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 a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle)

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Message(#) Sujet: Re: a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) - Page 2 EmptyJeu 15 Nov 2018 - 14:16



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{ A little party never killed nobody }
crédit/ tumblr ✰ w/ Carlisle

Carlisle continuait de se montrer très différent des autres hommes qui ont faire partie de sa vie, des autres hommes en général. Combien d’hommes dans ce monde pouvaient clamer être aussi gentleman que lui et avoir autant de conversation ? Peut-être qu’elle n’avait jamais eu de chance, mais elle savait bien que les hommes comme le jeune pilote se comptait sur les doigts d’une seule et unique main. La brune avait de la chance de l’avoir rencontrer durant cette soirée. « C’est plus que rare. T’es le premier que je rencontre de toute ma vie. » Ouais, elle ne pouvait pas avoir de référence pour comparer, de toute manière ce n’était pas une chose qu’elle avait envie de faire. La jeune femme voulait juste profiter du moment présent, elle ne savait même pas quand elle serait capable de le revoir. Quand elle allait rentrer chez elle, cette soirée prendrait vraiment fin et chacun vivrait de son côté sa vie en laissant cette soirée devenir un simple souvenir dans leur mémoire. La discussion continuait entre eux, parlant de tout et de rien. Ils parlaient de la nuit comme s’il s’agissait d’un autre monde, avant ce soir elle n’avait jamais vu les choses comme ça. Ce soir, elle avait pu être une autre personne. Elle était loin la brune qui préférait se cacher et restait de son côté. Elle s’était sociabilisée, elle n’avait pas fait en sorte de le faire fuir et avait appréciée chaque moment qu’elle passait en sa compagnie. C’était si simple dans sa vie qui était bien trop compliquée, elle allait devenir folle un jour. « Je risque de mettre du temps à pouvoir le faire, mais je te dirais. » Phoebe laissait un petit rire sortir de sa bouche, elle allait mettre une vie entière avant de réussir à voir Brisbane de nuit surtout dans un avion. Mais l’espoir faisait vivre après tout, non ? A ce stade, elle allait vivre très très longtemps. Un petit sourire en coin se dessinait alors qu’elle haussait les épaules. « Je ne dirais pas tourmentée. » Ouais, ce mot ne décrivait pas la situation comme il fallait. « Plutôt hors du commun voire même compliquée. » S’il connaissait la réalité, il aurait sûrement d’autres adjectifs pour décrire sa vie. Puis elle ne doutait pas non plus, qu’il ne connaissait personne d’autre avec une histoire comme la sienne. Il fallait être dingue pour réagir comme elle avait pu le faire, prendre ses affaires, disparaître et changer d’identité par la suite. Tout ça à cause d’une clause manquante dans un gros contrat, elle était à peine excessive. Phoebe le regardait, l’écoutait avant de secouait la tête. « On essaye d’oublier. Parce qu’on oublie jamais réellement, ça va juste se transformait en souvenir qu’on refoulera. » Il était plus simple de mettre ce qu’on était réellement de côté pour rentrer dans les normes, se voiler la face c’était dans l’être humain. Phoebe parlait de son cas, mais c’était plus complexe que les autres. Elle était dans cette situation parce qu’elle l’avait choisis sur un coup de tête. Elle était la seule responsable de la vie qu’elle menait pour en sortir, elle devrait dire la vérité et elle n’était pas encore prête à cela. Son secret devait en rester un puisqu’elle avait beaucoup trop à perdre. « Si, tout est une question de circonstance. » La secrétaire médicale ne savait pas ce qu’elle pouvait rajouter de plus. Dans une situation, les choses auraient pu être différentes, mais elle ne le saurait jamais. Puis pourquoi voudrait-elle le savoir ? Quelque chose avait fait en sorte qu’ils se trouvent sur le chemin l’un de l’autre, point barre. Elle ne voulait pas se prendre la tête. « On le saura jamais. » Tout avait été simple dès le départ avec Carlisle, elle n’avait pas envie de compliqué quelque chose qui n’en avait pas besoin. Elle n’avait pas ressenti tout ça depuis un long moment, au point de se mettre à son tour à se rapprocher de lui, toujours un peu plus. Jouant avec cette ligne blanche sans aucune honte, au point de le laisser avancer son visage vers elle pour qu’un baiser ne démarre entre eux. Baiser qu’elle prolongeait tout en l’intensifiant. Phoebe n’avait aucune envie de mettre fin à ce contact entre eux prouvant bel et bien l’attirance qui pouvait exister.
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Simon Johnson
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la voix dans l'oreillette
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STATUT : célibataire. ce n'est pas un mauvais bougre, mais s'attacher n'est pas son fort.
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Message(#) Sujet: Re: a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) - Page 2 EmptySam 17 Nov 2018 - 15:12


Carlisle ne savait plus très bien où cette discussion allait les mener. Il ne comprenait plus tout à fait les propos qui s’échappaient des lèvres de Phoebe, ni même ceux qui s’échappaient des siennes. Etaient-ils sur la même longueur d’onde ? Parlaient-ils de la même chose, lorsqu’ils évoquaient les souvenirs ? Ou cette conversation avait-elle un double sens de lecture ? Le pilote, dont l’alcool avait fortement embrumé l’esprit, n’était pas en mesure de tirer au clair cette affaire. Pas dans l’immédiat, en tout cas ; demain, peut-être qu’il y repenserait et tenterait de faire le vide dans son esprit. Pas pour oublier, ni pour refouler – non, simplement pour comprendre. Ou alors, peut-être qu’il mettrait tout de côté pour éviter de se poser des questions dont il n’avait pas forcément envie d’avoir la réponse. Rester dans l’ignorance était parfois plus facile que d’assumer – en tout cas, dans un premier temps. Parce que si Carlisle était convaincu d’une chose, c’était bien celle-ci : tôt ou tard, on devait faire face. On devait assumer ce qui avait été dit, ce qui avait été fait, et on devait surtout en assumer les conséquences – aussi catastrophiques puissent-elles être.  « Non. Jamais. » Admit le pilote en hochant légèrement la tête. Leur rencontre n’était que le fruit du hasard. Une sortie imprévue pour Carlisle, tandis que Phoebe fêtait dignement un vendredi soir. S’ils n’avaient pas chacun pris cette décision, ils ne se seraient probablement jamais croisés. Leurs vies étaient trop différentes pour cela. Et même si, par un heureux concours de circonstances, ils s’étaient retrouvés au même endroit, ils ne pouvaient pas affirmer qu’ils auraient fini par communiquer. Mais ce soir, tout avait été chamboulé. Et les lèvres de Carlisle qui goûtaient à celles de Phoebe en était la preuve physique. Impossible d’être rassasié d’un baiser aussi chaste ; très vite, leurs langues se mêlèrent dans un ballet endiablé. Leurs mains se cherchaient, se trouvaient, s’effleuraient. Leurs peaux, réagissant naturellement, irradiaient. C’était bien simple : Carlisle se consumait de désir. Et Phoebe était la principale responsable de son état.


Le chauffeur de taxi se râcla bruyamment la gorge, et Carlisle délaissa un moment les lèvres de Phoebe pour porter sur l’élément perturbateur extérieur un regard noir. Ne voyait-il pas qu’ils étaient occupés, enfermés dans une bulle dont ils ne voulaient pas être tirés ? « Vous êtes arrivés. » Déclara froidement le chauffeur de taxi. Le pilote fit pivoter sa tête, jusqu’à constater qu’ils étaient effectivement à l’arrêt, stationnés devant une maison qui n’était pas la sienne. Il reposa ensuite les yeux sur Phoebe, qui semblait ne pas vouloir sortir de l’état dans lequel elle s’était plongée. Ses yeux étaient presque fermés, sa tête légèrement rejetée en arrière, et ses lèvres peintes en rouge carmin semblaient vouloir en réclamer davantage. Oui mais voilà, Carlisle n’était pas en mesure de la satisfaire sur ce point ; il réalisa soudainement la position dans laquelle il s’était mis. Sa main droite quitta immédiatement la cuisse brûlante de sa partenaire, qu’il avait précédemment caressé sans vergogne. Sa peau douce avait glissé sous ses doigts, tandis qu’il s’appliquait à dévorer le cou de sa partenaire. « Attendez-moi. » Demanda le pilote en ouvrant la portière du taxi, avant de laisser Phoebe en sortir. Il ferma la porte, leur assurant un minimum d’intimité pour ce qui allait suivre.  « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée. » Admit-il du bout des lèvres, alors qu’ils se faisaient face à l’extérieur du taxi. Carlisle avait du mal à soutenir le regard de Phoebe – et pour cause, il craignait de défaillir. Mais il ne devait pas, il ne pouvait pas : contrairement aux apparences, il n’était pas seul. Et même si son corps avait répondu de façon mécanique, il ne pouvait pas le laisser prendre le dessus sur son esprit. Carlisle était un homme de contrôle, quelqu’un qui ne se laissait pas dominer par ses envies – aussi fortes soient-elles. Il se devait de garder la tête froide. C’était sa ligne de conduite. Sa main hésitante remonta le long du bras de Phoebe, et se posa finalement sur la joue de cette dernière. Il remit en place une mèche de cheveux derrière son oreille, et l’invita finalement à se pencher vers lui. Il cueillit ses lèvres pour un dernier baiser – d’abord chaste, puis muant vers quelque chose de plus fiévreux. L’air lui manqua, et il s’éloigna : mieux valait ne pas tenter le diable. « En ce qui me concerne, cette soirée restera un beau souvenir à refouler. » Il lui offrit un pauvre sourire, et s’en voulut presque aussitôt. Mais c’était la meilleure chose à faire, selon lui.



Slip inside the eye of your mind Don't you know you might find A better place to play You said that you'd never been But all the things that you've seen Slowly fade away » (Oasis - don't look back in anger)
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Message(#) Sujet: Re: a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) a little party never killed nobody. (phoebe&carlisle) - Page 2 EmptyLun 26 Nov 2018 - 22:11



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{ A little party never killed nobody }
crédit/ tumblr ✰ w/ Carlisle

La ligne blanche venait d’être franchit, dès que les lèvres du jeune homme avait rejoint les siennes, les choses s’était transformés et pour la première fois depuis bien longtemps, elle avait laissée ses envies prendre le contrôle sur tout le reste. Phoebe répondait à ce baiser, le prolongeait et l’amplifiait refusant de couper court à ce contact. Contact encore plus poussé quand ses mains finissaient par rencontrer ce corps, aucune honte n’était possible même si elle se trouvait dans un taxi. La brune perdait totalement la tête, c’était peut-être complètement cliché et pourtant c’était bien le cas. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait pas laissé un homme balader ses mains sur son corps, un homme collant ses lèvres contre les siennes enfin laisser juste un homme aussi proche d’elle. Pourtant la dernière chose qu’elle avait envie s’était de le repousser lui, elle se consumait et si cela ne tenait qu’à elle, elle l’inviterait sans aucun doute chez Poppy. Mais comme elle venait de le faire remarquer, ce n’était pas chez elle. C’était chez sa cousine et les choses restaient malgré tout compliquer. Elle ne pouvait pas aller plus loin que ça malgré l’envie qu’elle ressentait. Un léger grognement franchit la barrière de ses lèvres dès que celles-ci venaient à perdre le contact avec celles de Carlisle. La secrétaire médicale ne bougeait pas, elle restait dans cette bulle attendant simplement que le jeune pilote ne revienne s’occuper d’elle. Phoebe avait l’impression d’être une adolescente qui vivait pour la première fois une telle histoire, qu’elle embrassait pour la première fois un homme et le sentiment d’être stupide grandissait un peu plus en elle quand elle entendait sa phrase. La bulle venait d’éclater et ce moment plus que présent – et qui allait rester un moment dans son esprit – venait de prendre fin. Phoebe sortie rapidement du taxi, ses bras croisés devant sa poitrine, même si le beau temps reprenait le dessus sur Brisbane, les nuits étaient toujours aussi fraiches. « Je ne pense pas non plus. » Se chauffer comme deux adolescents dans une voiture, c’était quelque chose, mais passer à l’action dans un quelconque endroit intime, c’était autre chose. Comme elle avait pu se faire la réflexion, chez sa cousine ça paraissait juste dingue et ce n’était pas non plus son genre de faire ça dès le premier soir malgré toute l’envie qu’elle ressentait, toute l’attraction qu’elle pouvait avoir envers cet homme. Un nouveau baiser commençait entre eux, rejouant la même scène que dans ce taxi. Bordel, c’était toujours aussi intense avec lui et c’était vraiment problématique. La jeune femme devait se battre contre elle-même pour continuer de croire que l’attirait dans sa chambre était une mauvaise idée – parce que c’était une mauvaise idée ! « Si tu le refoules, c’est que tu comptes y repenser et c’est une bonne chose. » Un sourire en coin se dessinait sur ses lèvres alors qu’elle se dirigeait enfin vers l’entrée de cette petite maison bien vide sans la présence de sa cousine. « Mais pareillement, ça restera un bon souvenir à refouler. » Après un clin d’œil, elle finit par rentrer dans cette maison pour se coller rapidement contre la porte. Cette soirée avait été bien haute en émotion pour elle ; cet homme avait été capable de briser toutes ses barrières en un claquement de doigt.

RP terminé

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