ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre POSTS : 6213 POINTS : 500 TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin) GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever CODE COULEUR : #A4508B RPs EN COURS :
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't
scarlett#4 ◦ laurie#8 ◦ nicholas#21 ◦ megan#12 ◦ charlie#13 ◦ micah#8 ◦ midas#29 ◦ olive#7 ◦ laurie#6 (fb 2009) RPs EN ATTENTE :
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre) RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens AVATAR : alexa demie CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars) DC : evelyn pearson & mavis barnes PSEUDO : ssoveia INSCRIT LE : 07/02/2020 | (#) Sujet: (scarjo #4) lights, camera, bitch, smile Mar 7 Mai 2024 - 9:35 | |
|
| lights, camera, bitch, smile @Scarlett Bridgers (crédit gif/ssoveia)
Jo sentit le souffle de Thomas lui caresser l’oreille au moment-même où elle quitta le photocall de la première de Furiosa pour rejoindre le tapis rouge. Elle l’entendit lui rappeler qu’avec les photos venaient les interviews. Elle n’avait pas besoin qu’on le lui dise, elle avait fait ça des centaines de fois. Ce n’était pas difficile, c’était une routine qui était presque rassurante quand on faisait ce métier et qu’on aimait autant l’attention. Et là, elle en recevait à foison. Elle ne se demandait même pas si l’invitation qu’elle avait reçue était légitime, elle ne se demandait pas grand-chose en vérité, elle devait admettre que depuis quelques temps maintenant, toutes ses fonctions étaient poussées sur pilote automatique, et que son cerveau fonctionnait en parfaite autonomie pour diriger son corps là où on lui disait d’aller. Elle n’avait même pas la force d’être capricieuse, d’être contrariante, d’être tout ce qu’elle était d’habitude en somme, et quand on la connaissait, c’était un signe alarmant à relever — mais rien, on se disait juste qu’elle avait besoin de temps pour encaisser, c’était ça, le deuil, après tout. Prendre du plaisir était presque entièrement exclu de la manière dont elle envisageait la tournée promotionnelle de son album sorti il y avait presque trois mois maintenant, et ce pour différentes raisons, son esprit ayant quitté son corps à la seconde où elle avait appris la mort de Charlie à qui elle avait à peine pu dire au revoir, privée de ses funérailles à cause des photographes devant qui elle se pavanait aujourd’hui, le coeur coincé dans le fond de sa gorge, la colère faisant briller son regard sans que ça ne se distingue des autres fois où on avait jugé qu’elle devait sa force à ça là, ce qui rendait ses yeux si captivants. Parce que son état psychologique mis à part, rien ne la dispensait d’être belle dans sa Valentino vintage, ses longs cheveux travaillés boucle par boucle pour encadrer un visage assurément magnifié par quelques heures de maquillage histoire de cacher ses plus récentes insomnies — la routine en effet, c’était ça maintenant, sa vie. Encore une fois, elle aurait aimé que Midas soit là, avec elle, à lui tenir la main pour la guider aussi bien que son propre cerveau semblait le faire, à prendre soin d’elle sans qu’elle ne daigne pour autant lui avouer vraiment qu’elle ne va pas bien du tout, mais ils n’avaient pas le même agenda, ça commençait à lui peser. Elle avait appris que Micah, lui, était là, et si la pensée avait été fugace, elle savait que l’éventualité de tomber sur lui à nouveau, ça la ferait camper sur son idée première d’honorer ses engagements sur le tapis rouge, puis de rentrer sans perdre de temps à Brisbane pour essayer de respirer un peu.
Elle devait prendre sur elle en attendant. Elle prit une très profonde inspiration. Ce sera rapide, une formalité, entendit-elle Thomas lui susurrer, l’essaim composé de son assistante, de son styliste et de sa sécurité, toujours aux aguets après l’épisode des photographes intrusifs, bourdonnant juste derrière elle tandis qu’elle s’avançait le long du cordon de journalistes qui étaient venus couvrir l’événement de la sortie de ce film tant attendu. Elle passa à côté de l’épouse de Chris Hemsworth, elle salua ce dernier, eut un échange très rapide avec lui, avant qu’il ne lui laisse la place face à une journaliste excitée de sa présence et qui le montra en la prenant très rapidement dans ses bras, elle aussi. Jo ne protesta pas, c’était le jeu. Mais elle grimaça intérieurement, et enfin elle jeta un regard circulaire à son environnement pour mieux constater que Thomas l’avait rendue coupable d’être passée au nez et à la barbe de tous ceux qui attendaient depuis quelques minutes déjà. Elle ne s’en préoccupa par sur le moment, elle ne s’en préoccuperait pas plus tard non plus, furtivement absorbée par un échange de regards qui eut lieu entre elle et Scarlett dont elle remarqua la présence non loin d’elle. Elle le rompit en décalé, revenant à la question que la journaliste lui avait posée et qu’elle n’avait pas entendue, recluse dans sa bulle qui éclata tout à coup "J’étais ailleurs." se justifia-t-elle pour faire répéter sa phrase à la jeune femme, et ce dans un sourire charmeur, lançant un regard à la caméra qui filmait leur échange pour briser le quatrième mur et partager un moment de complicité fugace avec les auditeurs avant que celle qui l’interrogeait ne reprenne, dans un léger gloussement qui, après-coup, donnerait envie à Jo de lui enfoncer son putain de micro dans la gorge "Je disais que c’était étonnant de vous voir ici après la perte atroce que vous venez de vivre. Ça a été un choc, j’imagine ? Qui était-elle pour vous exactement ?" Attentive à ce qu’elle lui disait, le léger sourire que Jo lui donnait se fana sans délai. Elle ressentit le même petit vertige que lorsqu’elle avait retrouvé Megan chez elle après avoir atterri en catastrophe à Brisbane, et ses oreilles se mirent à tinter pour l’isoler à nouveau du monde entier, et la rendre plus muette qu’elle n’aurait aimé l’être face à cette misérable petite garce qui se réjouissait visiblement bien trop d’avoir fait fermer sa jolie bouche à une Jo Carter qu’on disait apte à faire de tout une situation à tourner à son avantage. cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".
|
|