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2 résultats trouvés pour Nostalgie

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Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: (Manders) Meet Me in Paris
Invité

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: (Manders) Meet Me in Paris    Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptyDim 27 Juin 2021 - 22:02
Meet Me in Paris

Vendredi 25 juin 2021
La proximité d’Erin — sur moi, qui plus est — est loin de me rendre indifférent. Bon, sa présence ne m’a jamais rendu indifférent, mais là, elle est à califourchon sur moi, ses cheveux balaient mon visage, nos yeux se fixent… sa colère est redescendue, elle semble partagée entre la joie qu’on parte à Paris et le fait qu’elle semble à peine le réaliser. Elle me regarde d’une telle manière qui allume toute une série de sensations en moi. Notre baiser furtif de février me revient en tête, de plus en plus ces temps-ci. C’est plus clair dans ma tête, je l’aime. Et pas rien que comme une amie. Et pourtant, j’essaie encore de repousser mes sentiments au fond de moi, persuadé qu’elle ne ressent pas la même chose, et par peur de les révéler et de gâcher notre amitié qui m’est si précieuse. Erin appelle Leah pour lui demander de garder Burton et lui dire qu’elle sait pour Paris. Devoir ramener toute une liste de choses de la capitale française à Leah est loin de me déranger, mais je suis sûre qu’elle a placé un sac de haute-couture sur sa liste, discrètement, comme si ça faisait partie de la même catégorie que des macarons. Comme Erin est littéralement sur moi, bien sûr que je n’ai pas pu faire autrement que d’écouter leur conversation, et je ne tarde pas à lui demander plus d’explications. Qui va-t-elle surveiller? Elle mime une fermeture sur ses lèvres. Je roule des yeux en soupirant, puis elle mentionne le Pape. Dans le même genre, je fais croire que je suis Spider-Man. Son sourcil se hausse. « A choisir je préfère Batman. Je le trouve plus … bestial ! » Je fronce les sourcils, avant d’étouffer un petit rire. « Mais Spider-Man vit à New York. C’est beaucoup plus cool que Gotham City! » C’est quoi, ce sont les muscles qu’elle préfère? Je note, je note… « Je pourrais être ta Catwoman. Miaoouuuu » Je me mordille la lèvre en rougissant quelque peu, et Erin fait semblant de me griffer, mon coeur s’emballe, mon bas-ventre… Focus, Mayers. « Tu pourrais… » je souffle, un sourire en coin. Oh God, rien qu’à imaginer Erin en Catwoman… FOCUS, MAYERS, ÇA SUFFIT. Ce n’est clairement pas approprié d’imaginer sa meilleure amie dans un tel costume… moulant… noir… en cuir… Ouf. Je sens encore les marques de ses ongles sur ma peau et mon sourire est collé sur mon visage en permanence, on dirait bien. En rangeant son téléphone, elle me tire la langue et je réplique sans y réfléchir en lui mimant un bisou. Mes yeux fixent sa lèvre qu’elle mordille, remontent sur ses joues qui ont pris légèrement de la couleur… Un peu gêné, je détourne les yeux. Elle nous ramène à la réalité en se levant, puis en m’aidant à mon tour. On en vient à parler de 50 nuances de Grey et, à demi timide et à demi taquin, je demande s’il s’agit d’un film de sexe, ce qui la fait rouler des yeux. « Du sexe … tout de suite ! Tsss… Debout cinquante nuances de Mayers. Paris n’attends pas ! » Je ris en entendant ce nouveau surnom. Bah oui… y’a du sexe, dans le film, non? Je me rappelle brièvement de la bande-annonce. Faudrait vraiment que je le regarde, curiosité oblige. Et aussi pour savoir le rapport avec un jet privé, hein. « T’as oublié mon titre », je réponds, l’air malicieux. « Cinquante nuances de Lord Mayers… » Erin se met à chanter une chanson en français. Mmm. Encore.

Sur la route, certains conducteurs se font beaucoup trop lents et Erin, un peu stressée, Woody sur ses genoux, peste contre le conducteur juste devant nous. Ma main se pose toute seule sur sa cuisse dans un geste que je veux réconfortant, alors que je me concentre toujours sur la route devant nous. Je le réalise surtout quand elle pose sa main sur la mienne, et je tourne la tête vers elle dans un petit sourire tendre à son égard. On se sourit, nos yeux se sourient. Si la voiture pouvait nous conduire toute seule, je ne détacherais pas mon regard du sien, j’y resterais perdu en oubliant que le temps existe. Erin prend une grande inspiration. « Je suis impatiente si tu savais » Je serre ses doigts avec les miens en reposant les yeux devant — il ne faudrait pas qu’on ne puisse pas aller à Paris à cause d’un stupide accident. « Moi aussi », je réponds, plus que sincère. J’ai hâte d’y être, mais déjà juste d’être avec elle, comme ça, ça me comble entièrement de bonheur.

À l’aéroport, j’insiste pour porter sa valise, elle n’a qu’à s’occuper de Woody et me voilà satisfait. Je laisse sous-entendre qu’elle peut bien le garder pour toujours, ça fera un compagnon à sa pieuvre à elle. Erin le lève devant elle et je les observe en souriant. « Pour toujours » Elle dépose même un bisou sur la tête de Woody. Mignonne. « Avec toi » Mon coeur palpite parce que j’ai l’impression qu’elle ne s’adresse pas à la peluche, mais à moi. J’aimerais passer mon bras autour de ses épaules, la ramener vers moi, sentir sa présence contre moi, mais mes deux mains sont occupées par les bagages, alors je me contente de lui adresser un regard plein de tendresse. « Pour toujours », je dis doucement. Avec toi. Quelques minutes plus tard, nos bagages enregistrés, on nous conduit à l’avion et la blonde me fait remarquer que c’est sa première fois en avion, ce que je savais, alors je lui demande comment elle se sent. La première fois que j’ai pris l’avion (avec ma famille), j’étais assez petit, alors je ne m’en rappelle pas vraiment. Mais je peux clairement imaginer que ça puisse l’intimider comme ça et je tente de la rassurer. « J’ai un peu les pétoches mais ça va » J’enroule mon bras autour du sien dans un geste que je veux rassurant, puis je me penche au-dessus d’elle pour regarder par le hublot. J’ai toujours aimé les aéroports, sans trop savoir exactement pourquoi. « La vue sera meilleure quand on aura atteint les nuages » Je hoche la tête. « Oui, c’est ça! On le sera dans pas si longtemps. » Et en plus, je songe, puisqu’on volera en direction de Paris, où il y a un décalage horaire, il fera clair longtemps. Je pense. Lorsque l’hôtesse nous annonce qu’il est temps d’attacher nos ceintures, la main de ma meilleure amie s’agrippe à la mienne et j’enlace automatiquement mes doigts avec les siens. La panique est visible sur son visage alors que l’avion se met à bouger, elle va même jusqu’à fermer les yeux. Je l’attire vers moi, caressant son bras, lui assurant que, bientôt, ça va brasser beaucoup moins. Elle se blottit contre moi, ne répond rien, je me contente de la tenir ainsi alors qu’on monte de plus en plus haut. Sa respiration trahit une certaine inquiétude. Puis, nous voilà de nouveau à l’horizontal, à une bonne altitude. Erin se redresse doucement et, instinctivement, je lui colle un petit bisou sur la tempe, et un deuxième m’échappe… et un troisième. Je me laisse porter par le moment, ferme les yeux à mon tour, j’ai envie de continuer tout le long de sa joue, jusqu’à sa bouche, j’ai l’impression de ne plus me contrôler… La petite voix dans ma tête qui me dit d’arrêter, qu’Erin ne veut pas de moi comme ça, se fait très loin. Et Erin me laisse faire… C’est la voix de l’hôtesse qui me rappelle à la réalité et je me détache de la blonde pour lui faire face, le coeur tambourinant dans ma poitrine en réalisant ce que je m’apprêtais à faire. Erin sursaute. « Heuu hmm ehuu » Je jette un bref coup d’oeil à Erin qui semble perdue. Je suis moi-même dans un état confus, n’en revenant pas que ça ait passé si proche… Reste plus qu’à savoir si sa confusion vient du fait qu’elle n’en revient pas que j’allais faire ça… l’embrasser… ou si elle voulait que je le fasse. Je me tourne de nouveau vers l’hôtesse pour lui demander une bière. Oui, une boisson pour me rafraichir, ça va me faire du bien. « Un verre d’eau s’il vous plaît » J’écarquille les yeux. « Quoi? » J’ai sûrement pas bien entendu. Erin, de l’eau? Il n’y a pas si longtemps, il fallait tout pour qu’elle boive de l’eau. Et là, c’est son choix numéro un? Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. « Ce sera un sex on the beach en plus, s’il vous plaît », j’ajoute à l’intention de l’hôtesse. Sex… on the beach. J’ai choisi ça parce que je sais qu’elle adore, mais le nom me trouble plus que jamais. En tout cas. Des fois qu’Erin change d’avis. Sérieux, on est dans un jet privé, il y a des trucs bien plus interessants que de l’eau. Oui, c’est moi qui dit ça. Une fois l’hôtesse repartie, la réalité me reprend. J’ai failli embrasser Erin. Et c’est surtout que j’en ai tellement envie… alors je sens le besoin de me réfugier dans la salle de bain pour remettre mes idées en place. Qu’est-ce qui m’arrive? J’étais très bien capable de ne pas penser à Erin de cette manière, dans les dernières années.

Appuyé contre la porte, je respire. Erin est ma meilleure amie. Elle m’a clairement dit par le passé qu’elle ne voulait pas qu’on soit plus. C’est okay. Je ne veux pas la perdre. La simple idée de la perdre me donne la nausée. Déjà qu’après notre dispute… j’ai bien cru qu’on y passerait. Ça m’a terrifié. Je reviens auprès d’elle alors qu’elle regarde par le hublot, semblant pensive. À quoi est-ce qu’elle pense? Peut-être qu’au bout du compte, elle ne s’est pas rendue compte que j’ai failli l’embrasser. Ça serait très bien comme ça. « Alors ? » dit-elle en se retournant. Je me réinstalle tout près d’elle et lui demande s’il y a des trucs qu’elle aimerait beaucoup faire. Je n’ai jamais été du genre à trop prévoir quand je voyage, mais là, surtout, je voulais m’assurer qu’on ferait des choses qui lui plairaient. Bon, la majorité, s’entend, je me doute bien de ce dont elle a envie. « J’ai envie de monter tout en haut de la Tour Eiffel. J’ai envie d’aller voir Mickey et de porter les oreilles de Minnie sur la tête. J’ai envie de chanter au Moulin Rouge !! Voir un cabaret » Tout ça semble tellement l’enthousiasmer qu’elle en rit. Je hoche la tête, je m’attendais bien sûr à ce que ce soient ses réponses. Du moins, en partie. « On a des billets pour Disney pour dimanche », j’admets. Impossible de passer par Paris sans aller au royaume magique de Walt Disney, en deux grands fans que nous sommes. « Et je propose qu’on visite paris demain… ben samedi… et après Disney, si on décide rester. » Mais je le sais, c’est impossible qu’on parte pour Brisbane dimanche soir. Ça sera trop court, autant pour elle, que pour moi. On sera là-bas… autant en profiter. « Je veux partager une danse avec toi sur un bateau-mouche » Je me mordille la lèvre en nous imaginant collés l’un contre l’autre, dansant. À moins qu’elle voulait dire danser ensemble… genre individuellement? Un peu comme la danse de Lilo et Stitch avec Ambre. Hum. Je préfère m’imaginer collé contre elle. « Une… une danse? » je demande en appuyant ma tête contre le dossier, mes yeux fixés dans les siens, hypnotisés par ses jolies fossettes qui creusent ses joues. « J’ai envie de tout un tas de choses … » Moi aussi… Tellement de choses, j’ai envie de répondre. Paris est reconnue pour être la capitale des amoureux. Ça m’intimide un peu, si je suis honnête. J’y ai songé après avoir acheté les billets; parce que sur le coup, j’ai choisi cette destination parce que je savais que ma meilleure amie rêvait d’y aller. Mais maintenant que j’y pense… j’ai peur de flancher, une fois là-bas. « Et toi ?? Tu as envie de quoi ? » Je cligne des paupières alors que sa question fait sa place jusqu’à mon cerveau. De toi. « Je… » Je ne sais pas. « J’ai envie qu’on fasse des trucs qui te plaisent », je réponds finalement. « J’ai envie d’être avec toi, c’est tout. » Ça m’a échappé, je retiens mon souffle alors que je tente de détecter l’expression sur son visage. Est-ce que j’en ai trop dit? Et pourtant, ce n’est que la vérité, c’est tout. « J’ai envie de prendre une tonne de photos de toi… à Paris » je glisse dans un petit sourire. Évidemment que j’ai amené mon appareil photo. Et Erin est sans aucun doute mon modèle préféré. Elle rayonne, elle pose naturellement, son sourire en ferait tomber plus d’un. Moi surtout. L’hôtesse revient avec nos breuvages et je prends immédiatement une gorgée de ma bière. « On regarde un film? » je propose à ma meilleure amie. Le choix est vaste dans le menu de ce jet privé.

On passe une quinzaine de minutes rien qu’à regarder ce qui s’offre à nous, le choix est difficile. On finit par opter pour Love, Rosie, un film qu’on n’a pas vu tous les deux et qui est assez bien coté. L’avantage d’être dans un jet privé, c’est comme être en première classe dans un avion normal; il y a moyen d’ouvrir un panneau sous les sièges pour pouvoir allonger nos pieds. Erin et moi nous créons bien vite une sorte de lit ou de divan-lit, avec nos plaids, des coussins, Woody calé contre la blonde. Le film commence et, naturellement, on se colle l’un contre l’autre comme à notre chère habitude pour regarder ce qui se passe sur l’écran, une tonne de sucreries à nos côtés. Déjà, j’adore la relation entre le gars et la fille, ils me font penser à Erin et moi qui nous connaissons depuis si longtemps… En cours d’informatique, nous aussi on s’envoyait des messages incognito via MSN. Ah la la, MSN, {#}nostalgie{/#}. Pour ma part, je n’ai pas confié à Erin lorsque j’ai perdu ma virginité, contrairement à Alex, parce que déjà… je l’admets, je le reconnais maintenant, déjà j’avais un crush sur ma meilleure amie et partager ce genre d’information ne me semblait pas convenable. Ça me gênait, même, étrangement. Je jette un petit coup d’oeil à Erin lorsque Rosie apprend qu’elle est enceinte et je squeeze ses doigts. Elle a l’air d’aller mieux… mais parfois, ici et là, je détecte une lueur de tristesse dans son regard et je me doute qu’elle pense à Gabi. Tout le long du film, j’espère qu’Alex et Rosie seront ensemble, enfin de compte. Mais je ne vois pas ladite fin du film parce que je m’endors, comme presque chaque fois que je regarde un film. Je le jure, je l’aime bien, c’est super bon, mais c’est plus fort que moi; mes paupières se ferment toutes seules et, bientôt, je tombe dans les bras de Morphée. Ou plutôt d’Erin parce que, lorsque j’ouvre les yeux, je suis affalé sur elle, le visage niché dans son cou. J’inspire comme pour m’enivrer de son parfum. Je me retourne sur le dos en grognant et tourne la tête pour observer la blonde. Elle est encore endormie, elle remue dans son sommeil et je ne peux m’empêcher de replacer une mèche derrière son oreille. Je remonte le plaid sur elle, puis relève la tête en détectant quelqu’un s’avancer dans notre direction. « Tout va bien, monsieur Mayers? » Monsieur Mayers. Ça me fait tout bizarre d’entendre ça. C’est mon père, ça d’habitude. Moi c’est Lord Mayers. Manders. Ahahaha. Je hoche la tête, encore tout endormi, clignant des yeux pour essayer de chasser la fatigue. « On devrait arriver d’ici deux heures », m’annonce-t-elle dans un grand sourire. J’écarquille les yeux. D’abord, parce que je remarque qu’il ne s’agit pas de la même hôtesse que tantôt — et surtout parce que ses paroles me font réaliser qu’on a dormi vraiment longtemps pour qu’on arrive si bientôt.  Assez longtemps pour qu’une autre hôtesse prenne le relais de la première. Celle-ci doit être en pause ou je-ne-sais-quoi. « Vous avez faim? Nous avons des repas. Ce soir, c’est du steak poêlé avec beurre aux herbes et à la Dijon, avec des patates rôties et des haricots verts. En entrée, il y a du tartare de saumon et, pour le dessert, une mousse aux trois chocolats. Le tout servi avec du vin rouge. » Je salive déjà alors que mon estomac gronde. Ouais, j’ai définitivement faim. Et considérant qu’on n’a mangé que du sucre il y a plusieurs heures, je me dis qu’il serait une bonne idée qu’Erin mange à son tour. « Vous pouvez nous en apporter chacun, s’il vous plaît? » L’hôtesse hoche la tête, grand sourire, et jette un coup d’oeil à Erin qui dort toujours comme un bébé. « Avec plaisir. » Elle s’éclipse préparer le tout et je me tourne vers ma meilleure amie. Un peu hésitant, je pose ma main sur son épaule pour la secouer doucement. « Erin… », je commence. Elle a l’air tellement bien, je n’ose pas y aller plus… brusquement. Ma main se pose sur sa joue pour la caresser tendrement. « Erin… » je répète. Elle remue dans son sommeil, je sais qu’elle est en train de se réveiller, mais la pauvre, ouvrir les yeux doit être la tâche la plus difficile en ce moment-même. « Riri… on arrive dans moins de deux heures. Il faudrait que tu manges. » Parce que le temps qu’on sorte de l’aéroport, qu’on dépose nos bagages à l’hôtel et tout ça, ça risque de prendre un moment avant qu’on puisse manger. Elle grogne, marmonne quelque chose, mais n’ouvre pas pour autant les yeux. Alors je suis forcé de prendre les grands moyens: je me mets à la chatouiller partout, particulièrement près de ses hanches parce que je sais que c’est son point faible. « Réveiiiiiille-toi Riri, allezzzzzzz, on arrive bientôt à PARIS alleeeeeez », je chantonne tout en continuant de la chatouiller.

♡ code par mpitiousmermaid ♡

{@=4413}Erin Sanders{/@} :l: :l:  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 3836688744  :shocked:  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 667269207  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 2670398542  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 3210902267  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 826475116  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 3956312242
Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG YV4dgvCSujet: ≈ alexandra anderson
Alexandra Anderson

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Rechercher dans: réseaux sociaux   Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySujet: ≈ alexandra anderson    Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG EmptySam 7 Sep 2019 - 23:20
alex.clarke • following
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alex.clarke Photo Souvenir. 2010. C'était tellement rare de me voir me faire à manger toute seule, qu'il avait cru bon d'immortaliser ce moment. Mais au moins grâce à cette photo je peux dire que je savais trouver la cuisine toute seule ! Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 1f60a La touche glamour avec les chaussettes !  Tag nostalgie sur 30 YEARS STILL YOUNG 1f605 Petit moment sourire et nostalgie. Bientôt 10 ans que cette photo a été prise. 
#Souvenir #Coupdevieux #Nostalgie


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