ÂGE : des milliers d'années, mais je suis bien conservé. STATUT : marié au hasard. MÉTIER : occupé à pimenter vos vies, et à vous rendre fous (a). LOGEMENT : je vis constamment avec vous, dans vos têtes, dans vos esprits, et j'interviens de partout, dans vos relations, dans vos joies, vos peines. POSTS : 29453 POINTS : 600 TW IN RP : nc PETIT PLUS : personne ne sera épargné, c'est promis les chéris. AVATAR : je suis tout le monde. CRÉDITS : loonywaltz DC : nope. PSEUDO : le destin. INSCRIT LE : 15/12/2014 | (#) Sujet: Re: (gabrielle) rage against the machine Dim 27 Nov 2022 - 14:33 | |
|
| Le membre ' Gabrielle Strange' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'dé action' : |
|
ÂGE : 38 ans (13/04/86) SURNOM : vitto par à peu près tout le monde, totti par ses frères STATUT : il tente non sans mal d'apprendre à manier l'art de la communication, tout en restant persuadé que les actions valent mieux que les belles paroles MÉTIER : moniteur de boxe américaine et gérant du dojo Riley pour le compte de Donnie, il est aussi juriste bénévole pour Homeless Connect sur son temps libre LOGEMENT : #146 agnes street (bayside), une maison non loin de la plage, dans laquelle Gaïa et lui font avec les plans machiavéliques du chat pour tenter de se débarrasser du chien POSTS : 5448 POINTS : 490 TW IN RP : misogynie, gaslighting, pratique religieuse (catholicisme), homophobie intériorisée, mention de négligeances infantiles TW IRL : non-communiqués GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : à brisbane depuis septembre 2016 › deux demi-frères et une demi-soeur › ceinture noire de full-contact › parle italien & napolitain, accent anglais déplorable › a obtenu une équivalence à son diplôme de droit italien fin 2020 › bénévole chez Homeless Connect, il distribue des repas et dispense de l'aide juridique aux sans-abris › zéro sens de l'orientation › se déplace à vélo › SDF au début de ses études › ancien procuratore sostituto au barreau de Rome › (trop) carriériste › élevé dans une cité, il en a parfois encore l'attitude › attaché à la religion, fréquente régulièrement l'église CODE COULEUR : étale sa mauvaise foi en "lightseagreen" RPs EN COURS : gaïa 10 › kieran 01 › malone 01 › mila 02 (04/08)
vittaïa 10 › I practice every day to find some clever lines to say to make the meaning come true, but then I think I'll wait until the evening gets late and I'm alone with you
vittonnie (scénario) › doesn't matter what you see, I know I could never be someone that'll look like you, doesn't matter what you say, I know I could never face someone that could sound like you
homeless connect (préliens) › so take my hands and come with me, we will change reality, so take my hands and we will pray, they won't take you away, they will never make you cry, they will never make you die RPs EN ATTENTE : gabrielle 02 › deborah 02 › russell 01 RPs TERMINÉS : AVATAR : rafael lazzini CRÉDITS : avatar@selfmade & sign@strangehell, non uccidere, mistborn & userbar@loonywaltz & dessin@jojoracoon DC : hassan & tommy & anwar PSEUDO : yumita (élodie) INSCRIT LE : 04/10/2016 | (#) Sujet: Re: (gabrielle) rage against the machine Sam 7 Jan 2023 - 20:20 | |
|
| Il n’y avait bien entendu rien de sain là-dedans, mais Vittorio était de ceux qui se nourrissaient de l’agacement qu’ils provoquaient chez autrui, le poussant par conséquent parfois à remettre de l’huile sur le feu lorsque rien ne le justifiait. Il donnait l’air d’un félin qui adorait jouer avec sa nourriture avant de la déguster, et en cela la langue bien pendue de son horripilante collègue faisait d’elle la candidate parfaite à ses jeux malsains. Piquée au vif par des remarques spécialement calibrées pour tenter de la pousser à bout, la voilà qui vociférait « Tes clichés sexistes, tu peux te les garder ! » d’un ton pincé, visiblement peu au fait de la société dans laquelle elle vivait et de la place que l’on y accordait au si bien nommé sexe faible. « Tu serais bien étonnée toi aussi de savoir ce que je suis capable de faire, en tant que femme. » Agitant les mains de façon théâtrale, il avait ironisé « Ouuh, une suffragette … J’suis terrifié. » d’un ton goguenard. Car après tout, quelle menace pouvait bien représenter une simple femme de chambre, pour lui qui avait littéralement déserté le front d’une guerre en Europe ? Aucune, et rien ne serait (croyait-il) de nature à le faire changer d’avis. La joute verbale de la petite fille riche sous couverture et du coq de basse-cour en fuite avait de toute façon pris fin de façon abrupte lorsque l’une des caisses empilées dans la cale avait cru bon de jouer les bombes à retardement, leur donnant dans sa grande bontée juste le temps de se mettre à l’abri – et si Gabrielle (pardon, Eileen) devait bien à Alvaro (pardon, Vittorio) que son joli minois ne soit pas criblé d’échardes tel un porc-épic, elle n’avait pas jugé utile de l’en remercier. Soit, l’italien était pour une fois bien trop pressé de se carapater pour songer à le lui souligner. Saisissant sa chance de récupérer le pistolet tombé à terre durant l’explosion, il avait répondu au « Rends moi ça, tu vas nous faire tuer avant même qu’il y ait une prochaine explosion. » par un sourire narquois. « Là tu rêves, carina. » A sa grande surprise, la brune n’avait pas insisté plus longuement et préféré lui tourner le dos, elle aussi soucieuse que ce calvaire prenne fin – celui d’être coincés tous les deux dans la même pièce et de devoir se supporter. La porte n’étant pas une option, la trappe fermée par un cadenas près de la voiture semblait être leur unique option, et ce sans même une idée d’où elle pouvait mener. « Donne-moi l’arme. » Un vrai perroquet. « Give me a break, comme on dit chez vous. » Toujours hors de question pour lui de tirer le moindre coup de feu et de risquer un ricochet. Un genou à terre, il avait préféré utiliser la crosse de l’arme pour donner de grands coups sur le cadenas, presque surpris de voir que le loquet de la trappe avait cédé avant ce dernier. « Et voilà le travail. » Soulevant la trappe, il avait ouvert l’accès vers une échelle de secours menant probablement quelque part à la machinerie. « Qu’est-ce que vous foutez là ? On a entendu une explosion, qu’est-ce que c’était ? » Haussant les épaules face au machiniste, il comptait au moins sur la greluche pour tenir sa langue elle aussi. Elle lui devait au moins cela, si elle espérait qu’il tienne sa langue sur le fait de l’avoir vue récupérer le pistolet à la seconde où il l’avait posé pour ouvrir la trappe. Motus et bouche cousue.
|
|