ÂGE : trente-deux bougies soufflées (née le 14 février 1992) SURNOM : La fée, la princesse, surtout donnés par les enfants. La reine guimauve par ta princesse personnelle. STATUT : En couple avec une princesse au goût de pomme et à l'accent latin. MÉTIER : Ancienne mannequin, tu as tout plaqué avant d'entreprendre des études de stylisme. Depuis tu es styliste indépendante, travaillant sur commande. Tu es également bénévole à l'association Beauregard, animant des ateliers coutures avec les enfants. LOGEMENT : Tu habites un appartement au 288 Orchid Street Redcliffe en compagnie de ta princesse. Il te sert également d'atelier de confection. Une pièce est entièrement consacrée à ton travail. POSTS : 6721 POINTS : 60
TW IN RP : L'anorexie peut être évoquée. TW IRL : Rien de spécial mais n'hésitez pas à me prévenir avant d'aborder un sujet sensible.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : sociable - étourdie - rêveuse - toujours souriante - excentrique - très tactile - adore le chocolat - à l'aise avec les enfants - porte toujours une robe ou une jupe peu importe la saison / météo - aime entendre la pluie tomber - le parc est sa deuxième maison - oublie très régulièrement son téléphoneCODE COULEUR : Cette fée parle en #ff66ff RPs EN COURS :
Itziar : Ta princesse, ta complice, ta moitié, ton tout. L'unique capable de te comprendre dans ton entièreté.
Pourquoi ton réveil sonne un samedi matin à 7h ? Ce n’est clairement pas dans tes habitudes. D’habitude, à cette heure-là, tu es encore au lit à rêver. Tu n’es pas malade. Tu n’es pas plus tombée du lit. Tu n’as pas fait une fausse manipulation avec ton téléphone et activité par erreur cette alarme. Tout est volontaire. Tu as même été ravie de l’entendre bien que ça t’aie sortie de ta partie de cache-cache au pays des licornes. Tu l’as été car cette sonnerie marque le début d’un week-end particulier. Un week-end détente avec ta princesse. Et la raison de ce réveil matinal se situe dans son déroulé. Tu n’as pas choisi de rester sagement à votre appartement. Vous allez sortir, vous évader de votre quotidien. Et si tu aurais pu te contenter de rester en ville pour cela, tu as préféré t’en éloigner pour t’assurer qu’elle se déconnecte. Tu n’as pas choisi une destination lointaine non plus. Il serait bête de passer plus de temps sur la route qu’à profiter de l’endroit. Tu as opté pour une virée à Birbie Island, une petite île au nord de Brisbane, à deux heures de chez vous. Tu l’as fait pour flatter son sang espagnol et ses envies de baignade. Et aussi pour la possibilité de camper sur le sable. Ceci te replongera dans ton enfance avec tes parents et tes frères lors de vos vacances. Tu en gardes de bons souvenirs. En espérant qu’aucun petit crabe viendra vous embêter durant votre sommeil. En espérant avant tout que tu n’as pas oublié comment monter la tente. Si c’est celle de ton enfance empruntée pour l’occasion à tes parents, son mode d’emploi n’est pas ce que tu as le mieux retenu de vos escapades. Tu as davantage retenue les batailles d’eau avec tes frères, tes constructions de sable ou encore les crêpes englouties achetées chez le marchand ambulant. A deux, vous devriez bien y arriver. Au pire, vous trouverez une âme charitable pour vous aider. Avec son sourire solaire, personne ne peut lui résister même si tu reconnais manquer d’objectivité à ce sujet. Et d’un côté, alors que tu reviens de la salle de bain et que tu aperçois son visage, tu te demandes qui pourrait te contredire. « Il est l’heure de partir à l’aventure ! » Elle est habillée, chaussée, et a sa valise à ses pieds. Plus rien ne vous retient ici. Hormis toi, qui dois encore mettre tes chaussures. Ce que tu t’empresses de faire. Tu les as préparées la vieille pour éviter de perdre du temps en hésitant. Tu n’as pas choisi les plus assorties à ta robe à rayures horizontales en nuance de teintes de roses. Tu as pensé au confort de la conduite et de la marche au cas où vous partiriez explorer l’île. Tu attrapes ton bagage minimaliste. Il ne contient que tes sous-vêtements de rechange et un maillot de bain. Au préalable, tu glisses ton bras dans le trou de ta bouée fétiche. Hors de question de te baigner sans. De ta main de libre, tu saisis les doigts de la blonde. Tu l’entraines à l’extérieur. Tu marques une pause afin qu’elle ferme à clé votre domicile. La porte verrouillée, vous filez dehors. Les doux rayons du soleil illuminent vos silhouettes. Tu salues votre voisine en train de promener son chien, visiblement étonnée de te croiser de si bonne heure à en croire son faciès. Tu te diriges vers ta voiture. Tu lâches les doigts de ta princesse afin d’ouvrir le coffre. Tu le charges de vos cabas avant d’aller d’installer derrière le volant. Tu patientes qu’Itziar prenne place sur son siège pour mettre ton portable en mode GPS et l’accrocher sur son support. Tu boucles ta ceinture, Itziar en fait de même, avant de t’engager dans la circulation fluide. « Deux heures à tenir avant d’arriver au paradis ! » Tu glousses. Tu es de très bonne humeur. Comme toujours en sa compagnie. « Je te laisse gérer la musique. » Ce sera plus sympa que de se coltiner le ronronnement du moteur.
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Smile, color & dream
Pink is more than a color, it's a lifestyle. by anaëlle.
Itziar Cortés de Aguilar
les nouvelles opportunités
ÂGE : 30 ans. (29.01.1994) SURNOM : Izzie. STATUT : So say we'll be always, always. Say it will be you and me 'til the old days. Let us be always, always. Through the highs and the lows, we'll be always. MÉTIER : Co-propriétaire du Paradise City, un club de strip venant d'ouvrir à Redcliffe. Elle passe le plus clair de son temps à servir des verres derrière le bar. LOGEMENT : Elle a quitté le loft de Spring Hill pour s'installer avec Rose au 288 Orchid Street à Redcliffe. POSTS : 21852 POINTS : 40
TW IN RP : Consommation d'alcool (modérée), tabagisme, monde de la nuit. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : A Brisbane depuis mai 2017 - Diplôme de communication et management obtenu en 2021 - Ancienne gosse de riche - Passe son temps à la plage à ses heures perdues - Joue de la guitare - Son père à passé six ans en prison - Ne tient pas en place. CODE COULEUR : #cc9999 RPs EN COURS : ROSE ❥ Cause baby when I sleep, I dream of you. And when I'm awake, that's all I do. Think about every detail you have. Do you know how in love with you I am? Do you see how in love with you I am ? Every thing that you do, it makes my heart stop.
LARA ❥ Oh so, dressed so fancy like Sid and Nancy. Walkin' Killer Queen, gotta keep 'em guessin'. So baby come pass me a lighter. We're gonna leave 'em on fire. We're the sinners and the blessings.
NATHAN ❥ If we go down, then we go down together. They'll say you could do anything. They'll say that I was clever. If we go down, then we go down together. We'll get away with everything. Let's show them we are better
EASY² ❥ We put our glass to the sky and lift up. And live tonight cause you can't take it with ya. So raise a pint for the people that aren't with us and live tonight cause you can't take it with ya.
(#) Sujet: Re: Vamos a la playa ! - [Itziar] Dim 28 Avr 2024 - 19:21
Se lever de bonne heure n’avait jamais été un problème pour Itziar. Elle est de ces personnes qui n’aiment pas perdre du temps et qui voient en chaque journée la possibilité de vivre des aventures diverses et variées. Ce qui la motive, c’est l’extérieur, le vivant. Dormir serait presque une perte de temps à ce stade bien qu’elle reconnaisse parfois que le sommeil est aussi salvateur que nécessaire. Elle n’est pas de ceux qui repoussent leur réveil un nombre incalculable de fois avant de se lever bien qu’elle ne soit pas forcément des plus ponctuelles. Le sommeil n’a jamais été la cause de ses retards. Alors, se lever aux aurores alors qu’elle n’a pas besoin d’aller bosser, ce n’est pas un exploit, mais plutôt la routine. Que ce soit pour aller surfer, courir ou simplement profiter du calme matinal pour se balader, elle était du genre à profiter de chaque heure que la journée pouvait lui donner. Ce matin, bien que ne travaillant pas du week-end, elle ne faisait pas exception à ses habitudes et pour cette occasion un peu particulière, elle avait emmené Rose avec elle. L’australienne, à l’inverse, n’était pas la personne la plus du matin qui soit. Cependant, ce matin, elle avait fait l’effort, elle s’était levée à l’aube, avec Itziar. C’était pour la bonne cause et c’était peut-être l’argument qui avait rendu le réveil si facile. Il en était de même pour Itziar et son étonnante ponctualité. Prête à partir à l’heure avec sa valise et toutes ses affaires. Ses lunettes de soleil sur la tête et ses tongs aux pieds, accessoires indispensables pour le week-end à venir.
Elle avait hâte d’y être, l’espagnole. Et quand elle s’installe dans la voiture, elle se dit que les deux heures qui les séparaient de leur destination allaient lui paraître sans doute un peu plus longues que ce qu’elles ne seraient réellement. Quoi que. Elle était avec Rose, en route pour une destination qui allaient leur permettre de déconnecter pour le week-end et elle était en charge de la musique. Un petit air de vacances bien mérité. C’était tout ce qu’il fallait pour la rendre heureuse, elle, qui pourrait sans l’ombre d’un doute vivre d’amour et d’eau fraîche. “J’ai carte blanche pour la musique ?” Demande-t-elle en sortant son téléphone de sa poche pour le connecter à l’autoradio. Les goûts musicaux de l’espagnole étaient on ne peut plus éclectiques bien qu’elle avait un amour particulier pour les sons latinos, les sonorités de sa langue maternelle agissant comme une madeleine de Proust. C’était pour elle le style musical, avec la musique afro, qui représentait au mieux l’ambiance de vacances, soleil et plage. Alors, il était certain que c’était ce qu’elle risquait d’envoyer à fond durant les deux heures de route. De quoi chanter à tue-tête et faire passer le temps bien plus vite, finalement. “Comment t’as eu l’idée d’aller à Birbie Island ?” Demande-t-elle à Rose avant d’ajouter. “T’as déjà campé là-bas ?” Après tout, la petite île au nord de la ville n’était qu’à deux heures de route, accessible facilement pour un week-end voire même une journée pour les plus téméraires. Elle imaginait que cela pouvait donc facilement être une destination de choix pour les habitants de Brisbane à la recherche d’un poil de dépaysement.
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Rose Grant
la fée dragée
ÂGE : trente-deux bougies soufflées (née le 14 février 1992) SURNOM : La fée, la princesse, surtout donnés par les enfants. La reine guimauve par ta princesse personnelle. STATUT : En couple avec une princesse au goût de pomme et à l'accent latin. MÉTIER : Ancienne mannequin, tu as tout plaqué avant d'entreprendre des études de stylisme. Depuis tu es styliste indépendante, travaillant sur commande. Tu es également bénévole à l'association Beauregard, animant des ateliers coutures avec les enfants. LOGEMENT : Tu habites un appartement au 288 Orchid Street Redcliffe en compagnie de ta princesse. Il te sert également d'atelier de confection. Une pièce est entièrement consacrée à ton travail. POSTS : 6721 POINTS : 60
TW IN RP : L'anorexie peut être évoquée. TW IRL : Rien de spécial mais n'hésitez pas à me prévenir avant d'aborder un sujet sensible.GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié. PETIT PLUS : sociable - étourdie - rêveuse - toujours souriante - excentrique - très tactile - adore le chocolat - à l'aise avec les enfants - porte toujours une robe ou une jupe peu importe la saison / météo - aime entendre la pluie tomber - le parc est sa deuxième maison - oublie très régulièrement son téléphoneCODE COULEUR : Cette fée parle en #ff66ff RPs EN COURS :
Itziar : Ta princesse, ta complice, ta moitié, ton tout. L'unique capable de te comprendre dans ton entièreté.
Vous venez à peine de partir que tu as déjà hâte d’arriver. L’impatience se lit dans ta conduite. Toi qui es d’habitude si calme au volant, tu es plus nerveuse. Évidemment tu n’en es pas à massacrer ta pédale d’accélérateur pour gagner du temps. Tu restes respectueuse du code de la route, disciplinée. Enfin, tu reconnais ne pas l’être totalement, jetant déjà régulièrement des regards sur ta passagère au lieu de river tes yeux sur le bitume. Tu n’es peux rien si elle aimante tes prunelles. Elle n’a qu’à être moins belle, c’est de sa faute. Tu te rends compte une nouvelle fois de la chance que tu as d’être avec elle. Dans tes rêves les plus fous, jamais tu n’as imaginé être avec une telle princesse. Tu lui confies la musique, l’ambiance était davantage son domaine que le tien. Si tu sais qu’elle t’aime, elle est moins fan que toi des chansons Disney. Tu n’as pas tenu à lui faire subir deux heures de tes goûts musicaux. Puis si ce week-end est le vôtre, il est avant tout le sien. « Complétement ! Mets juste pas un truc qui berce sinon je risque de m’endormir. » Tu glousses. Tu es parfaitement réveillée et en forme. Tellement que dès qu’elle aurait fait son choix, tu vas te dandiner sur ton siège. Tu vas également certainement te mettre à chanter quitte à faire du yaourt et/ou inventer des paroles. Ce qui signifie lui casser les oreilles de tes fausses notes. Ma foi, Itziar est habituée à force de t’entendre chanter sous la douche ou pendant que tu fais le ménage ou pendant que tu cuisines. Il n’y a que quand tu dessines et que tu couds que tu es silencieuse, enfermée dans ta bulle artistique. Tandis qu’elle cherche sur son téléphone, elle s’interroge sur le choix de votre destination. Il est vrai que tu ne lui as jamais raconté ton enfance en dehors des concours de mini-miss et ton départ à Melbourne à tes seize ans. « Oui, à plusieurs reprises même ! Quand mon père décidait de consacrer du temps à sa famille au lieu de son travail, il nous emmenait là-bas avec ma mère et mes frères. » Des moments rares où vous avez vécu des moments de complicités père/fille. Une pointe de nostalgie se distingue dans ta voix. L’espagnole connait tes rapports compliqués avec ton paternel. Si vous n’êtes pas en conflit, il a du mal à accepter ton monde. Il est trop terre à terre pour ton univers féérique. « J’aimais bien aller là-bas. C’était toujours sympa même si c’était toujours trop court et que je voulais pas repartir. » Tu te revois encore assise par terre, les bras croisés sur ton torse, refusant catégoriquement de te lever et de monter dans la voiture, négociant ta collaboration avec une dernière crêpe. Ce que tu pouvais être capricieuse, Rose. Tu as également eu envie de lui partager un bout de ton passé, de ton histoire. Tout comme un jour tu lui partageras ton passage à Melbourne. Vous irez là-bas. Tu lui montreras où tu habitais à l’époque, le centre où tu as soigné ton anorexie, là tu as fait tes études de stylisme. Sans oublier là où se situe le meilleur glacier de la ville, en espérant qu’il y soit toujours malgré la dizaine d'années écoulées. « Alors d’ici que je veuille pas repartir dimanche soir, il n’y a qu’un pas. Au cas où, tu devrais commencer à réfléchir à comment me convaincre de rentrer chez nous au lieu de profiter de la plage, d’un diner face au coucher de soleil et d’une nuit sur le sable. » La raison est un argument en soi. Vous travaillez le lendemain. Mais tu n’es pas réputée pour être raisonnable. Surtout que tu as anticipé la chose. Tu n’as pris aucun rendez-vous lundi.
(c) DΛNDELION
Smile, color & dream
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