#55 Viens que j'te raconte ! ~ Elisis #2

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Viens que j'te raconte !

Toc toc toc.
Trois petits coups résonnèrent sur la porte de l’appartement. Elie enroulée dans ses serviettes de bain hurla à la personne provoquant ce bruit qu’elle arrivait, trente secondes. En réalité, elle aurait très bien pu aller ouvrir comme ça, puisque la personne en question n’était autre que Lisis, sa meilleure amie. Et elle se fichait bien que celle-ci la voit en serviettes.
Il faut savoir qu’elles ne s’étaient pas vues depuis leur dernière rencontre fortuite à la patinoire et cela commençait à remonter. Aujourd’hui, Elie avait servi au Burrow et avait fini son après-midi à distribuer des prospectus dans la rue. C’était différent de ce qu’elle faisait d’habitude et elle avait beaucoup de mal à savoir si cela lui plaisait ou non. Cette activité avait simplement tendance à lui faire mal au dos. Rester trois heures à piétiner sur place n’était pas le truc le plus folichon du monde.
Qu’importe puisque à la fin de son service, elle avait reçu un appel de la danseuse qui lui proposait de se voir le soir. Une soirée filles, comme elles aimaient tant et qui leur permettrait de parler de tout ce qui leur était arrivé ces derniers temps et Dieu seul sait à quel point la vie d’Elie avait été bousculée en quelques semaines seulement. Et ce n’était pas avec sa sœur qu’elle allait en discuter !
Elle enfila rapidement une chemise large à carreaux et un pantalon de pyjama avant d’aller ouvrir la porte. Elle ne s’était pas trompée, c’était bien Lahela sa petite égyptienne qui se tenait derrière. Elle la prit dans ses bras. « Bonne année !! » Un gros poutou sur la joue et la poussait à l’intérieur. Aucun besoin de lui dire de faire comme chez elle, elle était chez elle en quelques sortes.
« Je sais pas trop qu’est-ce qu’on peut manger ? On commande mais où ? » L’hésitation était forte entre les sushis et la pizza. Elle se rendit à son frigo et lui cria, malgré la distance qui n’était pas franchement énorme. « Tu veux boire quoi dis? »

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Elie & Lisis = Elisis
Vient que je te raconte, que je t'explique, qu'on s'amuse.
Vient qu'on pense enfin à nous et plus a eux. Les briseurs de coeur.

N

ouvelle année, nouvelle résolution, nouvelle vie, nouveau comportement, nouvelle envie... Arrête de rêver ma pauvre Lisis, arrêter de penser que cette année sera meilleure que la précédente, arrête de penser que tout changera pour toi. Elle c'est déjà mal terminé alors ne pense pas qu'elle va bien recommencer. Avec Bryan je suis toujours autant en froid et je ne sais même pas comment régler ça. Jax, Jax mon meilleur ami il est tellement gentil en ce moment que je ne sais pas se qu'il cache derrière. Mon frangin bien trop présent lui aussi que j'ai l'impression d'étouffer depuis que je suis rentré d’Égypte. Puis depuis un moment j'ai l'impression que le pub tourne au ralentis, tourne comme s'il savait pour moi. Olee est tout mielleux avec moi, Leo est souvent a cran se qui m'agace un peut car je ne sais pas se qui la tracasse. Rori qui part de la ville où je venais de le retrouver enfin. Puis... Non tout est tellement bizarre en ce moment. Est-ce que c'est moi qui change ? Je ne sais pas moi-même. Aujourd'hui, je pense que j'aurais du rester au lit pour ne pas survivre a toutes les sautes d'humeurs des clients mal luné ou bien qui veulent continuer a boire sans respecter les indications que je leur pose. Bon je dois aussi avoué que je ne prends des pincettes avec personne. Même ce matin j'ai dis a un client d'aller ce faire voir. Jax ma demander plusieurs fois se qui pouvait me passer par la tête pour être ainsi je ne lui répond pas en faite je préfère rester là, au fond de ma salle portable en main. Je le laisse repartir puis quand je regarde mes photos je vois celle de nous deux. C'est vrai que ça fait un moment que nous ne sommes pas vue, depuis la patinoire. On avait passer un excellent moment et ça, je ne le renie pas. Juste avant que je prenne la décision de t'appeler Leo ma barmaid m'apporte un café. Je lui sourire en la remerciant. Puis je t'appelle. Je te joins rapidement, tu pouvais entendre que ça me fais plaisir d'entendre ta voix mais surtout quand tu acceptes ma proposition de ce voir ça me rebooste un peut pour finir ma journée plus rapidement. Jax revient a l'attaque en me demander se qui se passe pourquoi je souris ainsi, bien sur je lui envoie un pique pour le calmer.

Le soir venu, sans problème je laisse le bar au main de Jax et Olee puis je m'éclipse rapidement. Je ne prends pas la peine de passer chez je sais que si j'ai besoin je peux t'emprunter des affaires. Cigarette en main je défile les rues les unes après les autres pour arriver a Fortitude Valley. Je connais le chemin par cœur a force de débarquer a l'improviste mais surtout je sais quel est ton appartement. J'arrive rapidement devant la porte, bon mon petit secret c'est que je n'arrive pas les mains vides, j'ai une bouteille de vin blanc entre mes doigts. Quand je frappe a la porte, quand je t'entends hurler que tu arrives je ris doucement puis je reste la sur le palier. C'est vrai que j'aurais pu rentré mais j'ai envie de te faire penser que c'est quelqu'un d'autre. Puis la porte s'ouvre, tu me sautes dans les bras je te serre contre moi embrasse a mon tour ta joue « Bonne année à toi aussi ma belle ! » Bien sur j'entre par ton aide mais je ne m'interdis pas. Je retire mes chaussures pour être en chaussette dans ton appartement, puis, je m'approche du salon pour déposer la bouteille sur la table puis retiré ma veste. Je m'affale sur ton canapé et laisse un petit temps avant de te répondre. « Emmène deux verres a ballon et un tire bouchon pour voir un bon vin oui ! » Je rigole doucement en passant mes mains dans mes cheveux courts puis je fais une petite moue, j'avais une envie de plat exotique. « Que dit tu de commander Thaïlandais ? Je connais un petit restau qui livre mais surtout qui est merveilleusement bon ? »

WILDBIRD

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Viens que j'te raconte !

Consacrer du temps aux gens autour d’elle et leur faire savoir à quel point ils comptent à ses yeux, voilà une des résolutions qu’avait prise Elie en ce début d’année. Et Lisis faisait clairement partie de ces gens. Etant donné qu’elle commençait à se faire à sa vie fixe, elle comptait bien entretenir tout ce qui s'y était formé et installé. Sa sœur, ses amis, ses études à qui elle comptait donner plus de place, aussi bien pour faire plaisir à Alice que pour elle, progresser et peut-être quitter son job de serveuse.
Recevoir son amie ce soir était donc en partie la tenue de ses résolutions. Mais au fond, voir Lisis ne tenait pas du tout de la contrainte, elle était ravie de la voir et de pouvoir lui parler, rire avec elle comme elles le faisaient si bien. Elle allait avoir l'occasion de vider son sac et d'enfin dire ce qu’elle avait sur le coeur. Puis avec elle pas besoin de chichi, de maquillage ou quoi, le naturel suffisait amplement pour passer une bonne soirée entre filles.
Devant le frigo, Elie remarqua qu’elle allait bientôt devoir passer par la case courses, celle qu’elle n’aime pas vraiment dans ce grand jeu de la vie. Mais qu’importe, être adulte et posée quelque part signifiait également de faire ce genre de choses. Un grand sourire vint étirer ses lèvres lorsqu’elle entendit parler d’une bouteille de vin. Sur la pointe des pieds, elle attrapa donc deux verres avant d’arriver au petit trot dans le salon et de s’affaler à côté d’elle. « Et voilà ! » Puis de se relever aussitôt en riant. « J’ai oublié le tire-bouchon. » Et la voilà qui retourne à la cuisine, incapable de se souvenir de la dernière fois où elle s’en est servie et donc de où elle l’a mit. Son ventre sembla entendre la voix de Lahela et grogna légèrement. D’une voix assez forte elle accepta volontiers le thaïlandais. Elle ne connaissait pas trop ce genre de nourriture, plus habituée aux burgers ou tacos et autre plats mexicains. « Volontiers, mais prends ce que tu veux, j’y connais rien perso. Je te fais confiance ! » Elle finit par mettre la main sur ce fichu tire-bouchon et posa enfin ses fesses sur son canapé. Tout en ouvrant la bouteille, elle jeta un œil à son invité. « Ca te va bien quand même, les cheveux comme ça. » La dernière fois qu’elles s’étaient vues, elle avait son bonnet qu’elle gardait tout le temps et elle n’avait donc pas vraiment vu à quoi ça ressemblait. Le liquide vint remplir leurs deux verres et elle leva le sien, prête à porter un toast. « A notre soirée bien méritée ! » Un éclat de verre plus tard, elle goutta au liquide et leva le pouce en signe d’approbation.
« Bon, c’est pas que, mais je veux savoir tout ce qu’il y a de neuf dans ta vie, ça fait trop longtemps là. » Elle était curieuse de savoir ce qui avait changé, mais si elle espérait que son amie l’aurait prévenue d’un vrai changement s’il y en avait eu un.

acidbrain

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Elie & Lisis = Elisis
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C

a faisait tellement longtemps que nous n'avons pas passer une soirée toute les deux entre filles que je me demande comment on a pu faire pour s'en passer ? Bon je dois avouer aussi qu'entre le pub, les soirées que je passe en salle de sport pour me changer les idées et ne plus penser a ce terrible nouvelle qui m'a limite abattus je ne pense plus a grand monde autour de moi. En réalité j'évite plus les personnes que je me laisse aller avec eux. Je devrais sûrement partir prendre de réelle vacance mais seule ça ne me dis pas vraiment et je ne sais pas avec qui le faire. Je soupire doucement en secouant la tête sans même que tu le remarque, mais quand tu reviens je garde un sourire aux lèvres en te voyant revenir avec les deux verres, puis je ris un peut plus quand tu me dis que tu as oublier le tire-bouchon. Quand tu acceptes que l'on commande thaïlandais je sors mon téléphone de ma poche et appel le traiteur, je viens commander deux plats spécifique, puis je donne ton adresse. « Voilà dans 10 minutes il arrive ! » Puis je te vois revenir, je te laisse ouvrir la bouteille puis nous servir, quand me parle de mes cheveux je passe doucement ma main dans ceux-ci en repensant a ce moment de pétage de plomb ou je les ais coupé moi-même. Je souris doucement « Oh merci c'est gentil ma chérie ! » J'attrape alors mon verre a mon tour puis je fais frapper contre le tien en te regardant dans les yeux « A la notre et a notre soirée qu'on n'a pas fait depuis longtemps ! » C'est vrai que j'ai piquer cette bouteille dans les caves du pub mais au pire ce n'est pas grave c'est moi qui fait les comptes. Je viens boire un gorgé aussi en souriant a ton signe d'approbation. Puis a ta question c'est le mot « neuf » qui me gêne un peut. Je me penche et dépose le verre sur la table. « C'est pas du beau se qui m'arrive ses dernier temps Elie... » Je me pince doucement les lèvres, fallait bien qu'un jour où l'autre je te dise tout, puis c'est vrai que j'ai revu Bryan dernièrement mais c'était pas spécialement en bon terme du moins au début. Je soupire doucement « Ma jolie coupe je l'ai faite dans un moment de folie. Non pas par plaisir bien au contraire... » Je hausse doucement des épaules, tu savais que j'aime les deux sexes et ce n'est pas un secret d'état de toute façon. « Début décembre j'ai perdu ma première copine Elie... Elle est décédé d'une maladie et je n'ai pas pu participé a son enterrement sa meilleure amie n'a pas voulu me voir par peur que je foutes le bordel. » Je baisse un peut les yeux au sol c'est sortie c'est bon tu le sais je ne suis plus obliger de te le cacher. Mais je poursuis quand même sur le reste « Mais tu sais je t'avais parler que j'ai perdu ma mère il y a un moment ? Et bien le jour ou Cassidy est décédé c'était le même jour du décès de ma mère... » J'arrive a en parler de ma mère ce n'était pas le problème j'ai réussi a faire mon deuil mais pour Cassidy c'est encore douloureux et tu peux l'entendre dans ma voix. Je relève doucement mon regarde pour finir ma « petite histoire » « Mais je suis partie une semaine en Égypte pour voir ma famille, en revenant j'ai eu la surprise d'avoir Bryan qui débarque a l'appartement totalement énerver en me hurlant dessus comme quoi j'ai laisser le pub a Jax que je ne tiens pas mes responsabilités. C'est partie en engueulade, je lui ais même crier dessus et lui aussi mais j'ai craquer... J'ai fondus en larme devant lui Elie... » C'était la toute première fois que ça m'arrive, que je pleure devant Bryan en lui avouant tout. Mais a ce moment présent je me redresse et reprends mon verre pour en boire une longue gorgé. L'histoire de Cassidy ma casser ma carapace que je me suis faite en vers les hommes et je n'ai pas réussi a tenir tête a Bryan. C'est une longue histoire et moi mais je sais qu'il n'y aura rien d'autre que la relation qu'on entretien en ce moment. « Enfin bref, assez parler de moi, dis moi toi, raconte moi ! Dis moi que c'est bien plus heureux de ton coter que du mien ? » Je redépose alors mon regard sur ta personne en souriant, j'espère vivement que ça soit le cas.

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Viens que j'te raconte !

Au fond, Lisis était celle à qui elle pouvait tout dire sans peur d’être jugée. Lui avouer son attirance pour Marius, ses questions les plus intimes, en face ce ne serait toujours qu’une oreille attentive et de bons conseils. Et cela était valable dans l’autre sens. Elie serait toujours là pour écouter Lahela. Et comme cette dernière le soulignait très justement, cela faisait trop longtemps qu’elles n’avaient pas passé du temps juste entre elles. Le vin est bon et c’est tant mieux, quoi qu’elles n’aient pas besoin d’alcool pour dire tout ce qu’elles ont sur le coeur.
Mais l’ambiance bonne enfant, tourne rapidement à quelque chose de plus sérieux. Le coeur de la jolie brune se sert en entendant son amie dire qu’en ce moment sa vie n’est pas toute rose. Inconsciemment, elle fait tourner le verre entre ses doigts, nerveusement. Elle écoute d’une oreille attentive, les lèvres pincées, virevoltant des cheveux, aux yeux, aux lèvres de son amie, pour tenter de déceler les messages cachés qu’elle pourrait lui laisser au passage. Elle n’allait pas bien, mais Elie s’en était déjà rendue compte lors de leur rencontre fortuite à la patinoire. Pour autant, Lisis ne s’était pas laissée approchée durant le mois de Décembre et les fêtes passant, Elie n’avait pas eu le temps, ni l’occasion de prendre de ces nouvelles. Aujourd’hui, elle se sentait un peu coupable. Au moment des aveux, sa main vint serrer celle de son amie pour tâcher de lui transmettre du réconfort. « Je suis vraiment désolée. » C’était sincère, mais elle ne savait pas trop quoi dire d’autre. La disparition d’êtres chers est quelque chose de difficile, mais personnel et qu’importe les mots employés la douleur restera la même, la seule chose à faire étant d’avancer. C’était son rôle à elle, la faire avancer, lui permettre de rire et sourire à nouveau. Effectivement, sa vie actuelle n’est pas des plus drôles et après avoir posé son verre sur la table, Elie la prend dans ses bras pour un câlin de réconfort. « C’est pas si grave d’avoir pleuré devant lui, peut-être qu’il va finir par se rendre compte de ce qu’il te fait, ce serait bien à un moment. On a tous le droit de craquer, même toi et s’il est pas fichu de comprendre que tu vas mal en ce moment, c’est son problème. » Elie ne connaissait ce Bryan qu’à travers les récits colorés de Lisis et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne l’appréciait pas des masses. Quelqu’un capable de faire pleurer Lisis n’était pas quelqu’un de bien, pas aux yeux d’Elie. « Du coup t’as passé les fêtes en Egypte ? » Pas mal comme noël !
Elle haussa les épaules lorsque la conversation dériva sur elle. Son verre vint trouver ses lèvres et elle mit un peu de temps avant de répondre. « Booh… Alice a décidé de repartir sur les routes, en Asie cette fois, donc bon... » Pas besoin d’un dessin pour savoir que le départ de sa sœur laissait un grand vide. Elles n’avaient jamais vécues l’une sans l’autre si longtemps et même si elle savait que sa sœur sera plus heureuse comme ça, elle allait lui manquer. « Et puis j’ai croisé Marius. On s’est retrouvés coincés dans un ascenseur, le bon gros cliché quoi. Et il m’a bien fait comprendre qu’il avait quelqu’un dans sa vie. » En réalité elle était partie dès que les portes s’étaient réouvertes et ne lui avait pas laissé le temps de dire quoi que ce soit d’autre, son silence lui avait suffi. « Donc voilà, c’est pas la joie non plus... » La raison qui lui avait fait poser bagages ici, qui avait fini par lui faire perdre sa sœur (au fond elle ne la perdait pas vraiment, mais elle le ressentait ainsi), cette raison venait de lui rire au visage. Difficile d’accepter que tout ce en quoi l’on croyait n’est qu’une mascarade au bout du compte.

acidbrain

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J

amais je ne pourrais te juger sur t'es relations, surtout que je ne fais pas mieux. Après je sais que Marius est plus vieux que toi, mais c'est pas un problème en réalité vue que je fais pareil avec Bryan. Donc ce n'est pas moi qui va te juger sur ce point là, bien au contraire je suis et je serais toujours à ton écoute pour que tu puisses le libéré, libéré totalement sans avoir aucun reproche ni même de jugement. Je ne suis pas la plus parfaite, et je n'ai jamais fait de ma vie une conte fée c'est pour ça que je ne prendrais pas la peine de juger quelqu'un sur les actes qu'il puisse faire. Même si cette soirée est accompagner d'alcool sa n'empêche en rien.

Je viens comme casser un peut l'ambiance du début que nous avions installer en t'expliquant tout se qu'il se passe. C'est vrai qu'à présent ça me fait un bien fou. Je sais aussi que tu m'écoutes, que mes paroles ne sont pas des paroles en l'air. Quand tu me prends la main je viens la serré doucement sentant le réconfort, et t'es paroles son sincère, je n'en doute pas du tout. Je viens doucement déposer ma tête sur ton épaule doucement. J'avais déjà verser toutes les larmes possible et inimaginable du a ça c'est pour ça que j'ai simplement le cœur serré mais aussi un petit nœud a la gorge en parlant de Cassidy. Je te laisse déposer ton verre sur la table et me prendre dans t'es bras. J'entoure alors ta taille de mes bras pour me serre contre toi en t'écoutant. « Oui c'est vrai, mais tu sais il a toujours été comme ça. Et t'en qu'on ne lui explique pas la situation présente il n'arrivera pas a comprendre.. » Tu as tout a faire raison, mais c'est plus fort que moi je prends quand même sa défense, ça a toujours été. Même devant son frangin, qui est mon meilleur ami j'ai toujours pris sa défense. Peut-être qu'il en joue, peut-être que non, je ne sais pas. Je sais que tu ne l’apprécie pas malgré tout je le ressens quand je t'en parle. Mais tu es la seule a qui je peux clairement en parler mais surtout me libéré sur se qui se passe entre nous deux. Je relève doucement mon visage vers toi en souriant doucement. « Ouais, mon père était heureux de me revoir les petits derniers aussi et mon grand frère ma changer les idées ça faisais du bien. » C'est vrai qu'avant de partir j'avais vue un peut tout le monde sans même le dire « Mais ça ma fait du bien de trainasser dans les rues du Caire et de revoir des coins que j'ai oublié. Un jour je t'emmènerais là-bas ! » Je te dis en souriant, c'est vrai que j'en suis plutôt fière de mon pays.

Au moment ou je te retourne la question pour toi, je garde toujours mon regard déposer sur ta personne en t'écoutant toujours autant. Quand tu me parles de ta sœur je fronce doucement les sourcils. Je sais que vous êtes toutes les deux très proches et je vois que sa te touche son départ. Je suis rester contre toi, mais quand tu me parles de Marius je garde mes sourcils froncés. Bon le cliché de l'ascenseur je l'oublie rapidement c'est la suite qui me fait vraiment tilte. « Comment ça quelqu'un dans sa vie, il te la clairement dis ou tu la simplement compris par toi même ? » Toi et Marius me fait un peut penser a Bryan et moi. Une complication qui en provoque une autre, on a aussi un peut le même caractère et qu'on reste buté sur un point de vue sans vraiment avoir compris le sens. Puis je dépose un baiser sur ta joue et je rajoute « Et tu sais pour ta sœur, je sais que ça peut être difficile mais elle va revenir, tu pourra aller la voir aussi. Et tu vas voir elle va vite revenir, plus vite que tu ne le pense ! » C'est se que je disais au triplé (mes deux frère et ma sœur) quand je suis partie de la maison et je me suis trouver bien ici a Brisbane. Mais ça ne m'empêchais pas d'aller les voir quand je pouvais. Mais je pense vraiment que ta sœur va vite revenir, au près de toi. J'allais rajouter quelque chose quand on sonne a la porte. Je me redresse en souriant. « J'espère que ton ventre réclame encore a manger ? » je viens alors me lever avant toi puis ouvrir au livreur. Je le paye puis je reviens avec la nourriture sur la table et sortir les boites, l'odeur envahis rapidement la pièce et ça donne vraiment faim.

WILDBIRD

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Viens que j'te raconte !

Elle le défendait toujours, qu’importe ce qu’il pouvait faire ou dire, malgré les larmes qu’il pouvait lui tirer, elle trouvait toujours quelque chose pour sa défense. Incroyable comme l’on peut être aveugle dans ce genre de circonstances. Il la tenait par le bout du nez et rien de ce qu’Elie pouvait dire ne changerait les choses. Un soupir lui échappa. Chaque discussion autour de lui aboutissait à la même chose. « Tu peux pas le laisser te faire du mal comme ça, pas maintenant... » Pour son bien à elle tout simplement. Elie n’avait pas envie de se mêler de ça, surtout pas d’en arriver au stade où elle devrait aller le voir en personne pour qu’il cesse ses bêtises. « Tu peux pas en parler à Jackson, qu’il lui en touche un mot ? » Ce n’était pas forcément la meilleure des solutions, peut-être que cela n’aboutirait à rien au final, mais il valait toujours mieux proposer. La jeune femme hocha la tête face au récit de son voyage. « Ca a dû te faire du bien oui ! J’espère que t’en as profité ! » Elle songea qu’elle n’était pas retournée chez elle une seule fois depuis qu’elles avaient mit les voiles. Ses parents, elle ne les avaient que très rarement au téléphone, ils allaient bien, mais il lui arrivait de se sentir coupable de ne pas aller les voir ou de ne pas prendre de leurs nouvelles plus souvent. Peut-être que maintenant qu’Alice était partie elle pourrait aller leur faire un coucou ou les faire venir même… Seule la crainte de ne plus repartir de leur trou l’empêchait de faire aboutir son idée. « J’adorerai aller en Egypte, mais c’est loin ! » Elle qui avait pourtant parcouru l’Australie en long et en large n’avait jamais prit l’avion et elle redoutait fortement de le faire un jour. Mais elle ne laissa rien transparaître, peu certaine que Lisis l’y emmènerait vraiment un jour.
Elie sentit le rouge lui monter aux joues lors de la question à propos de Marius. La danseuse avait toujours le don pour mettre le doigt là où il fallait. Forcément qu’elle s’était posée la question. Et si elle avait attendu, qu’elle n’était pas partie comme une sauvage, peut-être lui aurait-il répondu et balayé ses doutes. Oui, elle y avait songé après être partie. Mais elle en doutait fortement et n’avait plus envie de se faire des idées à la noix, à rêver du prince charmant dans sa tour dorée pour finir vieille fille à trente ans. La jolie brune se détacha de son amie pour tomber à la renverse, se cachant le visage. Elle voyait les reproches arriver, gros comme une montagne. « Disons qu’il n’a rien répondu... » Elle se releva aussitôt, les mains en barrière comme pour se protéger d’une attaque imminente. « Je sais ça veut rien dire blabla… Mais ça voulait tout dire au contraire ! Il est avec la libraire là... » Elie était rentrée dans son magasin une fois pour essayer d’en apprendre un peu plus, mais elle s’était fait prendre et s’était sentie bien bête. Dans tous les cas, le professeur y passait beaucoup de temps et il n’avait pas nié lorsqu’elle lui avait posé la question. A ses yeux, cela voulait tout dire. Et puis Elie en avait marre d’être considérée comme une enfant. Sa rencontre avec Raffaele à un enterrement de vie de jeune fille lui avait fait l’effet d’une douche froide. Elle avait le sentiment que personne ne voudrait jamais d’elle, qu’elle était devenue trop vieille sans expérience.
Heureusement, elle savait lui remonter le moral, même si elle doutait fortement qu’un jour Alice finirait par se poser. Elle hocha la tête, prête à lui répondre, lorsque l’appel de l’estomac sonna à la porte. « Je meurs de faim ! » Face à tous ces mets répandus, Elie jeta un coup d’oeil complice à son amie avant d’attaquer. Elle ne connaissait pas du tout, mais à sa grande surprise c’était excellent. « C’est super bon ! »
Quelques minutes passèrent où les deux compères mangèrent silencieusement, profitant du plaisir de se remplir l’estomac. Elie se nettoya la bouche avant de reprendre. « Je pense pas qu’Alice se posera un jour, pas avant d’être vieille et sénile, c’est surtout sa santé qui m’inquiète mais bon... » Elles n’avaient pas arrêté leur voyage pour rien, Alice était malade et seule Elie réussissait à lui faire garder le cap. Mais elle devait apprendre à lâcher prise aussi…
« Tu sais à une fête où je servais, je me suis retrouvée dans un placard avec un mec... » Lisis était une des seules à savoir qu’Elie n’avait jamais eu de rapport physique avec qui que ce soit et bien heureusement elle ne la jugeait pas. Mais la jeune femme avait besoin d’être rassurée, qu’on lui dise que cela finirait bien par arriver...

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Vient qu'on pense enfin à nous et plus a eux. Les briseurs de coeur.

L

a conversation sur Bryan est toujours pareil, toujours la même chose, toujours a se que je le défende, a se que je lui laisse tout passer même quand il me fait du mal. Mais je ne sais pas, depuis que je l'ai retrouve, depuis que je l'ai revue ce n'est plus pareil. Du moins c'est se que je pense aujourd'hui, c'est se que je pense depuis qu'on ma briser intérieurement avec l'histoire de Cassidy. Comment c'est possible de briser une personne comme ça ? Comment on peut profité d'une personne blesser comme ça ? Je sais que je ne devrais pas me laisser faire, mais, est-ce que la situation redevient comme il y a quelques années quand j'ai rencontré Bryan en Irlande quand Cassidy ma quitté ? Je ne pense pas sinon ça ne se serait pas passer comme ça entre nous deux quand nous nous sommes vue. On avait l'habitude de tomber l'un et l'autre dans nos bras mais là plus rien depuis que l'on c'est revue. Est-ce qu'il aurait trouver quelqu'un ? Je ne sais pas, mais je préfère ne pas y penser. Après si c'est le cas, j'en serais ravie ? Je ne sais pas. Je prends pas la peine de répondre, tu savais que tu avais raison, tu sais que tu as tout à fait raison la dessus. Je baisse simplement les yeux vers le sol en haussant doucement des épaules. Je n'arrive déjà pas moi-même a mettre un mot, un définition sur notre relation alors comment je peux faire. Je n'y arrive pas. Quand tu me demande pour Jax je hausse a nouveau les épaules. « Je ne sais pas, je ne parle de ma relation avec Bryan en présence de Jax. Je... J'ai essayer une fois et on c'est engueuler donc bon... » Je garde un instant le regard baisser. C'est vrai que la dernière fois qu'on est venu à parler de Bryan c'était un soir et on c'est tout les deux emportés dans des propos. Certes se qu'il m'a dit n'était pas faut, qu'il fallait bien qu'un moment donner j'ouvre les yeux et que j'arrête d'être la femme que je suis et d'avoir quelqu'un de stable mais si déjà moi je ne sais pas se que je peux ressentir pour un homme je ne sais pas comme je pourrais avoir une situation stable... Le sujet de mon voyage vient rapidement, je ne sais pas si ça ma fait du bien de partir là-bas en faite. Mais quand tu me dis que tu adorerais partir là-bas je souris doucement en te regardant a nouveau. « Je t'emmènerais si tu veux ! Et je te ferais visité ! » Je connais l'Égypte comme ma poche en réalité puis, je bougeais tout le temps avec mes parents. C'est pour ça que je connais aussi bien le pays.

Quand je te vois rougir je plisse doucement mes yeux, attendant se que tu vas dire. C'est vrai que j'adore poser les questions que généralement on ne ce pose pas, mais c'est un peut mon coter barmaid. Je discute tellement avec les gens que maintenant j'en prends l'habitude de poser des questions. Je te laisse faire tout en t'écoutant, il n'a rien répondus donc tu ne lui a pas vraiment poser la question, mais j'attends que tu ais finis pour prendre la parole. Mais comme je pour te faire des reproches. « La libraire ? Comment ça ? Tu as jouer a Sherlock ? » je laisse un peut d'humour nous envahir. Je sais que cette relation avec Marius te touche énormément donc je préfère te poser cette question avec un peut d'humour que tu ne te sentes pas trop mal. Puis je viens te regarder. « Je sais que Marius compte beaucoup pour toi, mais, pense tu que tu ne devrais pas lui laisser une dernière chance pour qu'il s'explique ? » Que tu sois enfin fixer, que tu en ais le cœur nette. Ce n'est pas facile je le sais moi-même vue que je ne le fais pas spécialement, mais je n'ai pas envie que tu finisse comme moi...

Même si mes problèmes pouvaient me mettre le morale dans mes chaussettes je sais très bien faire la part des choses et surtout tout faire pour te remonté le tien. Je suis une chieuse professionnelle quand je m'y mets. Mais je viens alors te rassuré pour ta sœur. Je vois que tu veux me répondre mais le livreur nous coupe totalement. Une fois que je reviens sur le canapé pour commencer en te regardant en souriant. Mon sourire s’élargit quand tu me dis que tu aimes. « Je suis contente que tu aimes ! » Dégusté, c'est le mot. Nous dégustions notre repas, certes en silence mais ça fait un bien fou de ce nourrir. Nous sommes toutes les deux des adorés de bouffe et ce n'est pas un mal. Mais une fois le repas finit je fais de même, m'essuie la bouche et je redépose mon regard sur toi quand tu me parles de ta sœur. « Comment ça, sa santé ? Elle a quelque chose de grave ? » ça me surprends un peut tu ne m'en a jamais parler de ça. Puis quand tu enchaînes sur une histoire de garçon et toi dans un placard. Bon l'attention m'attire surtout sur le placard je me fais étire un sourire amusé. Je viens alors m'asseoir en tailleur face a toi sur ton canapé en te regardant. « Dans un placard alors ? Pas trop étroit ? » Je souris amuser et je secoue doucement la tête. « Désolée ! Comment tu as fais pour te retrouver dans un placard avec un mec ? Il était mignon j'espère ! » Bon parler de mec c'est tout à fait normal pour nous deux. Même si je sais que tu n'as jamais eu de rapport physique avec une personne, ce n'est pas pour autant que je te pousse a le faire avec le premier venu. C'est quand même important. Même moi je n'ai pas oser le faire avec n'importe qui. Mais je t'ai toujours rassuré sur cette « crainte » si je peux dire. Et je continuerais a te rassuré et te dire que le bon arrivera bien plus vite que tu ne le penses.

WILDBIRD

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Viens que j'te raconte !

Leur soirée ne partait pas forcément de manière très gaie. Pour le coup, toutes les deux affalées sur un canapé avec une quantité de nourriture assez impressionnante pour deux filles, ça faisait presque réunion de dépressives. Mais l’on ne parlerait pas de ça. Elie se doutait de la réponse de sa meilleure amie à propos de Jackson, elle aurait presque pu faire la conversation toute seule, mais pour le coup ça n’aurait plus eu aucun sens. Elie regarda son amie sans rien dire, elle ne savait pas qu’est-ce qu’elle pouvait lui répondre. « Je sais pas quoi te dire… J’aimerai bien pouvoir t’ouvrir les yeux, mais je sais pas comment. » Un long soupire lui échappa. « Des fois je me dis que je vais aller le voir pour lui en toucher un mot, ça m’énerve ton histoire. » Elie n’avait pas beaucoup d’amis, mais elle n’aimait pas qu’on fasse du mal à ceux qu’elle avait. D’autant que maintenant qu’Alice était partie, elle n’avait plus personne sur qui veiller, elle qui avait fait ça toute sa vie. Heureusement, le sujet détourna sur son voyage, ses vacances, un sujet que la serveuse espérait un peu plus joyeux. Pourtant elle sentait bien que l’égyptienne parlait de son voyage de manière retenue, elle ne semblait pas plus ravie que ça à ce propos. « T’imagines faire un voyage ensemble ? Ce serait génial ! » Elle le pensait vraiment. Même si pour elle voyage était plutôt synonyme de routes à n’en plus finir, de paysages magnifiques. Elle n’était pas forcément pas fan des villes touristiques. Si un jour l’opportunité de partir là-bas s’offrait à elle, parcourir les déserts, voilà ce qu’elle voulait faire. Mais bon… De l’eau aurait coulé sous les ponts d’ici là.

Vint le sujet délicat de Marius. Elie n’en avait parlé à personne depuis qu’elle avait quitté l’ascenseur. Elle qui avait attendu de le revoir depuis six ans, leurs retrouvailles n’avait été que pure déception. Pourtant, ce n’est pas comme si Alice ne l’avait pas prévenue mille fois, mais elle avait voulu y croire, bêtement. Elle hocha la tête à sa question. « Je lui ai surtout posé la question… Mais je suis aussi rentrée dans la librairie pour essayer de comprendre pourquoi il est fourré là-bas tout le temps. » Elle secoua la tête pour chasser les idées sombres qui lui revenaient. Elle avait été stupide de croire qu’il l’attendrait. « Bref… C’est pas grave. J’ai été un peu bête sur ce coup là. Il a une fille Lahela... » Pour qu’elle n’emploie pas son surnom c’est que sa déclaration était hautement importante. Il ne lui semblait pas lui avoir déjà dit. Sauvée par le gong, elles profitèrent de ce répit pour remplir leurs estomac bien vides. « Elle est pas malade, c’est plus un problème de stabilité. Mais t’as peut-être raison, peut-être qu’elle reviendra quand elle ira plus très bien. »
D’un geste de la main, la jolie brune écarta tous ces sujets négatifs pour les amener sur un terrain plus amusant. « Figure quoi qu’un peu quand même... » Avoue-t-elle sur un ton amusé. Même si le souvenir de cette soirée n’était pas des plus sensationnels. « C’était un italien. Un stripteaser à la soirée, il m’a embarqué dedans. Je me doute qu’il avait des idées derrière la tête. » Elie n’aurait pas été contre, mais finalement, rien ne s’était produit et quand elle y réfléchissait aujourd’hui elle songeait que ce n’était pas plus mal. « Bon il s’est rien passé au final il m’a même humiliée devant les invitées de la mariée... » Et c’était reparti pour un sujet très gai. Elle s’en rendit compte et explosa de rire. « Mon dieu qu’on est négatives ce soir ! Bon au moins, on assistera pas au mariage de l’autre cette année ! » A moins que les choses s’arrangent d’ici là. Et puis en parler faisait du bien, elle ne pouvait le nier. Elle attrapa un plaid derrière son amie et l’étala sur leurs jambes. « Tu veux un autre verre ou plutôt une tisane ? » Oui c’était parfaitement un truc de grands-mères et alors ?

acidbrain

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Elie & Lisis = Elisis
Vient que je te raconte, que je t'explique, qu'on s'amuse.
Vient qu'on pense enfin à nous et plus a eux. Les briseurs de coeur.

N

otre début de soir n'était pas gaie du tout même. Parler de mes sentiments, enfin des hommes qui nous ont briser le cœur, des hommes pour qui on pensait que c'était une bonne idée de s'accrocher a eux mais en réalité non vue la répercussion qu'il y a juste derrière. Moi et mon histoire avec Bryan, c'était limite une conversation de sourds que l'on a la dessus, comme a chaque j'ai envie de dire vue que, jamais, jamais je n'arrive a dire quoi que ce soit de positif ou bien même de négatif. Tu as tout a fait raison je n'arrive pas a ouvrir les yeux, je n'arrive pas a ouvre les yeux sur le réelle Bryan mais surtout sur l'effet qu'il peut avoir sur moi. C'est bien beau de s'engueuler etc, mais au final qu'est-ce qu'on en déduit ? Rien. On n'arrive a rien. C'est vrai que Jackson pourrait faire quelque chose mais je n'ai pas du tout envie de le mêler a cette histoire là. Surtout que c'est son grand frère. Enfin bon, heureusement pour moi que nous changeons rapidement de sujet et qu'on parle de voyage. Sourire aux lèvres, j'ai réellement envie de t'emmener avec moi en voyager. Te faire visité des coins assez spéciaux mais aussi très beau. C'est vrai que je n'ai jamais réellement eu l'occasion de partir avec une personne qui met cher a mon cœur, mais avec toi je sais que ça sera très bien et qu'on pourra passer des vacances assez merveilleuse. Nous sommes deux grands-mères qui aimons faire les mêmes choses, ou presque.

Sujet de voyage clôt, maintenant c'est toi et les garçons. Plutôt Marius ou je pensais que ça allait être le valentin que tu attendais depuis longtemps mais non. Quand tu m'avoues qu'il a une fille je reste totalement bouche bée ou plutôt sur le cul j'ai envie de dire. Quel beau parleur, quel beau menteur. Sur le coup je m'énerve mais je trouves que je n'aies pas l'être vue que tu m'expliques tout. Les raisons pour les quels il ne te la pas dit plutôt. C'est vrai que ça doit être un choc, un choc qui peut paraître des plus désagréable donc je me permets de te prendre dans mes bras, surtout après le fait que tu me parles de ta sœur. Sa me blesse pour toi, sachant a quel point tu es attacher a ta sœur. Après cette étreinte réconfortante nous passons a une soirée que tu as passer en m'expliquant qu'un homme t'a humiliée devant les mariées. Se que je trouve juste a dire c'est un « C'est un mec, cherche pas. » puis je ris doucement. Je reste bien évidemment assise en tailleur face a toi sur ton canapé et je te laisse prendre le plaide derrière moi et l'installer sur nous. Je passe ma main dessus en souriant et exprime un petit « Tout doux ! » Quand tu me proposes un autre verre je fais un non de la tête et opte plus pour la tisane. C'est bon je jouer les grands-mères un peut. De toute façon vue le début de la soirée que l'on vient d'avoir nous savions qu'on allait être tranquille toute la soirée voir la nuit. C'est ça qui est bien avec toi, c'est qu'on peut rester dans le canapé devant des films a boire des tisanes toute la soirée et nuit jusqu'à se qu'on s'endorment l'un sur l'autre sans même s'en rendre compte. Et c'est se qui se passa ce soir.

The End.

WILDBIRD

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