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Tag modestie sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: (Manders) Meet Me in Paris
Invité

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag modestie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: (Manders) Meet Me in Paris    Tag modestie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyMar 3 Aoû 2021 - 8:14



Meet Me in Paris
Feat   {@=4961}Adriel Mayers{/@}


Samedi 26 juin : « Qui c’est Baloo? » Wouah, gros malaise. Je pouffe de rire nerveusement en mettant ma main devant ma bouche. « Heuu … un gros lourd qui pensait avoir sa chance avec moi. Mais je l’ai rembarré bien vite. J’étais pas si désespérée que ça. » Okay je sortais d’une rupture. Mon meilleur ami était distant. J’avais toutes les bonnes raisons de sombrer. Mais c’était sans compter sur les ondes positives d’Ellie et de Garret. Je tente un massage des épaules pour le détendre. En vain… il est tendu comme un string. « Je pense que c’est mieux que je n’en sache pas plus », « Hmm, je pense que c’est mieux aussi. De toute façon il c’est strictement rien passé » J’ai juste pris une grosse cuite. Le lendemain j’avais mal aux cheveux comme jamais. Bref, la soirée idéal pour oublier mes chagrins. Je feinte un voeu avec la lampe, silencieuse. Lorsque Adriel me montre les polos je saute sur l’occasion pour m’accorder avec lui. Mais faut essayer pour voir. Genre tout de suite. La patience et moi ça fait deux. « Riri! Elles sont où, tes manières? » J’avoue que j’abuse un peu. Je ne sais pas si c’est l’amour qui me rend si … heureuse, joyeuse, amoureuse. En tout cas je me prive pas pour lui ôter son haut et lui enfiler le sweat. La vue de son torse m’émoustille. My god, je pourrais le dévorer tout cru en plein magasin. Une voix féminine me fait sursauter. Fallait qu’une vendeuse se pointe pile à ce moment. Tsss…Je montre pas les crocs, mais presque. Il a dit que je devais être sage. Hmm…Mon regard en dit déjà assez long. J’en rajoute un peu en soulignant MON AMOUR dans ma phrase. Okey, si elle ne comprend pas je ne peux plus rien pour elle. Elle n’est pas si bête car ne s’attarde pas. Elle ose même avouer que nous faisons un beau couple. Évidemment qu’on est les plus beaux. {#}Modestie{/#}. « Merci » Je sens la main de mon amoureux glisser dans mon dos. Mon Dieu, que j’aime ça. Je penche ma tête en arrière pour lui voler un baiser sur la joue. Nous étions déjà tactiles avant. Mais là on frôle le summum de la tendresse. « Le plus beau » Je me retourne pour frotter mon nez au sien. Mes lèvres frôlent les siennes pendant que mes mains baladeuses caressent son torse tendrement. Sentir son odeur m’apaise. Encore plus de sentir sa peau sous mes doigts. Mais tous ces objets qui nous entourent me font de l’oeil. J’ai le regard qui divague. J’aimerais tout acheter. Heureusement pour moi, Adriel se montre plus responsable me tirant hors des boutiques. Direction notre chambre.

***

Sa déclaration me laisse rêveuse. On s’aime réciproquement. Pour de vrai ! Ça me rappelle cette chanson française que j’affectionne particulièrement. Les paroles sont si cute. Mais c’est Elsa que j’interprète le temps que monsieur prenne sa douche. Debout sur le lit, sa guitare à bras. Je joue ma rockstar en gueulant plus qu’autre chose. Je suis dans mon quart d’heure de folie là. Clairement ! « Tu as laissé la Elsa en toi ressurgir? » J’éclate de rire « Libérééééé délivréééé je m’enfuirai plus JAMAISSSSS. Sauf avec toi » Avec lui j’irais au bout du monde. Mais je ne le fuirais plus, c’est certain. Je pourrais crier notre amour sur les toits sans regrets. Je m’excuse auprès de sa guitare pour ce massacre des notes. Je n’ai jamais su maîtriser ses cordes. Pas la patience. Un jour peut-être. « C’était un très beau massacre » J’aurai pu chanter comme une casserole qu’il aurait trouver ça beau. « L’amour rend aveugle et sourd. Mon pauvre chéri … » que je soupire dramatiquement. My god qu’il est beau dans son costume. Je m’approche pour mieux admirer la marchandise. « Je t’aime, mais je ne te laisserais pas aller en enfer » J’ai encore les doigts sur se baladent sous sa chemise, c’est plus fort que moi. Je déboutonne même quelques boutons de son col pour qu’il soit plus décontracté. « Restons au paradis des Manders alors » Manders un jour, Manders toujours. Notre devise. Encore plus aujourd’hui. Je sous-entends qu’à minuit il pourrait se passer quelque chose. Quoi ? J’en sais rien. J’aime faire planer le mystère. Adriel jette aussitôt un regard sur sa montre. Il n’est pas croyable ! Ça me fait sourire. « Vite alors, on ferait mieux d’y aller », Ce qu’il semble oublier c’est que la magie opère déjà depuis qu’on est sortis de notre déni. Peut-être qu’il me surprendra durant notre voyage. Addie est tellement plein de surprise. Je hoche la tête, large sourire aux lèvres. « Profitons de chaque instant ! Gooo la vie parisienne » Le point levé, je me la joue Wonder Woman. Manque plus la tenue en cuire et je serais crédible.

Notre Uber nous dépose en plein Paris. Instinctivement mes pas m’attirent vers une petite boutique souvenirs. J’y peux rien, c’est plus fort que moi. Je craque pour une petite boite à musique et un porte clés. Adriel le trouve à croquer tout comme moi. Toujours le mot pour me faire fondre. « Tu ne sais pas à quel point » Je lui mord la joue tendrement en riant niaisement. Pfff, je l’aime trop. On sort de la boutique pour marcher vers le pont des arts. Tous ces cadenas me laissent rêveuse. J’aimerais beaucoup qu’on accroche le notre nous aussi. Puis revenir quelques années plus tard pour constater qu’il est toujours scellé solidement à ce pont. Relevant les tempêtes et les aléas de la vie comme notre amour. Nos enfants, nos petits enfants pourraient venir fixer le leur un jour à côté du notre. « Unis pour la vie » Mon regard se perd sur l’horizon de la seine. Pour la vie … Encore accroupie au sol, je laisse mon dos venir s’appuyer contre lui en fermant les yeux. Mes doigts s'entrelacent aux siens délicatement. Ces quatre mots me laissent rêveuse. « Unis pour la vie, pour le meilleur et pour le pire » J’ai l’impression de citer mes vœux de mariage. Paris a vraiment un effet positif sur nous.

***

Nous voilà en train de naviguer sur la Seine. Verre de champagne à la main, on trinque à tout ça. « Et même plus », Je demande que ça. Il me tarde de voir ce que nous réserve l’avenir. Plein de bonnes choses j’en suis sûr. La jalousie de Mayers ne m’échappe pas. Je lui fais même remarquer. « Possessif? Moi? » Je hoche la tête vivement en affichant un sourire Colgate. « Peut-être un peu… mais juste pour te protéger, mon amour » J’éclate de rire. « Me protéger ! Je sais me défendre tu sais. » J'espère qu’il n’évoquera pas nos vieux souvenirs quand nous étions sur la plage. Deux hommes m’avaient agressé. Adriel était venu me défendre. J’étais dans une sale position. Heureusement qu’il était là … Je n’avais pourtant rien fais pour provoquer ses gars. La vue de mon bikini les avait rendu beaucoup trop avenant à mon goût. « Comme de ce Baloo… » Je roule des yeux. Il ose me reparler de ce lourding. < T'étais pas là pour Baloo. Je me suis débrouillé toute seule comme une grande > « Et ne lui crève pas les yeux, on en a parlé, je ne veux pas que tu te ramasses en prison. Je n’aurais personne pour me créer des messages vocaux personnalisés. » Les fameux ! Je me mordille la lèvre en souriant. J’adore lui piquer son portable pour lui faire des nouvelles sonneries personnalisées. « Les prochains sonneront différents » Ça débordera d’amour c’est certain. Il va devoir assumer que je l’aime au plus haut point. Mon souhait de danser sur une péniche est en train de se réaliser. Adriel me propose une danse. Comment refuser ! Sur du Ed Sheeran en plus. Sérieux c’est parfait. Ça me rappelle le mariage de son frère. « C’est exactement ce à quoi je pensais. Les cours de danse que ma mère m’a obligé à suivre en valaient la peine rien que pour danser avec toi » Je me blottis un peu plus contre lui. L’une de mes mains glisse sur sa hanche et l’autre à sa nuque. J’aime me dire qu’il est devenu plus qu’un simple meilleur ami. « Mais surtout, le meilleur moment de la soirée a été de me retrouver juste avec toi… » Mon corps tourne sur lui même pour ensuite me retrouver dans ses bras de nouveau. Mes lèvres s’étirent d’avantage lorsque je croise son regard noisette et son sourire enjôleur. « Sur la plage, à refaire le monde. Encore. Tu me faisais voyager en me parlant de tes voyages » Mais ça me rendait triste quand il évoquait ses futurs destinations. Ça signifiait pour moi qu’il allait encore s’éloigner et me laisser là … Une vraie torture. Mais je ne pouvais pas l’empêcher d’être heureux. Il venait déjà d’avoir la lourde de tâche de quitter Tessa pour les mêmes raisons. Je n’allais pas lui rajouter un poids supplémentaire. Notre slow continue. Plus le temps passe, plus notre envie de rester ici prend de l’ampleur. « Tout ce que tu voudras… » Le contraire m’aurait étonnée. J’évoque quand même mon frère … Je sais à quel point il est protecteur avec moi. Adriel va devoir lui rendre des comptes. Déjà, il va devoir assumer que nous sommes ensemble. Je crains la réaction d’Elias à ce sujet. Il voulait me voir avec un homme plus jeune, le voilà servi ! « Hum… Tout compte fait, on est bien à Brisbane » Un rire m’échappe alors que mes doigts filent dans ses cheveux. « On verra si tu dis toujours la même chose quand tu te trouveras face à lui. A devoir lui avouer nous sommes ensemble. Il va falloir que tu trouve les bons arguments mon amour » Le pauvre. Je lui fout carrément la pression. Comme s’il n’en avait pas assez comme ça. « Ton frère va me tuer s’il apprend qu’on est… en couple. » J’essaye de retenir mon sourire. Tuer… le mot est faible. Elias n’a jamais accepté de me voir en couple avec qui que se soit. « Ça va bien se passer, t’inquièteeeeeee » Pas sûr que ça le rassure. « Mais c’est bon, pour toi, je suis prêt à tout » Je me hisse sur la pointe des pieds pour l’embrasser tendrement. Puis je m’attarde dans son cou pour lui déposer des bisous par là. « Il va bien falloir, parce que rien ni personne ne pourra m’empêcher de t’aimer » Même pas mon propre frère. Adriel est devenu ma priorité. Il l’était déjà plus ou moins. Disons que là c’est encore plus évident.

Notre slow prend plus ou moins fin. Mais une chanson tout aussi cool prend la suite. La fameuse que je fredonne sans arrêt depuis quelques jours. Les paroles sont douces et entraînantes. J’aime beaucoup. C’est donc sans surprise que je la chante tout en dansant avec mon charmant cavalier. « Tu la connais? » Un rire joyeux sort d’entre mes lèvres tandis que je tourne sur moi même dans un rythme plus cadencé. « Oui, je l’écoute déjà depuis plusieurs jours. J’aime beaucoup ce chanteur. Il a écrit cette chanson pour sa chérie » C’est juste trop mignon. Et ça nous correspond tellement, c’est affolant. « Tu voudras me l’apprendre? » Je hoche la tête en lui souriant tendrement. Ma main sur sa joue, je la caresse de mon pouce. « Tout ce que tu voudra mi amor » Sa bouche vient se perdre dans mon cou. Ça me chatouille. Je glousse niaisement sans pour autant chercher à me débattre. J’aime ce qu’il me fait. Surtout quand il atteint mon oreille. Ma cuisse remonte légèrement contre sa hanche. Brrrrrrr… ça devient chaud. « Hmmm… il est encore un peu tôt pour ce dessert-là » Il se détache brusquement, comme pour s’éviter de craquer davantage. Mon regard se veut taquin. Je souris en coin tout en le fixant d’un air félin. J’ai bien envie d’accélérer le temps et de me retrouver dans notre chambre plus rapidement. Mais le dessert - celui qu’on mange à une table hein - nous attend à la dégustation. C’est tellement bon que mes joues stockent le maximum. J’ai des allures de hamster. {#}sexygirl{/#}. Mes yeux s'illuminent en voyant la dame de fer s’illuminer. C’est tellement beau ho my God. Mais impossible d’articuler avec ma bouche qui déborde. « Qu’est-ce qu’il y a? » J’insiste en agitant mes mains pour qu’il se retourne. « On parle pas la bouche pl— » « Hmmmm ARrhhh » Je grogne tel un chat grognon. Il en fait exprès c’est pas possible. Je n’ai pas d’autre choix que d’encadrer son visage avec mes mains pour lui tourner la tête dans la bonne direction. Il se lève alors de sa chaise pour enrouler ses bras sur mes épaules. Son menton repose sur ma tête. Je lève les yeux en souriant. Puis je dégaine ma petite boite à musique que j’affectionne particulièrement. La mélodie retentit. Je murmure la chanson en me balançant doucement avec lui. L’instant est juste magique. Et si c’était ça la magie de minuit ?

« Vivement qu’on arrive… » Je pose ma main sur la sienne en penchant mes lèvres sur son front pour y déposer un baiser. « Patience » On a toute une vie pour s’aimer. Je dirais même une éternité. Car s’il y a une vie après la mort, j’ai bien l’intention la vivre à ses côtés. Notre chauffeur nous dépose dans notre royaume. Je me laisse tomber en arrière sur notre lit gigantesque en précisant que j’ai adoré cette soirée. « Moi aussi » Il atterrit sur moi pour mon plus grand plaisir. Mes lèvres s’étirent d’avantage quand j’évoque mes rêves les plus intimes. « Quel genre de rêves, mmmm? Tu me raconteras? » Je pose mon index sur son nez en me mordillant la lèvre. « Mieux, tu les réaliseras » Hmmm… j’aime bien le teaser de cette manière. Je tente de me relever mais monsieur fait de la résistance en laissant volontairement le poids de son corps sur moi. « Mfahduwghucsywys » Je ne vois qu’une seule façon de l’éjecter de là. CHATOUILLES ! « HAHAHA » Vas-y que je tripote son torse avec mes doigts pour qu’il se torde dans tous les sens. « Reviens-moi vite » Je me retourne pour lui sourire. Ça me fait tout bizarre de vivre ce quotidien d’amoureux avec lui. Un vrai bonheur. J'espère que ça sera aussi génial quand on sera revenu à Brisbane. Je me fais un petit brin de toilette et j’enfile une nuisette en soie rouge. Je sais qu’il aime voir le rouge sur moi. Ça tombe bien, c’est ma couleur préférée. « Mmmm » Je me glisse sous la couette avec lui. Logé dans ses bras, j’ai la meilleure place au monde. Ma cuisse s’enroule à la sienne. J’apprécie ses caresses. Une partie de moi aimerait s’unir de nouveau avec lui. Mais mes paupières deviennent hélas trop lourdes. Je finis par m’endormir comme un bébé.

Dimanche 27 juin -> J’ai la sensation de flotter sur un nuage. Le lit est tellement confortable. Mais ce que j’apprécie le plus c’est la douceur de ses lèvres sur ma peau. C’est si agréable que je ne sais pas si c’est mon rêve ou bien si c’est la réalité. J’ose pas ouvrir les yeux. « Erin… » « Hmmm » Je me met en boule comme un nouveau née. Le son de sa guitare me sort définitivement de mon état comateux. J’ouvre timidement les yeux pour admirer mon amoureux. « Bon matin, mon p’tit chat » Hooo. Il est trop cute sérieux. Je me sens si chanceuse. « Bonjour amour de ma vie » Et je dis ça sans modestie. Je le pense sincèrement. « Car le soleil c’est toi… » Je reconnais aussitôt la chanson que j’aime bien. Celle qu’on a danser hier. Il joue les accords parfaitement bien. Si bien que ça me donne envie de chanter en bon matin. Je me positionne en position assise.

J'ris pas, oh oh
On peut voir le monde en tout petit
Ou s'aimer toute la vie
J'ris pas
On peut voir le monde en tout petit
Moi, j't'aimerai toute la vie
Pour de vrai
T'es tout c'que j'ai
Pour de vrai
T'es tout c'que j’ai


Ma main caresse sa joue tendrement. Je me penche sur ses lèvres pour venir l’embrasser. Il ne doit pas comprendre un mot de ce que j’ai dis. Je chante alors le prochain couplet dans notre langue natale.

Est-ce qu'on sera les mêmes toute la vie?
Même rire aux lèvres et même envie
On fera mentir l'époque, on va quitter Paris
Puis j'te chanterai "En Cloque" en attendant le p’tit


Je m’amuse à tirer une corde au hasard pour l’embêter avant d’éclater de rire. Je me souviens qu’hier soir on s’était arrêté en si bon chemin. Je vais pour lui prendre sa guitare mais mon regard s’arrête sur le cadenas posé sur ma table de chevet. « HOOOOO !!! Mais il est parfait » Que je m’exclame en le prenant dans mes mains pour mieux l’admirer. Mon doigt dessine les courbes du coeur métallique puis les lettres symboliques du Manders. « Ça me déplairait pas de porter ce nom. Erin Manders. Imagine ! » Elias ferait une syncope c’est certain. « On va l’accrocher aujourd’hui ?! » C’est pas vraiment une question en fait. « Ensuite on grimpe à la tour Eiffel ? » Je repose le cadenas sur la table et je lui retire son instrument des bras pour le poser plus loin. « Mais d’abord … hmm… il faut que tu réalise mon rêve » Je le pousse en arrière pour l’enjamber ensuite. A califourchon sur lui, je retire moi-même ma nuisette pour me retrouver nue. Mes mains glissent doucement sur son torse. Jusqu’à son visage que je caresse de mes deux pouces. « J’ai envie que tu me fasse l’amour » Parce que y a pas meilleure façon pour commencer la journée. Je le laisse retirer son caleçon et se glisser en moi. Hmmm… c’est si bon. Nos bassins se mouvent l’un contre l’autre dans une harmonie parfaite. « ROOM SERVICE » Ho my god !!! C’est quoi ce délire. Dans la précipitation j’attrape la couette pour nous recouvrir. Je me couche sur lui, genre je dors. Tortureeeeeee ! Un gars se pointe avec son petit chariot et notre petit déjeuner copieux. Je regarde Mayers en l’interrogeant du regard « T’as commander le petit-déjeuner dans la chambre ? » J’aime l’idée. Mais ça aurait été cool qu’il se point ‘après’ nos ébats sexuels. Je souris, gêné, au majordome. Ça ne doit pas être la première fois que ça lui arrive. « Bon appétit » Est-ce qu’il dit ça pour ce qu’il vient de nous apporter ou bien ? … Son regard malicieux me laisse songeuse. « J’ai une faim de loup ça tombe bien » Que je réplique en souriant, taquine. Non par contre les plans à trois, NO WAY. Il prend congé et nous laisse enfin seuls. « On en était où ? » Je retire la couette d’un geste ample. Il fait chaud où c’est moi ? C’est moi … J’attrape la bombe de chantilly et je m’en mets deux pointes sur chacun de mes seins. « Le déjeuner est servi Lord » J’espère qu’il a faim parce que ça s’annonce copieux ce matin.
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