 ÂGE : 24 ans (11.06.1999) SURNOM : mav, mab, la petite barnes. elle répond à tout avec un sourire, mais elle n'en pense pas moins STATUT : à l'ère de #metoo être la maîtresse de son enseignant ça craint un peu quand même. ça craint encore plus quand après plus d’un an, un intrus s’invite à la fête pour une durée pas encore très bien définie MÉTIER : étudiante en sixième année de médecine, elle est au st-vincent le matin et à la fac l’après-midi. un emploi du temps chargé auquel s’ajoute un peu de bénévolat dans le dispensaire du docteur lahiri LOGEMENT : #1111 highland terrace, toowong, dans un duplex acheté aux frais de papa et maman, situé non loin du campus de la fac POSTS : 1966 POINTS : 130 TW IN RP : noyade, deuil, duplicité, domaine médical, mention de prise de médicaments (anti-dépresseurs, anxyolitiques), adultère, misogynie intériorisée, grossesse non-désirée, avortement (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : jumelle noyée; une rumeur circule, inutile de savoir laquelle › frère plus âgé, qui fait sa vie sans que ça ne l’intéresse › fille à papa, neurochirurgien de renom; maman est juste là pour l’analyse et la bouffée de shalimar qui lui rappelle qu’elle l’aime un peu quand même › travaille dur pour réussir, juré › bcbg, en apparence en tout cas › populaire chez les titulaires du st-vincent qu’elle côtoie dans le cadre de ses études de médecine, ce n’est pas le protégé de papa qui dira le contraire #winkwink › double-face, comme le scotch › she don't start shit, but she can tell you how it ends CODE COULEUR : plum RPs EN COURS :
RUBIS ◦ you said it was true love but wouldn't that be hard? you can't love anyone cause that would mean you had a heart i tried you help you out now i know that i can’t cause how you think's the kind of thing i'll never understand i've made some real big mistakes but you make the worst one look fine

SIMON ◦ you know there's many different ways that you can kill the one you love the slowest way is never loving them enough do you really want to know where i was April 29th? do i really have to tell you how he brought me back to life?
millie#2 › ambrose#1 › lashana › nicholas#4 › simon#4 › laoise › olive RPs EN ATTENTE :
BAZ ◦ it's me hi i'm the problem it's me at teatime everybody agrees i'll stare directly at the sun but never in the mirror it must be exhausting always rooting for the anti-hero (scénario libre)
DAN ◦ we were supposed to be just friends you don't live in my part of town but maybe i'll see you out some weekend depending on what kind of mood and situation-ship i'm in and what's in my system i think there's been a glitch (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : olivia holt CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs rubis, simon) › ©gifpacksbysummer (gifs mavis), katmcnamaragifs (gif baz), hillsidepacks (gif dan) › ©astra (code) › ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & jo carter PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 20/10/2022   | (#) Sujet: (simon #4) waves crash to the shore Mar 14 Nov 2023, 15:12 | |
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|  waves crash to the shore @Simon Johnson (crédit gif/oliviaholt)
Le temp s’était étiré depuis les derniers échanges de Mavis avec Simon. Septembre avait filé si vite qu’elle ne s’était rendu compte de rien, quant à octobre, compte tenu des circonstances, elle devait avouer qu’il l’avait avalé toute crue, sans qu’elle ne se sente d’attaque à faire autre chose qu’étudier, travailler, et nier très fort ce qui était en train de lui arriver. Au milieu de tout ça, novembre avait déboulé, lui remettant les idées en place, son calendrier défilant au rythme d’une nouvelle temporalité, et lui rappelant toutes sortes d’engagements, dont un plus définitivement plus agréable que les autres — que l’autre, en l’occurence. Elle n’avait jamais vraiment oublié la promesse que Simon lui avait faite, celle de se retrouver pour partager une session de surf un jour où l’autre, surement pour qu’il puisse vérifier si elle était aussi bonne qu’elle le prétendait. C’était le cas, elle n’essaierait même pas de le ménager en connaissant ses antécédents médicaux, excitée par la gagne plus que par le reste. D’ordinaire, en tout cas. L’inquiétude autour des conditions météorologiques dans la région n’était pas de bonne augure, sauf que Mavis n’avait pas envie d’annuler son rendez-vous avec Simon. Ils en avaient connu d’autres ici, des météos détraquées, est-ce que ça valait vraiment le coup de s’exempter d’un trajet vers son spot préféré ? Si elle n’avait pas vu la mer agitée, elle aurait dit que non, mais elle n’était plus tellement sûre désormais ; ce tableau, elle le connaissait, il ressemblait étrangement à un autre qui prenait place il y avait plus de dix ans en arrière, mais elle s’interdit d’y penser tout de suite, pas motivée à l’idée de penser à sa soeur maintenant. En revanche, elle pensa à l’autre chose, flanquée derrière le volant de sa voiture garée à proximité d’une marine déserte, point d’arrêt qu’elle avait donné à Simon lorsqu’ils s’étaient mis d’accord pour se retrouver — dans deux voitures séparées simplement parce que Mavis conduisait une Mini, que sa planche prenait de la place, rendant difficile la présence de quelqu’un d’autre dans l’habitacle. En vérité, ce n’était pas tant le météo qui la contrariait, ses yeux rivés sur le ciel qu’elle trouvait drôlement menaçant à ce moment-là, c’était l’état dans lequel elle, elle était et qui nécessitait des précautions, même si elle ne comptait faire grand-chose de ce qui poussait dans son ventre. Elle restait faible, fatiguée, et elle avait assez d’amour propre pour ne pas vouloir tenter le Diable en se mettant à sa portée ; elle ne voulait pas appeler l’accident, elle ne voulait pas finir quelque part où on pointerait du doigt ce qu’elle cachait. Se mordant les lèvres en restant accrochée à son volant un instant, Mavis empoigna son téléphone portable pour lire le texto qu’elle venait de recevoir de la part de Dan lui conseillant d’être prudente, et ouvrit sa conversation avec Simon pour lui envoyer quelques mots qui le questionnaient sur le bien-fondé de leur venue. Mais il la pris de court en lui disant être arrivé en même temps, klaxonnant à sa portée pour que, après avoir ramenée sa capuche sur sa tête et enfoncée son téléphone dans sa poche, elle vienne le rejoindre dans sa voiture.
"J’allais t’envoyer un texto pour te dire de faire demi-tour." lui avoua-t-elle en guise de première parole, refermant la portière derrière elle après s’être installée. Elle laissa un gros soupir s’échapper de ses lèvres, emmitouflée dans la capuche de son manteau qu’elle referma sur sa poitrine en plissant les yeux, la tête penchée en avant pour regarder le temps s’assombrir — et leurs projets avec — au travers du pare-brise de la voiture de Simon "C’est pas un temps à surfer, je sais les reconnaître." fit-elle en bonne habituée. C’était vrai qu’elle aurait pu éviter un trajet inutile en écoutant les mises en garde faites autour d’eux ces derniers jours, mais elle ne serait pas Mavis Barnes si elle n’estimait pas elle-même l’ampleur des choses — et là, c’était une évidence qu’ils devraient improviser pour rentabiliser leur trajet respectif et ne pas rentrer en ville, déçus. Se concentra sur l’extérieur, elle frissonna discrètement, et se mit à réfléchir à toute vitesse. Dans la foulée, elle releva la manche de son manteau pour jeter un oeil à sa montre, et proposa en désespoir de cause, un autre soupir, plus léger, filant de ses narines "Ça te dit un chocolat chaud ? Mes parents vivent à un quart d’heure d’ici." Dans une vrille de la tête sous sa capuche, ses yeux bruns trouvèrent le visage du jeune homme, et avant qu'il ne soulève la bizarrerie de se rendre dans la maison de famille de son médecin, Mavis lui dit avec un sourire en coin "Ils seront absents, pas de panique."  no one wanted to play with me as a little kid, so i've been scheming like a criminal ever since, to make them love me and make it seem effortless, this is the first time i've felt the need to confess, and i swear, i'm only cryptic and machiavellian 'cause i care.
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