[Savannah] A Night of Elegance - Power Plays at Sydney's Fashion Gala
Evan Campbell
ÂGE : 38 STATUT : Divorcé MÉTIER : Dirigeant de la société Campbell POSTS : 60 POINTS : 140
TW IN RP : Manipulation - Sexe - Alcool - Violence GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. RPs EN COURS : Savannah#1 / Katherine#1 / Savannah#2 RPs TERMINÉS : Abigaïl#1 (abandonné) AVATAR : Theo James CRÉDITS : Tumblr INSCRIT LE : 01/04/2024
Le jour était à peine levé qu’Evan était déjà en train de soulever des poids pour sa séance sportive quotidienne. Ceci était le secret pour être performant toute la journée. Aujourd’hui était un jour important, il devait se rendre à un défilé de mode durant lequel il comptait interagir avec diverses personnes importantes de Sydney pouvant l’aider à sauver sa société. Le plan était quelque peu périlleux mais un homme était capable de beaucoup de choses lorsqu'il doit sauver l'une des choses les plus précieuses qu'il avait au monde. Savannah avait accepté de l’accompagner mais qu’en était-il après ces dernières semaines de tension entre les deux ? L’idée de voyager avec elle n’avait plus la même saveur que lorsqu’il lui avait fait la proposition. Depuis l’annonce de son mariage, le patron de la société Campbell et son assistante s’ignoraient et leurs échanges étaient réduits au minimum, c’est-à-dire lorsqu’ils étaient indispensables dans le cadre professionnel. Pouvait-il en être de même à Sydney ? Ou cela les aideraient-ils à renouer un semblant de lien ? Sur ce sujet, Evan était encore chamboulé, pas seulement sur le fait qu’elle s’est mariée mais aussi sur la déception qu’elle a ressentie en comprenant qu’il était responsable de la situation de la société. Il n’y avait pas eu de pièges, ni d’erreurs. Son frère avait véritablement mis en place des dossiers frauduleux et rien de toute cette histoire n’était dû à une malchance ou un mauvais sort. Il aurait pu nier ou trouver une excuse pour la protéger de cela mais il n’avait plus envie de lui mentir, bien qu’il s’agissait peut-être de la meilleure chose à faire sur le moment. Malgré cela, elle n’avait pas encore quitté la société. Raison économique ou attachement à la société ? Il n’en savait rien mais il ressentait cela comme un premier soulagement. Ou peut-être lui ferait-elle la mauvaise surprise d’annoncer sa démission pendant le voyage ?
L’avion partait en début d’après-midi, Evan avait fixé rendez-vous à Savannah à 11h à l’aéroport. Toujours dans son loft, il était quelque peu pensif, s’interrogeant sur ce séjour et surtout sur sa relation avec Savannah. Devait-il lui dire de rester et s’y rendre seul ? Cela dit, il était toujours préférable d’être accompagné à ce genre d’évènements et il connaissait les capacités de Savannah à discuter avec ce type de personne. Elle était parfaite pour ce rôle et elle était habituée. Evan se préparait alors, prit son petit déjeuner et proposait ensuite à Lucia, la femme de maison, de rentrer chez elle et de ne revenir que dans deux jours. Il sortait ensuite, avec sa valise en main, pour se rendre tout d’abord à la banque et réaliser quelques transactions nécessitant l’accord de son banquier. Il se rendit après, toujours dans le même quartier, dans un restaurant japonais afin d’acheter des sushis pour lui et Savannah afin de déjeuner à l’aéroport. Enfin, il montait ensuite dans un taxi pour se diriger à l’aéroport pour arriver finalement à 11h02.
Très rapidement, Savannah et Evan vont se croiser au niveau des enregistrements. Sourires quelque peu forcés et salutations timides, la guerre froide était encore d’actualité. En silence, ils se rendaient alors jusqu’à la porte d’embarquement, s’asseyant alors en attendant le départ du vol. Evan lui tendait alors une barquette de sushis, la regardant brièvement.« Je me suis dit que cela nous éviterait la nourriture infâme de l’avion. ». En effet, même s’ils étaient en classe business, cela restait un vol très court et les mets proposés dans ce type d’avion étaient rarement les plus savoureux. Après une trentaine de minutes d’attente, il était l’heure d’embarquer. Ils pénétrèrent alors à l’intérieur de l’avion dans la file prioritaire. Une fois à l’intérieur, les deux individus découvraient leur siège, l’un à côté de l’autre. C’était assez confortable. Savannah essayait alors tant bien que mal de déposer son bagage cabine mais affichait quelques difficultés. Evan l’observait tout d’abord puis, dans un élan de bonté, ne prit finalement plus plaisir à la regarder galérer pour enfin l’aider à bien caler son bagage en hauteur et jusqu’au fond du compartiment. Il en fit de même pour le sien puis s’asseyaient enfin tout deux pour un vol d’environ 1h30. Il profitait alors de ce temps pour travailler sur son laptop, ce qui permettait également de camoufler quelque peu l’ambiance glaciale qui continuait de régner entre les deux..
Une fois arrivés sur place, ils prirent immédiatement un taxi pour se rendre à l’hôtel qui était assez proche du lieu du défilé. C’était un grand hôtel, très luxueux où se trouvait un grand bar, à la fois moderne et très chic. Il avait déjà eu l’occasion d’y séjourner il y a quelques années et il constatait que la beauté du lieu demeurait intacte. Ils récupèrent leurs chambres et alors qu’ils étaient tous deux à l’étage, Evan affichait une mine toujours assez sérieuse, ne parvenant toujours pas à lui parler « normalement » car lui aussi avait encore de la rancœur. Elle lu en voulait mais lui aussi.« Il y a plusieurs tenus de l’un des stylistes de la soirée dans ta chambre. Choisis celle qui te plait. ». Il commençait ensuite à ouvrir la porte de sa chambre avant de se retourner..« Peux-tu descendre au bar à 19h ? Pour te briefer avant de nous rendre au défilé. ». Moins directif qu'à l'accoutumé, il entrait finalement dans chambre afin de reposer une quinzaine de minutes et se préparer ensuite pour la soirée aux enjeux multiples. La société.. Savannah.. Il ignorait d’ailleurs comment désamorcer la situation avec cette dernière. Plus le temps passait et plus il souhaitait renouer le contact mais que devait-il faire ? S’excuser pour les fraudes ? S’excuser pour ne pas l’avoir félicitée pour son mariage ? Bien qu’il n’avait aucun droit de l’être, il ne pouvait s’empêcher de se sentir trahi. Cette nouvelle brutale était apparue comme un coup de couteau dans le dos. Cependant, il comprenait qu’il n’était pas exempt de tout reproche, bien au contraire. Après tout, comme elle lui avait bien fait comprendre, il l’avait détruite, rendant sa vie médiocre pour ainsi dire.. Il l’avait en quelques sorte trahie à plusieurs reprises, ou tout au moins manipulée. Il était conscient d’être très difficile à fréquenter, en particulier lorsqu’il jouait avec les émotions des autres. Et son égo l’empêchait souvent de se rétracter et de s’excuser pour le mal qu’il était capable de faire.
Vêtu d’un costume bleu foncé, Evan appliquait les derniers détails pour afficher une apparence élégante. Rasage propre à 1mm, coiffure impeccable et un parfum de grande qualité. Tout était prêt pour passer une soirée des plus mémorable et sûrement pas comme les autres.. Il sortit alors peu avant 19h afin de se rendre au bar, non loin derrière la réception. Il s’asseyait à une table et prit commande.« Ce sera un Penfolds Grange, pour deux personnes. ». Il s’agissait d’un vin australien de très grande qualité. Le serveur, très aimable, prit rapidement note. Et alors que la soirée arriverait à grands pas, il y avait quelques détails qu’il devait confier à Savannah sur le déroulement de la soirée et sur l’importance de celle-ci. Celle devrait d'ailleurs arriver sous peu, dans une tenue divine qu'elle portera, sans nul doute, mieux que quiconque..
「 With a thousand lies and a good disguise, Hit 'em right between the eyes 」
Savannah Williams
les collisions
ÂGE : 34 ans SURNOM : Sav', Savie, Blondie mais aussi Polpetta, celui qui a tendance à l'agacer mais que seul Ugo s'entête à employer à son égard (Fort heureusement) STATUT : Quand elle pensait parvenir un semblant d'ordre dans sa vie sentimentale, elle s'est retrouvée à dire "je le veux" à son plus vieil ami devant Elvis à Vegas MÉTIER : Assistante de direction pour la société Campbell, spécialisée dans l'achat et la construction de complexes immobiliers écologiques -Assez naïve pour croire que travailler pour son ex ne lui attirera pas de problème LOGEMENT : #218, BaySide POSTS : 15051 POINTS : 210
TW IN RP : Abandon - Dépression - Sexe - Alcool - Deuil - Accident de la route - Manque d'estime de soi ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Elle joue souvent avec ses cheveux ≈ Elle a pratiqué auparavant le chant en tant qu'artiste professionnelle ≈Elle joue de la guitare et du piano ≈ Elle a causé un accident de voiture dans le passé qui a coûté la vie à un jeune homme. Un secret qu'elle tente de garder pour elle ≈ Elle culpabilise toujours ≈ Elle a un rire extrêmement communicatif ≈ Elle est maman de Mathis, 6 ans, qu'elle cherche à connaître, et qu'elle a eu avec son second amour, James Beauregard.RPs EN COURS : WILLIAMS FAMILY Auden › #8 › I ran away today, ran from the noise, ran away Don't wanna go back to that place, but don't have No choice, no way It ain't easy growin up in World War III Never knowin what love could be, well I've seen
Cade › #31 › I’ve been pulling you close but pushing me further I’ve been holding it back that I see your difference Sick of me reminding you To love me like you say you do Wish we could’ve made this work But now I know that I need more
Evan › #8 & #10 › I′m not good at reading minds 'Cause I think that mine is lost I′m not good at reading signsI just roll right through the stop I just need a word so I know You know I am still here
James › #5 › Don't speak I know just what you're saying So please stop explaining Don't tell me 'cause it hurts Don't speak I know what you're thinking I don't need your reasons Don't tell me 'cause it hurts
Pen › Every minute gets easier The more you talk to me You rationalize my darkest thoughts Yeah you, set them free Came to you with a broken faith Gave me more than a hand to hold Caught before I hit the ground
Le coeur qui bat la chamade alors qu'une sensation d'engourdissement dans mes jambes se fait sentir depuis déjà un bon moment, je viens à stopper ma course au coin d'une rue, m'accordant quelques instants pour parvenir à reprendre mon souffle. Derrière cette image de la joggeuse en herbe parée pour relever un objectif se cache le véritable supplice qui l'a amené jusque-là, et le son agréable qui provient de mes oreillettes ne me permet pas d'y faire véritablement abstraction. Dans quelques heures, un siège tout frais payé m'attendra au sein d'un bolide d'une grande compagnie aérienne, et la question que je viens à me poser inlassablement depuis plusieurs jours est de savoir si je me dois de l'occuper. La dernière véritable discussion que j'ai eu l'occasion de partager avec le jeune dirigeant a pris des allures cataclysmiques, dû à des aveux de toute part. Depuis, chacun de nous s'affaire à s'adresser à l'autre qu'en cas de grosses nécessités. Une prise de position qui nous oppose dans cette nouvelle bataille, ayant rapidement chassé de mon esprit les bons moments et cette complicité retrouvée depuis son retour en ville. Ma rancune parle pour moi, je n'ai clairement pas l'intention de faire le premier pas, et je préfère imaginer que ce silence que je lui impose causera un jour ou l'autre un agacement chez lui. Mais pour ça, il faudrait d'abord qu'il veuille me pardonner moi aussi pour cette nouvelle que j'ai omise de partager avec lui lors de nos retrouvailles, et qui concerne mon changement de situation amoureuse. Sa réaction fût sans appel, et à ce jour, il m'est encore compliqué de réellement pouvoir l'expliquer. Est-ce une réaction à chaud, démunie de toute relativisation qui l'a rendue si excessive? Ai-je osé transgresser les règles qu'imposent un mariage en me liant avec un homme dont je ne lui ai jamais voué l'importance dans ma vie, principes qu'il a lui-même enfreint avec ma propre personne en vivant dans le péché quelques années auparavant? Suis-je parvenue à créer une certaine déception en me lançant moi aussi dans ce grand chaos que représente le mariage, dont il m'a récemment mise en garde, voulant possiblement me protéger des conséquences qu'un tel engagement inclut inévitablement? Ou est ce que la raison est bien plus profonde qu'il n'y paraît, mettant à nu des sentiments qui me semblaient révolus depuis bien longtemps? Je soupire, mains sur les hanches. Je ne peux définitivement pas y aller.
Mes talons claquent sur le carrelage de l'aéroport, révélant par un regard préoccupé cette décision dont je doute encore. L'opportunité de participer à ce défilé est alléchante, une première, et il m'est difficile d'y renoncer. Pour autant, malgré mon entêtement sans faille et mes dispositions à camper sur mes positions sans fléchir, je reste peu convaincue de ma capacité à tenir plusieurs heures dans un silence volontaire à ses côtés. Je suis plutôt bavarde de nature, et devoir me terrer dans ce mutisme pourrait vite s’avérer être une torture à ses côtés. Il ne reste plus qu'à espérer qu'un semblant de discussion avec la réceptionniste de l'hôtel ou l'un des serveurs suffira à compenser ce besoin. Ma silhouette, vêtue d'une tenue un peu plus décontractée qu'à l'habitude en optant pour un jean et une chemise blanche minutieusement rentrée à l'intérieur de ce dernier, s'approche du comptoir d'enregistrement avec un peu de retard face à l'heure qu'il m'avait communiqué. Un petit détail lié à cette hésitation persistante et cette prise de décision de dernière minute, ou une volonté de lui laisser croire que je lui fais faux-bond? Va savoir. Un sourire forcé dont je ne cherche même pas à dissimuler l'hypocrisie s'immisce sur mes lèvres en réponse au sien. Ça donne déjà le ton, alors que mon regard se perd autour de nous, cherchant possiblement à fuir d'une certaine façon cette proximité requise. Nous avançons, nous retrouvant assez rapidement à la salle d'attente avant l'embarquement. Je m'installe sur un siège, veillant à laisser une place vacante entre nous, sur lequel j'ai déposé mon sac à main en guise de barrière de sécurité. Mes doigts tapotent nerveusement l'accoudoir, cherchant par tous les moyens à m'occuper durant cette attente qui me semble interminable, quitte à en devenir agaçante à quiconque n'en supporterait pas le dérangement. « Je me suis dit que cela nous éviterait la nourriture infâme de l’avion. » Mon visage se tourne vers lui, laissant apparaître par des traits fermés cette barrière invisible déjà bien installée face à cette tentative d'intrusion à laquelle il se risque. «J'ai pas faim» me contentais-je de répondre en détournant de nouveau le regard. Faux. Et cette délicieuse odeur qui émane à mes côtés s'avère être une persécution extrême pour mon estomac. Mais ma fierté est bien plus tenace que cet appétit, dont je parviens à dompter les appels. Un soupir s'échappe par mes narines lorsque nous sommes appelés à embarquer. Arrivés dans l'appareil, je m'affaire à ranger mon bagage dans le compartiment prévu à cet effet, malheureusement, ce dernier semble faire de la résistance, mettant en péril ce besoin d'indépendance. Sous une certaine impatience, et cherchant à oublier que l'attention du jeune homme m'est probablement voué, non sans une certaine satisfaction de sa part, je m'énerve toujours plus pour palier à ce problème, avant de créer suffisamment d'agacement, ou de pitié, chez Evan pour qu'il se décide à me venir en aide de force. «Merci…Même si j'aurai pu m'en sortir toute seule» Faux, mais je préfère m'en convaincre, moi et mon féminisme. Je m'assois sur mon siège, n'attendant pas que les indications du commandant de bord soient données pour glisser mes écouteurs sur mes oreilles et me fermer au monde qui m'entoure. Une façon de lui faire savoir qu'une discussion, même sous de bonnes conditions, me semble impossible, bien qu'elle puisse être requise pour notre bien.. Pour autant, cette obstination à toute épreuve démontre quelques signes de faiblesse lorsque mon regard quitte le hublot et se pose curieusement sur l'écran qu'il manipule, parvenant à détacher ces mâchoires pourtant bien serrées l'une à l'autre depuis que je l'ai aperçu dans le hall de l'aéroport.
Notre arrivée jusqu'à l'hôtel se fait dans un silence de mort, où chacun de nous s'obstine presque à ignorer la présence de l'autre à ses côtés. En déambulant dans le couloir, cette étrange sensation s'empare de moi en constatant qu'aucun effort de sa part n'a été fait depuis la brève tentative des sushis pour tenter de briser la glace, et ça en devient presque dérangeant. Je suis celle qui lui en veut généralement. Celle qui parvient à maintenir les hostilités, celle qu'il cherche inlassablement à faire fléchir pour améliorer nos rapports, et cette fois-ci, il ne semble pas enclin à se démener. Une légère déception se fait ressentir à cette pensée, alors que le son de sa voix me pousse à relever les sourcils, cherchant à détourner une quelconque expression sur mon visage. « Il y a plusieurs tenus de l’un des stylistes de la soirée dans ta chambre. Choisis celle qui te plait. » J'acquiesce d'un simple signe de tête, faisant tourner la carte entre mes doigts pour anticiper mon geste. « Peux-tu descendre au bar à 19h ? Pour te briefer avant de nous rendre au défilé. » «J'y serai» La voix un peu enrouée face à ce mutisme persistant depuis bien longtemps, j'avance de quelques pas, pour me rendre à la porte de ma propre chambre, se situant à côté de la sienne, jetant un bref regard dans sa direction avant de disparaître à mon tour. Cette solitude qui s'empare de moi est finalement plus terrible dans ces conditions, moi qui pensais parvenir à garder le contrôle sur mes émotions. Je m'approche de la fenêtre, dégageant d'un geste léger le rideau pour observer la vue qui m'est offerte. Mon regard finit par se poser sur les trois tenues qui ont été délicatement déposées sur mon lit avant mon arrivée, et je m'affaire à en choisir l'une d'elles sans trop de difficultés. Cheveux tirés en arrière dans un chignon sculpté, lèvres recouvertes d'un rouge intense pour les mettre en valeur, j'observe un instant mon apparence à travers le miroir, cherchant à m'assurer que je sois à la hauteur de cet homme avec lequel je vais m'afficher pour l'évènement. Mes mains viennent glisser sur le haut de mes cuisses, cherchant à ajuster le tissu de la robe qui recouvre ces dernières. Après plusieurs minutes, me voilà à chercher du regard Evan, avec une appréhension des plus palpables, en avançant à travers le bar de l'hôtel. Son regard croise le mien, dans un échange évocateur, alors que je fini par m'approcher pour rejoindre la table qu'il occupe. «Alors…Qu'est ce qui nécessite ce passage en aparté?» N'étions-nous pas là pour profiter de ce défilé, bien loin de toute la manipulation et de mesures qu'imposent les affaires?
Another love shit.
And I wanna sing a song, that'd be just ours, but I sang 'em all to another heart. And I wanna cry, I wanna fall in love, but all my tears have been used up. And I wanna kiss you, make you feel alright, I'm just so tired to share my nights. I wanna cry and I wanna love, but all my tears have been used up
[Savannah] A Night of Elegance - Power Plays at Sydney's Fashion Gala
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