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 (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS

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Raelyn Blackwell
Raelyn Blackwell
la muse des cauchemars
la muse des cauchemars
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 9OYzxwd Présent
ÂGE : 37 ans (23.12.1986) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Amos a bouleversé toutes ses certitudes : la reine des glaces est loin désormais, et le couple s'est marié à l'abri des regards en avril 2022. Ils sont parents d'une petite Micah depuis deux ans. (26.12.2021)
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Copropriétaire avec Amos de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Maintenant à trois, dans un vieil entrepôt transformé en luxueux loft au 721 Daisy Hill Road à Logan City. L'adresse de leur domicile est un secret que le couple garde jalousement.
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 3aa34c11fbfa02f265b557ea034e9104529609df
POSTS : 31547 POINTS : 60

TW IN RP : Prise et mention de drogues dures, overdose, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, alcool.
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―

(05) abrahamspencer #13amos #96danaë #1cecilia #1

(ua) amelyn UA #12amelyn UA #13zombie amelyn #2

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 2c812e83f641f81c84131a7d9002751486832595
amelyn #96 ☆ i don't know just how it happened, i let down my guard, swore I'd never fall in love again but I fell hard. you came into my crazy world like a cool and cleansing wave. before I knew what hit me, baby, you were flowing though my veins. i'm addicted to you, hooked on your love, like a powerful drug i can't get enough of.

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spencer #13 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danaë #1 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 B59055a75dd7112e5443a505e7c79a1ee60cfe76
amelyn ☆ i was lost until i found me in you. i saw a side of me that i was scared to, but now i hear my name and i'm running your way. i still look at you with eyes that want you. when you move, you make my oceans move too. it's my desire that you feed, you know just what I need. you got power, you got power over me ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

(ua) 12345678910111213

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : ganesha (avatar), harley (crackships amelyn, gif spencer), amengaga (gif profil), pinacolanagifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Tom Blyth)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 EmptyVen 2 Juin 2023 - 19:01



moving on and mother hens
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 873483867

« Que l’épaule, oui. Et je ne suis jamais malade. » - « Rien à voir. » En dépliant et repliant mes doigts pour tester la façon dont mon avant-bras réagit, je lui adresse un sourire amusé, un sourire d’adolescente crâneuse. Il y a quelques heures à peine, j’affirmais que je n’avais pas mal du tout : il faudra qu’il se contente d’un seul aveu à la fois.

Ma fille a eu beau me manquer, je quitte son chevet pour suivre mon amant à l’intérieur de notre salle de bain. Après toutes les émotions qui m’ont traversée ce soir, c’est à ses côtés que j’ai besoin d’être. Demain sera un autre jour : demain sera dédié à Micah qui s’appropriera à nouveau le loft, sa chambre, ses espaces et ses jouets, ceux qu’elle n’a pas emmenés avec elle lorsque nous l’avons éloignée pour son bien. Pour l’instant, elle dort à poing fermés, et nous avons des choses à nous dire. Des choses à exorciser, aussi. Et nul besoin d’être un devin pour savoir quelle forme cela prendra. Mais avant tout, Amos m’interroge sur l’agression que je lui ai rapportée dans la voiture. Je ne l’ai pas brandie comme justification pour qu’il me fiche une paix royale et qu’il me laisse me procurer une nouvelle arme quand je l’entends. Je lui ai partagé l’anecdote – si tant est qu’elle soit qualifiable de la sorte – parce qu’elle fait partie de qui je suis et n’est sans doute pas étrangère à mon besoin d’être armée. Elle ne le justifie pas à elle seule – j’évolue dans un milieu dangereux mais elle était, jusqu’à ce que le corps sans vie d’Aberline ne retombe à mes pieds – la seule fois où j’ai été confrontée de si près et si direction à la violence inerrante à la pègre.

« Sortir, grâce à un vice de forme. » Je le relève pas la remarque d’Amos : elle tient de la ponctuation. Nous connaissons tous les deux les détails de cette histoire-là, en revanche. Elle est loin de lui être aussi étrangère que celle qui motive cette discussion. « Et, tu ne lui as rien dit ? Pourquoi ? Par manque de confiance ? » - « A Mitchell ? » Je fronce les sourcils et penche la tête, réfléchissant au pourquoi du comment puisque jusque-là, je ne m’étais jamais posé la question. « Je sais pas. A l’époque, la question s’est pas posée. Il avait des affaires à gérer après sa sortie, et j’avais pas besoin de lui pour gérer les miennes. » Au contraire, je crois que son emprisonnement a été la première pierre sur le chemin de mon émancipation, pas parce que je lui en ai voulu et qu’il a perdu de mon estime – pas à l’époque, mais parce que j’ai tenu le navire à flot pendant près d’un an. J’ai réalisé que je n’avais pas besoin de lui, et tant que je ne faisais pas de vague, il me laissait gérer mes affaires sans ingérence. « Et puis, à quoi bon ? Il n’a déjà pas réussi à attraper Lou. Forthys a disparu des radars, après ça. » Autrement dit, je n’avais pas le sentiment de courir un danger imminent.

« Et, comment tu as réagi ? » - « Je lui ai écrasé une bouteille de parfum sur le crâne. » Certainement était-ce l’après qui intéressait Amos. Je doute qu’il ait envie d’une description minute par minute d’une agression qu’il trouverait certainement révoltante, faute à l’amour qui nous unit. « Je sais pas. J’ai fait comme si c’était jamais arrivé. » Je toujours été plus douée pour enterrer tout ce que je pouvais ressentir que pour l’extérioriser de façon saine et dans la norme. « Je suppose que ça l’arrangeait bien, que c’était une façon de te garder sous sa coupe. Elle se passait comment, votre relation ? » Je fronce les sourcils pas parce que sa remarque me heurte ou parce que sa question me vexe, mais parce que je ne comprends pas de quoi il parle, je ne comprends pas de qui il parle. Qui me gardait sous sa coupe ? Mitchell ? Pourquoi s’intéresser alors à notre relation passée : il la connait. « Et… si tu étais défoncée, je présume qu’il n’était déjà plus là. » Mes yeux se font reflet de toute mon incompréhension, l’espace d’un instant en tout cas. Jusqu’à ce que je comprenne de qui il est question, jusqu’à ce que je devine qui est cette autre personne qui, à ses yeux, aurait dû m’apprendre à me défendre en plus de m’armer ou en tout cas de ramener une arme chez nous. C’est Aaron et je suis surprise : si Sarah a longtemps été une composante de notre relation, Amos n’a que rarement cherché à en savoir plus sur ma relation passée. Je sais pourquoi, je sais que le sujet est dangereux puisqu’il provoque chez lui une jalousie qui n’a pas lieu d’être : j’étais une enfant, c’était il y a des années. « Aaron ? » Je me risqué à prononcer son prénom, et j’attends avant de poursuivre une confirmation de la part d’Amos. Un mot, un signe de la tête, n’importe quoi. « Non. Il n’était plus là depuis longtemps. Depuis des années. » Autant de temps nous sépare de l’agression que ce qui la sépare de la mort de mon ex. Mais si dans mon esprit la chronologie est claire, ce n’est guère surprenant qu’elle ne le soit pas autant dans celui d’Amos. « Je sais pas s’il me gardait sous sa coupe. Ce que je sais, c’est que ça flattait son égo, qu’une gamine de vingt ans dépende de lui et le place sur un piédestal. » Cela fait longtemps que je l’en ai délogé : je suis capable d’avoir cette analyse là de la situation. « J’étais une enfant quand on était ensemble. Il était question que je deal à la sauvette, pas que je me retrouve avec une arme dans les mains. » Et certainement pas qu’un jour je me retrouve au sommet de la chaîne alimentaire. « Et c’était… En dent de scie. » Comment mettre des mots sur une relation qui appartient à une autre époque au point que j’ai le sentiment que ce n’est pas moi qui l’ai vécue, mais une autre ? « On aurait fini par se détruire. Et pas dans le sens passionné du terme. » Je n’ai pas beaucoup plus envie de parler d’Aaron, pas parce que le sujet est tabou, mais parce que c’est Amos que je tiens dans mes bras, lui qui se colle contre moi alors qu’il s’est déjà débarrassé de son t-shirt.

« Je vais pas te dire que je ferai mieux qu’eux, parce que c’est déjà fait. » Je hoche la tête doucement, un sourire sur les lèvres. Il n’y a même pas la moindre raison de comparer : Amos coiffe ces deux figures du passé au poteau dans tous les domaines auxquels il me soit possible de penser. « Je vais pas non plus te promettre que je vais réussir à ne pas y penser et que ça ne me rendra pas fou à un moment donné. » Cette fois, j’attrape son menton entre mes doigts avec fermeté. « Ne te rends pas malade à cause de ça. Ce n’est pas pour ça que je te l’ai dit. » Je n’ai pas besoin qu’un chevalier vienne défendre l’honneur de la demoiselle en détresse que je suis. Il a vu la même chose que moi : Forthys avait l’air si solide qu’une pichenette l’aurait certainement fait tomber à terre. Tant que cela ne change pas, il n’est pas une menace. « Mais, je vais te confier un secret. » - « J’aime les secrets. » Il murmure à voix basse tout contre mon oreille et, tandis que je me calque sur son ton, un frisson parcourt mon échine. « J’ai eu envie de toi. Tu as tiré et j’ai terriblement eu envie de toi et je ne connais pas mille façons de me débarrasser de toutes ces émotions qui m’ont traversée… et je me moque que ce soit sale ou malsain. » Ses mains glissent sous mon t-shirt, mais ses mots auraient suffi à faire démarrer un brasier dans mon ventre. Mon sang pulse contre mes tempes, mes doigts picotent et se baladent sans la moindre entrave sur son torse, eux aussi. « La chaleur. ça fera du bien pour ce que tu as. » - « Viens là. » Je dépose mes mains, doigts ouverts, de part et d’autre de son visage et je l’attire contre moi. Je ne chuchote pas à son oreille, je garde mes yeux dans les siens et fais se frôler nos nez. « C’était excitant. D’appuyer sur la déteste, le bruit, l’odeur, le sang, et quand elle est tombée. » Aux yeux de quelqu’un d’autre, je passerais pour un monstre à cause de cet aveu. Mais je ne crains pas que ce soit le cas aux yeux d’Amos. « Si on avait été seuls là-bas… » Je lui aurais certainement sauté dessus. Je ne termine pas ma phrase, à la place, je défaits sa ceinture d’une main de maître, et saute du perchoir sur lequel je m’étais installée, sans pour autant briser le contact entre nos deux peaux. « Il faut qu’on soit silencieux. » Micah dort à coté dans la chambre dont il nous sépare en refermant la porte. Mes lèvres se joignent aux siennes, avant de glisser dans sa nuque.





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Amos Taylor
Amos Taylor
le faiseur de rêves
le faiseur de rêves
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 MTtf4TM Présent
ÂGE : 46 ans (02/05/1977)
STATUT : Elle a gommé ses ratures, effacé ses coquilles. Elle lui a rappelé que derrière le tragique se terrent parfois de belles histoires d'amour. Elle est sa renaissance, son renouveau et, aujourd'hui, ils sont ensemble parents d'une petite Micah née en décembre 2021.
MÉTIER : Propriétaire d'un casino que Raelyn a appelé "Octopus". Bras droit de Raelyn au Club, il gère l'acheminement et la revente des armes illégales.
LOGEMENT : Il vit depuis janvier 2021 avec Raelyn au 721 Daisy Hill Road à Logan City, dans un loft dont il tait l’adresse. Il possède également un catamaran dans un emplacement privé et, lui aussi, inconnu tous. Rae et lui, pour leur couverture, louent aussi un appartement "témoin" pour recevoir leurs proches et, de cette manière, conserver le secret de leur adresse.
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 7fe8de8179bb678c6559b1728cea5e5732d143b9
POSTS : 7246 POINTS : 0

TW IN RP : Dépression › Suicide › Alcoolisme › TSPT › Coma éthylique › Deuil › Addiction › Overdose d'un proche › Meurtre › Décès d'un proche
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : Il ne cuisine pas, mais il sait faire à manger › C'est un excellent nageur › Après l'accident, il n'a plus plongé pendant des années. Il a recommencé récemment grâce à Raelyn › Alcoolique notoire. Il l'admet et essaie de se soigner après que les médecins lui ont promis une mort anticipée s'il n'arrêtait pas › La mauvaise foi est son arme préférée › Il fume beaucoup trop pour son bien › Il est obsédé par la sécurité de Raelyn, mais aussi celle de Micah. Sa peur de la perdre est grandissante et ne semble pas vouloir s'éteindre.
CODE COULEUR : 66cc66
RPs EN COURS : (7+2=9) Amelyn #96Midas #4Anwar #2Rhett #3Abramos #1Samuel #1Chad #5 › Atlas 7#

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
Amelyn 96 ⊹ I was lost until I found me in you. I saw a side of me that I was scared to, but now I hear my name and I'm running your way. I still look at you with eyes that want you. When you move, you make my oceans move too. It's my desire that you feed, you know just what I need. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 56314a9c59aee1395475bcb536c1c83e8a68d224
Atlas #7 ⊹ I am the key to the lock in your house. That keeps your toys in the basement. Do not cry out or hit the alarm, you know we're friends till we die.

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Tumblr_nm1d3lw4051qg8dzlo4_r1_250
Taylor & Sterling Chad #5 & Midas #4 & Samuel #1 & Abraham#1 ⊹ By faith, being moved by the fear of God, he made ready an ark for the salvation of his family

UNIVERS ALTERNATIFS :


85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Deuy
Amelyn UAchp 12 & chp 13 › ⊹ Everybody knows that baby's got new clothes, but lately I see her ribbons and her bows have fallen from her curls. She takes just like a woman. She makes love just like a woman and she aches just like a woman. But she breaks just like a little girl. ☽ 12345678910111213


RPs EN ATTENTE : Jonah
RPs TERMINÉS : Liste mise à jour dans la fiche de liens.


AVATAR : Bradley cooper
CRÉDITS : Stairsjumper (avatar), Loma (gifs signature), harley (crackships profil), WALDOSIA. (code signature), casiopeis (gif from serena) hillsidepacks
DC : Nope
PSEUDO : Ci!
Femme (elle)
INSCRIT LE : 16/12/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t28495-amos-taylor-my-senses-have-been-stripped
https://www.30yearsstillyoung.com/t28558-amos-taylor-ace-of-spades

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 EmptyDim 4 Juin 2023 - 17:18






MOVING ON AND MOTHER HENS
Raelyn et moi, face à des faiblesses humaines et factuelles, c’est le pot de terre contre le pot de fer. Son épaule l’a fait souffrir et elle minimise avec le même panache que moi qui, assommé par le fièvre, prétend que ce n’est qu’une illusion. Dès lors, je lui retourne son sourire. Ma main caressant le dos de ma princesse, j’observe tous les mouvements de la reine de mon cœur, non pas en quête de preuve, mais pour déterminer comment agir pour détendre ses muscles endoloris. Je surveille toujours en mitraillant ma famille de photos et, lorsque j’annonce mon envie d’une douche, je me doute que je ne resterai pas seul dans la salle de bain. Parmi les différents messages de mon baiser s’est glissé une invitation et, Rae, elle est capable de lire entre mes lignes. Elle observe la surface, creuse le vernis et déchiffre sans effort les petits caractères. Elle ne semble pas effarée par mon approche au sujet de Solas. Elle répond à mes questions de façon factuelle et je crois que ça m’est nécessaire. Bien sûr, je suis curieux des émotions qu’elle aura ressentie à l’époque. Mais, ne sont-elles pas susceptibles de me faire chuter du mauvais côté de la barrière ? Plus tard, au cours de cet échange, je m’aventurerais sur ce terrain. Sur l’heure, j’écoute, je commente, j’essaie de compléter le livre de ses relations avec les strange des chapitres précédents que j’ai rédigés avec elle. «Des affaires avec une énorme paire de seins et le coeur entre les cuisses ? » me suis-je enquis afin de mesurer l’hauteur de sa bêtise. «A l’époque, tes affaires étaient aussi les siennes, non ? Il aurait dû s’arranger pour tout cadenasser autour de toi.» Somme tout, je l’ai fait : s’il n’est pas une menace amoureuse, je suis fier d’avoir alimenté assez de respect pour la nature de ma complice pour la tirer vers les sommets et d’avoir érigé autour d’elle des murs sans oreilles dans lesquelles reposent des pions silencieux. «Normalement, ça n’aurait pas dû l’arranger que tu sois une biche plus ou moins inoffensive.» La précision adverbiale est utile : elle est débrouillarde. Elle est capable de se sauver de situations épineuses en utilisant son décor - une bouteille de parfum - mais, jusqu'à quand ? A quel moment le facteur chance - il a joué son rôle - l’abandonnera pour des raisons abscons. Le sort colle des cibles dans le dos de ses victimes au hasard de ses caprices. Il ne possède rien de rationnel, mais forme une figure de proue du milieu de la criminalité, surtout lorsqu’il est aussi menu que son tempérament n’est volcanique. Sa petitesse aurait dû être compensée par des cours de self défense et l’apprentissage du tir pour les derniers cours. «Il espérait pouvoir continuer à sauter Lou. Mais, je vais arrêter de radoter.» Je ne renchéris pas en rappelant qu’il a une bite plus énorme dans le cerveau que dans le pantalon. Et, qu’en était-il d’Aaron ? a priori, le couple qu’ils ont formé a été voué à l’échec. Elle était une enfant en détresse : il l’a sauvée de son schéma de destruction. A cet âge, ça suffit pour cultiver l’illusion d’un amour fou pour la plus fragile des deux. C’était Rae, le maillon faible et je suis outré d’entendre qu’il eût si peu de considération pour elle qu’il l’a postée à des carrefours entre deux écoles ou deux boîtes de nuit pour dealer sa came. «Pardon ?» Ebahi, je passe une main sous l’eau avec nonchalance : je tendais à vérifier si elle était à bonne température, l’information m’a échappée. Est-ce le moment d’acter que j’accumule déjà trop de frustration pour poursuivre cette conversation ? Je le crains et, si je me permets un jugement supplémentaire - «Il n’y a rien de cohérent de sa façon de faire. Rien pour moi en tout cas.» Il la sauve d’une overdose et lui colle des sachets dans les mains pour qu’elle lui ramène de l’argent ? La logique me dépasse, mais je me rassure au minimum : il ne l’a pas collée sur le trottoir. J’en suis d’autant plus soulagé que, par bien des aspects, j’éclaire la vie de Raelyn de bien plus d’égard, de beaucoup d’affection et d’une tonne d’amour parfois peu sain, mais grâce auquel nous grandissons au contact de l’autre.

Je me souviens que, défalqué de mon t-shirt, mon torse enserré entre ses cuisses et ma bouche parsemant dans son cou des baisers pour remonter jusqu’à son oreille, j’ai défini quelques émotions par des mots, sans promesse - je risque de traquer Solas si son nom apparaît au hasard d’une converse avec un quelconque quidam -, et ce, même celles que les croquants dans leur chaumière auraient qualifié de dégradantes. Micah est dans la pièce à côté - j’ai fermé la porte - le babyphone est destiné à rester sur le plan de travail de vasque - nous serons à l’écoute - et, pourtant, nous nous déshabillons avec hâte entre deux confessions révélant la même convoîtise : balayer le danger était existant, être témoin de la détermination de Rae était grisant et, moi, je ne suis qu’un homme faible devant les courbes de mon épouse, je ne suis qu’un pauvre type comme les autres qui s’ébaudit devant les démonstrations d’un pouvoir à se partager, un qui suggère que nous pourrions dominer le monde après les torts qu’il nous a causés. «Je sais, moi aussi.» auront été les derniers mots prononcés sans saccade. Déjà nos respirations s’emballent et imposent à nos gestes le tempo recommandé pour notre convoîtise mutuelle. Sa recommandation n’a d’abord récupéré qu’un hochement de tête. Puis, sous la douche, enfin nu et profitant de notre chaleur mutuel, de l’onde d’eau qui trébuche autour de nous comme si notre bulle était déperlante, j’ai pris les rênes d’une étreinte brûlante qui, plut tard, exigera d’être conclu par de la douceur. En attendant, les circonstances ne jouant pas à la faveur de la discrétion, j’ai bâillonné ma complice tantôt de ma bouche contre la sienne, tantôt de la paume de ma main quand mes lèvres s'intéressent à des pans de peau plus sensibles et qui se dévoue avec plaisir à prolonger le combat.

Tous deux alanguis, nous autorisons nos coeurs à ralentir en nous couvrant de baisers beaucoup plus sages. Nous rassemblons également les quelques forces qui nous maintiennent debout pour évoquer la tendresse de nos mains qui se lavent mutuellement, de nos corps qui se serrent, de nos nez qui se frôlent et de nos fronts qui se rejoignent alors que nous sommes comblés et que nous l’exprimons d’un sourire béat. « Tu sais que je n’ai pas oublié que je te dois un massage.» J’ai dessiné des guillemets : à mon sens, ce sera moins sensuel que “curatif” selon mes moyens. Au moins, la remarque est-elle le point de départ à la suite du programme : nous nous rinçons, nous enfermons dans le même peignoir éponge et nous nous essuyons en riant comme des adolescents. Evidemment, nous pourrions repartir, mais nous sommes restés loin de Micah bien trop longtemps au cours de cette soirée. Alors, vêtus en partie, je me suis approché d’une Raelyn allongée auprès de sa fille avec, entre les doigts, mon sacro-saint tube d’arnica. « Pas de langue de bois. Tu me dis où ça fait mal.» Elle m’apparaît coopérative et, si je profite de l’instant pour la couvrir encore de baisers plus légers que les pattes d’un papillon, je n’en demeure pas moins inquiet. [color=#66cc66] «Si d’ici trois jours, ce n’est pas passé, il faudra voir quelqu’un… En attendant, on devrait dormir un peu avant qu’elle ne se réveille..»[/color ] ai-je proposé en éteignant la lumière. Les trois membres de cette famille forment alors une chaîne : dos contre torse avec mes bras pour refermer la boucle autour de ces trois maillons.




--- and suddenly
i was there, caught up in a dream, running after a new reality.

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la muse des cauchemars
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ÂGE : 37 ans (23.12.1986) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Amos a bouleversé toutes ses certitudes : la reine des glaces est loin désormais, et le couple s'est marié à l'abri des regards en avril 2022. Ils sont parents d'une petite Micah depuis deux ans. (26.12.2021)
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Copropriétaire avec Amos de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Maintenant à trois, dans un vieil entrepôt transformé en luxueux loft au 721 Daisy Hill Road à Logan City. L'adresse de leur domicile est un secret que le couple garde jalousement.
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POSTS : 31547 POINTS : 60

TW IN RP : Prise et mention de drogues dures, overdose, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, alcool.
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
CODE COULEUR : indianred.
RPs EN COURS :
― raelyn's theme ―

(05) abrahamspencer #13amos #96danaë #1cecilia #1

(ua) amelyn UA #12amelyn UA #13zombie amelyn #2

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amelyn #96 ☆ i don't know just how it happened, i let down my guard, swore I'd never fall in love again but I fell hard. you came into my crazy world like a cool and cleansing wave. before I knew what hit me, baby, you were flowing though my veins. i'm addicted to you, hooked on your love, like a powerful drug i can't get enough of.

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 9e9234daecf621079fd64dc9762456204e027a44
spencer #13 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danaë #1 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

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cecilia #1 ☆ there's a pleasure in hiding from the sun. no, i was never one for pretty weather, i'd rather be a creep. there's a bright side to every wrong thing, if you're looking at me through the right eyes. darkness in my name, don't you wanna come and play on the cool side.

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 B59055a75dd7112e5443a505e7c79a1ee60cfe76
amelyn ☆ i was lost until i found me in you. i saw a side of me that i was scared to, but now i hear my name and i'm running your way. i still look at you with eyes that want you. when you move, you make my oceans move too. it's my desire that you feed, you know just what I need. you got power, you got power over me ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

(ua) 12345678910111213

AVATAR : Lady Gaga
CRÉDITS : ganesha (avatar), harley (crackships amelyn, gif spencer), amengaga (gif profil), pinacolanagifs (gif danaë) & jifdirectory (gif cecilia)
DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Tom Blyth)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t23235-raelyn-you-can-try-to-break-me-i-cut-my-teeth-on-people-like-you
https://www.30yearsstillyoung.com/t23281-raelyn-never-learned-to-raise-my-hand-was-too-busy-raising-hell

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Message(#) Sujet: Re: (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 EmptyLun 5 Juin 2023 - 23:15



moving on and mother hens
Raelyn Blackwell & @Amos Taylor 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 873483867

« Des affaires avec une énorme paire de seins et le cœur entre les cuisses ? » Je hausse les épaules, le débat en question ne m’intéressant que peu : j’ai rayé Mitchell de ma vie et lorsque je raye quelqu’un, il disparait pour de bon. Je ne cherche plus à prouver qu’il ne méritait pas sa place : je n’ai plus besoin de ça, sa médiocrité actuelle parle à ma place. « Je t’ai dit : pas mes affaires, pas mon problème. » Ses affaires de cœur et de fesses ne m’ont jamais intéressée. Elles ne m’ont concernée que lorsqu’elles passaient avant les intérêts du Club. « A l’époque, tes affaires étaient aussi les siennes, non ? Il aurait dû s’arranger pour tout cadenasser autour de toi. » Je n’ai jamais attendu ça de lui. Je n’ai jamais attendu de qui que ce soit d’être traitée autrement que mes congénères masculins, et personne ne faisait le pied de grue devant leur porter pour assurer leur sécurité, à eux. Le discours d’Amos m’agace, parce qu’il a beau avoir toutes les bonnes intentions du monde, il me remet face à ma condition de femme et me donne le sentiment qu’elle me limite ou en tout cas, que je ne pourrais jamais être l’égale d’un homme. « Normalement, ça n’aurait pas dû l’arranger que tu sois une biche plus ou moins inoffensive. » Le qualificatif est la goutte de trop. Lorsqu’Amos se conduit un peu trop comme un homme des caverne et que je suis concernée, j’ai tendance à ne pas appréciée et si la situation n’est ni grave ni préoccupante – autrement dit, je ne me révolterai pas à cause d’elle et ne sera la cause d’aucun désamour – je ne peux pas m’empêcher de l’arrêter. « Une biche inoffensive ? » Du bout des doigts, je le repousse de quelques centimètres pour qu’il lise mon irritation autant qu’il doit la percevoir dans ma voix. « Je ne suis pas une biche inoffensive. Je ne l’ai jamais été. » Et l’emploi du conditionnel ne suffit pas à m’apaiser. « Je n’ai pas besoin que l’on me protège comme si j’étais fragile. » Parce que je ne l’ai jamais été. Si j’accepte la présence de Callum, c’est déjà agaçant pour moi d’avoir un garde du corps en permanence à mes côtés quand je ne vois personne coller aux basques d’Amos. « J’ai toujours demandé à être traitée exactement comme un homme. » Et c’est ce que j’ai obtenu. Alors je n’ai jamais pensé à me plaindre de la situation.

« Il espérait pouvoir continuer à sauter Lou. Mais, je vais arrêter de radoter. » Je laisse un sourire se dessiner sur mes lèvres. « Certainement, oui. » Je les pince pour former une grimace amusée. « Il va avoir du mal maintenant. » Je m’amuse de la mort de ma Némésis comme si j’étais sans cœur. Je ne le suis pas, mais il ne bat pas pour elle, à vrai dire, il ne bat que pour de rares élus et ils sont tous auprès de moi.  « Pardon ? » Je fronce les sourcils, surprise par l’étonnement. Cette fois, je réponds avec douceur. « Tu sais que j’ai commencé en bas de la chaîne alimentaire. » Il n’y a rien de nouveau là-dedans. Peut-être n’avait-il pas envisagé que le bas soit si bas, mais je n’ai jamais caché la façon dont j’ai fait mes premiers pas au sein du Club. Pour peu, je craindrais presque qu’il m’en veuille d’avoir participé à la chute d’âme semblable à celle de sa fille en leur vendant leur poison de mes mains. A mes yeux, ma place dans la chaîne alimentaire ne change pas grand-chose à ça : nous sommes tous coupables. Mais pour Amos, est-ce que ce sera trop ? « Il n’y a rien de cohérent de sa façon de faire. Rien pour moi en tout cas. » Doucement, je l’attire à nouveau plus près de moi et fais glisse mes doigts le long de son bras. « Ça n’a plus la moindre espèce d’importance aujourd’hui. » Parce qu’il n’est plus là, que mon cœur a cessé de battre pour lui il a des années, et qu’Amos a tout raflé et renversé sur son passage. Je suis à lui et, finalement, ce que j’ai enduré et les combats que j’ai menés font de moi la femme que je suis aujourd’hui.

Nous avons plus que trop parlé de ces figures du passé. La seule chose qui compte à mes yeux c’est le présent, c’est Amos avec lequel je partage ma vie et qui, sur l’heure, me tient dans ses bras, qui se débarrasse de son t-shirt, ne tarde pas à faire pareil du mien, qui m’embrasse, m’enlace et caresse ma peau de la pulpe de ses doigts. Ne compte plus que mon amant qui me glisse à l’oreille à quel point il m’a désiré quand j’ai pris le contrôle pour défendre notre fille en abattant froidement celle qui lui voulait du mal. Ne compte plus que ses doigts sur ma peau et que mes mains qui défont la boucle de mon jean parce que je n’ai pas la moindre envie d’attendre qu’il le fasse. « Je sais, moi aussi. » Il ne m’en faut guère plus pour me débarrasser de mes derniers vêtements et l’accompagner sous la douche, où il me musèle tantôt avec sa bouche tantôt avec sa main pour ne pas réveiller notre fille qui dort dans la chambre d’à côté.


❈❈❈❈


« Tu sais que je n’ai pas oublié que je te dois un massage. » - « Je n’ai pas oublié. » Appuyée contre son torse, mes mains à plat sur sa peau nue, je dépose un dernier baiser sur ses lèvres avant de me détacher pour quitter la douche à regret. Nous en partageons un second, plus long, plus langoureux lorsqu’il m’enferme à l’intérieur de son peignoir avant que, finalement, je me détache pour enfiler un caraco et un short en soie. Micah est à côté et, si je pourrais rester des heures avec Amos à parler notre langage favori, elle m’a trop manqué. Je brosse mes cheveux mouillés, applique lotions et crèmes sur mon visage et rejoint mes deux essentiels dans la chambre. Je m’allonge auprès de ma fille juste pour le plaisir de respirer son odeur. « Pas de langue de bois. Tu me dis où ça fait mal. » J’esquisse un sourire amusé, je me redresse dos à lui pour qu’il ait tout le loisir de s’occuper de mon épaule, et je fais glisser la bretelle de mon haut de mon épaule. « Tu aurais pu prendre une huile de massage. » Je lui adresse la remarque d’une voix amusée et avec un ton de jeune insolente. Du bout du doigt je caresse le sommet de mon épaule, « Là. » descends le long de mon bras en longeant mon biceps, « Là. » et termine juste au-dessus de mon coude. « Et là. L’omoplate, aussi. » Et cette fois c’est promis, je n’ai pas caché la moindre douleur. Ses mains glissent sur ma peau et si quelques un de ses gestes m’arrachent une grimace de douleur, la plupart me font pousser quelques soupirs de soulagement. « Si d’ici trois jours, ce n’est pas passé, il faudra voir quelqu’un… En attendant, on devrait dormir un peu avant qu’elle ne se réveille… »  - « Ce sera pas nécessaire, je te promets. C’est juste musculaire, je vais calmer le jeu sur mes séances de sport, et ça ira. » Plus de haut du corps pour moi pendant quelques semaines – dans ma pièce bien plus équipée qu’à l’époque où elle ne comportait qu’un seul tapis de course, et qu’il m’arrive maintenant de partager avec un Amos décidé à s’entrainer lui aussi – et je serai comme neuve. Avant qu’il n’éteigne, je le retiens pour prendre son visage en coupe, m’emparer des ses lèvres et rompre ce baiser d’un merci. Je m’allonge dos contre son torse, tournée dans la direction de Micah, que je n’étouffe pas mais sur le ventre de laquelle je ne peux pas m’empêcher de poser ma main, pour toujours m’assurer qu’elle respire.





:gniark: :
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Amos Taylor
Amos Taylor
le faiseur de rêves
le faiseur de rêves
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 MTtf4TM Présent
ÂGE : 46 ans (02/05/1977)
STATUT : Elle a gommé ses ratures, effacé ses coquilles. Elle lui a rappelé que derrière le tragique se terrent parfois de belles histoires d'amour. Elle est sa renaissance, son renouveau et, aujourd'hui, ils sont ensemble parents d'une petite Micah née en décembre 2021.
MÉTIER : Propriétaire d'un casino que Raelyn a appelé "Octopus". Bras droit de Raelyn au Club, il gère l'acheminement et la revente des armes illégales.
LOGEMENT : Il vit depuis janvier 2021 avec Raelyn au 721 Daisy Hill Road à Logan City, dans un loft dont il tait l’adresse. Il possède également un catamaran dans un emplacement privé et, lui aussi, inconnu tous. Rae et lui, pour leur couverture, louent aussi un appartement "témoin" pour recevoir leurs proches et, de cette manière, conserver le secret de leur adresse.
85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 7fe8de8179bb678c6559b1728cea5e5732d143b9
POSTS : 7246 POINTS : 0

TW IN RP : Dépression › Suicide › Alcoolisme › TSPT › Coma éthylique › Deuil › Addiction › Overdose d'un proche › Meurtre › Décès d'un proche
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : Il ne cuisine pas, mais il sait faire à manger › C'est un excellent nageur › Après l'accident, il n'a plus plongé pendant des années. Il a recommencé récemment grâce à Raelyn › Alcoolique notoire. Il l'admet et essaie de se soigner après que les médecins lui ont promis une mort anticipée s'il n'arrêtait pas › La mauvaise foi est son arme préférée › Il fume beaucoup trop pour son bien › Il est obsédé par la sécurité de Raelyn, mais aussi celle de Micah. Sa peur de la perdre est grandissante et ne semble pas vouloir s'éteindre.
CODE COULEUR : 66cc66
RPs EN COURS : (7+2=9) Amelyn #96Midas #4Anwar #2Rhett #3Abramos #1Samuel #1Chad #5 › Atlas 7#

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
Amelyn 96 ⊹ I was lost until I found me in you. I saw a side of me that I was scared to, but now I hear my name and I'm running your way. I still look at you with eyes that want you. When you move, you make my oceans move too. It's my desire that you feed, you know just what I need. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 56314a9c59aee1395475bcb536c1c83e8a68d224
Atlas #7 ⊹ I am the key to the lock in your house. That keeps your toys in the basement. Do not cry out or hit the alarm, you know we're friends till we die.

85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Tumblr_nm1d3lw4051qg8dzlo4_r1_250
Taylor & Sterling Chad #5 & Midas #4 & Samuel #1 & Abraham#1 ⊹ By faith, being moved by the fear of God, he made ready an ark for the salvation of his family

UNIVERS ALTERNATIFS :


85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 Deuy
Amelyn UAchp 12 & chp 13 › ⊹ Everybody knows that baby's got new clothes, but lately I see her ribbons and her bows have fallen from her curls. She takes just like a woman. She makes love just like a woman and she aches just like a woman. But she breaks just like a little girl. ☽ 12345678910111213


RPs EN ATTENTE : Jonah
RPs TERMINÉS : Liste mise à jour dans la fiche de liens.


AVATAR : Bradley cooper
CRÉDITS : Stairsjumper (avatar), Loma (gifs signature), harley (crackships profil), WALDOSIA. (code signature), casiopeis (gif from serena) hillsidepacks
DC : Nope
PSEUDO : Ci!
Femme (elle)
INSCRIT LE : 16/12/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t28495-amos-taylor-my-senses-have-been-stripped
https://www.30yearsstillyoung.com/t28558-amos-taylor-ace-of-spades

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Message(#) Sujet: Re: (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS 85 - (Amelyn #85) ► MOVING ON AND MOTHER HENS - Page 2 EmptyDim 11 Juin 2023 - 23:17






MOVING ON AND MOTHER HENS
Jamais je ne rate une occasion de cracher sur ce qu’était Mitchell ou de rappeler ce qu’il est devenu. Et, tant pis, si c’est puéril. J’en retire une telle satisfaction que je ne m’offusque pas de la réaction de Raelyn à l’évocation de l’animal aux longs cils aux allures de proie dans les films. Je me contente de hausser les épaules, prêt à montrer patte blanche puisque je n’ai jamais ma compagne à ce gibier rabattu pour amuser les Hommes amateurs de chasse. Raelyn, dès l’instant où elle m’a tourné autour, je me suis méfié de l’étendue de sa dangerosité. Elle possédait tous les atouts de ces femmes fatales pour le coeur, le corps et l’âme des quidams. Je n’en était qu’un, arrivé dans les artères du Club à l’aide d’une simulation du hasard. Elle me plaisait, trop pour mon propre bien et j’ai oscillé entre l’instinct de survie et le plus trivial qu’est le désir, cette convoîtise qui nous consume de jour en jour. «C’est ce que j’ai dit, ce qui ne veut pas dire que c’est moi qui le pense.» J’ai insisté sur le pronom personnel : c’est ce détail qui alourdit le poids de leur comportement. «Donner des petits boulots dangereux à un gamin, homme ou femme, sans lui apprendre à se défendre… ça définit pas mille mots. Soit le nouvel engagé ne vaut d’apparence pas tripette et on attend qu’il fasse ses preuves, soit on se fiche de sa sécurité. Mon esprit étroit n’appréhende aucune autre option. «Et enchaîner des années plus tard sur des responsabilités en le laissant aussi armé qu’un bébé le jour de sa naissance. C’est un synonyme.» Est-ce la raison pour laquelle je lui ai collé un garde du corps aux basques ? Parce que je la pense inoffensive ? Je rirais au nez de celui qui l’avancerait. Ce ne sont que mes obsessions que j’ai soigné. «Et Callum n’a pas ordre de t’accompagner parce que je te pense fragile.» Le cas échéant, je n’en serais certainement pas tombé amoureux : je n’ai jamais été entouré que de femmes de caractères. Les jeunes femmes candides exigent que l’on prononce des mots et qu’on s’assure de trouver les bons pour les apprivoiser. Je ne suis pas taillé pour ça quoique Rae m’ait appris, par la force des choses, que j’étais capable d’éloquence lorsque c’est nécessaire, lorsqu’il s’agit d’elle, exclusivement d’elle. « Ce que je dis, c’est que s’il t’avait traité comme si tu étais un homme, il aurait mieux fait de viser l’équité…pour compenser l’inégalité physique par exemple.» Oserait-elle affirmer qu’elle pourrait venir à bout d’un assaillant qui mesurerait deux fois sa taille - à peu de choses près - et pèserait plus de cinq fois le sien juste avec ses points et ses pieds que je ne saurais réprimer un fou rire. Elle ne s’y risquera pas cependant. Elle est autant consciente de la perfection de son physique que de sa gracilité. «C’est tout ce que j’en pense et que j’essaie de dire.» Et, a fortiori, ce seront mes derniers commentaires à propos de nos fantômes du passé. Ma dulcinée a raison : ils n’ont plus d’importance. Seule compte ma famille enfin réunie et, sur l’heure, les courbes voluptueuses de ma complice qui m’appellent. Raelyn se fait sirène et je deviens pirate envouté. Je coule par les fonds de l’océan de plaisir vers lesquelles elles m’entraînent. Nous en remontons conquis et essouflés. La douche, témoin de nos méfaits amoureux, devient le spectateur muet des moments de douceur consacrés d’après l’amour.

Ceux-là, ils se poursuivent après notre ébat dans notre chambre où dort paisiblement notre merveille. Mu par le réflexe commun de tous les parents, nous l’observons de concert. Nous caressons sa joue, ses cheveux ou son ventre rond. Mes mains, c’est sur les épaules de Raelyn qu’elle courent savamment dans l’espoir de gommer la douleur causée par le recul de l’arme et le manque de préparation à cet exercice. «Je l’aurais fait si c’était un massage.» l’ai-je taquinée, imitant son ton et embrassant l’arrière de sa nuque. Ensuite, je respecte les indications à la lettre près. Je respecte l’itinéraire induit par la douleur. Parfois, elle se contracte, ma complice. Entre mes doigts, ses muscles se dénouent, mais je ne doute pas qu’il faudra leur dévouer plus temps dans les trois jours à venir. Au terme de la promesse qu’elle consultera si mes bons soins ne suffisent pas, je me laisse embrasser et remercier, non que ça soit nécessaire, mais un “pas de quoi” serait de trop. Je profite de cette parenthèse qui ne se refermera que d’ici quelques semaines, lorsque nous serons rassasiés de la normalité d’être réveillé par Micah, de la préparer pour aller se promener librement, sans plus craindre de menaces imminentes. D’autres surviendront, je n’en doute pas : l’heure est néanmoins à la paix et j’aspire à m’en gaver.




--- and suddenly
i was there, caught up in a dream, running after a new reality.

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