolument fan :drama:

Rebienvenue à toi (noah) lucky strike 1949770018

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On her mind:

(#)Mer 08 Jan 2025, 03:23

j'adore tellement le pseudo! :l:

et elle est elle Noah :l:

re-bienvenue à la maison! (noah) lucky strike 1949770018

et bonne rédaction pour ta fiche!

i will still rise when the fire's at my feet again and the vultures all start circling they're whispering, you're out of time but still, i rise. ©️ endlesslove.

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(#)Mer 08 Jan 2025, 05:40

Tu ne dépasses pas quatre comptes, tu tiens ta promesse (noah) lucky strike 3731487388

Rebienvenue ici à toi (noah) lucky strike 1949770018

Heard the risk is drowning

My heart's in a thousand pieces, ain't found no cure for the pain. Right now, honey, all I need is somebody to take it away. Take it away. You can be my painkiller. Baby, be my painkiller. You got that same kinda look in your eyes making me wonder if it's your place or mine. Let's get out of here, blame it on our tears. Watch our devils disappear.

(#)Mer 08 Jan 2025, 06:47

re bienv'nue à toi ^^

you and i — i have galaxies hidden between my bones and i will love you until the stars burn out

(#)Mer 08 Jan 2025, 08:14

Un choix incroyable (noah) lucky strike 199959295

Bienvenue de nouveau chez toi (noah) lucky strike 873483867

i'm stronger now

Pretending now that we don't care but tension cuts, cuts the air we're more than scared so lost inside our eyes. We're terrified. Letting my fears show 'til I can face 'em. Letting my tears go 'til I can taste them hell, what do I know where you and I go? Damn it, I hope you come back home..

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(#)Mer 08 Jan 2025, 08:15

Re bienvenue parmi nous. (noah) lucky strike 3518815507

Bon courage pour la suite de ta fiche. (noah) lucky strike 1031338396

Le début promet. (noah) lucky strike 2595477097

Bon jeu.

« Lorsque je danse je ne peux pas juger, je ne peux pas haïr, je ne peux me séparer de la vie. Je peux seulement être heureux et complet. »

(#)Mer 08 Jan 2025, 08:41

Finalement t’as troqué une actrice contre une chanteuse. C’est plus rigolo tu verras (noah) lucky strike 4052937387

Re bienvenue avec cette star (noah) lucky strike 206649278

Courage pour la suite de ta rédaction (noah) lucky strike 1949770018

stick like toffee, sip like coffee, wake up, change your mind and drop me; love to hate me, crazy, shady, spit me out like hot wasabi. lick me up, i'm sweet and salty, mix it up and down my body; love to hate me, praise me, shame me, either way you talk about me.

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(#)Mer 08 Jan 2025, 09:04

Rebienvenue à la maison :l:

when the goin' is getting tough, were all about giving up. things that we never thought we'd say gunna say em. games that we never thought we'd play gunna play em. it ain't perfect but its worth it.

make me feel this way so i can breathe again

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