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 (mine #10) don’t know when i learned to play with matches

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7vHkInU Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 242
POSTS : 1589 POINTS : 260

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4f61f27a7f3dd878ee1e086d6d0b0b5769c3bcd
olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 053206208b4592cc4699310dcf5529765ee2ed7f
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 25b36f9f1e9ea8abde34133ed09740b912ab5e21
sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4eed092927093cd907fec4dd7b50920e4dc8394
harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7e1b7d323758be625ec2ec240fb8c544b3d292ad
oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Tom Blyth
CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45772-midas-hide-away-your-sons-and-daughters
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(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Empty
Message(#) Sujet: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMar 24 Jan 2023 - 18:03




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

J’ai flotté sur mon petit nuage pendant des jours après que ma relation avec Jo ait pris un tournant longtemps fantasmé sans jamais se concrétiser. Je flotte encore sur mon nuage en repensant à ses lèvres, à ses formes que j’ai découvertes plus que je n’aurais osé le rêver, à sa peau si douce sous mes doigts. Pendant quelques heures, Jo a été à moi, et elle est encore à moi plusieurs heures par semaine et c’est presque aussi enivrant de le vivre que de poser les yeux sur elle à l’autre bout de la pièce et de m’en rappeler. Sur scène, lorsque nos yeux se croisent, je suis systématiquement envahi de pensées tout sauf catholique, de flashs de scènes qui n’ont rien à faire dans une émission qui passe à une heure de grande antenne. J’ai l’impression d’être étouffé par la chaleur, le désir, tout un tas d’émotions qui s’ajoutent au cocktail déjà explosif de celle que je ressens habituellement lorsque je la vois  chanter, et j’ai le sentiment d’être au bord de l’implosion.

Ironiquement, c’est maintenant que Jo et moi sommes amants - j’ose à peine employer ce mot mais c’est une réalité, elle me rejoint dans ma chambre d’hôtel trop souvent pour que je puisse le nier - que les rumeurs à notre sujet se sont tues. J’aurais eu l’impression d’être béni des deux, si elles n’avaient pas été remplacées par de bien plus désagréables. On lui prête une liaison avec un acteur de pacotille, propulsé au rang de star du petit écran par le genre de sitcom que regardent des femmes bien plus futiles que la brune. J’ignore tout de leur histoire, de leurs antécédents mais ils se connaissent, j’ai interrogé Cassie l’air de rien à ce sujet, l’autre jour. Elle a certainement vu clair dans mon jeu, mais elle connaît les réseaux sociaux comme sa poche et, par conséquent, bien mieux que moi. Elle n’est pas du genre à m’épargner pour me caresser dans le sens du poil, la blonde. Elle m’a confirmé que les rumeurs au sujet d’une idylle entre l’acteur et le chanteuse ont largement dépassé les couleurs des plateaux de tournage du Revival. Au contraire, elles sont nées sur internet et sur Instagram, à cause de quelques commentaires échangés en public, et ont rapidement enflammé la toile. Tous les fans de la chanteuse ne s’intéressent plus qu’à ça - j’exagère certainement - et plus personne ne se demande ce qui se trame réellement entre elle et moi. C’est de l’histoire ancienne, du réchauffé. Et je n’avais pas réalisé à quel point je ne m’en moquais pas tant que ça, de ce qui se dit sur internet, avant aujourd’hui.

J’aimerais pouvoir dire que je suis certain que ce n’est que de ça qu’il s’agit, des racontars, mais le fait est que je n’en sais rien. Jo et moi n’avons rien défini, ne nous sommes rien promis et la brune serait dans son droit, si elle gardait l’esprit ouvertes et toutes ses options à portée de main. Sauf que je ne suis pas habitué à être une option, la célébrité m’est peut-être un peu montée à la tête, finalement, puisque j’estime presque que personne n’étant la cible de mon intérêt n’aurait l’idée d’aller chercher ailleurs ce qu’elle trouve déjà auprès de moi. Pourtant, la logique et mon historique concernant Marley aurait voulu que je sois devenu humble, en ce qui concerne mon charme et la fascination que j’inspire aux femmes. Mon ex n’a pas hésité à me laisser tomber aussi rapidement qu’elle m’avait fait une place dans sa vie, et ce même en portant mon enfant. La blessure n’est plus béante depuis longtemps, la brune et moi sommes en bon termes et Posy est depuis devenue une petite fille joyeuse, pleine de vie et équilibrée, mais ne m’a-t-elle rien appris ? Est-ce à cause d’elle que je crains le pire à cause de quelques bruits de couloirs ? Avant tout ça, si on m’avait demandé ce que j’aurais ressenti face à ce genre de rumeurs, j’aurais eu besoin de réfléchir. Mais mis face au fait accompli, je n’ai pas besoin d’une seconde de réflexion : je suis bouffi de possessivité, dévoré par la jalousie pas seulement parce que le monde la pense dans les bras d’un autre, mais aussi et surtout à l’idée que cela puisse être vrai.

Alors pourquoi ne lui ai-je pas posé la question directement, la semaine dernière quand les rumeurs ont commencé à voir le jour, tous les jours qui ont suivis ou même hier soir, alors qu’elle s’est endormie dans mes bras pendant que je notais quelques phrases - des paroles d’une future chanson ? - sur le calepin posé sur ma table de nuit au crayon ? Parce que j’ai peur de sa réponse et que je suis bien plus confortable dans le déni. Je n’ai pas envie d’entendre de sa bouche tout ce que je crains. Parce que j’ai peur qu’elle se moque de moi, soit parce que je crois en ces conneries, soit parce que je suis capable de penser pouvoir lui suffire. Alors, je cherche comment en savoir plus l’air de rien. Trente ans d’expériences n’ont pas réussi à m’apprendre qu’il vaut mieux être direct que tourner autour du pot.

Le son de l’eau qui coule sous la douche s’arrête et, quelques minutes après, alors que je suis toujours allongé comme un pacha - et vêtu d’un simple caleçon - dans mon lit aux draps d’un blanc immaculés, la brune sort de la douche, enroulée dans l’une de mes serviettes. Je lui adresse un sourire, avant de me concentrer à nouveau sur le calepin sur lequel j’écris et rature depuis des jours. « She’ll have you running in the wrong direction, have you coming for the wrong obsessions. Qu’est ce que tu en penses ? » J’aime ça, lui partager mes idées et les paroles qui me viennent pour m’enquérir de son opinion. Je me suis bien gardé de lui partager les paroles de ce titre que j’ai écrit alors que j’étais en colère contre elle, persuadé que l’embryon de titre ne quittera de toute façon jamais mon carnet et restera à l’état d’ébauche. « Ca m’est venu hier soir, pour aller avec le refrain dont je te parlais l’autre jour. » Celui d’une chanson que j’imagine déjà avec le titre d’Impossible Woman, si elle devait voir le jour. « Je sais ce que tu vas me dire, que je devrais me concentrer sur le prime de ce soir. » Mais c’est difficile à faire alors que des images de toi et Micah Tomlinson envahissent mes pensées. « Mais tu sais ce qu’on dit, quand on a le talent… » Je lui adresse mon plus beau sourire de tombeur, d’enfant insolent et bien trop sûr de lui. La vérité, c’est que j’ai assez répété ma version de Because the night de Patti Smith pour être nerveux à l’idée de ma performance du soir. Et que j’ai passé assez de temps sur scène dans ma vie pour ne plus être impressionné par celle de X-Factor, aussi.





:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
https://www.30yearsstillyoung.com/t48702-libre-riley-keough

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Empty
Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMer 25 Jan 2023 - 15:39




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

Je sais à quoi tu penses, ça avait été le murmure doucement provocant que Jo avait adressé à Midas chaque fois qu’elle avait croisé son regard au cours des derniers jours, et ce très certainement parce qu’elle pensait constamment à la même chose que lui. Sur une échelle allant de la raison à la déraison, le curseur avait été pointé assez haut sur le premier barreau pour qu’elle n’essaye même pas d’envisager le tournant qu’avait pris leur relation comme une erreur bien au contraire ; et le lendemain soir de celui où ils s’étaient découverts sous d’autres facettes, elle avait de nouveau gratté à sa porte sans utiliser aucun prétexte, recueillant simplement la confirmation qu’après six ans de déni, elle était prête à admettre que c’était tout ce qu’elle avait toujours voulu. Si elle avait souvent envisagé la résolution de la tension qui flottait perpétuellement entre eux comme dépendant d’un simple contact physique qui aurait vidé les jauges et redistribué l’énergie ambiante de façon plus respirable pour quiconque gravitant dans leur univers, elle s’était mise le doigt dans l’oeil jusqu’au coude à ce sujet. Rien n’avait vraiment été dissipé, c’était même encore plus dense que d’ordinaire puisque maintenant, elle savait quel genre de satisfaction elle tirait des moments qu’elle passait avec lui à l’abri de la curiosité de ceux qui avaient remarqué qu’ils ne s’évitaient plus.
De ce point de vue-là, c’était revenu à la normale, et la production s’était frotté les mains de la décision de Midas de rester, mais surtout de les voir échanger davantage de regards et de petits moments volés qui finissaient en reels sur les réseaux sociaux, encore que ça restait relativement discrets si on considérait qu’en dehors de leur chambre respective, ils préféraient ne pas se donner en spectacle. C’était tacite, ils n’en avaient pas discuté, et elle ne savait pas comment ils en étaient venus à voir ça comme la meilleure conduite à adopter, pour autant de son côté, l’avoir rien que pour elle n’était pas un sacrifice qu’il lui demandait pléiade d’efforts— inutile de préciser que dans la liste des défaillances de la machine bien huilée qu’elle était, le fait qu’elle ne soit pas partageuse était à placer aussi haut que le curseur qui la contraignait à se laisser porter par le besoin qu’elle sentait grouiller dans chaque cellule de son être d’être toujours plus proche de Midas.
Si elle devait être tout à fait honnête, faire de lui son secret le mieux gardé, ça lui venait aussi naturellement que la manière de se presser contre lui lorsqu’ils se retrouvaient tous les deux. Curieusement, Jo ne se posait pas de questions, sans doute gavée de la plénitude qu’elle laissait l’envahir chaque fois qu’elle posait les yeux sur lui et qu’elle se disait qu’elle était la responsable de son trouble ou de ses sourires. A son contraire, elle ne doutait pas qu’elle puisse être davantage qu’une option parce qu’elle n’était pas femme qu’on oublie après une nuit comme la première qu’ils avaient passé tous les deux. Et puis merde, il avait écrit des chansons à son sujet, et si elle aimait parfois jouer les ingénues pour garder la mainmise et remporter la gagne, elle ne prétendrait pas que ça en particulier, c’était le genre de signe qui ne trompaient pas sur le fait que le sentiment de possessivité qu’elle ressentait, il le ressentait lui aussi.

Alors les rumeurs qui couraient depuis quelques jours au sujet d’elle et de Micah, elle lui coulaient dessus comme l’eau tiède de la douche qu’elle coupa après quelques instants salvateurs, ceux dont elle eut besoin pour se remettre à penser correctement, habitée par le souvenir des doigts de Midas dans ses cheveux et de ses lèvres contre sa peau. Jo partait d’un principe simple qui était que : tant qu’on parlait d’elle, le monde tournait convenablement, quand bien même ce n’était que pour distiller des informations erronées qu’elle ne prenait pas le temps de démentir parce qu’elle s’en cognait toujours autant, de sa réputation, et ce qu’on la juge bonne ou mauvaise. En l’occurence, elle trouvait ça plutôt opportun, que l’attention se détourne de sa relation avec Midas pour se concentrer sur autre chose, même sur des ragots qui la faisait bien marrer soit dit en passant. Elle ne mentait pas lorsqu’elle disait qu’elle était possessive, et parce qu’elle savait qu’elle avait toujours chéri l’intimité qu’ils avaient partagé, même si elle avait été somme toute innocente jusqu’à récemment, maintenant qu’ils avaient cessé de ne pas vouloir dépasser des limites inutiles, elle ne comptait pas moins s’y complaire au risque de semer les graines de quelque chose qu’elle ne se croyait pas capable de pouvoir faire pousser.

Elle s’enveloppa dans une serviette après avoir passé une main sur son visage et dans ses cheveux légèrement humides et retrouva la chambre de Midas sur la pointe des pieds, pas tellement certaine que cette hauteur aille à son avantage. Peu importait sur le moment, et le sourire qu’elle lui renvoya était si candide que, si elle avait pris un peu de hauteur justement, elle se serait jugée d’arborer cette mine de niaise de base. Elle savait de quoi elle devait avoir l’air, putain, à le couver des yeux comme elle le faisait, et ça n’allait pas vraiment avec le personnage qu’elle s’était crée au fil du temps. Mais ça aussi peu importait. Jo avait cessé depuis longtemps d’être quelqu’un d’autre devant Midas.
Se dirigeant vers l’endroit où elle avait laissé sa robe la veille, elle la défroissa en descendant de son perchoir et en lui disant "J’en dis que cette fille va t’attirer que des problèmes, fais gaffe." Et elle se croyait maline, le nez froncé dans  sa direction. Elle le dérida une fois seulement qu’elle ajouta dans un hochement de tête "C’est bon en fait, t’as une mélodie qui va avec ?" Elle ne retira pas sa serviette tout de suite, préférant s’asseoir au bord du lit pour l’interroger du regard avant tout de chose, leur passion commune restant la colle qui cimentait une bonne partie de leurs échanges. Jo laissa un nouveau sourire fendre son visage lorsqu’elle reprit la parole après l’avoir regardé quelques secondes de plus "C’est génial de te voir écrire." Lui qui doutait de sa capacité à pouvoir le faire de nouveau, le soulagement devait être salvateur "Je pensais que t’avais un peu la tête ailleurs mais en vrai, t’es juste dans une phase d’inspiration." laissa-t-elle échapper, l’air de rien "Faut que t’en profites pour écrire à fond." Elle était à deux doigts de lui dire quand tu m’as moi, t’as pas besoin de Red Bull, mais elle ne lui dit rien s’inclinant juste dans sa direction pour lui voler un baiser rapide. Une  petite exclamation accompagna le mouvement qu’elle esquissa pour se lever tout en lui disant, une épaule relevée, ses cils battant comme elle lui piquait un peu de son insolence au passage "Je t’aurais au moins appris à arrêter d’être modeste, je suis fière de moi." Et elle se défit de sa serviette pour repasser sa robe de la veille, passant sur la corvée d’enfiler des sous vêtements qu’elle n’avait pas emmené avec elle de toute façon, et poursuivant sur le ton de l’évidence "Quand on a rempli des stades, la télé, c’est rien à côté. T’as pas besoin de répéter, c’est pas un secret." fit-elle, prenant conscience qu’elle en revanche, et ce même si elle faisait en sorte qu’on pense le contraire, elle avait besoin d’écluser la sensation qu’elle était la meilleure en potassant jusqu’à ce que le métronome dans ses oreillettes sonne le début de sa prestation. Elle n’avait pas le trac, Josephine, seulement elle restait assez pointilleuse pour ne pas vouloir qu’on la prenne pour une amateure.


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches ZhUxEFTm_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches ZTFIeFX
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 25PxQLdc_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches WIMCHzQj_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches KGbJkXNg_o
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    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches DGeYqRYC_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches IUMy4gZJ_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches OZWxBZEI_o

    :sing::
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STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

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olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
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harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Tom Blyth
CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyJeu 26 Jan 2023 - 10:55




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

C’est grisant et perturbant à la fois, ce qu’il se passe entre la chanteuse et moi. Je ne me sens pas comme ces capricieux qui désirent quelque chose de toute leur âme et qui, une fois que cette chose est à eux, adopte l’attitude blasée de ceux qui se lassent dès qu’ils n’ont plus de challenge, plus de nouvel objectif à atteindre. Je ressens encore l’euphorie de notre première fois ensemble, j’ai encore la sensation de planer à quelques centimètres au-dessus du sol à chaque fois que mon regard capte le sien dans une pièce, que nous soyons seuls ou en public.

Alors oui, ça m’arrange d’avoir une paix royale, qu’aucun autre candidat ne profite de la fonte des glaces entre la brune et moi pour faire de désagréable remarque et tendancieuse. Mais je crois que je préfèrerais encore être la cible de rumeurs indiscrètes que d’avoir à écouter celles concernant Jo et Tomlinson. Mes oreilles chauffent à chaque fois que son nom flotte sur les lèvres de l’un de nos concurrent ou d’un membre de production de l’émission, et je suis pris d’une furieuse envie de quitter la pièce et de frapper mon interlocuteur quand quiconque ose m’en parler frontalement. Pour les apparences, je fais bonne figure mais, dans les faits, je suis plus proche de la cocotte-minute que de l’être humain. Les rumeurs sont déplaisantes, mais pas autant que cette petite voix dans mon esprit qui me dit que peut-être sont-elles vraies puisque, après tout, Jo n’a aucun compte à me rendre.

L’eau ruissèle sous la douche et, pour chasser les images licencieuses du corps de la brune sous le filet d’eau chaudes – celles qui me poussent à envisager de la rejoindre – je ferme les yeux, expire bruyamment par le nez et attrape mon carnet de notes pour tenter de me changer les idées. Evidemment, encore plus qu’habituellement, dès que j’écris sur une femme j’ai l’image de Jo Carter imprimée contre la rétine. Et les paroles qui glissent entre mes doigts parlent d’elle, évidemment, du jeu du chat et de la souris auquel nous avons joué pendant des mois – avec une trève de plusieurs années entre – et de toutes ces fois où je l’ai désirée plus que de raison, tout en sachant pertinemment qu’elle finirait – finira – par me rendre complètement dingue. La preuve en est : elle est avec moi, dans la salle de bain de ma chambre d’hôtel, et elle arrive tout de même à me rendre malade de jalousie sans rien avoir à faire d’autre que ne pas prendre la parole publiquement et alimenter ainsi mes cauchemars.

Lorsqu’elle quitte la salle de bain, je glisse sur sa silhouette enveloppée dans une serviette blanche un regard avide, je caresse ses courbes de mes yeux, avant de me reconcentrer sur les mots qui sortent de sa si jolie bouche, un air rêveur sur le visage. « J’en dis que cette fille va t’attirer que des problèmes, fais gaffe. » - « Ouais. Elle me fait déjà vivre un vrai enfer. » Je m’attends à recevoir un regard noir surjoué, une tape dans les côtes ou une langue fièrement tirée dans ma direction en guise de provocation. Elle, c’est elle, évidemment. « C’est bon en fait, t’as une mélodie qui va avec ? » Je secoue la tête, me gratte l’arrière de la nuque avec mon crayon avant de le reposer sur la table de nuit, le carnet de notes avec. « Non pas encore. Ça m’est tout juste venu hier soir, je voulais pas oublier. » Et puisque je suis du genre tête à l’air, je prends des notes. Si elle ne s’endormait pas à côté de moi, j’aurais attrapé mon téléphone pour enregistrer un vocal mais, pour ne pas prendre le risque de la réveiller – et par volonté de ne partager mes idées que lorsque je suis prête – j’ai écrit. Et ce matin encore, j’ai retourné ces deux petites phrases, agencé les mots différemment jusqu’à arriver à une version qui me plaît. « C’est génial de te voir écrire. Je pensais que t’avais un peu la tête ailleurs mais en vrai, t’es juste dans une phase d’inspiration. Faut que t’en profites pour écrire à fond. » J’ai la tête un peu ailleurs et pour tout un tas de raison. Malheureusement, une frénésie créative n’en fait pas partie. J’ai quelques idées, j’ai même réussi à écrire une chanson alors que j’étais malheureux comme les pierres, mais je suis loin d’avoir un album. « T’as l’impression que j’ai la tête ailleurs ? » Je me redresse un peu, penche la tête sur le côté et attrape son poignet pour l’attirer vers moi et l’empêcher de quitter la chambre d’hôtel, juste un instant de plus. « J’avais pas l’impression d’avoir la tête ailleurs, hier soir. » Est-ce qu’elle a ressenti alors que je l’étreignais ? Est-ce pour ce genre de raison et parce qu’elle est insatisfaite que les rumeurs sont vraies ? Je divague, je laisse mon manque d’assurance – surtout lorsqu’il est question d’elle – pour altérer mon jugement. « Je suis pas certain qu’on puisse parler de phase d’inspiration. J’ai quelques bouts qui viennent, par ci et par là, mais rien de bien structuré. » Rien de semblable au phénomène qui s’est produit pendant l’élaboration de mes premiers albums, alors que j’avais l’impression d’avoir tant à dire. J’ai toujours des choses à dire, mais j’ai peur de me mettre trop à découvert. D’un geste, j’attrape le carnet de notes à côté de moi pour le lui tendre et qu’elle constate d’elle-même que la plupart des pages sont couvertes de ratures. J’oublie la présence de l’autre chanson, ou du moins ses bribes, perdue au milieu des pages grisées.

« Je t’aurais au moins appris à arrêter d’être modeste, je suis fière de moi. » Je laisse échapper un rire amusé relativement bref, avant de secouer la tête. Je le suis toujours modeste, je ne me permets de distiller un peu de prétention qu’au travers de quelques blagues du genre. Dans les faits, en ce qui concerne ma remarque concernant le prime, je suis surtout réaliste et bien préparé. « Quand on a rempli des stades, la télé, c’est rien à côté. T’as pas besoin de répéter, c’est pas un secret. » J’ai lâché le poignet de la jeune femme pour lui laisser le loisir de se rhabiller, et je frémis de désir lorsque, ôtant sa serviette, elle se retrouve dans son plus simple appareil l’espace de quelques secondes. Je n’ai pas l’audace suffisante pour lui dire qu’elle est bien mieux sans. « J’ai répété. C’est pour ça que je suis pas nerveux. » Et parce que les caméras en effet, ne m’impressionnent pas. Pas plus qu’un public de la taille de celui de l’émission. « Je préfère les concerts. C’est plus authentique. » Tout s’enchaîne sans coupure pub, sans intervention du présentateur : juste moi et mon public venu pour m’écouter, personne d’autre. « Tu t’en rendras compte bientôt. Une fois que t’auras gagné et que ton premier album cartonnera. » Je lui adresse un clin d’œil, avant de croiser mes bras sous ma tête sans l’intention de bouger d’un poil ou de m’activer. Il me reste un peu de temps. « Et toi ? Tu t’enfuis pour répéter ? » Ou pour retrouver quelqu’un d’autre ?





:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
https://www.30yearsstillyoung.com/t48702-libre-riley-keough

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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyVen 27 Jan 2023 - 9:16




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

Se laissant attirer par le poignet sans opposer aucune résistance, Jo se mit doucement à ricaner, sa tête se secouant à la négative quand ses mains trouvèrent les contours du visage de Midas "C’est pas ça que je voulais dire." Lorsqu’elle parlait de tête en l’air, elle parlait de ses silences et de l’impression qu’elle avait eu quelques fois qu’il était perdu un peu trop loin dans ses pensées. Elle avait aussi eu celle qu’il avait quelque chose à lui dire ou à lui demander, seulement ça en particulier, ça avait tendance à creuser quelque chose chez elle proche de l’anxiété pour qu’elle ne veuille faire comme son habitude et le forcer à passer à table pour gagner du temps et enfin se figurer de combien de temps ça durerait ce petit manège entre eux. Elle se souvenait de ce qu’il lui avait dit, que c’était difficile de lui parler, c’était le genre de petite chose dont elle était suffisamment consciente — sans pour autant en être désolée, il ne fallait pas pousser non plus, le provoquant très souvent pour que personne ne soit tenté de la contredire — pour ne pas vouloir en rajouter, surtout pas quand tout se passait pour le mieux à son sens. Elle lui laissait le temps de statuer lui-même si c'était vraiment nécessaire ou pas de la prendre entre quatre yeux pour lui dire ce qu’il avait à lui dire, c’était aussi simple que ça. Putain, quel genre de femme elle était en train de devenir, à ménager ses effets pour protéger l’ego de celui qu’elle laissait la toucher, un vrai cliché dont elle se serait ouvertement moqué d’ordinaire. Pas là, beaucoup trop confortable dans cette bulle qui protégeait tout ce dont elle avait toujours secrètement rêvé pendant six très longues années.
Elle fronça le haut de son nez en ajoutant comme si elle n’avait pas marqué de pause, sa voix devenant un léger murmure comme ses yeux se grossirent juste assez pour qu’il devine avant qu’elle ne reprenne la parole qu’elle plaisantait "Ta tête était exactement là où elle devait être hier soir. Un tout petit peu plus sur la gauche et ça aurait été parfait." Evidemment qu’elle plaisantait, le rire qu’elle laissa filer en était un bon gage. Jo avait des défauts à la pelle, et celui de larguer aussi vite les incapables du genre en faisait définitivement partie, et ce sans que ça ne soit quelque chose dont elle avait honte. Comme si elle avait la patience d’enseigner quoi que ce soit à quiconque, il valait mieux savoir quoi faire quand on l’avait entre les mains. Jusqu’à présent, Midas avait su.

"C’est un bon début." lui fit-elle quand elle sentit un semblant de pessimisme agrémenter la réponse qu’il lui donna par la suite à propos de cette phase d’inspiration dans laquelle elle le soupçonnait d’être après qu’il eut partagé avec elle les bribes d’un texte qui résonnait encore dans son esprit. Elle ne lui jetterait pas la pierre, elle était du genre négative, à vriller du côté obscur pour ne pas être déçue par ses propres expectatives. Pourtant quand il s’agissait de motiver ses troupes, même si elle ne trouvait pas toujours les bons mots, trop brute pour les englober dans du beau papier doré, elle avait au moins le mérite d’être assez franche pour que ça déclenche quelque chose chez celui à qui elle prodiguait des conseils — qui n’étaient pas toujours mauvais, aussi étrange que ça paraissait.
Attrapant le carnet qu’il lui tendait, elle ne l’ouvrit pas tout de suite, préférant d’abord s’habiller alors qu’elle poursuivait "C’est comme pour tout. Plus tu feras une fixette sur le fait que t’y arrives pas et plus tu bloqueras. Vas-y tranquille, t’es sur la bonne voie." Loin d’elle l’idée de faire une quelconque analogie tendancieuse — quoique franchement, le sourire en biais qu’elle laissa filer, il était un bon indicateur du fait qu’elle était à deux doigts d’en rajouter ; ce qu’elle ne fit finalement pas, interpellée par la conversation qu’ils avaient dans l’instant et qui la fit se redresser doucement avec un semblant d’orgueil, ses doigts descendant l’ourlet de sa robe courte jusqu’à mi-cuisse lorsque Midas mit son avenir imminent sur le tapis "J’ai déjà fait un peu de scène en dehors de la télé. C’était pas des stades, mais je pouvais regarder les gens dans les yeux." Dans une autre vie, ça avait été assez important pour elle pour jauger l’effet qu’elle avait sur son public. Dans les mariages, dans les bars, dans les soirées un peu chicos, c’était facile de capter le moment où vous touchiez quelqu’un avec votre voix. Dans un stade, elle doutait que les choses soient aussi simples que ça, mais elle ne minimisait pas l’effervescence apportée par la clameur des voix d’un public venu spécialement pour vous. Et elle ne l’avouerait pas, mais ça lui faisait un peu peur d’y être confrontée, lui faisant réaliser que, peut-être, son confort, elle le trouverait davantage dans l’intimité des salles plus petites.

Ayant posé le carnet que Midas lui avait cédé sur le bord du lit, elle le reprit avec elle quand elle le rejoignit sur le lit, s’installant sur le ventre en répondant à sa question pendant qu’elle feuilletait les pages grisées qu’elle avait sous les yeux "Essayages. Cathy m’a envoyée un texto pour me dire que les retouches de ma robe sont prêtes." Repliant ses jambes pour croiser ses chevilles, Jo posa le carnet sous son nez pour en effleurer les pages du bout de ses doigts, aussi délicatement qu’elle le faisait lorsqu’elle suivait les lignes de la peau de celui qui était installé à ses côtés. Elle laissa ses yeux suivre l’écriture brouillonne du jeune homme à qui elle finit par jeter un coup d’oeil pour lui demander "Tu veux vraiment pas rentrer à Brisbane demain ?" Presque l’air de rien, alors que son attention était happée par ce qu’elle lisait de la créativité désordonnée de Midas, elle avait besoin d’avoir une réponse à sa question. Pas que l’angoisse de la séparation la forçait à envisager de mal gérer le weekend qu’elle passerait là-bas et lui ici, seulement les habitudes, ça se prenait rapidement, et celle de dormir avec lui laissait penser qu’elle aurait cent fois préféré qu’il décide de rentrer avec elle. Aussi, elle ajouta pour garder bonne contenance, relevant son regard vers lui, sa langue se coinçant dans l’écart qu’elle avait entre ses deux dents de devant pour le préparer au semblant de provocation qu’elle laissa poindre quand elle le fixa en même temps pour le laisser comprendre ce qu’il avait envie de comprendre "Je l’ai jamais fait dans un avion. Ça pourrait être marrant." Au point que ça la faisait déjà un peu rire — irrécupérable Jo qui, si elle planait à dix mètres au-dessus du sol, ne pouvait pas ne pas être elle plus que quelques secondes, versant plus souvent qu’à son tour dans la bravade un peu vulgos, mais jamais très méchante.
Tournant les pages, elle cessa de rire, battant nonchalamment des jambes en même temps, pour finalement lui demander "Qu’est-ce que tu prévois de faire ? T’enfermer ici pour continuer à te prendre la tête sur tout ça ?" Et elle désigna son carnet d’un signe du menton sans pour autant cesser d’en lire et d’en tourner les pages ; quand elle ajouta sur le ton faussement innocent qui était le sien quand elle essayait de faire passer quelque chose pour de la plaisanterie quand c’était sa façon à elle d’être un peu délicate — elle avait des progrès à faire, on s’entend "Ou profiter que je sois pas là pour piocher dans les dizaines de groupies à peine adultes qui campent devant l’hôtel depuis un mois ?" Autant dire que, même si elle faisait la mariolle en faisant danser ses sourcils bien dessinés tout en lui accordant un regard, l’éventualité, encore plus que l’image qu’elle avait dans la tête à ce moment-là, lui donnait envie de se tirer une balle dans la bouche.
Néanmoins, elle ajouta sur le ton de l’évidence, celui qui ressemblait presque à un murmure dont on usait pour justifier ses sorties les moins honnêtes, son corps opérant un léger mouvement vers lui pour le faire doucement basculer "Quoi ? T’es une rockstar. Vous faites tous ça." Et jusqu’à preuve du contraire, ils n’avaient pas été clairs sur la question ; et de ça aussi elle se souvenait, du fait qu’il avait été ferme sur l’idée qu’ils ne se devaient rien. Alors ça datait, peut-être que la donne avait changé, mais comment le savoir quand ils n’abordaient pas le sujet ? Pour en changer justement, de sujet, se laissant juste un instant appelée par les lignes un peu moins tendres que les autres et qu’elle eut soudain devant les yeux, elle lui demanda en fronçant les sourcils et en pointant deux lignes qu’elle tapota avec un ongle moins long que d’ordinaire "Elles vont avec quelles autres celles-là ?"


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches ZhUxEFTm_o
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches ZTFIeFX
    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 25PxQLdc_o
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    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches DGeYqRYC_o
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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7vHkInU Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 242
POSTS : 1589 POINTS : 260

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


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(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4f61f27a7f3dd878ee1e086d6d0b0b5769c3bcd
olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 053206208b4592cc4699310dcf5529765ee2ed7f
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
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harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

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CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptySam 28 Jan 2023 - 20:49




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

Alors que j’attire Jo un peu plus près, que ses lèvres se retrouvent à nouveau à quelques centimètres des miennes et que la discussion prend un tournant ambigu, je rêve de lui dire d’adresser un doigt d’honneur à ses obligations pour reprendre nos activités nocturnes. Mais le problème avec les filles comme Jo, c’est qu'elles font de vous échapper leur spécialité et je n’ai pas envie d’être confronté à un refus assorti d’un commentaire sur la place que j’occupe dans ses priorités. Je m’imagine loin derrière tout ce qui à trait à l’émission et ne devrais-je pas être ravi qu’elle semble prendre sa seconde chance à coeur ? Bien sûr que si, je le suis d’ailleurs, je souhaiterais simplement savoir sur quel pied danser. « C’est pas ça que je voulais dire. » - « Ouais, je préfère ça. » J’esquisse un sourire, qui disparaît lorsqu’elle renchérit. « Ta tête était exactement là où elle devait être hier soir. Un tout petit peu plus sur la gauche et ça aurait été parfait. » Si mon sourire s’efface, ce n’est pas tant parce qu’elle me vexe que parce que je suis loin de posséder l’impudence de la brune. La pudeur a toujours été ma fidèle compagne et, si mes joues ne prennent pas une teinte rosée, je ne peux empêcher le trouble d’être perceptible, presque visible dans mon regard. « C’est ce que tu vas écrire dans ton journal intime ? T’as une page où tu gardes une trace de tous tes amants, et où tu fais un classement ? » Je la houspille avec humour et un fond de tracas. « C’est un bon début. C’est comme pour tout. Plus tu feras une fixette sur le fait que t’y arrives pas et plus tu bloqueras. Vas-y tranquille, t’es sur la bonne voie. » - « C’est ça. Fais la maligne. » Je lève les yeux au ciel mais ne parviens même pas à avoir l’air excédé. Elle est drôle, la brune. J’aurais éclaté de rire plutôt que de ne manifester que des timides signes d’amusement si ma panne d’inspiration ne me bouffais pas à ce point et depuis si longtemps.

« J’ai déjà fait un peu de scène en dehors de la télé. C’était pas des stades, mais je pouvais regarder les gens dans les yeux. » - « Je voulais pas être condescendant. » Ce n’est pas qui je suis, et j’espère qu’elle le sait, Jo. Ma remarque n’avait vocation qu’à lui affirmer à quel point je crois en elle, à quel point je suis certain que tout ce que j’évoque finira par se produire, que le succès et la gloire l’attendent au tournant. « Essayages. Cathy m’a envoyé un texto pour me dire que les retouches de ma robe sont prêtes. » Je hoche la tête, tentant déjà de trouver une parade à cette obligation. « On sait déjà qu’elles t’ira comme un gant. Elle peut se passer de toi, non ? » Je prononce la phrase sans même m’en rendre compte, presque sans être totalement maître de mes paroles. J’ai envie qu’elle reste, et pas forcément pour continuer a profiter de ses courbes sur l’oreiller. « Tu veux vraiment pas rentrer à Brisbane demain ? » Nous en avons déjà discuté et, de mon côté, je n’ai aucune raison de le faire : Marley profite de vacances obtenues par son raté de petit ami pour partir avec Posy. A mes frais, évidemment. Olive m’a déjà prévenue qu’elle ne serait pas à la maison ce week-end, et Amos semble ailleurs et préoccupé, ces derniers temps. « Je l’ai jamais fait dans un avion. Ça pourrait être marrant. » Là, mes joues rougissent. « Hm. Ah ouais ? » Évidemment, tout un tas d’images licencieuses s’impriment contre ma rétine et j’ai besoin de respirer profondément - et bruyamment - pour les chasser de là et garder la tête froide. « C’est donc pour ça tout ça ? Parce que j’ai un jet privé ? » Je place ma main sur mon cœur comme si elle venait de le transpercer d’une lame aiguisée. Bien sûr, toute douleur est feinte. Je sais que l’intérêt de Jo pour moi n’a rien à voir avec ma richesse ou ce que mon nom représente dans le show-business, les portes qu’il ouvre. Non, ce dont je doute, c’est d’être le seul à en être jugé digne, de son intérêt. « Qu’est-ce que tu prévois de faire ? T’enfermer ici pour continuer à te prendre la tête sur tout ça ? » Pour être honnête : oui. Je n’appellerai pas ça un plan, mais c’est ce qu’il va probablement se passer. Peut-être que, pendant le week-end, j’aurais le plaisir d’entendre Cassie frapper à ma porte pour me rappeler qu’il serait intelligent de profiter de l’absence de Jo pour écrire. Elle ne sait pas qu’au contraire, c’est lorsque la brune est là que je retrouve un semblant d’inspiration. « Ou profiter que je sois pas là pour piocher dans les dizaines de groupies à peine adultes qui campent devant l’hôtel depuis un mois ? » Je lève les yeux au ciel, et la chanteuse ne me laisse pas le temps de répondre, avant de s’approcher et de s’appuyer sur moi, réveillant ma convoitise comme elle seule sait le faire. « Quoi ? T’es une rockstar. Vous faites tous ça. » - « Pas moi. » Je ferme cette porte là bien vite, ne désirant pas qu’elle s’imagine que j’ai l’intention de faire monter n’importe qui dans ma chambre sous prétexte qu’elle est à mille kilomètres d’ici. Certes, j’ai parfois fermé les yeux sur les réelles motivations des femmes qui me tournaient autour. D’une certaine façon, on peut appeler ça “profiter de sa célébrité”, mais je n’ai rien d’un Don Juan. Je ne suis pas insensible aux courbes féminines mais, depuis plusieurs semaines, il n’y a plus que les siennes qui m’envoûtent. « Ça m’intéresse pas les groupies. » Si elle savait pour Marley… J’étais jeune, est-ce une excuse valable ? « Et celles qui font la queue dehors sont à peine majeure. Tu me prends pour quel genre de mec ? » Pourquoi suis-je incapable de lui dire ouvertement que je ne veux qu’elle ?

Facile : parce que je ne suis pas certain que ce soit réciproque. « Tu rentres pour être avec ta grand-mère ? » Et personne d'autre ? Pas un certain acteur que les rumeur ont placé à Sydney aux alentours du premier prime mais qui habite lui aussi à Brisbane ? « Tu reviens quand ? » Dimanche ? Ou plus tard dans la semaine ? Après tout, nous avons des répétitions mais bien moins d’obligations que lors d’une édition plus classique. Dans un sens, cela me manque, l’enfermement et l’effervescence qui vont avec. On ressent tout plus fort et plus vite. Dans cette configuration entre deux, j’ai l’impression de vivre le Revival et de passer à côté de l’expérience à la fois. Ma foi, tant que j’ai Jo. « Elles vont avec quelles autres celles-là ? » La voix de Jo me sort de mes pensées. Je fronce les sourcils et, sans geste brusque, j’attrape le carnet des mains de la brune pour pouvoir lire l’objet de son interrogation. Ah. Les quelques vers de cette autre chanson, celle que j’ai écrite pendant notre ère glaciaire. « Avec un refrain et trois autres couplets. C’est assez rare pour être noté. » Cela fait une éternité que je n’avais pas écrit quelque chose en entier. Je referme le cahier et le dépose sur ma table de nuit. « C’est une ballade, le genre avec juste une guitare et ma voix. Je l’ai pas encore montrée à mon label. » J’hésite, avant d’ajouter. « Je l’ai écrite en décembre, au début de l’émission. »





:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
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https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyDim 29 Jan 2023 - 11:37




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

"Hm, j’ai un système de notation avec des gommettes en forme d’étoiles et des commentaires du genre refuse d’enlever ses chaussettes, à bannir." Le  tout rédigé dans une écriture cursive, où les phrases étaient terminées par des smileys et les points sur les i remplacés par des petits coeurs rose pailleté.
Mais bien sûr. Le roulement d’yeux qu’elle lui adressa dans la foulée, il voulait clairement dire tu me prends pour qui ? Pour autant, Jo n’abandonna pas son léger sourire, continuant donc de faire la maline parce que c’était plus sensé que de s’offusquer qu’il puisse penser qu’elle était du genre à recenser ce genre de choses, ou à enchaîner les conquêtes. Ça le surprendrait d’apprendre qu’elle était plus farouche qu’elle en avait l’air, se basant sur un principe de base simple, mais immuable : faire espérer pour mieux régner. Ça restait une tactique qui l’avait empêchée de faire bien des erreurs au cours des dernières années. Jo, elle aimait beaucoup trop jouer avec les limites pour se satisfaire de les dépasser, c’était un fait qu’elle ne niait pas, devenue assez bonne dans l’exercice pour flirter à peu près avec tout et n’importe qui sans pour autant aller jusqu’au bout des choses. Elle n’était pas du genre à apprécier de laisser de vulgaires inconnu.es poser ses mains sur elle, ça aussi c’était quelque chose d’évident qu’elle mettait sur le compte de l’amour qu’elle se portait à elle-même, persuadée qu’elle méritait plus que les coups d’un soir et que les tentatives désespérées de ceux qui s’accrochaient à ses talons en espérant qu’elle finirait par être comme tout le monde et par céder pour assouvir des besoins naturels. Un autre de ses principes de base c’était qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, alors son pseudo tableau de chasse et ses annotions pointues et sarcastiques, s’ils devaient être recensés quelques part, ce serait sur une carte postale et sûrement pas dans un journal intime.

Mais ce serait une conversation pour un autre jour, encore qu’elle ne comptait faire aucune liste de quoi que ce soit, à qui que ce soit, et sûrement pas à Midas — qu’elle n’avait pas trouvé condescendant d’ailleurs, mais à défaut de le rassurer à ce sujet, sans doute par léger esprit de vengeance à propos de la façon qu'il avait eu de la définir l’air de rien comme une nana aux moeurs pas très saines, elle s’arrêta sur ce qu’il ajouta "T’es pas obligé de toujours me faire des compliments quand tu veux me faire adhérer à un truc tu sais." Elle capta son regard en même temps pour terminer "Tu peux simplement me demander de rester un peu. Je suis toujours en retard, personne me reprochera plus que d’habitude de me pointer dans une heure." Finissant par l’observer en alternance avec les lignes de son carnet qu’elle continuait de feuilleter tranquillement, la sensation qu’il tournait autour de quelque chose se matérialisa davantage dans sa perception des choses sans qu’elle, de son côté, elle ne trouve le courage de lui demander ce qui lui tournait dans la tête.
De fausses idées probablement, comme celles qu’elle puisse être ici avec lui que par intérêt — ça aussi, il valait mieux ne pas le prendre au sérieux, et c’est ce qu’elle fit "Pour le jet-privé et pour la taille de ta salle de bain. T’as vu la largeur de ta douche ? Elle est énoooorme." En même temps, à lui tendre des perches en espérant qu’elle les repousse sagement, il fallait s’attendre à ce qu’elle fasse tout le contraire. L’esprit de contradiction de Jo ne disparaîtrait sous le prétexte qu’elle froissait les draps plus souvent qu’à son tour avec le jeune homme. Elle ne comptait pas devenir docile et silencieuse, encore que la résolution qu’elle décela dans ses yeux lorsqu’il lui assura être différent de ses comparses rockstars, elle la laissa assez longtemps pantoise pour qu’elle y voit un message tacite, de ceux qui avaient tendance à l’effrayer un peu parce qu’elle craignait de mal les interpréter.

Elle ne pouvait pas l’accuser secrètement de tourner autour du pot et faire la même chose de son côté, alors comptant brièvement le contact visuel à ce moment-là, elle lui demanda dans un léger rire, ne pouvant s’en prendre qu’à elle-même d’avoir mis sur le tapis le sujet des groupies "Et c’est vrai ces conneries ?" À combien les avait-il servi exactement ? Elle ne compléta pas sa question, redirigeant son attention sur celle que Midas lui posa dans la foulée et à laquelle elle répondit sur le ton de l’évidence, celle qui lui fit lever les yeux au plafond comme si elle devait faire un effort de réflexion alors qu’elle en avait une pré-mâchée à lui apporter "Un mec beau, talentueux, célèbre qui serait idiot de pas profiter des opportunités qui se présentent à lui. C’est pas de l’abus de pouvoir, c’est du bon sens : t’as tout pour toi, ça vient avec des avantages." En tout objectivité, ce n’était pas un discours qu’elle lui servait parce qu’elle était ici avec lui, à lambiner sur son lit après une nuit passée dans ses bras. On ne pourrait pas lui enlever ça à Jo, d’avoir toujours eu assez d’admiration et de respect pour Midas pour savoir reconnaître ses qualités et les rendre garantes du succès qu’il avait depuis le moment où une caméra avait fait la focale sur la profondeur du bleu de ses yeux. Et encore une fois, ce n’était pas une opinion qui changerait sous le prétexte que l’inventaire de leur relation avait gagné une fonctionnalité supplémentaire depuis quelques semaines seulement — ce serait un affront à ses yeux de considérer leurs moments passés ensemble comme le prétexte parfait pour le survendre à tout-va et le caresser dans le sens du poil. Elle ne le ferait pas, aujourd’hui ou plus tard, elle n’en était pas capable de toute façon.
Elle secoua la tête pour chasser les images qu’elle avait dans la tête à ce moment-là, celles qui la rendraient probablement malheureuse si elle s’y arrêtait davantage. Sur ça non plus, elle ne changerait pas ; l’idée de ne pas supporter que d’autres femmes puissent avoir eu l’attention de Midas avant elle, ça lui avait déjà fait commettre des impairs dont elle avait forcément appris, alors songer qu’il y avait une possibilité que quelqu’un passe après elle — ou pire, en simultanée ? Hm, c’était putain de désagréable, assez en tout cas pour qu’elle se morde brièvement l’intérieur de la joue, ses doigts effleurant les lignes grises du carnet dont elle tournait les pages par intermittence tout en ajoutant, l’air de ne pas y toucher "Je t’accuse pas d’être une traînée, mais si jamais tu changes d’avis, préviens-moi juste histoire que je rassemble mon kit de meurtre et que je me renseigne sur les nouvelles tendances en matière de disparition de corps." Ce n’était pas lui qui risquait le coup de pelle à dire vrai, plutôt celles sur qui il jetterait son dévolu en vérité, sauf que ce n’était pas très utile de le souligner.

Elle ne le fit pas, laissant un rire lui échapper quand il la questionna sur son weekend à Brisbane. Si l’incompréhension passa sur son visage, son menton se rentrant très brièvement, elle fût remplacée par un froncement de sourcils qui perdit de sa sévérité comme elle continuait de sourire en le regardant fixement, certaine d’avoir loupé un épisode "Tu veux que je rentre pour quoi sinon ?" Le fait que sa réponse se coupe abruptement, tout comme son sourire qui se fana quand elle détourna la tête pour la baisser sur le carnet de Midas, c’était pour retenir ce qui lui passait à l’esprit à ce moment-là et qui s’arrêta sur le sentiment doux-amer qu’elle ressentait et qui lui faisait réaliser qu’elle aurait préféré rester ici avec lui ; ce qui alimenta goulûment la culpabilité qu’elle avait depuis la signature de son contrat, mal à l’aise d’avoir abandonné sa grand-mère pour vivre tout ça — et plus encore lorsqu’elle poursuivit, apportant une bribe d’éclaircissement à Midas en passant une main dans ses propres cheveux toujours un peu humides, un peu troublée de se sentir aussi mal chaque fois qu’elle pensait à tout ce qui se passait pour elle pendant que sa grand-mère vivait ses derniers instants de lucidité "Je sais pas encore. Elle a des tests de prévus dans la semaine, je veux être là pour avoir les conclusions de son médecin. Ça dépendra de ce qu’il me dira j’imagine." Elle passa un index sous l’ourlet de sa lèvre inférieure qu’elle se mordit de l’intérieur, clignant des yeux pour chasser ce qui la rongeait sur l’instant, et trouva davantage d’intérêt aux lignes qu’elle avait sous les yeux.
Ça lui permis de rediriger le sens de la conversation lorsqu’elle demanda à Midas avec quoi allait celles qu’elle toucha du bout des doigts. Elle le laissa reprendre son carnet, sa tête opinant tandis qu’il concluait, et que dans un sourire en demi-teinte, elle lui dit "Quand t’étais en rogne contre moi, c’est pour ça que c’est un peu…" Elle fit une grimace, tous tendons de son cou saillants, qui illustrait la colère comme elle roulait doucement sur le dos pour mieux se remonter doucement jusqu’à la tête de lit contre laquelle elle posa l’arrière de sa tête, son épaule proche de celle de Midas sur qui elle posa les yeux "Tu l’es toujours, en rogne contre moi ?" lui demanda-t-elle après une pause contemplative durant laquelle observa ses traits avec attention tout en se disant qu’elle ne risquait pas grand-chose à lui demander puisqu’elle sentait une tension étrange émaner de lui sans qu’elle ne sache d’où elle venait.


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

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Midas Sterling
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ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4f61f27a7f3dd878ee1e086d6d0b0b5769c3bcd
olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 053206208b4592cc4699310dcf5529765ee2ed7f
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
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harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7e1b7d323758be625ec2ec240fb8c544b3d292ad
oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Tom Blyth
CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyLun 30 Jan 2023 - 15:20




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

« Hm, j’ai un système de notation avec des gommettes en forme d’étoiles et des commentaires du genre refuse d’enlever ses chaussettes, à bannir. » - « Gamine. » Je lui adresse un sourire qui dévoile toutes mes dents, avant de me contorsionner pour pouvoir profiter d’un contact aussi simple que mes doigts caressant la peau dénudée de son bras. Je l’ai désirée longtemps, Joséphine. Et si elle n’a pas baissé sa garde simplement parce que nous couchons ensemble, j’ai un peu moins peur de ses réactions exagérées et démesurées. Comme si j’étais parvenu à déchiffrer une partie du code, une partie seulement. « T’es pas obligé de toujours me faire des compliments quand tu veux me faire adhérer à un truc tu sais. Tu peux simplement me demander de rester un peu. Je suis toujours en retard, personne me reprochera plus que d’habitude de me pointer dans une heure. » - « J’te fais des compliments parce que j’en ai envie. » Je bougonne presque, agacé - gentiment - d’être dépeint comme un homme prêt à s’abaisser à ce genre de basses manipulations. Evidemment, il y a une partie de vrai : je n’ose pas toujours lui demander les choses de façon directe. Mais tout ce que je dis est sincère, elle ne peut pas remettre ça en question, au moins. « Reste un peu. » Pas de s’il te plait. Pas de pourrais-tu. Je suis un homme habitué à obtenir ce que je veux, habitué à ne pas avoir à supplier pour ça. Paradoxalement, ma requête est teintée d’une douceur qui m’est propre.

« Pour le jet-privé et pour la taille de ta salle de bain. T’as vu la largeur de ta douche ? Elle est énoooorme. » - « Attends, t’es en train de sous-entendre que j’ai la plus belle suite de l’étage ? » Je prétends être outré, mais le fait est que je n’ai que peu de doute à ce sujet : je suis le mieux loti parmi les candidats de l'émission. Je n’ai pas fait le moindre caprice pourtant, mes équipes s’en sont certainement chargées à ma place, parce que les apparences ont de l’importance dans notre milieu. Et à leurs yeux, je suppose qu’il est important, de me dépeindre comme le privilégié de l’aventure, celui qui a le droit à un certain standing. « Tu peux venir prendre ta douche ici tous les matins, si y’a que ça. A une condition, parce que rien n’est gratuit. » Je prends l’air le plus sérieux du monde, signe que je m’apprête à formuler une connerie plus grosse que moi. « Tu laisses la porte ouverte. » A nouveau, je lui offre mon sourire d’un blanc parfait, et je m’autorise même à battre des cils une fois ou deux, comme l’idiot que j’ai choisi d’interpréter.

« Et c’est vrai ces conneries ? » Agacé, j’arrête de caresser sa peau du dos de ma main, mais elle ne quitte pas pour autant son bras. « C’est pas toi qui dit qu’il faut pas croire les conneries qu’on lit dans les médias ? » N’est-elle pas la mieux placée pour savoir qu’il y a souvent un monde entre l’image que nous donne les rumeurs et les équipes de communications et la vérité ? Cherche-t-elle à me provoquer, ou bien pense-t-elle ce qu’elle dit ? Et moi Jo, dois-je croire ce qui se raconte sur les réseaux sociaux ? « Je vais finir par mal le prendre. » Mais pour autant, je serai bien incapable de lui en vouloir, et je la soupçonne de le savoir, d’être parfaitement consciente de l’effet qu’elle me fait. « Un mec beau, talentueux, célèbre qui serait idiot de pas profiter des opportunités qui se présentent à lui. C’est pas de l’abus de pouvoir, c’est du bon sens : t’as tout pour toi, ça vient avec des avantages. » Je secoue la tête, avant de lever un sourcil. « Tu crois vraiment que je suis ce genre de mec ? » Ne me connaît-elle pas mieux que ça ? Pense-t-elle réellement que j’ai passé ces dernières années à choisir une nouvelle groupie tous les soirs pour ne pas être seul ? Est-ce à cause de Charlie ? Je me suis bien gardé de lui demander comment ses rapports avec son amie ont été bouleversés par l’incident. Je tiens à mes bijoux de famille. « Qui est-ce qui me brosse dans le sens du poil pour me tirer les vers du nez, maintenant ? » J’esquisse un sourire, mais je laisse toutefois un soupir m’échapper. « Je t’accuse pas d’être une traînée, mais si jamais tu changes d’avis, préviens-moi juste histoire que je rassemble mon kit de meurtre et que je me renseigne sur les nouvelles tendances en matière de disparition de corps. » - « Le mien ou celui de ces filles ? Que je sache si je dois augmenter mes effectifs en termes de sécurité. » J’ai l’impression de subir un interrogatoire, et je me dis que c’est le monde à l’envers, puisqu’elle même ne semble pas pressée de démentir les rumeurs qui la dépeignent comme appartenant à un autre. « T’as pas besoin de ton kit de meurtre, Jo. Même si je suis curieux de la façon dont tu t’y prendrais. » Je l’attire contre moi pour lui voler un baiser léger, le cœur pourtant serré à l’idée d’être celui qui partage de nous deux.

« Tu veux que je rentre pour quoi sinon ? » - « Pour voir tes amies ? » Un homme, peut-être ? « J’en sais rien moi. T’as une vie en dehors de X-Factor, pour ce que j’en sais. » Et ce que instagram semble en savoir. Je fais mine de ne pas y toucher. J’adopte un air distrait, quand pourtant des questions me brûlent les lèvres. « Je sais pas encore. Elle a des tests de prévus dans la semaine, je veux être là pour avoir les conclusions de son médecin. Ça dépendra de ce qu’il me dira j’imagine. » Soudainement plus sérieux, plus grave, je hoche la tête. Je me sens idiot avec mes doutes, stupide de tourner autour du pot face à ce genre de considérations bien plus importantes que mon besoin d’être rassuré. Je fronce les sourcils, et m’adoucit sans même m’en rendre compte. « Il s’est passé quelque chose ? Ou ce sont des contrôles de routine ? » Je sais que Olive, en tant qu’auxiliaire auprès d’Esmée, passe aussi du temps avec Ava Carter. Si j’ai confiance en ma petite sœur, je ne peux m’empêcher d’espérer qu’il ne soit rien arrivé pendant l’absence de Jo, qui se fustigerait sans l’ombre d’un doute pour l’avoir laissée. « C’est égoïste si je te dis que j’espère que tu pourras rentrer vite ? » Va-t-elle m’en vouloir de le penser alors qu’elle rentre pour être au chevet de sa grand-mère ? J’espère que non.

« Quand t’étais en rogne contre moi, c’est pour ça que c’est un peu… » Tout de suite, mes doutes et mon syndrome de l’imposteur me rattrapent. C’est quoi ? Mauvais ? Vide ? Fade ? Je me demande ce qu’elle entend par là, pourquoi elle ne finit pas sa phrase et je ne peux m’empêcher, avant de refermer le calepin, de relire les quelques phrases qu’elle a lues pour tenter de me rassurer. « Tu l’es toujours, en rogne contre moi ? » - « Non. Je suis pas en rogne contre toi. » Chaque chose en son temps et l’empêcher d’envisager quelque chose de faux est la priorité. « Je suis en rogne contre les feuilles de choux et les conneries des réseaux sociaux, mais pas contre toi. » Mon coeur bat la chamade alors que je m’aventure sur cette pente glissante. « J’aurais des raisons, de l’être ? » Comme par exemple, une aventure discontinue mais qui perdure avec un acteur que je n’ai même pas envie de nommer ?




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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMar 31 Jan 2023 - 8:51




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

Un petit je te déteste aurait été plus qu’opportun quand Midas lui demanda de rester un peu dans un ton d’une douceur qui appelait le commentaire en question tant dans ces conditions en particulier, elle ne pouvait pas refuser "Je reste un peu, c’est bon." dit-elle dans une fausse mauvaise humeur, minaudant plus qu’autre chose. Il sait parfaitement ce qu’il fait, le petit enfoiré, qu’elle songea en suivant des yeux la caresse qu’il fit remonter le long de son bras. Jo fit rouler ses propres lèvres l’une sur l’autre le temps d’un court instant, tachant de garder en vue ce qui se passait maintenant, et pas ce qui aurait pu se passer si elle laissait libre court à l’anticipation qu’elle couvait dans l’intimité de ses pensées. Elle détourna brièvement la tête juste pour de nouveau se concentrer sur les lignes du carnet qu’elle ne lui avait pas rendu à ce moment-là. C’était le genre de paroles qu’il lui avait demandé de mesurer, alors finalement, elle se contenta d’un regard qu’elle lui adressa par-dessous ses longs cils et qui voulait dire exactement la même chose sans qu’elle n’en pense rien : je te déteste. Preuve était qu’elle savait faire des putains d’efforts quand elle le voulait ; ou alors c’était parce que c’était lui, allez savoir.
Si elle ne répondit pas à la fausse expression d’outrage qu’il lui renvoya lorsqu’elle sous-entendit qu’il était logé à meilleure enseigne que tous les autres candidats — à ce stade, ce n’était même pas un sous-entendu, c’était une vérité que personne n’avait cherché à contrer —, elle retint un sourire en se forçant à froncer les sourcils lorsqu’il se chauffa tout seul sur des négociations qu’elle sentait venir à des kilomètres. Elle lui firent emprunter la même expression que lui à l’instant pendant que, prétendant être outrée, elle se tournait juste un peu vers lui pour lui dire avec la même intention qu’il lui avait donné "Donc tu fais la vierge effarouchée quand je parle de faire des trucs dans les avions, mais t’essaies de me soudoyer avec ce genre de deal la minute d’après ?" Midas, Midas, Midas semblait-elle dire en se mettant à secouer la tête de droite à gauche, feignant la déception juste pour reprendre très vite, se calant sur le sourire qu’il lui accorda en même temps qu’elle fit dégringoler la pulpe de son index le long de la médiane qui scindait le visage du jeune homme en deux parties symétriques "Pour info, la porte est restée ouverte tout à l’heure." Elle n’avait pas besoin d’être soudoyée Jo, et alors qu’il se mit à battre des cils, elle termina par lui repousser doucement le visage par le menton en roulant des yeux et en pensant sans doute trop fort qu’il était idiot.

"Tu crois que je suis le genre de nana qui répertorie et qui évalue les gens avec qui elle s’envoie en l’air, alors je pense qu’on est quitte sur la question, nan ?" Que ce soit de mal le prendre ou de revenir sur l’image qu’elle avait de lui, le pied d’égalité venait d’être atteint en l’espace de quelques minutes à peine puisque l’image qu’il avait d’elle, elle ne paraissait pas plus glorieuse finalement.
Elle n’écoutait pas les ragots colportés par les médias Jo, c’était un fait qu’elle n’enrobait pas dans du papier doré pour se donner le beau rôle. Elle savait très bien comment ça fonctionnait. Si elle avait dû croire tout ce qu’elle avait appris au sujet de Midas dans la presse au cours des six dernières années, même si elle avait tout fait pour éviter d’être confrontée au fantasme collectif qui l’entourait, sa vie aurait été atroce à mener tant tout et n’importe quoi circulait à son sujet. Mais là en l’occurence, il n’était pas question de colporter des fantaisies et des scénarios manquants d’originalité. Jo, elle se basait sur des faits qu’elle connaissait, et oui, le visage de Charlie se matérialisa vaguement devant ses yeux lorsqu’elle ménagea les précisions qu’elle aurait pu lui apporter pour mieux marquer son point et lui rappeler que, dans une vie pas si éloignée que ça, il lui avait tenu tout un palabre sur l’idée qu'il était un grand garçon qui ramenait qui il avait envie de ramener chez lui. De fait, la trame potentielle du weekend qu’il passerait seul ici qu'elle avait avancé plus tôt, elle ne méritait pas qu’il s’en offusque comme il le faisait l’air de rien.
Elle pouvait presque entendre la voix de la blonde lui cracher à la gueule qu’elle en faisait trop, qu'il était temps qu’elle fasse la paix avec cet épisode, surtout maintenant qu'elle avait obtenu ce qu’elle avait crevé d’avoir sur toute une période. Mais c’était mal la connaître. Jusqu’à ce qu’elle décide que c’était du passé, Jo rongerait cet os qu’on lui avait jeté sans qu’elle ne le réclame "J’essaye pas de te tirer les vers du nez, commençons par là." Quand même un peu. Sauf que ce n’était pas une tactique qui fonctionnait avec elle : elle ne deviendrait pas patiente du jour au lendemain, c’était une certitude qui lui fit ajouter dans un sourire en demi-teinte "J’ai pas encore décidé. Tu devrais pas me laisser entrer dans ta chambre du coup, on sait jamais ce qui pourrait t’arriver." Elle avait laissé par mal de traces pour s’incriminer qui plus est, à commencer par les strass de son maquillage de la veille, signature qui la rendrait coupable de tout et son contraire, et qui scintillaient avec indolence entre les fronces des draps sur lesquels ils étaient allongés.

S'il ne lui avait pas volé un baiser à ce moment-là, elle aurait sans doute laissé échapper le genre de rire de sorcière de dessin-animé qui accompagnait ses sorties les plus gentiment viles, seulement elle se laissa inciter à ne pas en rajouter, sa bouche rentrant brièvement en contact avec celle du jeune homme. En revanche, elle laissa un vrai petit rire lui échapper lorsqu’il parla de la possibilité que son weekend à Brisbane soit une occasion rêvée pour elle de voir ses amies. Quelles amies ? elle aurait dû commencer par là, sauf qu’elle voyait déjà les yeux de poupée de Megan lui renvoyer un regard de godiche, alors elle s’abstint simplement pour plisser de nouveau les paupières et se rendre compte pour de bon d’une chose : il tournait autour du pot, et ça commençait à faire grouiller un léger sentiment d’agacement chez elle qui fût adoucit uniquement parce qu’ils abordèrent le sujet de sa grand-mère "Non, c’est un contrôle de routine. Mais j’aime pas les hôpitaux, et c’est toujours éprouvant pour elle." Pour Jo aussi, mais elle ne préférait pas le souligner, n’ayant pas envie de s’épancher sur l’impression qu’elle avait qu’Ava était traitée comme un rat de laboratoire.
Elle prit un petit temps pour prendre une inspiration discrète qui ressortit hachurée lorsqu’elle tourna son visage dans la direction de Midas dont l’expression avait changé, elle aussi — ce qu’il ajouta, ça la fit sourire doucement, et elle se demanda si elle pouvait partager avec lui la pensée qu’elle avait eu tout à l’heure sans risquer de faire planer quelque chose d’étrange au-dessus de ce qui se passait entre eux. Elle savait qu’il ne la jugerait pas, pour autant elle hésita quelques secondes de plus avant de lui répondre enfin "Un peu, oui. Mais je peux te dire un truc ?" Il lui dirait que oui, elle n’avait pas besoin de faire dans le faux suspens pour passer aux aveux, quand bien même ils firent naître une curieuse impression lorsque, baissant la voix, son visage s’approchant du sien pour respecter un aparté inutile, excuse toute trouvée pour faire brièvement bondir le bout de son nez contre le sien, elle poursuivit dans un murmure "Je dois l’être autant que toi parce que j’ai pas vraiment envie de partir d’ici." Elle qui avait essayé d’échapper à Sydney durant les premières semaines de compétition, elle devait admettre que la perspective de mettre en stand-by les moments qu’elle passait avec Midas avait tendance à lui peser sur le cœur.

"Hey, détends-toi. Elles sont super bonnes tes paroles, ça fera une belle chanson." Elle tenait à rassurer le chanteur comme elle le vit marquer une halte sur la page qu’elle lui avait désigné lorsqu’il lui reprit son carnet des mains. Elle aurait pu ajouter qu’elle avait eu cette réaction uniquement parce que, même s’il lui avait dit qu’il s'agissait d’une balade, elle les trouvait un peu plus agressives que d’habitude et que c’était une bonne chose "Tu me la joueras quand elle sera prête ?" Elle lui adressa un sourire en lui posant la question. Cependant, la sensation qu'elle avait qu’il tournait autour de quelque chose qui échappait à sa perception lui fit en poser une autre qui planait au-dessus d’eux depuis quelques minutes déjà ; qu’il lui assure qu’il n’était pas en colère contre elle, mais contre la presse et les réseaux sociaux, ça la laissa emprunter un nouveau froncement de sourcils qui marquait l’idée qu’elle ne comprenait absolument pas pourquoi ; qu’il lui demande en retour s’il devait l’être, en rogne contre elle, ça lui fit marquer un temps de réflexion pour mieux repasser les derniers jours en avance rapide dans son esprit, à la recherche désespérée d’une potentielle parole malheureuse de sa part.
Mais force était de constater qu’elle avait été une gentille fille ces derniers temps. Son attitude devenant un peu plus absente tandis qu’elle s’enfonçait dans sa mémoire, ses yeux se replongèrent dans ceux du jeune homme pour lui dire doucement, reprenant place dans le moment présent à l’instant où son regard rencontra le sien pour ne pas le lâcher, pas même pour cligner des paupières "Je crois pas. Je t’ai dit quelque chose de pas sympa ?" Qu’elle ne réussisse pas à ne pas le savoir d’elle-même, c’était presque comique d’un côté. Mais de l’autre, ça reflétait avec éclat le caractère pathologique de son incapacité à contrôler ses coups de sang ; comme celui qui menaçait de se profiler lorsqu’après quelques secondes à l’observer méticuleusement, passant en revue tous ses traits pour essayer de comprendre sans rentrer vraiment dans le vif du sujet, le craignant peut-être un peu, l’arrière de sa tête posée contre la tête du lit, elle finit par lui demander après un soupir de frustration, expulsé par les narines "Si tu me posais plutôt la question que tu veux me poser au lieu de tourner autour comme tu le fais depuis vingt minutes ?" D’un léger bond sur le matelas, Jo se décala soudainement de la tête de lit pour s’avancer vers son bord histoire de s’y asseoir d’abord, de s’en lever ensuite tout en poursuivant sur le même ton — un peu agacé, mais pas agressif pour autant "Je suis pas soudainement devenue patiente et je suis nulle aux devinettes."


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

    (mine #10) don’t know when i learned to play with matches ZhUxEFTm_o
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Midas Sterling
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la nuit des temps
la nuit des temps
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7vHkInU Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 242
POSTS : 1589 POINTS : 260

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
CODE COULEUR : royalblue.
RPs EN COURS :
(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 5ba6ae2b5f4d2c63143a726f9f878490797a0677
mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4f61f27a7f3dd878ee1e086d6d0b0b5769c3bcd
olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 053206208b4592cc4699310dcf5529765ee2ed7f
missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 25b36f9f1e9ea8abde34133ed09740b912ab5e21
sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches B4eed092927093cd907fec4dd7b50920e4dc8394
harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7e1b7d323758be625ec2ec240fb8c544b3d292ad
oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Tom Blyth
CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
DC : Raelyn Blackwell (Lady Gaga) & Megan Williams (Sydney Sweeney)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMar 31 Jan 2023 - 19:57




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

« Donc tu fais la vierge effarouchée quand je parle de faire des trucs dans les avions, mais t’essaies de me soudoyer avec ce genre de deal la minute d’après ? » Est-ce que je l’observe avec mon plus bel air insolent gravé sur le visage ? Tout à fait. « J’ai jamais dit non, pour l’avion. » Ce n’est pas parce que je n’ai pas l’intention de rentrer ce week-end qu’elle n’a pas implanté dans mon esprit tout un tas d’images et de pensées moins catholiques les unes que les autres. Bien sûr que la prochaine fois je m’arrangerai pour que les désirs de madame soient des ordres. Je suis un gars serviable, après tout. « Pour info, la porte est restée ouverte tout à l’heure. » - « C’est noté. » Pour la prochaine fois. Je sais prendre des initiatives, mais j’ai toujours peur de prendre des libertés mettant ma partenaire mal à l’aise. Et malgré ce que Jo m’a dit - que je n’avais pas besoin de lui demander la permission à tout bout de champ - on ne change pas un homme en quelques jours. Avec elle, je suis plus hésitant qu’avec la majorité des femmes. Avec elle, j’ose moins qu’à l’accoutumée parce que j’ai peur de la braquer, de dire ou faire quelque chose que je n’aurais pas dû dire ou faire qu’elle finisse par prendre ses jambes à son cou. Alors, j’alterne constamment entre deux personnages, celui du jeune homme audacieux et conscient de son charme, et celui de l’adolescent hésitant.

« Tu crois que je suis le genre de nana qui répertorie et qui évalue les gens avec qui elle s’envoie en l’air, alors je pense qu’on est quitte sur la question, nan ? » - « Je plaisantais Jo. » Je le précise, puisque beaucoup de choses prennent bien trop d’ampleur avec la nerveuse et excessive jeune femme. En revanche, j’ai la sensation qu’elle était on ne peut plus sérieuse, de son côté. Elle nourrit un doute, un vrai, et même si c’est malsain, je m’en réjouis. N’est-ce pas le signe que, comme moi, elle est mal à l’aise à l’idée d’imaginer que je puisse inviter une tierce personne dans notre relation ? N’est-ce pas le signe qu’elle imagine ou désire une sorte d’exclusivité ? Fait-elle partie de ces individus qui disent fais ce que je dis, pas ce que je fais ? « J’essaye pas de te tirer les vers du nez, commençons par là. J’ai pas encore décidé. Tu devrais pas me laisser entrer dans ta chambre du coup, on sait jamais ce qui pourrait t’arriver. » - « Je prends le risque. » Je serais bien incapable de lui refermer la moindre porte au nez maintenant que j’ai goûté à ce que cela fait, d’être avec Joséphine Carter. C’est peut-être ce qui me fait le plus peur : ma réaction si toutefois les rumeurs disent vrai. Je ne suis pas certain d’être encore capable de faire les bons choix, les choix raisonnables. « Tu peux embobiner tout le monde mais pas moi : t’es pas aussi dangereuse que t’en as l’air, Carter. » Ou peut-être que si. Pour être honnête, je joue certainement avec le jeu mais putain, que c’est bon de se brûler à ses côtés.

« Non, c’est un contrôle de routine. Mais j’aime pas les hôpitaux, et c’est toujours éprouvant pour elle. » - « Je comprends. » Et j’ai beau crever d’envie de la convaincre de rester, j’ai beau crever d’envie qu’elle reste, je ne peux pas prétendre être un gars bien si j’insiste plus longtemps alors qu’il est question de sa grand-mère malade, non ? « J’ai pas eu Oli depuis les fêtes. Elle te donne des nouvelles d’Ava de temps en temps ? » Moi, je tente de toute façon de rester à ma place et de ne pas tout mélanger. Quand j’appelle ma sœur, c’est pour prendre de ses nouvelles, pas pour faire des tentatives d’ingérence dans la vie de Jo ou dans la vie professionnelle de ma cadette. Je ne lui ai évidemment rien dit concernant Jo et moi : Olive en ferait tout un plat, et je n’ai pas la moindre envie de répondre à toutes les questions qui viendraient. Je lui ai assuré à de nombreuses reprises qu’il n’y avait rien, entre la chanteuse et moi, même si j’ignore à quel point elle y a cru. « Un peu, oui. Mais je peux te dire un truc ? » - « Hm ? » Curieux, je coule un regard dans sa direction. « Je dois l’être autant que toi parce que j’ai pas vraiment envie de partir d’ici. » J’esquisse un sourire et je me penche vers elle pour m’arrêter à quelques centimètres de ses lèvres avec l’intention honteuse de la torturer avec la promesse d’un baiser qui finira par venir : je ne sais pas résister à ses lèvres. « Le week-end prochain tu pourrais rester. On pourrait même essayer de sortir un peu de cette chambre d’hôtel, pour changer. » J’ai sincèrement envie de passer du temps avec Jo Carter, et pas uniquement sous les draps. Je ne veux pas qu’elle se méprenne sur ce qu’elle représente à mes yeux : plus qu’une relation basée uniquement sur des rapports charnels.

Je ne voulais pas lui montrer cette chanson, ou en tout cas pas avant de savoir quoi en faire. Je n’aime pas ce qu’elle remue, je n’aime pas qu’elle me rappelle que Jo et moi - puisqu’il est question d’elle, évidemment qu’il est question d’elle - entretenons une relation compliquée, que les hauts ont été plus rares que les bas jusque là. Je crois que si je m’écoutais, je la garderai pour moi cette chanson, persuadé en quelque sorte qu’elle finira par me porter malchance. Mais je n’ai pas assez écrit ces derniers mois pour pouvoir me payer le luxe de mettre de côté quelque chose de concret. « Hey, détends-toi. Elles sont super bonnes tes paroles, ça fera une belle chanson. Tu me la joueras quand elle sera prête ? » - « Quand elle sera prête, oui. » J’esquisse un sourire gêné, avant d’ajouter. « Tu le penses ? C’est pas mauvais ? » Je n’ai jamais écrit de textes plus bruts, qui font appel à des sentiments aussi négatifs que la colère et la frustration. J’écris des chansons d’amour. J’écris des textes de rupture, triste mais vide de toute trace d’amertume. Il n’y a que Jo pour remuer des sentiments plus dévastateurs.

Je mets les pieds dans le plat. Je sais que je ne peux plus vraiment reculer maintenant, même si j’en crève d’envie. Elle se redresse, s’éloigne en s’asseyant au bord du matelas, et je ressens le besoin impérieux de reprendre ce que j’ai dit. De prétendre que je plaisantais. Que c’était une boutade de mauvais goût. « Je crois pas. Je t’ai dit quelque chose de pas sympa ? » Je pousse un soupir, et je secoue la tête. Non, ce n’est pas ce qu’elle a dit le problème, c’est ce qu’elle ne dit pas, ce sont les réactions qu’elle n’a pas. « Si tu me posais plutôt la question que tu veux me poser au lieu de tourner autour comme tu le fais depuis vingt minutes ? » A mon tour je me redresse, d’abord assis au bord du lit, avant de me redresser de façon nonchalante. J’attrape mon paquet de cigarette posé sur la table de nuit, et m’approche de la baie vitrée que j’entrouvre pour pouvoir allumer ma cigarette. Appuyé contre le montant de la baie vitrée, je l’observe avec intensité, et je me sens mis à nu par son regard. Et pas uniquement parce que je ne suis toujours vêtu que de mon caleçon. « Je suis pas soudainement devenue patiente et je suis nulle aux devinettes. » - « Te braques pas, s’il te plait. » Je n’ai pas la force pour ça, et je sens l’agacement dans le ton de sa voix. Je porte ma cigarette jusqu’à mes lèvres, inspire une profonde bouffée de nicotine avant de vider mes poumons et de frotter mes yeux de ma main libre. « Je suis pas un accro des réseaux sociaux. Alors je veux pas que t’imagines que je surveille ce que t’y postes ou écris ou une connerie du genre. » Parce que je ne suis pas un stalker. Certes, j’ai demandé à Cassie de m’aider à démêler le vrai du faux, à comprendre le fondement de ces rumeurs et l’importance qu’elles prennent sur la toile. Et ça m’a donné le tourni. « Mais y’a des trucs qui circulent même sur le plateau. J’ai entendu des gens de la production en parler, d’autres candidats aussi. » Et j’ai réalisé une chose : je n’aime pas que l’on parle de nous, mais j’aime encore moins entendre parler d’elle et d’un autre homme. J’ai ressenti une bouffée de jalousie incontrôlable et, plus inavouable, il m’a été insupportable que l’on puisse raconter dans la presse, sur les réseaux sociaux ou bien je ne sais où qu’elle couchait avec quelqu’un d’autre que moi. « Tu couches avec Micah Tomlinson ou pas ? » Aïe. Peut-être pas la meilleure des approches. Sauf qu’à trop tourner autour du pot, j’ai fini par vomir la question sans la moindre pincette. « Si c’est le cas, je voudrais le savoir. » Et je préfèrerais que cela ne le soit pas, de toute évidence. J’ai chaud, d’un coup. Je suis presque à poil, mais j’ai l’impression que j’étouffe dans cette chambre d’hôtel.





:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMer 1 Fév 2023 - 16:00




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

"Ouais, elle le fait." C’était ce qui la rassurait le plus, qu’Ava ne soit pas tout à fait seule quand elle n’était pas à la maison. Elle le devait à Olive, elle le devait aussi à Maisie et son petit-frère, mais surtout à Nicholas dont elle parla vaguement lorsqu’elle ajouta, laissant furtivement sa joue effleurer l’épaule nue de Midas "C’est Nicholas qui m’en donne le plus. Je crois qu’il le fait aussi sérieusement parce qu’il aimerait bien que quelqu’un fasse la même chose pour lui s’il était à ma place." Il faudrait qu’elle pense à le remercier pour de vrai. Lui offrir un pull moins dégueu que ceux qu’il avait dans son dressing, ou bien une paire de chaussettes accordées pour qu’au moins une fois dans sa vie il ait l’air de tout sauf d’un abruti.
Une petite inspiration fit remonter sa poitrine lorsqu’elle releva la tête vers Midas juste pour lui avouer ne pas vraiment avoir envie de s’en aller — elle se détesta de l’avoir dit tout haut, mais c’était trop tard. Elle aurait pu expliciter pourquoi, ne pas le laisser supposer que c’était parce qu’elle avait peur d’avoir froid, seule dans son propre lit, mais bel et bien parce qu’elle aimait passer du temps avec lui, et lui seul. Seulement, il la prit de court avec sa proposition — surtout avec la manière dont il approcha son visage du sien, laissant un baiser hypothétique planer dans le mince espace qui les séparait, et que sa voix finit par emplir dans un murmure un peu moqueur qu’elle lui adressa en alternant la trajectoire de ses yeux. Entre les siens et ses lèvres, elle avait du mal à faire un vrai choix "Est-ce que c’est un date que tu me proposes là ?" Curieusement, elle qui passait son temps à se marrer face aux tentatives de Damon, pour ne citer que lui, de faire la cour à Megan, c’était une perspective plus engageante quand elle était au centre de ce genre d’attention. Que ce soit à cause de son besoin maladif d’être le nombril du monde ou pas, si elle n’avait pas l’impression d’être en train de bousculer son ordre de priorités sur l’instant, adhérant à l’idée de bouder Brisbane le weekend prochain, elle se serait mise à glousser comme une collégienne.
Elle ne le fit pas, trop consciente de ne pas être ce genre de femme pour se laisser aller à ce genre d’attitude. Au lieu de quoi, elle compléta dans un léger sourire toujours un peu moqueur, sa bouche venant très brièvement cueillir celle du jeune homme sans échanger vraiment de baiser, ayant juste envie de tirer l’intime satisfaction de pouvoir faire ce genre de choses sans que ce ne soit étrange pour aucun d’entre eux désormais, avant de lui demander en reculant la tête pour mieux le regarder "T’as pas peur d’être surpris par les photographes ?" Personne ne s’étonnerait de les voir traîner ensemble à l’extérieur de l’hôtel, ils n’en seraient pas à leur première fois d’ailleurs. Pourtant, c’était une question à soulever. Si elle, elle avait une petite notoriété à son actif, celle de Midas accusait des précautions à prendre, elle le savait ; et prendre des précautions, ce n’était d’ailleurs pas une chose qu’elle avait l’habitude de faire, trop impulsive pour juger nécessaire de s’encombrer de la corvée de vigilance. Elle avait des choses à apprendre, elle en était consciente de ça aussi, et si elle ne l’avouerait pas par fierté mal placée, c’était le genre de choses qu’elle redoutait parce qu’elle n’avait jamais été bonne élève. Elle était trop sauvage pour ça, qu’importe ce qu’il dirait en l’accusant de vouloir embobiner son monde pour parfaire l’image derrière laquelle elle aimait se barricader, celle-ci elle n’était malheureusement que pure vérité.

"Bien sûr que je le pense." Elle ne pouvait pas lui en vouloir de songer qu’elle manquait d’objectivité quand elle l’avait accusé de la même chose. Elle s’évertua alors à compléter avec l’honnêteté qui la caractérisait, assez peu capable de faire dans le compliments gratuits "De ce que j’en ai vu avant que tu me retires ton carnet des mains, c’est du niveau de tes premiers textes. Et c’est nouveau, c’est risqué, mais ça change. T’as une carrière maintenant, tu peux te permettre de prendre un nouveau virage si c’est ce qui t’inspire." Elle avait arrêté de prétendre qu’elle n’avait pas écouté ses premiers albums Jo. A partir du moment où elle avait été capable de chanter l’une de ses chansons sans en apprendre le texte au préalable, ça l’aurait fait passer pour la reine des connes de continuer à jouer là-dessus quand elle savait au fond que l’idée lui avait fait de la peine lorsqu’elle lui avait dit ne pas avoir fait ses devoirs.
Elle ne mentait pas souvent, mais quand elle le faisait, ce n’était jamais très longtemps, alors elle avait arrêté de faire semblant effectivement. Comme si elle ne s’était pas interrompu, elle ajouta dans un haussement d’épaules "J’aime bien, avec la petite pincée de sel qu’il faut pour raviver la douleur, c’est" Chef’s Kiss disait le mouvement qu’elle fit, doigts joints contre sa propre bouche et baiser claquant dans les airs pour appuyer son opinion "Ça se sent qu’elle t’a fait galérer cette fille, quelle garce." conclut-elle en feignant tout et n’importe quoi, ses longs cils battant lorsqu’elle reposa ses yeux sur lui. Si elle avait compris que ses paroles parlaient d’elle, elle n’arrêterait pas de jouer l’innocente parce qu’elle savait que son avis comptait pour Midas et que le donner de cette manière, avec une petite pointe d’humour, ça aurait au moins le mérite de le détendre un peu sur la question. Elle n’était pas critique spécialisée, seulement elle avait de la bouteille mine de rien, même si elle avait raccroché depuis pas mal d’années désormais. Peu importait, elle avait toujours eu ça dans le sang, et ça lui permettait de savoir de quoi elle parlait sans craindre de se faire rabrouer sous le prétexte que sa carrière était restée au point mort.

Rabrouer, c’était sa spécialité "Me demander de pas me braquer, c’est le meilleur moyen de me braquer, Midas." Parce que j’ai le plus gros esprit de contradiction du pays, et que tu le sais, aurait-elle pu ajouter. Elle ne le fit pas, s’échappant du lit du jeune homme pour se lever et prendre suffisamment de distance avec lui pour se remettre à penser droit et arracher le pansement qu’il triturait depuis plusieurs minutes en lui laissant la sensation de raviver la cicatrice toute fraîche qu’il y avait juste dessous. Tirant sur le bas de sa robe en se redressant pour se donner bonne contenance, Jo se tourna vers lui quand il l’imita pour mieux allumer une cigarette. Elle, elle croisa les bras sur sa poitrine en affrontant le regard qu’il lui accorda de loin, l’intensité de ses yeux posés dans les siens la forçant à ne pas les baisser lorsqu’il se lança et que ça lui fit soudainement tilt "Putain, j’y crois pas." murmura-t-elle pour elle-même, fermant très brièvement les yeux en se trouvant débile de ne pas avoir capté les sous-entendus de tout à l’heure à propos des journaux et des réseaux sociaux.
En fait, ça la fit retenir un rire sur l’instant, qu’elle laissa échapper l’instant d’après quand il lui posa frontalement une question qu’elle jugeait putain de déplacée bien sûr, sauf qu’elle avait dépassé bien trop de limites de son côté, et ce bien avant qu’il ne se passe quoi que ce soit entre eux, qu’elle ne pouvait pas vraiment s’offusquer de la violence des soupçons qu’il laissait poindre dans sa direction. Elle rit encore pendant une seconde avant de reposer son regard sur lui. Graduellement, son rire s’amenuisa et elle prit conscience qu’il était sérieux, qu’il attendait une réponse  de sa part. Elle arqua un sourcil Jo, ses paupières se plissant en même temps "Ah tu veux une vraie réponse en plus ?" commença-t-elle, inclinant la tête sur le côté en raffermissant sa volonté de ne pas ciller lorsqu’elle pointa l’évidence "Je passe une partie de mes nuits avec toi depuis trois semaines, quand est-ce que j’aurais le temps de coucher avec Micah Tomlinson ?" Si elle n’avait pas l’impression d’être prise à son propre piège, elle aurait sans doute rit une nouvelle fois.

Mais pas là. Là, elle resta sérieuse, ne pouvant se départir de la sensation d’être mise au pied du mur pour quelque chose d’aussi idiot qu’une rumeur de coucherie avec un acteur célèbre ; qu’elle connaissait oui, avec qui elle avait eu une histoire oui, il y avait une éternité. Elle avait parlé de Micah dans une interview sans jamais citer son nom, le rendant fier inspirateur de sa décision de passer sa première audition pour The X-Factor et leurs contacts restaient suffisamment badins en public pour que ça monte à la tête de ceux qui voyaient le mal partout, c’était un fait. Le lien avait été fait, d’où les rumeurs, et ce n’était pas un drame parce que c’était du passé, que Micah revêtait davantage les habits de l’ami cher qu’autre chose, et que surtout : elle s’en tapait royal, de ce qui se racontait sur eux. Finalement, elle s’autorisa un nouveau rire, du genre qui ne partait d’aucun sentiment de joie particulier, qui sortait juste de sa poitrine comme une expiration un peu douloureuse et forcée "J’ai du talent, mais j’ai pas encore trouvé le moyen de me faire baiser par deux types différents au même moment sans qu'ils soient ni au même endroit ni dans la même pièce. Et tu l’as dit toi-même : j’ai une vie, j’ai pas le temps pour ces conneries." Pour qui il la prenait ? Jo secoua la tête, se détournant enfin de lui pour aller rassembler les petites choses qu’elle avait laissées la veille sur l’autre table de nuit.
Elle empoigna son téléphone, renfila rageusement et une par une ses bagues à ses doigts en lui demandant après une longue minute à continuer de secouer la tête de droite à gauche "C’est la seule question que tu voulais me poser, ou y a encore des trucs qui circulent sur les réseaux sociaux et que les autres candidats disent qui justifient que tu me prennes pour la reine des salopes ?" Elle n’attendit pas sa réponse, elle ajouta sur le même ton — rapide, sans qu’elle ne souffre d’aucun essoufflement, habituée à tenir les notes sans vaciller "Je peux te faire notre historique sinon. T’auras l’air bien con quand je vais te dire qu’on s’est rencontrés quand je vivais encore ici et qu’on a dû se voir quoi, deux fois au cours des dix dernières années." Sans qu’elle n’ait pour autant arrêtée d’être fière de lui et son parcours, la réciproque étant vraie. Ah que c’était désagréable, d’être soudainement dans les chaussures de l’autre, qu’elle pensa sans le dire, clairvoyante quant à l’idée que ça s’appliquait aussi bien à elle qu’à lui. Elle contourna le lit, et n’ayant pas le courage de lui dire qu’après avoir poireauté six ans pour qu’il se passe quelque chose entre eux, elle n’allait sûrement pas courir plus d’un lièvre à la fois ; il la sous-estimait sur ce coup-là, et c’était blessant, assez pour qu’elle termine, tournant la tête dans sa direction "Pour ce que ça vaut, je couche avec personne d’autre et je compte pas le faire."


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

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Midas Sterling
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la nuit des temps
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(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7vHkInU Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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RPs EN COURS :
(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

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olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

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harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
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― statistiques RP ―
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PSEUDO : stairsjumper
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyMer 8 Fév 2023 - 17:21




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

« T’as pas peur d’être surpris par les photographes ? » Je prends quelques secondes pour répondre à cette question. Toute ma carrière, on m’a prêté des relations avec des jeunes femmes célèbres ou non, sur la base de photos innocentes ou même sans aucun fondement. Concernant la petite brune qui me fait face, les médias s’en sont donnés à coeur joie. Je crois qu’au fond, la réponse à cette question est simple : je n’ai jamais prêté la moindre oreille à ce que racontait les médias. « Je m’en fous. » Je hausse les épaules sans afficher le moindre doute sur mon visage. « Mais si c’est pas ton cas, si tu préfères qu’on t’emmerdes pas avec des questions… » Parce que même si les photographes ne surprennent aucun baiser ou geste tendre, le simple fait qu’elle sorte en public avec moi suffira à jeter une allumette qui embrasera la presse à coup sûr. « Je connais des coins tranquilles. Des restaurants ou des bars où on aura la paix. » Bien sûr, la tranquillité se paye à prix d’or. Sauf que ça aussi, je m’en moque : j’ai les moyens de nous acheter un peu de calme si c’est ce qu’elle souhaite.

« Bien sûr que je le pense. De ce que j’en ai vu avant que tu me retires ton carnet des mains, c’est du niveau de tes premiers textes. Et c’est nouveau, c’est risqué, mais ça change. T’as une carrière maintenant, tu peux te permettre de prendre un nouveau virage si c’est ce qui t’inspire. » Du niveau de mes premiers textes. Je reste songeur un instant, cherchant à comparer les émotions que je ressentais lorsque j’ai écrit les quelques lignes qu’elle a lues à celles qui m’agitaient il y a six ans. Est-ce possible que mon inspiration ait été à son apogée à chaque fois que j’étais près d’elle au point de souffrir de ne pas pouvoir la posséder, et qu’elle se soit tarie avec les années et l’éloignement ? « Je suis pas sûr que ce soit ce qu’on attende de mon, un nouveau virage. » Je grommèle en passant une main sur mon visage, sur mes yeux. « Tu connais les labels. Une fois qu’ils ont une formule qui marche, leur seul but c’est de copier coller ça jusqu’à ce que le public fasse une overdose. » Et à ce moment-là, ils passent au prochain projet, au prochain artiste qu’ils pressent jusqu’à l’épuisement. Recycler et faire évoluer, ces deux termes les intéressent peu. Peut-être suis-je trop cynique et pessimiste, cependant. « J’aime bien, avec la petite pincée de sel qu’il faut pour raviver la douleur, c’est… » Je laisse échapper un rire étouffé, presque un soupir, et je secoue la tête alors qu’elle ajoute que « Ça se sent qu’elle t’a fait galérer cette fille, quelle garce. » Cette fois, je laisse un rire m'échapper, avant de glisser une main dans sa nuque pour l’attirer contre moi et l’embrasser. Le calme avant la tempête.

« Me demander de pas me braquer, c’est le meilleur moyen de me braquer, Midas. » Je n’aurais pas à le faire si tu ne te braquais pas dès qu’une conversation difficile s’amorce, Jo. Appuyé contre le chambranle de la baie vitrée, je laisse un grognement de protestation m’échapper alors que je puise un peu de courage dans une taffe de cigarette. « Putain, j’y crois pas. » L’espace d’une seconde, j’ai envie de lui dire qu’elle a mal compris, que je plaisantais et que tout ça, ce sont des conneries. Sauf que je suis tétanisé, paralysé par le besoin de savoir. Quitte à avoir foutu en l’air mes chances de passer une bonne journée, je préfère que ce ne soit pas en vain, je préfère avoir une réponse. « Ah tu veux une vraie réponse en plus ? » Incapable de bouger je l’observe, les bras le long du corps, le dos collé contre le montant de la fenêtre, le cou tordu dans sa direction. Je me fais l’effet d’un lâche, avec ma gorge sèche et mon incapacité à articuler le moindre mot. Mais Jo m’a toujours fait cet effet là, l’impression de n’être qu’un petit garçon. « Je passe une partie de mes nuits avec toi depuis trois semaines, quand est-ce que j’aurais le temps de coucher avec Micah Tomlinson ? » - « Quand est-ce que moi j’aurais le temps de me taper les groupies qui font la queue dehors ? » Nos interrogations ne sont pas bien différentes. Nos peurs non plus, sauf que moi, je ne passe pas mes journées - j’exagère - à titiller l’une d’elles sur les réseaux sociaux. Les échanges qui ont mis le feu à la poudre, Cassie me les a montrés : ils tenaient plus du flirt que d’autre chose, je ne suis pas idiot. « J’ai du talent, mais j’ai pas encore trouvé le moyen de me faire baiser par deux types différents au même moment sans qu'ils soient ni au même endroit ni dans la même pièce. Et tu l’as dit toi-même : j’ai une vie, j’ai pas le temps pour ces conneries. » - « T'as pas besoin de le prendre comme ça. » Sa vulgarité ne me choque plus, mais m’irrite puisqu’il est question d’elle et du fait qu’elle puisse ou ne puisse pas baiser avec quelqu’un d’autre que moi. Elle est prête à partir, je le sens une seconde avant qu’elle ne remette tous ses bijoux et récupère toutes les affaires qu’elle a abandonnées sur ma table de nuit hier soir. « Sérieusement, je me sens con. Arrête. » Arrête de faire un montage d’une question posée par un pauvre type qui se sentait démuni et qui se faisait un sang d’encre. Arrête de t’enfuir dès que les choses prennent une tournure qui te déplaît.

Bien sûr, une part de moi est soulagée d’entendre que je me suis fait des films, qu’il ne se passe rien entre Jo et l’acteur. Sauf qu’elle est effacée par le spectacle que j’ai sous les yeux : Jo qui ramasse les miettes de sa fierté pour partir sans que je ne sache quand elle reviendra. « C’est la seule question que tu voulais me poser, ou y a encore des trucs qui circulent sur les réseaux sociaux et que les autres candidats disent qui justifient que tu me prennes pour la reine des salopes ? » - « T’exagères là. » Agacé parce que je sens que la situation m’échappe, je hausse légèrement le ton. J’écrase ma cigarette dans le cendrier posé sur la rambarde de mon balcon, avant de me tourner entièrement vers la chanteuse. « Tu m’as rien promis. J’ai pas dit que t’étais une salope. » Je ne le pense pas, je ne l’ai même pas pensé quand j’ai sincèrement cru que les tabloïds disaient la vérité. « Je peux te faire notre historique sinon. T’auras l’air bien con quand je vais te dire qu’on s’est rencontrés quand je vivais encore ici et qu’on a dû se voir quoi, deux fois au cours des dix dernières années. » J’ai pas besoin que tu le fasses. Jo ne me laisse pas l’occasion d’en placer une, et je sens la colère gronder dans mon estomac. Je la connais, la frustration et le fait de perdre le contrôle la provoquent systématiquement. « Pour ce que ça vaut, je couche avec personne d’autre et je compte pas le faire. » Elle a contourné le lit. Elle va s’en aller. C’est la litanie qui se joue en boucle dans mon esprit. Alors en quelques pas, je parcours la distance qui nous sépare. J’enroule mes doigts autour de son bras avec un peu moins de douceur que je l’aurais voulu, mais pas assez fort pour la blesser. Je la retiens près de moi, parce que ça me fait flipper, l’idée que nous nous séparions sur une dispute. « Te barre pas. » Mon ton ordonne, mais mes yeux supplient. « T’as rien démenti… Tu voulais que je pense quoi ? » Dans quel état se serait-elle mise à ma place, elle qui m’a fait une scène pour Charlie alors qu’il ne s’était encore rien passé entre nous ? « Je veux que tu couches avec personne d’autre. Mais je savais ni comment te le dire, ni comment gérer le fait que tout le monde raconte que tu le faisais peut-être pendant tout ce temps. » Je m’y prends comme un manche. Mon seul espoir, c’est qu’il lui reste assez de tendresse pour moi pour ne pas claquer la porte et tirer un trait sur les dernières semaines. « J’aime pas les entendre le raconter. » J’aurais voulu que tu démentes, j’aurais voulu que tu cries haut et fort que tu m’appartiens parce que ça m’aurait gonflé de fierté. Bien sûr, je ne suis pas en position de le lui demander.





:sing: :
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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches MTtf4TM Présent
ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 24bfe89da55b6f605a82b8084279d0cf4d4f2291
POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
https://www.30yearsstillyoung.com/t48702-libre-riley-keough

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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyVen 10 Fév 2023 - 11:50




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

Un léger sourire accompagna la réflexion de Midas "Je sais gérer les questions." Ça, elle savait le faire, il suffisait de la voir en interview pour se rendre compte que son répondant avait cet avantage. Elle ne se laissait pas déstabiliser par aucun présentateur télé, par aucun pseudo-journaliste Jo, elle était plutôt bonne à ce jeu. Néanmoins, si elle s’arrêtait juste un peu sur la possibilité d’être pris tous les deux la main dans le sac, elle finirait par avouer que ça lui plaisait au fond que Midas reste son secret encore un peu. Au moins le temps de mettre des termes à ce qu’il se passait entre eux sans avoir le poids de l’impatience populaire se greffer à tout ça.
Rien ne leur était compté, surtout pas le temps, quand bien même il s’était étiré sur plusieurs années, ils avaient le droit de préserver cet aspect de leur relation sans pour autant en faire une affaire d’état. Ça ne voulait pas dire qu’elle n’était pas prête à crier sur tous les toits qu’une part de Midas lui appartenait, c’était juste qu’elle le partageait déjà bien assez avec tout un tas de monde pour apprécier qu’on leur vole quoique ce soit à propos d’eux. Et puis elle n’avait pas non plus envie qu’on l’accuse de profiter de la situation, de leur proximité induite par le concours, pour s’attirer les faveurs du public et tirer profit de son nom, de sa popularité. C’était une peur endormie, de se voir taxée de se servir de lui, cependant elle savait trop bien comment ça se passait, et parce qu’elle était celle qui avait tout à gagner à graviter autour de lui, elle était clairvoyante sur l’étiquette qu’on lui collerait. Si elle se foutait du reste, elle ne se foutait pas de ça Jo.

"Tu te satisfais vraiment de faire ce qu’on attend de toi ?" Ce n’était pas une question piège. C’était une simple conclusion tirée de la réponse qu’il lui avait accordé et qui la fit froncer les sourcils davantage lorsqu’elle le vit passer la main sur son visage. Jo se disait souvent que c’était eux qui avaient torts, de vouloir partager leur musique à grande échelle. Rien ne finissait par venir de leurs tripes, toutes leurs décisions étaient dictées par la volonté de grosses machines à faire le plus de blé possible. C’était cynique, mais il suffisait de quelques mois à peine dans ce milieu pour se rendre compte que ce n’était que business.
Si une certaine naïveté transparaissait dans son raisonnement immédiat, Jo n’était pourtant pas née de la dernière pluie. Elle avait beau connaître le fonctionnement de tout ça, ça restait cependant difficile à imaginer pour elle d’être le pantin de tout un chacun ; c’était exactement pour ça que sa carrière s’était vautrée, ne réussissant pas à placer les volontés d’autrui avant les siennes. Sans doute qu’elle n'aurait dû pas donner de conseils à Midas à ce moment-là finalement, elle était plutôt mal placée, néanmoins elle ajouta tout de même en haussant une épaule "Travailler sur quelque chose que tu subis pas, ça débloquera un truc. Parles-en avec eux, fais peser des trucs dans la balance. Profite de ton influence, ils ont aucun scrupules à le faire de leur côté." Si c'était aussi facile que ça, ta carrière n’en serait pas là Jo, s’entendit-elle penser, mais le baiser que Midas lui donna la détourna de l’acidité de ses propres réflexions avant que la situation n’échappe à son contrôle et qu'elle se retrouve à envisager de filer plus tôt que prévu.

Touché. Si elle n’avait pas été certaine que cette discussion était stupide, elle aurait souligné à Midas qu’elle ne l’avait pas accusé de coucher avec les groupies qui faisaient la queue dehors, mais qu’elle l’avait plutôt encouragé à le faire — c’était quoi son putain de problème vraiment ? Restait qu’elle savait pourquoi elle avait prêché le faux pour savoir le vrai ; pour qu’il lui dise qu’il ne comptait pas le faire, qu’elle avait l’exclusivité. Concrètement, qu’il retourne sa défense contre elle, ça la fragilisa sur ses appuis et lui fit réaliser qu’il était beaucoup trop doué pour contrer sa mauvaise foi, et que si elle détestait ça, ça ne la surprenait pas autant que ça. Ça ne l’empêcha pas de se refermer sur elle-même, prête à se tirer dans demander son reste parce que ce genre de conflits n’était pas sa spécialité, que si elle savait se défendre mieux que quiconque ne la défendrait jamais, chaque fois qu’ils se prenaient le bec pour des raisons en carton, elle avait l’impression d’être obligée de démontrer de la vulnérabilité et que c’était difficile à faire pour elle.
Et là encore, elle se sentit flancher sans pour autant battre en retraite, se faisant dire par Midas qu’elle n’était pas obligée de prendre les choses comme elle était en train de le faire "Et je dois le prendre comment ?" lui demanda-t-elle plus pour la forme, ses mains s'activant devant elle pour pointer pas grand-chose en particulier, alors qu’elle ajoutait dans une voix qu’elle entendit s’affaiblir bien qu’elle mettait tout son coeur à ne pas perdre la face devant ce qu’il l’accusait de faire "Dis-moi. Apprends-moi." Elle marqua une pause nette, se trouvant franchement conne de dire ce genre de choses. Seulement, elle ne partait avec aucune base saine Jo. Elle n’était pas la jeune femme fragile, aimante, bienveillante, patiente, dévouée et docile ; elle était solide, agressive, susceptible, impatiente, malicieuse et désobéissante, une belle combinaison de défauts qui ne l’aidaient pas sur une base quotidienne, mais qui formaient la personne qu’elle était et qu’elle resterait, quoi que son coeur faisait quand elle posait ses yeux sur le jeune homme à qui elle s’adressa de nouveau pour lui demander, sans doute avec moins de douceur qu’escompté, son regard maintenant le contact avec le sien "Apprends-moi à mieux prendre ce genre de trucs. Je sais pas le faire, j’ai pas ta patience."

Bien sûr qu’elle exagérait, elle ne savait faire que ça. Elle secoua la tête en passant sa langue sur sa sa rangée de dents du haut, ses yeux se détournant de ceux de Midas pour accrocher un coin du plafond de sa suite, les bagues qu’elle venait de renfiler pesant lourd au bout de ses doigts. Elle ne chercha pas à se défendre de réagir comme elle le faisait parce qu’elle était une drama queen, que ça faisait partie d’elle, et qu’à défaut d’avoir la volonté de ne plus en être une, elle avait au moins ce qu’il fallait pour coller au cliché et ne pas se démonter lorsqu’on remettait en doute ses intentions.
Le moment lui était servi sur un plateau, elle aurait pu mettre fin à cette dispute en se lançant dans une déclaration énamourée pour faire réaliser une fois pour toute au chanteur qu’elle avait entendu six ans pour vivre ce qui se passait entre eux maintenant, qu’elle avait bouilli d’expectative, d’anticipation et d'un désir dont il avait depuis très bien su jouir sans chercher à remettre quoi que ce soit en doute ; il fallait qu’on lui prête une aventure pour qu’il le fasse, balayant par la même occasion le fait que si elle avait miroité tout et son contraire à autrui durant des années, c’était simplement parce qu’elle avait espéré qu’il vienne la chercher. Elle ne le fit pas, et elle ne le ferait probablement jamais parce que c’était gênant et pathétique à admettre, de lui dire qu’elle s’était interdit de vivre dans l’espoir de — qu’il l’accuse de le faire précisément maintenant alors qu’elle avait enfin obtenu ce qu’elle voulait, ça heurtait non seulement sa fierté, mais ça remettait en cause son honnêteté à son encontre, et elle ne pouvait pas ignorer que ça lui faisait de la peine.

C’est pour ça qu’elle se prépara à s’en aller. Visant l’entrée de la chambre pour récupérer ses chaussures, elle comptait décamper pour mieux accuser le coup. Mais les doigts de Midas s’enroulèrent autour de son bras, et elle se sentit toupiller sur elle-même avant même de donner l’ordre à son cerveau de faire quoi que ce soit. Elle se laissa approcher de lui, elle se laissa convaincre aussi par l’intention qu’il mettait à lui parler alors qu’elle, elle n’avait qu’une idée en tête : le repousser.
Sauf que ses yeux suppliaient, et Jo n’était pas si forte que ça face à ce tableau en particulier. Elle cligna des paupières, fronça les sourcils et rétorqua dans la foulée, ne retirant pas son bras, comptant au contraire sur la douce pression qu’il exerçait sur sa peau pour s’ancrer dans le moment "Ça a pas importance pour moi, pourquoi t’aurais voulu que je démente quoi que ce soit ?" Pour les mêmes raisons que toi si t’avais été à sa place Jo. Elle secoua la tête pour ordonner à ses pensées de tourner moins vite et inclina doucement le visage sur le côté pour reprendre dans la foulée "Je vais pas démentir toutes les conneries qui se disent à mon sujet. Tu le fais toi ? T’as démenti les rumeurs d’idylles, de mariage, d’enfant, et tout le reste au cours des dernières années ?" Ses yeux marquèrent l’alternance entre ceux de Midas pendant qu’elle se disait que, de tous ceux qu’elle connaissait, elle était persuadée qu’il aurait été le seul à pouvoir vraiment comprendre pourquoi elle ne démentait rien. C’était une perte de temps, d’énergie, et avec Internet plus qu’avec la presse papier, c’était incontrôlable comme système. Elle marqua un temps juste pour déporter son regard ailleurs durant quelques secondes, et reprit pour lui dire avec franchise "Micah est important pour moi, mais j’en ai rien à foutre. Il a une copine en plus, il prendra le temps de démentir s’il tient à elle, c’est pas mon problème." Tous les deux, ils n’avaient encore discuté de rien à propos de ce qu’il y avait entre eux. Elle n’avait pas eu envie de lui laisser le sentiment qu’elle posait une option, quand bien même c’était le cas quelque part. Elle n’avait pas non plus eut envie d’alimenter des espoirs qu’il aurait démonté en finissant par lui dire que tout ça ne s’arrêtait qu’à ce qu’il se passait dans cette chambre depuis quelques semaines.

Ce qu’il ne fit pas, bien au contraire. Jo le fixa un instant, et puis elle baissa sa garde sans même s’en rendre compte, récupérant enfin son bras pour attraper son visage entre ses doigts de la main droite qui formaient un léger étau sur sa mâchoire comme elle le tenait par le menton. Ses yeux retrouvèrent résolument les siens quand, dans un soupir où le soulagement était perceptible, elle lui murmura avec un soupçon de fausse colère "Faut que t’arrêtes de faire ça, de ruminer quand t’as un truc à me dire ou à me demander parce que je le sens quand ça va pas." Et qu’en bonne pessimiste qu’elle était, elle s’attendait toujours au pire "Sérieusement, je prendrais mieux les choses si t’étais direct au lieu de constamment tourner autour du pot." Elle l’empêcha de parler juste avec sa phrase suivante, son visage se penchant doucement sur le sien pour que le bout de son nez creuse un effleurement bref près de celui de Midas, une grimace lui échappant en même temps "Je sais, c’est difficile de me parler." Ses mots, pas les siens — toujours est-il qu’elle s’accordait avec lui sur ça. Elle se redressa dans la foulée, ne lâchant pas son visage pour autant "Mais j’essaye d’y aller moins fort, et j’ai l’impression que c’est pas suffisant, que je te fais peur." A juste titre, inutile de revenir sur son incompétence en matière de délicatesse et de tolérance — elle entendait encore Charlie lui dire que c’était elle le dénominateur commun à tous ses problèmes relationnels, cette connasse "Et ça me rend dingue." finit-elle par lui avouer. Autant inspirer la criante chez les autres, ça la faisait rire, autant inspirer la crainte chez Midas, ça lui faisait remettre en perspective beaucoup trop de choses ; comme le fait qu’elle était bien la fille de son père par exemple, chose qui n’était pas facile à avaler quand on savait de quoi il était capable.
Elle se décida à lui lâcher les mâchoires juste pour prendre un temps de réflexion et s’arrêter sur ce qu’il ajouta ensuite ; elle ne mit pas bien longtemps à lui accorder sa pensée, les traits de son visage s’animant en même temps qu’elle parlait "On s’en fout de ce qu’ils racontent. Si t’en fais des sources fiables d’infos à mon sujet, on va vraiment avoir un problème." Si lui aussi commençait à croire tout ce qu’on racontait sur elle, qu’est-ce qu’il lui resterait exactement comme crédit ? "Je suis juste là, je peux répondre à toutes les questions que tu veux. Cherche pas de réponses dans les commentaires que je laisse sur les réseaux sociaux, c’est pas si sérieux que ça." Elle secoua la tête, un sourire si léger qu’il  sembla ne pas exister accompagnant le geste qu’elle fit dans sa direction quand elle passant ses bras sur ses épaules, et que se juchant momentanément sur la pointe des pieds pour marquer son dernier point sans avoir besoin de lever la tête, elle finit par lui dire enfin en fronçant le haut de son nez "Et je veux que tu couches avec personne d’autre non plus." C’était possessif comme formulation de phrase, mais il ne le lui reprocherait pas. Elle ne faisait que lui emprunter ses propres mots après tout.


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

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Midas Sterling
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la nuit des temps
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ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

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olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

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oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyDim 12 Fév 2023 - 10:55




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

« Tu te satisfais vraiment de faire ce qu’on attend de toi ?" » Le sujet est épineux, la réponse à cette question compliquée quand les choses pourraient être bien plus simples, si je ne tenais pas à tout ce que j’ai construit depuis ma sortie de l’émission en 2016. Non, je préfèrerais ne pas avoir à le faire. Oui, je joue pourtant au chien obéissant depuis des années sans songer à me rebeller. Non ce n’est pas qu’une question de tempérament puisque, même si j’ai toujours été le genre d’homme qui se laisse porter par le cours des choses plutôt que de chercher à l’infléchir, les raisons derrière mon inaction ne se limitent pas à ça. Je ne suis pas Olive, je ne suis pas Oscar non plus mais les enfants Sterling ont tous un point commun, dans une certaine mesure : la peur de l’échec. Moi, j’ai peur de perdre les faveurs du public. De perdre ce pour quoi je vis - la musique et ma carrière ont dépassé le stade de travail depuis bien longtemps, je mange musique, je dors musique et même lorsque je suis sous la douche, je pense à mon prochain album et mon incapacité de l’écrire - depuis maintenant plus de six ans. Je n’aime pas les inconvénients de mon statut de personnalité publique, mais je suis bien trop accroché aux avantages et, parmi eux, le fait que l’on m’écoute, moi et personne d’autre. Des jeunes traversent la planète pour assister à l’un de mes concerts, des centaines de milliers de personnes à travers le monde se disputent leur place dans les files d’attente virtuelle des billetteries en ligne en espérant pouvoir s’offrir une place, n’importe laquelle, pour me voir en live. Et c’est grisant, putain, ça l’est, je n’ai pas envie de voir tout ça s’effondrer. « Travailler sur quelque chose que tu subis pas, ça débloquera un truc. Parles-en avec eux, fais peser des trucs dans la balance. Profite de ton influence, ils ont aucun scrupules à le faire de leur côté. » J’ai tardé à répondre, perdu dans mes pensées, et Jo a interprété ça comme un silence définitif. Pourtant, j’avais l’intention de tenter de mettre des mots sur ce que je ressens, et je tente de le faire. « Ils savent ce qui marchent. Alors ouais, ça me fait chier de l’admettre, ça me fait chier de me brider mais… J’ai pas envie de tenter un truc différent de de me foirer. » Elle a suivi le chemin contraire, et c’est ce qui lui est arrivé. N’est-elle pas la mieux placée pour comprendre ce qui me retient ? « Mais t’as raison. » Je pousse un soupir, déjà à mi-chemin pour me redresser pour aller me griller une cigarette et aborder un autre sujet compliqué. « Ils en profitent peut-être un peu trop. » Songeur, je me fais la réflexion qu’elle a peut-être raison, au fond. Que peut-être n’y a-t-il aucun risque à tenter des choses différentes, tant que je n’opère pas un changement radical. Peut-être qu’une transition en douceur est possible. Peut-être.

La douceur en revanche n’a jamais été le cheval de bataille de Jo, pour le meilleur et pour le pire. « Et je dois le prendre comment ? Dis-moi. Apprends-moi. » Adossé à la fenêtre, je la regarde en tentant de peser l’ironie dans sa voix. Se fout-elle de ma gueule, ou bien est-elle réellement en train de me poser cette question ? Je connais trop Jo pour ne pas pencher vers la seconde option : la chose est trop surjouée aussi pour que je puisse penser qu’elle le pense vraiment. « Putain, c’est compliqué d’avoir une discussion avec toi, tu t’en rends compte ? » Jo ne laisse pas de seconde chance, elle interprète, sur-réagis et fait une esclandre. Elle prend des décisions radicales, pour se protéger, j’en suis conscient, parce qu’elle a mal, mais elle le fait. Aborder un sujet délicat avec elle, c’est risquer qu’elle vous explose entre les doigts et si je la comprends mieux que la majorité, je n’en suis pas moins démuni à chaque fois. « Apprends-moi à mieux prendre ce genre de trucs. Je sais pas le faire, j’ai pas ta patience. » - « Écoute. » Écoute ce que les autres ont à te dire. Je me voile la face sur beaucoup de défauts de la jeune femme et si j’étais capable de clairvoyance la concernant, je dirais qu’elle est égocentrique. Que lorsque ce genre de chose se produit, la seule chose sur laquelle elle se focalise, ce sont ses émotions, pas ce que traverse la personne en face et qui la pousse à livrer des choses déplaisantes aux oreilles de la brune. Mais je ne le suis pas, objectif. Je me borne à lui demander d’écouter avant de ramasser ses affaires, crier et abandonner. Ce serait, à mon sens, un bon début.  « Ça a pas importance pour moi, pourquoi t’aurais voulu que je démente quoi que ce soit ? » Parce que pour moi ça a de l’importance. « Pour pas qu’on te colle l’étiquette de briseuse de ménage, et que ta réputation en pâtisse ? » Il y a tout un tas de réponses à cette question et celle-là est la moins convaincante de toutes. Micah Tomlinson est en couple, certes, je ne le sais pas parce que je m’intéresse à la vie de l’ancien enfant star, mais parce que Cassie me l’a dit, entre autres informations. Mais prétendre que j’ai quelque chose à faire de la réputation de Jo, c’est des conneries. Je vois rouge parce qu’il existe des personnes qui pensent à l’instant même qu’elle est dans les bras d’un autre homme. « Je vais pas démentir toutes les conneries qui se disent à mon sujet. Tu le fais toi ? T’as démenti les rumeurs d’idylles, de mariage, d’enfant, et tout le reste au cours des dernières années ? » La vérité c’est que je laisse toutes ces questions à mon équipe de communication. Et je n’ai jamais eu quelqu’un à qui je tienne assez à mes côtés pour prêter de l’attention à ce qu’ils géraient ou non comme fausse information. Marley, c’était différent. C’était court, et il avait été acté que notre relation devait rester secrète, pour entretenir mon image de jeune célibataire d’abord, puis pour Posy. « Je les ai jamais entretenues, en tout cas. » Elle rajoute de l’huile sur le feu avec ses commentaires tendancieux, et elle est assez intelligente pour le savoir. Prétendre le contraire, ce serait se foutre de ma gueule et je détesterais ça. « Pourquoi tu les entretiens ? Tu te dis que ça va te donner de la visibilité pour l’émission ? » Et dans ce cas, pourquoi est-ce que moi et les rumeurs nous concernant ne suffisent plus ?

« Micah est important pour moi, mais j’en ai rien à foutre. Il a une copine en plus, il prendra le temps de démentir s’il tient à elle, c’est pas mon problème. » Il démentira s’il tient à elle. Sa remarque me percute, assez pour que je hausse les sourcils, pour que je lâche finalement son bras et l’observe sans rien dire pendant de longues secondes, incapable de faire autre chos. S’il a quelqu’un à qui il tient. Est-ce que j’exagère, lorsque je tire la simple et évidente conclusion que, de son côté à elle, ce n’est pas son cas ? J'entends à peine la première partie de sa phrase, qui m’aurait irrité en temps normal. Je n’entends qu’une déclaration : je ne déments pas puisque, de mon côté, je n’ai personne à qui je tiens. Nous ne nous sommes rien promis, mais je suis heurté par cette putain de phrase. Pour ne pas passer pour un con, je ferme ma gueule, je ne dis rien mais je serre la mâchoire.

Et elle prend mon visage entre ses doigts Jo. C’est à son tour d’effacer la distance qui nous sépare et d’approcher son visage du mien. Son contact me tranquillise un peu. Mais il n’efface pas ce qu’elle a dit pour autant. « Faut que t’arrêtes de faire ça, de ruminer quand t’as un truc à me dire ou à me demander parce que je le sens quand ça va pas. » Je laisse échapper un rire jaune, dépourvu de réel amusement ou de joie. « Sérieusement, je prendrais mieux les choses si t’étais direct au lieu de constamment tourner autour du pot. » Je la lui ai donné la réponse, il y a quelques minutes : c’est difficile de parler avec elle. Et alors que je relève mon regard bleu dans le sien, elle semble lire dans mes pensées. « Je sais, c’est difficile de me parler. Mais j’essaye d’y aller moins fort, et j’ai l’impression que c’est pas suffisant, que je te fais peur. Et ça me rend dingue. » - « Tu surréagis Jo. Et c’est pas parce que je te connais mieux que la moyenne, que je le sais, que c’est plus agréable pour autant. » Ma main trouve la sienne sur ma joue, et mes doigts recouvrent les siens. « Mais moi, j’ai été maladroit, je suis désolé. » Je suis bien plus doué pour présenter des excuses que pour accuser ou, tout du moins, parler des comportement et des phrases qui me blessent. J’ai appris à être poli, j’ai appris à être discret, j’ai appris à traiter les femmes comme des princesses, peut-être un peu trop.

« On s’en fout de ce qu’ils racontent. Si t’en fais des sources fiables d’infos à mon sujet, on va vraiment avoir un problème. » Je laisse un grognement m’échappe et, si j’ôte sa main de ma joue, je la garde toutefois dans la mienne. « Je suis juste là, je peux répondre à toutes les questions que tu veux. Cherche pas de réponses dans les commentaires que je laisse sur les réseaux sociaux, c’est pas si sérieux que ça. » - « Ça l’est, sérieux. » Les mots, qu’ils soient prononcés à voix haute ou bien couchés sur un clavier, ont le même sens. Badiner avec quelqu’un, ça a du sens, ça en a pour les médias et le public, mais ça en a aussi pour moi, même si je me sens bien trop con pour l’admettre. « C’est pas parce que tu décides que c’est des bêtises et que c’est pas important que c’est le cas. » Je suis un garçon droit. De la drague, même en ligne et sur le ton de l’humour, reste à mes yeux de la drague. Peut-être suis-je trop vieux jeu. Peut-être suis-je trop têtu. « Et je veux que tu couches avec personne d’autre non plus. » Bien sûr que ça, c’est agréable de l’entendre. J’aurais préféré qu’elle m’affirme qu’elle n’a envie de coucher avec personne d’autre, mais je ne suis pas idiot : Jo n’est pas le genre de femme qui sait parler avec son coeur. Ce qu’elle fait là, c’est beaucoup, pour elle. Ce qu’elle fait là, c’est précieux et je le reconnais même si j’ai mal au cœur. Il démentira s’il tient à elle. Je tente de chasser mes idées noires et de me secouer les puces. « C’est ton jour de chance alors, parce que j’ai pas l’intention de le faire. » J’esquisse un sourire, avant de passer mes mains autour de sa taille. « Je suis soulagé que ce soit faux. » Les rumeurs. « J’aime toujours pas ça, mais je suis soulagé que ce soit faux. »





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Jo Carter
Jo Carter
Les lauriers factices
Les lauriers factices
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ÂGE : âge fixé à 27 ans (03.11) et c'est pas la peine de chercher sur internet pour connaître son année de naissance. trouve-toi une vie
STATUT : plus de où, quoi, comment, depuis quand au sujet de sa relation avec midas : c’est officiel, assumé, le peuple peut respirer
MÉTIER : chanteuse à suivre, grande gagnante (plus ou moins légitime) de la version all star de l’émission qui l’a fait connaître il y a huit ans : the x-factor australia (25 mars 2023). son contrat avec sony music australia vaut $1000000, autant dire qu’elle a plutôt intérêt à se donner — et c’est le cas, son premier album est sorti le 15 mars 2024, presque un an après son pseudo-sacre, suite du succès mondiale de son duo avec midas, lui récompensé par un grammy award
LOGEMENT : son adresse fixe est toujours au #421 carmody road, toowong, là où se situe la petite maison cosy de sa grand-mère, ava. elle n’y est quasiment plus, victime de son succès et de ses voyages incessants, bringuebalée d’un fuseau horaire à l’autre, d’une chambre d’hôtel grand luxe à une autre
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POSTS : 5929 POINTS : 1200

TW IN RP : langage cru et grossier, mention de violence paternelle, mention de maladie d'alzheimer, surexposition médiatique (j'adapte mes rps sans problème, contactez-moi si besoin)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : 6éme enfant, unique fille des carter ◦ chanteuse née, pianiste acharnée, recrutée jeune pour faire partie du groupe managé par son père baptisé six times motown ◦ diva sur les bords ◦ eyebrows on fleek, lipstick classic ◦ finaliste 2016, gagnante 2023 de the x factor aussie; magouilles et trahison++++ ◦ proche de sa mamie malade d'alzheimer, ruinerait la vie de quiconque oserait lui faire du mal ◦ trop petite (1m54), compense avec son trop gros ego ◦ estime mériter mieux que tout le monde, c'est important d'y croire ◦ pas la peine de lui donner ton prénom #dontcare ◦ pro du bingo ◦ jazz 4ever
CODE COULEUR : #A4508B
RPs EN COURS :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 8a0q
MINE ◦ when i hear you sing it gets hard to breathe can't help but think every song's about me and every line every word that i write you are the muse in the back of my mind don't want to ask about it 'cause you might brush it off i'm afraid you think that it means nothing at all i don't know why i won't admit that you're all i want(mine #10) don’t know when i learned to play with matches Uhny
CARSON ◦ so now we play our separate scenes now he's in your bed and layin' on my chest now i'm in my head and wonderin' how it ends ends ends
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 9b290b3add35d37c25ed651d6384b72c2f79ee59
JOSEEGAN ◦ girl just come 'round mine tonight i've got wine and make-up wipes i’ll hold you we can put the kettle on talk 'bout how he's not the one i told you but i'm never gonna say i told you so
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches F37857debdddafb7e52743ecb06156bbd31b585c
HARTER ◦ don't cry no more for me don't waste your time convincing me that maybe someday we'll get it right cause we never could i wish that we would but we won’t so just don't

midas#29laurie#8nicholas#21micah#8mabel#6scarlett#3olive#7micah#5 (fb 2015)laurie#6 (fb 2009)

RPs EN ATTENTE :
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 09a4a9589497b6d8825fa1e0b65d4a38abdb10d5
LEE ◦ he played the drum in the marching band his parents cared more about the bible than being good to their own child he wore long sleeves 'cause of his dad and somehow we fell out of touch hope he took his bad deal and made a royal flush don't know if i'll see you again someday but if you're out there i hope that you're ok (scénario libre)
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7fc4cfbb755fc3726076c43f86fcb3f27070217a
PEGGY ◦ there ain't no words to the song i'm here to sing no there ain't no words to the song i came to sing oh i just don't know the words to tell you what i mean and i'm at the end of my mind trying to do the right thing (scénario libre)

RPs TERMINÉS : cf. fiche de liens
AVATAR : alexa demie
CRÉDITS : ©ssoveia (av, gifs profil, sign, mine, carson, joseegan, harter) ◦ ©dejjavus (gif lee), ©blondewhoregifs (gif peggy) ◦ ©astra (code) ◦ ©loonywaltz (userbars)
DC : evelyn pearson & mavis barnes
PSEUDO : ssoveia
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/02/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t28932-jo-it-s-a-me-myself-kinda-attitude
https://www.30yearsstillyoung.com/t29075-jo-you-know-i-m-no-good
https://www.30yearsstillyoung.com/t42752-jo-carter
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyDim 12 Fév 2023 - 18:17




don’t know when i learned to play with matches
Jo Carter & @Midas Sterling (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867 (crédit gif/crackshipandcrap)

Avec des mots clairs, Jo parvenait à comprendre pourquoi Midas était si réfractaire à avouer que c’était les barrières que lui mettaient son label qui l’empêchait de retrouver un semblant d’inspiration. Ça paraissait évident, mais l’entendre dire de vive voix, ça avait quelque chose de touchant qui la fit marquer un temps d’observation de son profil. Elle savait que les artistes comme lui, malgré leur carrière, n’étaient pas imperméables au doute, bien au contraire d’ailleurs, et parce qu’il avait su faire des concessions à ses débuts, rentrant dans le moule pour mieux se faire sa place, ce n’était pas anormal qu’il redoute autant le virage qu’il avait envie de prendre aujourd’hui.
La vérité, c’était qu’elle, de son côté, elle le pensait capable de tant de choses que ça la lui faisait parfois oublier qu'il n’était pas invincible, et que comme la majorité des idoles, sa tête pouvait sauter à tout moment à partir de celui où il se montrerait trop audacieux, trop indépendant surtout. Continuant à le regarder sans rien dire de plus, Jo admira secrètement le soin qu’il prenait à peser le pour et le contre quand, de son côté, elle n’avait été bonne à n’en faire qu’à sa tête. Elle pouvait bien avoir une opinion sur la question, elle pouvait aussi tenter de le raisonner en lui faisant réaliser que sa carrière ne faisait que commencer, qu’il avait le choix de la faire aller dans un sens comme dans un autre pour mieux réussir à se l’approprier, si elle était honnête avec elle-même, elle l’encouragerait en définitive à ne rien prendre de ce qu’elle lui dirait pour argent comptant. Elle n’était clairement pas la mieux indiquée pour savoir comment prendre soin de sa carrière.

Change de disque, Midas, songea-t-elle en l’entendant lui dire de nouveau que c’était compliqué de lui parler. ll avait raison, elle ne franchirait pas cette barrière de son ressenti pour le faire changer d’avis, même si elle essayait sincèrement de savoir quoi faire exactement pour mieux gérer ce qu’il se passait là. Écoute, c’est ce qu’il lui conseillait de faire, et si ça lui fit expulser un léger rire par le nez, elle secoua la tête pour plus facilement accepter que ce n’était pas sa meilleure qualité, c’était un fait. Justement parce qu’elle ne se sentait pas souvent capable de gérer les choses qu’on lui disait, elle préférait passer outre pour ne pas avoir à en souffrir, et ça passait par l’action même de ne pas écouter. C’était un moyen comme un autre de garder le contrôle, et c’était confortable de réussir à chaque fois à obtenir le dernier mot de cette façon. Sauf que depuis quelques années maintenant, elle s’était enfermée dans cette routine qui consistait à ne pas se laisser atteindre par quoi que ce soit, pas même par ses propres émotions, et ça ne l’aidait absolument pas à y voir clair. C’était même tout l’inverse, ça l’ostracisait, ça la rendait imbuvable et inaccessible sur bien des critères qu’elle-même ne serait pas par où commencer pour en faire une liste détaillée. Midas savait parfaitement où viser pour qu’elle se remette en question, et si elle n’avait pas déjà conscience du pouvoir qu’il avait sur elle, elle aurait sauté sur l’occasion pour le lui retirer en refusant d’aller plus loin dans la discussion, peut-être même en coupant court à absolument tout ce qui s’était passé ces derniers temps entre eux.
Seulement, c’était trop tard, même elle était capable de l’admettre sans chercher à le nier plus que de raison ; et puis si elle battait en retraite, ça lui laisserait l’occasion d’affirmer de nouveau qu’elle était incapable d’écouter, et plus que préserver ses propres émotions, faire dans l’esprit de contradiction, c’était sa spécialité, même si ça ne faisait que mettre en avant sa putain de mauvaise foi.

"T’es passé de j’ai jamais dit que t’étais une salope à t’aurais dû démentir pour pas qu’on te colle l’étiquette de briseuse de ménage super rapidement quand même. C’est quoi la putain de différence ?" Son bras récupéré, elle le regarda avec le genre de sourire un peu goguenard accroché au visage, mais qui disparut assez vite pour que ses traits changent en même temps que son rythme cardiaque à l’instant où il la plaça dans le rôle de celle qui entretenait des rumeurs — ça faisait mal. D’autant que ce n’était pas le cas, Jo s’en cognait de la rumeur "Je l’entretiens pas. Je me suis toujours adressée à lui de cette façon-là, en public ou en privé, et je continuerai de le faire, espère pas le contraire." le prévint-elle. Micah n’était pas le seul. S’il voulait qu’elle lui fasse une liste de ceux avec qui elle flirtait en permanence, il tomberait de haut parce qu’elle le faisait même avec les petits vieux qui tournaient autour de sa grand-mère. S’il n’avait pas saisi qu’avec elle, c'était sur les rares moments où elle se montrait pudique et délicate qu’il fallait se baser pour dénicher ses vraies accointances, elle ne pouvait définitivement rien pour lui.
Elle reprit, faisant mine de ne pas s’être interrompue "On est amis, putain.  Je l'ai rencontré quand j’avais même pas vingt ans. On fonctionne comme ça, ça va pas plus loin que ça." Et qu’il puisse être aussi certain du fait qu’il y avait derrière ses échanges avec Micah quoique ce soit de calculé, qu’il ose ouvertement lui poser la question qui plus est, arguant qu’elle le faisait pour gagner en popularité durant le concours, ça la blessa pour de bon. Ce n’était pas la première fois qu’il lui soupçonnait des travers de manipulatrice. Jusqu’à un certain stade, elle n’avait pas les épaules assez larges pour supporter qu’il l’insulte avec autant de subtilité. Certes, elle-même n’avait pas son pareil pour insulter, elle avait au moins le mérite de le faire sans faire passer ses invectives pour des putains de prédications. Fort, Jo sentit sa mâchoire se crisper, et son doigt se pointer très brièvement sur lui quand elle lui répondit, son ton revêtant le signal de la mise en garde presque menaçante "Sois pas insultant, c’est vraiment pas digne de toi, Midas. Pour qui tu me prends au juste ?" Au fur et à mesure, elle avait l'impression que l’image qu'il avait d'elle devenait de plus en plus claire, et elle n’avait rien à voir à celle qu'il avait dépeint dans ses chansons. Elle aurait préféré qu'il se cantonne à celle-là, puisqu’au plus ils passaient du temps ensemble, plus elle avait l’impression que sa pensée se révélait pour la frapper chaque fois un peu plus fort, et lui faire réaliser que son opinion d’elle n’était pas aussi bonne que ça.

Elle aurait pu partir maintenant. Mais elle ne le fit pas, juste parce que ce qu’elle vit passer dans son regard la troubla assez pour qu’elle sache que c’était quitte ou double, et qu’effectivement, elle était déjà trop impliquée pour vouloir jouer avec la menace d’une nouvelle guerre froide entre eux. Elle prit finalement son visage entre ses mains, elle accepta aussi de laisser juste un temps de côté l’idée qu’il la croyait capable de tant de choses malhonnêtes et malsaines qu’elle se demandait ce qu’il pouvait bien voir en elle pour autant s’accrocher alors que ça semblait si pénible au fond de le faire. Et quand il s’excusa, elle lui lâcha le visage sans repousser la main qu’il garda dans la sienne, mais en continuant de serrer si fort les mâchoires qu’elle sentit ses dents grincer. Inutile de préciser qu’elle ne s’excusa pas de son côté.
Au lieu de quoi, elle se força à ne pas lui faire remarquer que c’était bon dans les deux sens et que s’il jugeait ses commentaires sur les réseaux sociaux comme étant sérieux, ce n’était pas parce que c’était son avis que c’était une vérité immuable pour autant. Affrontant son regard avec résolution pour donner le change sans ouvrir la bouche et rester maîtresse de ce qu’elle sentait gonfler dans sa poitrine et qui n’était pas agréable, c’est quand elle passa ses bras sur ses épaules, effleurant sa nuque du bout des doigts après avoir fait glisser ses mains sur lui durant un instant trop court, qu’elle opina à ce qu’il ajouta sans qu’elle, elle ne se sente vraiment soulagée que les choses aient été mises à plat de cette façon-là. Le sentiment était doux-amer — plus amer que doux, si elle devait être honnête —, elle n’arrivait pas passer outre le fait qu’il eut remis ses intentions sur le tapis, qu’il trouve ça bon de le faire en la dépeignant de la façon dont il l’avait fait, et la boule nerveuse qu’elle sentit soudain se former dans sa gorge, elle la ravala tout rond lorsqu’il lui admit que ça le soulageait que tout soit faux finalement — jusqu’à la prochaine fois, c’est pour ça qu’elle lui dit enfin, prenant sa décision sans chercher à savoir si c’était ça qu’il était bon de faire ou pas "OK. Je vais faire quelque chose pour calmer tout ça." Ça lui arrachait la gueule de le dire, elle ne prétendrait pas le contraire pour faire rutiler l’ego du chanteur, encore qu’elle aurait pu lui rappeler de nouveau que, jusqu’à il y trois secondes à peine, aucun d’eux ne savaient véritablement quoi faire pour définir précisément ce qu’il y avait entre eux.
Elle ajouta, ses yeux ne quittant pas les siens "Je sais pas encore comment, je vais en discuter avec le prod et leur demander de m’appuyer pour que ça fasse le tour des plateformes. Je suis pas encore rodée à l’exercice des communiqués de presse, mais je vais faire quelque chose." Je t’ai écouté, aurait-elle pu l’aider à souligner, mais à la place, et ce pour marquer définitivement son envie de prendre juste un peu de distance pour se donner le temps de penser droit, elle retira avec les siennes les mains que Midas avait passé autour de sa taille, et puis elle repoussa une mèche de ses propres cheveux en haussant une épaule et en précédant ses nouvelles paroles par un profond soupir qui fit vibrer sa poitrine "Est-ce que je dois mentionner ce qui se passe entre toi et moi ?" Ou ce serait entretenir quelque chose pour me donner plus de visibilité pour l’émission ? se retint-elle d’ajouter, faisant plutôt planer la possibilité d’une officialisation dont elle ne voulait pas au demeurant. Pas parce qu’elle n’assumait rien, ou qu’elle ne voulait rien de tout ça — elle était prête à parier qu’elle en crèverait si ça s’arrêtait maintenant. Mais justement parce qu’elle craignait profondément ce qu’il avait remis en doute tout à l’heure ; sûrement sans le savoir, il avait appuyé exactement là où elle avait su sans le verbaliser que ça ferait mal. Et ça faisait mal, c’était certain.


    cause i'm a real tough kid, i can handle my shit, they said "babe, you gotta fake it till you make it" and i did. lights, camera, bitch, smile, in stilettos for miles, he said he'd love me for all time. but that time was quite short, breaking down i hit the floor, all the pieces of me shattered as the crowd was chanting "more".

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Midas Sterling
Midas Sterling
la nuit des temps
la nuit des temps
(mine #10) don’t know when i learned to play with matches 7vHkInU Présent
ÂGE : 31 ans (15.10.1992) - balance ascendant lion
STATUT : Les tabloïds leur inventent des ruptures à la pelle et autant de réconciliations mais, la vérité, c'est qu'il est heureux de pouvoir qualifier Jo de petite-amie et de ne plus avoir à se cacher.
MÉTIER : Popstar, auteur-compositeur-interprète, gagnant 2016 de l'édition australienne de The X-Factor & détenteur de trois Grammy Award : un premier en 2018 et deux en février 2024. Ces récompenses ont entérinés le statut de "meilleur album de sa carrière" de "Yours", quatrième album studio intime et personnel sorti en septembre.
LOGEMENT : 340 Beachcrest road à Bayside. Si ce n'est pas encore la campagne, il s'est toutefois éloigné de l'agitation du centre ville.
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POSTS : 1589 POINTS : 260

TW IN RP : ras.
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : enfant du milieu d'une fratrie de trois, déprécié par ses parents pour ses choix de vie peu conventionnels › garde l'existence de sa fille secrète pour la protéger des médias › fait pour la scène et la musique, mais pas pour la célébrité › accumule les disques de platine en australie comme à l'étranger, il s'est produit sur les plus grandes scènes du monde entier › fan de rock'n'roll des années quatre-vingt mais cantonné à la pop commerciale par son label › joue de la guitare (beaucoup) et du piano (un peu) › père de Posy depuis le 2 février 2018
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RPs EN COURS :
(04)
amos #4olive #7cassie #4jo #29


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mine #29 ☆ i think she knew what she was doing getting into my car outside Amoeba Music or the standard bar. independent when i met her, now she's my only medicine. when it gets quiet, i can hear her mind race. she could be the mona lisa if the mona lisa had a prettier face. this could be heaven if heaven was an actual place. ☽ 1234567891011121314151617181920212223242526272829

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olive #7 ☆ hey sister, know that water's sweet but blood is thicker. oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do. what if I'm far from home ? oh brother, i will hear you call. what if i lose it all ? oh sister, i will help you out.

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missie #4 ☆ don't ever say it's over if she is breathin'. racin' to the moonlight and she is speedin'. she's headed to the stars, ready to go far, she's star walkin'. on the mission to get high up, she know that she's gonna die reachin' for a life that she doesn't really need at all.

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sterlinoramos #4 ☆ stolen dreams took our childish days, still ain't nothin' changed, now we're grown. we're still young, still got our mindless ways and our timeless phase, kickin' songs.

RPs EN ATTENTE :
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harleen (scénario libre) ☆ all this time I've spent with you, all that we've been through. all this time I've spent with you, i am tied to you. a year away, a year alone. the tears have fallen but we have grown. the sun will rise, the seasons change, and here we are. a year has passed, Our children grow and in their eyes, i see your soul.

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oscar (scénario libre) ☆ when we were young we were the ones, the kings and queens oh yeah, we ruled the world. we smoked cigarettes, man, no regrets, wish i could relive every single word. we've taken different paths and travelled different roads.

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens.
liste des conversations téléphoniques.

― statistiques RP ―
2024 ☆ 20232022

AVATAR : Tom Blyth
CRÉDITS : sooveia (avatar & gif profil), blondewhoregifs (gif jo), plumegifs (gif harleen), harley (gif olive) keetika (gif cassie), gifsbymel (gif sterlinor) & blondewhoregifs (gif oscar)
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PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 17/08/2022
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Message(#) Sujet: Re: (mine #10) don’t know when i learned to play with matches (mine #10) don’t know when i learned to play with matches EmptyVen 17 Fév 2023 - 16:38




Don’t know when I learned to play with matches
Midas Sterling & @Jo Carter (mine #10) don’t know when i learned to play with matches 873483867

« T’es passé de j’ai jamais dit que t’étais une salope à t’aurais dû démentir pour pas qu’on te colle l’étiquette de briseuse de ménage super rapidement quand même. C’est quoi la putain de différence ? » - « Me fais pas dire ce que j’ai pas dit. Je te parle d’image publique. Alors je sais que t’imagines que t’es au dessus des règles du milieu dans lequel on bosse, mais tu me demandes pourquoi tu démentirais, je te réponds. » Finalement, au-delà de ma jalousie évidente et inavouée, c’est encore une fois le côté enfant capricieuse de la brune qui nous met dans cette situation. Jo estime qu’aucune règle ne s’applique à elle, qu’elle peut faire exactement ce qu’elle veut quand elle le veut et ça me rend fou, moi qui n’ait jamais osé m’opposer à rien. Peut-être que j’exagère. Peut-être que c’est moi cette fois, qui fait des montagnes de pas grand-chose, mais c’est bien plus simple de tout mettre sur l’inconscience de la brune que d’avouer que je ne suis au final qu’un mâle lambda, sujet aux affres de la jalousie. « Je l’entretiens pas. Je me suis toujours adressée à lui de cette façon-là, en public ou en privé, et je continuerai de le faire, espère pas le contraire. » - « J’espère rien du tout. Personne te fera faire ce que t’as pas envie de faire, c’est très clair Jo. » Colérique lorsque je réalise qu’une situation échappe à mon contrôle et que tout explose sans que je ne l’ai vu venir, je ne déroge pas à la règle aujourd’hui. Est-ce trop demander, un peu de considération pour moi au regard de ce qu’il se passe entre nous ? Nous ne sommes pas officiellement en couple - pas encore, pas officiellement ou autre je n’en sais rien - mais n’est-ce pas trop espérer, qu’elle réalise qu’il faudra à un moment qu’elle fasse un pas vers moi si elle aspire à une relation équilibrée ? « On est amis, putain.  Je l'ai rencontré quand j’avais même pas vingt ans. On fonctionne comme ça, ça va pas plus loin que ça. » - « Je t’ai juste posé la question. J’ai le droit de te poser la question putain, non ? » Ne m’a-t-elle pas sauté au cou lorsqu’il était question de Charlie ? Certes, je m’y suis certainement mal pris. Mais il faut savoir, soit elle veut que j’enrobe tout et que je prenne des pincettes avec elle, soit elle préfère que je sois direct et que j’arrête de tourner autour du pot. « Sois pas insultant, c’est vraiment pas digne de toi, Midas. Pour qui tu me prends au juste ? » Je bats des cils, et porte ma main à mes tempes pour me les masser en soupirant. Faire ça, c’est peut-être agaçant mais c’est une alternative à un dérapage que je regretterais. Parce que je regretterais, si je m’emportais simplement parce que la situation m’échappe, comme je le fais souvent. Je le regretterais parce que Jo compte bien plus pour quoi que si elle était une fille avec laquelle je m’amuse de temps en temps. Pour elle, je tente de chasser mes mauvais réflexes et j’aimerais qu’elle essaye d’en faire autant.

Peut-être essaye-t-elle d’en faire autant ?

Et ce qui est sûr, c’est que ses doigts sur ma nuque sont un bien meilleur calmant que toute tentative autonome de redescendre en pression. Alors il n’effacent pas ce qu’elle a dit - ou ce que j’ai entendu et compris - à propos de Micah et de sa petite amie. Ils n’effacent pas les conclusions - trop faciles en enfantines, certes - que je tire à ce sujet. Mais ils me ramènent à elle, assez pour que je m’adoucisse, assez pour que je m’excuse pour la façon dont j’ai abordé les choses et ma maladresse, assez pour je ne lui dise pas de se tirer, si de son côté elle n’a personne à qui elle tient. « OK. Je vais faire quelque chose pour calmer tout ça. » Je la regarde dans les yeux, mais je n’y trouve pas ce que j’aurais dû y trouver pour aller avec ses mots. Je ne trouve pas d’abnégation, je ne trouve pas de compréhension, je ne trouve pas de vraie volonté de faire un pas vers moi et, au contraire, j’ai l’impression de lui forcer la main. Et ça, ça me laisse un sale goût dans la gorge. Une amertume que j’ai du mal à refouler, et donc que j’aurai du mal à masquer. « Je sais pas encore comment, je vais en discuter avec le prod et leur demander de m’appuyer pour que ça fasse le tour des plateformes. Je suis pas encore rodée à l’exercice des communiqués de presse, mais je vais faire quelque chose. » Je pourrais y voir la peur de me perdre. Je pourrais y voir une vraie envie de mettre les choses au clair. Mais quand Jo rajoute une dernière phrase qui sent presque l’ironie et le sarcasme, quand elle attrape mes mains pour les détacher de sa taille, je ravale ma bile et je secoue la tête en soupirant. « Est-ce que je dois mentionner ce qui se passe entre toi et moi ? » Je l’observe un instant, blessé qu’elle puisse voir dans ma démarche une tentative de brusquer les choses ou de lui forcer la main. « Tu fais ce que tu veux à ce sujet. Ça, là - » D’un geste vague de la main, je nous désigne tous les deux pour signifier que je fais allusion à la situation dans son ensemble, à la conversation dans son ensemble. « - c’est pas une combine pourrie pour te forcer la main à faire quoi que ce soit. » Elle n’est pas prête pour ça et son image dans le concours en pâtirait : elle passerait pour une arriviste qui tente de se faire une place au soleil à mes côtés et je sais qu’elle n’est rien de ça. Rapidement, j’enfile un jean et un t-shirt. Puis, sans brusquerie, je passe une main autour de son cou pour l’attirer contre moi, déposer un baiser sur son front et la relâcher. « T’as besoin de réfléchir. Je comprends. » Et moi, j’ai besoin d’exorciser cette conversation désagréable dans la musique. Alors, sans un mot, je ramasse ma guitare, mon carnet de note et un crayon, avant de l’observer, sans trop savoir quoi dire, sans trop savoir quoi faire. « Je vais aller aux studios. » Ceux de la Fox, là où les primes et interviews sont tournés. Moi, j’espère simplement trouver une salle vide avec une bonne acoustique, à défaut d’un studio de musique professionnel et de l'acabit de ceux que je connais. « Tu peux me rejoindre si tu veux. T’es pas obligée non plus, encore une fois… » Je passe une main dans mes cheveux, avant d’ajuster la bride de ma guitare. « Je te force pas la main. » Mais je ne la repousse pas, et je n’ai pas envie qu’elle se foute ce genre d’idée dans la tête.





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