| | Auteur | Message |
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ÂGE : (vingt-huit ans) avec la trentaine qui approche bien trop vite. SURNOM : (margot) margaret de ton vrai prénom, mais personne ne t'appelle comme ça STATUT : (célibataire) c'est pas faute de tomber amoureuse de la bonne personne bien trop souvent, mais ça dure jamais. MÉTIER : (autrice) bien connue, assez pour que tes oeuvres soient en vue d'être adaptées. POSTS : 33 POINTS : 0 TW IN RP : infidélité, homophobie parentale. TW IRL : suicide, idées suicidaires. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. CODE COULEUR : #6667ab AVATAR : arienne mandi. CRÉDITS : poesiescendrees (avatar) harley (gif) PSEUDO : dday, audrey. INSCRIT LE : 08/04/2024 | (#)Ven 19 Avr 2024, 21:47 | |
| full circle @mac sutherland & Margot Imani
T’as l’impression que la journée ne finit plus de finir. Rien ne va, t’as du mal à rester concentrée dans tes rencontres et à assimiler quoi que ce soit que l’on te raconte. Il faut dire que t’es hors de ton élément, loin de la sureté de tes textes et des pages blanches. Pour certains, il n’y a rien de pire que le vide représenté par une telle chose, pour toi ? Tu prendrais mille page blanche plutôt que toutes les discussions et argumentations au sujet de l’adaptation de ta série. T’es terriblement contente d’avoir cette chance, cette opportunité d’amener ta série dans une autre dimension, mais parfois ça te dépasse au plus au point. C’est le cas cette fois-ci alors que tu songes à te frapper la tête contre le mur le plus proche jusqu’à ce que tu ne puisses plus penser à rien. Tu ne t’attendais pas à devoir expliquer à un producteur à quel point l’histoire queer est intégrale pour l’histoire si tard dans le processus. Et pourtant t’as du le faire, écoutant tous les commentaires idiots de l’homme comme si tu allais changer d’avis parce que supposément que ça allait faire fuir les quelques incels qui, de toute façon, n’auraient pas regardé le film. Ça t’exaspère au plus au point mais en même temps tu ne peux pas complètement les envoyer promener.
La vérité c’est que t’aurais du demander à Mac de t’occuper de cet appel, mais il y a toujours une part de toi qui veut être indépendante. Vos rapports ont beau s’être améliorer depuis l’année dernière, tu ne peux quand même pas t’empêcher de vouloir les choses par toi-même. T’as toujours aimé être indépendante, autonome, un des nombreux souvenirs de la pression parentale. Puis bon, au-delà de la propension habituelle, t’as toujours un peu de mal à lui demander directement quelque chose. Oui, tout ça malgré qu’elle a mené ta carrière bien plus loin que t’aurais pu le faire par toi-même. Ce n’est certainement pas parce que tu es trop têtue pour ton propre bien que tu es logique. Ce serait pratique, mais malheureusement, t’es un trop plein d’émotions qui prend le dessus. C’est bien pour ça que t’arrives pas à tourner la page vis-à-vis de certaines personnes de ta vie - comprendre ici Spencer que t’arrives toujours pas à voir en peinture. Enfin, le cas de la blonde est un problème minime en comparaison de la montagne de choses dont il faut que tu traites pour le film.
Et surtout, rien en comparaison de la petite bulle de panique qui vient grossir dans ta poitrine. Tu te connais, tu sais que t’as repoussé la chose un peu trop longtemps, que t’as ignoré des signaux très évident de ta fatigue. C’est le fait d’être hors de ta zone de confort, de tenir énormément à ta trilogie. Il faut bien que ça explose un moment donné. T’aurais juste préféré que ce soit dans le confort de ton loft plutôt qu’au bureau alors que tu dois encontre discuter avec les scénaristes du film. Tu penses d’ailleurs que c’est pour cette raison que la porte de ton bureau s’ouvre. « I’m busy. » Ta voix semble ferme, mais quelqu’un qui te connait pourrait remarquer les vagues tremblements le signe que le calme ne règne pas chez toi dans ce moment précis. Raison pour laquelle tu te referme un peu plus sur toi-même lorsque tu reconnais la tête qui passe dans ton bureau. « Mac, it’s really not the time. » Parce que bon, mine de rien, elle n’est pas ton premier choix pour être vulnérable. Votre ‘nouvelle’ amitié n’en est pas là. |
| | | ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1160 POINTS : 100 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
CAM you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.
NAT ça vieng
WINX CLUB tous ceux qui survivent obtiennent un A
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.
daisy#1 -- marceline#4 -- spencer#20 -- margot#3.
uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives -- spencer - ua fwb -- spencer - ua vampires -- spencer fb#19. RPs TERMINÉS : spencer n°1 -- marceline n°1 -- spencer n°3 -- marceline n°2 -- eleonora n°1 -- spencer n°4 -- spencer n°5 -- spencer n°6 -- spencer n°7 -- spencer n°2 (flashback) -- spencer n°8 -- spencer n°9 -- winx club n°1 -- spencer n°10 -- spencer n°11 -- spencer n°12 -- spencer n°13 (fb) spencer n°14 -- margot n°1 -- marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 -- AVATAR : hailee steinfeld CRÉDITS : harley (avatar), harley (crackships) DC : elena esteves, sloane jarecki, eden veliz. PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/ mononoski INSCRIT LE : 09/01/2022 | (#)Lun 06 Mai 2024, 10:35 | |
| full circle mac sutherland & @Margot Imani
Outre les mouches en short, c’est un sale temps pour à peu près tout le monde. On a l’impression que toute l’agence est débordée, qu’il y a des appels d’offre à droite à gauche, des rendez-vous plus ou moins importants quotidiennement ; c’est quelque chose qu’on ne sent pas, ou peut-être moins, de mon côté, où on se sent capitalement cruches à ne pas être hors d’haleine ou en demi-burnout dès le lundi 9h08. Je ne dirais pas que c’est simple : je remplis des documents que je n’ai jamais vu avant avec une minutie qui fait que mes yeux se disent merde après deux heures, je traîne dans des réunions qui sont largement au-dessus de mon salaire ; tout me déborde, mais je m’y sens bien, ça me plaît, de sentir que je sers à quelque chose et que je participe à plus grand et plus gros que moi. C’est loin de la vente de bouteilles à des vieux riches ; c’est encore plus éloigné des tâches de fond qui m’étaient confiées à mon arrivée.
Je ne sais pas si je pourrais t’en remercier sans que tu me regardes avec un air quasi offensé, mais je sais que c’est à toi, que je dois tout ça. Pour l’heure, je la ferme et je prends, j’essaie de te délester au mieux ; je sais qu’il y a une partie qui me dépasse et que tu ne me laisseras pas toucher et j’essaie de respecter ça, de ne pas trop en demander : tu m’as laissée rester et tu m’as autorisée bien plus de libertés que je n’aurais pu en prendre de moi-même. Et venir dans ton bureau alors que j’ai vu ton visage fermé et ta démarche rapide sur le chemin du retour, c’est une liberté en trop.
Je ne sais pas pourquoi je m’y autorise ; peut-être cette vieille crainte qui se réveille, cette connaissance trop intime de chacune de tes facettes et la culpabilité mélangée au besoin de protection qui s’y mêlent. Le genre de trucs que j’aurais arrêté de faire y a deux ans déjà, mais le bouton stop a l’air d’être en panne. Je toque, je rentre, je cherche en retard des excuses pour être là, et comme prévu tu m’envoies chier. « Oh, sorry », que j’arrive à dire ; cerveau à l’air et pas très connecté, j’amorce ensuite un « I was just- » « Mac, it’s really not the time. » Je déglutis, et j’envisage pendant une demi-seconde de refermer la porte et de prendre congé. « I know. » J’avoue que je n’ai pas d’excuses : pas la peine d’en inventer, maintenant. Je m'accroupis devant toi et ça tient plus du réflexe, quand je prends tes mains – c’est toujours comme ça que je te recentrais, que j'arrivais à te faire redescendre. Ca, ou te prendre dans mes bras et te serrer fort : la pression t’apaise comme les bébés anglais enroulés dans des draps bien serrés. Pour la deuxième option, compte tenu de tout le reste, je décide de m’abstenir.
« Is it the scenarists? » je lâche d’une voix plus basse, comme pour essayer de te faire t’ancrer à ma voix. L’avantage de bosser pour toi depuis un an, c’est que je connais ton emploi du temps quasi aussi bien, sinon mieux que toi. « I can cancel it. Or take it myself. Whatever, we’ll manage. » Je ne te pose pas la question, je ne rajoute pas le if you want qui serait a minima de rigueur dans le cadre présent. Tu n’as qu'à hocher la tête : je te décharge de cette responsabilité pour la prendre à mon compte. |
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| full circle @mac sutherland & Margot Imani
Est-ce que tu devrais être surprise en voyant - en réalisant surtout - que Mac n’écoute pas ta demande implicite de foutre son camp ? Non, surement pas. Tu la connais autant qu’elle te connait et il aurait été étonnant qu’elle parte sans demander son reste. Tu sais même pas si t’aurais préféré qu’elle le fasse de toute façon. Dire que t’as pas envie de la voir serait sans doute un euphémisme, mais en même temps, t’as cruellement besoin de quelqu’un. Tu voudrais juste que ce ne soit pas elle, qu’elle ne s‘approche pas et que tu arrives à gérer les choses par toi-même. Qu’elle travaille avec toi est une chose, que vous retrouviez un semblant d’amitié ensemble en est une autre, mais c’est pas pour autant que ça - tes mains dans les siennes - c’est ok. Et pourtant ton corps, traitre qu’il est, trouve le moyen de se détendre sous la douce pression. Ça te donne une chose sur laquelle te concentrer. Tu baisses le regard, fixe vos mains pendant un instant à défaut de te risquer à croiser le sien. T’as pas le courage, pas l’envie qu’elle comprenne le soulagement qu’elle t’apporte. Il y a bien des choses que t’es pas prête à admettre en ce qui la concerne, toujours prise par ton égo qui ne veut pas lâcher prise, par plus que ça sans doute.
Pas que tout ça ait une quelconque chance face à sa voix et ses mains qui ne te quittent pas. « No. » Pas les scénaristes, pas complètement en tout cas. Tu grimaces un peu. Ouais à bien y penser, t’as pas la tête à ça non plus. Tu ressens pourtant pas le besoin de rectifier ton affirmation, Mac, mieux que quiconque, comprendra la réponse trop rapide. Peut-être que c’est pour ça qu’elle te propose de te sauver d’une façon ou d’une autre. C’est ce qui te fait finalement relever la tête dans sa direction pour finalement la regarder. « It’s not your job. » Et cette fois, tu ne le dis pas avec la bile que tu pourrais avoir. Ce n’est pas un reproche, c’est… quelque chose. Tu ne saurais même pas le qualifier. « You don’t have to take that upon yourself. » En plus du reste, en plus de toi qui est, au minimum, un mess en ce moment. Non, elle est plus responsable de toi, qu’importe à quel point elle arrive à te faire du bien.
Tu soupires, ne sachant plus trop quoi faire. La vérité, c’est que t’es pas en état de voir les scénaristes. La panique s’est peut-être calmée grâce à l’intervention de l’autre jeune femme, mais ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle ne revienne. T’en es que bien trop consciente. « It’s the producer. » Un des producteurs en tout cas. « He’s… » Un homophobe ? Un capitaliste ? Un idiot de première classe ? « He doesn’t get it. » Que tu lâches finalement comme si ça expliquait tout. Et c’est sans doute un peu le cas au fond, pour toi. Tu ne sais pas quoi dire plus. C’est qu’il ne comprend pas et que tu ne peux pas faire des miracles. S’il décide de retirer son support pour le film… Ouais non, il ne le ferait pas, pas alors que vous commencez à attirer de grands noms. Il ne peut pas. Voilà ce que tu te dis. À voir si t’arrives à t’en convaincre. |
| | | ÂGE : 28 ans (06/07). SURNOM : juste 'mac'. STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois. MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran. LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne. POSTS : 1160 POINTS : 100 TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental) TW IRL : age gaps romancés, grooming GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. CODE COULEUR : #996699 RPs EN COURS :
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.
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| full circle mac sutherland & @Margot Imani
Je m'attends à me faire envoyer bouler, un peu comme à chaque fois – c’est rare que ton anxiété ou ta tristesse priment sur ta colère et ta rancœur envers moi, et c'est un état de fait que j'ai accepté, à défaut de pouvoir y faire quoi que ce soit. Je me dis que ça viendra sûrement avec le temps : un jour, on en aura marre et on retrouvera notre complicité, celle d’avant, de quand c'était pas aussi compliqué et emmêlé avec d'autres émotions parasites. J'ai envie d'y croire parce que je tiens à toi, et je m'y raccroche en ignorant l'idée que ce serait peut-être mieux pour toi de ne pas du tout m’avoir. Mais contre toute attente, tu ne dégages pas tes mains, tu m’écoutes, et ta respiration retombe sur une norme acceptable. J'ai le bon sens de pas relever les yeux pour chercher les tiens : je nous donne notre pudeur, et je me dis que si nos regards ne se croisent pas, tu pourras prétendre qu’il n’y a pas eu de trêve. Moi, je ferai avec.
Tu rebutes ma proposition de m’occuper de la réunion à venir, mais là encore, c’est moins salé que je ne l'aurais cru ; t’ajoutes que c’est pas à moi d'en prendre la responsabilité et c’est presque trop doux, compte tenu du reste. « I wouldn't mind », j’assure, hochant la tête comme pour ancrer le fait : je n'ai pas à ajouter que je m'en sens capable, car c’est rarement le cas et pourtant, je me démerde toujours. Je sens que t’es ferme dans ta décision, pourtant, et je bats légèrement en retraite d'un haussement d’épaules, proposant d'une plus petite voix un « we can reschedule, too. Find an excuse. » Ce serait pas la première fois que les scénaristes se font refourguer dans la catégorie à voir plus tard de nos emplois du temps.
Mais tu sors de ton mutisme avec le vrai fond du problème ; lequel a un nom, une cinquantaine d’années et beaucoup de thunes. « Oh, shit », je commente, soudain plus très rassurante, davantage inquiète face à ta réaction. « He, what, is he being shitty? Because I get the whole straight white dude vibe, but I figured he wasn't that bad if he was gonna fund the movie. » Le film qui est intrinsèquement orienté vers des personnes à l'opposé de lui-même et de ses centres d’intérêts. Ça aurait du sens, mais peut-être que tout ça n'est qu'une question de fric et qu'on est trop naïves pour y penser. « Did he say something? » J’incline la tête, prends un demi-pas de recul à genoux : pas grand-chose, juste de quoi t’éviter de te sentir envahie. « Or…do something? » Je ne sais pas comment demander davantage d’informations sans te mettre mal à l'aise, ou sans que tu ne te refermes comme une huître dès que tu m’identifieras comme une ennemie en plus. Alors je me tais, me laisse tomber sur mes fesses et m’installe en tailleur, regard baissé pour éviter de chercher le tien. « Hey, worst case scenario, he leaves. It's just money, we know plenty o’ people with deep pockets who’d come aboard if we asked nicely. So, you know… » You can tell me and we’ll make do.
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| full circle @mac sutherland & Margot Imani
Te rattacher à Mac te déplait, c’est évident et pourtant tu ne peux pas y résister, tu ne peux pas t’en séparer Alors tu baisses les bras, involontairement, te laisse réconforter malgré toi. Ça ne t’empêche pas de refuser l’aide en trop, de lui dire que ce n’est pas à elle de gérer tes problèmes, même ceux qui sont reliés au travail. T’as besoin d’être indépendante, à quelque part, pour quelque chose, peu importe à quel point ça risque d’être un échec sur toute la ligne. « I know. » Mais la réponse est toujours un non. Ça reste ton rôle, pas le sien et tu ne veux pas la surcharger davantage. « It would be rude. » Cette fois tu ne dis pas non. Ça ne te fait pas plaisir, tu n’en as pas envie, mais ça risque d’être une nécessité. Ton état ne s’améliorera pas magiquement parce que t’as une réunion avec des scénaristes. Mac, dans toute sa gentillesse dont tu ne veux pas, reste réaliste au fond : c’est l’envoyer elle ou reporter. À voir ce que tu préfères entre la peste et le choléra (sans aucun once de drame dans la réflexion voyons).
Pas que tu choisis sur le moment, non, tu préfères présenter le véritable problème, lui offrir une vraie explication pour ton état. Mac comprend, malgré le manque de détails. T’hoches la tête à la première question. Shitty est sans doute une bonne description de la chose, dommage que ce n’est pas une raison suffisante pour te dissocier de lui, pas alors qu’il finance ton film. T’aurais voulu que ta vis-à-vis arrête là, qu’elle ne pose pas de questions supplémentaires qui te font te crisper malgré toi. Il n’a rien fait, du moins rien encore. À voir combien de temps ça dure, mais c’est une chose de le savoir, de l’avoir vécu dans une conversation déplaisante et de le ressasser à nouveau, de le répéter devant Mac. Tu devrais te relever, lui dire que tu réglerais le problème sans elle, mais… t’en es pas la force, t’en as pas l’envie dans le moment présent. T’aimerais bien pouvoir lui laisser la patate chaude et ne plus t’en soucier. « You know that’s not true. » Au final, t’as répondu à aucune de ses questions, tu fais que refuser la porte de sortie qu’elle t’offre, encore. Tes paroles manquent de dureté, de leur pointe habituelle, mais Il faut t’en contenter. « We can’t afford to let him leave, even if he’s asking again and again why it has to be to women. » Comme si tu n’avais pas été honnête dès le début, comme si tu n’étais pas suffisamment out dans la sphère publique. « He cares about money, like all of us. » Parce que t’aurais pas ce genre de problème si t’avais pas accepté de faire des films de tes oeuvres. Peut-être que t’aurais du rester qu’une autrice. |
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| full circle mac sutherland & @Margot Imani
« I think we're way past rude », je considère doucement, avec un demi-sourire qui sous-entend que quoi que tu me demandes de faire, je l’exécuterai sans poser de questions. On a trop traversé pour se réduire à une relation employeur/employée, et je connais trop tes bouquins pour ne pas donner de mon cœur et de mon temps libre à les défendre quand toi, tu n'en as plus la force. J’insiste pas, pour autant : on sait chacune qu'il te suffira d'un léger mouvement de tête pour que je sache prendre la main sur la conversation et t’en délester. C'est peut-être ça, notre plus gros problème : on se connaît trop pour que tout au travail ne nous ramène pas à l'échec qu’aura été notre relation, et on paie chacune chaque jour de tout ce qu'on a mal fait, mal dit ou mal vécu. Tenter de passer outre en faisant comme si de rien n'était ne marche qu'une fois sur dix, et rarement pour nous deux à la fois. Souvent, je me prends à penser que t’aurais mieux fait de bosser avec Sebastian, le stagiaire : il parle principalement espagnol, et il connaît pas les bouquins aussi bien que moi, ni même l'industrie, mais au moins il ne te ramène pas au pire à chaque fois que vous devez vous croiser ou bosser ensemble. J'essaie de mettre ma culpabilité sous une soupape hermétique, le temps de notre conversation : tes émotions vis-à-vis du producteur sont trop vives pour que je ne les ternisse avec mes états d’âme, et je sens mon propre agacement monter à mesure que ta détresse transparaît alors que tu me racontes la situation. « Yeah, so he should know when a big load of it is about to hit him in the face », je lâche, amère, quand tu rappelles qu'il s'intéresse d’abord et avant tout à l'argent. Argent qu'il touchera, s'il arrête dans un futur plus ou moins imminent de nous faire chier ; parce que ton bouquin a fait un carton, a toujours son bandeau best-seller sur les deux premiers tomes et bientôt sur le dernier, et qu'une adaptation de ce genre d’œuvres, ça ramène toujours du public. Les gens se sont attachés à l'oeuvre comme elle a été écrite et pensée. « What even the fuck », je marmonne, ostensiblement agacée et plus assez patiente pour le cacher. « Changing a character’s gender to appear, what, less woke? In 2024? » Je lève les mains devant moi, épaules haussées, au comble du désespoir. Le bouquin était principalement suivi par des personnes de la communauté LGBTQ+, source de son succès ; l’engouement s'était étendu ensuite, comme une traînée de poudre. « Look, just say the word and I’ll fuck him up », j’annonce, la douceur toujours dans mon ton malgré mes mots brusques. Tu sais que je le pense, que je le ferai et que j’assumerai jusqu'au bout, s'il le faut, et c’est peut-être une partie du problème, mais je m’y attarde pas. « But first I… we can set things straight. Politely, that is. Explain what's in the contract: there are many things that can be negotiated, including the actors, the movie length, the location. But the story and the characters are not among those things. » Merde, c'était l'un des premiers trucs qui avaient été posés sur la table, Rachel nous l'avait garanti. Je me relève, m’appuie sur le bureau et frotte mon front comme pour en effacer la barre qui commence à poindre. « It's your fucking book, and I'll be damned if this fucker thinks he's entitled to changing whatever the fuck doesn't fit his views. Fuck. » Jamais des mots n'ont été prononcés avec une telle gentillesse, j'en foutrais ma main au feu.
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| | | ÂGE : (vingt-huit ans) avec la trentaine qui approche bien trop vite. SURNOM : (margot) margaret de ton vrai prénom, mais personne ne t'appelle comme ça STATUT : (célibataire) c'est pas faute de tomber amoureuse de la bonne personne bien trop souvent, mais ça dure jamais. MÉTIER : (autrice) bien connue, assez pour que tes oeuvres soient en vue d'être adaptées. POSTS : 33 POINTS : 0 TW IN RP : infidélité, homophobie parentale. TW IRL : suicide, idées suicidaires. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. CODE COULEUR : #6667ab AVATAR : arienne mandi. CRÉDITS : poesiescendrees (avatar) harley (gif) PSEUDO : dday, audrey. INSCRIT LE : 08/04/2024 | (#)Sam 28 Sep 2024, 21:11 | |
| full circle @mac sutherland & Margot Imani
Tu sais qu’elle a raison au fond, que Mac vise juste en faisant remarquer que vous êtes loin de la préoccupation que tu évoques. Ça ne t’empêche pas de pincer les lèvres, comme si tu te refusais de l’admettre. C’est sans doute parce que c’est elle devant toi, peut-être que tu aurais accepté facilement si c’était n’importe qui d’autre de la boite - et pourtant tu sais qu’elle est celle qui représentera le mieux tes opinions au sujet de ton livre. C’est peut-être pour ça que tu finis par hocher la tête dans un vague geste qui lui donne ta permission, comme si elle en avait réellement besoin. C’est l’énième signe que ta relation avec ton ex est particulière, mais au fond, n’est-ce pas plutôt ta façon de lui demander de l’aide tout en épargnant ta trop grande fierté ? Mac comprendrait sans doute la nuance, parce qu’elle existe bel et bien. Sans doute serait-elle présente jusqu’à ce que tu puisses complètement digérer le travail que ton ex fait à tes côtés, le fait qu’elle est devenue importante pour toi, juste pour d’autre raisons.
Ou peut-être un peu des mêmes aussi. Parce que tu te laisses tout de même craquer devant Mac, laisse toute la pression se déverser dans l’espoir qu’elle parvienne à calmer le tout, à t’aider. Tu doutes que ce soit pleinement possible, parce que la situation est shitty sur toute la longueur, parce que c’est difficile de s’opposer à l’argent qui finance le projet, peu importe ce que ta vis-à-vis trouve à redire. En soit t’es d’accord avec elle, il y a plusieurs raisons qui vous permettent de prévoir de bonnes rentrées d’argent, notamment en raison de la queerness de l’histoire que vous adaptez. « I’m guessing queer money doesn’t pay as well. » L’amertume teinte tes propos parce que tu sais que, même si ce n’est pas la raison derrière l’insistance du producteur, il y a sans doute un peu de ça dans la balance. Ce n’est pas pour rien que c’est toujours l’opinion de l’homme blanc riche qui prime. Il y aurait quelque chose à dire, une réflexion brillante à faire pour expliquer l’ampleur de ton désarroi. Mais tout ça est vite arrêté par ce qu’ajoute Mac. La douceur de sa voix te surprend, bien plus que ses propos. Tu la connais assez pour savoir qu’elle le ferait, sans hésiter. Ça devrait te terrifier et pourtant, tu sens bien le baume que ça pose sur ton coeur. « I tried that. » Quoi que la politesse manquait peut-être un peu par moment, mais elle était là autant que possible. Tu l’observes alors qu’elle se relève et s’appuie dans le bureau. « That’s polite ? » Que tu lâches finalement, incapable de faire avec la douceur de sa voix, sa gentillesse alors que ton coeur est pris de tumultes. Ça te rappelle pourquoi ça fonctionnait autant entre vous deux, ça te ferait presque regretter là où vous en êtes à présent. Tu passes ta main sur ton visage histoire de chasser les larmes qui pourraient s’inviter dans l’histoire. « But you’re right. » Et oui, ça te fait mal de le dire. « I don’t think he’ll risk breaking the contract. » Tu te rattaches à ça, parce que c’est moins chargé que le reste, que tout ce qu’elle a dit. « It’s just hard. » Les discussions avec le producteur, tout le reste. T’es faite pour écrire dans ton bureau, pas pour gérer tous ces trucs. |
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