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Tag ironie sur 30 YEARS STILL YOUNG VVZKQDhSujet: Calex #47 - maybe we found love right where we are
Alexandra Anderson

Réponses: 18
Vues: 1448

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag ironie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: Calex #47 - maybe we found love right where we are    Tag ironie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 21 Nov 2021 - 3:09



AND I'M THINKING ABOUT HOW PEOPLE FALL IN LOVE IN MYSTERIOUS WAYS. MAYBE JUST THE TOUCH OF A HAND. OH ME I FALL IN LOVE WITH YOU EVERY SINGLE DAY. AND I JUST WANNA TELL YOU I AM. SO HONEY NOW TAKE ME INTO YOUR LOVING ARMS, KISS ME UNDER THE LIGHT OF A THOUSAND STARS, PLACE YOUR HEAD ON MY BEATING HEART. I'M THINKING OUT LOUD MAYBE WE FOUND LOVE RIGHT WHERE WE ARE

Depuis quelques temps maintenant, c'est dans son appartement que je passe le plus clair de mon temps, je pense que je suis même plus souvent chez lui que lui même alors c'est sans vraiment le dire ou l'officialiser que je me suis installée petit à petit chez lui. Ramenant toujours un peu plus d'affaires de chez moi pour les laisser chez lui, et renouvellement l'expérience à tellement de reprises que désormais mon appartement semble n'être plus qu'un garde meuble, un grand garde meuble mais dans lequel je ne vis plus. C'est chez lui que mes amis viennent me chercher pour sortir, c'est chez lui qu'ils me ramènent après une soirée, c'est dans son appartement que je dors toutes les nuits, dans son appartement qu'il y a quasiment tout mon maquillage. Seuls mes vêtements en trop grand nombre et surtout mes nombreuses paires de chaussures sont encore séparées n'ayant pas pu trouver de place chez lui. On aurait pu faire l'inverse, s'installer chez moi dans mon appartement trop grand pour moi seule et même trop grand pour nous deux, mais c'est chez lui que nous nous sentons si bien. Dans ce petit cocon dans lequel nous nous retrouvons tout les soirs après son travail. Un petit appartement mais dans lequel nous avons déjà tellement de souvenirs, tellement d'expérience faite chez lui et je crois que finalement le confort et l'intimité qui se dégage de ce lieu me rassure bien plus que les murs blancs et l'espace inoccupé et vide de mon appartement. Mon bordel vient déranger son univers si bien organisé, mais depuis quelques temps son appartement est à notre image, un peu de lui, un peu de moi et un nous qui se construit peu à peu et j'ai l'impression d'être dans une période de ma vie ou tout va bien. Je n'ai rarement été aussi heureuse, aussi sereine, aussi légère et je jongle avec ma vie de couple et mes amis sans trop en faire, je découvre que parfois les plaisirs les meilleurs sont aussi les plus simples et c'est grâce à Caleb si je me sens si bien dans ma vie. Grâce à lui et à ce qu'il m'apporte au quotidien et à l'amour que je ressens pour lui.

Et pourtant si notre quotidien est parfait depuis quelques semaines, cette nuit n'a pas été la meilleure que j'ai pu passer chez lui parce qu'aujourd'hui il m'emmène chez lui à Warwick. Pas pour une visite nostalgie pour évoquer ses souvenirs d'enfances, non. Mais, pour me présenter à ses parents, et pour la première fois de ma vie, je vais rencontrer les parents de mon petit-ami et ça c'est une étape importante, surtout qu'il y a déjà plusieurs mois que nous sommes ensembles, alors s'il a attendu c'est sans doute parce que pour lui aussi c'est important et qu'il appréhende un peu ce moment. Enfin je crois, en tout cas moi je l'appréhende beaucoup. Parce que j'ai peur de ce qu'ils vont penser de moi, j'ai peur d'être jugée, j'ai peur de ne pas être assez bien pour leur fils et qu'ils s'en rendent compte. Et l'idée de devoir me présenter à eux, devoir assumer celle que je suis alors que je sais qu'ils sont si différents de moi, ça me fait extrêmement peur. Je ne me cache pas avec Caleb, je suis moi, je suis entière, je suis cette fille parfois incapable d'être sérieuse, un peu folle, et parfois je suis bourrée de craintes, de doutes et je suis cette fille qui panique, qui a besoin d'être rassurée, contenue et Caleb sait tout ça. Il sait qui je suis mais très peu sont ceux qui peuvent me voir comme je suis naturellement, sans protection et j'ai tellement peur de ne pas être à la hauteur que j'ai automatiquement l'impression que celle que je suis ne suffira pas et que je vais devoir en faire plus. Etre meilleure, être différente, plus comme eux, mais je ne sais pas qui ils sont. J'ai même jamais mis les pieds dans une ferme de ma vie, alors c'est impossible pour moi de savoir ce qu'ils vont attendre de moi. Ce matin je suis la première à me lever et c'est très rare comme situation, mais je dois me préparer, je dois choisir les bons vêtements, je dois trouver comment faire une première bonne impression et surtout pour une fois je n'ai pas l'intention d'être en retard dans ma vie alors je laisse Caleb dormir encore un peu et je prends de l'avance, de toute façon il me faut facile le double de son temps voir même le triple de son temps pour me préparer.

« T’as bientôt fini bébé ? » Je le regarde s'approcher de moi à travers le miroir que je nettoie du revers de la main pour enlever un peu de la buée. Je lui souris quand je le vois vraiment et que je le sens m'embrasser dans le cou, sa présence me fait oublier tout le reste et je souris vraiment quand ses bras s'enroulent autour de moi. « Je fais au plus vite oui. » Au plus vite n'est jamais assez vite pour lui et aujourd'hui, je dois faire d'autant plus attention à être présentable.  « Je prends ma douche et on y a ? » Je comprends que je n'ai plus beaucoup de temps et pourtant pendant quelques secondes je le regarde à travers le miroir alors qu'il se déshabille devant moi sans crainte et c'est pas si vieux qu'il se sente si à l'aise avec moi qu'il se déshabille comme ça, je lui laisse la salle de bain quelques minutes, juste le temps pour moi de choisir mes affaires. « Je sais pas comment m'habiller pour aller à la ferme. » Je lui avoue en criant un peu plus fort et les nombreuses tenues que j'ai déposé sur son lit prouvent bien mon indécision. J'enfile des sous-vêtements et c'est finalement sans choisir de tenue et vêtue uniquement d'un string et d'un soutien-gorge que je passe à la tâche suivante, le maquillage, tâche au combien importante mais je ne peux pas me maquiller comme quand je sors en soirée, et je ne sais pas ce qui est adapté ou non à une première rencontre avec les beaux-parents fermiers. Il faut que j'arrête d'acheter trop de truc ça rends tout trop compliqué. Il ne pourra qu'être d'accord avec moi alors je garde cette pensée pour moi et je me concentre pour un maquillage sobre mais soigné et quand Caleb sort de la douche en serviette, les cheveux encore mouillés et dégoulinant je le regarde parce que c'est une vision que j'aime particulièrement. Ce que j'aime moins c'est quand ses lèvres et son visage encore mouillés viennent se frotter à mon maquillage que je viens à peine de finir. « Arrêtes t'es tout mouillé je vais devoir tout recommencer. » Je ronchonne un peu alors que j'essuie l'eau qui coule sur mon visage tout en essayant de sauver mon fond de teint. « Allez dépêche-toi, on part dans cinq minutes. » Et malgré ce maquillage que je tente de ne pas ruiner, et les vêtements que je n'ai toujours pas mis, il arrive à me faire sourire et je lève les yeux au ciel amusée quand je sens sa petite tape sur mes fesses. « Choisis une tenue sur le lit et ne panique pas pour le bordel je rangerais promis. » Je le préviens avant qu'il ne tombe sur un trop plein d'affaires étalés sur le lit et qu'il ne se sente mal à cause du bordel. Voilà encore un point sur lequel nous sommes différents lui et moi. Lui maniaque, moi plutôt bordélique, je n'ai aucun mal à quitter l'appartement en laissant un bordel derrière moi ce qui n'est pas son cas mais aujourd'hui, il devra faire avec parce que je sais qu'au delà du bordel ce qu'il déteste encore plus c'est d'être en retard. La coiffure est ok, le maquillage est ok, ma tenue est enfilée et Caleb est déjà prêt, j'enfile mes chaussures après quelques minutes d'hésitation et je le retrouve dans la voiture. C'est finalement pas cinq mais plutôt dix minutes plus tard que nous quittons sa rue direction la maison familiale des Andersons. Une grande étape pour moi, enfin pour nous. Presque la plus grosse officialisation finalement, parce qu'on ouvre notre bulle de bonheur à d'autres et pas à n'importe qui, à ses parents.  « Comment tu te sens ? Pas trop stressée ? » Mon pied tape sur le sol depuis quelques minutes, et ce n'est qu'en l'entendant parler que je le réalise. Je pose ma main sur ma cuisse pour contenir ma jambe et je lui souris quand je sens son regard sur moi. « Ça va, je suis un peu stressée mais je crois que c'est normal non ? » C'est nouveau tout ça et surtout c'est important pour lui alors c'est stressant forcément mais je sais que pour lui aussi ça doit l'être alors rien ne sert de renforcer son stress en lui partageant le mien. Et comme souvent quand je suis stressée, je parle, beaucoup et le trajet a du lui paraître long mais ça me fait du bien de lui parler, de combler ce vide et de penser à autre chose qu'à cette présentation trop formelle qui nous attends. Ma main qui se pose son sa cuisse, ou qui caresse son bras, je profite de ces moments ou l'on est que tout les deux parce qu'ils ont quelque chose d'apaisant pour moi. Ce n'est que quand la voiture s'arrête, que je réalise qu'on y est vraiment. Il se détache et je l'imite même si pendant une seconde l'idée de rester dans la voiture me semble être pas si mal finalement. Je ne connais rien ici, trop d'herbes partout. Des animaux que je repère aussi et sans doute que les odeurs aussi seront nouvelles, mais je n'ai guère envie de courir profiter du grand air. « Ça va bien se passer. » Je l'espère, je l'espère tellement mais je sais qu'il n'en sait rien non plus et qu'il a besoin d'y croire et de me le faire croire. « Tant que l'on me demande pas d'aller courir au milieu des animaux la bas oui ça va bien se passer. » Une petite pointe d'humour pour tenter de le rassurer, de me rassurer aussi et pour rendre tout ça un peu moins sérieux même si ça l'est beaucoup. « Je t’aime mon amour, garde cette information bien en tête toute la journée. » J'ai presque l'impression que pendant une seconde, il cherche à me faire comprendre que quoiqu'il se passe je dois me dire qu'il m'aime et que c'est le plus important, et j'ai l'impression qu'il envisage déjà que ce soit un désastre, en même temps, Alex Clarke dans une ferme, je ne vois absolument pas ce qui pourrait mal se passer. #ironie. « Moi aussi je t'aime. » penses-y quand je te ferais honte devant tes parents ou que je vais dire une telle connerie qu'ils vont se demander ce que tu fais avec une fille comme moi. Il s'approche de moi et je caresse avec douceur son visage, faisant le plein de tendresse et de complicité avant de devoir se contenir devant papa et maman Anderson. « Et ce soir je serai à l’écoute de tes moindres désirs. Tu pourras me demander n’importe quoi. » Je me mords la lèvre en entendant les mots qu'il me murmure, sincèrement amusée et surtout intéressée par ses paroles. « Caleb Anderson, c'est pas le moment de m'exciter voyons. » Clairement pas non, alors que ses parents pourraient déjà être en train d'épier la voiture de leur fils qui vient de s'arrêter devant leur maison. « Mais si j'avais su qu'il fallait venir ici pour avoir tout ce que je veux, j'aurais insisté depuis longtemps pour venir voir tes parents. » Je ne suis pas sérieuse, parce que globalement j'ai toujours ce que je veux, enfin il est déjà toujours à l'écoute de mes désirs et il tente toujours de penser à mon plaisir avant le sien. Mais ce petit moment plus léger me fait du bien, et le baiser qu'il me donne, m'aide à faire le plein de force pour trouver le courage d'affronter ses parents, ou même sans parler d'affrontement, ce moment avec Caleb m'aide à me rappeler pourquoi je suis là et pourquoi je m'inflige une telle expérience. Parce que je l'aime et parce qu'il me rends heureuse comme personne et que je sais que pour lui c'est important, alors je n'ai plus qu'à faire bonne impression ou au moins réussir à faire qu'ils ne me détestent pas, ce qui serait déjà pas mal je crois. Je prolonge un peu le baiser, glissant une main dans ses cheveux et après quelques secondes ma seconde main vient serrer la sienne et l'arrêter dans ses caresses sur ma cuisse. La sensation était agréable, le baiser l'est vraiment mais comme je lui ai dis, je ne peux pas me présenter face à ses parents avec de telles pensées en tête. « Si je commence à trop parler et à dire n'importe quoi, arrêtes moi, je ne veux pas te faire honte. » Ils m'ont me détester, je le sais et c'est avec cette pensée que je quitte le véhicule de Caleb et la première chose que je remarque c'est que les talons c'est clairement la fausse bonne idée, voir même l'idée horrible. La seule chose que j'ai choisi toute seule s'avère être totalement inadaptée, voilà une bonne preuve que je n'ai vraiment rien à faire là. « J'ai jamais mis les pieds dans une ferme, on aurait du les inviter chez toi ou au restaurant. » Dans un restaurant très chic dans lequel j'ai grandi, et pas eux peut-être que je me serais sentie bien moins conne qu'à cet instant précis. Mais c'est impossible de faire demi-tour alors qu'avant même que l'on arrive devant la porte, cette dernière s'ouvre et c'est une femme qui regarde Caleb avec un grand sourire sur les lèvres. Sa mère sans doute, et au moins elle sourit, un bon point pour elle, voilà une première chose qu'elle n'a pas en commun avec ma mère. Elle est heureuse de voir son fils, peut-être moins de me voir moi mais ça je ne peux pas le certifier même si mes craintes me font penser ainsi. La distance se réduite beaucoup trop vite et elle semble désormais si proche, sans doute parce qu'elle l'est. « Bonjour, vous devez être la maman de Caleb, je suis enchantée de vous rencontrer, je suis Alexandra, merci de me recevoir chez vous, j'avais hâte de découvrir l'endroit ou Caleb a grandi, je suis pas vraiment une habituée des fermes mais je suis heureuse d'être là. » Beaucoup trop de mensonges dans cette phrase prononcée bien trop vite parce que j'ai juste paniqué en voyant ma belle-mère devant nous qui nous attendais ainsi et qu'il a fallu que je parle, trop encore et je pense d'or et déjà avoir perdu des points face à la maman et pourtant elle n'a rien d'intimidante madame Anderson mais elle représente tellement pour Caleb, qu'elle l'est forcément.


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