ÂGE : 34 ans SURNOM : Mal' - Lynch - la garce STATUT : Célibataire. Après avoir refusé une demande en mariage pour récupérer l'homme qu'elle considère comme étant l'homme de sa vie, elle semble avoir perdu ce dernier définitivement. MÉTIER : Maquilleuse professionnelle pour la télévision, le cinéma, la musique, la mode. LOGEMENT : 280 oxlade drive, Fortitude Valley. Dans un appartement qu'elle a enfin meublé mais dans lequel elle se sent étouffée par la solitude, les remords et la culpabilité. POSTS : 1899 POINTS : 1700
Ce fut avec une certaine nervosité que Marley poussa les portes du studio ABC. On l'avait contactée à peine deux jours plus tôt suite au désistement de l'une des maquilleuses. Depuis février 2015, la métisse avait définitivement délaissé les barres de pole dance afin de se consacrer à ce qui était désormais son métier : le maquillage. Pendant plus de deux ans elle avait enchaîné les petits contrats en parallèle de son métier de strip-teaseuse. Après plusieurs réussites, et après que Jackson l'ait poussée à se lancer, elle avait choisi de garder ses sous-vêtements provocants pour elle et de sortir ses plus beaux pinceaux et ses plus belles palettes. L'année 2015 commençait sous les meilleures auspices, la brune commençait à se faire un nom dans son nouvel univers et prenait petit à petit confiance en elle.
L'opportunité de maquiller une mannequin pour un défilé ayant lieu dans les studios d'ABC était une chance inouïe à côté de laquelle elle ne pouvait définitivement pas passer. Si elle était quelque peu angoissée, elle parvenait à le dissimuler avec facilité. Sa démarche était assurée lorsqu'elle se dirigea vers la loge qu'on lui avait indiquée. Lorsqu'elle entra dans la pièce, un large sourire illuminait son visage. Elle aperçut de dos une jeune femme assise. Ce devait être la mannequin dont elle avait la charge. Elle s'approcha et joyeusement lança : « Bonjour, c'est moi qui vais m'occuper de vous aujourd'hui ». Lorsque la mannequin se tourna, les sourcils de Marley se froncèrent. Oh. Si elle ne se trompait pas, elle avait face à elle Mabel Griffiths. Elle l'avait déjà aperçue à quelques reprises sur certains défilés et le moins que l'on puisse dire c'était que la mannequin n'était pas des plus faciles avec qui travailler. Sa réputation de fille capricieuse la précédait et son comportement sur les défilés n'était pas toujours très respectueux. Elle choisit néanmoins de balayer d'un revers de main ses pensées négatives et ses à priori.
Elle posa sa mallette sur une table à proximité et reporta son attention sur la jeune femme : « Avant de commencer, j'aimerais savoir... Il y a des choses que vous ne supportez pas au niveau du maquillage ? ». Si Mabel ne pouvait pas imposer ses choix elle pouvait néanmoins faire part à Marley de ce qu'elle n'appréciait pas. La maquilleuse essaierait alors de faire au mieux. Elle commença à sortir son matériel qu'elle étala méthodiquement devant elle. Elle avait besoin que tout soit en ordre sous ses yeux pour que tout soit plus clair dans son esprit. Organisée comme rarement elle l'avait été dans sa vie, la jeune femme avait à cœur de réussir en tant que maquilleuse professionnelle. Pour la première fois depuis très longtemps, elle se sentait véritablement à sa place.
made by black arrow
Que sais-tu de l'amour? Pas grand chose♛
On est tous passé par là, les mains vides, le cœur lourd Le mal au ventre, le teint livide, les yeux rougis, la gorge nouée On est tous passé par là, morale à plat Soleil éteint sans pouvoir remonter la pente À en souffrir jusqu'à haïr et dégueuler.
❝Rose noire ; Georgio❞
Mabel Griffiths
les moyens des ambitions
ÂGE : 32 ans SURNOM : Bel, Bella, la Sorcière (par Maddy), Mab (par Rhett) STATUT : Divorcée, mère d'une petite Rosalie, avec Aiden pour les caméras même si elle commence à apprécier son amitié MÉTIER : Mannequin, Chanteuse, Actrice débutante LOGEMENT : Spring Hill, #516 Water Street, dans une jolie villa à l'abri des regards POSTS : 6306 POINTS : 1910
TW IN RP : Alcoolisme (ancien), anorexie, biphobie / homophobie, famille toxique, grossesse / maternité GENRE : Je suis une femme ORIENTATION SEXUELLE : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : Allergique aux oranges ≈ Cache sous sa mesquinerie et ses piques une grande sensibilité qu'elle dévoile peu ≈ Accro à la caféine ≈ Donner aux centres aidant les queers, c'est un des trucs les plus importants qu'elle fait de son argent, et la seule chose sur laquelle elle n'appuie pas pour se faire de la bonne publicitéCODE COULEUR : Sème du drama en #76448A RPs EN COURS :
Griffiths ∆ I don't know half of you half as well as I should like; and I like less than half of you half as well as you deserve.
Maddy ∆ Sister. She is your mirror, shining back at you with a world of possibilities. She is your witness, who sees you at your worst and best, and loves you anyway. She is your partner in crime, your midnight companion, someone who knows when you are smiling, even in the dark. She is your teacher, your defense attorney, your personal press agent, even your shrink. Some days, she's the reason you wish you were an only child.
Marceline ∆ This is the problem with having a best friend who is also your cousin, and has known you since you were born. She's always trying to stomp on your dreams.
Rhebel ∆ Your words up on the wall as you're praying for my fall ; and the laughter in the halls and the names that I've been called ; I stack it in my mind and I'm waiting for the time ; when I show you what it's like to be words spit in a mic
AVATAR : Jennifer Lawrence CRÉDITS : (Avatar by creationofcinderella ; Gif signa on gifer ; Userbars by loonywaltz) DC : Cutie Leto (ft. Maia Mitchell) & Romantic Noor (ft. Naomi Scott) PSEUDO : Lucy INSCRIT LE : 13/10/2021
(#) Sujet: Re: Mabel ♣ Don't be a bitch Lun 20 Mar 2023 - 21:36
I forgot I was a bad bitch, tragic ; breaking all the rules 'cause they were only habits ; Cinderella's dead now, casket ; you thought the shoe fit, but I ; I forgot I was a bad bitch ∆ Emeline, Cinderella's dead
Il y avait le retour en Australie, imposée par la marque avec laquelle elle travaillait. Le décalage horaire, et le long voyage en avion depuis l'Europe. Le fait qu'elle devait aller manger avec ses parents le lendemain, parce qu'elle n'avait pas pu leur cacher son retour au bercail malgré l'hôtel mis à disposition par la marque, et le fait qu'elle n'était pas celle qui leur avait annoncé ses dates australiennes.
Alors il y avait la fatigue, la frustration, l'angoisse de revoir ses parents. Le manque de Rhett aussi, qui savait la calmer, même quand il ne savait pas exactement quel était le problème. Et puis sa manager lui avait appris que ce ne serait pas Lauren qui la maquillerait ce jour-là. Mabel n'avait pas saisi pourquoi - un virus qui la clouait au lit ? ou juste des engagements ailleurs -, mais la nouvelle ne l'avait pas ravie.
« Oh, c'est vous la nouvelle ? » demanda-t-elle, la voix traînante et démotivée, quand une inconnue débarqua dans sa loge.
Elle se retourna pour la dévisager, s'attardant sur le visage encore jeune et l'attitude trop joyeuse. Elles devaient être du même âge, à quelques années près. Difficile d'estimer l'âge exact de la maquilleuse, avec sa peau lisse et son air trop aimable, même si Mabel avait envie de la placer comme plus vieille. Juste par pur dépit, sans réelles explications.
« J'imagine que vous devez avoir un brief très précis de ce qu'ils veulent ? Faites donc ça. »
Des choses qu'elle ne supportait pas ? Mabel ne s'était jamais posé la question. On ne lui avait jamais posé la questions. Elle s'installait, on lui faisait le maquillage décidé par les stylistes ou les chefs de projet, et elle faisait ce qu'on lui demandait pour le mettre en valeur. Jamais elle n'avait eu à choisir les produits ou les coloris - même si elle avait pu glaner des conseils de maquillage au fil des années, ou avait écouté ses maquilleurs débattre pour utiliser telle ou telle couleur et pas telle autre sur son visage. Des conseils qu'elle utilisait les rares fois où elle devait se maquiller seule.
« Vous travaillez là depuis longtemps ? »
Sans doute pas, si Mabel devait en juger par le temps de préparation de la jeune femme. Lauren ne sortait que peu de produits, ceux qu'elle était sûre d'utiliser pour un make-up. Nul besoin de tout étaler, surtout qu'elle devait généralement tout ranger avant d'aller magnifier un autre visage, et que ranger et déranger tout à chaque fois faisait perdre du temps.