| (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink | |
| Auteur | Message |
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 ÂGE : 39 ans (03.10.1983) SURNOM : nico, nick ou encore nicky, tu laisses les gens raccourcir ton prénom comme ils le souhaitent STATUT : éternel célibataire, tu le diras, tu ne caches rien de bien passionnant et le reste c'est pour les paroles des chansons MÉTIER : membre de nicky & the saints, groupe de music indie rock, dont tu es le guitariste, chanteur et parolier; le groupe peut souvent être aperçu au Fortitude Music Hall dans la ville, le premier album vient d'envahir les plateformes de streaming et un contrat avec d'un label indépendant au Royaume-Uni vient de pointer le bout de son nez LOGEMENT : tu habites dans toowong, au 422, carmody road, avec ta grand-mère, Esmée POSTS : 710 POINTS : 440 TW IN RP : anxiété, ptsd, mention de violences (physiques et verbales) & d'abus sur mineur TW IRL : racisme, homophobie, transphobie, relations sexuelles non-consenties et/ou explicites (le suggéré et la métaphore filée sont mes meilleurs amis) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : #soft • fils unique, ta grand-mère Esmée est ta seule et unique famille à tes yeux et tu ne réponds que très rarement aux questions qui concernent tes parents • tu as la musique dans les veines, tu joues de plusieurs instruments avec une facilité certaine (piano, violon, guitare, basse, clarinette) • toujours et uniquement aperçu en pulls • romantique dans l'âme, tes relations passées se comptent avec les doigts d'une seule main • grand timide • propriétaire d'un van qui a connu de meilleurs jours et qui sert pendant les déplacements • compositeur de tes propres textes et mélodies • CODE COULEUR : #0033ff RPs EN COURS :
harter • half-moon eyes, bad surprise, Did you realize out of time? she was on your mind with some dickhead guy that you saw that night, but you were on somethin' it was one drink after another, fuckin' politics and gender roles, and you're not sure and I don't know, got swept away in the gray...
• casey#1 • june • jo#16 • mila#1 • jordan#3 •
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dahlia (scénario libre) • But I'm a fire, and I'll keep your brittle heart warm, if your cascade ocean wave blues come, all these people think love's for show, but I would die for you in secret, the devil's in the details, but you got a friend in me; would it be enough if I could never give you peace?
vance (scénario libre) • I was born on the wrong side of the train tracks, always born on the wrong side of the train tracks, lay me on my side or hold me up to the light, yeah, I was burned by the cold kiss of a vampire, I was promised the keys to an empire...
RPs TERMINÉS : (fiche de liens)
mavis#4 AVATAR : andrew garfield CRÉDITS : (av) decrescxndo ; (gifs profils & sign) josshelps, ssoveia, sacreddonkey/tumblr & cordyceps-brain/tumblr DC : edge price • lara pearson • abel reyes • laurie wright • heath wilson PSEUDO : malibu INSCRIT LE : 08/02/2020   | (#) Sujet: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Lun 14 Aoû 2023 - 21:06 | |
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| ≈ ≈ ≈ {you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink} crédit/(josshelps) ✰ w/ @June Coleman-Pope "Vous êtes prêts pour continuer la visite ?" Le sourire que Jules, l'assistante et dans un sens la baby-sitter, dépêchée en express par le label est rayonnant. Trop rayonnant pour être réel que tu te dis la seconde suivante, mais tu ne peux pas vraiment lui reprocher de faire son métier. Surtout quand elle a été plus qu'efficace et depuis que Vance et toi vous avez atterri au Royaume-Uni. Tu salues sa patience pour répondre à toutes vos questions, surtout celles de Vance qui sont bien clichées (oui, il pleut bien tout le temps, et oui, tous les londoniens sont souvent pressés mais toujours prêts à donner le chemin à quelqu'un de perdu) et pour s'occuper de vous de manière générale. Non pas que cela demande beaucoup d'investissement. Le vol de Brisbane à Londres a été long, plus long que ce que tu ne pensais et si Vance a passé une grande partie du trajet à dormir sur ton épaule, surtout quand vous avez dû changer d'avion, toi tu as lu, planché sur quelques nouvelles chansons et tu as envoyé des messages à Esmée via WhatsApp dès que tu avais accès à du réseau. Ta grand-mère a eu le droit à des photos de ton siège et de tes repas pris dans l'avion ainsi qu'une photo du Starbucks de l'aéroport de Dubaï où vous avez dû faire un arrêt. Une manière à toi de la tenir au courant mais également de te rassurer, car tu penses toujours à elle et aux milliers de kilomètres qui vous séparent. Mais tu mentirais en disant que tu n'es pas impressionné, tu es en réalité très content d'avoir sauté le pas. L'air à Londres te semble un peu différent, le temps gris ne te dérange pas et il ne t'a fallu que d'un regard pour réaliser que ton style vestimentaire se fond bien de la masse et que si ce n'était pour l'accent... tu pourrais passer pour un Londonien de pure souche. Le décalage horaire n'a pas été aussi brutal que cela et Jules vous a conduit à votre hôtel dans Mayfair rapidement, avant de décréter qu'elle viendrait vous chercher dans quelques heures. La première soirée a été passée dans un bar de Brixton, pour voir un autre artiste du label, pas du tout votre style, plus du hip hop et du rap, mais l'atmosphère y a été électrique et Jules vous a conseillé de vous habituer à tout ceci, Ninja Tune s'occupe généralement bien de ses artistes. Vous êtes dans les locaux aujourd'hui, en plein Soho et vous suivez la jeune femme pendant les prochaines minutes. Beaucoup de mains se serrent, tu peux montrer la guitare que tu as au dos et quand il est temps de s'asseoir et de parler musique, ta timidité latente part au placard. Cela retarde un peu la visite, mais tant pis, tu es certainement au bon endroit et même Vance va automatiquement s'installer devant une batterie. De très bonne qualité qu'il te dit, avant de se plaindre car lui ne peut pas vraiment transporter son instrument facilement, pas comme toi. "Techniquement, on aurait pu s'arranger, tu le sais, ça ?" Vance ne t'écoute déjà plus, fasciné par l'instrument, déjà à la recherche des baguettes qui vont avec la batterie. "Je crois qu'on l'a perdu pour un petit moment." Que tu fais remarquer à Jules et elle lui jette un regard, au batteur, avant de légèrement rire. "Pas grave, on continue sans lui, il pourra toujours nous rattraper... par contre désolé, j'ai gardé le plus barbant vers la fin." Qu'elle te dit, avant de te guider vers le dernier étage. Pas de studio d'enregistrements et autres instruments ou pièce où on peut croiser des artistes, qu'elle te dit, mais des salles de réunions et toute la partie administrative du label... C'est un peu barbant mais cela reste tout de même un business. Tu hoches la tête, conscient que tout ne se limite pas à la scène et en réalité, ça te rassure. Cela ne fait que prouver la légitimité du label, certes indépendant, mais qui est là pour rester. Tu n'as encore rien signé, mais ça aide tes angoisses. "On vous attend pour quatorze heures, on a un peu de temps si tu veux aller chercher quelque chose à man..." Jules ne finit pas sa phrase, interrompue par une série de voix qui portent. Tu as assisté et même participé à beaucoup de disputes pour savoir de quoi il s'agit et tu fronces les sourcils. Ton regard bleuté se dirige vers la source du bruit et tu ne sursautes même pas quand une porte se claque, et qu'une autre personne est dans le couloir avec vous. "Hey June... ça va ?" Jules, qui connait visiblement la demoiselle, s'adresse à elle avec un sourire qui se veut engageant. Pendant que tu regardes la scène en te disant que vu l'expression de ladite June, ce n'est peut-être pas la meilleure idée du monde.

 Got a little rhythm, a rhythm, a rhythm, that pit-apats through my brain, so darn persistent, the day isn't distant, when it'll drive me insane...
Dernière édition par Nicholas Hurley le Mar 5 Sep 2023 - 13:04, édité 1 fois |
|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 67 POINTS : 320 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Ven 25 Aoû 2023 - 21:51 | |
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you haven't seen nothing 'till you've seen an English girl drink @Nicholas Hurley - août 2023
Tout part d’un coup de tête, à la suite d’une nouvelle réunion par écrans interposés qui vire au conflit en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Conclusion courante ces dernières semaines, les divergences d’opinions ne font que croître concernant le fil directeur souhaité pour le futur album qui, en conséquence, ne reste toujours qu’à l’état d’idée immatérielle, malgré les assurances qu’elle peut donner dans l’espoir de réduire un minimum la pression imposée. June, c’est surtout sa frustration qu’elle laisse animer ses paroles, nourrie par l’incapacité d’écrire la moindre mesure pouvant convenir au sujet qu’on tente de lui forcer en continu. Ils voudraient un disque empreint de regrets concernant ses déboires, sorte de lettre d’excuse en bonne et due forme, exercice aux antipodes de sa personnalité. Elle a essayé, en toute bonne foi, consciente qu’elle a merdé. Des semaines à tenter de mettre sur pied ne serait-ce qu’un morceau, même imparfait, sans jamais y parvenir. Jusqu’à se rendre compte, au travers de diverses interactions, que le problème ne venait pas forcément d’elle, mais plutôt du sujet décidé comme source pour canaliser la créativité. Depuis cette pseudo-prise de conscience, elle cherche à plaider sa cause, avec une finesse de moins et moins prononcées, afin de s’octroyer une liberté qu’ils semblent réticents à lui accorder. La distance ne joue pas en sa faveur, difficile d’imposer ses revendications dans des réunions où personne ne s’entend vraiment, haussant la voix dans des micros saturés avant de faire comme si rien n’avait eu lieu à peine les écrans coupés. Raison pour laquelle, avec une organisation bancale à la dernière seconde, elle se retrouve dans le premier avion à destination de Londres. Débarquée en pleine nuit à la suite du vol interminable, elle profite du trajet jusqu’à l’appartement qu’elle possède toujours dans l’arrondissement d’Islington afin d’annoncer aux personnes concernées sa présence dans les locaux du label dès la première heure. Elle veut prendre le contrôle de la situation, sans leur laisser suffisamment de temps pour s’organiser proprement. À peine de quoi s’offrir un sommeil famélique. De toute façon, il y a déjà quelques années qu’elle n’est plus en bon terme avec Morphée.
Le silence, regard fixé sur l’écran de l’ascenseur. Elle a moins d’appréhensions à monter sur scène devant des milliers de personnes que de voir les numéros des étages défiler, la rapprochant irrémédiablement de la confrontation à venir. Quelques sourires distribués aux différentes têtes qu’elle reconnaît sur le chemin, sans pour autant décrocher le moindre mot avant de se poser dans l’une des salles de réunion, son avocat sur les talons. On reconnaît l’importance du moment à la ponctualité qui anime les participants, il ne faut qu’une poignée de secondes avant que l’ensemble des personnes conviées ne soient présentes et, lorsque la porte se referme, les hostilités se lancent. De manière indirecte, dans un premier temps, les phrases pleines de non-dits, balancées avec une neutralité refrénant les hurlements. Quand les échanges ciblent uniquement la partie communication, les compromis sont facilement trouvés, détaillant la marche à suivre concernant les prochains mois et les événements déjà prévus. La tension devient palpable une fois qu’ils commencent à évoquer le fil conducteur de l’album et le contrat qui l’entoure, chacun campe sur ses positions, avançant ses arguments, attendant que l’autre partie fasse des concessions ou, à défaut, entrouvre la voie à une attaque qui ne laissera plus aucun choix. June, elle a les pupilles plantées dans celles d’Ashton, et inversement. Elle l’artiste, lui un des label managers, ils n’ont jamais pu s’encadrer, ni professionnellement, ni personnellement, et ça, depuis les premiers instants de l’Anglaise au sein du label. Autant dire que cela n’arrange pas la situation actuelle. Jusqu’à maintenant, elle avait son frangin afin d’endosser le rôle du tampon, mais la brouille fraternelle la laisse livrée à elle-même. Le ton monte, sans surprise, sa voix s’élève en premier, pas très douée pour gérer les conflits d’une autre manière, au grand dam de son avocat, cherchant tant bien que mal à calmer les débats. Lorsqu’il invoque une pause, avec l’objectif de laisser chacun souffler et redescendre en tension, elle quitte la salle sans demander son reste, poussant une dernière gueulante pour la forme, claquant la porte derrière elle afin de rajouter au drama.
Les nerfs à fleur de peau, elle plonge la main dans son sac afin d’y fouiller frénétiquement, jusqu’à en sortir un paquet en carton, orné d’une photo dégueulasse sous laquelle figure l’inscription fumer tue. June, elle lit plutôt en cas d’urgence, dernier recours dans ces moments où elle a besoin d’aide pour enfumer l’esprit et esquiver une envie bien plus nocive, plaçant une clope entre ses lèvres. Interrompue avant de pouvoir l’allumer et se polluer les poumons, elle est prête à lâcher toute sa frustration sur la première personne qui lui indiquerait d’aller dehors pour fumer. Il n’en est rien, simplement Jules qui, passant dans le coin au même moment, s’enquiert de son état. Les traits de son visage suffisent amplement comme réponse. « C’est dans tes prérogatives de m’aider si j’ai besoin d’me débarrasser d’un corps ? » Il n’y a pas un semblant d’humour dans les paroles, prononcées comme une véritable question au sérieux impassible. « Juste pour savoir, histoire de m’organiser. J’vais sûrement buter Ashton avant la fin de la journée. » Un moyen direct de régler une bonne partie de ses problèmes, qui ne demanderait pas tant d’efforts, ayant déjà imaginé une diversité de scénarios affolante afin de mettre en scène la mort type. Jules ne répond pas, préférant afficher ce même sourire que tout le monde lui connaît, consciente qu’il ne vaut mieux pas s’embarquer là-dedans. « On était sur le point d’aller chercher quelque chose à manger, tu veux te joindre à nous ? » June jette un coup d’œil à sa montre, surprise de l’heure qu’elle ne pensait pas aussi avancée. « Pourquoi pas. » Parce qu’elle ne refuse jamais de la nourriture et qu’elle a besoin d’un changement d’ambiance avant de retourner dans la fosse aux lions. « Mais on commande. » Impossible de sortir dans les rues de Londres sans se faire reconnaître au bout de quelques minutes. La cigarette tourne entre ses doigts, toujours éteinte, alors qu’elle reporte finalement son attention sur la personne accompagnant la jeune femme. « T’as enfin le droit à un assistant ? Ou c’est encore du baby-sitting ? » Elle connaît déjà la réponse, Jules étant collée d’office à s’occuper de divers artistes du label, il s’agit surtout d’une façon bancale de lui demander de faire les présentations. « Nicholas, June. June, Nicholas. Il est là pour visiter, voir les avantages et comment on pourrait l’accompagner en signant ici. D’ailleurs, il débarque tout juste de Brisbane, c’est pas là où tu résides en ce moment ? » Comme quoi, le monde de la musique n’est pas si grand. Elle hoche la tête, en signe d’affirmation. « Vous voulez manger quoi ? » « Surprends-nous. » Qu’elle balance du tac au tac, la flemme de se prendre la tête à choisir d’elle-même. « Je vais prévenir Nat à l’accueil, qu’elle refoule pas le livreur. On se retrouve au studio 3, Vance doit toujours s’y trouver. Je vous rejoins là-bas. » Un dernier regard vers Nicholas, toujours accompagné d’un sourire et elle tourne les talons. « J’suppose que ça fait de moi ta baby-sitter pour les prochaines minutes. T’as intérêt à filer droit. » Un simple geste de la tête afin de lui signifier de la suivre alors qu’elle prend la direction de l’endroit indiqué par Jules. « C’est quoi ton histoire, Nicholas ? Y’a pas de label qui veut de toi en Australie ? » Tout en délicatesse.
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|  | |  ÂGE : 39 ans (03.10.1983) SURNOM : nico, nick ou encore nicky, tu laisses les gens raccourcir ton prénom comme ils le souhaitent STATUT : éternel célibataire, tu le diras, tu ne caches rien de bien passionnant et le reste c'est pour les paroles des chansons MÉTIER : membre de nicky & the saints, groupe de music indie rock, dont tu es le guitariste, chanteur et parolier; le groupe peut souvent être aperçu au Fortitude Music Hall dans la ville, le premier album vient d'envahir les plateformes de streaming et un contrat avec d'un label indépendant au Royaume-Uni vient de pointer le bout de son nez LOGEMENT : tu habites dans toowong, au 422, carmody road, avec ta grand-mère, Esmée POSTS : 710 POINTS : 440 TW IN RP : anxiété, ptsd, mention de violences (physiques et verbales) & d'abus sur mineur TW IRL : racisme, homophobie, transphobie, relations sexuelles non-consenties et/ou explicites (le suggéré et la métaphore filée sont mes meilleurs amis) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : #soft • fils unique, ta grand-mère Esmée est ta seule et unique famille à tes yeux et tu ne réponds que très rarement aux questions qui concernent tes parents • tu as la musique dans les veines, tu joues de plusieurs instruments avec une facilité certaine (piano, violon, guitare, basse, clarinette) • toujours et uniquement aperçu en pulls • romantique dans l'âme, tes relations passées se comptent avec les doigts d'une seule main • grand timide • propriétaire d'un van qui a connu de meilleurs jours et qui sert pendant les déplacements • compositeur de tes propres textes et mélodies • CODE COULEUR : #0033ff RPs EN COURS :
harter • half-moon eyes, bad surprise, Did you realize out of time? she was on your mind with some dickhead guy that you saw that night, but you were on somethin' it was one drink after another, fuckin' politics and gender roles, and you're not sure and I don't know, got swept away in the gray...
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dahlia (scénario libre) • But I'm a fire, and I'll keep your brittle heart warm, if your cascade ocean wave blues come, all these people think love's for show, but I would die for you in secret, the devil's in the details, but you got a friend in me; would it be enough if I could never give you peace?
vance (scénario libre) • I was born on the wrong side of the train tracks, always born on the wrong side of the train tracks, lay me on my side or hold me up to the light, yeah, I was burned by the cold kiss of a vampire, I was promised the keys to an empire...
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mavis#4 AVATAR : andrew garfield CRÉDITS : (av) decrescxndo ; (gifs profils & sign) josshelps, ssoveia, sacreddonkey/tumblr & cordyceps-brain/tumblr DC : edge price • lara pearson • abel reyes • laurie wright • heath wilson PSEUDO : malibu INSCRIT LE : 08/02/2020   | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Mer 30 Aoû 2023 - 15:16 | |
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| ≈ ≈ ≈ {you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink} crédit/(josshelps) ✰ w/ @June Coleman-Pope Tu es doué pour t'écraser. Tu l'as toujours été, toujours, pour passer en second plan, pour ne pas faire de bruit, pour ne pas prendre de place. Tellement qu'on t'oublie la plupart du temps ou alors on se demande si ce n'est pas une existence bien solitaire. Cela ne l'est pas, les gens confondent la solitude avec l'isolation, ce que tu n'es pas, isolé, tu es bien accompagné et tu as tout un système bien en place pour ne pas te retrouver seul avec les pires pensées. Il y a Esmée, il y a Vance, Dahlia, même Jo d'une certaine façon. Et la musique, les accords des guitares, et puis quand on est créatif, on n'est jamais vraiment seul... non ? Ouais, tu aimes bien voir les choses de cette façon-là, cela a aussi des avantages de ne pas faire de vagues et d'être discret à souhait. Cela te permet de voir, par exemple, que Jules et ... June du coup, se connaissent bien et que June l'apprécie assez pour répondre, être un peu cynique mais répondre quand même. June a toujours une cigarette à la main, ce qu'elle allait sûrement faire sans son interruption, et plus que d'être énervée, elle parait vraiment fatiguée. Tout ça, ce sont des détails que tu remarques alors que la conversation se passe et seulement quand les présentations sont faites, tu fais un petit mouvement de la main pour saluer June. "Hey." Et tu hausses les épaules alors qu'il faut choisir un menu, tu n'es pas difficile, Vance ne l'est pas non plus et quelque chose te dit que la question ne t'était pas vraiment adressée. Tu l'as compris tout seul, et ça ne te surprend pas que Jules s'éloigne déjà, tu es là pour faire des rencontres visiblement et June est une artiste du label... alors qui mieux qu'elle pour chanter les louanges du label et te persuader de passer le cap ? Tu la suis déjà, sans son signe de tête, sans avoir besoin qu'on te le dise, c'est une habitude qui vient avec des années de pratique. "Je suis bon pour suivre les ordres, il n'y a pas encore eu de plaintes." Que tu marmonnes, te retenant de sourire parce que si tu es très drôle, enfin, tu te trouves très drôle et cela sans avoir l'avis de qui que ce soit. June est... directe, pas nouveau pour toi, tu as l'habitude de côtoyer une autre brune tout aussi directe, alors oui, tu es dans un territoire plus que familier. Plutôt que de répondre à sa question, tu fouilles dans les poches de ta veste et tu lui tends le briquet que tu trouves la seconde suivante. "Tiens au fait." Non, tu ne fumes pas, tu aimes trop tes poumons pour cela, cependant, il ne suffit que d'une dizaines de minute dans ce milieu pour réaliser que c'est un vice que beaucoup de musiciens partage. Et Vance aime bien fumer de temps en temps, il croit que cela le rend important, et tu aimes bien être préparé, cela a toujours été le cas, donc que June se serve de ton briquet. "Et, June, je pourrais te demander quelle est la tienne mais quelque chose me dit que tu commences à en avoir marre de la raconter, enfin je crois, je peux me tromper." Tu peux totalement te tromper, c'est ce qu'elle dégage, tu ne dis pas que tu es un expert pour lire les gens ou que tu la reconnais, c'est juste dans sa façon de se tenir. Et de faire dériver la conversation sur toi plutôt que sur elle. June et la porte qu'elle a claquée, tu pourrais lui demander pourquoi et si les choses se passent mal, ça pourrait te donner un argument de plus pour ne pas te lancer dans tout ça. Et rester dans ta zone de confort. Mais ce serait un peu déplacé, vous venez tout juste de vous rencontrer après tout. Donc tu hausses les épaules l'instant suivant et tu réponds enfin à sa question."Visiblement, l'indie rock marche mieux ainsi, ça accompagne bien le thé et la pluie... enfin c'est ce qu'on m'a dit." Et le fait de venir ailleurs vous rend un peu plus mystérieux, ce ne sont pas tes mots, mais ceux d'un des chargés de marketing que tu as déjà rencontré. Tu ne vois pas en quoi être Australien te rend mystérieux, mais là encore, tu n'as pas posé la question. Il faut vous vendre sous un bon angle visiblement, parce que ce n'est pas juste à propos de la musique et il vous faut quelque chose de plus. Tu n'as jamais compris pourquoi, mais tu as décidé de laisser tes protestations de côté pour le moment, il faudrait que tu acceptes que ce n'est pas juste à propos de la musique un jour. "Je suis là avec l'autre membre de mon groupe, Vance, le batteur du coup." Que tu expliques, pour ne pas qu'elle soit confuse et comprenne qui vous allez retrouver. Vance est mieux avec les mots et il pourra lui faire un résumé fun et léger de votre parcours et qui vous êtes. "T'es aussi sur Brisbane en ce moment ? Ils font exprès du coup ? De nous rassembler au même endroit je veux dire."

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|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 67 POINTS : 320 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Mar 5 Sep 2023 - 14:46 | |
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you haven't seen nothing 'till you've seen an English girl drink @Nicholas Hurley - août 2023
Alors qu’ils amorcent la marche en direction du studio indiqué par Jules, l’attention vacille un instant, lorsque la porte s’ouvre de nouveau, bien plus calmement qu’au moment où June s’est furieusement échappée de la salle. En sort maintenant le reste des participants, les uns après les autres, partant vaquer à leurs occupations respectives durant l’armistice censé offrir un minimum de répit avant la reprise des hostilités. Elle croise quelques regards, ses paupières se froissent en dévisageant Ashton quand leurs pupilles s’accrochent durant un moment fugace, réaction instinctive face à l’aversion qu’elle éprouve envers le type. Du défilé de costumes quittant temporairement la réunion, seul son avocat emprunte le chemin en direction de June, la rattrapant puis s’arrêtant à ses côtés afin de lui lâcher quelques mots d’une voix à peine étouffée. « Reprends-toi, t’as une heure. On se retrouve ici pour mettre à plat ce que tu veux avant d’y retourner. » Pas de réponse, elle se contente simplement d’acquiescer de manière peu convaincue avant que l’intéressé ne quitte les lieux à son tour. Retrouver son calme, plus facile à dire qu’à faire quand on sait que ses nerfs ne demandent qu’à s’enflammer en présence de la moindre étincelle. Le tube de tabac continue de s’agiter nerveusement entre ses doigts, jusqu’à ce que Nicholas lui procure de quoi l’allumer. Elle se saisit du briquet, allumant la cigarette dans la foulée, tirant une première bouffée, marquant quelques secondes avant de relâcher la fumée dans l’air. « T’as tout à fait le droit de demander, bien que le minimum de politesse serait d’abord de répondre à la question. » C’est elle qui parle de politesse, après ses invectives des dernières heures, une clope à la main répandant son odeur de tabac cramé dans le couloir, alors qu’elle retourne le briquet à son propriétaire sans le moindre mot de remerciement. La mauvaise foi dans toute sa splendeur, nourrie par la frustration. « Mais dans l’idée, t’as pas tort. T’inquiètes pas, y’a bien quelqu’un qui se fera un plaisir de te donner tous les détails si t’y tiens vraiment. » Il vient de là, le problème, c’est bien trop souvent qu’on la raconte pour elle, son histoire. Au fond, elle est prête à l’évoquer sans aucune gêne, portant ses erreurs comme des expériences justifiant la personne qu’elle est maintenant. Ce qui l’emmerde le plus, c’est de devoir constamment jongler avec les approximations et les hyperboles usitées afin de dramatiser ses conneries dans la presse. L’inverse l’énerve tout autant, source des engueulades ayant rythmées la matinée avec cette politique du label de baser toute sa communication et l’univers du prochain album sur une rédemption forcée, à faire croire qu’elle accumule les regrets alors qu’il n’en est rien. Finalement, tout ce qu’elle veut, c’est qu’on lui foute la paix et qu’on lui laisse raconter ses états d’âme comme elle les ressent, et non comme un tas de pontes en costumes et de pseudo-journalistes se les imaginent. À croire qu’elle s’est complétement gourée de business, même en restant dans un label indépendant plutôt qu’une grosse maison de disques. « En même temps, c’est fait pour accompagner le pays duquel le style vient. » Elle n’a pas une expertise précise dans les différents styles de musique, encore moins dans ceux qu’elle n’écoute pas régulièrement, mais quand on touche à l’héritage du pays, les racines ressortent rapidement. « Ça explique la guitare dans le dos, je pensais que c’était juste pour le style. Ou alors c’est pour pousser la chansonnette devant les midinettes dès que l’occasion se présente ? » Voilà la vision qu’elle se fait de son interlocuteur sans en savoir davantage. Elle passe devant l’ascenseur sans y prêter attention, empruntant plutôt les escaliers afin de rejoindre l’étage abritant les différents studios du label, tirant sur sa cigarette par intermittence. « Depuis le début d’année. J’avais besoin de calme, partir de l’autre côté du globe m’a semblé être une bonne idée. » Le principe fonctionne, plus ou moins, l’isolement ayant porté ses fruits, loin du public, loin des embrouilles, le temps de reprendre la main sur ses démons, reste à voir si le tout tiendra sur la distance lorsqu’il faudra retourner sur le devant de la scène. « Je doute qu’ils en aient quelque chose à foutre qu’on crèche tous les deux à Brisbane. C’est rien de plus qu’une coïncidence, j’étais même pas censée être à Londres cette semaine. » Voyage improvisé à l’arrache, encore la veille, personne ne s’attendait à la voir arpenter les couloirs du label. Certainement qu’ils en joueront, de cette présence des deux artistes dans la même ville australienne, d’une façon ou d’une autre, mais en attendant, leur rencontre londonienne se doit au hasard. Lorsqu’ils arrivent au niveau des studios, elle avance jusqu’à rejoindre la porte arborant le numéro trois, comme indiqué. Son regard s’accroche, dans un réflexe naturel, sur le panneau en led trônant au-dessus de l’encadrement, vérifiant que le recording ne soit pas allumé avant de pénétrer dans la pièce. Ils sont accueillis par des percussions de batterie. « Je suppose qu’on a trouvé Vance ? » L’irruption ne semble pas perturber le batteur, continuant de s’agiter sur l’instrument. « Y en a au moins un qui vit sa meilleure vie. » Elle tire une dernière latte avant de se débarrasser du mégot dans une poubelle environnante.
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|  | |  ÂGE : 39 ans (03.10.1983) SURNOM : nico, nick ou encore nicky, tu laisses les gens raccourcir ton prénom comme ils le souhaitent STATUT : éternel célibataire, tu le diras, tu ne caches rien de bien passionnant et le reste c'est pour les paroles des chansons MÉTIER : membre de nicky & the saints, groupe de music indie rock, dont tu es le guitariste, chanteur et parolier; le groupe peut souvent être aperçu au Fortitude Music Hall dans la ville, le premier album vient d'envahir les plateformes de streaming et un contrat avec d'un label indépendant au Royaume-Uni vient de pointer le bout de son nez LOGEMENT : tu habites dans toowong, au 422, carmody road, avec ta grand-mère, Esmée POSTS : 710 POINTS : 440 TW IN RP : anxiété, ptsd, mention de violences (physiques et verbales) & d'abus sur mineur TW IRL : racisme, homophobie, transphobie, relations sexuelles non-consenties et/ou explicites (le suggéré et la métaphore filée sont mes meilleurs amis) GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : #soft • fils unique, ta grand-mère Esmée est ta seule et unique famille à tes yeux et tu ne réponds que très rarement aux questions qui concernent tes parents • tu as la musique dans les veines, tu joues de plusieurs instruments avec une facilité certaine (piano, violon, guitare, basse, clarinette) • toujours et uniquement aperçu en pulls • romantique dans l'âme, tes relations passées se comptent avec les doigts d'une seule main • grand timide • propriétaire d'un van qui a connu de meilleurs jours et qui sert pendant les déplacements • compositeur de tes propres textes et mélodies • CODE COULEUR : #0033ff RPs EN COURS :
harter • half-moon eyes, bad surprise, Did you realize out of time? she was on your mind with some dickhead guy that you saw that night, but you were on somethin' it was one drink after another, fuckin' politics and gender roles, and you're not sure and I don't know, got swept away in the gray...
• casey#1 • june • jo#16 • mila#1 • jordan#3 •
RPs EN ATTENTE :
dahlia (scénario libre) • But I'm a fire, and I'll keep your brittle heart warm, if your cascade ocean wave blues come, all these people think love's for show, but I would die for you in secret, the devil's in the details, but you got a friend in me; would it be enough if I could never give you peace?
vance (scénario libre) • I was born on the wrong side of the train tracks, always born on the wrong side of the train tracks, lay me on my side or hold me up to the light, yeah, I was burned by the cold kiss of a vampire, I was promised the keys to an empire...
RPs TERMINÉS : (fiche de liens)
mavis#4 AVATAR : andrew garfield CRÉDITS : (av) decrescxndo ; (gifs profils & sign) josshelps, ssoveia, sacreddonkey/tumblr & cordyceps-brain/tumblr DC : edge price • lara pearson • abel reyes • laurie wright • heath wilson PSEUDO : malibu INSCRIT LE : 08/02/2020   | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Lun 11 Sep 2023 - 19:29 | |
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| ≈ ≈ ≈ {you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink} crédit/(josshelps) ✰ w/ @June Coleman-Pope Il y a du monde dans le studio, c'est la première chose que tu peux dire et tu te contentes de suivre June. Tu ne fais aucun commentaire quand une autre porte s'ouvre et que quelqu'un s'adresse à elle. L'ordre, car cela en est un, est plutôt froid et même si cela se veut amical, tu dois regarder la semelle de tes Dr. Martens, encore une fois, pour ne pas froncer les sourcils. Et te mêler de ce qui ne te regarde pas, vraiment pas pour le coup, tu n'as pas encore signé, tu es juste en visite ici, il ne faudrait pas que tu l'oublies après tout, n'est-ce pas ? June attrape quand même ton briquet et elle te reprend, c'est assez pour te faire sourire, prouvant qu'il y a bien quelque chose qui cloche chez toi, avant que tu ne répondes. "Désolé, tu as raison, tu veux la version courte ou la version longue ?" Dans les deux cas, ce n'est pas bien intéressant, voyage ou non, tu n'as jamais su te vendre et ça ne change pas en fait. Tu es toujours sur les talons de la chanteuse alors qu'elle t'en dit un peu plus sur elle. "Je ne vais pas aller poser la question dans ton dos si c'est ce que tu essayes de dire, je sais à quel point les on-dits peuvent être... chiants en fait." Tu as vu de quelle façon la presse s'intéresse à tout ce que Jo fait, de près comme de loin, tu sais à quel point cela peut être à la fois envahissant et déstabilisant. On t'accusera d'être trop naïf et de ne penser que cela devrait être à propos de la musique et juste la musique, cela ne fonctionne pas comme cela en fait. June ouvre la porte de la cage d'escalier, commentant déjà sur ton style et là encore, c'est tellement familier, cette façon de te charrier un peu et toujours, de te questionner, que tu ne peux que répondre, comme tu l'aurais fait avec une autre brune si elle était présente. "Est-ce qu'il y en a qui essayent encore de draguer à coup de chansons, en 2023 ? C'est pas genre super pathétique et prévisible ? Nan, ne t'inquiète pas, j'ai une superbe personnalité." Ou pas, mais ça, c'est réservé aux chansons. June te répond, te dit être sur Brisbane depuis plusieurs mois et en réalité, elle n'aurait même pas dû être là."Ah." C'est ta seule réponse, tu as l'impression d'avoir gratté à une porte qui n'aurait jamais dû être ouverte, ou d'avoir mis le doigt sur le cœur du problème. Et toujours, ton but est de ne pas déranger, de ne pas faire de vagues, mais même toi, tu sens que June en a beaucoup sur les épaules et qu'elle risque de vaciller à un moment ou un autre. Même toi. Tu ne commentes pas à ce sujet, ton regard se porte vers Vance, et le nouveau rythme qu'il semble avoir trouvé avec cet instrument. "Yep, Vance mais... on va le laisser tranquille, il est dans sa bulle." Et il ne vaut mieux pas le déranger, tu tires une chaise à la place, vous devez toujours attendre Jules dans tous les cas et tu te tournes vers June l'instant suivant, lui tendant la main."Nicholas ou Nicky, tu raccourcis mon prénom comme tu veux." Voilà qui est mieux pour faire les présentations, beaucoup mieux, sans aucun intermédiaire, sans aucune pression et sans se dire que tu fais quelque chose de mal."Moi je suis né sur le territoire australien et j'ai commencé à poster ma musique en ligne récemment, ça a plu et ils ont été les premiers à nous contacter. On m'a dit de pas laisser l'opportunité filer alors nous voilà ! Le groupe s'appelle nicky and the saints, avant que tu ne poses la question..." Elle pourrait poser la question, ou Jules pourrait le lui dire. Le résumé n'est pas bien intéressant, tu avais prévenu June et maintenant que c'est fait, tu ne vois pas quoi ajouter d'autre. Tu ne cherches pas à impressionner qui que ce soit, Vance et toi, vous êtes là pour parler musique et uniquement cela. Vous n'êtes pas vraiment des débutants, vous avez déjà trouvé votre son, déjà trouvé une sorte de public. Signer avec ce label, ce sera juste un moyen d'atteindre plus de gens, de partager encore plus votre son et une vraie opportunité. L'opportunité de toute vie en réalité, même toi tu n'es pas idiot à ce point-là et tu peux le voir. "Et toi ? Des anecdotes croustillantes à raconter sur le label ? C'est le moment, je pense que je suis l'une des seules personnes encore objectives présentes dans cet immeuble." Et tu dis cela avec le plus de sincérité possible, ton regard passant de Vance à June lentement ; tu lui offres même un sourire, histoire de.

 Got a little rhythm, a rhythm, a rhythm, that pit-apats through my brain, so darn persistent, the day isn't distant, when it'll drive me insane... |
|  | |  ÂGE : Trois années que le compteur est bloqué sur le quart de siècle (07.06.95). SURNOM : *Insérer la dernière trouvaille des magazines* pour le commun des mortels, TLK quand ça parle musique, J pour de rares proches ou Ju si tu tiens pas à la vie. Sinon, June c'est bien aussi. STATUT : Célibataire, cœur qui a le mal des montagnes russes, mis au repos pour quelque temps. MÉTIER : Égérie de la presse à scandale, campagne de prévention contre l’abus d’alcool, future détentrice d’un Grammy, un jour. LOGEMENT : Une suite à l’Emerald Hotel, dans l’attente de trouver un pied-à-terre lui convenant. POSTS : 67 POINTS : 320 TW IN RP : Addiction à l'alcool & langage vulgaire (mais on s'arrange au besoin). TW IRL : ràs GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Chanteuse modèle presque compact (162 cm) • Inculte cinématographique, elle pense que Terminator, c'est le chauve avec son code-barres sur le crâne qui transporte des gens • Se bute au sport pour remplacer la tise • Experte du doigt d'honneur en direction des paparazzis • Possède un rythme de sommeil complétement éclaté • Connue autant pour sa musique que pour ses excès (voir davantage pour le second depuis quelques mois) • La bouffe est un bon moyen de l'amadouer. CODE COULEUR : June rime en #ffcc99 RPs EN COURS : (5) ♫ Edison ♪ Nicholas ♪ Jordan #2 ♪ Charlie ♪ Jo #2RPs TERMINÉS : Jordan ♭ Jo ♭ Lara AVATAR : Coi Leray CRÉDITS : Snipes DC : Don't tempt me PSEUDO : SyntaxError INSCRIT LE : 24/06/2023   | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink Mer 20 Sep 2023 - 16:54 | |
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you haven't seen nothing 'till you've seen an English girl drink @Nicholas Hurley - août 2023
« Commence par la version courte, on verra si un jour, on a le temps pour la version longue. » Pour l’instant, elle n’a vraiment pas envie de feindre l’attention durant d’interminables minutes à écouter une origine story, pas avec tout ce qui lui tourne dans la tête, elle n’est pas prête à faire l’effort. « Tu fais comme tu le sens, j’t’en voudrai pas. » Du moment qu’il ne vient pas la faire chier avec la dernière rumeur à la mode. Si elle devait entretenir une rancœur envers chaque personne préférant aller s’informer de sa vie auprès de sources bancale, elle s’y épuiserait à longueur de journée. Elle a bien conscience que les véritables fautifs sont ceux qui écrivent les histoires, déformant la réalité juste ce qu’il faut afin d’attiser la curiosité perverse et d'attirer le chaland avide de connaître les défauts écornant les images publiques. Elle en faisait partie, des lecteurs de torchons, à l’époque où la célébrité n’était pas encore venue taper à sa porte, et qu’elle n’avait pas vraiment conscience des conséquences que toute cette invasion d’intimité peut causer. « Un bon point pour toi si tu préfères t’informer à la source. » La fin de sa phrase lui fait soulever un sourcil inquisiteur entre deux souffles enfumés. « T’as encore signé nulle part que t’as déjà des casseroles qui traînent ? » Sûrement rien de choquant en perspective, les labels sont assez précautionneux pour éviter de prospecter des artistes qui leur exploseraient dans les mains en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, surtout au niveau de la communication. Puis, après tout, ce n’est pas elle qui lui fera la leçon sur un tel sujet. « Oui, oui, et oui. » Malheureusement, le genre existe toujours, c’est mignon lorsqu’il s’agit de gamins qui s’amusent à reproduire une connerie télévisuelle sans vraiment comprendre les tenants et aboutissant, aveuglés par leur innocence, ça l’est beaucoup moins dans l’ensemble des autres situations possibles et imaginables. « T’en trouveras sûrement ici. Mais je lâcherai pas de blase, t’auras le plaisir de la découverte. » La rétention d’informations va de pair avec le premier sujet évoqué, si elle déteste qu’on raconte des choses sur sa personne, l’inverse est tout aussi vraie. « Si on m’avait filé une pièce à chaque personne qui se présente avec une superbe personnalité… » Le domaine dans lequel ils évoluent est basé en grande partie sur l’image, pas étonnant que chacun essaye d’en renvoyer une parfaite à tout instant, qu’elle soit réelle ou factice et construite uniquement pour séduire les caméras en même temps que la foule. « Je jugerai de ça une fois qu’on aura parlé plus de cinq minutes dans un couloir. » Leurs pas les mènent finalement à destination, entrant dans le studio duquel s’échappe des percussions à la chaîne, sans que rien ne vienne perturber le rythme, pas même leur irruption, signe que, comme indiqué, Vance est dans un monde différent du leur à l’instant donné. « Je vois ça. » La scène lui arrache un sourire fugace, repensant à cette époque pas si lointaine, où elle n’avait rien d’autre à faire que de venir au studio dans le but d’enregistrer, avec comme seul problème de savoir trouver la bonne cadence pour envoyer ses mesures. Les prises de tête concernant tout le reste étaient, en très grandes majorités, déléguées. A contrario du présent. « Il est pas intéressé par tout ce que Jules vous présente ? » Est-ce qu’on peut lui en tenir rigueur ? Pas besoin d’être plusieurs pour visiter les lieux, surtout qu’au-delà des studios, l’intérêt est vite limité. Elle tire une chaise pour rejoindre le brun, mais, avant de s’asseoir, elle fixe l’intéressé quelques secondes, les pupilles alternants à plusieurs reprises entre son visage et la main qu’il lui tend. « Fuck, t’as quel âge Nicholas ? Garde tes poignées de main pour les costards qui t’expliqueront ton contrat. » Elle sert le poing, le présentant devant elle afin de l’inciter à faire pareil, le cognant légèrement lorsque c’est le cas. « June. C’est déjà assez court. » Qu’elle balance, en prenant place sur sa chaise une fois le check effectué, écoutant les détails qu’il lui donne. « On est clairement sur une opportunité à ne pas laisser passer, la personne qui t’a donné ce conseil est plutôt maligne. » Dans un sens, quand un label vient directement vous chercher, on peut comparer cette occasion à l’équivalent musical d’un ticket de loterie gagnant. « Donc toi c’est Nicky, et si y’a que Vance en plus, pourquoi the saints au pluriel ? » Première question lui passant par la tête avant de se faire interroger à son tour. « J’ai signé mon premier contrat ici il y a dix ans, à peu près, on doit pas en être loin. Des anecdotes croustillantes, j’en ai quelques-unes, j’suis pas certaine de pouvoir te les raconter, encore moins si t’as pas signé de contrat. » En réalité, ses histoires, elles datent, il y a plusieurs années qu’elle n’a pas traîné de manière régulière entre les murs du label, généralement présente uniquement afin d’enregistrer quand les prises ne pouvaient pas être effectuées dans les studios de l’antenne américaine. « Tu veux savoir si tu mets les pieds au mauvais endroit en signant ici ? » La réponse serait positive si elle laissait parler le ressentiment accumulé durant les derniers mois, sans prendre en considération ce que le label a fait pour sa carrière. « Non. T’auras pas autant de thunes qu’avec un major, ni autant de portée médiatique, mais au moins t’as pas besoin d’amener ton lubrifiant à la signature. » Des paroles tournées vers l’objectivité, bien que dénuées de détails, ses débats personnels avec le label l’empêchent d’aller plus loin sans que les problèmes de la matinée ne viennent tabasser la raison. Elle jette un rapide coup d’œil à sa montre pour aviser l’heure, et le temps qu’il lui reste avant de retourner à ses problèmes.
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|  | | | (#) Sujet: Re: (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink  | |
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|  | | | (june & nicholas) you haven't seen nothing 'til you've seen an English girl drink | |
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