L’américain fermait son coffre fort après avoir chaque billet qui s’y trouvait tout en grimaçant. Ce n’était pas suffisant et le temps ne jouait pas en sa faveur. Plusieurs mois étaient passé depuis son retour d’Europe, plusieurs mois que sa dette envers un trafiquant d’arme stagnait au-dessus de sa tête. Une dette qu’il ne pouvait malheureusement pas éponger en un simple virement, c’était bien plus compliqué que ça et seul de l’argent non déclaré pouvait faire l’affaire. L’idée était pourtant simple. Traquer chaque personne lui devant de l’argent et ils étaient nombreux. Cela signifiait se plonger chaque jour un peu plus du mauvais côté, du côté qu’il avait pourtant tenté de fuir à tout prix. Il se retrouvait à menacer à nouveau, à usé de la violence pour obtenir son dû auprès de mâlin qui pensait que leur dette serait oublié après sa chute et pourtant, Mitchell avait toujours été très organisé à ce sujet et chaque nom, chaque montant était bien répertorié dans un carnet qu’il gardait à l’abri depuis tout ce temps,attendant le bon moment pour réclamer les sommes qu’il avait un jour prêté. Sa liste diminuait au fil des mois, mais quelques-uns lui manquaient et il ne parvenait pas à les retrouver ou alors il était difficile de leur tomber dessus sans risquer sa propre vie. Le dernier en lisse était Marc, un dealer qui avait une addiction au jeu. A l’époque il s’était mis dans une situation compliquée suite à une partie de poker organisé par l’Américain et s’était endetté pour pouvoir quitter les lieux. Les quelques centaines de dollars qu’il devait à l’ex boss du Club suffirait à se rapprocher de la somme dû au malfrat des pays de l’est et il devait le trouver, il devait faire en sorte qu’il ne se sente pas suivi, qu’il ne se sente pas traquer, car il connaissait très bien ce genre de vermine et au moins doute il devenait invisible.
C’est après plusieurs jours de réflexion que Mitchell décida d’attraper son téléphone, scrollant jusqu’au nom de Lucy. Il avait longuement hésité à la contacter pour lui demander ce service, pour l’engager à trouver ce type. Il soupira longuement et n’envoya pas de message. Il attrapa les clé de sa moto et se rendit dans le quartier de la jeune femme, esperant peut-être tomber sur elle par hasard. Il allumait une cigarette alors qu’il se trouvait face à son immeuble, voulant patienter jusqu’à la voir sortir.
C’est après une bonne heure qu’il vit une silhouette lui était familière, il jetta le dixième mégot au sol et avança d’un pas confiant vers elle. “Lucy !” Qu’il disait en s’approchant d’elle. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle accueille son interpellation dans la rue avec joie, surtout après le nombre de mois qui s’était écoulé depuis leur dernière rencontre. Un moment qui s’était voulu agréable et torride, un moment que l’Américain avait fortement apprécié, mais qui était défendu. En posant son regard sur elle, il n'avait pu s’empêcher de sourire, un sourire qui était apparu naturellement et qui n’était pas contrôlé. Mitchell étant Mitchell, il ne put s'empêcher de rajouter un petit commentaire suite à sa prise de parole. “Toujours aussi belle !” Un commentaire qui était sûrement mal venue, mais qui permettait au brun de faire du charme comme à son habitude. Ni l’un ni l’autre ne s’était donné de nouvelles durant ces nombreux mois et ce qui avait motivé l’Américain à l’aborder ainsi était bel et bien le fait de devoir lui demander son aide et il n’allait pas passer par quatre chemins pour le lui faire savoir. “Je sais que ça fait un moment, je ne t’ai pas appelé, tu ne m’a pas appelé, mais j’ai vraiment besoin de ton aide et j’aimerai t’engager pour un boulot.” Il n’en disait pas plus pour le moment et se contenta de la regarder, espérant qu’elle accepte d’écouter ce qu’il avait à lui dire.
Les inscriptions sont closes et la quête peut officiellement commencer Avant de découvrir vos nouveaux coéquipiers, un petit rappel des règles :
Deux fois à trois fois par semaine, l'un de ces tableaux sera caché dans un des différents quartiers du forum, à une heure et une date aléatoires afin que chacun puisse, à un moment ou un autre, avoir sa chance de mettre la main dessus :
Pour ne pas louper l'apparition d'un portrait, nous vous conseillons d'activer les notifications sur ce sujet, puisque c'est à sa suite que nous vous communiquerons les informations pour mettre la main sur les tableaux. Ils seront susceptibles d’apparaître n'importe où au sein de la zone délimitée, ouvrez l'œil !
Que faire lorsque l'on a mis la main sur le précieux ?
L’envoyer par MP au Destin, qui tiendra des comptes précis de vos victoires puisque les portraits valent chacun 100 points individuels (ajoutés à votre profil).
Si après 48h, aucune équine n'est parvenue à trouver le portrait, le Destin vous communiquera un indice ... Mais celui-ci aura un prix : le drapeau ne vaudra plus que 50 points désormais.
(attention : dès qu'il sera découvert par la première équipe, le tableau sera retiré et il ne sera plus possible de le trouver. )
Comment gagner la course ?
Plus les membres de votre équipe trouveront les portraits, plus vous grimperez dans le classement général. L'équipe en ayant trouvé le plus et ainsi cumulé le plus de points sera déclarée gagnante Les #1 recevront alors 200 points bonus chacun, 150 points bonus pour les #2 et enfin 100 points bonus pour les #3
Quand débutera la course ?
Restez à l'affût de ce sujet et installez-vous dans les starting blocks, car à compter de maintenant le premier portrait pourra apparaître n'importe quand
Dancing all alone to the sound of an enemy's song ft @Lucy Cavanagh#3
Décembre 2023, appartement de Lucy, Redcliffe.. « Sans vouloir t’offenser, les avocats sont des requins à qui il est impossible de faire confiance. Et on sait comment sont les flics, alors … » Forcément que la remarque ne manque pas de la faire sourciller, même si elle sait que sa meilleure amie ne la met pas dans le même panier que ces avocats dont elle parle. Et d’ailleurs, elle reconnait volontiers que le portrait peu glorieux qu’elle peut dépeindre n’est pas si éloigné de la réalité, Gabrielle ayant suffisamment côtoyé d’avocats dans sa carrière – à l’entendre penser ainsi, on dirait qu’elle est une vieille personne, un pied déjà dans la tombe – pour savoir qu’ils sont malheureusement nombreux à être impitoyable et sans scrupule. Alors, même si elle grince un peu des dents, elle ne peut qu’acquiescer, sa tête légèrement penchée sur le côté « Je le reconnais ». Elle hausse les épaules et se contente de reporter son attention sur le dossier sous leurs yeux. Des candidats, il n’en manque pas, et ce malgré les critères exigeants de sa meilleure amie. « Si … si. J’sais pas. Sur le papier, il est parfait, c’est vrai. Bon métier, pas de maladie chronique, c’est fondamental. Mais j’sais pas, il manque un truc … » Comme face à ce médecin qui est loin d’être déplaisant et dont le portrait et les antécédents sont plutôt convaincants, Lucy trouve tout de même de quoi redire et c’est peut-être pour décourager un peu plus la Strange qui se dit que le choix risque d’être cornélien. « Un truc ? » qu’elle demande, ayant plus l’impression que Lucy recherche l’homme parfait – malheureusement, celui-ci n’existe pas, sans vouloir paraitre pessimiste. Bon et puisqu’elle hésite sur celui-ci, sans pour autant l’écarter totalement, Gabrielle lui propose de pouvoir laisser une chance à certains en accordant un peu plus de temps au temps et de revenir éventuellement sur certains profils un peu plus tard. « T’as raison, on va faire ça, ça me plait comme idée ! Tu peux le noter dans les « je réfléchis » ! » Et voilà que Gabrielle s’exécute, attrapant le premier calpin qu’elle trouve et trace un grand trait au travers de la feuille, en annotant les deux catégories. Le numéro de la page de celui qu’elle a repéré rejoint donc le camp des je réfléchis ou des au cas où – ça marche aussi – et voilà qu’elles s’attèlent déjà à trouver un autre candidat potentiel « Attends ! Stop ! » Gabrielle marque un temps d’arrêt puis revient en arrière pour laisser le temps à Lucy d’examiner ce profil qu’il semble lui avoir fait de l’œil. « Lui, il est carrément sexy ! On dirait ton frère ! » Et alors que Gabrielle venait de porter à ses lèvres son verre de vin – elle en est sûrement au même nombre de verres que Lucy ce qui fait que ses réactions sont plus extrêmes qu’à la normale – c’est limite si elle ne manque pas de s’étouffer et de recracher le contenu de son verre « Mon frère ?! » Elle a besoin de répéter, alors qu’elle reporte son regard sur Lucy « Tu parles d’Alex ? Sérieusement ? Puis depuis quand tu le trouves attirant au juste ? » Forcément que les mots de sa meilleure amie l’interpelle et peut-être l’agace dans le sens où Lucy est au courant qu’évoquer son ainé n’est pas une très bonne idée quand elle est réellement en colère contre lui depuis leur dernière rencontre qui a mal tourné – comme à chaque fois finalement. Cette colère tend à reprendre sa place d’ailleurs, à minima, ce qui lui fait reposer son verre sur la table basse un peu fortement « Rien que pour sa ressemblance avec mon frère, je ne prendrai pas le risque de m’attarder sur ce type. Alex ferait un terrible père ». Elle n’a aucun scrupule à le dire à voix haute et ce n’est pas une opinion qui date d’hier qu’elle lui partage ici – et le principal concerné est déjà au courant du parallèle que sa sœur fait entre lui et leur père. Gabrielle est déçue de la personne que celui qu’elle peine à qualifier de frère est devenue et finalement, son évocation ravive toute la rancœur qu’elle peut ressentir à son égard – et pourtant, elle n’est pas du genre rancunier. Elle soupire, reprenant son verre en main et se réinstallant à nouveau confortablement sur le canapé, après avoir retrouvé un certain calme « Tu l’as croisé récemment ? » Cette question est en fait anodine pour Gaby qui ne se doute pas un seul instant qu’elle tape dans le mille en disant ça, même si elle sait que le culot de son frère pourrait le pousser à aller à la rencontre de la meilleure amie de sa sœur, ne serait-ce que pour avoir des nouvelles de celle-ci – ou lui demander d’agir en sa faveur pour arranger les choses et recoller les morceaux. Rien donc qu’il ne la surprendrait outre mesure, bien que cela ne ferait qu’accroitre cette colère qu’elle peut avoir contre Alex, c’est certain.
Décembre 2023. Dovecourt Center, Noël solidaire. Elle connaît son cousin, Zoya, et rien ne l’étonne aujourd’hui en le voyant donner de son temps et de sa personne alors que nombreux sont ceux qui se retrouvent sans toit à cause de cette satanée tempête. Alors, oui, la Lewis a accepté de lui prêter mains fortes alors qu’il souhaite distribuer des repas et, tout comme lui, c’est aussi un bon moyen de passer du temps ensemble. « Désolé, je – » Il s’excuse parce qu’il est tellement obnubilé par la perfection qu’il en oublie de la saluer. Elle ne lui en tient pas rigueur et s’en amuse plutôt, aimant taquiner son cousin dès qu’elle le peut. « Hé ! Tu m’avais pas dit que c’était aussi… » Sa blessure de « guerre » qu’elle l’appelle, voilà ce qui retient l’attention de Caleb soudainement qui, elle le sait, va s’en inquiéter plus que ce qu’il n’en faut. Quand il frôle la petite plaie, elle laisse échapper une petite plainte, la zone restant sensible « Ça te fait pas mal ? Tu vas bien ? Tu as été voir un médecin ? Fais attention, ça pourrait s’infecter. » « Et mourir aussi ? » qu’elle fait un peu agacé du fait de sa dernière remarque alors qu’elle lui tape sur la main, levant les yeux au ciel « C’est sensible mais c’est rien de grave, ne t’en fais pas. » Un sourire reprend place sur ses lèvres « C’est Cameron qui aurait mérité de se prendre ce bout de verre parce que c’est lui qui a mal renforcé la fenêtre mais bon… Chloe n’a rien eu et c’est le principal ». Ce qui est vrai parce qu’elle avait sa fille dans ses bras lorsque cela est arrivé et c’est justement en se baissant pour la protéger que le morceau de verre est venu se loger sur sa joue. Plus de peur que de mal donc et c’est tout ce qu’elle souhaite que son cousin retienne – bien qu’elle aime pourtant se faire plaindre, Zoya ou en faire des tonnes aussi mais elle sent que son cousin n’a pas spécialement besoin de ça. « Et c’est exactement pour ça que je t’ai proposé de m’aider aujourd’hui. » Qu’il soit honnête ou pas, peu importe, elle y croit pour deux qu’elle sera une assistante parfaite aujourd’hui. Puis ce n’est pas un domaine qu’elle découvre, faire le service est quelque chose qu’elle a souvent fait, notamment pour son père, que ce soit quand elle était plus jeune ou encore aujourd’hui quand elle se trouve sur place au moment des services. « Je ne suis pas obligé d’être dessus rassure-moi ? » Ca c’est à propos des photographies qu’elle compte prendre pour agrémenter les réseaux sociaux du restaurant de son cousin qui rechigne évidemment à l’idée de paraitre sur celles-ci « Tu sais ce que j’en pense, ce serait une bonne chose que tu sois dessus mais je connais tout ton discours bla bla bla comme quoi tu n’es pas photogénique, bla bla bla ». Ce qu’elle ne pense pas, elle et elle trouve ça dommage qu’il ne se mette pas en avant car, après tout, sa personne fait partie de l’image même de son restaurant, qu’il le veuille ou non. Mais elle respecte son choix, s’il ne veut pas s’illustrer sur les photos ce soir, elle ne le forcera pas à le faire. « Pour le plat j’ai fait du bœuf bourguignon, et pour les végétariens un risotto aux tomates. » Zoya approche son nez des plats qui sont encore recouverts, humant leurs odeurs toutes plus agréables les unes que les autres, le tout lui donnant l’eau à la bouche. Elle ne se risquera pas à quémander les restes mais il est possible qu’elle espère avoir droit à sa petite part de bœuf bourguignon elle aussi. « Ne me parle pas de fraisier s’il te plaît…je crois que j’en suis un peu dégoûté. » Zoya acquiesce vivement, elle l’est tout autant parce que le dernier fraisier en date dans leur vie est celui qu’ils ont dû confectionner ensemble, en ne s’autorisant aucune marge d’erreur. « Si c’est ce que tu avais proposé, j’aurai jeté mon tablier » et il se serait retrouvé seul pour la distribution des repas et elle ne plaisante même pas, la Lewis. « Non, pour le dessert j’ai fait simple : mousse aux trois chocolats et framboise. » Là, en revanche, c’est certain qu’elle restera « Comme ça a l’air délicieux… » qu’elle fait en lorgnant sur les friandises, se penchant alors pour glisser doucement à l’oreille de son cousin « Tu m’en as mis une de côté hein ? » Le regard qu’elle adresse à son cousin est suppliant alors qu’elle s’en saisit d’une pour regarder sa composition « Tu me donneras la recette ? Je suis sûre que Chloe et Mickey adoreraient » Sa fille est aussi gourmande qu’elle en pâtisserie et son petit-ami – qu’elle peut appeler désormais ainsi parce que leur relation est devenue officielle – semble apprécier tout particulièrement les mets qu’elle peut lui concocter – et peut-être cherche-t-elle aussi à l’impressionner à chaque fois qu’elle a l’occasion de cuisiner pour lui. « D’ailleurs ton père a finalement fait ce fraisier pour son évènement ? » Zoya grimace alors qu’elle se redresse parce qu’elle avait volontaire éviter la question de Caleb quelques mois plus tôt et avait espéré qu’il aurait oublié ledit sujet de discorde « Bah disons que… tu connais mon père, avec son caractère, quand il dit non, c’est non alors… il m’a dit que j’ai perdu mon temps pour rien parce qu’il était, de toute façon, passé à autre chose et qu’il pensait qu’il avait été clair à ce sujet ». On se demande lequel des deux est le plus borné. « Il a quand même goûté, il a dit qu’il était parfait mais il ne m’a pas cru que je lui ai dit que je l’avais réalisé seule » parce que c’était le deal et ça, Caleb le savait « Il m’avait dit de te dire que ton fraisier était au top et que tu devrais le proposer dans ton restaurant ». Pas bête le papa Lewis qui n’a pas cru au mensonge de sa fille qui est évidemment repartie en rogne du restaurant. « Bref, c’était une bonne expérience entre nous quand même non ? C’est tout ce qui compte » Et parce que les premières personnes commencent à arriver, Zoya se saisit d’une assiette sans tarder et enchaîne aussitôt – non elle ne fuit pas la discussion « Bonjour, bienvenue, qu’est-ce que je vous sers ? ».
ÂGE ≈32 ans (Née le 19 Avril 1992) LIEU DE NAISSANCE ≈Brisbane STATUT SOCIAL ≈Célibataire MÉTIER ≈Cascadeuse pour le cinéma, moto et arts martiaux QUARTIER ≈Kurilpa Street (n° 83) ORIENTATION SEXUELLE ≈Bisexuelle GROUPE ≈Au secours, j'ai 30 ans
En RP
STYLE ≈J'écris à la première personne, au présent. NBR DE MOTS ≈On va dire 400-500 mots en moyenne. FREQUENCE ≈3/4 fois par semaine idéalement. Mais je suis plutôt disponible le week-end.
Les informations en vrac
#1. Luisa est l'aîné d'une fraterie de deux soeurs. Elle n'a jamais été la soeur protectrice et bienveillante que sa mère aurait voulu qu'elle soit. Son truc c'était plutôt les anti-sèches dans la trousse ou les sorties nocturnes non-autorisées. ≈ #2. Monsieur Summers, son père, n'a plus donné signe de vie lorsqu'elle avait 10 ans. Il a préféré fuir ses dettes de jeux, et laisser sa famille, au profit d'une seule femme. Une seule garce. ≈ #3. Elle a toujours fréquenté des petits cons, qui lui ont facilement donné le goût du risque. Très tôt elle a appris à mentir et voler, décevant ses proches, jour après jour. Notamment sa mère qui comptait sur elle pour guider sa soeur. ≈ #4. Comme son père, elle se passionne pour tous les excès, notamment les excès de vitesse. Elle apprend à faire de la moto très jeune, et rêve aujourd'hui de remporter des grands prix. ≈ #5. Malgré son caractère fougeux et capricieux, Luisa a un coeur tendre. Elle est extrêmement généreuse et aimante avec ses proches. Mais surtout, elle tombe amoureuse d'un nouvel homme tous les quatre matins. ≈ #6. Luisa a un chien depuis 3 ans maintenant. Une petite femelle labrador nommée Gigi. ≈ #7. Une partie d'elle continue d'espérer le retour de son paternel. Même après vingt et un ans d'absence et de silence radio. ≈ #8. Elle ne le sait pas encore, mais elle est clairement kleptomane. Mieux vaut éviter de froisser son égo, elle peut facilement se venger en piquant du fric, des bijoux, des clés, ou n'importe quel petit objet qui a une grande valeur pour vous. ≈ #9. L'absence de son père durant son adolescence a clairement entraîné un complexe étrange envers la gente masculine. Elle les désire autant qu'elle les repousse. Elle se laisse séduire mais se méfie toujours. Elle les enchaîne mais ne sait pas en garder un près d'elle. ≈ #10. Vraie sportive, elle a appris les art martiaux à l'adolescence et en a fait son métier. Se voir à l'écran faire toute sorte de cascade, ça la fait kiffer. ≈ #11. Elle aime également tous les sports nautiques. Elle passe beaucoup de son temps libre à faire du surf ou de la plongée. C'est également un moyen pour elle de flairer les beaux poissons. ≈ #12. On la croit hyperactive et toujours là où se trouve l'action, mais Luisa peut aussi se montrer calme et désintéressée. S'il elle n'a pas une clope ou un joint entre les lèvres, elle aura surement un crayon ou un pinceau entre les doigts. En effet, elle a fait des études d'art et n'a jamais cessé de dessiner et peindre. Elle tient ça de sa mère. #13. Elle n'a quitté l'Australie qu'une seule fois de sa vie, par amour. Et ai rentré 6 mois plus tard, avec grands regrets. #14. Elle s'est faite avorté une fois, à ses 27 ans. Et personne n'est au courant.
Liens recherchés
Accolyte ≈ court descriptif (loading...) Amour à sens unique ≈ court descriptif (loading...) Titre du lien ≈ court descriptif
#1@Diego Gutiérrez (6540 points) ≈ D'après la légende, c'est un autre Gugu qui a été encensé pour ses talents artistiques. D'après les rumeurs qui courent sur le forum, c'est bien Diego qui s'est donné du mal pour atteindre le sommet et pour notre plus grand plaisir. En plus d'un chiffre honorable au compteur de points, nous jurons que chacun sera heureux de contempler son minois d'angelot sur la PA durant ce mois... il va nous sembler court : vivement la prochaine.
#2@Louis Dalton (5990 points) ≈ Il oublie parfois, Louis. Il ne dort pas bien non plus, paraît-il. En revanche, ce à côté de quoi il n'est pas passé, c'est d'engranger les points pour se hisser sur la deuxième marche d'un podium convoité. Somme toute, il s'en est donné les moyens : il a lui-aussi cumulé les RP, a voté avec assiduité. Autant dire que nous sommes heureux de nous imaginer ouvrir le forum et de tomber sur sa bouille à croquer.
#3@Raelyn Blackwell (5740 points) ≈ Petit jeu de devinette : Raelyn s'est-elle propulsée sur la troisième place pour récupérer une reward qui lui manquait ou tout simplement parce qu'elle n'a pas besoin de se forcer pour faire grimper les points au compteur ? - Alors ? A votre avis ? Ne faites pas semblant d'hésiter, vous savez que c'est un peu des deux, mais surtout la deuxième option. C'est l'une des machines du forum qui nous impressionne. Et, quand bien même, n'est-elle pas belle la Reine de Brisbane ? Qui pourrait s'en lasser sur cette PA, et ce, qu'importe où elle s'y trouve ? Personne. C'est un enchantement.
NOM ≈SummersPRÉNOM(S) ≈LuisaÂGE ≈32 ansLIEU DE NAISSANCE ≈BrisbaneSTATUT SOCIAL ≈célibataireMÉTIER ≈Casadeuse de cinéma pour moto et arts martiauxORIENTATION SEXUELLE ≈bisexuelleGROUPE ≈Au secours, j'ai 30 ansAVATAR CHOISI ≈Zoé KravitzCREDITS GIFS ≈raquelgifs
Les informations en vrac
#1. Luisa est l'aîné d'une fraterie de deux soeurs. Elle n'a jamais été la soeur protectrice et bienveillante que sa mère aurait voulu qu'elle soit. Son truc c'était plutôt les anti-sèches dans la trousse ou les sorties nocturnes non-autorisées. ≈ #2. Monsieur Summers, son père, n'a plus donné signe de vie lorsqu'elle avait 10 ans. Il a préféré fuir ses dettes de jeux, et laisser sa famille, au profit d'une seule femme. Une seule garce. ≈ #3. Elle a toujours fréquenté des petits cons, qui lui ont facilement donné le goût du risque. Très tôt elle a appris à mentir et voler, décevant ses proches, jour après jour. Notamment sa mère qui comptait sur elle pour guider sa soeur. ≈ #4. Comme son père, elle se passionne pour tous les excès, notamment les excès de vitesse. Elle apprend à faire de la moto très jeune, et rêve aujourd'hui de remporter des grands prix. ≈ #5. Malgré son caractère fougeux et capricieux, Luisa a un coeur tendre. Elle est extrêmement généreuse et aimante avec ses proches. Mais surtout, elle tombe amoureuse d'un nouvel homme tous les quatre matins. ≈ #6. Luisa a un chien depuis 3 ans maintenant. Une petite femelle labrador nommée Gigi. ≈ #7. Une partie d'elle continue d'espérer le retour de son paternel. Même après vingt et un ans d'absence et de silence radio. ≈ #8. Elle ne le sait pas encore, mais elle est clairement kleptomane. Mieux vaut éviter de froisser son égo, elle peut facilement se venger en piquant du fric, des bijoux, des clés, ou n'importe quel petit objet qui a une grande valeur pour vous. ≈ #9. L'absence de son père durant son adolescence a clairement entraîné un complexe étrange envers la gente masculine. Elle les désire autant qu'elle les repousse. Elle se laisse séduire mais se méfie toujours. Elle les enchaîne mais ne sait pas en garder un près d'elle. ≈ #10. Vraie sportive, elle a appris les art martiaux à l'adolescence et en a fait son métier. Se voir à l'écran faire toute sorte de cascade, ça la fait kiffer. ≈ #11. Elle aime également tous les sports nautiques. Elle passe beaucoup de son temps libre à faire du surf ou de la plongée. C'est également un moyen pour elle de flairer les beaux poissons. ≈ #12. On la croit hyperactive et toujours là où se trouve l'action, mais Luisa peut aussi se montrer calme et désintéressée. S'il elle n'a pas une clope ou un joint entre les lèvres, elle aura surement un crayon ou un pinceau entre les doigts. En effet, elle a fait des études d'art et n'a jamais cessé de dessiner et peindre. Elle tient ça de sa mère. #13. Elle n'a quitté l'Australie qu'une seule fois de sa vie, par amour. Et ai rentré 6 mois plus tard, avec grands regrets. #14. Elle s'est faite avorté une fois, à ses 27 ans. Et personne n'est au courant.
Le joueur derrière l'écran
Sur le net, on m'appelle Stellee, mais appelez-moi Estelle. J'ai 29 ans, et je viens de Marseille. J'ai découvert 30YSY grâce à un top-site, et j'ai cédé à m'inscrire parce que j'avais vraiment envie de reprendre le RP. Pour me faire ma place, j'ai PAS BESOIN d'un parrain ou d'une marraine. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) 3 fois par semaine ou plus. Mon personnage est un INVENTÉ. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et coeur sur vous.
Avais-je de quoi être fier tandis que j’ouvrais la porte sur un Rhett étonné d’avoir été alerté par les lumières de mes gyrophares ? Assurément, non. Y aurais-je songé que j’aurais peut-être baissé la tête avant de l’inviter à rentrer. Peut-être ne les aurais-je pas relevé dans sa direction à l’heure nous installer au milieu des restes de décoration de l’appartement. Il n’y a pas de quoi se vanter d’avoir tout casser pour une connerie de non-dit qui, dans un couple normal, aurait été réglée d’un coup de cuillère à pot. Une question aurait suffi : “qu’est-ce que c’est ? “ pour obtenir une réponse aussi satisfaisante que rassurante. Au lieu de ça, j’ai pété les plombs, ma femme s’en est allée par obligation et par instinct de préservation à l’égard de Micah. Tout à ma colère, je n’ai pas imaginé que Micah l’imaginerait dirigée contre elle. Arguant que Rae a toujours préféré le conflit plutôt que la fuite, je n’ai pas non plus songé à ce qu’elle me fuirait en emportant notre magnifique enfant sous le bras et de la frustration sous l’autre. Elle se mue en sentiment d’injustice parce qu’elle n’est pas rentrée, mon épouse. Elle a pris la poudre d’escampette la veille et, au terme d’une discussion téléphonique dans laquelle j’ai pourtant distribué autant d’énergie que nécessaire pour qu’elle envisage son retour. Or, elle ne l’a pas quittée, sa chambre d’hôtel. Elle reste cramponnée à cette suite en me laissant pantois, effaré, la tête emplie d’une panoplie de questions : “qu’aurais-je pu dire ? Dû clamer ? Que convenait-il d’ajouter à mon je suis désolé ?” J’ai beau chercher, rien ne me vient ou presque. Quelques bribes idées me rattrapent tandis que je relate à mon ami - Rhett ne doit-il pas en être pour s’être pressé à ma porte sous le bon prétexte que je l’ai réclamé l’air inquiet et alarmé - des brèves de ma soirée.«Une note de frais, oui. D’hôpital. Enfin, de la clinique où on va habituellement.» La santé de Raelyn est presque classée défense. En ce qui me concerne, je suis moins précautionneux. Pour ce qui est de notre fillette, rien n’est trop beau. «À son nom. Elle a vu un médecin, un spécialiste, elle ne m’a rien dit.» Quand ? Je n’en sais rien. Qui ? Aucune idée. Pourquoi ? Je n’ai pas l’ombre d’une piste et, pour cause, je n’ai pas cherché les indices sur la facture, je me suis focalisé sur ce que ce bout de papier suggérait en mensonge. «Comme si je n’étais plus concerné, que je n’étais plus son allié.» A peine moins qu’un boulet qu’elle traînerait jusqu’au bout de ses forces à cause d’un putain de bracelet à ma cheville. Alors, bien entendu, j’exagère. J’en suis davantage conscient à présent. A l’heure des faits, j’étais comme fou, à des lieues de la cohérence et, bien que j’aurais honte d’en faire l’étalage devant certains, je ne m’encombre d’aucune pudeur devant Rhett : ne sommes-nous pas liés par ce qu’il y a de plus avilissant en l’Homme : sa propension à n’être que le pantin d’une addiction ? «La crise, hier. Son départ aussi. Mais, elle veut pas rentrer et crois-moi, c’est ce qui m’inquiète le plus.» ai-je confessé, expliquant que je survis dans cet état d’urgence. « Justement parce qu’elle dit qu’elle est malheureuse…. à cause de moi… J’essaie pourtant. Elles sont mes priorités, tu sais.» Inutile de préciser que le thermomètre de mon inquiétude a le mercure qui grimpe rapidement. «Parce que je pense qu’à ma gueule, je crois. Ou parce que j’ai su avant elle que j’allais être incarcéré et que je lui ai rien dit. Je ne sais pas, Rhett. Je sais pas ce que je fais mal et ça peut pas rester comme ça.» Penaud, la bouche tordue dans cette grimace qui trahit l’incompréhension, je me désole sans dissimuler mon désarroi.« Mais j’ai pas replongé, si c’est à ça que tu penses. Pas même en prison.» Pourtant, les occasions m’ont été données. «Et j’essaie pas de te demander que tu m’apportes de quoi faire encore plus de merde, mais pour que tu m’aides à la nettoyer. Il faut que tu me la ramènes. Je peux pas aller la chercher moi et je la perds, Rhett. Je vais peut-être te sembler stupide…» Stupide d’un romantisme qui n’y ressemble que pour les fleurs bleues, car à mes yeux, il s’agit davantage de la promesse de la nécessité que d’un acte de dévotion. «Elle dort pas sans moi si je lui impose pas… ou si on n’a pas le choix. Si elle rentre pas, là, ce soir… quand elle le fera, plus rien ne sera pareil.» Quelque chose, entre nous, ce sera brisé et j’en tremble. «Tu vois ce que je veux dire ? Tu as déjà vecu ça ? »Auquel cas, je n’aurai à formuler aucune requête : la solution s’imposera d’elle-même.
Assis en tailleur au milieu du salon à fixer le mur, non pas hébété, mais noyé par la multitude d’émotions qui m'assaillent, je peine à remonter à la surface. La notion du temps m’est étrangèr : j’ignore quelle heure il est. Je ne sais plus quel sentiment prédomine entre la peur de perdre Raelyn - et par extension, ma fille -, la douleur d’être incompris dans mes blessures et le pressentiment qu’elle a raison, mon épouse. Que si nous en sommes là, vivotant entre l’amour brûlant - de temps en temps - et la plombante lassitude - fruit de ma colère -, c’est entièrement ma faute. Je l’envisage assez pour partir en quête d’une solution dans le but de la réparer. Sans ce maudit bracelet à ma cheville, j’aurais déjà grimpé dans ma voiture pour frapper à la porte de la chambre de Raelyn. C’est même étonnant que, de rage, je n’ai pas cherché à me l’arracher pour me sentir enfin libre d’agir, libre de ramener à moi celles dont dépend ma santé mentale. Peut-être suis-je moins sourd aux “menaces” de mon épouse. Lorsqu’elle m’a invectivé de ne surtout pas commettre l’erreur la plus idiote qui soit, autrement dit, retourner en prison, je suis conscient qu’elle ne plaisante pas. Je suis lucide sur ce qu’elle ne me le pardonnerait pas. Comment serais-je alors supposé vivre, dans une cage, avec au ventre l’indicible inquiétude de ne plus être le bienvenu le jour de ma sortie ? Impossible. Dès lors, quoique je sois tenté d’entamer mon lien de l’outil qui convient, je m’en abstiens. Je réfléchis à méthode viable, une qui m’ôtera de l’impression que nous vivons une rupture imminente même si Rae a proposé que nous nous appelions demain. Elle pleurait au téléphone. Je n’ai certes pas trouvé les mots pour la rassurer. Je n’ai même aucune idée de ceux qu’elle aurait souhaité entendre compte tenu qu’un “je suis désolé, ignorons ce que je ressens à ton profit” ne l’aura pas séduit. Somme toute, je dois agir : j’en suis convaincu. Je dois, dès ce soir ou dans le courant de la nuit, pouvoir tenir contre moi ma dulcinée pour lui chanter les sérénades composées par ma sincérité. Pour ce faire, j’ai besoin d’aide et déjà mon cerveau liste les noms des personnes en mesure de m’aider. En premier lieu, je songe à mes frères avant de déduire que si Abe se fera une choix de surveiller Micah, il n’aura pas la rudesse nécessaire à tirer ma femme hors de sa forteresse si tant est qu’elle s’y oppose. Le fera-t-elle ? J’évalue rapidement les chances et la vérité se dessine telle une évidence : elle ne contentera pas de protester, elle campera sur ses positions dans tous les sens du terme. Nul ne lui impose sa volonté sans subir sa mauvaise humeur. D’aucuns ne s’y risqueraient hormis moi et un autre cro-magnon gravitant dans mon entourage : Rhett. Son prénom revêt l’éclat du dernier espoir et, triste d’admettre que je n’ai pas l’impression d’exagérer. Aussi me suis-je moqué de l’heure à laquelle je lui ai adressé un texto plaintif le sommant de frapper à ma porte aussi vite que possible. J’argue de lui promettre une reconnaissance infinie et un nombre incalculable, mais défini, de faveurs amicales. Ses désirs deviendront des ordres sans que l’idée ne chatouille ma fierté : je suis prêt à tous les risques pour sauver mon couple, en ce compris dévoiler les secrets de mon tracas à cet ami dévoué qui s’est pointé sans poser de questions. Il écoute mes remerciements. Il est attentif à ma complainte : « Alors, ok. Tout cassé dans l’appart pour une note de frais, c’était légèrement démesuré. Mais, elle s’est barrée… Elle a pris la petite, après avoir refusé de me la donner alors qu’elle avait peur.» Le cas échéant, j’étais lucide sur ma part de responsabilité même si ma mauvaise foi a prétendu le contraire. «Je lui ai dit que j’étais désolée de m’être énervé et de l’avoir accusé de me tromper. Je pense même avoir dit que je ne le pensais pas, que c’est ma colère qui parlait.» De cela, je ne suis plus tout à fait certain, mais je récite les faits sur le ton de l’urgence : je ne m’attarde pas à vérifier dans ma mémoire l’entièreté de mon propos. «Elle m’a caché des trucs et ça me rend dingue, mais… elle est malheureuse. Vraiment. Je l’ai entendu. C’était juste une dispute, je ne comprends pas les proportions que ça prend. » ai-je confessé sans entrer dans les détails, la tête baissée vers le sol et mes deux poings serrés.
#1@Ruben Hartfield (8290 points) ≈ Elle voulait sa médaille d'or et on savait que ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne l'obtienne. La ténacité de la joueuse est à la hauteur de l'arrogance de son personnage, mais n'est-ce pas là tout ce qui fait son charme ? Bravo à toi, donc, et que ta motivation nous inspire tous. Fonce demander ta reward pendant qu'on profite de la bouille de Styles sur la PA. Tu l'as bien mérité.
#2@Olive Sterling (7370 points) ≈ Des mois que nous la voyons approcher de la troisième place sans jamais la saisir. On l'avait remarquée, notre petite Olive. Ne se serait-elle pas distinguée par les performers que nous l'encensions nous-mêmes. Somme toute, nous sommes heureux de te voir dans le haut du classement puisque ton investissement et ton envie de t'investir encore plus est notable. Merci à toi, Olive.
#3@Rhett Hartfield (6430 points) ≈ Quel bonheur de retrouver l'un des personnages de notre lucky luke du RP sur le podium. On ne va pas se mentir, ça nous avait manqué de ne plus la regarder voguer de personnages en personnages tout en réussissant l'exploit de se hisser dans les hautes sphères. Si Rhett pouvait être aussi efficace quand il s'agit de prendre soin de sa moitié, il serait déjà marié. Il devrait en prendre de la graine
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Décembre 2023. Dovecourt Center, Noël solidaire. La tempête est désormais derrière eux mais ce n’est pas sans laisser quelques traces indélébiles sur la ville. Certaines rues sont encore sans dessus-dessous et complètement barrées à la circulation, des maisons sont en piteux état du fait de la force des éléments le premier décembre et beaucoup de personnes se retrouvent soudainement sans rien. C’est le cas de ses parents à la Lewis notamment qui ont perdu leur maison mais qui, heureusement, peuvent compter sur de proches amis pour les héberger – à défaut d’avoir accepté l’hospitalité de leurs enfants, ce qui n’a pas manqué d’ailleurs de mettre Zoya particulièrement en colère. Mais le principal est qu’ils ne se retrouvent pas à la rue finalement et surtout, qu’ils aillent bien. Parce que l’état de leur villa est catastrophique et en ayant vu l’étendue des dégâts de ses propres yeux quelques jours plus tôt alors qu’elle s’y était rendue avec son ainé, elle n’a pu que constater la dangerosité du phénomène et des conséquences plus graves que cela aurait pu avoir. Alors, relativiser, c’est ce qu’elle se force à faire et c’est sûrement pour cette raison aussi qu’elle accepte de rejoindre Caleb lorsque ce dernier lui demande de lui venir en aide pour distribuer des repas au Dovecourt Center.
C’est aussi l’occasion pour les deux cousins de se retrouver après le passage de la tempête, eux qui avaient notamment échangé sur leurs angoisses vis-à-vis du passage de celle-ci par message. C’est aussi parce qu’elle avait bien cerné l’inquiétude de son cousin qu’elle s’est gardée de lui dire qu’elle avait été blessée durant son passage. Ce n’était rien, finalement, plus de peur que de mal et l’entaille à sa joue, bien qu’encore visible, est superficielle et elle ne manquera pas de le rassurer à ce sujet s’il venait à s’en alarmer. C’est en tout cas le sourire aux lèvres qu’elle le rejoint à son stand, heureuse de le retrouver, sain et sauf et en forme. « J’ai envie qu’on essaie de faire une jolie présentation, quand même. » « Bonjour à toi aussi, Caleb » qu’elle ne peut s’empêcher de rétorquer aussitôt, quand son cousin est, fidèle à lui-même, obnubilé par la perfection de son stand et ne prend pas la peine de la saluer. Cela la fait rire d’ailleurs, le bousculant au passage avant de venir déposer un baiser sur sa joue. « On ne pourra pas faire d’aussi belles assiettes que je fais habituellement, mais je refuse de faire une présentation grossière. » « T’en fais pas, ce sera parfait quand même et tu as la meilleure assistante au monde pour ça ». Elle brandit les premiers ustensiles qui lui tombent sous la main et elle s’affaire déjà à arranger quelques petits détails sur la table car la présentation de celle-ci est tout aussi importante que les assiettes qui y seront servis dans quelques minutes « J’ai pris mon appareil photo, je me suis dit que tu pourrais en profiter pour poster quelques clichés sur les réseaux sociaux du restaurant ». Elle ne pense nullement à son avantage à elle se faisant, cherchant surtout à aider son cousin à mettre en lumière le partenariat de l’Interlude avec l’aide qui s’est mise en place à travers la ville depuis le passage de la tempête. « Mais merci d’avoir pu te libérer pour venir donner un coup de main, ma petite Zozo. » Elle hausse les épaules avec son air de petite fille, contente de pouvoir l’y aider « Alors, par quoi on commence ? Tu veux que je fasse quelque chose en particulier ? C’est quoi le menu d’ailleurs ? ». Elle est curieuse, bien que des senteurs viennent déjà chatouiller ses narines et qu’elle peut deviner les mets qui se préparent. « Me dis pas que tu as prévu un fraisier pour le dessert ? » et suite à cette boutade volontaire, Zoya regarde son cousin de coin de l’œil, guettant sa réaction alors qu’ils sont tout autant l’un que l’autre vacciné contre cette histoire de fraisier qu’ils ont pu confectionner ensemble quelques mois plus tôt.
espèce ≈ Vampire âge ≈ Une centaine d'année, ça fait longtemps qu'elle ne compte plus métier ≈ Elle n'en a pas vraiment : parfois elle se fond parmi les humain·es en tant que barmaid la nuit et en profite pour repérer ses victimes, mais bien souvent son argent elle l'obtient à grand renfort de vols voire de meurtres dans les villes où elle atterrit caractère ≈ orgueilleuse - protectrice - prête à se salir les mains - cachottière - rancunière - maternelle - vengeresse - romantique refoulée - misanthrope histoire en quelques mots ≈ Née dans une famille avec peu de moyens et croyante au point de nommer leur unique fille selon la Bible, Eve a appris dès son plus jeune âge à se salir les mains pour aider sa famille, à l'image de son frère. Elle a eu une vie tranquille : elle travaillait dans la ferme familiale et elle s'est mariée à un homme qu'elle n'a jamais aimé mais qui lui a offert une fille, la prunelle de ses yeux. Tout a changé lorsqu'en plein milieu de sa trentaine, elle est tombée amoureuse d'une autre femme du village, un amour qui paraissait réciproque au point qu'elles s'étaient promis de s'enfuir ensemble pour se construire un plus bel avenir. Pourtant lorsqu'elles ont été surprises à s'embrasser, l'autre a accusé Eve de l'avoir ensorcelée pour qu'elle tombe sous son charme et l'influence de sa famille a suffi à ce qu'elle soit crue. Rejetée par tou·tes, sa famille incluse, puis condamnée, Eve s'est alors vu proposer par une étrange femme l'opportunité d'échapper à ce destin au prix de son humanité. Et elle a accepté, car quitte à ce qu'on la pense maudite et qu'on veuille sa mort, autant que ce soit pour une raison : la voilà transformée en vampire, immortelle, puissante... et assoiffée de vengeance. Elle tuera la femme qui l'a trahie avant de s'enfuir avec sa fille, souhaitant repartir à zéro grâce à cette nouvelle vie qui lui a été offerte. Elle sera malheureusement retrouvée bien trop vite, notamment à cause de son frère, et sa fille mourra durant une attaque orchestrée par des chasseur·ses, ce qui finira de lui faire détester les humain·es. Vivante mais seule et désespérée, Eve massacrera les responsables puis sillonnera l'Australie, passant de ville en ville, disparaissant dès que sa jeunesse éternelle sera soupçonnée. Elle est arrivée à Brisbane il y a une petite dizaine d'années, vivant parmi les mortel·les qu'elle méprise pour mieux les vider de leur sang ensuite. Et puis la nuit interminable s'est abattue sur la ville et elle y a vu l'opportunité parfaite pour les créatures de reprendre l'ascendant sur ces vermines si promptes à tuer celles et ceux qui sont différent·es : la voilà qui sillonne à présent à la recherche de sang frais et d'un peu de justice.
Dancing all alone to the sound of an enemy's song ft @Lucy Cavanagh#3
Décembre 2023, appartement de Lucy, Redcliffe.. « Hum, du droit des assurances, quel bonheur ! » C’est avec ironie que Lucy fait un tel commentaire, quand Gabrielle doit un peu sortir de ses spécialités et aider ses collègues qui ont une montagne de dossiers à gérer suite à des conflits d’assurances à cause des dégâts engendrés par la tempête. Ce n’est clairement pas sa tasse de thé, elle s’en passerait, c’est certain et c’est pour cette raison qu’elle ne la contredit pas, acquiesçant pour souligner cette ironie dont elle use. Si, malgré ça, Gabrielle ne se débrouille pas trop mal en droit des assurances, on ne peut pas en dire autant sur ses compétences culinaires, qui ont toujours été catastrophique, même avec toute sa bonne volonté d’apprendre. « Je vais me débrouiller, ça ira ! » Alors, là encore, elle ne peut pas en vouloir à sa meilleure amie de se passer de son aide, c’est sûrement préférable même, surtout si elles veulent manger quelque chose de potable – et avec Lucy, c’est certain, ce sera même succulent parce que la Cavanagh se débrouille bien dans ce domaine.
Ce soir, elles se contenteront cependant de plats à emporter et d’un bon verre de vin – la bouteille jamais trop loin pour venir se resservir – pour procéder au choix de celui qui servira de donneur de spermes afin que Lucy puisse mettre en route son projet de devenir mère. « Ok, on va éliminer tous les moches déjà ! » Gaby peine à contenir un rire mais si elle était elle-même dans le cas de Lucy, elle ferait sûrement de la beauté un critère de sélection en premier lieu – juste, elle aurait eu plus de classe à le dire. « Ensuite, parmi ceux qui resteront, on éliminera ceux qui n’ont pas fait d’études -ou ceux qui ont fait du droit- et ceux qui ont trop d’antécédents médicaux ou avec trop de risques de ce côté-là. Et on notera la page de ceux qui peuvent convenir sur une feuille, pour pouvoir les retrouver facilement. » « Après tout ça, je suis sûre qu’il restera pas beaucoup de candidats, je pense qu’avec nos deux mémoires on devrait pouvoir retenir les numéros de pages ». Un regard en coin, elle guette la réaction de sa meilleure amie, pinçant ses lèvres entre elles alors qu’elle se permet de la taquiner au sujet de tous ces critères qu’elle énumère « Et tu m’expliques pourquoi tu exclus ceux qui ont fait des études en droit ? » qu’elle demande avec suspicion, se demandant si Lucy a volontairement évoqué ce détail pour l’embêter elle ou parce qu’il y a des raisons qui, en réalité, pourraient aussi se justifier.
Voilà qu’elles parcourent les premières pages et disons que les candidats ne sont pas… à leurs avantages, on va dire. « Houuu, non ! Je ne veux pas que mon enfant soit dégarni dès l’âge de 20 ans ! » A ce commentaire, il est impossible pour Gabrielle de contenir un rire « Tu es dure » même si elle n’a surement pas tort non plus. « Ni qu’il se fasse surnommer Cyrano ou gros pif ou que sais-je à la récré ! » A ce rythme, l’avocate espère quand même qu’elles vont finir par trouver des hommes qui pourraient convenir aux critères de sa meilleure amie, sinon la sélection sera vite faite. « Attends. Regarde, lui » Elles en sont à la dixième page si ce n’est plus « Il est charmant même s’il est un peu grisonnant pour son âge ». Elle s’approche de l’ordinateur pour mieux lire sa description « Il est médecin et il n’a pas l’air d’avoir d’antécédents médicaux ». Un bon parti donc, un de ceux qu’elles peuvent noter sur cette feuille que Gabrielle a quand même prise, son stylo prêt à annoter le numéro du candidat (et de sa page surtout). « Quoi ? Il te plait pas non plus ? ». Elle le voit à l’air qu’elle adopte, quelque chose doit sûrement la chiffonner. « Ton choix, c’est toi qui voit. Si tu veux, on peut faire deux colonnes : les approuvés d’office et les je réfléchis ? ». Elle la taquine, se doutant aussi que l’exercice n’est pas des plus simples pour Lucy, tout comme ce choix qu’elle a fait d’avoir recours à une FIV pour avoir un enfant. En tout cas, quoi qu’elle décide, qui qu’elle choisisse, Gabrielle sera évidemment là pour la soutenir, tout comme elle l’est aujourd’hui pour l’aider à choisir un potentiel futur père – ou plutôt donneur.
#1@Tessa Mulligan (9460 points) ≈ Combien de fois n'avons-nous pas lu son admiration pour les joueurs engrangeant de beaux scores ? Souvent. Eh bien, sois fière de toi, tu en fais désormais partie. Tu signes une jolie performance qui te vaut bien cette belle place sur le podium.
#2@Ruben Hartfield (7450 points) ≈ Certes, il s'est fait plus discret durant un mois. Les battles, c'est une dépense d'énergie considérable, surtout au vu de sa performance... mais revoilà notre Ruben national de retour sur le podium prêt à sabrer le champagne, et nous lui tendons la bouteille.
#3@Cameron Lewis (6560 points) ≈ Il a dégainé la guitare pour chanter la sérénade sous nos fenêtres. Cette fois, c'est certain, personne n'a pu passer à côté de Cameron que nous sommes heureux de retrouver sur le podium des performers pour une première fois qui, nous l'espérons, ne sera pas la dernière.
(gifs @fyeahbenoist, @harryisart, @jonmercer & gif PA @uglyconfession, @harley, @harley)