 ÂGE : trente-cinq ans, outch (huit août). SURNOM : finn. ariel, aussi, par une certaine grande gueule, il ne valide pas. STATUT : marié depuis presque deux ans avec ava, ‘’pour de faux’’. le certificat est pourtant bien vrai, mais il n’est pas pressé de divorcer pour autant. MÉTIER : agent d'entretien au paradise city la moitié du temps, agent de sécurité au casino l’octopus l’autre moitié. LOGEMENT : #10 sherwood road, où jenna lui prête une chambre. POSTS : 9536 POINTS : 60 TW IN RP : alcoolisme, parent toxique, parentification adolescente, emprisonnement, deuil (j'adapte mes rps au besoin, contactez-moi ♡). ORIENTATION SEXUELLE : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : mère emprisonnée, père décédé, jumelle rejetée, cadette expatriée : beau schéma familial ≈ contraint d’arrêter ses études pour élever sa petite sœur, il regrette encore d’être passé à côté de ses rêves et envies ≈ a un chien, wernicke, âgé de dix-sept ans, borgne et amputé d’une patte, mais pas (encore) à l’article de la mort ≈ a un sérieux penchant pour l’alcool depuis plusieurs années, décide enfin de se reprendre en main fin 2021 ≈ très curieux, a toujours une soif d’apprendre inépuisable ≈ bienveillant et gentil ou distant et franc, il ne fait pas dans la demi-mesure avec les autres. CODE COULEUR : finnley économise ses mots en darkmagenta. RPs EN COURS :
coverdales ⊹ hey brother, there's an endless road to rediscover. hey sister, know the water's sweet but blood is thicker.
sinn ⊹ and there's no remedy for memory, your face is like a melody, it won't leave my head, your soul is haunting me and telling me that everything is fine.
ava ⊹ last night we let the liquor talk, i can't remember everything we said but we said it all, you told me that you wish i was somebody you never met, but baby, baby somethin's tellin' me this ain't over yet, no way it was our last night.
(09/06) › zoya#1 (fb) › lara #3 › edge #3 › tessa #1 › raelyn #2 › madison #2 › jenna #2 › corey #1 › jules #1
RPs EN ATTENTE : caitriona #2 › evelyn #3 › amos #2 RPs TERMINÉS : (2003) evelyn (2005) matt › jill #3 (2016) cora #1 (2017) lydia › lou › cynthia › lou #2 › vittorio › cora #2 (2018) bryn #2 › lou #3 › bryn #3 › jack › cora #3 › jameson › jill #1 › lonnie › lou #4 › cora #4 › kane (2019) charlie › romy › jill #2 › cora #5 › jeremiah › danika (2020) lou #5 › lou #8 › jill #4 › raelyn › lou #6 › jill #5 › lou #7 (2021) molly › lara #1 › scarlett #1 › caitriona #1 (2022) scarlett #2 › joseph › edge #1 › paradise city › lara #2 › edge #2 › evelyn #2 › jenna #1 › amos #1 › madison #1
RÉALITÉS ALTERNATIVES : event halloween › sujet commun (df) › clément (df) › lucia (ds)
ABANDONNÉS : saul › bryn #1 › jimmy › eve › jill + theo › mercure (dz) › ellie › jean › bryn › ruby › freya › constance › heïana › aaron › bryn › arrow › sianna › trevor › luana › sienna › sienna › lou #9 › poppy #1 › holly › sienna AVATAR : domhnall gleeson. CRÉDITS : (ava) @ooolympia (gifs) @mona-mayfairs, @osvaldrps, @harley (ub) @loonywaltz. DC : kieran halstead & maisie moriarty. PSEUDO : leave. INSCRIT LE : 01/01/2017   | (#) Sujet: (madison) how does it feel? Dim 21 Mai 2023 - 17:20 | |
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@MADISON KWANTEEN & FINNLEY COVERDALE ⊹⊹⊹ I don't know what to tell ya, I don't know what to say. I got into my head, I'm sorry I threw it away. But I'm so glad you came back, Even through all the pain. (c) harley & leroichevalier. En vue de sa fréquentation plus que régulière de cette galerie d’art, au point d’en devenir un véritable habitué, on pourrait croire que Finnley commence à comprendre quelque chose à l’art. Il n’en est rien. C’est toujours un domaine abstrait (c’est pas un courant ou quelque chose du genre, ça, d’ailleurs ?), autant de par les œuvres que les artistes, maudits ou carrément allumés et Finn se demande bien souvent quel genre de traumatisme est à l’origine de leurs pulsions créatives – le genre de traumatisme qu’en fin de compte, il préfère continuer d’ignorer. Il est bien souvent perdu quand il écume la galerie d’art, écoutant distraitement les commentaires des visiteurs pour parfaire l’avis qu’il donnera à Jenna quand elle lui le demandera. Il s’inspire des émotions que cela suscite chez les autres pour ne pas admettre que chez lui c’est l’indifférence qui prime, il a enregistré quelques phrases qui reviennent souvent et semblent faire de lui un expert (« quel travail sur la profondeur ! ») et dans les cas où il n’a pas su capter des bribes de conversation, il se contente de rester longuement silencieux, avant de murmurer un « je... wow » faussement ébahi. Jusqu’ici, Jenna ne l’a jamais confronté à son ignorance dans le domaine, même s’il n’est pas assez stupide pour croire qu’elle n’a pas remarqué son manque évident d’aisance au milieu des autres visiteurs. Pourtant, il s’accroche. À chaque fois que l’exposition change, que de nouveaux artistes sont mis en avant, il est parmi les premiers à venir découvrir leur travail. Certains diront qu’il n’a pas grand-chose de mieux à faire de ses journées (et ils auraient raison), mais la vérité est qu’il s’agit surtout d’un acte de loyauté ; et qu’il tient à montrer son soutien à Jenna au-delà d’une visite à l’inauguration. Et puis, il n’a jamais caché son intérêt pour tous les domaines, même ceux qu’il ne comprend pas (surtout ceux qu’il ne comprend pas) et si réellement l’art était sans le moindre intérêt, il ne persisterait pas à essayer d’interpréter les œuvres. En se calquant sur les autres, certes, mais il ne peut nier qu’aujourd’hui il commence à cerner les différences entre les textures et les jeux de lumière quand il s’agit de peinture ; et peut même se montrer ému lorsqu’il s’agit de photographie. De là à faire de lui un expert, le chemin est encore long, mais on ne peut pas lui enlever qu’il s’y essaie.
Pourtant, il vient de loin, Finnley, compte tenu de son peu d’intérêt pour le domaine. Ce n’est pas tant qu’il juge ce métier, cette passion, cet intérêt (appelez cela comme vous le voulez), c’est qu’il est globalement insensible face aux beautés des choses. Il a toujours été un esprit rationnel, bien peu créatif ; il n’y a que le tangible et le concret qui ait une place pour lui. La photographie et la peinture le sont dans un sens, mais il n’arrive pas réellement à cerner l’intérêt d’immortaliser ce que des yeux font déjà ou de reproduire des scènes de la vie courante. Cela ne l’empêche pas de considérer le travail derrière chaque exposition, et d’avoir envie d’encourager et de féliciter à sa façon les artistes que Jenna expose, quand bien même il ne peut leur faire un retour très personnalisé. Pourtant, aujourd’hui, il aurait apprécié d’être dans la posture d’un grand connaisseur, afin d’avoir une excuse pour s’adresser à Madison. Il aurait pu juger ses photos, l’approcher pour la féliciter des émotions qu’elle remue en lui ; mais elle ne serait probablement pas dupe alors qu’il n’a jamais été un bon acteur, Finn. Et puis, de toute évidence, ce ne sont pas ses photos qui l’intéressent le plus – même s’il doit lui reconnaître un vrai talent, pour ce qu’il en sait – mais la jeune femme en elle-même et surtout de savoir comment elle se porte depuis leur dernier échange. En la quittant, il était resté disponible pour elle dans l’hypothèse où elle souhaiterait revenir sur cette soirée, sans pour autant l’encourager à le faire pour ne pas se confronter à ses propres démons. Et elle ne l’avait pas fait. Les mois qui ont suivi, ont été assourdissants de silence et pour cette raison, Finn ne devrait pas s’interroger quant à son état, parce qu’il paraît évident qu’elle n’a aucune envie de lui en offrir une actualisation.
Alors il reste à distance, d’autant plus qu’elle est occupée avec un visiteur, puis un autre, et il fait mine de s’intéresser de près à l’exposition, alors même que son regard ne cesse de guetter le moment où elle sera enfin seule. Quand celui-ci arrive, il a une dernière once d’hésitation, avant de se lancer ; Madison gravite autour de lui depuis suffisamment longtemps pour qu’il se sente une certaine responsabilité à son égard et qu’il ne puisse réellement opter pour la carte de l’indifférence. « Salut. » Il s’annonce doucement en s’approchant d’elle, avant de désigner d’un signe de la tête son travail exposé aux murs. « Je savais pas que tu exposais ici. » Il précise, avant d’ajouter : « T’es vraiment douée. » Ce qui ne l’étonne pas compte tenu de son métier, mais il s’imagine qu’un compliment – même si superficiel – est toujours apprécié. Qu’est-ce qu’il en soit, en réalité ; ce n’est de toute façon pas la priorité. « Comment tu vas ? » On pourrait pu croire à une pure politesse, sans que la réponse n’intéresse vraiment celui qui a posé la question, mais la manière dont Finn continue d’observer la photo devant lui pour ne pas croiser le regard de Madison en dit long sur le sens de cette interrogation. |
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