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 go to heaven for the climate and hell for the company | harvey

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Auden Williams
Auden Williams
le complexe de Dieu
le complexe de Dieu
go to heaven for the climate and hell for the company | harvey MTtf4TM Présent
ÂGE : 40 ans. (25/12/1983)
SURNOM : Il répond à tout, surtout aux insultes.
STATUT : Dire à Ginny qu'il veut divorcer: check. Dire à James qu'il l'aime (à un moment pas opportun du tout): check.
MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder.
LOGEMENT : Le passage chez James a été aussi bref que chaotique, finalement. Il reste à l'hôtel en attendant de trouver autre chose.
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POSTS : 23418 POINTS : 660

TW IN RP : violences physiques et verbales
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : Né en Italie, il est bilingue › Bisexuel assumé depuis toujours, les états d'âme féminins l'agacent pourtant › A quitté l'école à 16 ans pour vagabonder en Italie, c'est à partir de là qu'il a commencé à travailler son art › La peinture est sa raison de vivre, il touche à toutes les formes d'art par besoin de créer › Ne boit pas, ne fume pas (longue histoire) › Ambidextre › Égoïste, rancunier, colérique, manichéen, un vrai Enfer à vivre au quotidien › Père de Damon (2000) et de Sloan (2020), deux mères différentes qui le détestent › Fuit dès qu'il développe des sentiments pour autrui
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RPs EN COURS : (04)ginny #114james #18gabrielledamon #15


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willton #18 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.

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ginauden #114 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?

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damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.

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modeo #5 › young, dumb. now all the words are my own, but i don't want you to judge. i thought inspiration was all about fun, life's been eating me up it's poisoned my cup and if i leave the house, i'll get hit by a truck.

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famiglia: savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.

RPs TERMINÉS : (beaucoup.)
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AVATAR : Richard Madden
CRÉDITS : tearsflight (avatar) › richardmaddendaily (gif) › harley (gif damon & james) › fuckyou (gif ginny) › louisbxne (gif ugo) › loonywaltz (ub)
DC : Swann, Lily, Rhett & Ambrose
PSEUDO : Kaelice
Femme (elle)
INSCRIT LE : 29/05/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t24284-auden-canicule-en-ete-mamie-va-y-passer
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Message(#) Sujet: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyLun 24 Juin 2019 - 15:32



Go to heaven for the climate and hell for the company

@Harvey Hartwell

Le vigile du Confidential Club, je l’ai carrément repéré et plutôt deux fois qu’une. Il a des airs de méchant garçon à regarder tout le monde de haut à l’entrée du club, à croiser les bras et faire le gars super sérieux. Ca ressemble beaucoup à des airs seulement, parce qu’il a pas l’air bien méchant quand même le gus, même s’il est grand et musclé et qu’il a de supers beaux yeux. J’aime bien ses yeux. Son cul et ses yeux. Je préfère regarder les siens plutôt que ceux de Lexie, celle dont je suis supposé être le garde du corps. Je sais même pas comment est ce qu’on a bien pu se retrouver dans cette situation parce qu’au premier problème je prends mes clics, mes clacs, et je cours aussi vite que mes jambes me le permettent. Avec moi y’a pas d’enfants et de femmes en premier, c’est chacun pour sa gueule. Tout le monde passera l’arme à gauche un jour, même si c’est cinquante ans avant l’heure prévu c’est pas mon problème ça. A vrai dire je réponds pas souvent aux messages de la jeune femme me demandant de l'accompagner, parce que j'ai souvent la flemme de lever les culs de mon canapé juste pour passer des heures à l'attendre alors qu'elle fait je ne sais quoi (en vérité, si, je sais parfaitement ce qu'elle fait). Finalement je sais même pas pourquoi elle continue de croire en moi, mais lorsqu'il s'agit d'aller au Confidential Club là vous pouvez être certains que je vais lever mes fesses. Pour le moment je m’étonne moi même et me suis contenté de le regarder de loin, dans la pénombre (scène typique d’un thriller avec un psychopathe, oui). J’attendais Lexie, je frappais dans des cailloux, m’en voulais de pas avoir amené des choco pops pour m’occuper. Je tournais en rond à l’extérieur du Club comme un putain de gosse hyperactif. Je suis cependant resté calme, plus que calme, et j’ai attendu. J’ai peut être fait quelques blagues téléphoniques, jeté quelques cailloux sur les vitres avant de me cacher dans un coin, fait croire à Ginny que l’atelier avait brûlé, … Mais rien ne sortant de l’ordinaire en tout cas. Je m’occupais juste en éternel enfant que je suis. A presque quarante ans, j'ai appris à m'occuper seul, cool hein ?
Le problème c’est que ma patience est très limitée et qu’elle a atteint son maximum depuis bien longtemps déjà. Cette fois ci, un nouveau message de Lexie m’arrache à une toile que je n’aimais de toute façon pas. Je vais la jeter en revenant, ayant pris assez de recul pour me rendre compte à quel point je la trouve affreuse. En attendant je me contente de poser les pinceaux dans un bac d’eau et de quitter Spring Hill pour Fortitude Valley, ce quartier que j’aime tant détester. Il fourmille d’innombrables adolescents boutonneux criant et hurlant à la moindre occasion, faisant exactement comme moi ; c’est bien pour ça que je les hais tous.
Sourire d'imbécile bien ancré sur mon visage, j'accompagne Lexie jusqu'à la porte (que je ne lui tiens pas, parce que faut pas déconner non plus) et la laisse vaguer à ses occupations et moi aux miennes. Je devrais sans doute l'accompagner un peu plus au cas où elle ait réellement un problème, mais je suis réellement le pire garde du corps que la terre ait connu. Pire que ceux de Kennedy un 22 novembre. Mon avant bras appuyé sur le mur en béton je reste à une distance raisonnable de lui, au cas où il veuille m'en foutre une sur un malentendu. Mais je continue de sourire, parce que dans tous les cas cette nuit sera amusante. « De garde du corps à vigile, on peut tout se dire, hein ? » La réponse évidente est un non, mais je le laisse par répondre. J'avais pas prévu de suite dans ma tête alors je dis n'importe quoi dans la précipitation. On sait tous que même si j'avais prévu quelque chose ç'aurait été n'importe quoi de toute façon. « Parce que, professionnellement parlant bien sûr, t'as un beau cul. » Un jour je vais vraiment finir par me faire frapper, heureusement que mes réflexes sont impeccables.
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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyMar 25 Juin 2019 - 1:42


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→ Depuis trois mois que j’ai mis le pied au Confidential Club, j’en ai vu passer des clients aux lubies étranges. Des types pas très nets aux intentions inavouables qui ne cessent de regarder nerveusement par-dessus leurs épaules de peur qu’on les reconnaisse et qui, sitôt plongés dans le noir, se laissent porter par l’invitation chaleureuse du lieu et s’oublient un peu trop ; des types sûrs d’eux qui s’avancent, pectoraux gonflés en avant, l’égo surdimensionné, persuadé qu’ils font rêver les filles qu’ils paient pour coucher avec ; des types louches qui agissent de façon bizarre qui laisse à penser qu’ils ont un problème dans leur tête ; des types extravagants et d’autres qui se font le plus discrets possibles… Bref, la faune va et viens, mouvement perpétuel de corps humains qui se pressent, se détachent, tournoient et s’accrochent, puis s’éloignent et se quittent. L’argent est au centre de tout ici. La cupidité des hommes atteint son paroxysme et me dégoûte chaque soir un peu plus, mais je deviens las. Las de la misère, las de la violence, las du trafic… Tout cela ne me regarde pas finalement, je suis là pour prendre la paie et me tirer, retourner à ma vie de solitaire peu trépidante. Quoiqu’elle le soit un peu plus dernièrement, car j’ai fait des rencontres qui laissent présager de bons moments à venir. Fugaces, ils ne dureront pas. Je me répète cela pour ne pas me faire d’illusions, l’espoir est une chose sordide à laquelle je refuse de m’accrocher (et pourtant, si je suis encore là, c’est bien car j’ai espoir de réussir un jour à vivre au lieu de survivre). Le bonheur est un concept qui m’échappe et dont je questionne fortement la crédibilité. Alors, je ronge mon frein, noyant mes problèmes dans le whisky - lorsque ce n’est pas lui qui me noie – et j’avance, chaque jour, pas à pas.

Ce soir, je suis dans l’humeur la plus constante chez moi : la déprime. Rien ne va, je suis fatigué et j’ai envie de me tirer. Pour aller où gros bêta, hein ? Nulle part. C’est ici chez moi, ici que tout a foiré dès le départ, ici que je finirai d’une façon ou d’une autre. Fuir ne m’a pas servi à grand-chose, à part amasser plus de problèmes. Je sonde la salle du regard d’un air las, lorsque je repère un type dont le visage ne m’est plus vraiment inconnu. Je ne sais absolument pas ce qu’il fout là, car les soirs où il vient, il délaisse aussitôt Lexie et passe son temps dans un coin à me mater. Jusqu’à présent, tant qu’il le fait de loin, ça ne me gêne pas plus que ça – même s’il faut avouer que je ne suis pas méga à l’aise à l’idée qu’on fantasme sur ma personne. Je n’aime pas qu’on me regarde, je n’aime pas qu’on s’intéresse à moi  et encore moins comme ça. Il a le regard d’un prédateur qui observe sa proie de loin, et j’en ai connu des types comme ça, ça ne donne rien de bon de fricoter avec eux. Grand, des épaules bien bâties, une carrure imposante - bien trop mignon - c’est toutefois son air très sûr de lui qui me rend incroyablement méfiant. Je ne sais pas ce qu’il me veut, ou ce qu’il s’imagine dans sa tête de tordu. Je me redresse légèrement alors qu’il se pose nonchalamment contre le mur, à une distance raisonnable malgré tout – je contiens le sourire amusé qui menace de sortir à cette constatation, preuve que mon allure revêche fait son effet – et je plisse légèrement les yeux lorsqu’il m’adresse la parole. – De garde du corps à vigile, on peut tout se dire, hein ? Parce que, professionnellement parlant bien sûr, t’as un beau cul. Je me mords violemment la langue pour ne pas éclater de rire et conserver mon sérieux face à cet énergumène. Dans ma tête, je ne peux m’empêcher de penser ‘et c’est tout ce qui t’es venu, sérieusement ?’, mais je garde un calme impassible et fronce les sourcils en demandant – T’es garde du corps, hum ? Les bras croisés sur mon torse, je ne peux pas m’empêcher de répondre à la provocation. Ce mec semble juste vouloir s’amuser, et bien que je ne comprenne pas ce qu’il fout là, il n’a pas l’air méchant. – De qui exactement ? La meuf que tu perds de vue sitôt que tu rentres ici ? Heureusement que d’autres gèrent la sécurité dans cet endroit ! – C’est son cul que tu devrais mater non ? Je m’humidifie les lèvres, jette un coup d’œil circulaire dans la salle et demande, un peu abruptement.  – Tu viens pourquoi ici ? Je suis direct, évidemment mais je n’aime pas tourner autour du pot. Si ce soir, il a décidé de venir me parler, c’est qu’il a très certainement une idée derrière la tête – et bien que vu son entrée en matière, je me doute un peu de la chose, je peux toujours être surpris.
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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyMer 26 Juin 2019 - 16:38



Go to heaven for the climate and hell for the company

@Harvey Hartwell

Ca se voit bien que sur l’échelle du sérieux il n’a même pas pris la peine de me donner un numéro (ne serait-ce un), ce qui est une bonne nouvelle pour moi. Il me prend pour le dernier des abrutis alors cela me semble difficile de faire pire. Quoi que je dise je ne peux rien perdre et sur un malentendu je pourrais grappiller quelques points d’estime. Vous voyez que la situation n’est pas si désespérée qu’elle en a l’air et que la soirée s’annonce réjouissante. Il faut seulement savoir trouver le bon côté des choses et c’est un art que je manie à merveille, combiné avec celui d’ignorer totalement les problèmes. Je les pulvérise en leur fonçant dedans (et parfois c’est mon crâne qu’ils pulvérisent). « T’es garde du corps, hum ? » Moi aussi je peine à le croire, parce que je suis tout sauf crédible dans ce rôle. Physiquement parlant, si on passe vite dans le noir et qu’on reste assez loin, je reste un minimum crédible. Le problème se pose pour toute personne ayant au moins écouté deux mots sortant de ma bouche, ils savent bien que je ne suis qu’un gamin. Je resterai toujours un gamin, cela ne changera jamais ; ceci dit j’adapte mes blagues et mes attitudes selon le contexte et on devrait au moins me gratifier pour ça. « J’ai commandé mon pin’s qui stipule “garde du corps off”, il est en chemin là. » J’ai de bonnes idées des fois, je devrais vraiment m’en commander un. Un pin’s rose, ou alors arc en ciel et je l’attacherais fièrement au dessus de mon coeur (l’aspect symbolique, tout ça). Par contre si quelqu’un cherche réellement à se battre j’aurais vite fait de l’enlever ce pin’s de malheur, ce serait comme porter une affiche géante “HIT ME”. Je souffle légèrement et lève les yeux au ciel lorsqu’il commence déjà à me reprocher mes talents innés (-xistants) de garde du corps. Il aime peut être voir des femmes se trémousser sur des hommes en rutes, mais ce n’est pas spécialement mon délire. Je préfère toujours les choco pops. « C’est son cul que tu devrais mater non ? » Deuxième phrase, deuxième question. Quelque chose me dit qu’il ne va pas s’arrêter en si bon chemin. « Généralement la jalousie c’est dans l’autre sens, t’as pas tout compris encore. Et puis te dévalorise pas comme ça, le tien est bien meilleur. » Mais je souris, parce qu’il m’a vu, il m’a observé. Certes, ça fait sans doute parti de son boulot mais hey il m’en faut peu pour être un imbécile heureux. « De qui exactement ? La meuf que tu perds de vue sitôt que tu rentres ici ? » Deux questions en une, il pulvérise tous les records le bougre. C’est l’effet jolies fesses ça. « Si jamais y’a un problème elle pourra toujours m’appeler sur ma Batmontre ou mon Batphone. » Batman est super riche, il doit bien avoir des outils de communication comme ça. Moi en tout cas j’aurais créé ça si j’étais une riche chauve souris. « Tu viens pourquoi ici ? » Oh d’accord, direct dans le vif du sujet. Pas le temps de niaiser, je vois. J’approuve pas tellement mais après tout pourquoi pas. Tant que cela ne m’empêche pas de continuer avec ce sourire condescendant et mes yeux baladeurs. « Discuter avec mon vigile préféré, pour sûr. Regarde tu es là, tout seul, à devoir surveiller tous ces gens ennuyants. Je peux égayer ta soirée rien qu’avec ma présence. »











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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyVen 28 Juin 2019 - 9:58


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- J’ai commandé mon pin’s qui stipule ‘garde du corps off’, il est en chemin là. Ahuri, je mets quelques secondes à comprendre que le type est en train de faire de l’humour. Faut dire que je n’ai pas franchement l’habitude de blaguer de manière générale alors, ça m’fait bizarre. Je ne m’attendais pas à ce genre de réponses qui me fait imaginer un pin’s avec ce genre d’indications. Qui porte encore des pin’s de nos jours par ailleurs ? ça n’a pas genre disparu de la société ça ? Pantois, je ne sais plus quoi dire et me contente de grimacer en arquant les sourcils, légèrement dépassé par la conversation qui vient à peine de commencer. – Généralement, la jalousie c’est dans l’autre sens, t’as pas tout compris encore. Et puis te dévalorise pas comme ça, le tien est bien meilleur. Il  parle de mon cul là ? Bordel ce mec est un ovni et moi j’suis complètement à côté de la plaque. C’est pas mon genre d’être gêné ou mal à l’aise, mais l’assurance qu’il dégage a un aspect un brin dérangeante. Il n’a pas l’air d’être le genre de mec à accepter ‘non’ pour réponse. – J’suis pas jaloux. Que je grogne presque, sur la défensive à présent. Et je rajoute, sans trop savoir pourquoi – J’m’en fous de son cul, du tien aussi d’ailleurs. Autant que les choses soient claires : je m’en fous. Et malheureusement, se disant, je ne peux m’empêcher d’y jeter un œil, comme pour me confirmer qu’il n’en vaut pas la peine. Les réactions de nos corps ne sont pas toujours contrôlables. Je secoue la tête, me renfrogne un peu et serre un peu plus mes bras sur mon torse, croisés. Je m’en fous de son cul. Mes yeux fixent la salle avec attention, je scrute les personnes qui pourraient être causeurs de trouble tout en ayant conscience que mon problème à moi n’est pas prêt de me lâcher. – Si jamais y’a un problème, elle pourra toujours m’appeler sur ma Batmontre ou mon Batphone. Cette réplique m’arrache un sourire que je tente de masquer en vain en baissant la tête. Ce mec est allumé, totalement. – Batman, rien que ça ! Méfie-toi de la Ligue des Ombres, certains traînent par ici. Cela aurait pu être menaçant si malgré moi, je n’ai pas ce sourire amusé sur les lèvres. Non, franchement, qui n’aime pas Batman en vérité ? Je lui aurai bien demandé de me montrer ses gadgets, mais je connais déjà la réponse si par mégarde je lui pose la question. Alors je me tais et rentre dans le vif du sujet : il veut quoi ? Sa réponse ne se fait pas attendre – Discuter avec mon vigile préféré, pour sûr. Regarde tu es là, tout seul, à devoir surveiller tous ces gens ennuyants. Je peux égayer ta soirée rien qu’avec ma présence. Il a donc décidé de me coller ce soir et me voilà bien emmerdé pour le coup ! – Egayer ma soirée, ah ouais ! Et qui te dit que je m’ennuie hein ! Ça ne se voit pas que je m’éclate ? Je ne m’éclate pas du tout et je préférerais largement être ailleurs… Chez Sid très certainement, là où je devrais éviter d’aller d’ailleurs. J’ai encore l’option bouteille de whisky dans mon canap’ sinon, la plus fidèle des compagnes. Pour oublier, encore et encore. Je soupire, puis me tourne vers mon interlocuteur que j’observe un court instant avant de le provoquer – J’aime pas discuter, mais puisque t’as pas l’air d’être le genre à lâcher l’affaire, vas-y égaie ma soirée ! Tu proposes quoi ?


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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptySam 6 Juil 2019 - 12:07



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@Harvey Hartwell

Le pins #MeToo était bien ennuyant, d’autant que toutes les stars se sont mises à en parler donc j’estime qu’une voix de plus ou de moins ne changera rien au problème. Peu de célébrités cependant ont le fameux pins Garde du corps off et je trouve ça bien dommage puisqu’il pourrait sauver de nombreuses vies, plutôt que d’essayer de réparer les pots cassés. Même si vous les réparer avec de l’or ils auront déjà été brisé, et ça ne s’oublie pas. Vous aurez perdu du temps et de l’argent, voilà tout. Auden ne perd ni temps ni argent, il rentabilise chacun de ses actions au mieux. « J’suis pas jaloux. » Voilà que j’ai rendu mon choubidou tout grognon tout à coup, zut alors. Moi qui voulais simplement coucher avec lui, j’ai pas envie de me retrouver à écouter la longue et ennuyante liste de ses horribles péchés. La mienne est plus longue et bien plus amusante de toute façon, il ne fait pas le poids. De toute façon, je m’en fous. « J’m’en fous de son cul, du tien aussi d’ailleurs. » Il fait le gros brute avec ses bras croisés et sa mine méchante, mais le premier dude qui vient le titiller le repousse dans sa zone défensive. Si ça ça cache pas un manque flagrant de confiance en soit, c’est que je suis pas le dernier des abrutis. Et tout le monde sait que c’est ce que je suis. Un sourire se dessine sur mes lèvres, carnassier, alors que mes yeux s’arrêtent un instant dans les siens dans le seul but de le chercher encore plus. Son regard à lui s’est perdu autre part, bizarrement. « Mais j’ai jamais dit que tu t’interessais au sien mon grand. » Règle numéro un : tous les hommes ont un ego surdéveloppé, règle numéro deux : aucun homme n’aime qu’un autre homme n’utilise de quelconques mots doux envers lui. Je crois que je viens d’ébranler les deux en une seule phrase, pourtant si douce. Zut alors, comment va-t-il me punir ?
Il sourit enfin avec la blague sur Batman et mon ego n’en est que davantage augmenté. Vous voyez, que je suis vraiment un gars drôle. On pourrait presque avoir envie de devenir avec moi à ce rythme là. Presque, parce que même drôle je reste un connard. « Batman, rien que ça ! Méfie-toi de la Ligue des Ombres, certains traînent par ici. » Ma culture DC n’est pas très étendue à vrai dire, en dehors de Batman, du Joker et de tous les Robin qui ont suivi j’ai pas tout compris. Y’a trop de trucs à lire et à suivre en même temps … C’est pas ma faute si j’avais pas dix années de libres devant moi. « Je compte sur mon vigile préféré pour me protéger alors. » Damn, on va finir par croire que c’est moi le gars en dessous à force. Comme si ça pouvait réellement arriver un jour ahah, no way. J’aurais tenté une approche physique en faisant glisser mon index de sa pomme d’adam vers mon menton mais je sens mon vigile un peu tendu et à ça de me filer un coup de poing. Je me retiens donc sagement, jusqu’à ma prochaine frasque. « Egayer ma soirée, ah ouais ! Et qui te dit que je m’ennuie hein ! Ça ne se voit pas que je m’éclate ? » Et me voilà déjà à faire la moue et retrousser ma lèvre inférieure tout en amenant ma tête de gauche à droite sans discontinuer. A sa place je m’emmerderais tous les soirs, et si c’est que ça je peux donner un peu de ma personne quelques soirs de ci de là, ça suffirait amplement à lui rendre le sourire à mon avis. J’ai mes techniques secrètes (pas si secrètes) après tout. « J’aime pas discuter, mais puisque t’as pas l’air d’être le genre à lâcher l’affaire, vas-y égaie ma soirée ! Tu proposes quoi ? » « Je connais plein de passe-temps qui n’incluent aucune parole tu sais ... » Et lui qui reste aussi aimable qu’une porte de prison et tendu comm un string, je pense qu’il est encore un peu tôt pour ce genre de propositions là. D’accord, je réessayerai plus tard, je ne m’en fais pas du tout pour ça. Avant, j’aimerais sûrement l’éloigner de toute cette foule de gens horripilants et malodorants, l’avoir rien que pour moi. Je suis un con qui a observé sa proie quelques temps, et qui peut bien laisser Lexie à ses affaires vu que je n’en ai de toute façon rien à foutre. « C’est à toi la bécane dehors ? J’ai vu des gamins tourner autour tout à l’heure, et ils avaient l’air vraiment intéressés … Et pas intéressés pour mettre des stickers Dora, tu vois le genre. »











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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyDim 7 Juil 2019 - 17:49


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→ Apparemment, j’ai chopé le gros lot ce soir. Je n’ai pas vraiment l’habitude des mecs qui en ont après mon cul, l’époque de l’université et des pipes dans les vestiaires est loin derrière, depuis je suis plutôt le genre renfermé à qui on n’ose pas vraiment s’adresser. Y’a que quand je sors, quand l’alcool brûle mon corps, quand j’ai envie de m’oublier que j’arrive à me laisser aller un peu…  Si peu finalement. –Mais j’ai jamais dit que tu t’intéressais au sien mon grand. Je tourne mon visage vers lui. ‘Mon grand’. Je l’observe un instant, plus en détails. Je m’attarde sur sa posture, sur sa façon d’être, son trop plein de confiance, petit sourire lubrique qui ne masque rien de ses intentions.  Je sais ce qu’il  veut et ça me paraît un peu fou.  Car de tous les culs qui se trémoussent ici, il vient pour le mien.  Je pourrais trouver ça flatteur, mais non. Ça ne l’est pas.  Ça ne l’est pas car il me regarde avec un air carnassier, comme un félin qui se prépare au festin, vorace et brutal. Je ne serais pas sa proie ce soir, il va falloir qu’il  se trouve un autre cul à ramoner. – Ni au tien. J’insiste. C’est mort, passe ton chemin. Cependant, il reste. Il continue de parler et arrive malgré tout à me faire sourire en évoquant Batman. Familier avec cette culture, je lui réponds de se méfier, car si Batman a plein de gadgets, il a aussi beaucoup d’ennemis. La chauve-souris la plus connue de l’histoire n’est pas celle qui morfle le moins pour le coup. – Je compte sur mon vigile préféré pour me protéger alors. Et cette remarque me fait lever les yeux au ciel. C’est si puéril. Pourtant ce mec doit avoir quel âge ? Oh il est plus vieux que moi, ça n’fait aucun doute. J’suis pas mal amoché par la vie, donc j’fais plus vieux mais je ne suis pas sûr que ce soit son cas. Il n’a pas l’air d’en avoir chié lui, il a l’air de s’amuser, tout simplement. Et je ne vais pas m’attarder sur la psychologie du personnage, ce serait clairement une perte de temps épuisante. – Un grand garçon comme toi ? T’as pas besoin qu’on te protège. Et il devrait se méfier, car le Confidential Club n’attire pas  que des gens de bonne famille. Il y a tout un tas de malfrats qui rôde ici et qu’il ne faut pas contrarier bêtement. Perdre un membre est si vite arrivé lorsqu’on ne sait pas se la fermer. Je lâche un soupire avant de le relancer, sans raison valable. Peut-être celle qui fait que je m’ennuie, que je sens l’irritation nourrir mes veines et les gonfler de colère. J’ai besoin d’autre chose ce soir. Je sais exactement de quoi. – Je connais plein de passe-temps qui n’incluent aucune parole tu sais… Pas ça. Je n’ai pas envie de ça. Pas avec lui en tout cas, même s’il est plutôt mignon. – J’veux pouvoir marcher droit demain. Que je réponds simplement, blasé. Il n’est pas du genre à se laisser faire de toute façon, ça se voit. Peut-être que je me trompe, mais ça m’étonnerait. Les fanfarons qui aiment se glisser entre des fesses bien musclées pour ensuite faire les offensés dès que tu t’approches un peu trop près de la zone, j’connais. J’suis pas intéressé. – C’est à toi la bécane dehors ? J’ai vu des gamins tourner autour tout à l’heure, et ils avaient l’air vraiment intéressés… Et pas intéressés pour mettre des stickers Dora, tu vois le genre. Je n’ai pas la référence. C’est qui cette fucking Dora hein ? Mais je vrille direct en imaginant des petits cons toucher à ma bécane. Fichue ruelle de merde. – Fais chier ! J’interpelle mon collègue, oubliant automatiquement mon homologue pour me presser vers la sortie après m’être fait remplacer. Je sors, le sang qui pulse, le regard alerte et m’avance vers l’enfin rutilant pour en faire le tour et constater les dégâts. Je me penche, scrute tout dans les moindres détails mais ne trouve rien à redire. Je fronce les sourcils, me relève et contemple la ruelle où règne un calme olympien. S’il y avait des gamins ici, ils ont vit déguerpis. Ça se déplace toujours en groupe bruyant les jeunes ça beugle dans tous les sens alors même à deux rues d’ici je les entendrais. Mais y’a personne. Y’a personne qui a touché à ma moto et je souffle, agacé. Pour calmer mes nerfs, je sors une clope de mon paquet et lorsque je me tourne vers l’entrée du Confidential Club, je le vois à nouveau. Le type louche. Celui avec sa grande gueule. Qui  en a après mon cul. Je fronce les sourcils en le voyant venir à moi, avec sa démarche confiante et son sourire amusé. Je tire sur ma clope, plisse les yeux et demande avant qu’il n’arrive à ma hauteur. – Y’avait vraiment des gamins ici ? Je ne sais pas pourquoi il inventerait une histoire aussi tordue, sachant que ça ne ferait que m’énerver au lieu de me mettre en condition pour… ce qu’il a envie d’obtenir de moi.  – J’ai pas que ça à foutre tu sais, je bosse et j’tiens pas à m’faire virer à cause de ta lubie de la soirée. Si t’as envie de te faire un cul ce soir, je te suggère d’en chercher un autre avant que je ne finisse par te péter les dents. Tu piges ? Et je ne plaisante pas.  Le regard fixe, vide d’émotions, les mots sortent avec conviction car ouais, j’ai les nerfs. Et lui péter la gueule me permettrait d’extérioriser un peu de frustration alors, je ne suis pas contre.  En grand seigneur, je lui laisse le choix de s’en tirer avec sa dignité.


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SURNOM : Il répond à tout, surtout aux insultes.
STATUT : Dire à Ginny qu'il veut divorcer: check. Dire à James qu'il l'aime (à un moment pas opportun du tout): check.
MÉTIER : Meilleur peintre d'Australie. Il n'a rien peint depuis deux ans, le sujet est automatiquement censuré pour quiconque tente de l'aborder.
LOGEMENT : Le passage chez James a été aussi bref que chaotique, finalement. Il reste à l'hôtel en attendant de trouver autre chose.
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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyMer 24 Juil 2019 - 17:36



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@Harvey Hartwell

Là c’est le moment où même moi je commence à sentir que j’ai merdé. Si même mon cerveau commence à se rendre compte de quelque chose c’est que tout est vraiment évident. Je souris encore à ses dernières remarques, toujours égal à moi même. Il juge nécessaire de préciser qu’il ne s’intéresse pas à mon cul et je ne relève pas, n’en pense pas moins cependant. Il a l’air d’avoir besoin de se justifier de tout, un genre de gros bras au coeur sensible. Je ne joue pas au psy ni à l’oreille attentive mais je dois avouer que ce genre de psychologie m’attire, que j’aime les user et les pousser à bout pour déterminer leur limite. Pour qu’ils se cassent une fois dans un bruit sourd, que je souris et tourne les talons en sifflotant. Lui ne cassera pas, assurément, mais cela ne m’empêche pas de continuer à l’exaspérer car c’est ce que je fais le mieux dans ce bas monde. Mon sourire s’agrandit lorsqu’il m’annonce que je suis un grand garçon qui n’a pas besoin de protection. C’est bien vrai, mais l’avoir comme garde du corps aurait été loin de me déranger. Ceci dit lorsqu’il faut être sérieux je sais le devenir, que ce soit pour me protéger moi (en priorité, oui) ou le peu de personnes sur lesquelles je compte vraiment. Je préfère cependant me la jouer grand dadais niais tout le reste de l’année car cela ne me demande aucun effort et que le jour où cette mascarade prendra fin personne ne saura à quoi s’attendre. Magnifique. Cependant ce soir n’est pas encore le jour des révélations et la patience du joli brun semble avoir atteint ses limites (j’ai rigolé de Titine, on rigole pas de Titine). « J’veux pouvoir marcher droit demain. » Et mon sourire carnassier qui ne cesse de s’agrandir, comme si je le bouffais déjà du regard. Il n’a pas eu peur de mettre des mots sur mes désirs (et leurs conséquences) et j’aime définitivement ça. Je ne l’en aurais pas cru capable à vrai dire. Trop sage, trop rangé. Il m’étonne, m’intrigue et m’attire encore plus alors qu’il ne cesser de refuser mes avances les unes à la suite des autres. Peu importe, j’aime le challenge. Je ne coucherais sûrement pas avec lui ni ce soir ni jamais mais j’aime garder cet espoir en tête. Ce rêve fou et inaccessible de scruter son corps nu et de l’imaginer en peinture - mon passe temps favori. « On peut y aller doucement pour ta première fois. » Et moi d’être incapable de la fermer alors que j’ai vraiment essayé de pincer mes lèvres pour qu’aucun mot n’en sorte. Tu fais chier, Aude.
Et voilà ma proie qui fuit déjà à l’extérieur quand j’énonce qu’on a possiblement touché à ses noisettes (je l’imagine en écureuil, ne pensez pas à une métaphore sexuelle voyons). Il s’énerve aussitôt mon petit vigile, perd tout le sang froid qu’il avait précieusement gardé jusque là. Ses poings se serrent, ses sourcils se froncent et il hausse aussitôt le ton. Il y tient vraiment à sa bécane le con, ce n’est pas qu’un cliché. Alors moi je croise les bras, je le suis calmement vers la sortie, sourire aux lèvres. Lui qui la scrute dans tous les sens à la recherche de la moindre égratignure inexistante, je serais presque capable de voir une goutte de sueur perler sur son front. Il se calme enfin, l’ours mal léché, après de longues minutes. Il souffle, il râle, il sort une clope pour se calmer. Cliché. Ennuyant. Je me relève du mur contre lequel je m’étais adossé d’une épaule et reviens vers lui, quelque peu suicidaire sur les bords. Incapable de laisser mon sourire de côté je vois bien qu’il a atteint un autre niveau d’énervement là et que pour le coup il ne va pas être mon protecteur mais plutôt mon bourreau. J’ai peut être besoin de me faire recadrer, ouais. « Y’a bien dû y avoir des gosses à un moment donné. » J’arrange pas mon cas, je l’empire, je creuse ma propre tombe. Je fais tout pour qu’il perde patience. Je le cherche et je sais où il va en venir. Il continue de me prévenir, de me dire de reculer, de me coucher, d’arrêter de jouer au plus con parce que ça j’ai déjà gagné le prix. Il me menace et ça marche, il est plus grand que moi et il n’a pas cet air d’éternel enfant sur le visage. Il a ses yeux posés sur le mien, ils lancent des éclairs. J’arrête de sourire, ça ne me fait plus rire. La discussion prend un nouveau tournant qui me plait tout autant, mais qui ne me fait plus rire. « Si c’est ce qui t’excite vas-y. Frappe moi. » Mes bras se décroisent, laissent mon corps sans protection aucune. Mon sourire n’est peut être plus là mais je soutiens son regard. J’ai peut être une partie de moi qui n’a jamais grandi, mais tout le reste connaît bien les tourments de la vie d’adulte. Ce n’est pas une provocation mais une supplication.











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Message(#) Sujet: Re: go to heaven for the climate and hell for the company | harvey go to heaven for the climate and hell for the company | harvey EmptyJeu 25 Juil 2019 - 22:28


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→  - On peut y aller doucement pour ta première fois. Ma première fois… Il est mignon. Mais faut pas qu’il s’fasse d’illusions, il n’y aura pas de fois tout court. Je n’ai pas chaud au cul au point de coucher avec le premier type qui s’pointe et qui n’se respecte pas et n’essaie même pas de me respecter. Et ce n’est pas parce que je fais un job de merde que je n’en ai pas dans le crâne. Les gens font souvent l’erreur, ils jugent trop vite. Ils s’intéressent à tout ce qui est surfait, ne cherchent pas à creuser car on s’en fout non ? Dans cette putain de société de consommation, l’important c’est de prendre, d’engranger au max sans états d’âmes, n’est-ce pas ? Et rien à foutre si c’est l’enfer qui nous accueille ensuite, c’est pas sur Terre que nous nous serons fait baiser en tout cas. Que tu crois… Le karma il nous baise tous en vérité. Et il le baisera lui aussi, malgré son air narquois, son petit sourire méprisant en coin, son petit air supérieur insupportable. Il s’est peut-être même déjà bien fait baiser tiens. J’suis pas psychologue, et je n’ai pas envie de l’analyser mais faut pas avoir grandi dans un environnement très sain pour chercher aussi profondément les emmerdes et s’amuser de faire chier les gens. C’est qu’il va loin, trop loin, mais j’ai de la bouteille avec les connards et ce n’est pas le premier que j’ai maté. J’ai trainé mes guêtres dans des endroits peu recommandables trop de temps pour me sentir réellement menacé par ce genre d’attitude. Je soupire, plus de lassitude que d’agacement au final et décide de ne pas lui répondre. Il ne le mérite pas, c’est tout.

Et puis, il insinue que des foutus gamins auraient pu toucher à ma bécane. Et ça, c’est le genre de trucs qui m’fout les nerfs. On touche jamais à la bécane d’un autre putain, c’est une question de vie ou de mort, tout le monde devrait le savoir. Ça a le don de me mettre hors de moi, réminiscence de temps révolu où j’ai été prospect pour un gang de motards, et je me débrouille pour prendre une pause et me faire remplacer quelques instants. Pour constater les dégâts et agir en conséquence. Sur le trajet, je me maudis intérieurement car je n’habite pas si loin et la flemme ne justifie pas que j’expose ma ducati à ce genre de conneries. Sauf que lorsque j’arrive devant ma bécane,  que j’en fais le tour et l’observe avec minutie, il n’y a absolument rien. Aucun signe de détérioration, et personne dans la ruelle. Je me redresse et décide de m’autoriser une pause clope pour m’aider à redescendre un peu. C’est alors que je le vois, l’autre taré et qu’il vient vers moi. Et c’est un peu comme un chien enragé que je lui saute à la gorge et le menace, sentant ma patience s’effriter tout autour de moi. Il aura suffi de mettre le droit sur l’unique plaisir que je m’octroie dans ma vie : ma fichue bécane pour me faire sortir de mes gongs. Et je le vois perdre son sourire, le type, il perd son sourire mais n’en démords pas et garde son regard bien ancré dans le mien. Il y a autre chose qui illumine son regard d’obsédé, un truc qui m’échappe totalement, que je ne comprends pas et qui ne m’intéresse définitivement pas.  – Si c’est ce qui t’excite vas-y. Frappe moi. Je manque d’en lâcher ma clope au sol, totalement décontenancé par cette réponse qui n’en est pas vraiment une, et qui semble être l’expression d’un désir inavouable. Je lève les yeux au ciel, secoue la tête et jure – Putain mais t’es vraiment un malade ma parole ! Waow ! Limite il me ferait flipper maintenant. Il était vraiment tordu comme type, et carrément désespéré. Vraiment pas pour moi. – Tu veux te faire cogner, c’est ça ? Tu l’veux vraiment ? Je jette un coup d’œil autour de nous, vérifiant que personne ne surprenne notre conversation et j’hausse les épaules. – Parce que si c’est ça que tu veux, j’connais l’endroit parfait pour toi. Et les mecs parfaits pour ça, aussi. S’il a vraiment envie de se confronter à plus fort que lui, ce n’est pas un problème. Je connais des mecs qui s’feront un malin plaisir à dégommer sa belle gueule ou à lui défoncer le cul si c’est ce qui l’fait kiffer. Il ne donne pas l’air d’aimer s’faire dominer comme ça, mais les apparences sont souvent trompeuses après tout. – Mais compte pas sur moi pour t’maraver la tronche ici, tu le mérites pas.



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willton #18 › don't tell me this is all for nothing. i can only tell you one thing: on the nights you feel outnumbered, i see everything you can be. i'm in love with how your soul's a mix of chaos and art, and how you never try to keep 'em apart.

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ginauden #114 › can you hear the rumble that's calling? i know your soul is not tainted even though you've been told so. i can feel the thunder that's breaking in your heart, i can see through the scars inside you. now there is nothing between us. from now our merge is eternal. can't you see that you're lost without me?

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damen #15 › my high hopes are getting low but i know i'll never be alone. it's alright, we'll survive 'cause parents ain't always right. every morning he would wake up with another plan. mum and dad, they couldn't understand why he couldn't turn it off, become a better man. all this therapy eats away gently at the side of hid mind that he never had. this story told too many times.

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modeo #5 › young, dumb. now all the words are my own, but i don't want you to judge. i thought inspiration was all about fun, life's been eating me up it's poisoned my cup and if i leave the house, i'll get hit by a truck.

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famiglia: savannah #9 › intense, graphic, sexy, euphoric, provocative, edgy, thought-provoking, technically and visually stunning. a compelling work of science fiction, a suspenseful exposé. cinema like you've never seen it before. the exotic, bizarre and beautiful world. this is your invitation to enter.

RPs TERMINÉS : (beaucoup.)
cf. fiche de liens

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AVATAR : Richard Madden
CRÉDITS : tearsflight (avatar) › richardmaddendaily (gif) › harley (gif damon & james) › fuckyou (gif ginny) › louisbxne (gif ugo) › loonywaltz (ub)
DC : Swann, Lily, Rhett & Ambrose
PSEUDO : Kaelice
Femme (elle)
INSCRIT LE : 29/05/2019
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@Harvey Hartwell

Il comprend rien de rien le vigile. Il s’énerve alors qu’il n’y a aucune raison de le faire, pense que je suis un masochiste ou un truc dans le genre. J’esquive les coups, c’est ma spécialité. Si j’avais voulu qu’il me frappe j’aurais été pire, bien pire. Il ne sait pas que là il a à faire à un Auden sage, dans son bon jour. Il comprend pas tout ce qu’il y a derrière mes mots mais sans doute que j’avais trop d’espoir en lui. Compris, plus aucune foi en l’humanité maintenant. Cela ne me changera pas réellement de d’habitude ceci dit. Je ne sais pas réellement pourquoi j’ai cru à un changement cette fois ci. T’es con Auden, trop con. « Putain mais t’es vraiment un malade ma parole ! Waow ! » Waow, quelle originalité, on ne me l’avait jamais faite celle là. Une première, oui, bien sûr. Je suis tenté de lui rétorquer que de nous deux il n’y en a qu’un au bord des larmes à l’idée que des gamins aient touché son bout de métal. Ceci dit si moi aussi je payais trois bras pour un bout de métal, je me sentirais vraiment con. Mais encore une fois, ce ne sont pas mes oignons, pas mes problèmes ; on va encore me dire que je suis un malade ensuite. « Tu veux te faire cogner, c’est ça ? Tu l’veux vraiment ? » Non. « Parce que si c’est ça que tu veux, j’connais l’endroit parfait pour toi. » Non. « Mais compte pas sur moi pour t’maraver la tronche ici, tu le mérites pas. » Non. Il jette des regards aux alentours et pendant un instant mon coeur s’accélère parce que je crois réellement qu’il va me lâcher un poing dans la gueule. Il ne le fait pas. Il s’énerve, il hausse le ton, il est à ça de m’insulter aussi. Mais pour le moment il ne me frappe pas. J’y ai cru pendant un instant, vraiment, parce qu’apparemment faut pas toucher à Titine. Noté, la prochaine fois je lui casserai moi même sa foutue moto. Là il aura vraiment une bonne raison pour me casser la gueule, et sans doute que je me laisserais faire même si je suis pas un poids plume et que je pourrais aisément lui coller quelques beignes au passage. Je dis pas que je le mettrais ko, mais il aurait des marques c’est certain. Je vis pas pour me faire frapper, j’ai vraiment d’autres buts dans la vie, mais parfois ça me fait du bien. De me faire remettre les idées en place. De me souvenir que le monde c’est de la merde (au cas où j’ai eu une lueur d’espoir dans un moment de folie) et que les êtres humains c’est de la merde aussi. De me souvenir que rien ne vaut la peine qu’on s’attarde dessus si ce n’est l’art. Au moins mes tableaux me feront jamais chier.
Ma langue claque sur mon palais en signe d’agacement. J’ai même plus la foi de continuer mon jeu, de continuer à sourire en me faisant passer pour le petit con en rute du quartier. Le jeu est terminé, c’est bon, ça ne m’amuse plus. « T’es con. Tu comprends rien. » Ouais, c’est ce que je disais au début, il m’aura seulement fallu plusieurs minutes avant que ça devienne vraiment des mots et plus seulement des pensées. Je réagis comme un gamin de quinze ans qui fait son coming out et qu’essaye de pas pleurer ; je suis sûr que ça se passe comme ça. Je renonce à jouer ce soir. Mes mains rentrent dans mon pantalon et je romps le contact visuel, contourne sa putain de bécane et envoie un caillou s’écraser contre le mur avec mon pied. Mes yeux se posent sur le bitume au fur et à mesure que je m’éloigne du type qui crie trop fort. Il n’est pas foutu de parler sans s’énerver, pas drôle pour un sou. C’est dommage parce qu’il avait réellement un joli cul. Je ne fuis pas de peur qu’il mette ses menaces à exécution (qu’il essaye donc) seulement j’ai appris à reconnaître quand la partie était terminée, quand tout le monde est bien trop défoncé en soirée pour que ce soit encore amusant. On y est. « Fais plus gaffe aux gamins la prochaine fois. »











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