| (june #2) tell me what's your motive | |
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 ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie SURNOM : la diva, la casse-couilles, l’emmerdeuse, la putain de pétasse et autres joyeusetés qui te renseignent sur ce qui compose son caractère. sa grand-mère l’appelle par son prénom en entier et y a qu’elle qui a le droit, essaye même pas STATUT : combien de temps ça durera cette fois? ils sont au moins deux à y croire, mais les paris restent ouverts, et les comptes-fans pullulent sur les réseaux sociaux depuis l'annonce de la sortie de leur duo #MINE MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante 2023 de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a sept ans de ça : the x-factor australia (25.03.2023). croix de bois, tout ça été remporté dans la plus grande partialité et sans aucune magouille sous-jacente, sa victoire écrasante se basant uniquement sur son talent et sa présence scénique transcendante (lol). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, ça compense (à peine) l'impression dégueu qu'elle a d'avoir été trahie, utilisée et prise en pitié LOGEMENT : #421 carmody road, toowong, avec sa grand-mère, ava. elle y est forcément moins fourrée, ce qui a tendance à faire grimper sa culpabilité. maisie s'est bien fondue dans le décor depuis novembre dernier, à voir si l'attention récente des photographes et des curieux autour de la petite maison ne viendra pas à bout de son besoin de stabilité POSTS : 3246 POINTS : 1650 TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right 'cause we never could i wish that we would but we won't
JOLIE ◦ they said the end is coming everyone's up to something i find myself running home to your sweet nothings outside they're push and shoving you're in the kitchen humming all that you ever wanted from me was sweet nothing
nicholas#17 ◦ midas#21 ◦ mabel#2 ◦ megan#10 ◦ edge#6 ◦ olive#4 ◦ angus#2 ◦ june#2 ◦ cassie#2 ◦ micah#4 ◦ micah#5 (fb 2015) RPs EN ATTENTE :
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, peggy) ◦ ©padmeamiidalas (gif harter), katmcnamaragifs (gif jolie) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & yasmine khadji & mavis barnes PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020   | (#) Sujet: (june #2) tell me what's your motive Lun 28 Aoû 2023 - 20:06 | |
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|  tell me what's your motive @June Coleman-Pope ☆ crédit/SyntaxError
Jo n’avait jamais été très à l’aise dans les ascenseurs, mais celui dans lequel elle se trouvait maintenant, elle avait l’impression qu’il se rétrécissait à vue d’oeil. Ses parois semblaient s’avancer dangereusement vers elle, les miroirs autour renforçant l’idée qu’elle était prise au piège de quelque chose qu’elle n’avait pas flairé : l’échec.
Elle y était habituée pourtant, à croire qu’avoir soudainement tout à portée de réussite, ça avait eu un effet curateur sur la sensation qu’elle avait ressenti pendant six ans d’avoir manqué la balle au bond. Elle avait presque oublié ce que ça faisait, d’avoir ses espoirs enterrés en l’espace d’une opinion divergente, d’un point de vue amené avec l’expertise galvaudée de ceux qui avaient le porte monnaie plus lourd que leur intellect. C’était la partie qu’elle détestait le plus, celle où on lui rappelait avec plus ou moins de subtilité qu’elle n’était pas libre au fond, qu’elle répondait quasiment à une commande pour le compte d’un sponsor qui croyait en son potentiel uniquement parce qu’elle leur rapporterait de l’argent.
Son regard glissa presque timidement vers June, sa langue balaya sa rangée de dents du haut pendant que dans sa tête se jouaient les critiques acerbes du patron de Sony Music qui s’était amusé à en remettre une couche sur l’éventualité que c’était une mauvaise idée, cette collaboration. Si les quelques démos enregistrées par Jo étaient excellentes, et que sa tracklist se dessinait au rythme des pourparlers qui avaient sporadiquement lieux à Sydney, celle qui contenait le titre qu’elles avaient été écrit toutes les deux avaient été jugé, si ce n’était mauvais, tranchant beaucoup trop avec la ligne de cet album dont le titre n’avait pas encore été décidé. Quelque part, Jo ignorait ce qui pêchait parce que pour elle, cette chanson était putain d’excellente. Elle avait une âme un peu vintage, de la house de la bonne époque qui se reposait des basses feutrées et les paroles étaient en adéquation avec ce qu’elles avaient voulu explorer avec June, lorsqu’elle était venue à Adelaide Hills pour travailler. Mais la partie de la jeune femme, elle avait été définie comme étant un peu réchauffée, pas assez originale. Les featurings n’étaient plus si rares désormais, et la plume acérée des nouveaux pontes du genre rivalisaient pour que seules les meilleures ressortent du lot et deviennent plus légendaires encore que les chansons qu’ils portaient. D’après l’homme qu’elle venait de quitter, June ne convenait plus vraiment, peut-être qu’ils s’étaient trompés ? Il fallait tout revoir, envisager même de ne pas faire apparaître cette pépite sur l’album de Jo qui avait été mortifiée sur le moment. Elle se doutait sans avoir beaucoup besoin de se forcer que ce rendez-vous était important pour June, et si elle l’avait défendue avec sa verve habituelle, arguant qu’elle avait voix au chapitre, le mal avait été fait ; et ça se ressentait dans l’atmosphère confinée de l’ascenseur qui finissait sa course sur les mots de Jo "C’était qu’un premier rendez-vous." Elle haussa les épaules, se sommant de se décoller de la paroi pour contourner l’agent de sécurité du building qui les avaient escortées jusqu’à l’étage le plus haut — le reste de son équipe avait pris les escaliers, sûrement pour échapper à la pression ambiante. Son corps se tourna vers les portes coulissantes pour mieux se préparer à sortir, son menton se leva avec la détermination qu’elle retrouva en s’encourageant à ne pas se laisser atteindre, blindée jusqu’à l’os depuis tellement longtemps qu’il y avait des fois, elle avait ressentait l’impression d’agir en automate "La démo est bonne, c’est juste un connard." Ça non plus, Jo n’avait pas tourné sa langue dans la bouche pour le lui dire — avec plus ou moins de forme, avançant que remettre en doute les capacités artistiques de deux jeunes femmes de leur trempe, c’était frôler le cliché du type qui s’amuse à savoir si c’est lui qui a la plus grosse. Elle avala sa salive, reporta ses yeux sur la tableau de commandes de l’ascenseur pour se figurer exactement dans combien de temps elles pourraient en descendre, sentant un frisson entre ses omoplates quand l’agent de sécurité derrière elle remua. Il y avait de l’électricité dans l’air, et ce n’était pas l’électricité amusante autour de laquelle tourner pour se donner le sentiment d’être vivant : c’était désagréable, et c’était assez dense pour que Jo, qui ne supportait déjà pas le silence d’ordinaire, se sente obligée d’ajouter à l’encontre de June qu’elle regarda de nouveau "On sera dehors dans trente secondes à peine."  you can find me under the lights, diamonds under my eyes, turn the rhythm up, don't you wanna just come along for the ride? oh my outfit so tight, you can see my heartbeat tonight, i can take the heat, baby, best believe that's the moment i shine.
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|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 70 POINTS : 380 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Mer 30 Aoû 2023 - 22:22 | |
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tell me what's your motive @Jo Carter - août 2023
Les semaines se suivent, animées par certaines similitudes, comme de se retrouver dans les locaux d’un label, tous autour d’une table afin de prendre part à une réunion dont la finalité peut être qualifiée des plus déplaisantes, sans le moindre doute. Ils sont rares, autant qu’une éclipse solaire, les moments dans lesquels sa voix ne monte pas dans les tours quand la critique vient frapper à sa porte, toujours prompte à la repartie, à tort et à travers, qu’importe qu’elle soit justifiée ou non. La situation actuelle fait partie de ces moments inhabituels, se contentant de balancer des réponses à peine recevables face aux conclusions négatives évoquées par le patron de Sony Music concernant le featuring mis en place avec Jo. Sonnée par un tel retour, auquel elle ne s’attendait pas vraiment. Que le morceau soit à fignoler sur certains aspects n’aurait rien eu d’étonnant, au contraire, mais qu’il aille jusqu’à juger la collaboration comme une erreur la prend au dépourvu. Alors, rapidement, elle se terre dans un mutisme tout sauf naturel. Ce n’est pas Londres, ce n’est pas son label, pour faire simple, elle ne se trouve pas en terrain conquis. Impossible de vociférer les insultes qui s’enchaînent dans sa tête sans risquer d’envenimer la situation et d’atteindre rapidement un point de non-retour. Elle ne peut pas se permettre de tout faire capoter, et dans cette optique, elle préfère, pour une fois, se faire violence en la fermant, encaissant la morgue du décisionnaire en serrant les poings, suffisamment pour que ses ongles viennent laisser une marque sur la paume de ses mains. Les minutes lui paraissent bien trop longues jusqu’à l’échéance de cette réunion aux allures de simple détraction. L’impatience grandit à mesure que les nerfs commencent à s’électriser, si bien qu’au moment où une dernière critique masquée sous une subtilité bancale vient officiellement annoncer le terme de l’entrevue, elle quitte son siège sans plus attendre. Sans un mot, sans le moindre regard, elle s’échappe de la pièce le plus rapidement possible.
Muette, elle le reste encore malgré la fin des échanges, alors qu’elles se dirigent vers la sortie. Le silence, pesant, étouffant, emplit la cage d’ascenseur à la manière d’une substance nocive, prête à exploser à la moindre étincelle. Épaulée dans un coin, bras croisés, elle a le regard solidement accroché sur le sol, June, perdue dans les méandres de ses pensées, les doutes rôdant en arrière-plan. On pourrait s’attendre à ce que l’expérience acquise au fil des années l’ait suffisamment endurcie, au point qu’une unique remise en cause ne soit pas suffisante pour l’atteindre aussi aisément. Il n’en est rien, car actuellement, la confiance est bien plus fragile qu’elle ne le laisse paraître. Son passage express à Londres la semaine précédente a remis beaucoup de choses en perspectives, à travers des heures interminables de négociations sous tension. Il lui faut maintenant démontrer qu’elle est capable de sortir de la qualité sans son frère pour lui servir de béquilles, condition sine qua non à la liberté artistique provisoirement accordée. En ce cas, le featuring avec Jo représente plus qu’une simple collaboration aux yeux de l’Anglaise, prenant l’aspect d’une première pierre à l’édifice dans l’objectif de prouver qu’elle n’a pas besoin qu’on lui tienne la main. Se faire renvoyer dans les cordes au premier round n’offre pas le départ rêvé. Peut-être qu’en l’absence de divers enjeux cruciaux, le coup infligé à l’ego aurait eu moins de portée, froissant simplement la fierté de l’artiste sans envoyer son esprit vagabonder dans une spirale négative. « Qu’il aille se faire foutre avec son avis à la con. » Enfin décidée à lâcher son venin, sèchement, paroles entremêlées de colère et de frustration. La démo est bonne, leur avis converge sur le sujet, bien qu’il ne soit pas partagé par la personne responsable de la décision finale. Ce qui rajoute à l’incompréhension des propos tenus pendant la réunion. Pour la première fois depuis de longues minutes, son regard se décroche du sol, venant croiser celui de Jo un court instant lorsqu’elle annonce le temps restant, sans pour autant lui adresser le moindre mot, l’attention retournant rapidement à ses préoccupations.
L’annonce automatique du rez-de-chaussée et l’ouverture des portes viennent la ramener à la réalité, emboîtant le pas pour sortir de l’ascenseur. Encore une fois, elle ne prend pas la peine de s’arrêter, traçant son chemin jusqu’à la sortie du bâtiment, sans attendre qui que ce soit, plantant une cigarette entre ses lèvres, brûlant le tabac avant même de passer les portes. On tente de lui faire une réflexion aux premières fumées quittant ses poumons, le regard noir qu’elle envoie en réponse est toutefois suffisant pour avorter toute insistance. Une fois dehors, elle fait les cent pas, jetant un œil aux divers messages ornant l’écran de son portable, dont la plupart n’ont pour vocation que de s’enquérir du résultat de cette réunion. Pas de réponse sur l’instant, l’appareil retrouve rapidement place dans une poche. Et, lorsque Jo la rejoint, elle ne lui laisse pas le temps d’en placer une. « Je déteste ce genre d’enfoirés. » Ceux capables de décider qui a raison et qui a tort sur la seule base de leurs dictats, prêt à refuser sans avancer la moindre raison, juste dans le but de montrer qu’ils ont le pouvoir. « Incapable de reconnaître une bonne musique sans une armée de responsables pour lui expliquer. Par contre, pas de problème quand il s’agit de sortir la même merde en boucle. » Plus loquace durant ces dernières secondes que depuis la première salve de critiques, le trop-plein d’émotion se fait la malle par le biais de paroles corrosives qu’elle a retenue aussi longtemps que possible. « Ça va être un putain de son, rien que pour lui faire bouffer sa condescendance et son sourire de connard. » Peu importe le nombre de fois qu’elle devra réécrire son couplet jusqu’à ce qu’il lui semble parfait, la motivation est loin d’être saine, bien que dupliquée par l’adversité personnifiée. L’affirmation sonne comme une promesse, car dans l’esprit de June, il ne peut pas en être autrement. « Y’a aucun monde où c’est lui qui gagne. » Métaphoriquement, car dans la réalité, même si elles améliorent le morceau et lui prouvent qu’il est parfait afin de lui renvoyer ses critiques en pleine gueule, ce sont toujours ses poches à lui qui accueilleront les billets générés. Elle tire une nouvelle fois sur sa cigarette, seul moment où elle offre une pause dans son pamphlet.
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|  | |  ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie SURNOM : la diva, la casse-couilles, l’emmerdeuse, la putain de pétasse et autres joyeusetés qui te renseignent sur ce qui compose son caractère. sa grand-mère l’appelle par son prénom en entier et y a qu’elle qui a le droit, essaye même pas STATUT : combien de temps ça durera cette fois? ils sont au moins deux à y croire, mais les paris restent ouverts, et les comptes-fans pullulent sur les réseaux sociaux depuis l'annonce de la sortie de leur duo #MINE MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante 2023 de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a sept ans de ça : the x-factor australia (25.03.2023). croix de bois, tout ça été remporté dans la plus grande partialité et sans aucune magouille sous-jacente, sa victoire écrasante se basant uniquement sur son talent et sa présence scénique transcendante (lol). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, ça compense (à peine) l'impression dégueu qu'elle a d'avoir été trahie, utilisée et prise en pitié LOGEMENT : #421 carmody road, toowong, avec sa grand-mère, ava. elle y est forcément moins fourrée, ce qui a tendance à faire grimper sa culpabilité. maisie s'est bien fondue dans le décor depuis novembre dernier, à voir si l'attention récente des photographes et des curieux autour de la petite maison ne viendra pas à bout de son besoin de stabilité POSTS : 3246 POINTS : 1650 TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right 'cause we never could i wish that we would but we won't
JOLIE ◦ they said the end is coming everyone's up to something i find myself running home to your sweet nothings outside they're push and shoving you're in the kitchen humming all that you ever wanted from me was sweet nothing
nicholas#17 ◦ midas#21 ◦ mabel#2 ◦ megan#10 ◦ edge#6 ◦ olive#4 ◦ angus#2 ◦ june#2 ◦ cassie#2 ◦ micah#4 ◦ micah#5 (fb 2015) RPs EN ATTENTE :
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, peggy) ◦ ©padmeamiidalas (gif harter), katmcnamaragifs (gif jolie) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & yasmine khadji & mavis barnes PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Jeu 31 Aoû 2023 - 15:46 | |
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|  tell me what's your motive @June Coleman-Pope ☆ crédit/SyntaxError
Pour amener la tempérance chez Jo, il fallait se lever tôt. Mais ce n’était pas un rendez-vous anodin, et il y avait un enjeu derrière, un enjeu beaucoup trop important pour, qu’à part des regards noirs et des roulements d’yeux, elle ne consente pas à prendre sur elle. Bien sûr que dans son esprit, le responsable qu’elles venaient de quitter était cloué sur place par son talent inné à rabattre le caquet de ceux qui n’avaient rien demandé, sauf qu’il y avait des moments qui méritaient qu’on tourne sept fois sa langue dans sa bouche avant d’enterrer ses chances. C’était de son album dont on parlait. Elle avait plus à perdre que June à se montrer vindicative, et elle le savait. Et puis elle l’avait déjà suffisamment été ces derniers temps, ne lâchant rien lors des négociations entourant la ligne directive d’un projet qui n’en était plus à ses balbutiements. Tout devenait concret, et ses effort étaient réels. Ce ne voulait pas dire qu’elle ne s’offusquait pas plus souvent qu’à son tour, c’était mal la connaître d’’attendre le contraire venant d’elle, mais elle choisissait ses batailles, et bien qu’elle tenait à cette chanson avec June, elle avait la sensation qu’au fond, celle-ci n’était pas la sienne.
Elle était néanmoins une bonne partenaire, pas la dernière à monter au front parce que sous ses allures de poupée, pas bien grande et toute apprêtée, elle aimait la bagarre. La tension qui irradiait de sa collaboratrice se soustrait à elle quand elle s’enfuit de l’ascenseur, prenant de l’avance pour échapper à la sensation qu’elle-même avait d’être poursuivi par la débâcle. Elle roula des yeux Jo, mais elle ne dit, sommant juste l’agent de sécurité qui les suivait que ce n’était plus la peine de leur coller au train et de retourner à son poste ; elles allaient retrouver leur voiture, et son équipe n’allait pas tarder à les rejoindre de toute façon, elles ne seraient plus seules, alors du balais. Aucun risque de sécurité n’était à envisager, les lieux étaient bien gardés, et même si elle aimait croire le contraire par excès de zèle, Jo n’avait pas encore besoin d’être escortée partout où elle allait, encore loin de pouvoir marcher dans les traces d’une Beyoncé. Ça ne l’empêcha pas de traverser le corridor lumineux du label avec la volonté d’une reine, son pas clinquant contre le sol brillant, le menton droit et les hanches balançant selon un tempo qu’on ne trouvait dans aucune chanson, propre à la personnalité singulière qu’elle avait, et à sa détermination à faire se retourner quiconque sur son passage — elle attira quatre ou cinq regards, loin d’être son record, mais il y avait des jours moins bons que d’autres. C’était le cadet de ses soucis à cet instant-là, elle ne voulait que retrouver June pour lui offrir une soupape à la déception qu’elle avait vu briller dans son regard lorsqu’elle l’avait croisé, se sentant de taille à supporter le langage fleuri, les invectives agressives, de quelqu’un qui venait de voir ses espoirs enterrés en une fraction de seconde par quelqu’un d’autre qui, en effet, avait sûrement la fibre artistique d’un nouveau né.
"Tu devrais pas fumer." Réflexe de chanteuse à voix qui en prenait soin et qui estimait que la ruiner pour un truc aussi bidon qu’une addiction, c’était jouer avec les astres. Cela dit, June avait d’autres démons, la cigarette devait en être un de moindre menace, et puis dans le fond, qu’est-ce que ça pouvait bien lui foutre qu’elle abîme ses cordes vocales avec une merde pareille. Chacun son moyen d’auto-destruction, le sien situait entre l’auto-sabotage, la provocation, et le besoin viscérale d’avoir toujours le dernier mot, alors peut-être que fermer sa gueule, ce serait une bonne chose pour éviter de passer pour une conne le jour où elle se prendrait un revers de la part des gens qu’elle traitait comme des moins que rien. Elle haussa les épaules, glissa la mèche volontairement laissée en dehors de sa queue de cheval derrière une oreille, sa bouche marquant un mouvement vers le bas pour accuser les propos de la jeune femme qu’elle rejoignit pour de bon "T’as combien d’albums à ton actif déjà ? Trois, quatre ?" Pas de quoi lui filer des complexes. Les réussites des autres ne représentaient pas une source de jalousie chez Jo — sa jalousie, elle la réservait à autre chose. Elle savait qu’elle avait les capacités pour en faire autant, si ce n’était plus ; ce n’était qu’une question de temps. Elle poursuivit "T’as plus grand-chose à prouver. Tu sais ce que je pense ? Que c’est une phase-test pour vérifier si t’as encore le cran d’accepter la critique et d’évoluer autour. C’est pour te motiver à confirmer qu’ils ont tort de te sous-estimer." Des méthodes de pervers narcissiques, du genre je te pousse dans tes retranchements pour voir combien de temps tu peux tenir avant de craquer. Elle était bien placée pour juger, elle, alors qu’elle jugeait le sarcasme comme une méthode fiable afin de déterminer qui était capable de la supporter — pas grand-monde au demeurant, ceux qui le faisaient avec du mérite, mais inutile de leur lancer des fleurs non plus. Elle glissa sa langue sur toute la longueur de sa rangée de dents du haut, décocha un regard sur le côté pour observer les arrivants devant le label ; ceux qui hésitaient à rentrer, effrayés par le refus, ceux qui y allaient avec leur démo dans la poche et des rêves plein la tête. Elle reprit après un instant, détournant les yeux "Y a pas un monde où tu te laisses autant atteindre par l’avis d’un connard comme lui. On va bosser, respire." Putain Jo, quel comportement mature. C’était l’effet de quoi ? De la promesse de succès inhérente à la sortie imminente de son titre avec Midas, à l’apaisement qui allait avec la fin d’une période d’écriture intense, à la méditation, à la sauge, à un alignement des planètes favorable à sa bonne humeur, à la putain de pleine Lune ? Incroyable, même elle se surprenait, mais elle ne montra rien, arquant juste un sourcil en se disant qu’il n’y avait pas besoin de se poser dans un studio pour écrire. Elles avaient un avion à prendre, deux heures de trajet jusqu’à Brisbane à tuer, ça devrait être mis à profit. Ses yeux rencontrèrent ceux de June, son expression se durcit plus par commodité, encouragements silencieux à arrêter de faire sa chialeuse, que pour lui reprocher quoi que ce soit "Allez, reprends-toi. Moi j’estime pas que cette collab est une erreur, et je compte pas te lâcher en cours de route parce qu’ils l’auront décidé, si c’est ça qui t’inquiète." Si les choses n’étaient pas assez claires, elles l’étaient désormais.  you can find me under the lights, diamonds under my eyes, turn the rhythm up, don't you wanna just come along for the ride? oh my outfit so tight, you can see my heartbeat tonight, i can take the heat, baby, best believe that's the moment i shine.
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|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 70 POINTS : 380 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Ven 8 Sep 2023 - 15:15 | |
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tell me what's your motive @Jo Carter - août 2023
Prise au piège de ses propres doutes, mettant à mal la façade construite sur des fondations maladroites derrière laquelle elle se cache, l’esprit s’agite dans diverses directions, avec une certaine préférence à l’égard des mauvaises. Elle piétine, les muscles incapables de rester immobiles face à la nervosité intrinsèque, à peine calmée par toute la merde qui vient enfumer ses poumons. « Occupe-toi d’ta santé. » Elle aurait pu se contenter de répondre que, dans un sens, cette cigarette est un moindre mal en comparaison de l’alternative spiritueuse, seul moyen disponible sur le moment afin de ne pas se laisser embarquer par ses démons. Ou, simplement, elle aurait pu laisser couler le commentaire sans y prêter plus d’attention, mais l’état d’esprit se trouve trop agité pour réagir de la sorte. Alors, les mots sortent sèchement, un peu trop lorsqu’on prend en considération leur destinataire. Elle n’a jamais su gérer sa frustration, déjà avant d’avoir des problèmes avec la boisson, caractéristique ne s’étant pas améliorée maintenant que la sensibilité de ses nerfs est exacerbée, flirtant aux limites avec une facilité déconcertante. « Quatre. » De quoi être rôdée à l’ensemble des conneries qui peuvent se passer dans le bureau qu’elles viennent de quitter, pourtant, à cet instant, elle en reflète tout le contraire, pas mieux armée que les âmes rêvant du succès en franchissant les portes d’un label avec de l’innocence plein les poches. La réalisation n’arrange rien à la situation, pas plus que les paroles de Jo, cristallisant l’essence du problème. Sa carrière, elle ne peut pas se vanter de l’avoir intégralement bâtie de ses propres mains, loin de là, elle a beau avoir initié l’histoire et pris la lumière, sans son frère en arrière-plan, gérant tout le reste, les chances de réussite auraient été drastiquement réduites. Maintenant que l’unité s’est délitée au fil des différends, que les frasques ont effilochées la confiance, elle est attendue au tournant, dans une position pas si éloignée d’un début. « C’est des conneries, essaye pas de justifier ou de relativiser tout ce qu’il vient de balancer. Le morceau sonne pas comme il l’aurait voulu, pas besoin de chercher une logique à la con derrière tout ça. J’accepte la critique quand elle vient pas d’un connard. » Elle se plaît à le croire, alors que le nombre de personnes dont elle accepte le jugement, sans automatiquement se braquer ou monter dans les tours, se compte sur les doigts d’une main. Tellement aveuglée par ses sentiments qu’elle ne veut même pas avouer que les techniques douteuses qu’évoque Jo fonctionnent sans le moindre effort sur sa personne, comme une marionnette refusant de voir les fils animant ses mouvements. Oui, se faire renvoyer dans les cordes d’une telle manière abîme l’ego, au point qu’en découle une motivation rageuse, avec comme seul objectif de leur montrer que douter de ses capacités reste une putain d’erreur. « C’est pas juste l’histoire d’un type, tout le monde agis comme si j’étais une putain de débutante et qu’ils savaient mieux que moi ce que je devrais faire ou chanter. Alors ouais, ça me prend la tête, parce qu’on répète toujours le même schéma où ils vont se vanter que sans leur supervision, le succès n’aurait sans aucun doute pas été aussi important. » Quand leur seul acte notable reste d’aligner la thune en attendant d’en récupérer les bénéfices par la suite. Elle en avait déjà conscience auparavant de cette partie foireuse du business, mais elle n’en avait pas grand-chose à foutre, problèmes et histoires qu’elle observait de loin, sans y être confrontée directement, jusqu’à maintenant. Elle choisit mal ses batailles, June, pas au moment opportun, tout du moins, alors qu’elle en est encore à se relancer. Venir remettre ouvertement en cause le modèle et la hiérarchie du milieu dans sa condition revient à se tirer une balle dans le pied. Elle devrait trouver un moyen d’étouffer sa fierté, ne serait-ce que publiquement, mais la réalisation tarde à faire son chemin, tellement à vouloir prouver les erreurs d’autrui que les siennes passent au second plan. Elle a le regard erratique, qui s’accroche à la moindre distraction, partout, jusqu’à finalement croiser celui de son interlocutrice. « Fuck » L’insulte s’échappe en même temps qu’une ultime bouffée de fumée. Cette fois, les mots de Jo font leur effet, amenant June à un semblant de relativisme afin de voir plus loin que le négatif accaparant ses pensées depuis plusieurs minutes. « Ok. » Qu’elle répète à plusieurs reprises pour calmer le bordel dans son esprit. « La prochaine démo lui fera fermer sa gueule. » Sa version brute pour signifier que, malgré les critiques mal encaissées, elle ne fera pas le plaisir d’abandonner aussi facilement. Le reste de l’équipe présente à la réunion les rejoint finalement, les voitures attendant un peu plus loin. « Laisse-moi le temps de redescendre et on s’y met. » Digérer et se mettre dans l’ambiance d’écrire quelque chose sans l’envie d’étriper qui que ce soit sur chaque mesure, en d’autres termes, un peu de calme dans le but de se reprendre. Elle vient écraser le mégot contre sa semelle avant de prendre la direction d’un des véhicules.
De nouveau, le silence, ne décrochant pas un mot sur le trajet les menant à l’aéroport. Calée dans le fond de son siège, téléphone en main, notes ouvertes sur les paroles de la chanson, elle passe son temps à relire les mesures de son couplet. À chaque passage, la même conclusion, le texte n’est pas mauvais, mais il n’est pas excellent pour autant. Trop longtemps sans rien sortir, ajouté aux années accrochées à la plume de son frère, rend logiques les approximations de son écriture, trop hésitante, pas assez tranchante. Elle réfléchit à de nouvelles tournures, sans toutefois les coucher dans l’instant, gymnastique mentale avant de passer aux choses sérieuses. Il n’y a qu’une fois dans l’avion qu’elle se décide à l’ouvrir de nouveau. « Désolé pour le craquage. » Lancé rapidement, comme si l’excuse lui brûlait les lèvres, enchaînant sans attendre. « On s’y met ? » Elle dégaine de nouveau son téléphone, affichant le texte. « J’pense pas qu’il y ait de problème avec le sujet en lui-même. » L’inspiration est venue assez rapidement des deux côtés une fois l’idée originale mise en place. « J’ai une ou deux modifs en tête pour commencer à améliorer ma partie, à voir si ça fit toujours avec le reste de la structure. » Ses doigts pianotent sur l’écran, supprimant certaines mesures afin d’incrémenter le texte avec de nouvelles.
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|  | |  ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie SURNOM : la diva, la casse-couilles, l’emmerdeuse, la putain de pétasse et autres joyeusetés qui te renseignent sur ce qui compose son caractère. sa grand-mère l’appelle par son prénom en entier et y a qu’elle qui a le droit, essaye même pas STATUT : combien de temps ça durera cette fois? ils sont au moins deux à y croire, mais les paris restent ouverts, et les comptes-fans pullulent sur les réseaux sociaux depuis l'annonce de la sortie de leur duo #MINE MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante 2023 de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a sept ans de ça : the x-factor australia (25.03.2023). croix de bois, tout ça été remporté dans la plus grande partialité et sans aucune magouille sous-jacente, sa victoire écrasante se basant uniquement sur son talent et sa présence scénique transcendante (lol). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, ça compense (à peine) l'impression dégueu qu'elle a d'avoir été trahie, utilisée et prise en pitié LOGEMENT : #421 carmody road, toowong, avec sa grand-mère, ava. elle y est forcément moins fourrée, ce qui a tendance à faire grimper sa culpabilité. maisie s'est bien fondue dans le décor depuis novembre dernier, à voir si l'attention récente des photographes et des curieux autour de la petite maison ne viendra pas à bout de son besoin de stabilité POSTS : 3246 POINTS : 1650 TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right 'cause we never could i wish that we would but we won't
JOLIE ◦ they said the end is coming everyone's up to something i find myself running home to your sweet nothings outside they're push and shoving you're in the kitchen humming all that you ever wanted from me was sweet nothing
nicholas#17 ◦ midas#21 ◦ mabel#2 ◦ megan#10 ◦ edge#6 ◦ olive#4 ◦ angus#2 ◦ june#2 ◦ cassie#2 ◦ micah#4 ◦ micah#5 (fb 2015) RPs EN ATTENTE :
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, peggy) ◦ ©padmeamiidalas (gif harter), katmcnamaragifs (gif jolie) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & yasmine khadji & mavis barnes PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Mer 13 Sep 2023 - 6:23 | |
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|  tell me what's your motive @June Coleman-Pope ☆ crédit/SyntaxError
"Hey, tu vas redescendre, June." La mise en garde perçait dans le ton qu’elle lui offrit, une main abattue dans l’espace qui les séparait. Jo, elle avait la volonté de se faire traiter comme de la merde égale à zéro alors qu’elle, elle passait son temps à faire-valoir son talent pour la rebuffade auprès d’à peu près tout le monde. Elle n’essayait pas d’enfoncer June, c’était même tout le contraire, et la manière dont son regard se planta dans le sien pour lui faire passer l’envie de la réduire en pièces, il était assez évocateur pour qu’elle le comprenne sans qu’elle n’ait besoin de s’échiner à être vocale sur la question. Elle comprenait sa déception, elle comprenait qu’elle se sente mal à l’aise aussi, pas épargnée par les sarcasmes de l’homme avec qui elles avaient discuté, mais elle se trompait d’ennemi si elle croyait que c’était Jo à ce moment-là. Elle était de son côté, elle entendait bien le lui dire maintenant, et ce en ne mâchant pas ses mots, exactement comme June le faisait "J’essaye pas de justifier ou de relativiser quoi que ce soit, alors tu baisses d’un ton." L’impatience était perceptible dans sa façon de poser ses mots, mais elle ne céderait pas à la colère complète, elle se le jura à elle-même "Par contre, j’essaye de réagir avec un peu plus de maturité qu’une gamine qui vient de se faire taper sur les doigts. Tu peux bouder si tu veux, je comprends que tu le fasses, mais me fais pas passer pour la méchante, tu te trompes de cible." Et quelque chose lui disait qu’elle le savait déjà de toute façon, seulement un petit rappel n’était pas de trop pour lui faire considérer l’idée de ne pas lui sauter à la gorge, putain.
Elle lâcha une respiration lest Jo, arqua un sourcil en l’écoutant reprendre à la suite. Là encore, elle comprenait les sentiments qu’elle ressentait, certainement mieux que quiconque dans le périmètre dans lequel elles se trouvaient. La frustration était réelle, Jo l’avait ressentie à de maintes reprises au cours de ces derniers mois, et sa réaction n’avait pas été meilleure que celle de June, mais elle s’était raccrochée aux gens qui croyaient en elle. Elle secoua la tête à la négative, toisant la jeune femme dont le regard peinait à rester fixe, trop nerveuse pour qu’elle y parvienne "Pas tout le monde non. Je crois pas t’avoir traitée comme ça quand t’as débarqué à Adelaide Hills." Remettre l’église au milieu du village, c’était bien aussi. June, elle avait l’impression d’être mal traitée par ceux qui avaient le porte-monnaie, mais autour d’elle, personne ne la prenait pour une débutante au contraire. Jo avait considéré ses idées, considéré ses conseils aussi, et elle ne s’en rendait sûrement pas compte parce qu’au fond, elles ne se connaissaient pas bien, mais c’était quelque chose dont peu de monde pouvait se targuer. Elle roula ses lèvres l’une sur l’autre, tachant de s’ancrer dans sa volonté de ne pas s’énerver non plus, et reprit une seconde après "Pour ce que ça vaut, aucun membre de mon équipe a agi comme si t’étais une débutante alors ok, c’est pas eux qui ont la thune pour te permettre de faire ce que t’as envie de faire, mais mets pas tout le monde dans le même panier, ça va pas t’aider de considérer la terre entière comme tes ennemis." Dans le fond, ce n’était pas tant les décideurs qui comptaient. C’était utile de les avoir dans son camp, Jo ne prétendrait pas le contraire, mais c’était un jeu à jouer avec les règles fournies en avance : et June n’était justement pas une débutante, elle savait tout ça.
Suspendue à la réaction de la jeune femme, Jo avait toujours sa main dressée dans l’espace qui les séparait. Elle s’en servit ensuite pour chasser le nuage de fumée qu’elle reçut en pleine gueule quand June décida enfin d’arrêter de faire sa mauvaise tête, et ce qu’elle lança alors, ça fit dire à Jo "Putain, voilà. Je préfère ça." Largement même, l’auto-apitoiement n’étant pas un état dans lequel elle se complaisait, dans lequel elle aimait voir les autres se complaire non plus. Elle se redressa, tira sur les côtés de la veste en jean oversize qu’elle portait sur une robe certainement trop courte, et se mit en mouvement. Elle ne dit pas un mot de plus, suivant June de près quand elles s’engagèrent ensemble vers la voiture qui les attendait. Hicham les rejoignit quelques secondes après, laissa les autres à la leur, de voiture, et interrogea Jo du regard qui lui fit signe de prendre son téléphone pour qu’elle lui explique par texto, ne tenant pas à déranger la redescente de June sur qui elle garda un oeil en biais durant le trajet ; avec son musicien, ils discutèrent comme ça par écran interposé le temps que leur comparse décide d’ouvrir à nouveau la bouche. Lorsqu’elle le fit, Jo tourna la tête dans sa direction ; elle ne réagit pas à ses excuses parce qu’il n’y avait aucune raison de s’excuser, et lui dit dans la foulée "J’attends ton feu vert." Etonnante discipline de la part de Jo qui switcha d’application sur son téléphone pour ouvrir ses notes, lança en même temps les premières mesures de la démo qu’elle avait dans ses notes vocales, et pressa la barre de progression jusqu’à la partie de June pour la réécouter avant de d’hocher la tête à ce qu’elle lui disait "Nan, le thème est parfait, et c’est pas ce qu’il a critiqué." Inutile de revenir sur le sujet. Le complètement qu’elle ajouta, elle le prononça avec les sourcils légèrement froncés, le regard se détournant vers la vitre opaque qui laissait défiler le paysage à l’extérieur "On a peut-être eu tort de vouloir l’écrire chacune de notre côté. Je pourrais te donner ma vision de ton intervention, et tu pourrais t’y baser pour rester dans la ligne de ce que je dis dans mes couplets." Ça voudrait dire être un peu plus ouverte sur le sujet qui l’inspirait. S’il fallait le faire, Jo s’y plierait.  you can find me under the lights, diamonds under my eyes, turn the rhythm up, don't you wanna just come along for the ride? oh my outfit so tight, you can see my heartbeat tonight, i can take the heat, baby, best believe that's the moment i shine.
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|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 70 POINTS : 380 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Sam 23 Sep 2023 - 16:05 | |
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tell me what's your motive @Jo Carter - août 2023
Il lui manque ce fusible émotionnel, sécurité à vocation de l’empêcher de, comme elle le fait actuellement, laisser s’échapper ses sentiments de la mauvaise manière. Elle tombe rarement dans les faux-semblants, l’Anglaise, jamais à embellir ses discours afin de brosser dans le sens du poil, non, de ses intonations aux traits de son visage, il est possible de connaître son état d’esprit sans être sujet au doute de l’interprétation. Avantage autant que défaut, comme l’instant présent où, sous fond d’une frustration personnelle récurrente ces derniers temps, les maux sont crachés envers la mauvaise personne, incapable de les retenir en sachant pertinemment que la cible choisie n’est pas la bonne, tout au contraire. Attitude d’adolescente en crise refusant les critiques et qu’on lui impose quoi faire, pas étonnant qu’ils cherchent tout le temps à lui foutre des barrières et l’encadrer malgré l’opposition avec laquelle elle réplique, à croire qu’ils la connaissent mieux que June ne se connaît elle-même. Les caprices fonctionnent, la majeure partie du temps, mais Jo, elle a le tempérament suffisamment aiguisé pour voir la scène comme elle l’est réellement, la crise d’une gamine frustrée et vexée de s’être fait taper sur les doigts sans qu’elle ne s’y attende. La surprise, d’ailleurs, reste sûrement l’élément déclencheur de la petite scène prenant place à l’extérieur du label, encore se serait-elle attendue à des propos de cette nature concernant sa partie du featuring que les choses auraient pu être digérées avec moins de difficulté. Mais, prise en défaut face à la réaction de l’exécutif, elle plonge dans certains de ses travers. Elle ne soutient le regard de la brune qu’une poignée de secondes lorsque celle-ci répond à la frustration par la raison, sachant pertinemment que sa réaction, qu’elle soit de se murer dans le silence ou d’extérioriser sa déception, n’est pas la bonne. Face à tout ça, elle a au moins l’intelligence de ne rien rétorquer, histoire de ne pas envenimer une situation qui, au fond, ne devrait pas avoir lieu d’être.
Ils semblent loin, ces jours à Adelaide Hills, dans l’isolement de la campagne où toute contrainte extérieure restait en dehors de la bulle musicale enveloppant l’endroit. Bien plus loin que le temps s’étant réellement écoulé, les événements ayant suivi donnant l’impression que les semaines suivantes ont duré des mois. L’accumulation biaise la perspective, et de tout, elle ne retient que le négatif, englobant l’ensemble des expériences sous la même bannière. Elle le sait, pourtant, ce que Jo continue de lui expliquer, qu’au-delà des personnes contre qui elle a une dent, le reste ne tend pas dans une direction similaire. Elle ne peut pas nier que l’ambiance avec Jo et son équipe lui a permis de remettre un pied à l’étrier, preuve en est que, malgré le sarcasme et les critiques de la réunion précédente, June a réussi à fournir des mesures tenant la route, même si pas autant qu’attendue, alors qu’avant ça, elle venait de passer plusieurs mois en étant incapable de sortir plus de trois lignes sans tout effacer dans la foulée, peu convaincue par une inspiration aux abonnés absents. Même les échanges avec Jordan sur le prochain album s’effectuent avec une facilité déconcertante, ils n’en sont qu’aux balbutiements, restent que les choses sont encourageantes. Beaucoup de positif, et pourtant, il suffit d’un revers pour la renvoyer de l’autre côté de la ligne, preuve que la confiance n’est pas cimentée et que les angoisses qu’elle tente de cacher à travers un masque d’assurance en les détournant sous fond d’humour ne sont pas loin. Il est plus aisé de prendre la Terre entière comme ennemie plutôt que de réaliser l’introspection nécessaire. « Pour ce que ça vaut, t’étais pas incluse dans le tout le monde. Ni les autres. » Par les autres, comprendre l’équipe de Jo. Lâché sur un ton neutre, ça sonne fortement comme un je sais que t’as raison, mais sans le dire à voix haute.
Elle a encore besoin d’un certain temps avant de redescendre, laissant la raison faire son bonhomme de chemin, de quoi retourner jusqu’aux voitures et avancer une partie du trajet retour. La scène aura au moins eu l’avantage de redoubler la motivation, pas question de perdre plus de temps avant de s’y remettre, elles ont une bouche à faire fermer. « C’est mon feu vert. » Ni une, ni deux, chacune a le même réflexe de décocher les notes présentes sur leur téléphone respectif, Jo en profitant pour lancer un audio de la musique. « Ouais, peut-être. » Sans aucun doute, l’idée d’écrire chacune dans leur coin a amputé la cohérence entre les deux parties du morceau. Sur ce coup-là, difficile de rejeter la faute sur autrui alors que June en avait pris la décision dès le premier jour. « Vas-y, balance, t’as toute mon attention. » Elle décroche les yeux de son écran pour venir fixer son regard sur la jeune femme, tranchant avec son incapacité à effectuer une telle chose depuis leur sortie du label, la détermination prenant enfin le pas sur la frustration. « On aurait dû faire ça dès le départ, my bad. » A trop vouloir se prouver qu’elle était capable, June en a oublié qu’un bon featuring se base sur l’échange et une vision commune, plutôt que sur un tour de passe-passe où chacun se démerde de son côté en espérant que la magie fonctionne. « Mon couplet doit être là pour soutenir le tien, pas comme un simple argument supplémentaire. Tu plantes le décor, fais passer le message et j’enfonce le clou. » Finalement, ce qu’aurait dû être ce featuring depuis le début.
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|  | |  ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie SURNOM : la diva, la casse-couilles, l’emmerdeuse, la putain de pétasse et autres joyeusetés qui te renseignent sur ce qui compose son caractère. sa grand-mère l’appelle par son prénom en entier et y a qu’elle qui a le droit, essaye même pas STATUT : combien de temps ça durera cette fois? ils sont au moins deux à y croire, mais les paris restent ouverts, et les comptes-fans pullulent sur les réseaux sociaux depuis l'annonce de la sortie de leur duo #MINE MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante 2023 de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a sept ans de ça : the x-factor australia (25.03.2023). croix de bois, tout ça été remporté dans la plus grande partialité et sans aucune magouille sous-jacente, sa victoire écrasante se basant uniquement sur son talent et sa présence scénique transcendante (lol). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, ça compense (à peine) l'impression dégueu qu'elle a d'avoir été trahie, utilisée et prise en pitié LOGEMENT : #421 carmody road, toowong, avec sa grand-mère, ava. elle y est forcément moins fourrée, ce qui a tendance à faire grimper sa culpabilité. maisie s'est bien fondue dans le décor depuis novembre dernier, à voir si l'attention récente des photographes et des curieux autour de la petite maison ne viendra pas à bout de son besoin de stabilité POSTS : 3246 POINTS : 1650 TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ we need love but all we want is danger we team up then switch sides like a record changer the rumors are terrible and cruel but honey most of them are true
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right 'cause we never could i wish that we would but we won't
JOLIE ◦ they said the end is coming everyone's up to something i find myself running home to your sweet nothings outside they're push and shoving you're in the kitchen humming all that you ever wanted from me was sweet nothing
nicholas#17 ◦ midas#21 ◦ mabel#2 ◦ megan#10 ◦ edge#6 ◦ olive#4 ◦ angus#2 ◦ june#2 ◦ cassie#2 ◦ micah#4 ◦ micah#5 (fb 2015) RPs EN ATTENTE :
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, peggy) ◦ ©padmeamiidalas (gif harter), katmcnamaragifs (gif jolie) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & yasmine khadji & mavis barnes PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020   | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive Lun 25 Sep 2023 - 9:55 | |
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|  tell me what's your motive @June Coleman-Pope ☆ crédit/SyntaxError
Nul doute que si les rôles été inversés, Jo n’en mènerait pas large et ne serait pas autant capable de tempérance que maintenant. Elle était aussi sanguine que June, alors les reproches glanés sous couvert de pseudos-conseils, elle n’en faisait pas une valeur assez fiable à ses yeux pour les accepter sans broncher, surtout quand ils venaient des personnes qui n’avaient aucune espèce d’autorité sur elle. Mais on lui reprochait souvent son manque de maturité et sa tendance notoire à s’insérer dans les brèches pour faire des drames de pas grand-chose, alors prendre de la hauteur et ne pas sauter à pieds joints dans le pessimisme de June, ça lui semblait être la méthode la plus appropriée sur l’instant. Elle apprenait encore Jo, doucement mais surement, et force était de constater que malgré ce qu’on disait, elle n’était pas fâchée avec l’idée de faire des efforts. Elle n’avait pas envie que de la bonne ambiance autour de la conception de son premier album ne permute. Elle voulait garder l’harmonie des premiers jours, faisant déjà assez de concessions sur la manière dont elle voyait vraiment les choses pour accepter de travailler dans la tension. Si elle avait tant aimé partir en camp d’écriture, c’était pour la sérénité apportée par l’idée d’être isolée du monde extérieur. Elle qui était monté sur piles, ça lui avait du bien de considérer les choses avec plus de calme que d’ordinaire, et contre toute attente, c’était une méthode qui avait fait ses preuves tant elle avait été productive pendant les deux mois qu’elle avait passé dans cette ferme, à faire amie-amis avec les poules, les chevaux et les cochons. C’était une ligne qu’elle voulait continuer d’aborder malgré l’imminence de son entrée en studio et la majorité de son équipe semblait sur la même longueur d’onde. Elle ne demanderait pas à June d’aller au-delà de qui elle était, ne lui demanderait pas de jurer par la sauge et la méditation, mais elle ne voulait tout de même pas qu’elle se sente obligée de tout envoyer balader sur son passage sous le prétexte commode qu’on avait entamé la confiance bancale qu’elle semblait avoir en elle. C’était un peu étonnant d’ailleurs, d’arriver à la conclusion qu’au fond, ce n’était pas la déception qui la faisait réagir de cette façon, mais la possibilité que l’assurance qu’elle démontrait jusqu’alors ne soit que de l’esbroufe. Jo la pratiquait bien assez pour se dire que sous sa grande gueule, June cachait les doutes d’une jeune femme fragile, sortant fraîchement d’une cure de désintox. Elle se promit de ne pas lui laisser l’occasion supplémentaire de douter de ce qu’elle avait en elle parce que les faits étaient là : elle n’était pas une petite nouvelle dans le game, elle savait comment ça se passait, il fallait seulement qu’elle retrouve le sens de la notice qu’on lui avait fourré sous le nez et qu’elle se figure des codes pour prouver au monde qu’elle n’était pas finie, qu’elle en avait encore dans le bide. Elle ne vivait pas dans le trip de la solidarité féminine à tout prix Jo, mais elle avait assez de considération pour les femmes fortes pour ne pas vouloir les voir se vautrer devant elle. June avait seulement besoin de retrouver le droit chemin, et elle l’aiderait — peut-être parce que ça la rassurait de voir qu’une femme comme elle pouvait réussir sans trop laisser ses envies de côté, que le succès était autorisé à la détermination brute de femmes qui ne se comportaient pas comme des choses fragiles, dans tous les cas l’importance qu’avait son album à ses yeux mettait sa loyauté au service de ceux qui tenaient à faire partie de l’aventure et June était de ceux-là.
Dans la voiture, la partie reprit une fois que June descendit d’un étage. Jo se cala sur le feu vert qu’elle lui donna, n’attendit pas qu’elle change d’avis pour lancer sa partie de la démo qu’elle avait dans son téléphone et haussa nonchalamment les épaules quand elle s’excusa "Pas de ça, ça va." Un moyen un peu maladroit de lui dire de se les garder ses excuses. Elles n’avaient pas le luxe de pouvoir se faire des courbettes, et alors que leur voiture continuait leur trajet jusqu’à l’aéroport, Jo se focalisa sur ce lui dit la jeune femme pendant qu’Hicham les regardait alternativement en suivant leur fil de pensées qu’elles échangèrent sans se soucier d’autre chose que de prouver que c’était réparable, que cette chanson qu’elles avaient entre les mains n’étaient pas un objet obsolète à remiser dans le cimetière des démos jamais sorties. Elle prit une inspiration Jo, s’humecta les lèvres du bout de la langue en essayant de trouver un bon moyen de dire ce qu’elle avait à dire sans trop s’encombrer de faire dans la dentelle. June devait s’en foutre au fond de ses histoires, c’est ce qui débloqua ce qu’elle lui donna sans plus de cérémonie "Ouais, dans le fond c’est plus une mise en garde qu’un message subliminal à faire passer." Très brièvement, elle serra les lèvres, et se recala dans son siège en cherchant dans son expérience pour valoriser les idées qu’elles avaient et en faire une base saine pour aider June à écrire sa partie. Elle glissa la mèche volontairement échappée de sa queue de cheval derrière son oreille, et puis enchaîna au rythme qui était le sien quand elle avait un point à soulever. Rapidement donc, Jo avait le débit de parole traînant et rauque de façon usuelle, aimant surjouer la sensualité d’une voix de velours, mais quand elle était survoltée, c’était presque difficile de la suivre tant elle savait débiter presque sans respirer "C’est le thème de la chanson, d’aller dans le vif quand t’as un truc à dire, et pas chercher des moyens détournés de faire plier quelqu’un à ta requête. On écrit pas pour des ados, on écrit pour des jeunes adultes de notre âge, on a pas besoin d’édulcorer quoi que ce soit pour que ça choque pas papa et maman. Le parler-vrai, c’est l’élément essentiel de cette chanson, autant étirer au maximum ce parti pris et aller jusqu’au bout de l’idée qu’être honnête sur ses intentions, c’est quand même mieux que de raconter des craques à la personne que tu veux te taper." Elle haussa les épaules, passant sur l’idée qu’elle en connaissait un rayon sur la question, et chercha le regard de June en tournant la tête de son côté pour mieux continuer sur sa lancée "Tu me veux ? OK, dis-le. Pas besoin de me faire des cadeaux, ou de me traiter comme un objet à faire briller pour valoriser l’idée que tu veux me serrer… d’ailleurs le plus vite sera le mieux, parce que je suis pas patiente et que je me lasse vite." Elle entendit Hicham ricaner légèrement et lever les mains devant lui quand elle tourna la tête pour lui accorder un regard qui, s’il n’était pas venimeux, n’était franchement pas amène non plus dans la seconde.  you can find me under the lights, diamonds under my eyes, turn the rhythm up, don't you wanna just come along for the ride? oh my outfit so tight, you can see my heartbeat tonight, i can take the heat, baby, best believe that's the moment i shine.
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|  | | | (#) Sujet: Re: (june #2) tell me what's your motive  | |
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|  | | | (june #2) tell me what's your motive | |
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