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ÂGE : 40 ans SURNOM : Lee STATUT : Récemment fiancée. Divorcée de Chad en 2017. MÉTIER : Sommelière de formation devenue caviste, business woman à la tête de la marque d'ustensiles de sommellerie DiVino et écrivaine de livres culinaires. Présentatrice TV et productrice de Chop & Talk sur Channel 9. POSTS : 44 POINTS : 50 TW IN RP : religion (dont secte), homophobie, alcool (cf métier), stérilité, relation toxique TW IRL : NC GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #cc6699 RPs EN COURS : Hassan - Chad - (2/7) AVATAR : Keira Knightley CRÉDITS : loonywaltz, RAMPLDGIFS DC : Jonah Fletcher PSEUDO : loonywaltz INSCRIT LE : 11/03/2024 | (#) Sujet: hassan + concrete wall Mar 19 Mar 2024 - 14:26 | |
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| @Hassan Jaafari
Les premiers rayons du soleil caressaient doucement la façade de la maison de Logan City lorsque Kelly posa le pied sur le seuil le jour de son retour à Brisbane. L'air était lourd de l'humidité de la nuit passée, imprégné du parfum âcre de l'eau stagnante. Sans un regard en direction de la maison voisine, celle de Hassan, elle s'avança lentement, le cœur serré, vers ce qui restait de son refuge, de son sanctuaire. L'ouragan Olga avait laissé sa marque impitoyable, transformant la demeure qui avait été le théâtre de tant de souvenirs en un spectacle de désolation. Dès l'entrée, Kelly fut accueillie par l'odeur âcre de la moisissure, le silence pesant qui régnait là où résonnaient avant les rires et les conversations de ses incontournables réunions Tupperware. Ses pas résonnaient dans le hall, maintenant vide et dénudé, comme les vestiges d'une vie avec laquelle elle avait cru pouvoir renouer comme si elle n’était jamais partie. La cave à vin, autrefois son joyau, était maintenant un marécage. Les bouteilles précieuses gisaient éparpillées sur le sol, leurs étiquettes détrempées, leurs contenus désormais gâchés, sans plus de valeur. Une torsion de déception s’empara des tripes de la brune en contemplant ce gâchis. Elle poursuivit son exploration de son foyer délaissé, chaque pièce révélant un nouveau tableau plus désolant que le précédent. Les murs suintaient d'humidité, les sols étaient imprégnés d'eau, les meubles détrempés étaient devenus des îlots de moisissure au milieu de l'océan de débris. L'électroménager gisait dans un état de délabrement désolant, les circuits grillés par les assauts de l'eau salée. L'urne de Tobey, fidèle compagnon de tant d'années, reposait toujours sur son étagère, intouchée par les ravages de la tempête. Pour Kelly, c'était un réconfort, une preuve tangible que même au milieu de la tempête, il y avait encore des souvenirs qui pouvaient résister.
Avec une détermination renouvelée, Kelly se mit au travail. La semaine durant, aux côtés de Mike, elle vida la maison de ses trésors, envoyant tout ce qui pouvait être sauvé dans un garde meuble, et ce qui ne le pouvait pas, à la déchèterie. Pour lui, c'était un signe du destin, une opportunité de tourner la page et de commencer leur vie commune sur des bases plus saines. L’ouragan avait fait table rase du passé, et il était là pour un avenir à deux. Rien qu’à eux deux. Mais pour Kelly, le deuil de chaque petit bibelot était plus compliqué. La maison avait été le symbole de sa prise d'indépendance, de son courage de choisir sa propre voie lors de son divorce avec Chad. A l’époque, elle avait tout laissé, sauf le chien. Elle s’était reconstruite, avait vécu des déceptions, essuyé des larmes, et vécu les plus grandes joies de ces dernières années entre ces murs. Maintenant, ce n'était plus qu'une coquille vide. Néanmoins, son optimisme la forçait à adhérer à la vision de son fiancé ; lorsque tout sera rentré dans l’ordre, le logement sera un grand canvas blanc où peindre de nouveaux souvenirs. A moins qu’ils ne le vendent. Mike était de cet avis, en tout cas. C’était mieux, d’après lui, qu’ils acquièrent un bien ensemble plutôt qu’il n'emménage chez elle. De toute façon, il trouvait tous les défauts du monde à la maison, et Lee souhaitait que son déménagement à Brisbane, qui plus est pour elle, soit parfait. Qu’il se sente chez lui.
Ce jour-là, Kelly se tenait dans le jardin devant la maison, son regard fixé sur les hommes de l’entreprise de rénovation qui s'affairaient à l'intérieur. Depuis une semaine déjà, elle et Mike avaient trouvé refuge dans les murs froids et impersonnels d'un hôtel de la ville, partageant leur désarroi dans le confort artificiel d'une chambre anonyme. Chaque jour, ils retournaient à la maison dévastée, s'attelant à la tâche titanesque de vider, trier, jeter les affaires d’une vie entière. Après cette première étape, c’était l’heure du gros œuvre. Alors qu'elle observait les ouvriers s'activer à l'intérieur, elle se sentait étrangement déconnectée de tout cela. Comme si elle regardait sa propre vie se dérouler devant ses yeux, sans pouvoir y participer. Peut-être était-il temps de laisser partir cette maison, oui, de laisser derrière elle les vestiges d'un passé révolu. Peut-être que Mike avait raison, que c'était là l'occasion de recommencer à zéro, d’aller de l’avant. Parfois, avancer nécessite d’abandonner une partie de soi-même, songea-t-elle. Heureusement que Tobey était parti avant de pouvoir voir son foyer dans cet état. Méconnaissable, pourri de l’intérieur. Damn, tout ce qu’elle aurait donné pour un red velvet muffin et dévorer toutes ces émotions.
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| | | ÂGE : 42 ans (19/08/1981), il s'est fait une raison et cesse d'arracher chaque cheveu qui grisonne devant son miroir STATUT : une désillusion après l'autre, un acte manqué à la fois MÉTIER : doyen du pôle de sciences humaines et sociales & professeur de géopolitique et relations internationales @ university of Queensland ~ consultant géopolitique et Moyen-Orient @ ABC studios, présent chaque jeudi à 18h à la table des débats de l'hebdo politique d'ABC News24, son planning ressemblerait à un champ de mines si Ethel n'était pas là pour y mettre de l'ordre LOGEMENT : #25 latimer road (logan city), où petit Mo a retrouvé sa place entre Spike et Bandit, même s'ils ont actuellement les pieds dans l'eau POSTS : 21725 POINTS : 610 TW IN RP : dépression & pensées suicidaires, deuil, cancer & fin de vie, pratique religieuse (islam), workaholism, stérilité, abandon parental TW IRL : non-communiqués GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : iranien d'origine › en couple/marié de 2004 à 2014 › parle le farsi (persan) + niveau d'arabe intermédiaire › deux tentatives de suicide en 2016, une dépression (pas toujours) en sommeil › ni porc ni alcool › rugbyman amateur depuis l'enfance, champion universitaire (2005), coach des 8-12 ans @ logan city rugby club › tatoué 5 fois › membre d'Amnesty International › musulman modérément pratiquant › amateur de plantes vertes et de tapis anciens › bricoleur hors pair › "ancien" fumeur › vélo et rando stan CODE COULEUR : conte et raconte en "indianred" RPs EN COURS : lawrence 03 › ethel 01 › jonah 02 › kelly 08 › rhett 11 › chad 04 › megan 01 (07/10)
FLASHBACKS / ALTERNATIFS : rhett (au 2023)
COMMUNICATIONS :
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rhessan 11 & (au 2023) › we drew up a landscape, we climbed down a ladder carved out a memory to follow the pattern, and now on a clear glass wall i can see our faith, you know it's never too late
kellssan 08 › oh no, it's not me, i just forgot to tell you, didn't mean, it seems obscene we just lost track along the way. i'm coming to terms, i'm starting to learn, this ain't all it's cracked up to be
ethassan 01 › welcome to the madhouse, you've never seen a place like this before, welcome to the madhouse, where they all come back for more RPs EN ATTENTE : asher › camil 04 › zelda 01
sohassan (scénario) › we're lost in the playground, late night nostalgia, friends round the fire outside in december, open the sky for me now
leilassan (scénario) › i hope you still feel small when you stand beside the ocean, whenever one door closes i hope one more opens, promise me that you'll give faith a fighting chance, and if you get the chance to sing it out and dance, i hope you dance RPs TERMINÉS :
jaafaris › so if no one else believes in you i'm completely yours, and i've got so much faith in you. no matter what this life puts in front of you, you can save this world, i've got so much faith in you
joassan › we tried to walk together but the night was growing dark, thought you were beside me but I reached and you were gone, where are you now, are you lost, will I find you again ?
yassan › i've been sleeping with my soul, won't hide my pride, and i remember every song you used to sing along, but i forgot you changed at all
2023 › jules 04 › chad 03 › jenna 03 › jonah 01 › rhett 09 › rhett 10 › jules 05
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AVATAR : dominic cooper CRÉDITS : avatar@selfmade & sign@vocivus & userbar@loonywaltz DC : vittorio & anwar & abraham PSEUDO : yumita (élodie) INSCRIT LE : 20/09/2015 | (#) Sujet: Re: hassan + concrete wall Ven 3 Mai 2024 - 7:12 | |
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| You make me wanna throw this shoe right through that concrete wall, maybe you should pack your things if it's that dreadful, then just leave it all. ☆☆ « Tu files à la douche pendant que je termine de décharger la voiture ? »Bondissant déjà de la banquette arrière, Mo avait été suivi dans la seconde par l’ombre poilue de Spike tandis que Bandit, lui, attendait sagement qu’Hassan l’aide à descendre faute que ses trois pattes ne lui permettent de le faire seul. « On commande des pizzas, hein ? » s’était finalement assuré le garnement à l’instant où l’enseignant faisait tourner la clef dans la serrure, comme pour être certain que la promesse n’avait pas été oubliée. « Si t’es lavé et en pyjama à l’heure, peut-être. » La pseudo-promesse agissant comme la carotte au bout du bâton, le garnement avait filé à l’étage sans se faire prier plus longuement, et seul Hassan avait pris le temps d’un coup d’oeil résigné sur le parquet gondolé et les traces d’humidité indiquant sur les murs du rez-de-chaussée la hauteur à laquelle était montée l’eau durant le passage d’Olga. Logan City n’était pas la banlieue la plus à plaindre, mais même l’éloignement de l’océan et des berges de la Brisbane River n’avaient pas empêché à la pluie de se transformer en une déferlante d’eau boueuse, que les sols trop arides n’avaient pas su absorber. Par chance, la majorité du mobilier et de l’électroménager de la maison avaient été surélevés ou montés à l’étage avant le passage de la tempête, mais à cet instant cela avait semblé bien peu de choses aux yeux d’Hassan, face aux sept années qu’il venait de passer à rénover pièce par pièce ce petit bout d’enfance, racheté pour tenter de soigner d’autres regrets qui, eux, ne s’estimaient pas. “Ce ne sont que des choses, tu accordes trop d’importance aux choses” lui avait à ce sujet fait remarquer quelqu’un de plus sage que lui, et parce que l’enseignant savait qu’il y avait une (grande) part de vérité là-dedans il se l’était répété en balayant une dernière fois le salon du regard, puis était retourné décharger la voiture pour remplir sa part du contrat passé avec Mo quelques instants plus tôt. Là seulement, alors qu’il disposait d’un côté les affaires à ramener dans la maison, et de l’autre celles à envoyer au garage, son attention avait été attirée par une voix masculine s’élevant de l’autre côté de la haie. S’il avait d’abord pensé à Chad, et envisagé d’aller le saluer rapidement avant de s’en retourner pour de bon dans sa propre demeure, l’ajout d’une autre voix – féminine, celle-ci – à la conversation l’avait stoppé net dans sa résolution. Kelly était revenue. ***Puis les jours avaient recommencé à défiler. L’année scolaire avait débuté, pour lui comme pour Mo, et si l’attention (et la curiosité) d’Hassan dérivaient (trop) souvent du côté de la maison voisine, il avait tenté au mieux de ne pas ajouter ce nouveau paramètre à la liste de ses préoccupations. Au fond de lui, l’universitaire était toujours vexé de la manière dont sa relation avec la jeune femme s’était terminée, et des exigences trop hautes pour lesquelles Kelly avait unilatéralement décidé qu’il ne ferait jamais l’affaire. Certains jours, des ouvriers se présentaient devant la maison, que l’absence d’occupant au moment de la tempête avait laissée à la merci des intempéries ; et qu’il s’agisse ou non d’un simple hasard, si la brune venait de temps à autre jeter un oeil à l’avancée des travaux, elle parvenait toujours à le faire lorsque son voisin était absent. Jusqu’à ce jour-là. Qu’Hassan soit chez lui un jeudi après-midi en plein mois de mars relevait de l’incongru : il aurait normalement dû se trouver dans les couloirs d’ABC, qu’il ne quittait jamais avant vingt heures une fois la diffusion de son émission hebdomadaire terminée. L’arrivée le lendemain de son frère et de toute sa smala, pour profiter du long week-end de Pâques et fêter Nowruz avec un brin de retard, avait néanmoins été une raison suffisante pour lui de vouloir s’assurer que la maison était à nouveau présentable. Les murs avaient été séchés, le parquet changé, les meubles remis en place, et seule une dernière couche de peinture méritait encore d’être passée sur l’escalier pour que les dégâts survenus trois mois ne soient plus qu’un mauvais souvenir. Il en était là, précisément, lorsque la sonnette de la porte d’entrée avait retenti et déchaîné les passions des deux chiens, pourtant cantonnés au jardin pour ne pas risquer de mettre leur museau dans la peinture fraîche. Un livreur à l’air pressé lui avait tendu un colis contre signature, ne cachant pas le fait d’avoir autre chose à faire au point que le “bonne journée” d’Hassan s’était adressé au dos du bonhomme, la tête déjà à sa livraison suivante. Abandonnant le colis près de la porte, les mains encore tachées de peinture blanche et absolument pas au fait de celles venues se loger sur son front, l’une de ses oreilles et une mèche de ses cheveux, le brun s’en était désintéressé aussi vite qu’il avait vérifié l’heure sur la pendule du salon : il devait récupérer Mo à l’école dans moins de deux heures, et la peinture devait impérativement avoir commencé à sécher d’ici là. Sa besogne terminée non sans un brin de satisfaction, il s’était empressé de ranger la peinture au garage et de se laver les mains, repassant devant le colis abandonné pour s’y intéresser enfin, et constater entre dépit et agacement que ce n’était pas son nom mais bien celui de Kelly inscrit dans la case du destinataire. Pendant un bref instant, Hassan s’était imaginé repousser ce problème à plus tard, mais telle la métaphore du pansement qui faisait moins mal lorsqu’on le retirait d’un coup sec, il en était arrivé à la conclusion que rendre le colis à sa propriétaire dès à présent lui éviterait d’y repenser tout le long du week-end chaque fois qu’il poserait les yeux dessus. Échauffant un instant ses zygomatiques, à la recherche de l’expression parfaite pour se positionner à mi-chemin entre la politesse d’usage et le désintérêt qu’il souhaitait feindre, il avait attrapé le fameux colis sous le bras, quitté sa maison et traversé l’allée menant jusqu’à la route. Devant la maison de la sommelière, la camionnette d’une société de travaux campait à nouveau depuis le début de la journée, et une traînée de poussière créait un sillon entre l’arrière du véhicule et le chemin pavé menant à la porte de la maison, abandonnée là par un petit poucet du BTP. Dans un monde idéal, Hassan aurait suivi la trace et enfoncé le bouton de la sonnette, un ouvrier aurait ouvert, et il lui aurait confié le colis avant de repartir aussi vite qu’il était venu. Dans la réalité, la silhouette de Kelly s’était dessinée dans une flaque d’ombre du jardin, et s’était tournée dans sa direction avant qu’il n’ait eu l’occasion de faire le moindre geste. « Salut. » Laconique, sans doute un brin maladroit, et balayé aussi vite par le « Le facteur a déposé ça chez moi, il n’a pas dû faire attention au numéro. » prononcé de façon plus assurée, aussi factuel que possible et à l’image de tout ce à quoi avaient ressemblé leurs maigres échanges, les semaines ayant précédé la subite disparition de l’australienne. « On a tous eu pas mal de travaux, dans le voisinage. La tempête a pas été tendre. » Pourquoi ce besoin soudain de se lancer dans un small talk qui n’aurait plus ni la saveur ni la spontanéité d’autrefois ? Il n’en savait rien, mais l’avait regretté presque aussi vite.
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