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Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

MUSIQUE AU BATEAU à partir de 1:20

- PHEIJI. Bon, il y a des bouées ; c'est parfait. Obligatoire en plus, donc c'est qu'il y a beaucoup de morts et de noyades ? Je panique tout seul d'un coup. J'aimerais me détendre tout comme toi, mais ce n'est pas évident du tout. C'est tellement nouveau tout cela pour moi, c'est passionnant mais tellement surprenant et effrayant à la fois. J'ai tellement d'émotions qui me traversent le corps.

Je t'entends me dire que tu aimerais voir des requins pour cette escapade, j'aime bien aussi les dauphins, mais tout comme toi mon étoile, j'ai une préférence pour le roi de la mer. Mes mains sont toujours ancrées dans les tiennes pendant que tu t'emportes sur le sujet des océans. Franchement, j'adore t'écouter. Je suis agréablement choqué quand tu me dis toutes ces informations, la plongée que tu as faites, l'importance de la nature, l'oxygène et l'égoïsme des gens sans cœur. C'est tellement la vérité et pour le coup, je suis de ton côté. Autant amoureux de la nature. Je rigole de bon cœur quand tu t'excuses, tu es trop mignonne.

- C'est tout ? Dis-je en ricanant devant ta belle face toute radieuse. Je viens te voler un baiser sur tes lippes avant de me redresser à nouveau, je glisse une main sur ton visage pour te caresser puis je pianote ce dernier pour venir te toucher les cheveux. Ils sont si doux. Mon autre main ne quitte aucunement la tienne, j'ai encore peur. Je me recroqueville un peu sous ma capuche, pardon. Et si le bateau coule ? Et si je me noie ? Non, il ne fallait pas que je pense à ce genre de choses horrible.

- Tu peux parler autant que tu veux. T'inquiète pas . Mon petit moulin à parole.

J'ai une idée. J'ai toujours rêvé de réaliser cette scène culte et il en était hors de question de la réaliser avec quelqu'un d'autre que toi. Ma Phoebe, ma sirène, mon étoile, mon tout bordel. Mon diamant.

- Viens... chuchotement.

Je prends juste une béquille sous le bras pour m'aider et je te prends par la main pour venir nous diriger au bout du bateau magnifique, nous étions que tous les deux. Je viens te placer devant moi en douceur au bord de ce dernier. Venant levé tes deux bras, mon cœur bat la chamade, nous ne risquons rien. J'ai peur et pourtant regarde ce que je peux faire pour toi. Je veux te faire vibrer, vivre. As-tu capté cette fameuse scène du meilleur film du monde ? Tu es ma Rose et je suis ton Jack. Tu ne sautes pas, je ne saute pas vrai ? Je ferme les yeux un moment avant de venir t'embrasser amoureusement le cou. Moi aussi, je veux te rendre heureuse. C'est un jour de chance.

- Regarde Phoebe! Là ! Je pointe du doigt juste ici, tout prêt. J'en perds l'équilibre, heureusement, je viens capturer ton bassin à temps.

Par chance, nous pouvons apercevoir quelques ailerons de requins qui nagent juste en dessous de nous, ils sont rapides. C'est tellement angoissant et j'adore cet instant ! J'ai l'impression de vivre un moment magique et unique avec la plus belle fille au monde. Si jamais nous sautons ? On va se faire bouffer. Il n'y a pas de doute ! Ou pas, c'est toujours le même cliché pour cet animal alors qu'on pourrait nager avec sans crainte. A cet instant précis, ça n'avait pas l'air d'être une senne tiré d'un film d'horreur avec des requins assoiffés de sang non, là; c'est plutôt romantique et beau.

- Tu crois qu'ils pourraient manger ma sirène pipelette ? Je te taquine, encore et toujours ma beauté.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Je te souffle sur ta face d'ange quand tu me dis que le serveur aurait peut-être pris son pied avec nous, c'est dégoutant ; l'idée est pitoyable. Méchante.

- N'importe quoi toi ! Dis-je en venant te tapoter la tête, tu ne dis que des bêtises. J'ose y croire et imaginer la scène en plus, c'est tellement stupide. Tu me fais rire quand même, tu sais à présent un nouveau point faible me concernant. Ma jalousie et possessivité, tu vas en jouer sûrement, t'as le droit puisque j'aime t'embêter toi aussi. Tu me taquines et, j'adore ça, tu es la seule à en avoir l'autorisation de toute façon. Je ne suis pas vraiment sociable alors personne ne pourrait s'amuser avec mon cœur et émotions de la sorte.

Nous profitons alors de cette magnifique vue en face de nous, tous les deux dans l'eau ; je l'aime aussi cet élément ça tombe bien. Le silence est présent, de nombreuses caresses aussi. L'amour règne et c'est tout ce qui compte à présent. Toi, moi ; nous. Et ce paysage artistique.
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Le lendemain, l'aventure ne cesse de continuer, ton cadeau n'était pas encore terminé non. C'est vraiment un week-end de malade, dans tous les sens. Une croisière pour aujourd'hui, rien que ça; sérieusement. Je suis tellement comblé de bonheur, cette vie-là; je l'aime. Je me suis également préparé pour vivre cette nouvelle journée avec toi, tu es toute jolie dans ces vêtements. Tu sais tellement te mettre en valeur, pas comme moi. Nous sommes arrivés à destination et je devais monter sur ce bateau de rêve, grand ; gros.

- Tu vois toujours la vie en grand toi ! Ouah ! Il y a des bouées? Au cas ou. J'ai les yeux illuminés de partout quand je grimpe ici. Tous les jours sont un cadeau.

Même si je suis tout content et émerveillé par la situation, je ne peux m'empêcher d'angoisser, de flipper. C'est vrai quoi, je suis un paniqué de la vie. J'ai encore et toujours besoin d'être rassuré. Mais ce qui est cool, c'est que même si j'ai la trouille, je fais toujours la chose. Surtout si tu es là. Autrement, je fuis comme un lâche, tu connais. J'enfile instinctivement ma capuche, c'est un réflexe quand j'ai peur. Tu me dis que nous allons passer une bonne journée, je n'en doute pas. Le gros machin se met en route et mon cœur s'emballe par la même occasion. J'ai la trouille, mais je tente de me concentrer sur nous, sur tes doigts qui se trimballent dans mes cheveux. J'adore quand tu fais ça, ça me déstresse.

- Oui ! Je te fais confiance ! Dis-je incertain venant te rendre ce baiser apaisant. Je n'ai pas le choix de toute façon et je voulais profiter du moment avec toi, c'est du jamais-vu. Ma main vient chercher la tienne, je te serre, un peu fort. Pardon.

- Alors... tu penses qu'on va voir des dauphins ou des requins ? Je veux en savoir plus sur tes préférences. Dis-moi tout petite sirène.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Tu me demandes si j'étais bien jaloux, si tu savais. Tu pourras le découvrir plus tard, c'est même vraiment pénible mais c'est comme ca. je suis comme ça. Et je ne pourrais pas changer cette particularité ni tant d'autres d'ailleurs.

- À prendre ou à laisser... Je te chuchote ça, t'as intérêt à faire le bon choix parce que je ne pourrais plus me détacher de toi. Mes mains viennent te choper encore une fois amoureusement, alors que j'allais continuer de t'embrasser langoureusement ; le type arrive et dépose notre nourriture et repars aussi vite. Je savais très bien qu'il ne t'avait pas observé et puis de toute façon, il n'en avait pas le droit.

- Parfait... Parce que sinon, je lui aurais donné une bonne leçon à celui-là. Dis-je en riant faisant les gros faux yeux de terreur. He oui, fort heureusement pour nous qu'il n'était pas rentrées pendant notre petit galop dans les plaines sur le lit. Mon cœur s'emballe rien que d'y repenser.

- Il aurait eu peur le pauvre ! Je me moque en venant te charrier concernant notre plateau de nourriture, le bout de saumon au-dessus de ta belle face. J'aime partager ce genre de moment avec toi, un moment pour tout. Je te gronde dessus quand je t'entends me dire qu'il manquait du wasabi. Il te faut toujours quelque chose de plus, tu n'es jamais contente ni satisfaite donc ? J'adore.

- Attends, tiens, regarde; il y a du gingembre si tu veux... Coquin que je suis. Un petit instant de bonheur s'écoule, tu te poses dos à moi dans le but d'observer cette vue magnifique avec moi, ce paysage extraordinaire que tu viens de nous offrir. Évidemment que c'est la belle vie ma sirène. Je n'ai même pas les mots, si; juste un.

- Aishiteru... Je murmure ce je t'aime, en japonais prés de ton oreille. Main dans la main, je viens doucement caresser tes bras puis mes doigts glisse passionnément plus haut, ton cou, ta nuque. Je décide alors de t'offrir tant de baisers fou de tendresse, tu es si belle et sensuel. Pour rien au monde, j'échangerais ma place. Jamais. Il faut profiter, profitons!

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Tu es là, je te vois faire trempette dans l'eau et j'aime te voir si joyeuse. Pas comme l'autre jour quand tu étais en face de ton ex-mari. D'ailleurs, je comprends mieux pourquoi tu es autant passionné par l'eau. C'est vrai que c'est tout de même un endroit hyper apaisant et précieux alors je peux comprendre que tu t'es réfugié dans ce genre d'élément. C'est bien mieux que le feu, je crois.

- Oublie ce petit con... . Ouais, oublie-le ce mec de merde. Tu as dû tellement souffrir par sa faute, tu peux être fière de toi quand même. Tu es radieuse, prévoyante, forte; très forte et tu sais remonter la pente. Et je veux t'aider, je ne te lâcherais pas. Jamais. C'est vrai que je te balance ça comme si c'était si facile. Mais je te le jure mon étoile que je vais tout essayer pour te faire tourner la page. Tu aimes l'eau, c'est très bien. Tant qu'elle n'est pas ta préférée, ça allait donc.

- Heureusement, car je suis extrêmement jaloux et possessif. Et je ne mens pas. Dis-je en prenant tes mains toute mouillées dans les miennes. Tu joues aussi avec moi venant m'éclabousser.

- Petite joueuse!

Mon cœur bat à mille à l'heure quand je sens tes petites mains venir me toucher le visage. J'aime toujours autant ton contact, je ne peux m'en passer et tu le sais. Tu mènes le jeu depuis le début, c'est tellement perturbant et j'adore ça. Nos corps se retrouvent une nouvelle fois à travers l'eau, jamais je ne pourrais me passer de cette chaleur. J'ai encore chaud, tout se calme tout doucement, mais tu n'avais pas le droit de partir de la sorte alors que c'était encore la braise en moi.

Alors que j'allais prolonger ce merveilleux instant, ta commande arrive.

- Tu adores casser l'ambiance, avoues ! Dis-je en me moquant de toi venant t'offrir un énième baiser dans ton cou avant de me retourner vers le gentil monsieur. Je prends le temps de te cacher, hors de question qu'il te bouffe du regard celui-là ! Aussitôt arrivé, aussitôt reparti. Parfait, je me retourne directement vers toi.

- Il t'a maté ? Possessif et jaloux je t'ai dis ? A peine.

Des sushis, sashimi et saké. T'es parfaite, mais je veux encore t'embêter.

- Tu es cruelle, fille de la mer et tu oses manger tes frères ? Je te provoque encore et encore, ce petit jeu m'intéresse.

- Et les baguettes ? Je peux savoir ou elles sont madame ? Je prends une tête de gamin quand je te dis cela. Je viens par la même occasion piquer un bout de saumon pour venir le gigoter devant ta belle face, je te nargue; arriveras-tu à l'attraper ?

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Je transpire encore pendant un moment et mon corps est toujours bouillant, c'est vraiment le feu et la braise est encore en moi ; c'est de ta faute vilaine chaudasse. Mais j'ai été parfait, alors c'était correct. Je suis content d'entendre ces mots. J'ai soudainement envie de rire quand tu me dis que tu as soif, je ne sais même pas comment tu fais pour ne pas être autant essoufflé que moi, je suis vraiment novice dans ce petit monde; c'est la honte. Non vraiment.

- Mais t'es comme ta fille toi ! Keïla sort de ce corps ! Dis-je tout taquin, tu n'es vraiment pas fatigué là ? Regarde-toi, tu es encore toute excitée ; tu me fatigues et tu me fais rire. Je crois que c'est d'ailleurs la première fois que tu peux entendre le son de mon rire, je ne le connaissais pas moi-même. Tu t'en va encore une fois pour retourner dans la flotte, je t'admire encore dans tous les sens. Je reste allongé tout en noyant mes prunelles en ta direction.

- Tu aimes vraiment l'eau toi hein ? Dis-je certain, amoureux. Les deux idées me plaisent vraiment beaucoup, de toute façon, ma vie n'es plus la même depuis que je suis avec toi. Depuis que mon cœur balance pour toi. J'aime en découvrir autant.

- Non, oui, franchement, j'aimerais bien ! Et je ne suis pas un dégonflé, même si je ne sais pas nager ; je veux bien relever ce défi. J'ai besoin de vivre, toi aussi. Je veux être ton dauphin et surtout, je ne veux plus te quitter d'une semelle mon étoile. J'aime te voir émerveillé de la sorte. Tu es si belle mon poisson. J'ai envie de te rejoindre à présent alors que je suis épuisé, tu me rends fou putain. Comment résister, tu es là; devant moi telle une sirene. Les papillons ne cessent de se balader à l'intérieur de mon ventre. Je t'aime.

- Tu aimes me faire souffrir, n'est-ce pas ma beauté ? Je n'hésite pas une seconde pour me relever du lit de rêve, je sautille sur un pied avant de venir rejoindre le bord de la piscine. Je suis ton estropié, tu m'aimes vraiment ? Je ne peux rester seul, surtout pas après ce que nous venons de faire ; j'ai besoin de me rafraîchir à tes côtés.

- Tu me rends dans tous mes états et tu oses encore t'évader dans cette flotte sans prendre le temps de me refroidir ? Dis-je en venant te tapoter ta petite tête d'amour. Je m'assois comme tout à l'heure sur le rebord de la piscine.

- Alors... ? Vilaine que tu es, je te provoque; j'aime bien t'embêter et jouer. Jouons encore un peu avant d'aller nager avec les poissons. Phoebe, tu me fais tellement vivre. C'est quoi ta mission maintenant mon étoile ? Comment comptes-tu me tiédir ? Vas-y, impressionne moi; fais ce que tu veux.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

and it burns like a gin

EXORDIUM.

« Me manquer ? Je prie tous les soirs pour plus voir ta tronche » Tu fermes les yeux alors qu’un long soupir et un mouvement de la main vient accompagner ce geste. Dépité. C’est le mot. Zoya n’a pas l’air de comprendre ton ironie qui est pourtant la base de ton sens de l’humour. Enfin on ne peut pas lui en vouloir, à ton sens elle n’a jamais été très intelligente et il faut même avouer que tu la trouves un peu simple d’esprit. Oui voilà une manière bien gentille voire même presque polie de dire que tu la trouves un peu bête. Elle est trop premier degré aujourd’hui et la colocataire de Birdie manque clairement de fun, t’as l’impression qu’elle a constamment un balai dans le cul. Tu te demandes si elle a un mec ou une copine et si c’est le cas tu te promets de prier pour lui ou elle ce soir avant de t’endormir ce soir – oui parce qu’il est bien connu que Will Dunham est croyant et prie régulièrement. « Oh, c’est pas parce qu’ils sont pauvres en sucre. C’est parce qu’ils sont fait par toi, c’est tout » Tu plisses les yeux, tu te redresses. Ah ! Sentez-vous la connerie arriver ? Moi, oui. « J’ai l’impression que tu es jalouse de mon nouveau talent découvert. Promis, on finira par trouver quelque chose dans lequel t’es douée. Ou pas trop nulle en tout cas. » Oui parce que tu as l’impression que trouver quelque chose dans lequel Zoya est douée sera compliqué ou même impossible. T’as pas vraiment confiance en elle et tu doutes un peu de ses capacités à exceller dans quelque chose et pour le coup tu sais que tu as raison. Comme souvent de toute façon. « Ohhhhh comme c’est touchant, le mari AB-SO-LU-MENT parfait rien qu’en prononçant ces mots j’ai envie de vomir. Elle a dû avoir pitié de toi pour accepter d’être ta femme » Tu pouffes de rire devant cet acting qui laisse à désirer mais par contre dans le too much Zoya excelle. Comme quoi tu as finalement trouvé un domaine dans lequel elle est presque douée. Sûrement grâce à la magie de noël avec quelques jours de retard, tu en es persuadé. « Ton opinion a vraiment très peu de valeur à mes yeux. » que tu lui avoues. Histoire de ne pas dire qu’elle n’en a absolument aucune, bien que ça serait plus réaliste. «Fuck you, Dunham » Tu te contentes de lui répondre avec un grand sourire sur tes lippes et un clin d’œil qui devrait l’agacer un peu. Et il faut bien dire qu’énerver Zoya Lewis fait partie de tes passions les plus importantes dans ta vie. Après pour ta défense la brune te donne matière à rire d’elle, comme quand elle court telle une Forest Gump bas de gamme pour te barrer la route jusqu’au frigo. « De une, ce n’est pas chez toi ici, et de deux, Birdie n’est pas là. Dégage ! » Tu la laisses te repousser en riant un peu. Elle se sert un soda et tu as l’impression qu’elle est plutôt fière d’elle, c’est presque mignon mais de ton côté tu attends simplement qu’elle se soit éloignée du réfrigérateur pour l’ouvrir à ton tour et te servir mais Zoya est plus rapide que toi en te tendant le reste de son soda. « Le sucre est ton ennemi, non ? Je suis d’humeur généreuse finalement » Une petite grimace au visage tu la regardes elle, puis la cannette. « Bitch, je ne prends pas les restes des autres je préfère me servir moi-même. » Tu étais resté à proximité du frigo et cette fois tu l’ouvres en vitesse pour te saisir d’une canette que tu ouvres pour boire directement dedans. Tu la provoques. Ça t’amuse. « Et pour ton info, c’est pas boire un soda qui me tuera. Désolé, j’ai bien vu que tu étais plutôt fière de toi mais t’as encore des petits efforts à faire. » Tu la provoques encore et toujours mais c’est de sa faute à elle, elle te cherche. Promis t’es un gars plutôt sympa à la base mais Zoya fait ressortir le pire de toi-même. « Tu sais quoi ? Je vais te montrer ce que c’est que de faire de vrais bons cookies ! » Oh, really ? Tu la regardes faire avec un petit sourire aux lèvres, elle s’agite pour sortir les ingrédients. « Et Birdie pourra départager enfin, elle n’aura pas besoin de le faire, les miens sont meilleurs » Tu fronces les sourcils tu te pinces les lèvres tout en acquiesçant. « Bien sûr que les tiens seront meilleurs. » Inutile de vous préciser que tu n’es pas sérieux malgré le ton sérieux de ta voix, tu te fous juste ouvertement d’elle tout en sirotant un peu ton soda avec fierté. Tu la laisses commencer sa préparation et tu joues le non intéressé alors que tu l’observes du coin de l’œil. Tu envoies un message à Birdie en incriminant littéralement Zoya. Tu te fais passer pour la victime mais en même temps, tu l’es. Tu profites même que Zoya ait le dos tourné un court instant pour foutre une grosse pincée que sel dans sa pâte. Les grains de sel se mélangent alors au sucre qu’elle venait tout juste d’ajouter. « Dis-moi ma chère Zoya, comment est-ce que tu vas en ce moment ? J’espère que tu as passé de très bonnes fêtes de fin d’année. » Là en revanche tu n’es pas vraiment intéressé par sa réponse.

{@=5388}Zoya Lewis{/@} :l:

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Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Ta beauté me rend définitivement dingue. Mon ventre vibre dès que je suis tout proche de toi, Phoebe. Oui, je suis amoureux. Amoureux de toi, de ta personnalité, de ton grand cœur et ta générosité flagrante. Mais toi ? Est-ce que tu ressens la même chose ou es-tu encore amoureuse de ton ex-mari ? Est-ce que tu as peur de succomber ? N'aie peur de rien, je ne te ferais jamais de mal, tu peux en être certaine. J'en suis certain moi-même. Ma respiration s'emballe elle aussi quand je sens ton contact plus haut, je te laisse même prendre le temps de retirer mon tee-shirt pour que tu puisses profiter toi aussi. Tes mains sont là, je ne veux plus qu'elles s'en aillent. Je vais te faire perdre la tête, petite joueuse.

- À qui le dis-tu... Je te murmure ça avant de venir te copier, ouais ; je n'ai pas d'originalité pour l'instant. Ma langue s'empresse de venir danser avec la tienne ; c'est si beau. Ma vie est belle putain. Heureusement que je suis dans l'eau, car je ne pourrais tenir davantage debout tellement agréablement perturbée par ces situations. C'est tout nouveau et j'adore à fond. Tes doigts se baladent sur moi.

- Encore... Oui encore, touches moi. Ou tu veux, quand tu veux.

Mon cœur raisonne en moi quand tu m'avoue avoir envie de moi, sérieusement. Quel jour de malade. Puis tu es là, à mon cou. Je vais déraillé et partir sur un autre monde là c'est plus possible. Je décide de franchir une petite étape en venant me coller contre toi, une chaleur se dégage agréablement lorsque nos corps se touchent. Sens-tu mon cœur battre la chamade à travers moi mon étoile ? Ecoute bien, écoute le bien. Je viens glisser mes deux main tout le long de ton dos, j'en profite pour prendre du temps jusqu'à venir tripoter ton soutien-gorge. Mes lèvres viennent rechercher ta bouche, ta langue; je fermes les yeux.

- Est-ce que je peux ? murmure.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Tu n'attends pas une seule seconde pour sortir de l'eau et revenir à mes côtés. Pas de boissons, pas maintenant et je suis rassuré de ton choix. Je pensais vraiment que tu voulais prendre un petit instant pour toi et profiter de cette flotte. Après tout, tu aurais eu le droit; c'est tellement bien parfois de se concentrer sur soi-même. Mais tu viens me chercher, tu ne me dis pas de commander de quoi trinquer et mon cœur renaît soudainement. Tu lis en moi, t'as capté. Est-ce que j'ai si peur que cela ? Tu ne veux pas m'effrayer.

- Qu'est-ce que tu racontes. Dis-je, mon regard te bouffe actuellement. Tu retires quelques vêtements, t'es tellement belle et bien foutu. Je suis en grande admiration et mes petites joues deviennent rouges, les battements de mon cœur s'emballent eux aussi. Je n'ai pas peur, au grand jamais. Peur de te décevoir uniquement, mais c'est tout, je n'ai aucunement peur de toi.

- Arrête de dire des bêtises, tu veux ?

Le temps est mieux quand je te vois venir à moi, tes bras m'encerclent une énième fois. Tes mains glissent dans mes cheveux, ça, j'aime ; genre vraiment. Tes lippes humides posées sur les miennes, je prolonge cet instant en faisant autant. Je mordille ta lèvre avant de venir t'embrasser amoureusement. Phoebe.

- Je crois que... je suis en train de tomber amoureux... Dis-je en riant. Non, sans blague.

Je nous jette dans l'eau tous les deux. Je ne sais pas nager, encore une fois ma vie ne dépends que de toi. Ouais, c'est con. La piscine n'est pas si profonde et je pourrais survivre sans aucun doute, ou pas. Mes mains se trimballent partout sur toi, ta taille, ton corps, ton ventre. Est-ce que c'est trop rapide ? Non, j'y vais tout doux et pour tout.

- Je ne sais pas nager...

Mes prunelles viennent soudainement se noyer à travers les tiennes et je frisonne à tout rompre lorsque nos silhouettes se rapprochent. Vas-tu encore t'en aller ? Tu n'as pas intérêt petit étoile, touches moi encore. Parle-moi, ose.

- Tu vas me noyer ? Je colle ma bouche à ton oreille avant de venir embrasser le bout de ton nez. Je suis taquin et joueur. À ton tour de jouer ma reine. T'es toute trempée, tu es encore plus belle. Je vibre.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - C'est un véritable bonheur de te voir radieuse autant que moi. Si, nous sommes bien en train de danser tous les deux et j'adore ça. J'oublie tous mes problèmes et mes démons dorment en moi et j'espère qu'ils ne se réveilleront jamais. Ta présence est tellement importante à mes yeux et mon cœur se balance partout dans mes entrailles. Est-ce que c'est normal ? Surement. Je succombe une nouvelle fois de passion quand tu glisses tes mains dans mes cheveux raides, c'est trop bien ; une sensation que j'adore. Je vibre de partout, le sens-tu petite Phoebe? Je meurs d'émotions. Tu proposes alors de commander des boissons.

- Après...Oui, pas maintenant. Pourquoi tu veux déjà tout arrêter ? Est-ce que je fais quelque chose de mal ? Tout est trop rapide ? Pourtant, j'ai l'impression que c'est correct, que tout est Ok. Mais tu as raison de vouloir prendre le temps, c'est le meilleur. Nous avons toute la vie pour s'aimer et se toucher. Ma silhouette vacille dans tous les sens et je frissonne quand tu glisses tes mains sous mon haut. J'ai chaud, c'est tellement nouveau pour moi. Je copies sur toi en faisant la même chose, mes dix doigts viennent subitement se balader en dessous ton tee-shirt. J'y vais tout doux, je ne suis pas gourmand ; juste un peu. Tu as une peau si douce, j'ai envie d'y goûter. Mon Dieu, je ne veux pas me réveiller ; quelle vie magnifique. Mais tu me quittes soudainement, je ne comprends pas ; que fais-tu ? Tu recules, un, deux pas. Tu es folle et je suis surpris quand je te vois te laisser attirer par l'eau juste derrière nous, tu es toute habillée. Tu as envie de faire des petites brasses ? Je me rapproche du bord.

- Tu aurais pu m'offrir un petit spectacle avant de sauter la dedans ! Dis-je taquin, oui ; j'aurais bien aimé te voir retirer tes vêtements un à un et enfiler ton maillot.

Je me rapproche plus sérieusement cette fois-ci, je prends le temps de retirer le bas. Pas tout, évidemment. Je viens m'asseoir sur le rebord de la piscine, les jambes dans l'eau et le reste de mon petit corps à l'extérieur. Peut-être veux-tu rester un moment toute seule ? Je plonge mon regard vers toi, Phoebe; à quoi tu joues ?

- Je vais finir par croire que tu me fuis...Dis-je incertain, je laisse tout de même paraître un petit sourire en coin; il est forcé celui-là.

Oui, j'ai eu cette impression d'un coup. Ce n'est pas la première fois que tu changes de situations ou de contexte, j'ai peur de te rendre définitivement, mal à l'aise. Par pitié mon étoile, que fais-tu? Je reste là, en face de toi. Mes mains viennent tripoter l'eau, ma face s'éteint un peu d'un coup. Mon cœur bat toujours oui. Mon regard puissant traverse le tien, j'ai besoin de comprendre. Prendre le temps oui, c'est la première règle d'or. Mais j'ai besoin d'être certain que je te plaise vraiment, pourquoi tu viens de te jeter dans l'eau ? C'est si soudain.

Tu veux changer de sujet, alors changeons ; je ne veux pas te décevoir et je passerais ton bonheur bien avant le mien.

- Tu veux que j'aille chercher une boisson ?

Phoebe, quel est ton choix ? Tu viens me chercher ou je pars ? La balle est dans ton camp.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Pas besoin du paradis pour être heureux

EXORDIUM.

PHEIJI - Jolie vie est-elle. C'est le rêve depuis quelques jours et mes journées n'étaient absolument plus les mêmes et aucune d'entre ne se ressemblaient. Non, aucune ; c'était un cadeau chaque jour. Surtout avec toi mon étoile, ma reine, ma sauveuse, mon tout. Oui, c'est tellement ridicule autant de surnoms à ton sujet et pourtant, je pourrais t'en donner tant d'autres et des milliers, mais comment tu t'appelles déjà ? Phoebe, oui Phoebe. Je dors, je mange, je rigole sous un toit grâce à toi et je ne sais comment te remercier. J'ai appris à te connaître tout doucement et cela ne cesse de continuer, c'est tellement merveilleux d'en découvrir davantage sur toi. Et en plus, je m'entend assez bien avec ta petite choupette; elle est adorable cette gamine. D'ailleurs, elle est avec l'autre abruti pour ce week-end. Je te vois t'empresser pour préparer nos bagages pour ta surprise, cette surprise ; tu es tellement faite pour moi. Tu as un cœur grandiose et je te le revaudrai, c'est juré mon trésor. Un cadeau oui, tu veux me faire une surprise et nous offrir une petite escale plus loin. Dans un coin paradisiaque, s'en est certain. Encore mieux qu'un palais ? Peu importe, je sais très bien que je vais être aux anges. Je suis tellement impatient, petit avion et juste trente minutes de trajet ; parfait. Mais tu es horrible de ne rien me dire, vilaine d'amour. Mes yeux se grandissent comme pas possible quand je découvre l'endroit, c'est si beau, frais, unique. Tu peux apercevoir mon état enchanté actuellement, tout est si magique et je suis si joyeux. Non vraiment, t'es dingue ; et moi, je suis dingue, amoureux de toi.

- T'es une tarée! Tu le sais ? Dis-je émerveillé tel un gosse. Ouais, j'ai des mots spéciaux, mais tu es habitué maintenant.

Et puis notre chambre, bon sang notre chambre Phoebe. La mer juste là, le calme, la passion. Ce lit immense aussi, tout doux. Ma peau frissonne et mon cœur s'accélère quand je perçois tous ces merveilleux détails. Un cadeau de malade que tu viens de me faire, ma favorite étoile. Ni une ni deux, je viens te rejoindre sur la terrasse, j'ai encore les béquilles et l'attelle, mais je me déplace bien mieux qu'il y a une semaine et je suis rassuré que tu aies accepté mon petit handicap d'ailleurs, d'autre auraient prit la fuite; comme d'habitude. Mais pas toi, non pas toi. Promis que je ne serais pas un fardeau. Tu es rentré dans ma vie, dans mon cœur et je t'interdis d'en ressortir. Je suis là, je lâche mes jumelles par terre pour venir chercher ton corps, retourne toi vers moi. Mes mains viennent se glisser autour de toi. Tu es tellement belle.

- Merci beauté... C'est sincère. Je viens poser mes lèvres sur ton cou chaud avant de venir les diriger vers tes lippes sucrées. Laisse-moi commencer à te remercier. Je viens sortir mon téléphone pour lancer ma musique préférée du moment. Je l'ai écouté en boucle tout le long du vol et j'aimerais que tu t'en souviennes aussi. Ecoutes-la, écoutes les paroles mon étoile. Je glisse un écouteur à ton oreille et le second à moi avant de te serrer une nouvelle fois faisant balancer doucement nos corps, j'aime ton odeur. Mon âme vivante s'éveille, tu es mon équilibre. C'est quoi ton plan ? Me rendre fou de toi ? Phoebe. Je veux que tu sois folle amoureuse de moi aussi. Je viens souffler délicieusement sur ton visage, tes petites mèches brunes là. Puis je te propose quelque chose de tout mignon.

- Tu veux danser ? Je te chuchote ceci, ma face toute proche de toi. Ma capuche te chatouille par la même occasion. Tu ne m'entends certainement pas. Lis sur mes lèvres Phoebe. Lis en moi, lis mes sentiments, lis mes sensations ; lis ma vie. Mes petits cheveux blancs te caressent le bout de ton nez. Est-ce que tu aimes l'idée pour commencer ? Acceptes. Tout est beau, les rayons du soleil se dispersent dans toute la pièce et cette chaleur agréable L'ambiance est extraordinaire et je bouillonne en moi, c'est du délire. Un véritable délire d'adoration et d'émotions. Merci d'enchanter ma vie.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Fuis-moi, je te suis. Suis-moi, je te fuis.

EXORDIUM.

- Ce mec venait de me rendre dingue, vraiment. Et je ne prends même pas la peine de retoquer à ses propos, il n'en vaut pas la peine. On va se revoir. Pas de souci, tant qu'il ne te touche pas. Ni toi ni ta fille.

- Quand tu veux chéri. Provocateur, je suis. Ce sont mes dernières paroles pour ce type avant qu'il ne se tire aussitôt.

Je replonge mes prunelles soucieuses en ta direction pour savoir comment tu allais, j'ai tellement de peine pour toi. Mais tu es tellement forte, je dois vraiment prendre exemple sur toi. J'ai soif de toi, de ton courage et ta personnalité renversante Phoebe. Heureusement, ce n'es que superficiel, mais je ne le laisserai jamais agir une nouvelle fois de la sorte sois en sur petite étoile. Tout va mieux maintenant, ou presque. La belle Keïla s'approche de nous, de toi pour te demander de fabriquer une robe pour elle. Vraiment ? Tu fabriques des robes ? Incroyable. Je lance un sourire pour détendre l'atmosphère puis la voilà qu'elle détale les escaliers aussi vite qu'elle n'était venu. J'adore cette gamine, une véritable pile électrique. À nous.

Sacré matinée, mais je peux enfin profiter pour te dire bonjour correctement, à ma façon. Mon cœur se calme quand je sens tes petites lèvres venir se déposer aux miennes. Je prolonge ce baiser par la même occasion, je te serre dans mes bras avant de te répondre.

- Un café.

END

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l:

Fuis-moi, je te suis. Suis-moi, je te fuis.

EXORDIUM.

- Ça allait, tu as pu te reposer comme il le fallait et tu semblais connaître le film par cœur donc aucun souci la dessus non plus; je suis rassuré. Je laisse encore apparaître un nouveau beau sourire quand je t'entends m'avouer que j'avais l'air paisible dans les bras de Morphée sous la couette. Ouais, clairement. J'ai hyper bien dormi, pire qu'un nouveau-né qui venait de naître. Sérieusement, c'est le paradis ici. Je vais finir par y prendre goût, c'est dangereux ? Non. Je te vois toute prête, ravissante et habillé comme si tu allais partir quelque part. Je comprends rapidement les choses quand je t'entends tes mots. Ton ex et ta fille vont rappliquer d'une minute à l'autre, déjà ? Ce n'était pas un souci et surtout pas pour ta fille Keïla.

Je suis bien curieux d'en apprendre un peu plus sur ta vie, sur ta fille et tout le reste, mais étonnement pas sur ton ex bonhomme. Et je ne pensais pas si tôt, ce matin. J'eus le temps de profiter de la lumière du soleil quand j'entends la porte s'ouvrir. Je suis tout de même dérangé d'être ici d'un coup, ta fille pourrait mal réagir. Oh, pas du tout. Ni une ni deux, la voilà en face de moi. Toute mignonne, svelte, jeune, innocente ; adorable. Ma face se détend directement quand ta petite Keïla me cite qu'elle trouvait mon image cool tel un personnage de manga. Pourquoi pas, excellent ; j'adore ce genre de tact. Ça change.

- Merci! dis-je en riant nerveusement replaçant mes cheveux correctement. J'ai même pas eu le temps de lui dire mon prénom qu'elle s'échappe directement, en tout cas; elle est hyper mignonne et bien élevée. Pas comme ce type que j'entends soudainement te demander le nombre d'hommes que t'allais te faire dans ta vie, il est pas sérieux? Je grogne de l'intérieur, il me faut à peine une seconde pour comprendre qui il était même si tu venais de me le dire petite étoile. Phoebe, c'est un connard ce gars là. Ca se sent d'ici, c'est évident.

- Enfoiré. Premier avertissement. Après, je me lève, douleur ou pas. Je vous écoute échangé quelques phrases, vous êtes pas loin du salon alors je peux tout entendre et chaque détail. L'histoire du mariage et qu'il allait revenir récupérer la nénette le même week-end par la même occasion. Ok, il peut se barrer maintenant ? Non, pas de chance. Pas de chance du tout pour sa pomme de ne pas s'être tiré maintenant. Je me lève comme une fusée quand je l'écoute et l'aperçoit lever la main sur toi. C'est une putain erreur. Pas de béquilles, rien. Rien et pourtant, je me suis jamais déplacé aussi vite pour venir défendre quelqu'un. Te défendre. Ma pauvre, tu semblais ne pas être à ta première gifle. Je ne veux pas attendre une minute de plus pour venir défoncer cet ex à la con. Je me place devant toi tel un bouclier et je n'hésite pas à envoyer le meilleur coup du siècle dans la gueule de ton ex-mari. Il pisse le sang du nez et manque de tomber par terre, parfait ; je suis moi-même impressionner. Ouais, je joues les héros et le garçon parfait alors qu'il pourrait à tout moment rétorquer et m'assommer. Mais je suis un fou moi aussi, t'as rien vu encore de quoi je suis capable petite étoile.

- Je te le dis mon gars ! Si je te surprends encore une fois ! Encore une fois la toucher ne serait-ce qu'une mèche de cheveux je t'explose à mort! Je hurle presque venant lui cracher un mollard sur sa face de merde. Il n'avait rien à faire dans ta vie, pauvre Phoebe.

- Petite merde ! Je suis énervé, écœuré et hors de moi. Je ne me retourne pas pour le moment, je sais que tu es derrière Phoebe; je veux être ton armure. Handicapé ou pas, je peux l'être ; la preuve. Je m'écroulerais après sûrement, mais en attendant, je reste là, prêt à me battre pour toi.

- LEVE TOI ! SI T'ES UN HOMME ! DEBOUT ! CASSE-TOI ! Je ne sais même plus dans quel ordre je dois parler, mais j'ose, j'ose. Phoebe, place au spectacle.

Après ce merdier, je décide de revenir poser toute mon intention sur toi. Je viens glisser mes deux mains au visage tout fragile que tu as. Tu es toute rouge.

- Quel fumier... est-ce que ça va ? Question complètement débile, évidemment que tu n'allais pas bien. Mes lippes viennent rassurer les tiennent pendant un petit instant. Je suis tellement désolé pour toi. Je viens te chuchoter cette promesse.

- Je ne le laisserai plus jamais te toucher, Phoebe... tu as ma parole. Et pour de vrai cette fois. Phoebe, pitié réponds moi. Je suis là pour toi maintenant, je viens enrouler mes bras en même temps autour de toi. Je voudrais que tu te sentes mieux, en sécurité. Si je devais recommencer je le referais sans hésitation. J'espère pour lui qu'il ne lève pas la main non plus sur ta fille. C'est un taré. En attendant tes mots je reste debout en face de toi, tu ne t'es pas laissé faire; tellement administrative. Ne m'en veux pas d'être venu lui donner une leçon.

- eh... tu saignes... Oui, il avait prit le temps de te blesser au visage, je ne sais comment. Avec une bague de son futur mariage à la con peut-être lors de la gifle ? Probablement. Je vais le détruire si je le recroise ce gars. Mon cœur s'arrête, je me sens mal pour toi.

{@=4711}Phoebe Jensen{/@} :l: