ENZO&MAXYN ♦ Save me from myself.

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Enzo & Maxyn // SAVE ME FROM MYSELF

“LOVE IS HARD TO FIND, HARD TO KEEP, AND HARD TO FORGET.”

Il s'était arrêté, je le sentais plus que bien mais j'avais trop envie et besoin de lui. J'en tremblais presque tant je me sentais instable par tant de désir. J'embrassais son cou, suçotant sa peau, laissant son parfum m'envahir encore plus. Je continuais de caresser ses lèvres de mon pouce tandis qu'il caressait mon maigre corps de ses mains expertes. Je frissonnais et je sentais mes tétons se durcir de minute en minute et ils hurlaient le nom d'Enzo de toute sa splendeur.

Je laissais mes lèvres se perdre sur son cou, tandis que ma main encore apte à bouger quittait ses lèvres pour revenir dans ses cheveux avant de caresser son dos musclé, sentant ses muscles saillants flirter avec la pomme de ma main.... sauf que me maintenir en devenait juste impossible.

Je gémissais contre son cou, me forçant à coller mes lèvres sur son cou mais le plaisir était trop présent. Son membre se perdait en moi, se noyant dans ma cyprine que lui même avait provoqué. Je sentais mon vagin trop s'humidifier et j'avais peur de trop imploser et exploser.

Ma tête était désormais collée contre l'oreiller, je sentais une goutte de sueur coulait le long de cette dernière et je bougeais mon bassin à l'inverse du sien pour intensifier ses vas et viens en moi. J'allais pas tarder à jouir, je me connaissais plus que bien, je voulais faire durer le plaisir mais Enzo m'avait tant manqué que mon corps réagissait trop vite. Je me mordais fermement ma lèvre inférieure pour me forcer à baisser d'un ton avec mes gémissements, quitte à me faire saigner, je m'en fichais... Et de ma main encore apte, je quittais son dos et vins glisser mon majeur et mon index entre Enzo et moi pour titiller mon clitoris. J'étais vraiment prête à partir et je voulais que le plaisir qu'il me procurait me fasse tourner la tête... encore plus.

Alors, les yeux fermés, me mordillant ma lèvre inférieure pour me forcer à calmer mes gémissements, je me concentrais sur les gestes d'Enzo, son souffle chaud flirtant avec ma peau.. Et avec mon autre bras où ma main était encore blessée, je vins juste attraper d'un doigt le barreau de mon lit, voulant me maintenir sur place, de peur de trop bouger.

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Maxyn & Enzo

L’intensité était à son comble. Je n’aurais jamais cru ça possible. D’abord que je couche de nouveau avec mon ex, mais surtout que j’y prenne autant de plaisir. Que j’ai envie d’autant lui satisfaire. C’était vraiment comme si on ne s’était jamais séparé. Cette complicité d’antan au lit était toujours d’actualité. Tellement que j’avais sorti la pire des conneries. Ouais je le regrettais mais pas par rapport à elle, non, je le pensais vraiment ce que je lui avais dit, mais je n’aurais pas dû me laisser aller ainsi. C’était lui montrer cette faiblesse que je n’avais fait qu’enfouir. Et jusqu’alors, je pensais vraiment bien m’en sortir. Mais mon addiction pour elle semblait remonter en force. Et non ce n’était pas bon, pas bon du tout. Sauf que j’occultais ça pendant un instant, j’avais trop envie d’elle, envie de finir en elle et qu’elle prenne son pied avant de me poser toutes ces questions qui allaient me faire mal au crâne. Alors je fus encore plus excité quand je sentais sa main s’infiltrait entre nous pour qu’elle puisse avoir son orgasme. C’est qu’il n’était pas loin. Le mien non plus à vrai dire. Mais je pensais tellement à elle que je me bloquais automatiquement et me donnais encore plus à fond, allant encore plus vite et plus fort, ne pensant plus du tout au fait que je pourrais lui faire mal. Non, je pensais qu’à lui faire avoir ce fichu orgasme, alors que je n’avais plus cette obligation quand on est un couple. Certes, je n’ai jamais senti ça comme une obligation, mais plus comme une preuve d’amour. Là, je n’avais pas besoin de lui prouver, je pouvais finir comme un gros connard et ne pas la satisfaire. Sauf que mon plaisir passait par son orgasme, alors ouais, le gros connard avec elle, je ne le connais pas.

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Enzo & Maxyn // SAVE ME FROM MYSELF

“LOVE IS HARD TO FIND, HARD TO KEEP, AND HARD TO FORGET.”

Je sentais mon index de ma main blessée glisser sur le barreau de mon lit que j'empoignais bien difficilement. Déjà car je sentais les blessures de ma main craquer sous le bandage qu'Enzo avait fait mais je m'en fichais totalement... Je voulais enfin jouir et évacuer toute cette tension... un surplus de sentiment que j'avais besoin d'extérioriser.

Enzo me rendait folle, j'étais hors de moi... Deux ans que je n'avais pas ressenti une telle sensation et pourtant je n'avais pas chômé à ce niveau mais là, ce matin, c'était totalement différent.

Ma main encore apte jouait avec mon clitoris tout en me laissant emporter par les mouvements rudes d'Enzo.. Je le sentais accéléré en oubliant totalement mon état physique et je ne pouvais qu'en être fière... J'avais besoin de ça, de cette tension palpable, de jouer avec le feu, de me sentir vivante, désirée... j'aimais être perdue sous ses mouvements intenses et palpitants... J'avais besoin de me sentir sienne, j'avais besoin de tout ça... de lui, de nous.

Les yeux fermés, ma tête s'enfonçait dans l'oreiller, je sentais mon vagin exploser comme si un surplus de ma substance allait m'échapper dangereusement tant je ne contrôlais plus rien. Je sentais mon coeur briser en mille morceaux, je brûlais pour lui en torturant mon clitoris de mes doigts agiles.... L'orgasme était là et je n'arrivais plus à le repousser ou à le cacher... je m'en voulais.

La bouche entrouverte, un gémissement fin et aigu m'échappa tandis que je me cambrais en restant immobile, figée, me sentant enfin partir.... Mes jambes me paraissaient si lourdes et je me sentais si faible à la fois... Je continuais mes mouvements sur mon clitoris, sentant toujours Enzo se noyer en moi... Un autre gémissement s'enfuit d'entre mes lèvres et je me forçais à me taire en me mordant follement ma lèvre inférieure... Sauf qu'en me mordant avec une telle intensité, le goût du sang me vint vite en bouche. Si je n'avais pas fait ça, j'aurais continué de gémir encore plus fort jusqu'à prendre le risque de réveiller en sursaut Zoey et c'était hors de question. Je voulais continuer de rester dans cette bulle paradisiaque.

Je passais ma langue sur ma lèvre blessée mais ce n'était pas une si bonne idée au final... Ma main sur mon clitoris me quitta pour venir essuyer ces quelques gouttes sur ma lèvre tandis que j'ouvrais les yeux sur Enzo. Désormais je voyais un petit peu plus son visage grâce aux rayons du soleil. Je me sentais encore fébrile, m'accrochant tant bien que mal autour de son bassin pour qu'il puisse finir à son tour... Ou peut-être ce n'était pas assez? Je reprenais difficilement mon souffle venant caresser ma poitrine de ma main, laissant mon autre main blessée accrochée au barreau de mon lit. Je sentais que les plaies s'étaient craquées tant j'avais tiré dessus mais là j'étais encore en pleine extase que je m'en fichais... Totalement.

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Maxyn & Enzo

Voilà qu’on arrivait à la fin de cet ébat. Enfin, surtout pour mon ex. Je l’apercevais à travers les premiers rayons du soleil, et je la trouvais encore plus belle que dans mes souvenirs. Encore plus quand son orgasme explosa. C’était vraiment beau à voir, c’était fou comme ça m’avait manqué de la voir ainsi. Pourtant on avait tout de même pris notre pied il y a deux ans, mais c’était différent, cela avait été bien plus bestial et bien plus rapide. Moins affectueux. Tout avait changé en quelques jours. Ou plutôt, tout était remonté en quelques jours. Je la sentais également expulser tout son jus et c’était bien la première fois que je la sentais aussi trempée. Déjà, j’avais bien senti en la pénétrant tout à l’heure, mais là c’était encore pire. Ou mieux plutôt. Je la voyais faire des efforts surhumains pour s’empêcher de crier. J’aurais pu venir l’embrasser pour l’aider mais elle semblait dans son monde, et concentrée, je ne voulais pas la perturber, je continuais plutôt mes mouvements jusqu’à ce que son orgasme passe. Et j’avais l’impression qu’il avait été l’un de ses plus longs. Cela ne pouvait qu’encore plus satisfaire mon égo. Même si cette partie n’était que purement personnel. Sa main libre fit en sorte de me faire comprendre de continuer une fois qu’elle eu terminé. Je voyais bien qu’elle était encore hors d’haleine, mais ça ne m’arrêta pas pour autant. Non, je continuais, alors, essayant de relâcher la pression au maximum. La voir me donnait encore plus de plaisir et je me disais que si j’avais laissé la lumière allumée je n’aurais encore été moins capable de lui résister. Alors ouais, l’apothéose arrivait et je n’avais plus de raison de la retenir. Je me laissais totalement aller, mais mes bras avaient du mal à tenir au-dessus de Maxyn. Alors vu que ses lèvres étaient abimées et que je ne voulais pas davantage la blesser, j’ai calé ma tête dans le creux de son cou pour cacher mes gémissements de plaisir. Mes derniers coups de bassin furent plus vifs et plus saccadés jusqu’à ce que je m’arrête complètement, le souffle totalement coupé. Je devais souffler bien trop fort pendant que mon cœur battait vite tellement cet ébat fut intense.

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“LOVE IS HARD TO FIND, HARD TO KEEP, AND HARD TO FORGET.”

J'étais dans mon monde, ailleurs... Je me sentais si légère, si bien... Je regardais les rayons du soleil venir caresser la peau d'Enzo... Je voyais mieux son visage, son corps que je sentais depuis tout à l'heure sous mes baisers, mes caresses et mes étreintes. Je sentais mes joues rouges de plaisir et mon vagin bien plus qu'humide... Ca me gênait légèrement mais j'étais tellement à mon aise que je n'y prêtais pas trop attention... Je laissais mes jambes entourer le bassin d'Enzo, je voulais que lui aussi ressente ce que je venais de ressentir. Mes jambes étaient faibles, mais je les maintenais comme je pouvais autour de lui, laissant mes mollets venir caresser ses fesses tandis que ma main sur ma poitrine venait se poser sur sa nuque, caressant ses cheveux du bout de mes doigts.

Ses mouvements étaient encore plus rudes et rapides et je le sentis finir. Un dernier gémissement m'avait échappé vu les derniers efforts qu'il venait de faire. J'avais les yeux entrouverts et j'avais l'impression de planer littéralement. Comme si j'avais fumé trois gros joints pour me sentir dans un espace-temps qui n'était pas le nôtre.

Son front était désormais posé sur mon cou, ma main remontée dans ses cheveux que je caressais longuement, en délivrant enfin le barreau de mon lit de ma main droite "malade". J'avais juste posée mon bras droit sur le haut du dos d'Enzo, où je caressais sa peau de mon bras. Ce n'était pas aussi agréable qu'avec une main, certes, mais je sentais ma main droite encore plus en mauvais état, alors je la laissais se reposer.

Mes yeux étaient désormais figés sur le plafond, je laissais ma jambe gauche tomber sur le lit, tout en continuant mes caresses de ma jambe droite... Je n'arrivais pas à parler et je ne voulais pas le lâcher aussi vite. Alors je le remerciais à ma façon, voulant encore le sentir près de moi. Car s'il me quittait là, je ne savais pas où on irait... Je ne voulais pas parler et avoir une conversation qui ferait mal, non. Je voulais le sentir en moi, contre moi, là pour moi.

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Maxyn & Enzo

Son odeur m'anesthésiait. J'aurais pu m'endormir, là, dans son cou, mais pour l'instant j'étais bien trop occupé à reprendre mon souffle. Mais l'endorphine que me procurait cet orgasme était très puissant, c'était sûrement parce que j'étais bien fatigué avant que je ne débarque rapidement chez Maxyn. Mais je me plaisais, là, tout contre elle, sentant sa main s'aventurait dans mes cheveux, sa chambre et son bras qui me caressait. Je ne m'étais pas attendu à une telle affection, ça me surprenait justement. Elle était vraiment encore attaché à moi, et j'avais du mal à y croire. Je restais quelques secondes ainsi, avant de venir poser mes lèvres délicatement dans son cou pour l'embrasser de quelques baisés doux pour finalement me laisser tomber du bon côté, sans pour autant la laisser dans son coin, non, je passais mon bras sous sa tête pour l'inciter à venir se coller contre moi. Même si on n'était plus ensemble, je savais bien qu'elle avait besoin de cette affection de ma part. Même si j'aurais été prêt à parier qu'elle aurait préféré connaître ça avec un autre homme. Pas ce soir en tout cas. Alors je ne disais rien, je la laissais venir contre moi lui caressant son bras meurtri sans toucher à ses blessures et me perdais dans les rayons de lumières qui nous éclairaient faiblement pour finalement tourner la tête vers elle, lui sourire, timidement, puis lui déposer un tendre baisé. Je gardais ma tête contre la sienne et mes paupières se faisaient tellement lourdes qu'elles se fermèrent tout de suite. La discussion n'était pas nécessaire, pas tout de suite, j'étais trop épuisé pour ça, et il était bien trop tôt pour avoir ce genre de conversation, autant attendre d'être parfaitement en forme.

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Enzo & Maxyn // SAVE ME FROM MYSELF

⚜ “LOVE IS HARD TO FIND, HARD TO KEEP, AND HARD TO FORGET.” ⚜

Je sentais la respiration saccadée et forte d'Enzo contre moi, je sentais mes joues rougir de plaisir et la chaleur enivrante de nos deux corps unit.

Je me perdais en regardant le plafond, caressant Enzo, le félicitant comme je pouvais... Je passais ma langue sur ma lèvre inférieure, le sang avait déjà séché... Puis quand je sentis les lèvres d'Enzo venir embrasser mon cou, un sourire niais apparut. Il retomba sur le côté, me faisant comprendre de venir me blottir contre lui. Chose que je fis instinctivement.

Je me tournais légèrement, mettant mon bras gauche blessé sur son torse... Torse que je caressais du bout de mes doigts. Je reprenais tant bien que mal ma respiration, ce sourire niais ne me quitta pas d'une seconde et je me trouvais ridicule à sourire autant.... Mais j'avais besoin de le regarder, encore, pour être sûr qu'il était réel, que tout soit réel et non encore un de mes rêves bien trop explicite. Alors, je levais légèrement ma tête et je le vis me sourire à son tour et quand il vint poser mes lèvres sur les miennes je souriais contre ces dernières, me collant encore plus à lui...

Je travaillais aujourd'hui mais mon cours ne commençait qu'à 11h et il était à peine 7h du matin désormais. J'admirais Enzo fermer les yeux et j'en fis tout autant. Laissant ma main venir caresser son torse longuement jusqu'à venir se blottir dans son cou que je caressais tendrement. J'adorais le toucher comme autre fois, m'endormir près d lui, me sentant enfin importante pour quelqu'un... J'étais trop bien et bien trop fatiguée pour penser à la suite... Alors je fis place à Morphée, un sourire niais toujours collé à mon visage.

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