(Mabel&Marcel) Being part of a family means smiling for photos
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Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 12934 POINTS : 560
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by mel-graph ; Image signa by yahoo ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
Did you have to do this? I was thinking that you could be trusted. Did you have to ruin what was shining? Now it's all rusted ∆ Taylor Swift, Bad blood
Rosie en écharpe de portage, une grande veste autour d'elles et des lunettes de soleil sur le nez, Mabel essayait de passer incognito. Ces dernières semaines, depuis l'annonce de son divorce, avaient été compliquées, et elle n'était pas beaucoup sorti de chez elle. Elle commençait pourtant à avoir besoin de voir autre choses que les quatre murs de son salon, et Rosalie semblait elle aussi en avoir assez. La petite avait toujours apprécié les promenades, qui l'aidait même à faire sa sieste de l'après-midi, et l'arrêt de ce rituel avait donc perturbé son sommeil ces derniers jours.
En plein milieu de l'après-midi un jour de semaine, Mabel espérait bien que la plupart des habitants de Brisbane soient au travail. Même si le Starbucks restait fréquenté, elle espérait pouvoir y passer discrètement, alliant la promenade de Rosalie à sa recherche d'un bon café. Elle s'était garée un peu plus loin et était passée par un petit parc pour profiter du soleil et du beau temps, s'amusant de voir la petite tête de Rosie regarder tout autour d'elles ou lever les yeux pour observer les arbres autour d'elle, avant qu'elle ne s'endorme, blottie contre sa mère.
Une fois la petite calme, Mabel avait rejoint le café, soufflant de soulagement en constatant que la plupart des clients étaient des étudiants penchés sur leurs ordinateurs, une ou plusieurs boissons sur la table autour d'eux. De quoi aller jusqu'au comptoir sans que personne ne lève les yeux vers elle.
« Un caramel macchiato s'il vous plaît. Pour Tracy » demanda-t-elle à la serveuse, utilisant son second prénom pour rester le plus anonyme possible.
D'instinct, sentant Rosalie bouger contre elle, elle commença à passer d'un pied sur l'autre pour bercer sa fille, tout en observant la serveuse préparer sa boisson. Une fois celle-ci prête, Mabel s'empara rapidement de sa tasse, prête à partir, quand une chevelure blonde attira son regard. Elle connaissait cette silhouette, pour avoir grandi avec Marceline. Sa cousine, presque sœur, avec qui elle avait tant partagé quand elles étaient adolescentes, avant que tout ne s'arrête quand elles étaient devenues adultes.
Mabel se figea, incapable de se décider quant à ce qu'elle voulait faire. Partir comme si elle n'avait rien vu ou aller saluer sa cousine ? Les choses seraient certainement étranges, parce qu'elles ne s'étaient pas parlé depuis des années. Noël avait déjà été assez malaisant, chacune des Griffiths cherchant à fuir l'atmosphère de compétition sans pour autant savoir comment se comporter les unes par rapport aux autres...
Dernière édition par Mabel Griffiths le Mar 19 Avr 2022 - 16:06, édité 1 fois
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Une énième honeymoon phase qui s'est terminée en cris, en larmes et en rupture. Marceline commence à se demander si au fond, ce n'est pas elle le problème. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 814 POINTS : 0
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Nina 01 | Spencer 02 | Mabel 12 | Dina 01 | Movie Drama Club
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
And I can go anywhere I want Anywhere I want, just not home And you can aim for my heart, go for blood But you would still miss me in your bones And I still talk to you (when I'm screaming at the sky) And when you can't sleep at night (you hear my stolen lullabies)
« Excuse-moi… Est-ce que je peux te demander une photo ? »
Je regardai la jeune fille qui se tenait devant moi, son téléphone contre sa poitrine, ses mains tremblantes. Elle avait des longues tresses argentées qui contrastaient avec sa peau brune, et un petit sourire timide des gens qui avaient pris leur courage à deux mains. Je sentis l’amertume métallique dans le bas de mon ventre, ma machoire serrée, mais j’inspirai. Ce n’était pas sa faute. Elle était juste contente de croiser une célébrité, de pouvoir la poster sur sa story instagram, comme on prend en photo un animal derrière une cage, dans un zoo. J’étais une bête de foire. Je lui offris mon plus beau sourire de cinéma.
« Oui, bien sûr, » répondis-je avec enthousiasme. Je posai à côté d’elle, adressant un grand sourire à la caméra frontale de l’iphone. « Merci beaucoup… Et merci pour tout ce que tu fais. Le personnage de Lizzie m’a inspiré pour faire mon coming-out à ma famille. »
Je sentis la culpabilité remplacer l’amertume ; voilà que j’étais si importante pour cette jeune fille que je maudissais quelques secondes plus tôt… Je me radoucis, me rappelant avec humilité que ce qui me paraissait si insupportable - prendre des photos, être observée - était peut-être important pour d’autres.
« Oh, merci, ça me touche beaucoup. Félicitations pour ton coming-out, ce n’est pas une étape facile, tu peux être fière de toi ! » Je la pris brièvement dans les bras. « Et félicitations pour la nomination pour le Golden Globes, je suis sûre que tu vas l’avoir ! » J’éclatai de rire. « On croise les doigts !! Je dois y aller, passe une très belle journée, et reste toi-même ! » Terminai-je d’un ton presque automatique, vide de sincérité ; je ne savais même pas qui cette fille était.
Je rentrai dans Starbucks, visant cette fois-ci sur ma tête mon bob et de grandes lunettes de soleil en forme de coeur pour dissimuler mes yeux, et commandai un grand vanilla latte. Ce n’est qu’en me décalant pour aller m’installer dans la file d’attente que je remarquai que l’on m’observait - il y eut un petit moment de flottement avant que je comprenne que c’était Mabel, tasse à la main, qui se tenait là, prête à partir mais immobile, hésitant sûrement à partir comme si de rien était.
Décidemment, entre elle et Maddy quelques jours plus tôt, l’univers décidait de mettre mes chères cousines en travers de mon chemin. Et évidemment, si tous mes amis étaient ravis de ma nomination au Golden Globes, ma famille était bien occupée à autre chose : Maddy était enceinte - et j’étais la dernière informée - et Mabel venait de divorcer - je l’avais appris en même temps que le reste du monde par les couvertures de tabloids. En même temps, je voyais mal Mabel me le dire par texto. Elle ne m’avait même pas souhaité mon anniversaire.
« Hello, » dis-je d’une petite voix. Je regardai le bébé qu’elle tenait contre elle. Ma petite cousine… Je sentis mon coeur se presser tout doucement, et j’en oubliais d’être désagréable : je n’arrivais pas à croire que Mabel, ma cousine Mabel, était maman. Je dévisageai le bébé, mes yeux brillants. « Ohlala, elle est toute petite… Bonjour Rosalie, » murmurai-je à voix basse.
« Un vanilla latte pour Mary ? » Appela la barista. « Oui, c’est moi, merci ! »
Depuis toujours, les gens ne savaient pas écrire mon prénom, et j’avais pris l’habitude d’utiliser ce prénom - c’était bien pratique depuis que j’essayais d’être discrète. J’attrapai la tasse et glissai un billet de 10 dollars dans le pot à pourboires. Je revins vers Mabel, lui faisant un petit sourire. Elle n’avait pas très bonne mine - en même temps, un nouveau né, un divorce… Elle ne devait pas beaucoup dormir.
« Elle est trop mignonne. Félicitations, » dis-je avec sincérité. « Et elle aura bientôt un cousin ou une cousine, elles vont pouvoir faire les 400 coups… » Ma voix se perdit un instant dans ma gorge. Comme toi et moi, avais-je voulu ajouter à l’attention de Mabel. Je relevai la tête vers elle et sentit un drôle d’élan - nostalgie, loyauté, affection ? - peut-être influencé par les photos de Mabel, le visage tiré, que j’avais vu en une toute la semaine. « Tu veux prendre un café ? Enfin, je veux dire, avec moi. Puisqu’on a déjà les cafés. »
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 12934 POINTS : 560
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by mel-graph ; Image signa by yahoo ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
Did you have to do this? I was thinking that you could be trusted. Did you have to ruin what was shining? Now it's all rusted ∆ Taylor Swift, Bad blood
Mabel avait dû se retenir pour ne pas mettre une main protectrice dans le dos de Rosalie, maigre bouclier contre Marceline. Pourquoi même ressentait-elle l'envie de se protéger de sa cousine ? Elles avaient grandi ensemble, si proches, se confiant tout. Ses relations avec Maddy étaient compliquées, toxiques et compétitives. Marcel, c'était tout l'inverse. Elles étaient complices, proches en âge et surtout partageant les mêmes idées et les mêmes valeurs. La seule personne de sa famille avec laquelle Mabel avait été assez à l'aise pour parler de ses questionnements sur sa sexualité.
(A l'époque, Marceline n'en disait rien, mais Mabel avait admiré son coming out, quelques années plus tard. Elle-même n'en avait jamais eu le courage, se contentant de fréquenter des femmes sans jamais en parler.)
Elle regarda Marcel aller récupérer son café, avant qu'elles ne se retrouvent de nouveau face à face. Marceline, toute fraîche et pimpante, et Mabel, qui se sentait encore plus vieille et moche, avec ses cernes, ses vêtements un peu trop larges. Elle n'était déjà pas dans un état terrible depuis la naissance de Rosalie, mais son divorce avait encore empiré les choses.
« Oui, ça va être chouette de les voir grandir ensemble » répodnit-elle, tentant le petit sourire fatigué.
Mabel était contente pour Maddy et sa grossesse, surtout après que sa sœur lui ait parlé de son infertilité. Le bébé miracle était forcément une joie, même si la jeune mère ne pouvait s'empêcher de craindre que leurs enfants finissent aussi éloignés les uns des autres que leurs mères actuellement. Elles avaient certes du temps, pour changer tout ça, mais elle ne pouvait s'empêcher de s'en angoisser.
« Et avec plaisir pour le café. Tu veux qu'on aille s'asseoir dehors ? Il y a des bancs pas loin, vers le parc. »
La vue serait plus agréable, et elles seraient un peu éloignées du Starbucks, ce qui leur éviterait d'être importunées par des gens les reconnaissant. Mabel avait passé assez de temps en une des magazines people ces dernières semaines pour ne pas y être encore - surtout pour de nouvelles théories concernant les relations intra-familiales des Griffiths.
« Tout va bien pour toi ? Tu avais parlé d'une série, quand on s'est croisé à Noël. »
En toute honnêteté, elle n'avait pas un souvenir très net de la scène chez ses parents. Elle se souvenait de Marcel, arrivant par surprise et leur offrant des bouteilles de vin - un cadeau approprié pour une femme enceinte -, et des photos pleines de nostalgie que sa mère avait voulu refaire. Mais elle se souvenait plus de ses contractions, et de son arrivée à l'hôpital que de ce que Marceline avait pu dire pendant les quelques moments où elles s'étaient croisées.
Dernière édition par Mabel Griffiths le Lun 9 Mai 2022 - 18:22, édité 1 fois
Marceline Griffiths
la furie de vivre
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Une énième honeymoon phase qui s'est terminée en cris, en larmes et en rupture. Marceline commence à se demander si au fond, ce n'est pas elle le problème. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 814 POINTS : 0
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Nina 01 | Spencer 02 | Mabel 12 | Dina 01 | Movie Drama Club
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
And I can go anywhere I want Anywhere I want, just not home And you can aim for my heart, go for blood But you would still miss me in your bones And I still talk to you (when I'm screaming at the sky) And when you can't sleep at night (you hear my stolen lullabies)
Mabel proposa le parc, et j’hochai la tête, la suivant, le coeur battant la chamade dans ma poitrine. Je ne me souvenais pas de la dernière fois que j’avais été ainsi, avec elle. Depuis que tout s’était écroulé, la plupart du temps que je passais avec ma cousine se résumait aux heures que je passais à la stalker sur les réseaux, à regarder ses vidéos youtube, les films où elle avait un petit rôle ; en vérité, c’était honteux à quel point je pouvais être obsessive sur ce genre de choses. La liste des gens que j’observais à la dérobée sur internet était longue - et principalement composée de mes exs - mais j’avais particulièrement honte de l’obsession que j’avais developpée sur mes cousines.
« Tout va bien pour toi ? Tu avais parlé d'une série, quand on s'est croisé à Noël. »
Je mordis l’intérieur de ma joue. J’étais bien consciente que si j’étais du genre à observer le moindre fait et geste de Mabel, elle était beaucoup plus détachée - après tout, elle avait été enceinte, puis avec son nouveau née, sûrement occupée à beaucoup plus important que mes petites affaires. Je jetai un coup d’oeil à Mabel à la dérobée, les gestes qu’elle avait pour Rosalie. Je sentais la bile dans l’arrière de ma gorge, consciente que je n’avais pas digérer le passé.
On ne s’était jamais vraiment expliqué - on s’était disputé à son départ pour Londres, je lui avais écrit des longs mails… J’avais un peu fondu les plombs, à ce moment-là, j’avais fait d’immenses crises de colère, de jalousie, je m’étais sentie trahie, peut-être plus que de raison, mais Mabel avait cassé quelque chose sans un semblant d’explication… Parfois, je me disais que j’avais peut-être trop demandé d’elle, dans ma possesivité maladive, mon besoin d’intensité, de loyauté extrême ; qu’elle avait voulu fuir ma co-dépendance. Bien joué, elle avait réussi son coup : aujourd’hui, nous étions presque deux inconnues, et j’étais co-dépendante d’un fantôme, ou de la projection que je me faisais de Mabel d’après ses posts instagram.
« Il y a eu la série Together qui est sortie en octobre, oui, mais en ce moment j’ai deux projets de films. Une petite romcom queer Netflix, c’est léger mais cool en terme de représentation, et puis j’ai un autre film un peu plus sérieux ensuite… J’espère que ça renforcera ma crédibilité en tant qu’actrice. » On arriva au parc et on s’installa sur un banc. Je bus une gorgée de mon café qui me brûla le bout de la langue. « Enfin, après, pour la crédibilité, je suis plutôt contente, j’ai été nommée pour un Golden Globes, pour mon rôle dans Together justement, donc… » Je n’avais pas pu m’en empêcher, il fallait que je le place ; j’avais trop besoin de prouver ma valeur devant les membres de ma famille. Je regardai Mabel, et son visage fatigué, et je me sentis mal un instant. « Désolée, je sais que tu ne traverses pas une période facile et je suis là à me vanter… » Je mordis ma lèvre. « Une mauvaise habitude des Griffiths, pas vrai ? »
Je me tournai vers ma cousine, affrontant son regard.
« Je suis vraiment désolée pour ton divorce. Je… Je n’ai aucune idée de ce que ça fait de divorcer, évidemment, mais je suis un peu la championne de me faire briser le coeur par toutes les meufs dont je tombe amoureuse, alors je compatis. » Je lui fis un petit sourire. « Tu te sens comment ? Ca doit être dur de le revoir tout le temps, de gérer ça avec Rosalie, non ?... Enfin, on est pas obligé d'en parler. » Rajoutai-je un peu précipitamment. Après tout, nous n'étions plus vraiment proches, et ce genre de conversations n'était plus dans nos habitudes....
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
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Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 12934 POINTS : 560
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by mel-graph ; Image signa by yahoo ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
Did you have to do this? I was thinking that you could be trusted. Did you have to ruin what was shining? Now it's all rusted ∆ Taylor Swift, Bad blood
Peut-être que Mabel n'aurait pas dû lancer la conversation sur les contrats d'actrice de Marceline. Elle savait que sa cousine avait fait une série qui avait plutôt bien fonctionné, même si entre deux insomnies et trois biberons, elle n'avait eu le temps de voir que le premier épisode. Elle ne s'attendait pas à ce que sa cousine ait eu d'autres rôles, ni même ait été nominée pour un prix important.
« Félicitations ! Les Golden Globes, c'est une belle reconnaissance du métier ! »
Elle serra un peu plus fort sa tasse entre ses mains. La jalousie lui brûlait le ventre, mais elle le cachait derrière un sourire un peu forcé - qu'elle pouvait aisément faire passer pour de la fatigue. En un sens, heureusement qu'elle avait Rosalie avec elle, ça lui permettait de ne pas être les yeux dans les yeux avec Marceline, ayant l'excuse de devoir surveiller que tout allait bien pour sa fille.
« Les mauvaises habitudes des Griffiths, on a pas assez de doigts pour les compter » reprit-elle, essayant de détendre l'atmosphère.
Se vanter était une manière de cacher son manque de confiance en soi, pour les Griffiths. Se cacher et jouer un rôle, en permanence, et surtout en face des autres membres de la famille. Après tout, la dernière fois que Mabel avait été honnête avec Marceline, elles étaient encore adolescentes, avant son départ pour Londres.
Elle ne s'attendait donc pas à ce que sa cousine ose lui poser des questions sur le divorce. Elle n'avait pas été au mariage, n'avait pas vu Mabel tomber amoureuse, n'avait pas vraiment suivi sa grossesse non plus. L'écart s'était creusé entre elles, et si Mabel avait vu de loin le coming out de sa cousine - et l'avait soutenue dans quelques posts instagram -, elle n'avait aucune idée de sa vie amoureuse actuelle.
« J'imagine qu'une rupture ou un divorce, ça reste la même chose. C'est jamais facile, quand on aime quelqu'un mais que l'histoire se termine » reprit-elle, doucement, la voix déjà un peu éraillée par la tristesse. « Ce qui change vraiment entre mon divorce et tes ruptures, c'est le fait qu'on vivait ensemble depuis longtemps, et qu'on a un enfant. »
Mabel n'était pas une spécialiste des ruptures, la seule lui ayant fait vraiment mal étant celle avec Rhett. Les autres, elle s'était juste contentée de partir et de tourner la page. Et si elle rencontrait ses ex lors d'un défilé ou d'un contrat, ça ne lui faisait rien. Là, même si elle voulait plus que tout tourner la page, elle ne pouvait pas. Elle était liée à cet homme pour toujours, parce qu'ils avaient un enfant pour qui ils se devaient de mettre de côté leurs différents et garder une relation au minimum neutre, au mieux sympathique, pour le bien de Rosalie.
« Mais je pense pas que tu veuilles entendre tout ça ? C'est pas vraiment un sujet très... Que j'ai envie d'aborder. »
Elle était encore à fleur de peau, Mabel, même si les hormones commençaient à se stabiliser. Mais le divorce et le manque de sommeil n'aidaient à apparaître apaisée, et le sujet restait douloureux, trop peut-être pour être abordé dans un parc, un café à la main. C'était le genre de choses qui méritait une alcôve sombre et une bouteille de vodka, au minimum...
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Une énième honeymoon phase qui s'est terminée en cris, en larmes et en rupture. Marceline commence à se demander si au fond, ce n'est pas elle le problème. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 814 POINTS : 0
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Nina 01 | Spencer 02 | Mabel 12 | Dina 01 | Movie Drama Club
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
And I can go anywhere I want Anywhere I want, just not home And you can aim for my heart, go for blood But you would still miss me in your bones And I still talk to you (when I'm screaming at the sky) And when you can't sleep at night (you hear my stolen lullabies)
« Félicitations ! Les Golden Globes, c'est une belle reconnaissance du métier ! »
Comme lorsque Maddy m’avait complimenté lorsque je l’avais croisé le jour de l’annonce des Golden Globes, je sentis une chaleur dans ma poitrine, et une excitation digne d’une enfant qu’on félicitait pour un beau dessin. C’était insupportable ce besoin de reconnaissance familiale - j’avais beau dire que j’étais détachée, que je m’en fichais, c’était toujours pareil.
« Les mauvaises habitudes des Griffiths, on a pas assez de doigts pour les compter. »
J’eus un petit rire - l’auto-dérision était nécessaire pour faire partie de cette famille que l’on savait être dysfonctionnelle. Pendant un moment, j’avais cru que peut-être nous allions réussir, au moins Mabel et moi, à faire front à ce fonctionnement, à dépasser les mauvais réflexes familiaux. Maddy était une adolescente trop parfaite pour s’opposer frontalement, mais Mabel et moi, nous avions cette fureur de vivre qui aurait pu nous tirer de là. Sans grand succès, finalement… Tout s’était écroulé comme un chateau de carte. Comme le mariage de Mabel, visiblement…
« J'imagine qu'une rupture ou un divorce, ça reste la même chose. C'est jamais facile, quand on aime quelqu'un mais que l'histoire se termine. Ce qui change vraiment entre mon divorce et tes ruptures, c'est le fait qu'on vivait ensemble depuis longtemps, et qu'on a un enfant. »
Et quelle différence… J’hochai la tête, pensive. C’était clairement assez vertigineux de se dire qu’elle était liée pour toujours avec la personne qui venait probablement de lui briser le coeur.
« C’est vrai que ça fait une sacrée différence, quand même.... »
Je bus une gorgée de mon café, le coeur serré ; j’avais l’impression de n’avoir aucun mot pour aider Mabel, elle qui m’avait confié toutes ses histoires d’amour adolescentes quand nous étions jeunes, et que j’avais pris l’habitude de réconforter ou questionner. Maintenant, il ne restait plus grand chose.
« Mais je pense pas que tu veuilles entendre tout ça ? C'est pas vraiment un sujet très... Que j'ai envie d'aborder. »
Je me sentis rougir, et j’agitai mes mains pour chasser le malaise : « On est pas obligé d’en parler ! Je ne voulais juste pas faire comme si de rien était. » Je grimaçai, un peu gênée. « On ne doit pas avoir un très bon karma amoureux en ce moment, les Griffiths : entre ton divorce, Maddy qui est enceinte d’un inconnu, et ma dernière copine qui avait omis de me dire qu’elle était déjà en couple… » J’eus un petit rire. « Si mes parents en avaient quelque chose à faire, ils seraient horrifiés ! » J’haussai les épaules. Mabel n’était pas sans savoir que mes parents, obsédés par leur propre relation, ne se préoccupait pas de grand chose, si ce n’était eux-mêmes. Il était impossible de pénétrer dans leur bulle. « Tes parents ne te font pas trop chier sur tout ça, ça va ? » Demandai-je, consciente que mon oncle et ma tante n’étaient pas les personnes les plus bienveillantes du monde.
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 12934 POINTS : 560
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by mel-graph ; Image signa by yahoo ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
Did you have to do this? I was thinking that you could be trusted. Did you have to ruin what was shining? Now it's all rusted ∆ Taylor Swift, Bad blood
A une époque, Marceline et Mabel se disaient tout. Des confidences échangées dans des murmures, tard le soir ; des blagues contre Maddy ; les armoires partagées pour mélanger leurs styles... Elles avaient été complices, inséparables même, si proches avec leurs caractères affirmés et quelque peu rebelles. Si loin de Maddy-si-parfaite, plus sage et posée.
Mais maintenant, alors qu'elle se retrouvait vraiment face à sa cousine, Mabel voyait surtout combien elles étaient devenues différentes. Et elle ne parlait même pas du fait qu'elle était en vieux jean et t-shirt caché face à une Marcel prête à poser dans un magazine de mode... Sa cousine avait la carrière dont Mabel avait rêvé si longtemps, la vie qu'elle voulait encore, surtout quand les nuits étaient entrecoupés de réveils beaucoup trop fréquents et qu'elle était désormais seule à gérer.
« Je crois que mes parents sont assez horrifiés pour quatre, concernant nos histoires d'amour, si ça peut te rassurer ! »
Elle ignora le "inconnu" que Marceline avait laissé échapper - si Maddy ne voulait pas dire à leur cousine qui était le père du bébé, c'était bien son choix. En revanche, elle devait insister sur le fait que Mark et Matilda étaient bien alarmés des décisions amoureuses des trois filles. Pas qu'ils soient tristes ou désemparés pour elles, mais ils estimaient que l'image était plus importante que tout. Si l'homosexualité de Marcel était déjà fortement jugée, le fait d'y rajouter un bébé hors mariage et un divorce ne faisait pas du tout leurs affaires.
« L'avantage, c'est qu'on fait scandale à peu près au même moment, ils peuvent pas être sur le dos d'une seule d'entre nous en permanence ! » lâcha-t-elle, un brin sarcastique. « Mais clairement, mon divorce ne les enchante pas. A les entendre, j'aurai dû engager des nourrices pour ma fille, et me consacrer uniquement à mon mari... »
L'enfance qu'elle avait eu, en soit. Maddy et elle avaient été de beaux bébés à faire parader devant les photographes, mais elles n'étaient certainement pas le fruit d'un désir profond de parentalité. Elles n'avaient jamais jouées avec leurs parents, et Mabel avait détesté voir défiler les nourrices, sans savoir si celle qui les levait serait encore là à leur coucher...
« Je suis désolée que ça n'ait pas marché avec ta dernière copine. C'est jamais drôle de découvrir qu'on est trompé, et qu'on est la maîtresse » reprit-elle, plus doucement, légèrement inquiète.
Marceline semblait presque en plaisanter, et si la situation la touchait vraiment, ce n'était sans doute pas à Mabel qu'elle allait en parler. Mais la jeune femme voulait tout de même témoigner de son soutien. Les ruptures, ce n'était jamais simple, et elle était particulièrement bien placée pour le savoir.
« Quoi qu'être sélectionnée pour un Golden Globe doit soigner toutes les peines » remarqua-t-elle, cachant sa propre jalousie derrière sa tasse de café. « Tu as réfléchis à ce que tu allais porter pour éblouir tout le monde ? »
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Une énième honeymoon phase qui s'est terminée en cris, en larmes et en rupture. Marceline commence à se demander si au fond, ce n'est pas elle le problème. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 814 POINTS : 0
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Nina 01 | Spencer 02 | Mabel 12 | Dina 01 | Movie Drama Club
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
And I can go anywhere I want Anywhere I want, just not home And you can aim for my heart, go for blood But you would still miss me in your bones And I still talk to you (when I'm screaming at the sky) And when you can't sleep at night (you hear my stolen lullabies)
« Je crois que mes parents sont assez horrifiés pour quatre, concernant nos histoires d'amour, si ça peut te rassurer ! »
J’eus un rire bref mais sincère, et regardai Mabel d’un air entendu. C’était étrange, cet éclat de complicité que nous pouvions avoir, après des années d’éloignement, simplement parce que nous avions ce socle commun que nous avions partagé à des moments si formateur de nos vies. On se comprenait, bien sûr ; ou du moins j’avais l’impression, même si au fond j’étais bien loin de savoir qui était Mabel à présent. Dire qu’elle était mère ! Mabel, ma Mabel, celle qui faisait le mur et se débrouillait pour nous acheter de l’alcool, me conseillait sur comment embrasser quelqu’un, avec qui je riais jusqu’à en avoir mal aux côtes.
« Il faudrait pouvoir mixer l’indifférence de mes parents avec le surinvestissement des tiens, on pourrait enfin obtenir un juste équilibre un plus sain…» Plaisantai-je.
Au fond, j’étais tout à fait sérieuse. Les parents de Mabel étaient tellement etouffants dans leur jugement, leur façon de s’impliquer et fourrer leur nez partout. Je faillis demander à Mabel si cela lui avait fait du bien de quitter l’Australie, si elle s’était sentie plus légère, mais l’idée de mettre Londres et notre éloigenement sur le tapis me fit peur.
« L'avantage, c'est qu'on fait scandale à peu près au même moment, ils peuvent pas être sur le dos d'une seule d'entre nous en permanence ! Mais clairement, mon divorce ne les enchante pas. A les entendre, j'aurai dû engager des nourrices pour ma fille, et me consacrer uniquement à mon mari... »
Je grimaçai.
« Ah c’est sûr que les nourrices, c’est vraiment super… » Dis-je ironiquement. Mes cousines et moi avions grandi dans le même genre de famille, celle où les parents absents paient pour que les enfants soient entourés, sans jamais s’inquiéter que l’aspect transactionnel et instable influence l’attachement développé. « C’est super courageux de t’occuper de Rosalie toi-même et que tu t’en sors très bien… »
C’était drôle de dire ça, vu ce que je connaissais de Mabel, mais en voyant comment elle tenait ce petit bébé dans les bras, je n’avais réellement aucun doute sur l’amour qu’elle lui portait.
« Je suis désolée que ça n'ait pas marché avec ta dernière copine. C'est jamais drôle de découvrir qu'on est trompé, et qu'on est la maîtresse. »
Mon coeur se pressa dans ma poitrine. Je me souvenais de nuit passer à discuter, à raconter mes peines de coeur à ma cousine - à l’époque, j’étais une ado qui s’entichait du moindre garçon, cherchant perpétuellement à combler cet étrange trou dans ma poitrine, cette pièce de puzzle manquante qui me faisait me sentir à part. Il avait fallu du temps pour comprendre que je cherchais au mauvais endroit ; à présent, je n’avais pas plus de chance en amour, mais je savais que cette frénésie pour les garçons n’étaient qu’une fuite en avant de ce que je savais, bien caché tout au fond de moi.
« Quoi qu'être sélectionnée pour un Golden Globe doit soigner toutes les peines. Tu as réfléchis à ce que tu allais porter pour éblouir tout le monde ? »
J’étais tiraillée entre l’envie de me vanter, par pur esprit de compétition donc je n’arrivais pas à me défaire devant mes cousines, et ce malaise face à Mabel qui avait l’air si fatiguée et peinée. Mais j’avais travaillé dur pour cette carrière, je n’avais pas déméritée ; et je savais pertinemment que si je stalkais mes cousines, l’inverse n’était probablement pas vrai. Mabel avait littéralement un bébé… Elle avait sûrement mieux à faire.
« Malheureux en amour, heureux en carrière, c’est une expression ça tu crois ? » Demandai-je avec un petit rire. « Je n’ai pas encore ma tenue, mon agente est en contact avec des créateurs… Mais c’est vrai que je suis aux anges. La réception de la série a été super, mais là, ça s’emballe. Je reçois régulièrement des scripts, j’ai des projets en cours, c’est vraiment mon rêve qui se réalise et - » Je me coupai. Un peu plus loin, une jeune fille avait pointé son téléphone vers nous, d’un geste qu’elle croyait discret. Je me raidis, et instinctivement, je posai ma main sur le bras de Mabel pour la décaler du champ de vision de l’appareil photo, la cachant presque derrière ma silhouette, et être sûre que Rosalie n’était pas visible. J’ignorais à quel point Mabel était facilement reconnue dans la rue : pour ma part, à présent, cela m’arrivait quasiment quotidiennement. « Mais ce rêve a un prix, je suppose. » Dis-je en serrant les dents, amère, incapable de cacher mon agacement, moi qui essayais pourtant de montrer à ma cousine combien ma réussite était enviable.
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but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company
:
Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 34 ans (15.08.1990) SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Mère d'une petite Rosalie. Aiden a laissé les addictions gagner et est parti en laissant son cœur en miette derrière. MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice confirmée LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 12934 POINTS : 560
TW IN RP : Alcoolisme (plus si ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Maden ∆ This ain't for the best ; my reputation's never been worse, so you must like me for me
Carmine ∆ Make it last forever, friendship never ends
Marley ∆ The best way to destroy an enemy is to make him a friend.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by mel-graph ; Image signa by yahoo ; Userbars by loonywaltz) DC : Olivia Welch (Emma Stone) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
Did you have to do this? I was thinking that you could be trusted. Did you have to ruin what was shining? Now it's all rusted ∆ Taylor Swift, Bad blood
Mabel retint un ricanement peu élégant. Sa cousine avait raison, leurs parents avaient beau agir de manière diamétralement opposée, ils étaient aussi toxiques les uns que les autres. A se demander comment elles avaient survécu, toutes les trois, au milieu de tout ça...
« Je me voyais pas laisser ma fille à des nourrices » reprit-elle, ignorant le "courageux" dont Marceline la gratifiait. « Je les détestais quand j'étais petite, alors comment j'aurais pu imposer ça à ma fille ? »
Elle n'était pas contre faire garder sa fille quelques heures par semaine, pour travailler ou avoir un peu de temps pour elle-même. Mais elle était incapable d'embaucher une armée de nourrices qui prendraient soin de Rosie du matin au soir, ne la laissant s'occuper de sa fille que lorsqu'elle voudrait mettre en avant sa maternité...
Même si, aux yeux de ses parents, c'était une manière de détruire son couple. Elle n'en était pas persuadée, son temps dans le groupe de first time mums lui ayant appris que l'arrivée d'un enfant était difficile pour tout le monde. Et elle était la seule à devoir gérer un divorce en plus, c'était donc qu'il ne suffisait pas d'un personnel de maison qualifié pour sauver les apparences !
Etre malheureux en amour était peut-être une malédiction des Griffiths - ajoutée à leur incapacité à communiquer. Marceline ne semblait pas plus chanceuse en amour, et Mabel en était assez triste. Elles avaient toutes la trentaines, et aucune d'elles n'était vraiment heureuse - Maddy avait son futur bébé mais pas d'amoureux, elle qui avait toujours été la plus romantique ; Mabel avait un bébé et sa carrière de mannequin, mais était en plein divorce et avait du mal à décrocher des rôles d'actrice ; et Marcel triomphait dans sa série mais était seule dans son appartement...
« C'est bien si ta carrière fonctionne bien » prit-elle quand même le temps de dire.
Marceline était fière - à raison - de son entrée dans le monde des acteurs. Elle le méritait, même si Mabel n'avait eu le temps de ne voir que quelques épisodes de la série, avant que Rosie ne vienne bouleverser sa vie en naissance en fanfare au beau milieu du réveillon de Noël. Elle restait un brin jalouse de sa cousine, pourtant, rêvant de la même chance.
Elle n'eut pas vraiment le temps de se morfondre pour autant, sentant Marcel la pousser doucement. Par réflexe, elle mit ses mains autour du petit corps de Rosie, pressé contre le sien, avant d'observer ce qu'il se passaient autour d'elles. Une adolescente avait son téléphone pointé sur les cousines, une moue légèrement choquée sur son visage - elle ne s'attendait sans doute pas à être repérée si rapidement, ce qui signifiait peut-être qu'elle n'avait pas eu le temps de prendre de photos.
« On ne s'habitue jamais vraiment à ça, mais on apprend à se cacher » dit-elle à Marceline. « Le visage de Rosie n'est pas visible, le reste m'intéresse assez peu. »
La seule photo qu'elle avait partagé de sa fille était celle prise à la naissance, sa bouille de bébé encore ridée et ressemblant à n'importe quel autre bébé brun. Depuis, elle coupait les photos ou floutait le visage de son enfant, ne voulant pas afficher Rosalie sans son consentement - elle n'avait que trop conscience du regard du public, et du poids que ça pouvait avoir sur sa santé mentale.
« Mais on peut aller vers un endroit plus isolé. C'est à double tranchant, les gens peuvent soit se sentir plus à l'aise pour venir nous voir, soit hésiter un peu plus et moins oser nous suivre. »
Elle laissait le choix final à sa cousine. Marceline allait devoir apprendre à gérer tout ça dans les mois à venir, surtout à mesure que les Golden Globes approchaient. Tout le montre voudrait son petit moment de gloire aux côtés de la dernière actrice révélée, et Marcel aurait bientôt à décider de si les gens qui l'approchaient étaient intéressés ou non.
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion. SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel. STATUT : Une énième honeymoon phase qui s'est terminée en cris, en larmes et en rupture. Marceline commence à se demander si au fond, ce n'est pas elle le problème. MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la mini-série Netflix "Together" pour laquelle elle a gagné un golden globe. Actuellement en tournage pour l'adaptation du livre de l'ex de son ex (cherchez pas). Prof de théâtre bénévole à Manzili. LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End. POSTS : 814 POINTS : 0
TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool, homophobie GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : esfp | vétérante tumblr & avide lectrice de fanfiction | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart & fan invétérée de Glee | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | chanceuse en carrière, malheureuse en amour | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"DISPONIBILITÉ RP : Je ne suis pas disponible CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699 RPs EN COURS : Nina 01 | Spencer 02 | Mabel 12 | Dina 01 | Movie Drama Club
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones"
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night."
And I can go anywhere I want Anywhere I want, just not home And you can aim for my heart, go for blood But you would still miss me in your bones And I still talk to you (when I'm screaming at the sky) And when you can't sleep at night (you hear my stolen lullabies)
« Je me voyais pas laisser ma fille à des nourrices. Je les détestais quand j'étais petite, alors comment j'aurais pu imposer ça à ma fille ? »
J’hochai la tête d’un air entendu. Bien sûr que ce que disait Mabel me parlait : mes parents n’avaient jamais été capable d’être présent pour moi, préférant acheter mon affection avec une armée de nourrices et en cédant à tous mes caprices, ignorant tout de qui j’étais, ma personnalité. Ils étaient bien trop occupés à s’aimer, dans ce duo si fort qu’il effaçait tout le reste.
« Je les détestais aussi. J’avais tellement de nounous en grandissant, mes parents ne savaient même pas quel genre d’enfants j’étais, ils n’étaient jamais là pour le voir et n’y prêtaient jamais attention, » dis-je d’un ton amer.
Mais maintenant, c’était l’inverse : on prêtait enfin attention à moi. Les abonnés instagram ne cessaient d’augmenter chaque jour, avec un flot constant de commentaires, de likes, de messages. J’en avais souvent la tête qui tournait, toute cette validation, cette affection qui noyait facilement les commentaires négatifs, et pourtant… Cette immense vague me paraissait trop grande, et elle m’avalait tout entière. Ce n'étaient même pas les critiques qui m’atteignaient le plus - bien qu’évidemment, qui appréciait être jugée constamment ? - mais simplement cette scrutinité constante qui avait chamboulé toute ma vie et mes habitudes.
« On ne s'habitue jamais vraiment à ça, mais on apprend à se cacher. Le visage de Rosie n'est pas visible, le reste m'intéresse assez peu. »
J’eus un petit sourire triste malgré moi. L’idée de me cacher pour vivre ma vie comme je l’entendais ne me convenait guère. Je secouai la tête, me rappelant les rôles qui m’attendaient, la cérémonie des Golden Globes, ma maison, l’état de mon compte en banque ; c’était tout ce dont je rêvais, me rappelai-je. Mais j’étais en colère : je n’avais pas envie que la première conversation amicale que j’avais avec ma cousine depuis des années soient documentée par des inconnus, ou pire encore, dans la presse people.
« Mais on peut aller vers un endroit plus isolé. C'est à double tranchant, les gens peuvent soit se sentir plus à l'aise pour venir nous voir, soit hésiter un peu plus et moins oser nous suivre. »
Je regardai Mabel, un peu étonnée. J’étais persuadée qu’elle allait utiliser ce moment de flottement pour partir, prétexter une obligation ou quelque chose pour couper court. Mais visiblement, elle voulait bien rester discuter et siroter nos cafés ensemble. Mon cœur palpitait dans ma poitrine, et j’essayais de calmer mes émotions contradictoires ; j’étais contente d’être avec Mabel, mais la rancœur était toujours acide dans mon estomac.
« Restons ici pour l’instant, » dis-je avec un sourire. J’avais peur qu’en cherchant un endroit plus calme, on se fasse remarquer un peu plus, ou que Mabel ait soudain envie de partir. « Alors, raconte moi, c’est quel genre de bébé, Rosalie ? Sage comme une Maddy ou rebelle comme une Mabel ? » Demandai-je d’un ton amusé, relançant la conversation sur le sujet qui semblait mettre ma cousine le plus à l’aise, essayant de profiter de ces quelques minutes de répit dans notre relation tumultueuse…
hand on the throttle, thought i caught lightning in a bottle
but it's gone again and it was written, i got cursed like Eve got bitten, oh, was it punishment? pad around when i get home, i guess a lesser woman would've lost hope, a greater woman wouldn't beg, but i looked to the sky and said, please, i've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company