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 ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming

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AuteurMessage
Mac Sutherland
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
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POSTS : 997 POINTS : 310

TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental)
TW IRL : age gaps romancés, grooming
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
CODE COULEUR : #996699
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SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

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DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

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MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.

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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.

marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 --

uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives --
RPs EN ATTENTE : spencer ua #4
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AVATAR : hailee steinfeld
CRÉDITS : mcximoffss (avatar), harley (crackships)
DC : elena, la trésorière du dumb bitch club
PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/mononoski
Femme (elle)
INSCRIT LE : 09/01/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t42405-preach-the-sinner
https://www.30yearsstillyoung.com/t42439-le-noir-dedans#2131297
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Message(#) Sujet: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyMer 12 Jan 2022 - 14:19



Je sais pas trop à quel moment j’ai arrêté de me sentir mal, de baliser à chaque fois que je te vois ou que tu me proposes d’aller boire un verre ; quand est-ce que j’ai arrêté de regarder par-dessus mon épaule à chaque sortie ou chaque retour de chez toi, tout est flou, tu me fais oublier le reste et c’est sûrement ça que je préfère chez toi. Y a Margot dans un arrière-plan très vague et très lointain, son absence de questionnements qui ne me pèse plus comme il le faisait alors, le manque de jalousie dont je profite au lieu de m’en formaliser comme avant.
J’ai rien compris à votre histoire de cambriolage, d’ailleurs je m’en fous ; l’occasion de te proposer de passer quelques jours chez moi m’est tombée dessus et je n’ai pas réfléchi outre mesure avant de te le proposer. C’est complètement débile, je le sais : d’ici quelques jours, Margot va m’appeler, me demander ce que je fous et pourquoi je lui propose pas de venir, elle risque de débarquer à l’improviste ou pire, de découvrir de tes affaires oubliées chez moi, mais tout ça c’est lointain, c’est un flou artistique qu’on considère du coin de l’oeil sans vraiment le voir, et je suis bien trop volontaire à oublier pour mon propre bien. Pour l’instant, il n’y a que toi, mon envie de te voir, d’être près de toi, et qu’importe ce qu’il en coûte ensuite. « Dis-donc, t’as pris tout ton appart avec toi, ou quoi ? » que je lance en ouvrant la porte, te contemplant sur mon paillasson avec tes trois affaires foutues en vrac dans un minuscule sac, ta bite, ton couteau et ton désespoir ; je saisis ta main pour t’amener vers moi et t’embrasser, parce que ça aussi c’est devenu naturel, ça me fout même plus le rouge aux joues. Je referme la porte sur nous, ma main caressant distraitement le bas de ton dos et je reviens sur ma blague à la con, me réveillant soudainement face à ce que je viens de dire : « Merde, excuse-moi, c’était super con comme blague. » Je fais la nana attentionnée deux secondes, je me fais passer pour celle qui est désespérée que sa pote se soit faite cambrioler plutôt que celle qui est ravie que tu viennes camper chez moi le temps que ça se tasse. « Ca va ? T’es pas trop secouée ? » Ca semble être la moindre des choses à demander même si tu n’es sûrement pas dupe. Après tout, peut-être que tu viens vraiment pour être à l’abri, pour éviter une autre intrusion ; j’en sais rien et je m’en fous. Ca fait longtemps que j’ai arrêté d’essayer de te comprendre toi, de saisir ce que tu veux auprès de moi ; tu me souffles le chaud et le froid, tu te montres détachée et pourtant tu restes chaque fois un peu plus, tes gestes s’attendrissent. Je ne sais pas ce que je veux non plus, mais je prends ce que tu me donnes.

@Eleonora Parker


if it brings me to my knees it's a bad religion -- to me it's nothing but a one-man cult and cyanide in my styrofoam cup (c)flotsam.
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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyMer 19 Jan 2022 - 6:36


Ce n’est pas que tu avais réellement besoin de dormir ailleurs pendant quelques jours. Oui, ton appart était en bordel, oui, il te manquait quelques trucs de valeurs – pas grand-chose parce que les trucs de valeurs, tu n’en possédais pas des masses à la base – et oui, même si tu refusais de l’avouer, tu étais un peu secouée à l’idée que quelqu’un puisse revenir (même si franchement, il ne restait pas grand-chose à prendre.) Non, tu aurais pu rester chez toi dans ces conditions, mais quand tu avais mentionné vite fait le cambriolage à Mac, elle avait plutôt décidé de t’inviter chez elle pendant quelques jours et l’occasion était trop belle pour passer à côté. Parce que normalement, c’est toi qui devais gratter pour toujours un peu plus de temps avec elle. Parce que normalement, c’est avec une autre qu’elle devait être et toi, tu ne pouvais que venir la titiller ici et là, pour lui rappeler qu’avec le temps, tu avais appris à connaître tous ses points faibles, jusqu’à devenir son ultime point faible, ou du moins, c’est ce que tu aimais te faire croire. Alors oui évidemment, que tu arrives chez elle avec le peu d’affaires que tu possèdes encore, l’infime quantité d’herbes que les voleurs n’ont pas trouvé – contrairement à ton stock de pilule qui lui a disparu, évidemment – et ton humeur toujours aussi massacrante, même si ça, ça ne l’a jamais fait fuir, la brune. Mais surtout, surtout, avec l’envie de la voir et le besoin que pour quelques heures, quelques jours peut-être, elle te fasse oublier tout le reste.

« Dis-donc, t’as pris tout ton appart avec toi, ou quoi? » T’as même pas encore mis le pied dans l’appart que tu lui fais déjà la gueule, à la brune, mais elle t’attrape par la main, elle te ramène à elle et t’oublie sa blague à la con quand ses lèvres trouvent les tiennes, comme si c’était naturel, comme si c’était normal, comme si c’était ce que vous deviez faire alors que non, non. Mais tu te laisses faire, tu ne te tannes pas de ça, tu ne te tannes pas d’elle parce que justement, c’est rien tout ça, c’est une bulle à part, et si ça risque d’exploser d’un instant à l’autre, ça ne veut pas dire pour autant que tu ne vas pas profiter de tous les avantages qu’elle t’offre la bulle, en attendant. « Merde, excuse-moi, c’était super con comme blague. » « Tu crois? » Et si tu pourrais prétendre être offensée plus longtemps, c’est l’envie de l’embrasser à nouveau qui parle plus fort que le reste alors que tu glisses une main dans son cou pour mieux retrouver le goût de ses lèvres. « Ça va? T’es pas trop secouée? » Tu fais signe que non de la tête, mais tu ne te décroches pas d’elle, de tes mains sur ses hanches, de la sienne dans ton dos. « Y’avait pas grand-chose à voler, va savoir pourquoi ils se sont attardés là. » que tu lui offres comme la seule conclusion de toute cette histoire à la con, même si t’as plus le pendentif de ta mère et que ça, ça te fait chier bien plus que tout le reste. Pas question de te montrer vulnérable toutefois, pas devant elle, jamais. « Ils ont trouvé tout mon stock. » Alors évidemment, tu fais comme si le manque de tes pilules et de tes sachets te poudre était la pire chose qui soit. « J’espère que t’as quelque chose à m’offrir pour me calmer les nerfs. » que tu demandes, mine joueuse égayant déjà tes traits d’ordinaires toujours bien trop ternes. Tu demandes encore, toujours un peu plus, elle devrait le savoir Mac et pourtant, elle semble toujours avoir de quoi t’offrir et toi, que tu veuilles l’admettre ou non, tu le prendras toujours. « Sinon c’est toi que j’vais utiliser pour me calmer les nerfs. » que tu glisses dans son oreille alors que tu viens la mordiller, juste là, dans le creux de son cou, là où tu sais que ça la fait toujours frissonner, la Sutherland. « Pas d’chance qu’elle débarque? » Et pas besoin de savoir de prononcer son nom pour savoir exactement à qui tu fais allusion.
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Mac Sutherland
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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyVen 28 Jan 2022 - 16:49



Je protestais beaucoup plus, au début. Je te rappelais que c’était seulement l’affaire d’une fois ; que ça allait pas recommencer, que ça pouvait pas parce que j’avais déjà quelqu’un, et que je pouvais pas lui faire ça. Mais t’étais pas dupe ; peut-être que ça se sentait, que j’en étais pas à mon coup d’essai à tromper Margot. En tout cas t’étais certainement la première avec un goût de reviens-y. Ça, c'était la première erreur parmi une longue liste. La seconde, indubitablement, c’était de te laisser t’installer dans ma vie comme quelque chose de normal et d’évident alors que t’étais tout sauf ça, par exemple en te proposant de venir t’installer quelques jours. Putain, je me déteste presque de me foutre dans cette position et de te laisser faire sans rechigner ; chaque fois que tu repars j’ai envie de me foutre à trois mètres sous terre mais t’as le pouvoir de me faire oublier Margot en deux secondes à chacun de tes retours. En attendant, t’es là, avec trois fois rien comme affaires, tu fais la gueule face à mes blagues déplacées et tu rentres comme si t’étais chez toi, prête à retrouver ta brosse à dents et ton confort. « Merde. C’était personnel, tu crois ? » Après la plaisanterie, l’inquiétude. Je vois pas ce qui pousserait quiconque à t’en vouloir à toi, Leo, j’ai aucun mal à t’imaginer une plâtrée d’ennemis, mais je les vois plus du genre à venir avec une batte de baseball qu’une cagoule pour te dérober des trucs. Ou alors tu me dis pas tout ; et t’as le droit, après tout, parce qu’on n’est personne l’une pour l’autre, en soi. J’ai tendance à trop vite l’oublier. Ca me tord le bide. « Tout ton stock ? » Je suis conne et pas habituée, j’ai aucune idée d’à quoi ressemble un stash, je m’imagine un sac congélation que t’as planqué dans une paire de chaussettes d’hiver et remplis de poudre, outre un compartiment ou t’as deux-trois comprimés couleur levure de bière. J’ai aucune notion de ce que ça peut représenter, comme nombre de lignes, de highs, de dollars australiens, mais je comprends au moins assez pour savoir que t’as les nerfs. Et toi tu comprends avant même de me demander que non, j’ai rien. Du tout. Une bière, un joint perdu et de la pizza, à la limite, mais j’ai que ça à t’offrir. « Et comment tu comptes t’y prendre ? » Je sens tes dents contre ma peau et ça suffit à raviver tout ce que j’ai essayé d’oublier la veille. Je soupire déjà parce que la chaleur coupable devenue trop familière s’installe dans mon bas-ventre comme une vieille amie. Il suffit que tu débarques pour foutre toute résolution en l’air et me priver de tout bon sens. Machinalement, mes mains glissent sur tes hanches, les saisissent assez fort pour trahir mon envie. « Non. Tu voulais que je l’invite pour faire ta connaissance ? » Elle te détesterait, Margot, c’est sûr, comme elle a détesté Spencer avant toi, comme elle se méfie de tout le monde parce qu’elle est toujours passée seconde à l’époque et que ça tient presque plus du réflexe de survie que de la jalousie, à ce stade. Toi, pourtant, ce serait viscéral, en fait, justifié même ; elle verrait en toi une copie un peu plus grande de celle qui est partie, même défauts même problèmes même tendance à forcer sur le brown, et surtout elle verrait mon besoin crève-coeur d’une proximité que je trouve pas avec elle et que j’essaie de puiser en toi. Elle verrait du malsain de bout en bout et elle aurait raison. « J’crois avoir un joint qui traîne, si tu veux. » Je sais même pas quelle heure il est, j’ai pas dormi la nuit dernière en t’attendant. Je m’aperçois trop tard que j’ai toujours pas relâché tes hanches. Le contact brûle. « C’est quoi la prochaine étape, du coup ? Vous allez porter plainte ? Il est où ton coloc, même ? »


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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyDim 6 Fév 2022 - 13:30


Il n’y aurait pas de prochaine fois, comme il n’y aurait jamais avoir dû avoir de première fois, de seconde fois et toutes les fois d’après. Tu n’aurais jamais dû être si à l’aise dans cet appartement. Tu n’aurais jamais dû apprendre à connaître tous les points faibles de son corps et de son esprit. Tu n’aurais jamais dû en devenir un toi-même. Tu n’avais rien à offrir, et elle n’avait rien à donner. Un arrangement des plus parfaits, et soudainement des plus dangereux quand c’est près d’elle que tu prends refuge quand le bordel s’intensifie dans ton univers et que tu as envie de l’entraîner avec toi, pour qu’elle te fasse tout oublier, le temps de quelques heures, de quelques nuits. C’est tout et puis c’est rien à la fois, mais c’est assez pour que tu aies envie de t’y accrocher en ce moment et c’est ça, le pire dans toute cette histoire. Parce que toi, tu cries haut et fort tout le temps que tu ne t’accroches à rien, à elle encore moins. Tu ne trompes plus personne Leo, gare à toi. « Merde, c’était personnel tu crois? » Tu hausses les épaules. T’en sais foutrement rien, mais c’est ce qui semble faire le plus de sens. Tu ne comprends pas pourquoi quelqu’un choisirait ton appartement au hasard. « J’ai pas que des amis en ville. » Tu tentes de sourire. Tentative d’humour aussi pourri que celle de Mac quelques instants plus tôt. Si tu n’essayes pas de prendre ça à la légère, tu vas finir par tout détruire autour de toi et tu n’es pas certaine que ce soit ce qu’elle avait en tête, Mac, quand elle a proposé de t’héberger pour quelques nuits. « Tout ton stock? » Tu croises son regard. Elle est si naïve Mac. T’oublies parfois qu’elle n’est pas comme toi. Que ce n’est pas une éternelle paumée. Qu’elle a beau être plus jeune que toi, qu’elle va quelque part dans la vie. « T’es cute. » que tu souffles, amusée alors que tes doigts glissent sur sa joue. Là où vous vous accordez bien toutes les deux, c’est que vous avez toutes les deux une petite tendance pour l’auto-sabotage. Et quoi de mieux que de tout détruire à mesure que vos corps se retrouvent et se rencontrent? C’est comme ça qu’elle te plaît le plus Mac, et elle le sait parfaitement. « Et comment tu comptes t’y prendre? » Elle t’agrippe par les hanches et ça te fait sourire parce que tu sais qu’elle a bien compris et surtout, surtout, qu’elle en a envie autant que toi. « T’as besoin que j’te fasse un dessin peut-être? » Non, pas de dessin, mais une démonstration peut-être. Et ça viendra bien assez vite, surtout si ses doigts continuent de serrer tes hanches comme ça, surtout si son souffle vient jouer sur ta peau à mesure que vos visages se rapprochent, surtout si tu laisses ton regard glissé dans son décolleté à en oublier tout le reste. « Non. Tu voulais que je l’invite pour faire ta connaissance? » Le reste, comme elle par exemple. « Ça pourrait être drôle. » Ou pas du tout, mais si t’agis comme si ça te dérangeait de penser à elle, c’est déjà une preuve de trop sur ce qui ne va plus entre Mac et toi et la simplicité de ce que vous ne devez pas être. « J’crois avoir un joint qui traîne, si tu veux. » Tu fais signe que oui de la tête. Ce ne sera sûrement pas du gros luxe, mais tu n’es pas en position de cracher sur quoique ce soit. « T’as de quoi boire? Bouffer? » On ne t’a pas volé ça chez toi parce que tu n’avais déjà pas, mais ça t’empêchera pas de demander à la brune. « C’est quoi la prochaine étape du coup? Vous allez porter plainte? Il est où ton coloc, même? » « Me parle pas de lui. » Tu t’en fous de Moriarty. Il peut bien aller en enfer, pour ce que ça te fait. Un vrai paquet de problèmes depuis qu’il squatte chez toi, c’est tout ce qu’il est. « Je sais pas. Ils ont pas vraiment volé des trucs que j’peux déclarer. » Ton stash, malgré ce qu’il valait, n’allait certainement pas être rembourser par quelconque police d’assurance. « J’ai pas envie de penser à ça. » Pas envie de penser tout simplement, et tu le lui fais comprendre en venant lui voler ses lèvres sauvagement, dans un baiser qui te fait vibrer, un high sans doute bien meilleur que n’importe quel joint.
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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyMar 15 Fév 2022 - 16:56



Inévitable, c’est ce qui te caractérise le mieux, je pense, Leo ; ou alors c’est le meilleur mot, faute de te connaître suffisamment pour en trouver d’autres. Je sais pas qui tu es, au fond : on se connaît pas, on s’est croisées une fois et on a couché ensemble, puis une seconde fois puis une énième. Ca fait longtemps que j’ai abandonné l’idée d’en savoir plus, de toute façon ; je sais que tu te fermerais comme une huître, que tu reprendrais les distances que tu laisses peu à peu de côté et contre toute logique, à l’opposé de tout ce que je devrais vouloir, j’ai besoin de te garder près de moi. Qu’importe ce que ça me coûte. « Je percute pas très vite avec les dessins, il va falloir faire mieux que ça. » Qu’importe si mes doigts sur tes hanches ne suffisent plus et que la proximité de ton corps, toujours agréable, se fait trop superficielle pour la soif que j’ai de toi ; je demanderai rien de plus si tu ne proposes pas et je ferai semblant de m’en contenter. Un demi-sourire guette mes commissures quand tu mentionnes combien ce serait drôle que tu croises Margot ; c’est nerveux, j’ai aucune envie que vous vous croisiez, et je sais d’ores et déjà comment ton séjour ici va finir : un salut de la main comme si tu partais d’un Airbnb, aucune promesse de contact ultérieur et un vide dans ma poitrine que je vais ressasser pendant des jours alors que ton odeur parfume encore mes draps. « J’ai, t’inquiète. J’étais dans d’la famille, ils font toujours en sorte que j’ai à bouffer pour trois mois. » Je sais pas pourquoi je dis ça alors que je sais que tu t’en fous, et qu'essayer de t'intégrer un peu plus dans ma vie est vain en plus d'être franchement stupide. J'en viens à te parler comme à une amie et à te considérer comme davantage encore : tout ce que je m'étais promise de bannir. Je donne le change en glissant une main sous ton haut, la pulpe de mes doigts caresse distraitement ta peau et je m’autorise à m’y perdre, à moins que je ne m’y force pour oublier le reste. Tu captures mes lèvres et je ne proteste pas, un gémissement se perd contre les tiennes et j’en oublierai presque le bordel dans lequel je me fous, comme à chaque fois. Je comprends même pas ce qui m’a pris de te proposer de venir et rester quelques jours ; ça va m’être fatal, j’en suis sûre. « Okay », je marmonne, trop occupée dans ton cou, okay pour oublier Seth, okay pour parler d’autre chose, okay pour te changer les idées. Okay pour tout ce que tu me demandes, sans conditions. Je te pousse contre le mur sans poser de questions, on n’a jamais besoin de parler ni de communiquer autrement que par le sexe, mais mes gestes sont plus doux, cette fois, plus lents, ils prennent le temps d’explorer, de caresser plutôt que saisir. Quand une main est sur ton ventre l’autre passe dans tes cheveux, distraite et calme, et je me demande où il est passé, notre accord tacite de ne rien avoir de plus, mais je sais que tant que tu m’arrêtes pas, je ne saurai pas le faire non plus. « Tu m’as manquée », pas ça, pas tes mains sur mon corps, mais toi, simplement toi, même toi à trois mètres de distance. Puis je me détache comme brûlée, je virevolte jusqu’à la chambre, je sors un truc longiligne et moche d’un paquet de mouchoirs qui fait office de planque, puis je te reviens avec un large sourire. « Cadeau. Pas le droit de dire qu’il est moche, c’est comme si t’avais commencé l’escalade hier et que je me foutais de ta gueule, c’est injuste et vraiment pas sympa. Et en plus, c'est de la bonne, apparemment, comme disent les d'jeuns. » Je te tends le joint comme un gamin tend un collier de pâtes à sa mère : avec tendresse, dévotion, et le léger soupçon que le résultat est plus proche du médiocre qu'à hauteur des efforts.


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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyJeu 3 Mar 2022 - 6:04


« Je percute pas très bien les dessins, il va falloir faire mieux que ça. » Ça te fait sourire. C’est tout ce que tu veux entendre, tout ce dont tu as besoin en ce moment, quand Mac n’est que ton analgésique à la vie merdique tu te fais. Elle t’engourdi encore un peu, de ses doigts sur ta peau, de ses lèvres sur les tiennes, de sa chaleur qui rencontre ta chaleur dans un rythme qui fait du sens alors qu’il ne devrait pas. C’est tout et rien de plus, ça ne peut pas l’être, tu ne te l’autorises pas, jamais et elle ne devrait pas non plus, la Sutherland, quand elle a la copine officielle et le job à la grande ambition et une vraie vie qui ne devrait pas s’encombrer d’un paquet de troubles comme Eleonora Parker. Et t’es là pourtant, tu quémandes et tu prends tout sans jamais rien donner en retour, qu’importe les traces que tu laisses ici et là. Tu appelles et elle ouvre grand les bras et elle va bien finir par regretter, et toi aussi peut-être. « J’ai, t’inquiète. J’étais dans d’la famille, ils font toujours en sorte que j’ai à bouffer pour trois mois. » Ça par contre, tu ne veux pas l’entendre. Tu ne veux pas savoir qu’elle était dans de la famille, qu’ils ont remplis son frigo au point qu’il manquait de la place et qu’elle n’aura jamais à se demander si elle a de quoi bouffer au prochain repas. Peut-être qu’elle lira la grimace sur ton visage, peut-être pas, peut-être même qu’elle fera semblant qu’elle a rien vu, tu t’en balances. Tu préfères gémir doucement quand sa main glisse sous ton top, quand tu enfonces tes ongles dans son dos et que tu lui demandes de pas te parler de l’autre là et de ses conneries qui vont encore te coûter trop cher. Il y a une raison pour laquelle tu ne fais jamais la charité à qui que ce soit normalement. Tu te laisses faire quand elle te pousse contre le mur, tu te fais plus possessive avec ses lèvres, de tes mains sur son corps quand elle, elle se fait trop douce de cette main qui passe dans tes cheveux et c’est en lui mordant la lèvre que tu réponds, manière bien peu subtile de lui faire le message, mais elle insiste autrement Mac et ça ne va pas le faire, pas ce soir. « Tu m’as manquée. » « Arrête de parler, tu m’agaces. » Tu veux pas l’entendre, ça non plus, parce que ça te fait frissonner et fuck, t’es pire qu’une adolescente en pleine puberté avec les papillons dans ton bas ventre. T’es bien plus froide que nécessaire, et tu regretterais presque les mots dès l’instant que tu les dis, mais Mac s’éclipse et tu jures contre toi-même. Tu ne sais pas ce que tu veux, tu ne l’as jamais su. T’agis comme si tu te foutais de toi parce que c’est plus simple, mais regarde bien, juste là Leo, il n’y a plus rien de simple ici non plus. « Cadeau. Pas le droit de dire qu’il est moche, c’est comme si t’avais commencé l’escalade hier et que je me foutais de ta gueule, c’est injuste et vraiment pas sympa. Et en plus, c’est de la bonne, apparemment, comme disent les d’jeuns. » « Mais me foutre de la gueule des gens, c’est ma spécialité. » que tu observes, sur un ton plein d’humour, comme si tu tentais de te faire pardonner le fait que tu venais de la traiter d’agaçante il y a deux minutes à peine. Tu ne mérites pas un cadeau, tu ne mérites absolument rien de tout ce que Mac te donne, mais ça ne t’arrête pas. « T’as pris ça où? J’croyais être la plus grande mauvaise influence dans ta vie. » Tu te donnes de la place, sans arrêt. Tu attrapes le joint et tu ne regardes même pas si elle te suit que déjà tu es sur son balcon, avec ton briquet entre les doigts, sans la moindre envie d’attendre plus longtemps avant de te calmer les nerfs. « Ils ont pris mes bijoux, dont le pendentif de ma mère. » C’est tout ce que tu lâches alors que tu sens la présence de Mac à tes côtés. Elle ne sait pas grand-chose sur ta vie la brune, mais elle sait que ta mère est morte. Et elle te connaît assez, trop, pour savoir que tu ne parles jamais pour rien dire et que si tu lui dis ça, ça veut dire quelque chose, quand bien même tu ne l’assumeras jamais le matin venu.
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Mac Sutherland
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la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
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SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

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DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

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AVATAR : hailee steinfeld
CRÉDITS : mcximoffss (avatar), harley (crackships)
DC : elena, la trésorière du dumb bitch club
PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/mononoski
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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyJeu 17 Mar 2022 - 13:50



Il y a sûrement un moment où ça a commencé à déraper, un point particulier que j’aurais pu définir, montrer du doigt, dire , juste là, c’est trop, après je serai plus capable ; et le pire c’est qu’en rétrospective, je suis sûre que j’aurais pu le chercher, le trouver, mettre un terme à tout, mais non. Je me suis volontairement bandé les yeux, j’ai continué avec la conviction aveugle que je maîtrisais, qu’il n’y avait aucun risque ou mal à coucher avec quelqu’un qui n’était pas mienne et à mentir à celle qui l’était. Je ne sais pas trop pourquoi, au fond : j’aurais pu retourner tout aussi facilement à mon compte Tinder et à mes matches éphémères que je ne revoyais jamais au terme du premier soir. Il n’y a rien de simple à toi et j’ai eu tort de m’y laisser prendre. J’ai encore plus tort de ne pas le regretter. Mais toi, tu recentres. Toi, tu me dis de la fermer, tu gardes les choses simples au possible et te délestes de toute complication, t’allèges de tout encombrement. Tu pars toujours et me reviens parfois. Ca m’aurait rendue folle, si je n’étais pas autant sous le joug de ma culpabilité. Alors j’obtempère, j’oublie le moment fatidique où tu vas repartir et me laisser à ma vie quotidienne et je me perds dans ton cou, puis dans mes pensées, les gestes toujours vifs et frivoles à la fois. Tout pour te retenir, pour écarter toute gravité, toute conversation trop sérieuse qui pourrait te faire partir. « J’m’inquiète pas, tu trouveras d’autres talents. » Je te souris en te tendant le joint tout moche que j’ai expressément préparé dans mon coin au cas où quelqu’un demande à voir mes talents de roulage. Tu lâches une vanne sur ton influence sur moi, et n’importe quand d’autre j’aurais parlé de Spence, de nos habitudes, des siennes encore plus puissantes, mais aujourd’hui j’y pense même pas. C’est ça que j’apprécie chez toi, aussi, jamais tu me rappelles Spencer, sous aucun angle ni sous-entendu ; tu la connais pas, tu t’en contrefous, elle n’a à tes yeux pas le millième de l’importance qu’elle a aux miens. T’es une distraction bienvenue dans un monde où il n’y avait qu’elle, et pourtant tu ressembles tellement à elle qu’il m’est impossible de parfaitement vous séparer. « Faut bien que j’essaie de t’impressionner de temps en temps », c’est tout ce que je réponds, puis je m’avachis sur le balcon à tes côtés, regard alternant entre toi et la ville, la ville et toi. « Oh », je lâche sous ton aveu, prise de court et à revers, incapable de savoir comment réagir ; t’as jamais été loquace, ni sur ça ni sur rien. C’est presque en dire trop alors que tu n’as lâché que dix pauvres mots dans une volute de fumée. « Merde, fait chier. J’suis désolée. » J’ai aucune idée de ce que représente ce pendentif pour toi, sûrement beaucoup. Si je venais à perdre des trucs uniques qui avaient appartenu à ma mère, je serais sûrement bouleversée ; mais tout est stocké dans le placard de la chambre chez mon père et il y a toujours un peu de son parfum partout où je mets le pied. Perdre ce confort, ce serait un deuxième deuil tout entier. « Ca fait longtemps que tu l’as perdue, ta mère ? » je me risque à demander, jamais trop sûre du mode d’emploi à suivre avec toi, toujours à marcher sur les oeufs les plus délicats du monde. « J’ai perdu la mienne, aussi. » Je sais même plus si tu le sais, si j’ai pris la peine de te parler de ça un jour. Je suis même complètement infoutue de savoir ce que toi, tu sais sur moi, ou sur ma vie, en-dehors de Margot. « Quand j’avais treize ans. Je sais même plus si je te l’avais dit. » Drôle de façon de nous trouver un point commun, quand j’y pense.


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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptySam 2 Avr 2022 - 14:26


C’est un équilibre que vous ne trouvez pas, que vous ne trouvez plus vraiment, Mac et toi. C’est d’essayer de se balancer sur un fil de fer sans trop savoir laquelle de vous deux finira par pousser l’autre en bas. Tu voudrais pouvoir assumer sans le moindre doute que c’est toi qui pousses, elle qui tombe, mais tu n’es plus complètement certaine de ça quand avec elle, tu remets parfois en question tes manières, tes réactions, tes paroles qui sont parfois trop sèches, trop brutales. Ce n’est pas de sa faute à Mac, si t’es d’une humeur massacrante. Pas de sa faute, même si c’est elle qui écope, même si c’est elle qui prend tout à la gueule, le peu de beau que tu as à offrir avec tout le laid, constamment le laid. Mais Mac, elle ne se plaint jamais de toi, elle s’accroche encore un peu même quand tu ne le mérites pas et tu la laisses faire parce que t’aimes ça, bien sûr que t’aimes ça, ce trou qu’elle vient remplir de sa présence, de sa chaleur. « J’m’inquiète pas, tu trouveras d’autres talents. » Tu ricanes parce que tu n’en as pas vraiment, d’autres talents. Tu ne t’en es jamais cherchée non plus faut dire, tu te contentes d’être une médiocre personne pour bien te caler dans la médiocrité de ta vie, même si ça te pèse plus que tu n’oseras jamais l’avouer. « Faut bien que j’essaye de t’impressionner de temps en temps. » Tu retournes la tête vers elle et puis du bout des doigts, tu viens relever son menton pour qu’elle te regarde droit dans les yeux. « T’as jamais eu besoin de m’impressionner. » Et tu réalises à quel point c’est vrai seulement au moment où tu dis les mots, quand tu réalises qu’avec Mac, même si c’est un jeu dangereux, ça n’a jamais vraiment été que ça. Pas une question de prouver quoique ce soit à qui que ce soit, juste des envies qui mènent la danse et un besoin qui ne s’explique pas. Ce que tu ne t’expliques pas non plus, c’est comment tu en es venue à lui parler de ta mère, maintenant que c’est toi qui évites son regard, les doigts qui s’attardent à faire rouler son joint pour passer le temps, pour occuper l’esprit, pour prétendre encore un peu que tu n’es pas sur le point de t’ouvrir à cette fille à laquelle tu as juré ne jamais t’attacher. « Oh. » Ouais. Toi aussi, c’est un peu comme ça que tu te sentais, quand tu as réalisé. Avant que ça ne prenne de l’ampleur, beaucoup trop d’ampleur et que tu ne sois plus capable de rien gérer, ce soir-là. « Merde, fait chier. J’suis désolée. » Tu hausses les épaules. Ça fait quelques jours. Ça fait mal, mais pas autant. Tu vas pas t’effondrer devant Mac comme tu t’es effondrée devant Freya, non. « Ça fait longtemps que tu l’as perdue, ta mère? » Tu hoches doucement la tête à la positive. « Huit ou neuf ans j’crois. » Tu as arrêter de compter les années. Le temps est un concept auquel tu n’accordes plus grande importance, toutes les années se ressemblent tant tu refuses de te sortir de ta spirale de misère. « C’était pas une surprise. Elle était malade depuis que j’étais gamine. » Pourquoi tu lui dis tout ça, là, ce soir? C’était pas ça le plan initial. C’était pas ça le but de la visite. « J’ai perdu la mienne, aussi. » Tu tournes le regard vers elle, tu ne l’as jamais regardé avec autant de douceur que tu le fais présentement. Il y a quelque chose dans le deuil qui rassemble les gens, qu’on le veuille ou non. « Quand j’avais treize ans. Je sais même plus si je te l’avais dit. » Tu fais signe que non de la tête. Vous ne parlez jamais autant. C’est étrange ce qui se passe, et presque plus dangereux que les baisers volés et les échanges charnels. « J’suis désolée aussi. » Et tu ne mens pas, pour une fois. Ta main vient se poser sur sa cuisse, l’air est lourd ce soir. « Elle a eu quoi, ta mère? » Est-ce qu’elle était malade, comme la tienne? Ou bien est-ce que c’était soudain? Un accident? Quelque chose de plus tordu, de plus gore? Tu te fais des scénarios, c’est morbide tout ça, mais ça compense peut-être un peu pour le surplus de vulnérabilité qui transparaît présentement chez toi. « Merci Mac. » que tu finis quand même par souffler, comme un murmure qui pourrait ne pas exister tellement il est faible, des mots qui témoignent d’une gratitude qui va à l’encontre de ton image, rapidement dérobé par un baiser brusque qui contraste tout et qui ramène à l’ordre. « T’as du feu? » que tu lui demandes alors que tu viens placer le joint entre tes lèvres, le besoin plus cuisant que jamais de t’engourdir l’esprit.
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Mac Sutherland
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Message(#) Sujet: Re: ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming ELEONORA › i had no chance to prepare, couldn't see you coming EmptyVen 8 Avr 2022 - 13:43



Comme toujours, je t’observe mais seulement du coin de l’oeil, jamais plus ; t’es jolie, comme ça, penchée sur mon balcon, joint coincé entre tes doigts graciles et tellement, tellement décalé dans le paysage que t’offre que ça bouleverse presque. Tu me parles du pendentif et j’ai soudain l’impression que t’as dix ans de moins que sur le papier, tu fais toute frêle dans tes fringues et le regard que tu portes sur la ville est moins farouche que complètement démuni. Tu me fais un drôle d’effet, comme ça. Comme si t’avais soudain été dépassée par ta propre image, complètement bouffée par les remords que tu ravales sans tout à fait y arriver, et que t’avais besoin d’une pause dans tout ce jeu que tu relances sans discontinuer et sans fatiguer. Cette pause, je suis flattée que tu la prennes avec moi.
« Cancer du sein. C’est un peu tombé de nulle part, le genre de truc foudroyant qui te laisse à peine quelques mois et dont tu peux pas espérer t’échapper. » Je souffle du bout des lèvres, c’est à mon tour de me confier, de relâcher l’armure, de laisser le bouclier à terre pour me soulager un peu. J’aime pas aborder le sujet, depuis le temps je pensais qu’il serait plus aisé à aborder, moins douloureux, mais il est toujours là, toujours sensible, une blessure à vif dont j’ai jamais trop guéri parce que j’avais pas les outils pour le faire. Je me demande si c’est ton cas, aussi. Ma main recouvre la tienne et mon regard reste résolument fixé par-delà la rampe du balcon, je viens de choper une espèce de pudeur qui me repousse et m’émeut tout à la fois. Je crois que j’ai aussi peur que toi : que ce soit concret, ou en tout cas, que ce soit quelque chose.
Je ne saurais même pas dire si avant ça c’était rien.
Tu souffles un merci avant de retrouver mes lèvres et je me fais violence pour pas pleurer, d’un coup, là, sur mon balcon à partager un joint avec un plan cul pendant que ma copine me croit malade et se doute de rien. Je suis désarmée, purement à poil, je peine à trouver des mots, je sais même pas s’il en existe pour toi, pour nous, pour tout ce qui ne devrait pas être. « Normal, t’sais », je rétorque, avec la nonchalance d’un éleveur de vaches dans l’Outback, me rabattant brusquement dans mon siège pour échapper à tout, mais surtout à toi. Je suis là si t’as besoin, merci d’être là, d’écouter et j’ai peur que tu partes et presque autant que tu restes figurent sur la liste des choses que j’ai envie de te dire mais que je retiens derrière mes lèvres obstinément closes, parce que ce serait se foutre à poil encore plus et que t’entendrais nécessairement un sanglot dans ma voix. J’ai le cul entre toutes les chaises du monde ; culpabilité, besoin de proximité, affection. J’éprouve pour toi une affection que je contrôle plus, et ça me donne presque envie de te demander de partir. Mais « bouge pas, j’vais chercher un briquet », c’est tout ce qui sort avant que je m’éclipse vers la cuisine, et faudra que ça suffise. Faudra bien, parce que j’arrive plus à te regarder dans les yeux quand je reviens. J’arrive juste à saisir tes lèvres, à placer tes mains sur mon corps et à larguer le joint, à revenir à du connu, du maîtrisé, à me débarrasser des émotions importunes que je ressens à ton égard. Faudra que ça suffise, parce qu’on aura jamais plus.


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