(#) Sujet: Re: (Alec #2) • Everything's silent and your head just sweating Dim 27 Sep 2020 - 21:42
@RAELYN BLACKWELL & ALEC STRANGE Everything's silent and your head just sweating ⤜⤐⤞
⇜ code by bat'phanie ⇝
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
ÂGE : 37 ans (23.12.1986) - capricorne ascendant scorpion SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn. STATUT : Amos a bouleversé toutes ses certitudes : la reine des glaces est loin désormais, et le couple s'est marié à l'abri des regards en avril 2022. Ils sont parents d'une petite Micah depuis deux ans. (26.12.2021) MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Copropriétaire avec Amos de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie. LOGEMENT : Maintenant à trois, dans un vieil entrepôt transformé en luxueux loft au 721 Daisy Hill Road à Logan City. L'adresse de leur domicile est un secret que le couple garde jalousement. POSTS : 31524 POINTS : 0
TW IN RP : Prise et mention de drogues dures, overdose, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, alcool. ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.CODE COULEUR : indianred. RPs EN COURS :
amelyn #96 ☆ i don't know just how it happened, i let down my guard, swore I'd never fall in love again but I fell hard. you came into my crazy world like a cool and cleansing wave. before I knew what hit me, baby, you were flowing though my veins. i'm addicted to you, hooked on your love, like a powerful drug i can't get enough of.
spencer #13 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.
danaë #1 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.
AVATAR : Lady Gaga CRÉDITS : ganesha (avatar), harley (crackships amelyn, gif spencer), amengaga (gif profil) & pinacolanagifs (gif danaë) DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Tom Blyth) PSEUDO : stairsjumper INSCRIT LE : 21/02/2019
(#) Sujet: Re: (Alec #2) • Everything's silent and your head just sweating Lun 5 Oct 2020 - 9:44
Everything's silent and your head just sweating Raelyn Blackwell & @Alec Strange
Bien sûr que, sous l’emprise de la cocaïne, je suis plus dure, plus agitée, plus nerveuse mais ce n’est pas elle qui me pousse appuyer là où ça fait mal, à frapper Alec en visant des failles que je sais existantes, à frapper en étant certaine de toucher et de faire mal. Elle ne me pousse pas à affabuler non plus : s’il se regarde dans un miroir en réfléchissant à mes mots il saura que j’ai raison, il le sait même peut-être déjà. Cherche-t-il à se rassurer en prétendant que je mens ? Que je raconte n’importe quoi et que je n’en sais rien ? A se rassurer ou à garder la face mais, du reste, je n’ai pas l’envie d’y réflechir : ça n’a plus la moindre importance à mes yeux. Je ne suis pas ici pour sauver notre amitié ou ce qu’il en reste, je ne suis ici que parce que j’avais besoin de le regarder dans les yeux au moment où il comprendrait que je sais, parce que j’avais besoin de contempler à quel point il n’était que dupe et traîtrise. Nous ne sauverons rien, pas maintenant, ni jamais. « C’est ta poudre qui parle. T’essayes de me blesser juste parce que t’es blessée. Mais j’ai aucune envie de me barrer. Je suis ici, j’le reste. Le Club c’est ma famille. Et personne n’en doute. » Je laisse échapper un rire mauvais. « Personne n’en doute. » Je secoue la tête et je répète une seconde fois son assertion : est-il assez naïf pour penser qu’il a su garder secret ses états d’âmes ? Qu’il n’existe pas aux Clubs d’autres observateurs, à mon image, qui ont constaté que quelque chose clochait ? Mitchell s’il n’est pas trop centré sur son nombre s’en sera aperçu, cela ne fait pas le moindre doute pour moi. « Elles sont jolies en tout cas les histoires que tu te racontes pour dormir le soir. » Celle ci, celle qui dit qu’il a fait ce qu’il fallait après la mort d’Aaron, qui c’est acceptable de m’avoir menti puisqu’il a été à mes côtés : ça ne l’est pas, c’est dire encore à mes yeux.
Il me demande ce que je compte faire est la réponse m’apparaît comme une évidence : je pars, évidemment que je pars. Je ne pars pas pour quitter le Club, j’y ai construit ma vie, je pars pour le laisser lui, pour laisser Mitchell, pour ne jamais plus avoir à contempler leurs visages de traîtres. « Je compte pas te laisser tu comprends ça ? Je vais t’appeler, je vais chercher à te voir. » Je l’ignore, il cherche le contact visuel et moi, je me dirige vers la porte d’entrée, je disparais aussi vite que je suis arrivée. « Grand bien te fasse. » J’aurais pu lui dire que je m’en fous, parce que c’est le cas : il trouvera porte close et je ne répondrai pas à ses sollicitations. Il me sait rancunière le brun, il ne peut pas décemment attendre de moi que je pardonne l’impardonnable. « Le fais pas. Fous moi la paix. » Qu’il cherche à me contacter à présent, il le fera avec la certitude que ce n’est pas ce que je veux, que je n’aspire qu’à le faire disparaître de ma vie. « Je sais que j’aurais dû te le dire avant ou convaincre Mitch de te l’avouer. Et je l’ai pas fait. Je suis désolé. » « Va te faire foutre. » Je n’ai que faire de ses excuses : elles arrivent douze ans trop tard. « Tu peux garder tes excuses. » Agitée, j’ouvre la porte je ne lui jette qu’un dernier regard : un regard froid, un regard mauvais. « Te fatigue pas à m’appeler. Te fatigue pas à chercher à me voir : je répondrai pas. » Finalement je tourne la tête et, sans un regard en arrière, sans chercher à voir s’il tente de me suivre ou de m’arrêter, j’enroule mes bras sous ma poitrine et j’accélère le pas : j’ai encore mes comptes à régler avec son frère mais j’en ai terminé avec Alec Strange.
:
(Alec #2) • Everything's silent and your head just sweating