welcome to New York, it's been waitin' for you (Deklan)
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 894 POINTS : 40
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Walkin' through a crowd, the village is aglow Kaleidoscope of loud heartbeats under coats Everybody here wanted somethin' more Searchin' for a sound we hadn't heard before
New-York City, Juin 2015
La vue depuis la baie vitrée du loft était incroyable. Des immeubles à perte de vue, dont les fenêtres allumées perçaient le clair-obscur de la nuit new-yorkaise. Il ne faisait jamais complètement sombre dans cette ville, puisqu’elle ne dormait jamais. Peu importe leur à laquelle je sortais, je croisais toujours des travailleurs qui allaient et venaient, des gens ivres d’alcool et d’ambition, ceux que la ville avait écrasé, aussi, dans son tourbillon incessant. J’étais toujours vaguement fatiguée ici, loin de la vie australienne où on passait ses week-ends allongés sur le sable chaud avec un cocktail glissé dans une bouteille plastique, et des vieux magazines qu’on abandonnait bien vite pour discuter avec ses amis. Ici, j’étais toujours fourrée dans le métro, les taxis, à courir après le temps, sur les planches du théâtre ; mais j’avais de la chance, j’avais un bon appartement et non un taudis en collocation comme la plupart des gens de mon âge. L’avantage d’avoir des parents fortunés, comme toujours. C’était étrange, d’ailleurs, de bosser dans le théâtre, un milieu où se cotoyait à la fois les gens comme elle, avec des papas mamans assez riches pour payer la vie pendant qu’ils allaient de galère en galère de rôles, et les gens complètement passionnés obligés de tenir trois jobs pour finir le mois. J’étais consciente que j’étais dans ma bulle, et je ressentais souvent ma maladresse avec les autres, quand je parlais de mon train de vie.
Pourtant, ma vie me paraissait bien rangée quand je voyais le loft de ce soir. Un immense salon, assez grand pour tenir une vingtaine de personnes et tous les verres qui s’empilaient sur les tables basses, une grande cuisine où les gens faisaient une contre-soirée, évidemment, et une terrasse… Une terrasse ! A New-York ! Je tapai le bras de Claire, qui m’avait invitée à la soirée, et lui fit un signe pour lui montrer l’extérieur. Elle poussa un petit soupir envieux. Nous nous faufilâmes vers le buffet qui abritait des bouteilles entières, et on se servit un verre avec le rire de celles qui savent qu’elles vont passer une bonne soirée.
Je sortis sur la terrasse, mon verre de vin dans une main et une cigarette dans l'autre. Il faisait encore bon, le printemps de la côte est avait été clément cette année - j'avais juste enfilé ma veste en jean pour couper la brise qui s'engouffrait dans les longues avenues. J'avais commencé à fumer lorsque je remarquai au loin un jeune homme au visage familier. Je fronçai les sourcils et m'approchai. Il était dans un petit groupe qui discutait joyeusement, amusé visiblement d'une blague que je n'avais pas entendu.
« Excuse-moi, » dis-je à l'attention du jeune homme, qui se retourna vers moi. Son visage ne laissait aucun doute, et je poussai un petit "oh" de surprise. « Deklan Lewis ! Toi et ta planche de surf avez été le fond d'écran de mon ordinateur pendant des mois quand j’étais jeune ! » J'éclatai de rire, tellement surprise de la rencontre et de la tournure très intéressante que prenait cette soirée...
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
juin 2015. Son séjour à New York était des plus plaisants. Lui qui avait l'habitude de la côte ouest, on pouvait dire que Deklan s'était vite habitué à la vibe new yorkaise. Il avait été invité dans le coin pour un événement sportif avant de compléter son séjour avec un photoshoot pour l'une des marques dont il était l'égérie. Il n'aurait jamais cru pouvoir vivre de sa passion de la sorte et pourtant, il s'était battu depuis le plus jeune âge pour en arriver là. Aujourd'hui, il pouvait dire qu'il avait réussi et qu'il en était des plus fiers. Le jeune homme vivait de son sport, il voyageait et profitait de la vie comme jamais. La seule ombre au tableau était sa récente rupture qui l'avait totalement anéanti, il y avait encore quelques semaines, Deklan ne sortait plus de chez lui mais il avait fini par reprendre le contrôle de sa vie. Il profitait donc de son célibat pour aller et venir comme il voulait là où il le souhaitait sans rendre de compte à personne.
Ce soir-là, il avait enchaîné le show auquel il avait été invité avec une petite soirée privée dans un loft immense. Il n'y avait que du beau monde, et pas de quoi se faire embêter toutes les cinq minutes comme lorsqu'il était en boîte de nuit. Avec son agent ainsi que des amis du coin, Deklan se permettait un petit d'alcool pour la soirée. Il mangeait des petits fours ici et là, et faisait en sorte que son passage express en ville soit mémorable. Très vite, il devrait reprendre le chemin retour pour reprendre les entraînements ert se préparer aux prochaines compétitions. Pour l'instant, il profitait de l'instant présent - une bonne soirée, de la bonne musique et surtout de la bonne compagnie. « Excuse-moi, » Deklan était en train de rire quand on attira son attention, il se tourna légèrement pour croiser le regard d'une jolie blonde. « Deklan Lewis ! Toi et ta planche de surf avez été le fond d'écran de mon ordinateur pendant des mois quand j’étais jeune ! » Il ne s'attendait pas vraiment à ce qu'on se réjouisse de sa présence ici, mais apparemment on le reconnut aussi ici. Pourtant, le loft était rempli de diverses personnalités et Deklan était loin de s'imaginer qu'il pourrait attirer l'attention. « Tu m'as pas l'air si vieille... tu as déjà changé ton fond d'écran ? » dit-il amusé, se tourannt complètement vers elle pour la regarder de haut en bas avec un grand sourire. Deklan était toujours une bonne patte, très avenant, et chaleureux. « Tu veux prendre un selfie ? Comme ça tu pourras me mettre en fond d'écran de ton téléphone. » ajouta-t-il en rigolant. « T'aimes le surf alors ? » finit-il par dire sur un ton plus calme, mais tout de même toujours aussi étonné qu'on le reconnaisse, surtout une nana.
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 894 POINTS : 40
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Walkin' through a crowd, the village is aglow Kaleidoscope of loud heartbeats under coats Everybody here wanted somethin' more Searchin' for a sound we hadn't heard before
C'était quelque chose que j'adorais à New-York, cette ébullition de personnalités qui grouillaient dans les rues et les soirées et qu'on pouvait croiser à tout instant. Ici, j'avais vraiment l'impression que tout était possible si j'étais capable de m'en donner les moyens. J'adorais les soirées avec des balcons ou des roof-tops, parce que je pouvais voir la ville qui s'étendait au loin, la nuit toujours orangée des lumières des immeubles et des rues, l'écho du métro aérien et des rires des gens ivres dehors. Je ressentais toujours leur ivresse, d'ailleurs, cette euphorie que la belle vie me donnait ici. Oh, bien sûr, il y avait des matins où tout piquait, les rythmes infernaux, les trains en retard, les nocturnes aux théâtres à la salle à moitié vide. Et Brisbane me manquait, bien sûr. J'avais l'impression que New-York n'était qu'un stop temporaire, dont je comptais bien profiter le plus possible, y compris de ma chère cousine Maddy dont ma vie américaine m'avait permis de me rapprocher, étonnemment.
Elle allait adorer cette histoire d'ailleurs : croiser Deklan Lewis en plein milieu d'une soirée mondaine. Elle qui m'avait charié pour ma période d'obsession avec le surf, elle allait halluciner !
« Tu m'as pas l'air si vieille... tu as déjà changé ton fond d'écran ? » J'éclatai de mon petit rire, celui qui tintait comme des clochettes et qu'on décrivait toujours comme "trop mignon".« J'admets, j'admets, j'ai peut-être un peu exagéré, mais tout de même ! »
Ma mère avait toujours tendance à me reprocher mon sens de l'exagération, d'ailleurs, ce qui me faisait rire jaune ; je le tenais très probablement d'elle, qui avait toujours eu le sens du drame. Mais évidemment, elle était beaucoup trop auto-centrée pour le remarquer.
« Tu veux prendre un selfie ? Comme ça tu pourras me mettre en fond d'écran de ton téléphone. » « Ah, mais oui ! » M'exclamai-je, et je sortis mon téléphone, adressant mon plus beau sourire à la caméra frontale à la qualité variable. Evidemment, Deklan était très photogénique ; nos yeux bleus brillaient, et il adressait un sourire sincère à l'appareil. Je mis la photo en fond d'écran, et le montrai à Deklan avec un sourire entendu : « Regarde, c'est parfait ! Merci, » ajoutai-je avec un petit sourire.
Pour lui, c'était probablement une interaction comme une autre, mais j'avais du mal à croire que ce mec, dont je regardais encore les vidéos de compétitions sur Youtube, se tenait face à moi et me souriait comme si j'appartenais au même monde que lui. Je jetai un coup d'oeil aux gens avec lui, et me demandai ce qu'ils faisaient dans la vie, eux. Sûrement un tas de boulot passionnant dans des milieux qui me faisaient rêver.
« T'aimes le surf alors ? » « Bien sûr ! Je viens de Brisbane aussi, » expliquai-je, parce que oui, je savais qu'il venait de là-bas lui aussi, et je réalisai que peut-être c'était étrange pour lui de parler avec quelqu'un qui avait un coup d'avance sur qui il était. « J'ai toujours trouvé ça fascinant à regarder, j'en fais de temps en temps mais c'est plus un hobby sympa le samedi après-midi à la plage qu'une vocation. Pas comme toi ! Mais d'ailleurs, qu'est-ce tu fais à New-York ? On peut surfer sur l'Hudson River ? » plaisantai-je avec un sourire. « Oh, j'en oublie même de me présenter ! Je m'appelle Marceline, » je lui tendis ma main en riant, prétendant être très sérieuse un instant, mes yeux pétillant de la nouvelle perspective que prenait la soirée.
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
juin 2015. Cela faisait déjà près de dix ans que Deklan vivait à vive allure. Il ne s’arrêtait jamais, enchaînant les projets, les compétitions, les publicités et les divers événements. Se retrouver ici à New York le changeait quelque peu de son quotidien à Los Angeles. Ce n’était pas non plus des vacances mais ce petit voyage lui permettait de souffler un peu. Les années avaient défilé à une vitesse sans précédent. Depuis que son ex petite amie s’était barrée sans se retourner, Deklan avait encore plus envie de se faire plaisir et de prendre des décisions de manière plus spontanée que d’ordinaire. Il se souvenait encore en 2010, lorsqu’il avait reçu cet appel pour participer à une émission américaine. Il représentait le petit australien beau gosse à qui tout réussit, et à l’époque c’était encore plus vrai. Il raflait tous les prix, et pourtant il n’en avait jamais profité pour jouer le bourreau des cœurs. Lors de cette émission qui datait de cinq ans déjà, le jeune Lewis s’était attiré les mérites de beaucoup de sponsors. Son visage était devenu le nouveau jackpot marketing pour beaucoup de marques, on pouvait dire que ce fut à ce moment-là que Deklan était devenu beaucoup plus qu’un surfeur en vogue. Cette année-là, le jeune homme avait vu son compte Twitter exploser, et quelques mois plus tard, son Instagram. Son agent avait finalement pris la main sur ses comptes car il n’arrivait même plus à gérer cette soudaine célébrité. Aujourd’hui, tout était plus différent… Il savait gérer cette petite célébrité, même s’il demandait encore toujours comment il avait pu en arriver là.
Lors de cet événement, il passait son temps à se faire de nouveaux contacts, à arborer son plus beau sourire pour finalement passer une bonne soirée et oublier un peu la pression qu’il avait sur les épaules. Il était en train de discuter en groupe lorsqu’une jolie blonde vint l’aborder, et à ses battements de cil et son rire clair qui s’éparpillait dans l’air. « J’admets, j’admets, j’ai peut-être un peu exagéré, mais tout de même ! » La blonde ne se démontait pas, et cela plaisait en réalité au beau brun. « Ca fait plaisir que d’aussi jolies femmes me reconnaissent en tout cas. » se permit-il de dire, et si Deklan n’était pas un bourreau des cœurs, il était tout de même très charmeur, surtout à cet âge là… Il lui proposa finalement de prendre un selfie afin qu’elle puisse changer son fond d’écran de téléphone, une idée en l’air mais elle accepta sans attendre. « Ah, mais oui ! » Et aussitôt elle dégaina son téléphone pour prendre la fameuse photo. « Regarde, c’est parfait ! Merci. » Elle n’avait pas attendu une seconde pour réellement changer la photo de son fond d’écran. Deklan eut un petit amusé en voyant qu’elle était réellement à fond. « Tu vas pas pouvoir t’arrêter de penser à moi maintenant. » dit-il en rigolant avant de lui demander si elle était réellement intéressée par le surf ou si c’était juste les plastiques avantageuses des différents surfeurs autant homme que femme qui lui plaisaient. « Bien sûr ! Je viens de Brisbane aussi. » Oh, c’était un point commun intéressant, lui qui était natif de Brisbane mais qui avait quitté sa terre natale pour vivre son rêve. « J’ai toujours trouvé ça fascinant à regarder, j’en fais de temps en temps mais c’est plus un hobby sympa le samedi après-midi à la plage qu’une vocation. Pas comme toi ! Mais d’ailleurs, qu’est-ce que tu fais à New York ? On peut surfer sur l’Hudson River ? » Son rire accompagna le sien alors qu’elle ajouta aussitôt : « Oh, j’en oublie même de me présenter ! Je m’appelle Marceline » Il prit sa main pour la serrer avec délicatesse. « Enchantée, Marceline. » Drôle de prénom, première fois qu’il l’attendait d’ailleurs. « J’avais un spot de pub à tourner sur New York, puis j’en profite pour me montrer aux belles soirées comme ici. Il faut se montrer dans ce métier, sinon on t’oublie vite. » qu’il répondit en plongeant ses billes bleus dans les siennes. « Je retourne sur LA dans deux jours. » précisa-t-il finalement. « Mais toi… Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu as un talent caché ? » demanda-t-il puisque si elle était là c’était bien qu’elle avait des connaissances dans le milieu, ou qu’elle-même était dans ce monde-là. Deklan ne la reconnaissait pourtant pas, mais peut être qu’elle lui en dirait plus.
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 894 POINTS : 40
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
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« Ca fait plaisir que d’aussi jolies femmes me reconnaissent en tout cas. »
Je me sentis sourire, pas parce que j’étais spécialement touchée par son compliment - en vérité, j’étais assez exaspérée de la capacité qu’avaient les hommes à draguer n’importe quelle fille qui leur souriait - mais parce que tout à coup, une idée avait germé en moi, peut-être un peu stupide, mais qui tout à coup me paraissait géniale. Le monde du show-business, c’est un monde de séduction, m’avait-on un jour dit à une soirée. Tout est une question de sourire, de réseau, de parler à la bonne personne au bon moment. Il semblait que ce soir, j’étais peut-être tombée sur la bonne personne…
« Arrête, j’ai déjà vu une compétition de surf, je sais que la plage est remplie de jolies femmes en bikini ! »
Je le savais très bien, même, puisque j’adorais les regarder. J’étais déjà venue avec une ou deux de mes exs à ce genre d’évènements… Mais ça, j’allais bien me garder de le dire à Deklan. Un petit mensonge par omission, ça arrivait de temps en temps, non ?
« Tu vas pas pouvoir t’arrêter de penser à moi maintenant. » Mon dieu, j’avais oublié à quel point la drague entre homme et femme pouvait être frontale. Ca faisait un moment que je ne m’y étais pas frottée. « Surtout maintenant que j’ai fait ta connaissance. » Je souris, réfléchissant à trois cent à l’heure à mon prochain move, à comment j’allais pouvoir bien me faire voir par Deklan, sans passer trop pour une fangirl un peu naïve, et tout en lui donnant envie de me revoir - et moi de voir par la même occasion les gens autour de lui.
« Enchantée, Marceline. J’avais un spot de pub à tourner sur New York, puis j’en profite pour me montrer aux belles soirées comme ici. Il faut se montrer dans ce métier, sinon on t’oublie vite. Je retourne sur LA dans deux jours. » « Aaah, la côte ouest, la fameuse… Mieux pour le surf, en effet ! C’était quoi la pub ? Une marque de sport ? »
Je voyais très bien le spot, lui, torse nu, la goutte d’eau qui coulait entre ses omoplates musclés. Mes potes hétéros - et mes potes gays aussi, surtout - étaient dingues de ces trucs-là.
« Mais toi… Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu as un talent caché ? »
Difficile de lui avouer que mon talent était loin d’être caché, puisque j’en faisais l’usage devant lui à coup de grand sourire et de battements de cil. J’eus un petit pincement dans l’estomac, consciente que je n’étais pas très correcte : qui plus est, Deklan avait l’air d’un mec assez sympa, avec qui j’aurais sûrement adoré parler de surf et boire des bières et commenter les jolies filles qui passaient sur la plage. Mais j’avais décidé de prendre la perche tendue, et de jouer l’incompréhension plus tard, lorsqu’il se rendrait compte, forcément, que tout ça ne risquait de mener nulle part.
« Je vis ici depuis deux ans, je suis actrice ; principalement du théâtre. Ce n’est pas évident de se faire une place dans ce petit monde très élitiste, mais je suis plutôt satisfaite pour l’instant…Mais j’ai le vilain défaut de l’ambition, » admis-je. Allons, surtout si je voulais un peu peaufiner mon réseau, peut-être justement grâce à Deklan, ça ne servait à rien de jouer les ingénues. « Tu as toujours su que tu voulais faire du surf ta carrière, toi ? »
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juin 2015. Depuis sa rupture avec son ex petite amie, Deklan ne s’était plus réellement posé. Il n’était pas non plus un tombeur, mais était bien conscient qu’il plaisait aux femmes. Alors dès qu’il se retrouvait aguiché par l’une d’elles, il jouait le jeu, il battait des cils, les complimentait et essayait de garder cette image de gendre parfait que tout le monde lui collait. Deklan avait un bon fond malgré tout, mais le domaine de la publicité et du sport, il fallait garder et entretenir cette belle image. C’était donc ce qu’il était en train de faire auprès de Marceline. « Arrête, j’ai déjà vu une compétition de surf, je sais que la plage est remplie de jolies femmes en bikini ! » Oui c’était le quotidien de Deklan et pourtant il demeurait célibataire. En même temps, sa dernière relation l’avait pas mal amoché. « Rien n’empêche que tu sois charmante pour autant. » confirma-t-il avec un sourire, alors qu’elle essayait de minimiser ses compliments. De nature sociable, pour lui, il était naturel de poursuivre la conversation, ne voyant pas le côté opportuniste de la blonde. « Surtout maintenant que j’ai fait ta connaissance. » Il sourit, sentant que la jeune femme était de plus en plus à l’aise face à lui – après tout, le surfeur n’était pas intimidant, il aimait mettre les gens à l’aise autour de lui. D’ailleurs, il s’intéressait facilement à autrui et puisque chaque personne ici avait une raison d’être invité, il se demandait ce qui amenait la jeune femme dans cette soirée privée. « Je vis ici depuis deux ans, je suis actrice ; principalement du théâtre. Ce n’est pas évident de se faire une place dans ce petit monde très élitiste, mais je suis plutôt satisfaite pour l’instant…Mais j’ai le vilain défaut de l’ambition, » Il ne trouvait pas que l’ambition était un vilain défaut, bien au contraire, lui avait suivi ses intuitions pour arriver à ses fins et il en était là aujourd’hui, à l’autre bout du monde pour vivre son rêve. « J’imagine que c’est le meilleur endroit pour saisir les opportunités. » Sous-entendu, être ici à New York. « Et ce n’est pas un défaut d’être ambitieux, bien au contraire. » qu’il ajouta pour lui faire comprendre qu’il partageait ses valeurs. « Tu as toujours su que tu voulais faire du surf ta carrière, toi ? » Il leva le coude pour prendre une gorgée de son verre tout en hochant de la tête, puis il finit par répondre : « Toujours, oui. Depuis que je sais marcher, je sais surfer. C’était évident pour moi de suivre cette voie et j’ai eu la chance d’avoir des parents qui y ont aussi cru pour moi. » confia-t-il avec toujours cette reconnaissance envers eux. « Tu es de New York, toi ? » demanda-t-il finalement.
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : En roue libre* (*flirte avec son ex-situation ship mariée, couche avec sa co-star, pleure dans les bars en pensant à sa dernière rupture) MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 894 POINTS : 40
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie, surexposition médiatique, cœur d'artichaut GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : (07)Mac 05 | Dina 02 | Jesse 02 | Lena 01 | Nina 01 | Mabel 13 | Movie Drama Club
MABEL "Do you ever stop and think about me? When it was calmer, skipping the prom just to piss off your mom and her pageant schemes, and damn, Dorothea, they all wanna be ya, but are you still the same soul I met under the bleachers?"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
LENA "We ditch the whole scene and end up dreaming, instead of sleeping, we're happy, free, confused, and lonely in the best way, it's miserable and magical, tonight's the night when we forget about the heartbreaks"
Walkin' through a crowd, the village is aglow Kaleidoscope of loud heartbeats under coats Everybody here wanted somethin' more Searchin' for a sound we hadn't heard before
« Rien n’empêche que tu sois charmante pour autant. »
Je lui souris à nouveau avec un petit air malicieux. Je m'en voulais un peu, consciente que j'étais en train de faire quelque chose de pas très correct. Après tout, je ne lui promettais rien, j'essayais de ne pas trop me mouiller à coup de compliment, mais de simplement lui montrer de l'intérêt, pour pouvoir ensuite me justifier et lui dire qu'évidemment nous nous étions simplement mal compris. Mais je savais très bien ce que je faisais, et nous nous comprenions très bien ; il ignorait simplement que ses compliments me laissaient absolument indifférente, tout autant que ses grands yeux bleus et ses muscles qui auraient fait tourner de l'oeil beaucoup de mes amis et amies.
Je décalai un peu la conversation sur New-York, et mon ambition, comme pour tater le terrain et voir comment il réagirait.
« « J’imagine que c’est le meilleur endroit pour saisir les opportunités. Et ce n’est pas un défaut d’être ambitieux, bien au contraire. » » « Oui, c'est une ville incroyable très active. On court un peu après le temps, mais ça me convient bien, j'adore ce côté ébullition. On rencontre toujours des gens intéressants ! » Ajoutai-je, un compliment déguisé mais aussi pour lui sous-entendre que j'aimais rencontrer de nouvelles personnes, comme des gens de son entourage à lui, par exemple...
En tout cas, je ne m'étais pas trompée, il était ambitieux aussi et comprenait très bien de quoi je parlais. Je me creusais déjà la tête pour essayer de penser à quelqu'un de mon entourage que je pourrais lui présenter - histoire de montrer que le réseautage pouvait marcher dans les deux sens. Evidemment, j'avais beaucoup plus à gagner de me rapprocher de lui : j'étais une jeune comédienne avec un carnet d'adresse assez limité.
« Toujours, oui. Depuis que je sais marcher, je sais surfer. C’était évident pour moi de suivre cette voie et j’ai eu la chance d’avoir des parents qui y ont aussi cru pour moi. »
Mon coeur se pinça : être actrice était une affaire de famille de mon côté, mais on ne pouvait pas dire que le soutien était la principale qualité de mes parents, bien au contraire.
« Ah, c'est important le soutien de ses proches. J'étais très fière dans ma cousine est venue me voir jouer. »
Je pensais à Maddy avec affection ; nos retrouvailles new-yorkaises effaçaient presque toute la rancune que je portais contre Mabel, sa soeur, mais aussi les années de dispute entre nous, de concurrence. Pour une fois, aussi, j'avais une relation un peu privilégière avec Maddy, et j'y tenais étrangement beaucoup.
« Tu es de New York, toi ? »
Je fronçai les sourcils, et feignai d'être outrée.
« Mais non, je t'ai dit tout à l'heure, Brisbane ! » J'éclatai de rire. « Te prendre beaucoup de vagues, ça a abîmé ta mémoire ? » Plaisantai-je. « Je ne suis pas très rancunière, mais il va falloir te faire pardonner. Je te propose que tu me donnes ton numéro, comme ça je peux t'inviter à la prochaine soirée avec mes potes australiens. » Je souriais. Evidemment, c'était plutôt à ses soirées à lui que je voulais aller, et rencontrer ses amis à lui. Mais chaque chose à son temps. Au loin, Claire me faisait un signe de la rejoindre, et je lui fis un signe en retour, histoire de dire que j'arrivais. Je me retournai vers Deklan. « Surtout qu'il faut que je rejoigne ma pote, elle va m'en vouloir si je passe la soirée à parler de surf avec un inconnu. Mais ça serait cool de se recroiser. » Achevai-je en lui tendant mon téléphone. C'était un move très direct, mais parfois, un peu de cran, ça portait chance.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
juin 2015. Entouré de quelques proches, Deklan profitait de la soirée sans savoir qu’une jeune femme préparait déjà le terrain pour l’approcher. Très vite, il se trouva face à une blonde, déterminée à prolonger la conversation coûte que coûte. Il était facilement approchable en plus, très sociable et de nature charmeur, Deklan entra dans la conversation en y prenant beaucoup de plaisir, venant la complimenter sincèrement. « Oui, c'est une ville incroyable très active. On court un peu après le temps, mais ça me convient bien, j'adore ce côté ébullition. On rencontre toujours des gens intéressants ! » Il n’était pas new-yorkais, ni américain tout court d’ailleurs, mais le surfeur savait à quel point c’était important de faire des rencontres pour continuer à faire grossir son répertoire. « C’est vrai, il ne faut jamais fermer la porte aux nouvelles rencontres. On ne sait pas ce qu’elles peuvent nous apporter. » qu’il dit avec un sourire malicieux, parlant plus d’eux deux en l’occurrence, que d’autres personnes. Il n’avait pas l’esprit aussi stratégique que la blonde. « Ah, c'est important le soutien de ses proches. J'étais très fière dans ma cousine est venue me voir jouer. » Il sourit, on était toujours fiers lorsque la famille pouvait constater de leurs yeux la réussite dont on faisait preuve.
« Mais non, je t'ai dit tout à l'heure, Brisbane ! Te prendre beaucoup de vagues, ça a abîmé ta mémoire ? Je ne suis pas très rancunière, mais il va falloir te faire pardonner. Je te propose que tu me donnes ton numéro, comme ça je peux t'inviter à la prochaine soirée avec mes potes australiens. » Il sourit, amusé de son étourderie mais il était simplement perturbé par tout ce bruit autour d’eux. « Surtout qu'il faut que je rejoigne ma pote, elle va m'en vouloir si je passe la soirée à parler de surf avec un inconnu. Mais ça serait cool de se recroiser. » Le jeune surfeur regarda au loin l’amie en question. « Donne moi ton téléphone » dit-il alors qu’elle s’exécuta. Il vint s’enregistrer au nom de Deklan le surfeur, et lui rendit son bien. « Tu n’auras qu’à me dire quand tu es libre pour venir taper la planche à L.A. ! » s’exclama-t-il, un brin amusé à son tour, ne se doutant pas une seconde de tout le stratagème mis en place par la Griffiths.