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 he's like the wind - alvaro

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Message(#) Sujet: Re: he's like the wind - alvaro he's like the wind - alvaro - Page 2 EmptyMer 12 Avr - 13:04




alvaro & milena
Je ne savais pas ce qu’avait prévu le destin pour nous, mais quoiqu’il puisse bien se passer, ce n’était plus vraiment possible d’y échapper. Je ne pouvais pas nier l’évidence, l’ambiance était chaleureuse, conviviale, mais il y avait toujours ce regard que l'on avait depuis notre première rencontre, quand nos yeux étaient plongés l’un dans l’autre. C’était si difficile de lui résister, je voulais me perdre dans ses bras, ressentir à nouveau sa tendresse qui était si apaisante à mes yeux, mais je me devais de me retenir. À force de discuter j’en apprenais toujours un peu plus sur elle et inversement, elle en apprenait un peu plus sur moi, ce qui me permettait d’avoir les idées ailleurs. Mon esprit n’arrêtait pas de m’envoyer des images plus perverses les unes que les autres, j’avais tellement de mal à résister à cette attirance que je ressentais au plus profond de moi qu’à chaque résistance c’était comme si mon corps se déchirait. La belle brune se contentait de fixer sa préparation, elle tournait la tête à chaque question qu’elle me posait, mais son regard essayait désespérément de fuir le mien, peut-être ressentait-elle la même chose que moi ? « Je suis contente que tu aies pu trouver une famille à Brisbane. Tu vas leur rendre visite des fois ? » Sans cette deuxième famille je n’aurais jamais pu supporter les épreuves que j’ai endossées jusqu’à présent. J’étais bien conscient de n’avoir aucun lien de sang avec eux, mais qui a dit que c’était nécessaire ? Heather et Amy sont comme des sœurs que je n’ai jamais eues et je suis prêt à tout faire pour elles. « Oui, j’ai une chance inouïe de les avoir à mes côtés et pour répondre à ta question, je n’ai malheureusement, pas la chance de pouvoir y aller autant de fois que je le désire. Si l'on se voit une fois par an c’est déjà très bien. » On était loin d’être riche, le peu de fortune que j’ai acquis grâce à mon travail ou à l’héritage de mon père, je l’ai distribué à ma famille en Argentine qui était menacé d’être expulsé de chez eux. J’en ai également gardé une partie pour moi et pour mes futurs enfants, si jamais je suis amené à en avoir un jour. « Tu as grandi bien entouré et heureux, j’aurais préféré ça aux trust funds qui m’attendent à la banque. » Pour certaines personnes l’argent n’est pas un accomplissement en soi, ils ont le besoin de se sentir proche de leur famille, ainsi que d’avoir leur soutien au fil des jours. « C’est de ta faute de me déconcentrer avec un verre de vin aussi. » un léger sourire apparu sur mon visage, elle prenait un certain plaisir à cuisiner tout en voulant éviter la catastrophe gastronomique. L’ambiance avait changé, le fil de notre discussion nous a amené à parler de nos familles, mais visiblement, ce n’était pas quelque chose dont elle aimait parler. C’est en essayant de détendre un peu l’atmosphère que mon incroyable esprit infantile fut envahi pas une idée tout aussi peu mature. « Maladroit vraiment ? J’aurais pu croire que tu le faisais exprès. » Dit-elle toute souriante. Visiblement  elle ne l’avait pas mal pris. Elle se rapprocha de moi et me fixa à nouveau avec son regard de séductrice. Elle prit délicatement ma main avant de mettre les doigts responsables à sa bouche pour les nettoyer un à un. « Santé ! » Elle récupéra son verre de vin que je venais tout juste de poser sur la table, alors que mes yeux semblaient ne plus pouvoir se détacher de la jeune femme. L’atmosphère avait totalement changé, de mon point de vue.  « Je dois ressembler à rien comme ça. » Elle faisait comme si de rien n’était. Je ne pouvais plus canaliser les émotions qui déferlaient en moi. Je me rapprochai d’elle pas à pas, passant ma main dans ses cheveux avant de la retourner pour qu’elle soit face à moi. Mes lèvres se rapprochèrent délicatement des siennes, j’avais l’esprit vide, mon corps répondait instinctivement. Nos fronts se touchèrent en premier, mais la sonnerie du four mit fin à ce rapprochement. « Je… je suis désolé… je… je vais voir si je n’ai rien fait cramer. » Je me suis dirigé vers le four, sortant la plaque que j’avais soigneusement déposée précédemment. C’est avec un grand étonnement que j’ai constaté la parfaite cuisson de mes fines rondelles, j’espérais que le goût y soit aussi et pour ce faire, je me suis retourné afin de récupérer le pot de confiture. Je me suis alors mis à tartiner les biscuits avant de les assembler par deux. Je me suis retourné vers Milena, laissant le pot de confiture derrière moi sur un plan de travail recouvert de farine. Je n’ai pas vraiment fait dans la propreté. « C’est l’heure de vérité, goûte et dis-moi si c’est réussi ! » Je faisais comme s’il ne s’était rien passé. Je ne sais pas si c’était la meilleure idée, mais je ne voulais pas précipiter les choses une fois de plus si ce n’était pas ce qu’elle désirait. « Goûte vite et rassure-moi s’il te plaît ! » C’est avec une légère grimace et un petit sourire en coin de bouche que j’attendais sa réponse. Je ne me souviens plus si c’était la réponse à ma question ou si c’était plutôt une réponse  par rapport à mon action précédente que j’attendais avec impatience.


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Message(#) Sujet: Re: he's like the wind - alvaro he's like the wind - alvaro - Page 2 EmptyMer 12 Avr - 17:11




alvaro & milena
S’il y avait bien une chose que tu savais faire à la perfection c’était de cacher ce que tu ressentais, de faire comme si de rien n’était. C’était ta plus grande force comme ta plus grande faiblesse parce que beaucoup te prenaient pour une insensible et beaucoup pensaient que rien ne te touchait alors ils en profitaient sans s’en rendre compte peut-être. Pourtant, tu étais comme tous les êtres humains quelqu’un d’émotif et Alvaro était certainement l’homme qui te faisait perdre la tête dans cette ville. Tu avais couché avec d’autres, tu avais eu des relations avant mais étrangement, la passion qui s’était depuis le début emparée de vos échanges et de vos ébats n’avait pas disparue. Elle aurait pu, particulièrement avec la fin de vos deux rencontres mais non. Ton corps et ton esprit étaient incapables de dire non à cet être si imparfait qu’il finissait par en devenir parfait à tes yeux. Tu ne pus t’empêcher de te dire que ton père et ta mère détesteraient par principe Alvaro mais cela ne fit que te faire sourire un peu plus parce qu’après ce que tu avais subi avec Franck, tes parents avaient accepté de te laisser trouver un conjoint à ta convenance. Enfin, à tes yeux c’était aussi surtout parce que tu étais la dernière de leurs enfants à leur adresser la parole. D’ailleurs, en parlant de famille, Alvaro te parla de la sienne en Argentine, une famille qu’il voyait peu. « Oui, j’ai une chance inouïe de les avoir à mes côtés et pour répondre à ta question, je n’ai malheureusement, pas la chance de pouvoir y aller autant de fois que je le désire. Si l'on se voit une fois par an c’est déjà très bien. » Tu trouves cela dommage, tellement dommage qu’il ne puisse pas voir sa famille un peu plus. Tu n’as jamais manqué de rien et tu n’as jamais manqué d’argent n’hésitant pas à traverser l’Atlantique sur un coup de tête pour aller fêter l’anniversaire d’amis laissés à Londres lors de ton adolescence. Les vacances en Europe c’était pour toi naturel à l’époque mais ce n’était pas le cas pour tous. Ne sachant pas quoi rajouter de plus, tu te contentais de poser ta main sur l’épaule d’Alvaro et de lui sourire. Au moins il avait une famille qui devait adorer le retrouver, toi c’était bien autre chose. La discussion continuait bon train, les sujets s’entrechoquaient vous permettant d’en apprendre un peu plus l’un sur l’autre tout en continuant vos préparations respectives. Alvaro avait l’air de s’en sortir bien mieux qu’il ne te le laissait entendre ce qui te mettait un peu la pression. Une pression qui retomba rapidement alors que ce dernier n’hésita pas à venir te mettre de la farine et de la confiture sur le visage. Un jeu d’enfants peut-être mais un jeu que tu te fis un plaisir de transformer en autre chose alors que tu nettoyais le bout de ses doigts de ta langue. Quoi ? Après tout tu avais le droit de le séduire un peu non ? L’ambiance changea rapidement dans la cuisine où la température montait à cause du four et de cette eau qui continuait à bouillir alors que les pâtes cuisaient. Alors que tu croisais le regard d’Alvaro, tu vis que quelque chose dans son regard avait changé aussi et ton cœur battit un petit peu plus vite alors que tu sentais ce désir monter encore une fois. Et puis soudain il était là, contre toi, sa main dans tes cheveux, son souffle contre le tient. Tu fermais les yeux, anticipant ce qui allait suivre, désirant ce baiser plus qu’autre chose à cet instant précis puis … La minuterie du four, l’impression qu’on t’avait renversé de l’eau glacé sur le corps alors qu’il s’éloignait en te disant : « Je… je suis désolé… je… je vais voir si je n’ai rien fait cramer. » Tu es incapable de formuler un seul mot, toujours envahie de toutes ces sensations. Tu finis par te retourner vers les pâtes qui son cuites et que tu passes dans l’évier. Tu y mets les lardons, tu y casses rapidement les œufs essayant de reprendre tes esprits, de te reprendre tout simplement. Alvaro semble heureux de sa cuisson vu son sourire et il est contagieux, tu ne peux t’empêcher de sourire toi aussi. Finalement, les pâtes sont prêts mais tu les laisses refroidir tranquillement quand Alvaro te dit : « C’est l’heure de vérité, goûte et dis-moi si c’est réussi ! Goûte vite et rassure-moi s’il te plaît ! » Tu ne peux t’empêcher de sourire à son impatience d’enfant. Tu es certaine que ce sera très réussi mais tu n’es plus certaine d’avoir faim de pâtes ou de confiture désormais. Tu attrapes un petit gâteau qu’il te tend, t’appuyant sur le comptoir pour le goûter. Tu laisses s’échapper de tes lèvres un petit bruit appréciatif, c’est très bon. « C’est très bon, je me demande si tu n’as pas menti sur tes talents. » Dis-tu un sourire en coin sur les lèvres alors que tu termines cette petite douceur tout en trempant dans ton dos les doigts dans la confiture. Sûre qu’ils sont bien couverts de confiture, tu t’approches d’Alvaro pour lui dire : « Ca mérite une petite récompense. » Tu déposes brièvement tes lèvres sur les siennes avant d’étaler tes doigts sur ton visage et un peu dans son cou avant de laisser échapper un petit rire. « Je ne pouvais pas rester ridicule toute seule. » Lui dis-tu persuadée qu’il n’allait pas te laisser t’en tirer comme ça.


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Message(#) Sujet: Re: he's like the wind - alvaro he's like the wind - alvaro - Page 2 EmptyMer 12 Avr - 23:26




alvaro & milena
Je ne me souviens pas vraiment à partir de quand tout a commencé à déraper lors de cette soirée. Il était convenu qu’on recommence tout à zéro, on devait repartir sur de nouvelles bases, prendre notre temps et voire là où ça pouvait bien nous conduire. L’image d’Heather m’apparut, si l'on en était là actuellement c’était à cause d’elle, ou plutôt devrais-je dire grâce à elle. J’avais dédié ma vie et mon cœur à sa défunte sœur, mais ce fut elle, qui quelques années après ce décès, me présenta à Milena. Quand je l’ai rencontré pour la première fois je sombrais dans la tristesse et le désespoir, je me sentais comme une cause perdue, mais ma famille, mes amis et Milena par la suite étaient là pour moi, pour m’aider. Ils y ont tous participé, d’une façon ou d’une autre. Il aura donc fallu plus de deux ans pour que j’arrête mes conneries et que je reprenne ma vie en main. Je ne voulais plus me rappeler de l’homme que j’étais auparavant… Je ne pourrai plus jamais l’être… La vie est tellement ironique ; Il faut avoir connu la tristesse afin de savourer le bonheur, le bruit afin d’apprécier le silence et l’absence afin de profiter de la présence. L’homme est loin d’être parfait, j’en suis la preuve vivante et cette affirmation peut aussi s’appliquer à la femme, mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux, mais on continue de ressentir ce besoin d’aimer. J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé et c’était pour moi le moment d’éprouver à nouveau ce genre de sentiment. Il m’aura fallu un instant de faiblesse, un instant où je ne pus contenir mes émotions, pour que mon corps tout entier ne bouge de lui-même sans même que je puisse le contrôler. Je pouvais entendre son cœur battre de plus en plus fort et ironie du moment, j’eus l’impression que nos cœurs se sont mis à battre au diapason. Je pouvais sentir son souffle irrégulier venir s’écraser contre mon coup. J’ai vécu cette scène un nombre interminable de fois dans mes rêves, priant pour qu’elle se finisse comme on l’aurait voulu, mais la minuterie était elle aussi présente. Elle se retourna à son tour vers ses pâtes, je pouvais voir ses mains tremblaient et son visage livide. Je n’étais pas le seul à avoir eu un ascenseur émotionnel en l’espace de quelques secondes. Finalement un sourire apparut sur son visage, ce qui eut pour effet de me soulager. Je ne voulais surtout pas avoir fait le pas de trop et avoir tout gâché une fois de plus. Elle attrapa un des gâteaux présents sur la plaque de cuisson avant de me complimenter avec un léger sourire. « C’est très bon, je me demande si tu n’as pas menti sur tes talents. » J’ai d’abord pensé à une blague, mais elle n’avait pas l’air de mentir. C’était bien la première fois que je réussissais à faire quelque chose en cuisine. Mais son sourire n’était pas si anodin, je ne fis pas attention à ce qu’elle manigançait. « Ça mérite une petite récompense. » Elle s’approcha à nouveau de moi et déposa sur mes lèvres se baiser qui précédemment, fut violemment interrompu. Ça n’a probablement duré qu’une seconde, mais ça m’a paru une éternité. Je n’en suis pas ressorti indemne, moralement, mais aussi physiquement, la jeune brune en avait profité pour me barbouiller de confiture à son tour. Je ne pouvais pas rester ridicule toute seule. » Dit-elle avec un large sourire. J’aurais pu continuer ce petit jeu, mais je me serais fourvoyé sur le désire qui nous animait à ce moment précis. « Tu m’as bien eu, je ne te pensais pas capable de ça ! » Avant même qu’elle ne pût s’éloigner de moi, je l’ai attrapée par la hanche afin de déposer à mon tour un baiser sur ses lèvres. La faim m’avait quitté, je ne désirais plus qu’une seule chose et elle était là, dans mes bras. J’ai vécu pour la troisième fois le plaisir d’être dans ses bras, allongé sur le lit, mais cette fois-ci je ne voulais pas commettre la même erreur. « Ce n’est peut-être pas très malin, par rapport à notre promesse et … » Un léger rire m’interrompit, il n’était plus question de douter, ni de parler.


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Message(#) Sujet: Re: he's like the wind - alvaro he's like the wind - alvaro - Page 2 EmptyJeu 13 Avr - 8:35




alvaro & milena
Peut-être que ça allait trop vite, peut-être que tu n’aurais pas dû relance la machine du désir mais ce soir tu n’avais pas envie de jouer la petite fille sage. Ce soir, tu te rendais compte qu’Alvaro t’avait manqué, peut-être plus que tu ne l’avoueras jamais. C’était facile de discuter, de rire à ses côtés. Aujourd’hui du moins parce que lors de votre première rencontre il était complètement brisé. Tu savais apprécier aujourd’hui le changement qu’il semblait mettre en place. Il allait mieux et parce qu’il allait mieux ce qui vous liait, peu importe ce que c’était allait mieux. Il y a plusieurs mois, jamais vous n’auriez pu avoir ne soirée de ce genre. Il y a plusieurs mois tu n’aurais jamais imaginé être aujourd’hui dans ta cuisine en train de déposer tes doigts couverts de confiture sur le visage d’Alvaro pour te venger. Si ton cœur battait un petit peu plus vite quand il était là, personne n’avait besoin de le savoir. Tu ignorais où vous alliez, tu ignorais ce que vous réservait les jours, les mois, peut-être les années à venir mais au moins, tu auras profité de cette soirée et peu importe comment elle se termine, tu en seras complètement satisfaite. L’air est électrique entre vous depuis la presque baiser d’Alvaro. Tu goûtes ses petits gâteaux qui sont délicieux, lui qui t’annonçait des talents culinaires désastreux avait bien relevé le défi. Mais les gâteaux n’étaient plus réellement ce que tu désirais ce soir et alors que ton regard croisait celui d’Alvaro avant de le couvrir de confiture, tu savais que c’était partagé. « Tu m’as bien eu, je ne te pensais pas capable de ça ! »Tu laisses échapper un éclat de rire, tu te rends compte qu’à cet instant tu es heureuse tout simplement. Alors que tu comptais aller te laver les mains, Alvaro t’attrapa par la taille et soudainement tu es dans ses bras, ton corps contre le sien, ta bouche contre la sienne. Tu n’essayes même pas de résister, cela serait complètement vain et inutile. Tu te laisses porter par les sensations qui t’envahissent. Tu avais oublié ce que c’était que de désirer ainsi, que de pouvoir se laisser porter par ses envies parce que tu faisais pleinement confiance à Alvaro, peut-être trop. C’est presque naturellement que vous vous retrouvâtes dans ta chambre, allongés sur ce lit qui avait déjà été témoin de vos deux précédentes rencontres. Tu laisses Alvaro tomber sur le lit et tu vois qu’il hésite, qu’il doute : « Ce n’est peut-être pas très malin, par rapport à notre promesse et … » Tu laisses de nouveau échapper un rire. Comme si cela aurait été possible de tout laisser de côté, de faire comme si vous étiez des inconnus. Tu étais persuadée qu’il y aurait d’autres occasions où vous apprendriez à vous connaître, où tu pourras être sage et garder tes mains pour toi. Mais ce soir ce n’est pas le cas et tu refuses de te priver de cet homme qui sans le savoir se fait petit à petit une place dans ta vie, dans ton cœur. « Arrête de penser. » Lui dis-tu alors que tu le rejoins sur ce lit qui n’attendait que vous finalement. Et vous arrêtâtes rapidement de penser pour vous concentrer sur autre chose, tout autre chose. Et pour une fois, le lendemain matin, le lit n’était pas froid. Non, il était toujours là, collé tout contre toi. Un sourire s’est dessiné sur ton visage, tu préférais largement cela. Sa présence ce matin-là rima avec petit déjeuner avant que tu ne le laisses repartir. Tu ne savais toujours pas ce que vous étiez, ce que vous seriez un jour peut-être mais cela n’avait pas d’importance pour l’instant, tu avais juste envie de profiter de cette insouciance, de cette facilité jusqu’à ce que vous soyez prêts, peut-être, pour autre chose.




the end
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