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Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG VVZKQDhSujet: (began #32) feel you in my bones
Ezra Beauregard

Réponses: 8
Vues: 288

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: (began #32) feel you in my bones    Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyJeu 14 Déc 2023 - 23:36

feel you in my bones
lieu: avis de tempête, event de novembre.
(c): harley (gif), luleaby (codage).

***

Oh, les traits de son visage étaient déjà agacés alors qu’Ezra c’était contenté d’exprimer son inquiétude naissante et une précision quand à ses paroles; il ne voulait pas être accusé d’avoir mal compris quelque-chose pour la suite de ce qui allait arriver, se conjuguant au pluriel qui plus était pour aujourd’hui. « J’ai perdu les eaux, ça te va comme ça ? » Il écarquilla quelque peu les yeux. « Ca a le don d’être clair au moins. » Ce n’était pas pour autant que c’était là le genre d’annonce rassurante: il aurait préféré qu’elle se trompe, mais Lily ne se trompait jamais. Elle avait aussi de son côté comme argument sa carrière professionnelle et le fait que c’était la seconde fois cette année qu’elle donnait naissance - si elle affirmait perdre les eaux, il y avait alors de grandes chances pour que ce soit le cas.

Elle ne pouvait cependant pas se permettre d’accoucher ici, chez eux - autant parce-que ce n’était pas le plan de base que parce-qu’ils n’étaient pas équipés pour agir de la sorte. Lily aurait peut-être une approche plus adaptée de la situation, si seulement elle était observateur extérieur et non la principale concernée par l’affaire. « J’ai pas vraiment le choix. » Il secouait sa tête: c’était trop dangereux. Et si Ezra arrivait à s’en rendre compte, elle le savait forcément aussi que c’était le cas. « Merci, Ez, rappelle moi de jamais t’appeler pour me remonter le moral. » Appuyant ses points sur ses hanches, il fronça quelque peu les sourcils. « Je veux pas te remonter le moral, je veux pas que tu te mettes en danger. » Il essayait, aussi fort qu’il le pouvait - simplement, il y avait de fortes chances pour que Lily se serve de lui comme d’un souffre-douleur pour les prochaines heures à venir dans tous les cas, qu’importaient les arguments qu’il avancerait. Preuve en était de nouveau: alors qu’elle s’activait dans tous les sens et qu’elle devait commencer à sentir les effets du travail sous peu, elle avait tout de même à lui rire au nez alors qu’il essayait de trouver des solutions. « Tu comptes demander à l’octogénaire d’en face ou au pervers du #150 ? Parce que je te le dis, y’en a aucun qui risque de mettre ses mains dans mon vagin. » Si la situation n’avait pas été autant catastrophique, il aurait exprimé son étonnement de l’entendre parler de la sorte - et il aurait demandé comment elle savait que le voisin du #150 était un pervers, parce-que ce n’était pas là une information parvenue jusque Ezra jusqu’alors et  - il s’éloignait du sujet.

Parce-que la phrase que venait de dire Lily soulignait une autre évidence qui mettait un bout de temps à faire son chemin dans l’esprit d’Ezra: si elle ne laissait pas une tiers personne mettre ses mains dans son vagin, et qu’ils n’étaient que tous les deux, cela voulait dire qu'il allait devoir s’en charger ? Il avait déjà perdu une teinte de couleur lorsqu’elle reprit la parole. « Je vais te dire quoi faire. Et toi, t’as pas intérêt à tourner de l'œil cette fois. » Il avait déjà envie de le faire, cela partait mal. Il déglutit. « Je suis sérieuse Ez. Je peux faire faire ça toute seule. » Ce fut à ce moment là que leurs regard se croisèrent et qu’il perçut ce qu’elle ressentait en cet instant; et d’aussi loin qu'il s’en souvienne, les apparitions des émotions qu’elle laissait malgré elle - il le savait - transparaitre en cet instant pouvaient être comptées sur les doigts d’une main, aujourd’hui y compris. Elle avait vraiment besoin de lui. Inspirant longuement, il finit par hocher de la tête. « D’accord. » Parce-qu’il n’avait pas le choix, parce-qu’il n’avait jamais vu sa femme dans cet état - et parce-que tout ça mélangé à une certaine dose de peur et beaucoup d’adrénaline surement de son côté semblait lui donner un courage qu’il ne se connaissait pas jusque maintenant.

« Tu peux dire à Noah de rester avec Alice ? Il descend si y’a le moindre souci. » - « Je vais lui expliquer, et tu peux commencer à t’installer pendant ce temps là. » Sa voix n’était pas assurée, mais au moins elle tenait une certaine contenance et une détermination à réussir la tâche qui les attendait. Lorsqu’il revint quelques minutes plus tard après avoir expliqué ce qu’il se passait à son fils - qui semblait moins sous le choc que lui, soit dit en passant, activant le mode grand frère en un instant et préparant déjà les livres qu’il allait lire à Alice pendant que ses parents ne seraient pas disponibles -, il retourna Lily toujours debout dans le salon. « Noah est prévenu, il me dit qu’il gère et je le crois il a l’habitude maintenant. » Et malgré tout, ce n’était plus un enfant. « Lily ? » S’approchant d’elle pour pouvoir plonger ses yeux dans les siens, il apposa avec douceur ses deux mains sur ses joues. Un sourire ressemblant plus à une grimace qu’à un encourageant se fit voir, mais au moins il essayait comme il le pouvait. « Je suis désolé, je sais c’est pas ça que tu voulais comme accouchement. » Déjà que la grossesse n’était initialement pas désirée… Les garçons savaient se aire rebelles alors qu’ils n’étaient même pas encore dans leurs bras.
Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG VVZKQDhSujet: (began #32) feel you in my bones
Lily Beauregard

Réponses: 8
Vues: 288

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: (began #32) feel you in my bones    Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyMer 13 Déc 2023 - 15:33
« T’as besoin de moi ? »

Ezra est inquiet après avoir entendu ces simples mots et il y a de quoi, parce qu’il est particulièrement bien placé pour savoir que Lily n’a jamais besoin de lui, ou de personne. Peu importe le contexte dont il est question, elle ne prononce jamais de tels mots et cela contribue à créer un sentiment d’urgence et de danger à toute cette situation qui n’était pas aidée par l’arrivée même de la tempête. Bien sûr qu’il a fallu que tout arrive au même moment, pas vrai ? « Tu crois ? » Il appuie sur l’éventualité des mots de Lily, là où ils servaient uniquement à la trentenaire à minimiser l’urgence de la situation. « Comment ça tu crois ? » Elle fronce les sourcils, agacée et fatiguée par son mari qu’elle aime pourtant de tout son cœur. « J’ai perdu les eaux, ça te va comme ça ? » Elle ne le croit pas, elle le sait parfaitement. Elle voulait simplement garder un peu de ses craintes au loin, ce qui n’a pas été le cas bien longtemps tant Ezra semble avoir besoin d’entendre les mots en question. Ce n’est pas lui qui va accoucher, de toute façon. « Tu peux pas accoucher là. » Ce n’est pas ce qu’elle voulait et ce n’est pas non plus ce qu’elle avait prévu, mais cela ne change rien au fait que cela va arriver, qu’elle le veuille ou non. Lily arrive à modifier les pensées d’autrui, leurs actions aussi, mais elle n’a encore aucun pouvoir pour garder des jumeaux dans son ventre pour au moins vingt quatre heures supplémentaires. « J’ai pas vraiment le choix. » Elle rétorque, tranchante et pas en position d’utiliser la moindre once d’une patience désormais inexistante.

« C’est trop dangereux pour toi, pour eux. Si moi je le sais, c’est que tu le sais aussi. » Elle le sait, oui. Elle le sait et cela ne fait que la rendre davantage anxieuse, loin des conditions idylliques de l’accouchement d’Alice en comparaison - même si le terme “idyllique” ne lui était pas venu en tête à l’époque. « Merci, Ez, rappelle moi de jamais t’appeler pour me remonter le moral. » Elle savait déjà tout ça, mais elle ne l’avait jamais évoqué à voix haute. Ezra, de son côté, n’a pas attendu une minute complète avant de parler à voix haute de toutes ses craintes et ce sans aucune barrière ni censure. « Faut qu’on demande de l’aide à quelqu’un, même si y’a la tempête. T’as un nom sous la main de quelqu’un qui pourrait venir pour nous aider ? » Occupée à chercher des serviettes - elle qui luttait pour les changer complètement, voilà une bonne raison pour changer leur stock après la tempête -, elle lui offre un simple rire étouffé en guise de réponse. Il réagit comme si tout allait bien et comme s’ils étaient dans ces films où il y a toujours un médecin à moins de deux mètres du moindre accident ou besoin. « Tu comptes demander à l’octogénaire d’en face ou au pervers du #150 ? Parce que je te le dis, y’en a aucun qui risque de mettre ses mains dans mon vagin. » Elle ne voulait pas se débrouiller seule pour un tel moment de vie mais à en juger par les nouvelles circonstances, c’est ce qui va se passer. Leur voisinage ne sera d’aucune aide et ils ne peuvent pas appeler quelqu’un plus loin, parce que la tempête empêche tous les déplacements et qu’elle ne voudrait pas mettre en danger qui que ce soit. « Je vais te dire quoi faire. Et toi, t’as pas intérêt à tourner de l'œil cette fois. » Parce qu’elle lui en a déjà voulu à la naissance d’Alice mais que sa colère à ce moment là serait incomparable à celle qu’elle ressentirait pour la naissance des jumeaux, surtout si ça venait à mal tourner - ce qui est une possibilité largement envisageable à en juger par les circonstances et le cadre. « Je suis sérieuse Ez. » Il s’en doutait sûrement, mais elle a quand même besoin de le préciser. « je peux faire faire ça toute seule. » Et ce n’est pas avec une pile de serviettes sous le bras qu’elle est assez bien placée pour donner naissance chez elle, comme le prouve son regard empli de tristesse autant que d’une certaine forme de panique à laquelle elle refuse de se laisser aller. Ils n’ont pas le temps pour ça. Ils ne peuvent pas se le permettre. « Tu peux dire à Noah de rester avec Alice ? Il descend si y’a le moindre souci. » Mais en attendant, il vaut sans doute mieux le garder aussi loin que possible du spectacle.
Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG VVZKQDhSujet: nino&allie ≈ good at being bad
Invité

Réponses: 11
Vues: 722

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: nino&allie ≈ good at being bad    Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyMer 18 Mar 2020 - 1:33
Good at being bad
Nino & Allie



C'est un Nino peu expressif qui se tenait devant Allie, la jeune femme s'étant adossée sur le mur à côté de la porte menant à son studio. Son regard céruléen décrivait l'italien éhontément, s'attardant sur ses cheveux légèrement en bataille et cet air contrarié qui ne semblait pas désirer le quitter. Intriguée, la jeune femme se redressait, provocatrice, joueuse, recueillant un « Va te faire foutre » suivi d'un claquement de porte en guise de réponse. Un rire bref fila entre ses lippes rosées, à la fois surprise et amusée par la situation. « Juste après toi, Marchetti ! » Elle exhorte derrière la porte, arrogance fulgurante. Un Nino de mauvaise humeur : elle saisissait derechef le défi. Son voisin de pallier ne transpirait jamais la joie de vivre, mais aujourd'hui, son humeur s'apparentait au massacrant. Allie était d'avis de jouer avec le feu en titillant un maximum le brun.

Elle l'entend évoluer dans son domicile, insonorisation ratée de la bâtisse oblige. Ses sourcils se froncent discrètement lorsqu'elle perçoit un objet tomber au sol puis se briser, juste avant que l'homme à tout faire ne s'exprime tel un damné. A la fois inquiète et curieuse, la Oakheart ne se priva pas d'ouvrir la porte du {#}150{/#} pour découvrir un Nino enragé aux doigts ensanglantés « Dégage ! » Peu impressionnée, aucunement obéissante, l'australienne réduisit la distance entre le garçon et elle, après avoir fermé la porte d'un coup de pied négligent. « C'est pas dans ces circonstances-là que j'les apprécie, tes ordres, » elle nargue, faisant allusion à leur partie de jambes en l'air où elle avait invité Nino à la "punir". Allie attrape l'avant-bras de la main blessée du jeune homme sans vergogne avant de questionner : « T'as de quoi te soigner ? » Teigneuse, hargneuse, ses doigts sont fermement resserrés autour du poignet de son interlocuteur. « C'est quoi ton problème, aujourd'hui ? T'as été viré ? » Parce que certes, elle considérait que Nino avait plutôt une vie de merde, mais vu son état d'agacement, quelque chose qui lui tenait à cœur ne devait pas tourner comme il le voulait...

Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG VVZKQDhSujet: nino1.0 » #150-152
Invité

Réponses: 24
Vues: 800

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: nino1.0 » #150-152    Tag 150 sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyLun 12 Aoû 2019 - 3:30
La porte du studio {#}150{/#} s'ouvre pour laisser transparaître son locataire, en caleçon, nonchalant. Le regard d'Allie le dévisage de la tête aux pieds soigneusement, sans gêne aucune, index dans la bouche. « Rien de cassé ? » Elle hausse les sourcils, se retenant presque de lui demander ce que ça peut bien lui faire qu'elle ait eu la main broyée par son mec une minute plus tôt. Mais bon, il fait déjà preuve de courtoisie en ne se plaignant pas du boucan, le tout avec un visuel intéressant, elle va faire un effort. Elle ôte son index de sa bouche, l'analyse. Chacun sa manière de soigner les coupures. « Rien de cassé. Impact pallié. » Elle affiche une mine satisfaite, se mord doucement la lèvre.

Elle se penche pour ramasser ses affaires, glisse le butin dans les poches de sa veste. « C'est encore le coup de la clé ? » Un condom entre ton pouce et ton index, la jeune femme se tourne vers le trentenaire, air interrogateur. Encore ? Il a tant conscience de vos prises de bec que ça ? « T'es bien informé. » Son regard bleuté se pose sur la porte de son studio qui se ferme progressivement, jusqu'à s'enclencher totalement. « J'espère pour toi que c'est pas les portes qui se verrouillent automatiquement en se fermant. A moins que t'en aies plus dans le caleçon que l'ordinaire. » Elle entend d'ici les répliques tendancieuses.

Ses biens rapatriés, elle jette un coup d’œil désinvolte à la porte de son appartement. Elle est toujours en rogne contre son mari et franchement, elle se demande s'il est judicieux pour sa survie de revoir sa tête si vite. « T'avais l'air de t'emmerder. » Elle lance au brun toujours présent sur le pallier. « T'as quoi sur le feu ? » Elle désigne le studio derrière la porte 150. Elle n'y est jamais entrée, elle est curieuse, puis elle n'a pas nécessairement envie de faire marche arrière et traîner dans les rues de Brisbane. Elle tâte si elle peut passer le temps en sa compagnie ; sinon, elle se résignera à rejoindre Michael. Dans tous les cas, rien ne la prive d'ôter une clope de la poche de sa robe et d'en enflammer l'extrémité. Elle inspire profondément puis expire doucement la fumée avant de tendre la cigarette à l'attention de son voisin de pallier.
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