(simon #4) waves crash to the shore

Mavis Barnes
Mavis Barnes
la pomme de la discorde
la pomme de la discorde
  
(simon #4) waves crash to the shore IAeu3cF Présent
ÂGE : 25 ans (11.06.1999)
SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins
STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben)
MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong
LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac
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POSTS : 2674 POINTS : 340

TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair)
RPs EN COURS :
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RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
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MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine


ambrose#18ruben#24

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DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
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BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : olivia holt
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code)
DC : jo carter & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/10/2022
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Message(#)(simon #4) waves crash to the shore EmptyMar 14 Nov 2023 - 15:12


waves crash to the shore
@Simon Johnson (crédit gif/oliviaholt)

Le temp s’était étiré depuis les derniers échanges de Mavis avec Simon. Septembre avait filé si vite qu’elle ne s’était rendu compte de rien, quant à octobre, compte tenu des circonstances, elle devait avouer qu’il l’avait avalé toute crue, sans qu’elle ne se sente d’attaque à faire autre chose qu’étudier, travailler, et nier très fort ce qui était en train de lui arriver. Au milieu de tout ça, novembre avait déboulé, lui remettant les idées en place, son calendrier défilant au rythme d’une nouvelle temporalité, et lui rappelant toutes sortes d’engagements, dont un plus définitivement plus agréable que les autres — que l’autre, en l’occurence. Elle n’avait jamais vraiment oublié la promesse que Simon lui avait faite, celle de se retrouver pour partager une session de surf un jour où l’autre, surement pour qu’il puisse vérifier si elle était aussi bonne qu’elle le prétendait. C’était le cas, elle n’essaierait même pas de le ménager en connaissant ses antécédents médicaux, excitée par la gagne plus que par le reste. D’ordinaire, en tout cas. L’inquiétude autour des conditions météorologiques dans la région n’était pas de bonne augure, sauf que Mavis n’avait pas envie d’annuler son rendez-vous avec Simon. Ils en avaient connu d’autres ici, des météos détraquées, est-ce que ça valait vraiment le coup de s’exempter d’un trajet vers son spot préféré ? Si elle n’avait pas vu la mer agitée, elle aurait dit que non, mais elle n’était plus tellement sûre désormais ; ce tableau, elle le connaissait, il ressemblait étrangement à un autre qui prenait place il y avait plus de dix ans en arrière, mais elle s’interdit d’y penser tout de suite, pas motivée à l’idée de penser à sa soeur maintenant. En revanche, elle pensa à l’autre chose, flanquée derrière le volant de sa voiture garée à proximité d’une marine déserte, point d’arrêt qu’elle avait donné à Simon lorsqu’ils s’étaient mis d’accord pour se retrouver — dans deux voitures séparées simplement parce que Mavis conduisait une Mini, que sa planche prenait de la place, rendant difficile la présence de quelqu’un d’autre dans l’habitacle. En vérité, ce n’était pas tant le météo qui la contrariait, ses yeux rivés sur le ciel qu’elle trouvait drôlement menaçant à ce moment-là, c’était l’état dans lequel elle, elle était et qui nécessitait des précautions, même si elle ne comptait faire grand-chose de ce qui poussait dans son ventre. Elle restait faible, fatiguée, et elle avait assez d’amour propre pour ne pas vouloir tenter le Diable en se mettant à sa portée ; elle ne voulait pas appeler l’accident, elle ne voulait pas finir quelque part où on pointerait du doigt ce qu’elle cachait. Se mordant les lèvres en restant accrochée à son volant un instant, Mavis empoigna son téléphone portable pour lire le texto qu’elle venait de recevoir de la part de Dan lui conseillant d’être prudente, et ouvrit sa conversation avec Simon pour lui envoyer quelques mots qui le questionnaient sur le bien-fondé de leur venue. Mais il la pris de court en lui disant être arrivé en même temps, klaxonnant à sa portée pour que, après avoir ramenée sa capuche sur sa tête et enfoncée son téléphone dans sa poche, elle vienne le rejoindre dans sa voiture.

"J’allais t’envoyer un texto pour te dire de faire demi-tour." lui avoua-t-elle en guise de première parole, refermant la portière derrière elle après s’être installée. Elle laissa un gros soupir s’échapper de ses lèvres, emmitouflée dans la capuche de son manteau qu’elle referma sur sa poitrine en plissant les yeux, la tête penchée en avant pour regarder le temps s’assombrir — et leurs projets avec — au travers du pare-brise de la voiture de Simon "C’est pas un temps à surfer, je sais les reconnaître." fit-elle en  bonne habituée. C’était vrai qu’elle aurait pu éviter un trajet inutile en écoutant les mises en garde faites autour d’eux ces derniers jours, mais elle ne serait pas Mavis Barnes si elle n’estimait pas elle-même l’ampleur des choses — et là, c’était une évidence qu’ils devraient improviser pour rentabiliser leur trajet respectif et ne pas rentrer en ville, déçus. Se concentra sur l’extérieur, elle frissonna discrètement, et se mit à réfléchir à toute vitesse. Dans la foulée, elle releva la manche de son manteau pour jeter un oeil à sa montre, et proposa en désespoir de cause, un autre soupir, plus léger, filant de ses narines "Ça te dit un chocolat chaud ? Mes parents vivent à un quart d’heure d’ici." Dans une vrille de la tête sous sa capuche, ses yeux bruns trouvèrent le visage du jeune homme, et avant qu'il ne soulève la bizarrerie de se rendre dans la maison de famille de son médecin, Mavis lui dit avec un sourire en coin "Ils seront absents, pas de panique."


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










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Message(#)(simon #4) waves crash to the shore EmptyDim 10 Déc 2023 - 18:41

Allongé dans son lit, les bras noués sous la tête, Simon contemplait l’immaculé plafond de sa chambre depuis de longues minutes. Ses yeux se perdaient dans cette immensité de blanc, qu’il trouva inexplicablement aussi belle qu’angoissante ; c’était comme si l’absolu rencontrait le néant. Absorbé par ses réflexions auxquelles il préférait ne pas chercher un sens, plus par lâcheté que par flemme, il ne vit ni n’entendit son fidèle colocataire franchir le seuil de sa chambre. Alors, quand une fraction de seconde plus tard, Hercule se matérialisa soudainement à côté de la tête de son propriétaire, ce dernier s’arracha à sa contemplation en sursautant. « Putain ! » S’exclama-t-il à demi redressé, en posant une main sur son torse, comme pour contenir les battements de son coeur. Les oreilles repliées vers l’arrière, Hercule regardait son humain avec un air méfiant, prêt à réagir en cas de geste brusque ; pourtant, il se détendit dès l’instant où Simon le gratta sous le cou. « Tu m’as fait peur. » Fit remarquer le tatoué, dont les bras vinrent entourer le corps de son chat. Il le souleva, et le posa contre son torse pour profiter de sa chaleur. Hercule, pas farouche pour un sou, se laissa patiemment cajoler pendant de longues minutes et manifesta en ronronnant la satisfaction qu’il éprouvait. Les lippes de Simon s’étirèrent en un sourire espiègle, et il murmura : « Pas de grasse matinée pour nous ce matin. Papa a du pain sur la planche. » Il déposa le chat sur le lit, après l’avoir embrassé entre ses deux oreilles. S’il était gaga de son chat ? Le doute n’était pas franchement permis.


Tout au long de la journée, il avait jeté des coups d’oeil furtifs et plein d’espoir vers le ciel. Malheureusement pour lui, ni ses espoirs secrets ni ses pseudos prières n’eurent un écho positif : le temps s’était assombri d’heure en heure. Il avait machinalement écouté les informations, et ces dernières lui apprirent que l’été attendrait : les météorologues annonçaient la formation d’une tempête, qui pourrait s’abattre sur Brisbane dans les prochains jours. Vents violents, pluies diluviennes et vagues gigantesques : la prudence était de mise, et les autorités espéraient que tous les citoyens seraient à l’abri, et sauraient se montrer raisonnables. Le tatoué mit son sac dans le coffre de la voiture, sangla sa planche de surf sur le toit de la voiture, et s’installa derrière le volant après avoir vérifié ses messages — ou plutôt, l’absence de message. Il avait rendez-vous avec Mavis, et comptait bien l’honorer — et les conditions météorologiques n’allaient certainement pas l’en dissuader. Le trajet jusqu’à la plage se fit sans difficulté ; à croire que les habitants avaient déjà commencé à se barricader. Il se gara sur le parking, et attendit quelques minutes avant que la blonde ne vienne le rejoindre.


Il déverrouilla le système pour qu’elle puisse prendre place sur le siège passager. « Oh, vraiment ? » Demanda-t-il en faisant la moue. Il n’était pas idiot : il avait bien remarqué que le temps ne se prêtait pas à l’activité qu’ils avaient prévu de faire. Au contraire : s’essayer au surf dans de pareilles conditions aurait été dangereux. Et si Simon n’avait jamais été à court d’idée quand il s’agissait de prendre des risques devant l’éternel lorsqu’il était adolescent, devenir adulte l’avait rendu plus prudent. « Et donc… ? » Son commentaire le laissait quelque peu perplexe ; il avait l’étrange impression qu’elle n’avait pas envie de se retrouver là, à cet instant précis. Il ne l’en blâmait pas, mais trouvait surprenant qu’elle n’ait pas pris le temps d’annuler leur rendez-vous, sous n’importe quel prétexte. « Tu veux qu’on remette ça à plus tard ? » Il n’abandonnait pas l’idée de surfer en sa compagnie, bien au contraire : il était curieux de la voir à l’oeuvre, sur une planche. Il s’apprêtait à rendre les armes, lorsque Mavis lui proposa une alternative. « Je… » Commença le tatoué en faisant la moue. Ce n’était pas l’idée de boire un chocolat chaud qui lui déplaisait, et encore moins celle de passer du temps en compagnie de la blonde. Non, ce qui le chagrinait, c’était plutôt le lieu dans lequel elle voulait lui faire mettre les pieds. Voir le docteur Barnes en consultation était une chose ; se pointer chez lui, en compagnie de sa fille, en était une autre. Comment justifier sa présence ? Comment expliquer leur rencontre ? Et, surtout, comment expliquer qu’ils avaient continué de se fréquenter, à l’extérieur de l’hôpital, alors que rien ne les y obligeait ? Il déglutit, et s’apprêta à décliner poliment l’offre de Mavis. C’était dommage, mais tant pis : ils auraient bien d’autres occasions de se voir, et de partager un moment. « Pour combien de temps ? » Demanda-t-il machinalement. L’idée de croiser le père de Mavis le mettait profondément mal à l’aise, et il était convaincu que le docteur lui-même n’aimerait pas vivre cette situation. Le code de déontologie se rappellerait sans doute à lui. « Je n’ai pas tellement envie de croiser ton père, pour être franc. » Admit-il, presque gêné. « Ce serait étrange, de le voir dans un autre contexte que l’hôpital. » Même si c’était en tout bien, tout honneur.


@Mavis Barnes
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Message(#)(simon #4) waves crash to the shore EmptyLun 11 Déc 2023 - 19:54


waves crash to the shore
@Simon Johnson (crédit gif/oliviaholt)

Elle avait manqué de jugeote en parcourant tout de même le chemin jusqu’à Bayside malgré l’alerte-météo qui mettait tout le monde en émoi ces derniers temps. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait une erreur de ce type, se lançant tête baissée dans quelque chose qui lui apporterait peut-être une satisfaction immédiate, mais que du mauvais en finalité. Rien ne lui faisait peur, c’était bien là le problème ; à vouloir jouer les téméraires, à vouloir se jouer des codes et des dangers, elle en perdait parfois tout son bon sens, et aujourd’hui était le genre d’instant où elle se disait qu’elle aurait préféré ne pas avoir tant besoin de prouver de quel bois elle se chauffait. Simon paraissait contrit à ses côtés, et ça se comprenait, d'autant que ses réflexions à voix haute n’avaient aucun sens, appuyant simplement sur le fait qu’ils ne pourraient pas surfer, qu’ils devraient trouver autre chose à faire. Reprenant les mots du jeune homme, elle lui dit "Et donc je sais pas, j’ai peut-être mal évalué la situation cette fois." admit-elle, plus vexée que penaude, son regard se dirigeant vers le pare-brise constellé de goutelettes de pluie. Au loin, les roulis ne racontaient rien de réjouissant.

Elle laissa échapper un léger juron, prononcé entre ses dents serrées, entendant en décalé la question que Simon lui posa "Je crois qu’on va pas avoir le choix, oui. Je suis désolée." lui dit-elle avec sincérité. Ils avaient mis du temps à trouver un compromis pour se voir, c’était surement ça aussi qui l’avait empêchée d’annuler cette escapade. Ils étaient tous les deux occupés, et si Mavis avait un tantinet plus de temps devant elle depuis qu’elle tenait Ruben à distance, voulant éviter qu’il se rende compte de son état actuel, elle n’en profitait pas pour voguer ailleurs. Elle s’en tenait à une discipline stricte, qui laissait peu de place au rendez-vous et autres sorties qui pourtant lui aéreraient la tête, surtout en ce moment. Convaincue que s’ils ne profitaient pas de l’instant pour le passer l’un avec l’autre, Mavis proposa donc à Simon une alternative qui semblait le faire tiquer. Elle avait été prudente en lui demandant si ça l’intéressait de se rendre à quelques minutes de là, chez ses parents absents, pour profiter de la maison et se réchauffer, précisant bien à voix haute qu’ils ne seraient que tous les deux, mais ça semblait tant gêner le jeune homme qu’elle le remarqua dans la façon dont il se tenait désormais "Tu ?" répéta-t-elle avec un léger sourire, sa tête se penchant pour affronter ses yeux qui se dérobaient "Il t’a autant torturé que ça pour que tu veuilles l’éviter ?" Elle plaisantait, même si ce n’était pas opportun. Mais sur le coup, elle trouvait ça un peu ridicule. Pour combien temps ses parents seraient absents ? Elle eut un autre rire, détournant elle-même les yeux en répondant au jeune homme, ses épaules se haussant, tout à la fois "Le temps qu’ils décident de rentrer et d’arrêter de se comporter comme des savants fous ?" De quoi tu as peur, Simon ? aurait-elle aimé lui demander, mais elle ne le fit pas, un peu agacée au fond, si bien qu’elle enchaîna dans la foulée "Alors si on devient amis, ça veut dire que je vais devoir éviter de parler de toi à mon père parce que t’es son patient ?" C’était une question qui se valait. Mavis avait des secrets, mais quand elle avait des atomes crochus avec quelqu’un, elle faisait en sorte que ça dure, et ne lésinait pas sur l’idée de les traiter à la hauteur de l’affection qu’elle ressentait pour lui. Elle n’était pas toujours franche, mais si les circonstances la menait à passer du temps avec Simon, elle voudrait que si son père lui pose des questions à propos de sa vie en générale, elle puisse inclure le jeune homme dans le chemin qu’elle faisait, en lui contant la manière dont elle avait appris à le connaître et comment elle était convaincue que ses progrès n’iraient qu’en s’accroissant. Rentrant le menton à la dernière phrase de Simon, la jeune femme resta à nouveau interdite un moment, avant de très doucement reprendre la parole, ses yeux se plissant graduellement en donnant l’impression qu’elle essayait de résoudre une énigme particulièrement compliquée "Ce serait étrange de le voir dans un autre contexte que l’hôpital ? Pourtant, moi tu me vois dans un autre contexte que l’hôpital, et ça te semble pas si étrange que ça, si ?" Peut-être était-ce les hormones, peut-être était-ce la petite gêne qu’elle ressentait à l’idée de s’être lancée dans une entreprise qui venait d’échouer, mais Mavis trouvait soudainement que Simon se comportait de façon curieuse, lui trouvant même des travers d’hypocrite qu’elle ne le soupçonnait pas d’être.


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Dernière édition par Mavis Barnes le Sam 23 Déc 2023 - 12:37, édité 1 fois
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Message(#)(simon #4) waves crash to the shore EmptyMar 19 Déc 2023 - 15:23

Les yeux fixés sur l’océan, Simon regardait les vagues s’échouer sur la plage. Elles étaient grandes, puissantes, impressionnantes : des caractéristiques qui donnaient envie à l’ancien agent de police de se frotter, se confronter même, à cet élément naturel, sans prendre en compte une seconde sa potentielle dangerosité. Inconscient, lui ? Un peu, parfois ; il devait bien l’admettre. Mais s’il acceptait de prendre des risques avec lui-même, il n’était pas idiot au point d’en faire prendre à autrui. « Ce n’est pas de ta faute. » Fit remarquer Simon en haussant les épaules. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit de blâmer Mavis à cause du temps, et de ses caprices. Elle n’avait aucune emprise sur la météo, pas plus que lui d’ailleurs : ils devraient donc se trouver une autre date commune, s’ils voulaient se challenger mutuellement sur une planche de surf. « Ce que je voulais savoir, c’était surtout si l’absence de surf mettait fin de facto à cette journée, ou si tu voulais faire autre chose à la place. » Ajouta le tatoué, pour mettre fin à ce malentendu qui n’en était pas réellement un. L’avis de tempête, annoncé depuis quelques jours par les autorités et autres experts en météo, n’avait pas encore été déclenché ; cela leur laissait donc quelques heures de répit, avec le champ libre. Mais encore faudrait-il que les cafés, bars, et autres lieux de loisirs n’aient pas baissé le rideau en se préparant au pire.


« Ce n’est pas très grave. On trouvera une autre date. » Répondit simplement le brun, préférant se focaliser sur l’instant présent plutôt que de se morfondre en raison de la situation. Il n’était pas le plus optimiste des hommes, mais il savait aussi qu’il y avait plus grave dans la vie. Mais lorsque la blonde lui proposa de passer chez ses parents pour boire un chocolat chaud, un warning se mit à biper dans l’esprit du tatoué. Il n’était pas sûr que cette idée soit la meilleure, en raison du passif docteur - patient qui l’unissait au père de Mavis. « Non. » Déclara-t-il en souriant, presque amusé par ce sous-entendu. Il n’avait rien à redire des méthodes de travail du père Barnes ; ce dernier s’était toujours montré à l’écoute et bienveillant. « Des savants fous, carrément ? Avec blouse blanche, stéthoscope autour du cou et cheveux en bataille ? » Interrogea le tatoué, en ayant clairement en tête l’image du Docteur Emmett Brown. Il avait du mal à se représenter Leon Barnes de la sorte ; ça tranchait avec le sérieux de sa profession. « Je ne pense pas que ton père aimerait savoir que je fasse parti de ton cercle d’amis. » Déclara Simon en faisant la moue. Il ne savait pas quel genre de jugement le père de Mavis pourrait porter sur lui, ou même s’il était de ces pères à s’intéresser aux fréquentations de sa fille. Cependant, l’Australien était persuadé d’une chose : Leon Barnes était un homme qui accordait de l’importance à la déontologie. Le suivrait-il encore, s’il venait à devenir l’ami de Mavis ? Rien était moins sûr. « Ça lui ferait perdre son patient le plus cool, vois-tu. » Plaisanta Simon pour détendre l’atmosphère, qu’il trouvait maussade — à l’image du temps extérieur. Il le regrettait, d’ailleurs ; il n’avait pas imaginé que sa séance de surf prendrait une tournure nettement moins agréable. « Tu n’es pas mon docteur. » Fit remarquer l’Australien à voix basse, alors qu’elle lui faisait justement remarquer qu’il n’avait aucune difficulté à la voir, elle, en dehors de l’hôpital. Mais Mavis n’était pas son père, et les enjeux n’étaient pas non plus les mêmes. Il tourna légèrement la tête vers son interlocutrice, et nota qu’elle avait les lèvres pincées. Il soupira. « Je t’ai blessée. » Ce n’était pas une question, mais une simple constatation. En tout cas, c’était la désagréable impression qu’il avait eue, en entendant sa façon de lui répondre. Il ferma les yeux, soupira à nouveau, et passa ses mains sur son visage. Machinalement, il envoya sa nuque valser contre l’appui-tête de son siège, et admit à voix basse : « Ce n’était pas mon intention. » Mais Simon n’était pas le plus doué des hommes avec les mots, et encore moins le plus habile quand le sujet concernait sa santé. Il déposa ses mains sur le volant, et tourna la tête pour contempler le profil de la fille Barnes. Elle était belle, c’était un fait : ses traits fins et sa peau claire avaient dû faire tourner bien des têtes. « Si tu veux être complètement transparente avec ton père, et lui dire que nous nous entendons bien, je ne t’en empêcherais pas et je comprendrais. » Fit savoir le tatoué après quelques secondes de silence, avant d’ajouter : « Juste, préviens-moi avant de le faire. Je ne voudrais pas être mis en porte-à-faux, et encore moins mis devant le fait accompli. » Un fait que son interlocutrice comprendrait sans doute, parce qu’elle était amenée à avoir la même profession que son paternel. « Allons boire ce chocolat chaud. » Conclut-il en démarrant le contact. « Tu me guides ? »

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SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins
STATUT : se quitter et se retrouver, c'est marrant pendant trois secondes. elle jure solenellement que son intention est de rester avec ambrose aussi longtemps qu'elle réussira à être moins mauvaise (bye ruben)
MÉTIER : en première année d’internat en neurochirurgie au st-vincent's hospital. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri situé à la périphérie de toowong
LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac
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POSTS : 2674 POINTS : 340

TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement, classisme (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends
DISPONIBILITÉ RP : Je suis disponible pour RP
CODE COULEUR : plum (#A95C68 pour design clair)
RPs EN COURS :
(simon #4) waves crash to the shore Cmy2
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine
(simon #4) waves crash to the shore Fbml
MAROSE ◦ and your first kiss makes your head spin 'round but in your life you'll do things greater than dating the boy on the football team but i didn't know it at fifteen when all you wanted was to be wanted wish you could go back and tell yourself what you know now back then i swore i was gonna marry him someday but i realized some bigger dreams of mine


ambrose#18ruben#24

RPs EN ATTENTE :

(simon #4) waves crash to the shore Ce1ec01b26f2a5e895a12d63170cf3cf2f7b3426
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch five seconds later i'm fastening myself to you with a stitch and i'm not even sorry nights are so starry blood moonlit it must be counterfeit i think there's been a glitch (scénario libre)
(simon #4) waves crash to the shore 3f974200162afe901327419b995974f34da2b98f
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : olivia holt
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, marose) › ©symphonygifs (gifs profil, sign), ©kaceypacks (gif dan), ©gifpacklove (gif baz) › ©astra (code)
DC : jo carter & alma barton
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 20/10/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t46706-mavis-she-had-a-marvelous-time-ruinin-everything
https://www.30yearsstillyoung.com/t46744-mavis-i-ll-stare-directly-at-the-sun-but-never-in-the-mirror
https://www.30yearsstillyoung.com/t46747-mavis-barnes

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Message(#)(simon #4) waves crash to the shore EmptySam 23 Déc 2023 - 13:17


waves crash to the shore
@Simon Johnson (crédit gif/oliviaholt)

Le mauvais temps ne pouvait lui être incombé, mais son manque de jugement si, en revanche. Elle ne le fit pas davantage remarquer à Simon qui trouverait sa réponse à propos de la fin de cette journée tout seul puisque déjà, elle lui proposait de se rendre chez ses parents pour profiter de leur absence, et rentabiliser le chemin qu’ils avaient fait jusqu’ici malgré le tempête en prenant un chocolat chaud. La réaction du jeune homme la laissa perplexe, et avec elle vint la mauvaise humeur de Mavis qui se demandait si c’était une condition sine qua non à toutes ses fréquentations, qu’elles passent d’abord le test du père pour qu’elle puisse les vivre sereinement. Ce n’était pas dans ses intentions de parler plus que de raison de Simon à Leon, mais si ça devait arriver, elle ne voulait pas être contrainte de le faire sur la pointe des pieds. Sauf qu’à en juger par la manière de réagir du jeune homme, c’était pourtant ce qui lui pendait au nez, et ça ne lui plaisait pas. Elle lui dit dans un très léger rire, non moins courroucé "Et je ne pense pas que ça le regarde d’une façon ou d’une autre, en vérité." Elle devait avoir raté le moment où ils avaient fait un bond dans le temps, et où ils s’étaient retrouvés à l’époque où le père décidait pour sa fille. Elle avait déjà fait assez de sacrifice pour son obtenir son attention pour vouloir qu’il valide la manière dont elle vivait sa vie privée, alors même si d’une certaine manière, Simon avait raison au sujet de l’avis de Leon, elle n’aimait pas l’impression qu’elle avait soudainement, et qui ne lui disait rien de bon.

Elle n’avait pas envie de plaisanter, aussi laissa-t-elle Simon à son humour auquel elle ne réagit qu’avec une oeillade tiède et un léger froncement de sourcils. Elle n’était pas son docteur, c’était donc là son argument pour expliquer qu’il ne trouve rien à redire qu’ils se voient, quand à côté de ça, il réfutait l’éventualité de mettre au courant son médecin ? Ce n’était pas une question de déontologie ; elle ne s’occupait pas de Simon comme il le disait très justement, elle était une étudiante qui travaillait dans l’hôpital dans lequel il se faisait soigner par un médecin qui se trouvait être son père, c’était plus le hasard qui se jouait d’eux que la déontologie qui cherchait à leur mettre des bâtons dans les roues. Ça l’agaça, elle préféra ne rien ajouter de plus à ça, et haussa les épaules quand il constata qu’il l’avait blessée "Non, je trouve juste ça un peu stupide d’autant s’inquiéter de quelque chose qui n’aura aucune incidence sur la manière dont tu continueras à te faire soigner par Leon. Qu’est-ce qui te fait peur dans le fait qu’il sache qu’on s’entende bien ?" lui demanda-t-elle finalement. Il n’était pas un papa-poule qui protégeait sa fille du grand-méchant loup. Il pourrait effectivement s’offusquer que sa fille fréquente quelqu’un comme lui, mais pour une unique raison : parce qu'il était couvert de tatouages de la tête aux pieds, pas parce qu’il était son patient — bien sûr que dans une certaine mesure, il voudrait qu’elle tombe sur quelqu’un de bien, mais l’un n’empêchait pas l’autre, d’après ce qu’elle savait. Cependant, elle n’avait pas envie de rentrer dans les détails, et elle n’avait pas non plus envie de rassurer le jeune homme quant au fait, intentionnel ou pas, que son raisonnement lui paraissait être davantage une excuse alambiquée, qu’une vraie crainte d’être mal jugé.

Elle eut un haussement de sourcils quand il continua à parler. Après un court instant, elle tourna la tête dans sa direction et elle lui fit savoir "Avec tout le respect que je te dois Simon, même si tu comptais m’empêcher de lui parler de toi, c’est pas à toi d’en décider." Elle n’avait pas besoin qu’on lui dise quoi faire ou quoi dire, c’était ça le sous-texte de ses mots qu’elle lui donna en croisant son regard, puis en ajoutant dans le même temps, franchement ennuyée par la réaction du jeune homme à rien d’autre qu’une invitation à boire un chocolat chaud. Si tout avait vocation à prendre de telle proportion, il valait mieux mettre un stop à tout ça, qu’elle songea en n’ayant jamais aimé qu’on veuille l’enfermer dans des cases de ce genre ; elle le faisait déjà avec Ruben, elle avait sa dose "Je pense que je vais m’abstenir de lui dire quoi que ce soit à ton sujet." lui dit-elle alors, hochant de la tête à la négative quand, certainement pour adoucir la situation, Simon se montra soudainement apte à accepter son invitation. Mais de l’avis de Mavis, c’était trop tard "Non, t’as raison." Elle tendit la main pour actionner la commande d’ouverture de sa portière, et continua sur sa lancée avec un léger sourire pour mieux faire passer sa décision "On devrait rentrer en ville, on ne pourra pas faire grand-chose ici."

rp terminé.


    no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian cause i care.










    :prof::

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