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 marceline#3 › balancing on brеaking branches

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AuteurMessage
Mac Sutherland
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
marceline#3 › balancing on brеaking branches B1c7f53d478c8df4573e451cc848c821d49f20d3
POSTS : 1005 POINTS : 80

TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental)
TW IRL : age gaps romancés, grooming
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
CODE COULEUR : #996699
RPs EN COURS : marceline#3 › balancing on brеaking branches 756e5f7051122f90db6745a0168af17556b2c77e
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

marceline#3 › balancing on brеaking branches De9b2ee351af7ad91ceb98937ac79fb14948312e
DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

marceline#3 › balancing on brеaking branches 4fb0d19716dff88705c49168fc1cd01aa67e5dde
MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.

marceline#3 › balancing on brеaking branches ND6S1fw
MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.

daisy#1 -- marceline#4 -- spencer#20 -- margot#3.

uas, fbs : spencer - ua slasher -- spencer ua trophy wives -- spencer - ua fwb -- spencer - ua vampires -- spencer fb#19.
RPs TERMINÉS : spencer n°1 -- marceline n°1 -- spencer n°3 -- marceline n°2 -- eleonora n°1 -- spencer n°4 -- spencer n°5 -- spencer n°6 -- spencer n°7 -- spencer n°2 (flashback) -- spencer n°8 -- spencer n°9 -- winx club n°1 -- spencer n°10 -- spencer n°11 -- spencer n°12 -- spencer n°13 (fb) spencer n°14 -- margot n°1 -- marceline n°3 -- spencer n°15 -- margot n°2 --
AVATAR : hailee steinfeld
CRÉDITS : mcximoffss (avatar), harley (crackships)
DC : elena, la trésorière du dumb bitch club
PSEUDO : princesse mononoprix/monononucléose/mononoski
Femme (elle)
INSCRIT LE : 09/01/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t42405-preach-the-sinner
https://www.30yearsstillyoung.com/t42439-le-noir-dedans#2131297
https://www.30yearsstillyoung.com/t42483-mac-sutherland

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Message(#) Sujet: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 21 Sep 2022 - 13:46


J’étais pas censée te revoir, je pense. J’avais rangé ça comme une vérité implacable dans le coin le plus stoïque de mon cerveau et j’étais passée à la suite pour ne plus m’y confronter, parce que j’avais tant d’autres choses à voir, à comprendre, desquelles m’occuper : le taf, Spencer, l’overdose, la rechute de mon père, ces mêmes choses qui ont résidé trop longtemps dans la même partie de mes pensées que ton souvenir et que j’ai fini par ne plus pouvoir ignorer. J’imagine que c’est pour ça que tu ressors, toi aussi. Un cas cruel du destin.
Mais voilà, t’es là, dans le même bar où on s’est rencontrées, un peu plus nette que la dernière fois, et moi, je métabolise chaque verre enquillé en deux secondes pour me focaliser entièrement sur la sensation qui me tord le bide quand je croise ton regard. Bien sûr que c’est toi. Ici, ç’a toujours été toi.
« Marceline ? » J’ose, enfin ; je sens ton hésitation à te retourner quand je t’interpelle et j’hésite presque à courir, à faire comme si de rien n’était, à ne plus jamais venir ici ni même essayer de te recontacter, parce que clairement, c’est devenu trop dangereux. Est-ce que je vivais mieux dans le déni, sans savoir si t’étais encore sur le même coin du globe que moi ? J’en ai aucune foutre idée, mais j’ai le cœur au bord des lèvres et les émotions à ça de déborder quand tu te retournes vers moi. Je sais pas ce que j’imagine voir : de la déception, une vague de colère à m’en foutre une baffe de me retrouver alors que tu pensais avoir tourné la page, le choc parfait que j'ai réussi à te croiser dans tout Brisbane, comme si je t’avais pistée, que la ville était si petite, finalement… Mais rien, je vois que des yeux étonnés, une mâchoire serrée par la réflexion, la culpabilité, la colère ou peut-être un peu de tout. Moi, je reste là, bras ballants, poings serrés sans m'en apercevoir. Il est trop tard pour faire demi-tour, je réalise, en même temps que je m'aperçois que j'étais pas prête à te revoir ici. Te revoir, toi, quand y a plus de nous, plus de rêves, qu’il y a Margot comme une pierre tombale entre nous et mes conneries qui sont venues tout gâcher. Parce que ça me met face au fait que tout a disparu, et que je suis entièrement à blâmer. « Salut. Je… » J’hésite, mais j’ai pas le luxe d’hésiter ; je te sens déjà filer entre mes doigts, comme la dernière fois que tu m’as plantée en me foutant dehors. Les fissures dans mon coeur que je pensais avoir fixées à coup de plâtre s’ouvrent en chœur et me foutent à poil, à nouveau. « J’suis contente de te voir », que je lâche enfin d’une voix étouffée, débilement au milieu de ce grand bar où on pue l’alcool et où ça pécho dans tous les coins. Ca pue la culpabilité et l’envie d’être partout sauf ici mais tant pis, faut que ça sorte. Sinon, ce sera le soulagement, et je ne sais pas si je suis prête à te montrer à nouveau ma vulnérabilité. Pas quand toutes les vannes risquent de s’ouvrir et que ma composure actuelle risque de s’effondrer sans que je ne sache plus la rapiécer.


if it brings me to my knees it's a bad religion -- to me it's nothing but a one-man cult and cyanide in my styrofoam cup (c)flotsam.
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Marceline Griffiths
Marceline Griffiths
la furie de vivre
la furie de vivre
marceline#3 › balancing on brеaking branches IAeu3cF Présence réduite
ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion.
SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel.
STATUT : Championne du cœur chamallow en mille morceaux et du surinvestissement, elle vient de réaliser son crush sur sa bestie Andy #gaypanic
MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la série Netflix "Together". Gagnante du Golden Globe de la meilleure actrice dans une mini-série pour ce rôle. Elle a depuis joué dans plusieurs films, notamment la romcom lesbienne "Summer Loving" et le film indé "meet me at midnight". Actuellement à l'affiche de Roaring, un spin-off sur les Lannisters, aux côtés de ses cousines Maddy et Mabel.
LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End.
marceline#3 › balancing on brеaking branches Acb6b55685ca718be8bdfb336539281d
POSTS : 663 POINTS : 180

TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : esfp | actrice connue à qui l'anonymat manque | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | lesbienne au cœur trop souvent brisé | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"
CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699
RPs EN COURS :

marceline#3 › balancing on brеaking branches 10744567e0fe068deb48ce9b7439ebd8af8db422
ANDREA "I could see this view a hundred times, pale blue sky reflected in your eyes, so give me a reason and don't say no, no. And the note from the locket, you keep it in your pocket, since I gave it to you, there's a heart on your sleeve, I'll take it when I leave and hold it for you." // 01 02 03 04 05 06 07 08 09

marceline#3 › balancing on brеaking branches 5yR8
MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones" // 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10

marceline#3 › balancing on brеaking branches Ff65f94232183c13ab771b886b5dc52ec41bb266
RAPHAEL "you took a Polaroid of us, then discovered, the rest of the world was black and white but we were in screaming color" // 01

marceline#3 › balancing on brеaking branches G66c
MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night." // 01 02 03 04

RPs EN ATTENTE : Dina #01
RPs TERMINÉS :
marceline#3 › balancing on brеaking branches Ezgif-3-774a0834de
JIYEON "You are an expert at sorry a nd keeping the lines blurry, never impressed by me acing your tests / All the girls that you've run dry have tired, lifeless eyes 'cause you burned them out" //#01 #02 #03 #04 #05 #06 #07

marceline#3 › balancing on brеaking branches A4ab
GRIFFITHS "I didn't have it in myself to go with grace, and you're the hero flying around, saving face, and if I'm dead to you, why are you at the wake?" // #01 #02 #03 #04

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CARL "I knew you were trouble when you walked in, so shame on me now" //#01 #02 #03 #04

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MADDY "Don't you smile at me and ask me how I've been, Don't you say you've missed me if you don't want me again." // #01#02 #03 #04 #05


Deklan | Ysis | Muiredach 01 Muiredach 02

RP abandonnés :
Clara | Alba | Laurie | Hayden
AVATAR : Taylor Swift
CRÉDITS : tumblr & pinterest, ©bbberry, ©harley, ©olliviacooke, ©loonywaltz (ub)
DC : Madison la souris (ft Kaitlyn Dever) & Scarlett le requin (ft. Dua Lipa)
PSEUDO : ©bbberry
Femme (elle)
INSCRIT LE : 15/01/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t42529-heartbreak-is-a-national-anthem-we-sing-it-proudly-marceline
https://www.30yearsstillyoung.com/t42545-we-are-too-busy-dancing-to-get-knocked-off-our-feet-marceline#2135763
https://www.30yearsstillyoung.com/t42544-marceline-griffiths#2135746
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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 21 Sep 2022 - 19:11



balancing on breaking branches
I think I've seen this film before
And I didn't like the ending
You're not my homeland anymore
So what am I defending now?
You were my town
Now I'm in exile, seein' you out


Je reconnus sa voix lorsqu'elle appela mon prénom, et pendant un instant, je me demandais si j'avais rêvé et s'il fallait réellement que je me retourne. Depuis le début de la soirée, je m'étais imaginée la voir, parce que je pensais à elle à chaque fois que je venais ici, la première soirée qu'on avait passé. Chaque fois qu'une grande brune qui me doublait dans la queue vers le bar, je sentais mon estomac se contracter, soudain inquiet, avant de se calmer. Non, ce n'était qu'une vision de mon esprit. Ça faisait des mois que c'était fini, que le temps avait fini par apaiser la colère. Il me restait un vieux goût d'amertume en bouche, comme à chaque fois que je me remettais d'une relation courte mais intense. C'était une sorte de gueule de bois émotionnelle. À chaque fois, je me disais que j'avais gagné au change de la rupture : Mac était retournée avec sa copine qui ne semblait pas la combler (pourquoi la tromper, sinon) et moi, entre temps, j'avais gagné un Golden Globes, j'avais tourné dans un autre film Netflix, et le prochain film où j'étais l'héroïne sortirait dans quelques mois au cinéma, pour de vrai, dans une salle, pas juste un petit écran. Je me demandais si Mac voyait mon nom dans les magazines, sur Instagram, et se sentait mal, se disait "ah, je l'ai laissée filer, alors qu'elle était géniale", ou quelque chose du genre. Mais en réalité, elle devait continuer sa vie, comme on la continue tous, et ne jamais vraiment penser à moi. J'étais un accident de parcours dans sa relation amoureuse.

« Salut. Je… J’suis contente de te voir. » Salut. On en était là, maintenant. Je la regardais, hésitante.  « Je ne sais pas si je pense la même chose, » répondis-je, sincère. Je la dévisageais, admirant malgré moi ses traits qui m'avaient semblé appartenir à la plus belle femme du monde il n'y a encore que quelques mois. Je poussai un soupir. C'était débile, tout ça. « Allez, viens, on va fumer une cigarette ? » Lui proposais-je, posant les armes un instant. On sortit dans l'arrière cours, et je portais ma pinte de bière à mes lèvres, pour me donner un peu de courage liquide. Je regrettais presque de n'être pas plus ivre - mais je savais que je me serais probablement ridiculisée en lui demandant pourquoi personne ne semblait m'aimer assez pour rester plus de quelques mois avec moi. Pourquoi est-ce que j'étais toujours too much et pourtant jamais suffisante ?

« Ne le prends pas mal, Mac, mais tu n'as pas très bonne mine. » Relevai-je, lui filant une cigarette. J'allumai la mienne et expirai la fumée. « Margot ne s'occupe pas bien de toi ? » Plaisantai-je avec un rire jaune, avant d'ajouter plus sincèrement : « Désolée, mais c'est de bonne guerre, non ? » Je voulais bien être sympa, mais je n'allais pas non plus lui dérouler le tapis rouge après ce qu'elle m'avait fait.




 
I'm so afraid I sealed my fate
gathered with a coven round a sorceress' table, a greater woman has faith but even statues crumble if they're made to wait, I'm so afraid I sealed my fate, no sign of soulmates, I'm just a paperweight in shades of greige, spending my last coin so someone will tell me it'll be ok / please, I've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company, let it once be me





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MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptySam 10 Déc 2022 - 11:43


Je ne saurais pas dire exactement ce que provoque ta vision ici, dans ce bar qui pue et où t'as détoné la première fois ; une soudaine envie de fuite, d'un côté, une brûlante envie de fermer les yeux et de retourner à cette époque pour tout avoir à refaire de l'autre. Je te parle comme une débile face à son crush de lycée en même temps que je m'en rends compte : y a pas de retour en arrière possible, et même si c'était le cas, tu finirais quand même par me détester. Pourquoi ? Je saurais pas expliquer le raisonnement implicite qui m'a amenée à cette conclusion, mais je suis sûre de moi. Le mauvais ingrédient de la relation n'était pas qu'une bête question de timing manqué : c'était moi. Et plus j'avance avec Spencer, plus je me rends compte que j'aurais pas réalisé ma connerie avant de la faire, de tout faire flamber, de tout perdre pour mieux repartir de zéro.
Tu me salues quand même ; t'as cet air renfermé et un peu fuyant que je t'ai vu seulement la dernière fois et ça suffit à raviver tout le reste. Je sais même pas quoi répondre à ton salut à moitié senti ; je me résouds déjà à baisser les yeux sur ma boisson et à laisser mourir la conversation pour ne plus jamais te revoir. Mais tu proposes une clope, et je me demande si c'est une bénédiction, une chance au pardon que tu m'offres, ou un passage express au Gehenna. Je me contente d'opiner du chef et de quitter mon accoudoir, acceptant ma position de faiblesse, signant d'avance que je n'étais venue ni convaincre ni gagner.
C'est toi qui renchéris et qui critique ma gueule de merde, et faut bien une insulte pour m'arracher un sourire – sinon quoi d'autre ? « Ouais, j'le mérite. » Je n'essaie pas de m'en dégager cette fois. Tu mérites que j'assume pleinement de t'avoir esquintée, de l'avoir détruite elle au passage ; c'est le sujet le plus tabou qu'il existe dans ma vie et j'ai plus envie de m'en détourner, ce soir. C'est peut-être l'éclat que je devine encore dans tes yeux quand tu croises mon regard, ou une espèce de marque que t'as laissée sous mon épiderme, là où c'est impossible à déloger. Je décide de continuer sur ma lancée de bravoure en aspirant trop fort sur la clope que tu m'as tendue : « Y a plus de Margot, c'est peut-être pour ça. » La fumée sort par mon nez alors que je plisse les lèvres : je m'attendais à ce que ce soit plus douloureux à dire, mais rien. Ou si peu comparé au reste que ça ne mérite même plus d'y figurer. « Enfin, elle est pas morte, hein », je complète un peu par automatisme, réalisant la finalité dans mes mots : « Promis je ferme ma gueule. » Et je m'exécute immédiatement, bras libre levé en signe de reddition, et dans ce court laps de paix je m'autorise à t'observer en coin. Je pense à toi, au nous qui aurait pu exister si j'avais tout fait autrement ; surtout, je pense à Spencer qui te déteste rien que pour ton existence, presque autant qu'elle se déteste elle-même. Je pense à l'hôpital dans lequel elle est face à ses démons alors que je m'autorise à taper une bière avec une ex qui n'en est même pas une. Une ex qui enchaîne les awards, les reconnaissances globale et qui n'a pas besoin qu'on vienne s'excuser à elle pour une connerie aussi monumentale. « T'as l'air d'aller bien. » Je le pense qu'à moitié ; t'as beau enchaîner les prix, t'as toujours cet air un peu circonspect, sur la défensive, le même que le premier soir. Je me demande si l'une ou l'autre avons vraiment changé, depuis, et je me rends compte qu'il n'y a que peu de doutes pour moi. Je t'aime toujours un peu et ça me troue le cœur avec l'impact d'une balle qui guette depuis trop longtemps.


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MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la série Netflix "Together". Gagnante du Golden Globe de la meilleure actrice dans une mini-série pour ce rôle. Elle a depuis joué dans plusieurs films, notamment la romcom lesbienne "Summer Loving" et le film indé "meet me at midnight". Actuellement à l'affiche de Roaring, un spin-off sur les Lannisters, aux côtés de ses cousines Maddy et Mabel.
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MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones" // 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10

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RAPHAEL "you took a Polaroid of us, then discovered, the rest of the world was black and white but we were in screaming color" // 01

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MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night." // 01 02 03 04

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JIYEON "You are an expert at sorry a nd keeping the lines blurry, never impressed by me acing your tests / All the girls that you've run dry have tired, lifeless eyes 'cause you burned them out" //#01 #02 #03 #04 #05 #06 #07

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GRIFFITHS "I didn't have it in myself to go with grace, and you're the hero flying around, saving face, and if I'm dead to you, why are you at the wake?" // #01 #02 #03 #04

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CARL "I knew you were trouble when you walked in, so shame on me now" //#01 #02 #03 #04

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DC : Madison la souris (ft Kaitlyn Dever) & Scarlett le requin (ft. Dua Lipa)
PSEUDO : ©bbberry
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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 28 Déc 2022 - 17:52




balancing on breaking branches
I think I've seen this film before
And I didn't like the ending
You're not my homeland anymore
So what am I defending now?
You were my town
Now I'm in exile, seein' you out



Je ne savais pas trop pourquoi je lui avais proposé une cigarette, une perche tendue pour une discussion. Je ne devrais avoir rien à lui dire, après tout, et je ne comptais plus le nombre de fois que j’avais essayé de discuter avec une ex, pour avoir un sentiment de finalité, et où j’étais ressortie de la discussion amère et sur ma faim. On ne me donnait jamais ce que je voulais de ce côté-là, j’étais éternellement insatisfaite émotionnellement, comme si personne n’était capable de tenir mon niveau d’investissement et d’intensité. Comment pouvais-je m’attendre à de la sincérité et de la vulnérabilité de la part de Mac qui m’avait menti durant toute la durée de notre relation ? Je la regardais, me rappelant qu’elle m’avait confessé son amour, et j’avais envie d’éclater de rire. Comment avait-elle pu prétendre m’aimer alors qu’elle passait chaque instant loin de moi dans les bras d’une autre ? Mais j’étais entêtée, je ne savais pas complètement oublier les gens, alors je proposais à Mac de me suivre, je me disais que nous pourrions parler, peut-être. Une part de moi essayait de se convaincre que je ne voulais parler avec elle que pour lui prouver que j’avais gagné cette rupture, que j’étais heureuse, pas elle, que ma vie était plus cool que la sienne. Mais au fond, je savais que j’attendais quelque chose qui ne viendrait jamais, une sorte d’excuse magique qui sauverait ma peine que je me trimballais encore aujourd’hui.

« Y a plus de Margot, c'est peut-être pour ça. » J’haussai un sourcil, interrogative. « Enfin, elle est pas morte, hein. » J’éclatai d’un petit rire presque jaune ; sa maladresse un peu cynique me plaisait toujours.  « Promis je ferme ma gueule. » Je tirai lentement sur ma cigarette, je n’avais pas envie qu’elle se consume trop vite. Il me fallait une excuse pour elle là, dehors, avec Mac. J’avais encore beaucoup à lui dire - et à la fois, rien aussi. Je détestais ce paradoxe. « Jesus, Mac, » soufflai-je dans un petit éclat de rire. « J’ai cru que tu l’avais butée. » Je pinçai les lèvres. J’imaginai Margot comme une sorte d’opposée de moi, une petite brune renfermée, mystérieuse. Je n’avais pas vraiment d’haine contre elle, plutôt une sorte de pitié diffuse. Je n’aimais pas beaucoup ce sentiment. « Bah, tant mieux pour elle. Ce n’est pas pour remettre en cause ton girlfriend material, mais Margot méritait quelqu’un de fidèle. » J’ajoutais cette dernière phrase avec détachement.

Je méritais quelqu’un de fidèle. De toutes les conneries que j’avais pu faire en relation, jamais je n’avais été infidèle. J’avais été victime de cet écart deux fois avant de rencontrer Mac et je m’étais promise de ne jamais infliger cette douleur à quelqu’un d’autre. Mais les tromperies avant Mac avaient été quasiment anecdotiques, des coups d’un soir. Je n’avais jamais été l’autre femme, ça, c’était un délice que j’avais appris à découvrir à mes dépends à cause de Mac. Je me demandais à quel point elle s’en voulait, qu’est-ce qu’elle se racontait comme histoire la nuit pour pouvoir dormir.

« T'as l'air d'aller bien. » Je prononçai un “hmmm hmmm” sans y mettre du mien. Oui, globalement. Je n’avais pas envie d’être dramatique et de dire à Mac qu’elle avait une énième fois briser mon coeur - c’était à la fois gênant d’être si vulnérable et d’avouer ma faiblesse, et je me demandais à quel point c’était vrai. Il y avait un tel effet de lassitude qu’à ce stade, je ne savais plus trop ce que je ressentais. Ma rupture avec Mac ne m’empêchait pas de flirter avec d’autres filles, d’avoir un crush sur Jiyeon, cette nouvelle fille que j’avais rencontrée en soirée et avec qui je couchais parfois. Mais j’avais parfois l’impression que la magie était brisée. « Tu sais ce qu’on dit… Heureuse au travail, malheureuse en amour, » plaisantai-je. « Enfin, c’est ce qu’on devrait dire, en tout cas. » J’haussai les épaules, comme pour chasser mes propres mots. Etait-ce vraiment avec Mac que je devrais parler de ça ? « Et toi alors, pourquoi ça a terminé avec Margot ? Tu en as trouvé une autre ? » Je la regardai avec une sorte de curiosité malsaine, comme si j’avais envie de m’enfoncer un peu plus loin l’aiguille dans le coeur.





 
I'm so afraid I sealed my fate
gathered with a coven round a sorceress' table, a greater woman has faith but even statues crumble if they're made to wait, I'm so afraid I sealed my fate, no sign of soulmates, I'm just a paperweight in shades of greige, spending my last coin so someone will tell me it'll be ok / please, I've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company, let it once be me





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Mac Sutherland
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
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TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental)
TW IRL : age gaps romancés, grooming
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
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RPs EN COURS : marceline#3 › balancing on brеaking branches 756e5f7051122f90db6745a0168af17556b2c77e
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

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DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

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MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.

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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.

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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 5 Avr 2023 - 11:58


Tu m’accueilles avec circonspection mais une ouverture tout à fait incroyable, genre il s’est rien passé, ou au moins ça t’a pas suffisamment traumatisée pour que tu me refuses une clope. Je sais pas trop où me foutre et j’aime pas ça, me sentir petite, si écrasée sous le poids de ton regard et de ma culpabilité. Tu pèses pas très lourd, pourtant, c’est moi qui fais tout le taf ; t’es légère même dans tes reproches et moi, j’encaisse sans broncher parce que c’est le moins que je puisse faire : t’offrir un tant soit peu de jouissance face à mon désarroi. Tu t'enquiers de Margot et je peux que répondre la vérité la plus simple : elle est plus là. Pas parce qu’elle s’est barrée, mais parce que je l’ai congédiée. C’est d’autant plus cruel, je crois : elle, elle n’a même pas eu cette satisfaction. Je rigole à ta remarque, mais j’en mène pas large, parce que j’aurais pu la buter que ça aurait été le même résultat : un beau désordre. « Quoi, ça t’aurait pas étonnée, c’est ça ? » Je raille, mais le ton est plus taquin que défensif. Peut-être que j’ai l’air d’une de ces pauvres folles capable de tuer quelqu’un de trop jaloux, je sais pas. Je me serais sûrement foutue en l’air avant, cela dit. Dans le concret, j’ai fait aucun des deux : j’ai juste fini par m’en prendre une face à mes conneries. « Amen à ça. » Je lève ma clope en signe d’accord : Margot méritait vraiment quelqu’un de fidèle, et quelqu’un qui l’aimait vraiment. Le portrait craché de plein de gens qui ne sont pas moi.

Je le suis, maintenant, que j’ai envie d’ajouter pourtant, mais tu t’en fous et ce serait probablement pathétique, parce que ça me ferait en parler comme une addict en rééducation : bonjour, Mac, fidèle depuis un an. Pas de rechutes, promis. Et même pas envie d’ailleurs. C’est même pas le cas ; je suis pas quelqu’un qui a besoin d’altérité dans son couple et qui franchit des lignes. Du moins, je me convaincs que je ne le suis pas : je n’ai jamais trompé Spencer, je n’en ai jamais eu envie non plus, et je n’ai même pas peur de le faire. Pourtant c’est comme ça que tu m’as vue : une Marie-couche-toi-là qui n’hésite pas à mentir sur l’existence de sa copine pour coucher ailleurs, mener une double vie, et il y a trop de preuves de ce fait pour que j’aie espoir de te démentir. Les preuves ont des jolis noms et des jolis cheveux, les preuves s’appellent Leo ou bien Cari ou encore Dani et généralement elles entendent plus parler de moi quand ça devient trop concret, trop tangible. Elles sont moins signifiantes que toi, mais ce sera tout sauf un réconfort. Alors je dévie, je te demande si ça va, je te dis que ça a l’air d’aller tout en pensant tout le contraire, peut-être pour me rassurer un peu. « Eh, mieux vaut le taf que l’amour avec une débile comme moi. On ramène pas de golden globes. » Et regarde où t’es, Marceline, tu fais la une partout. Mieux vaut ça que l’inverse, je t’assure. Je suis sûre que même Spence te démentirait pas, si elle pouvait parler. Mais de là où elle est, je crois que les premiers jours interdisent les contacts avec les autres pensionnaires, alors ce serait relativement mal venu.

Qu’importe : t’es pas bien, et je comprends confusément que c’est ma faute ; je m’autorise un coup d’oeil en ta direction alors que la fumée de ta clope me donne le maigre espoir de pas être remarquée. J’ai envie de mentir, et je sais que ce serait pour adoucir le coup plutôt que pour te protéger, et j’ai aucune envie de bercer ma conscience. Alors je lâche, sans ambages : « Spencer est revenue. » Je fais gaffe de pas trop laisser filtrer le trémolo dans ma voix qui indique qu’au fond, ça a rien changé, et j’ai encore plus de mal à garder la tête hors de l’eau qu’avant. Parce qu’elle est là et si je devais me noyer, ce serait en paix, et c’est complètement stupide à dire. Et cruel, pour toi. Je me rends compte que j’ai peut-être jamais mentionné son nom, alors je lâche, distraite, à brûle-pourpoint : « Tu sais, celle qui m’avait… » Ghostée, larguée, tuée à petit feu, je sais même plus quels termes j’ai employés pour te la décrire. Mais je me revois distinctement en train de gueuler contre elle en profitant de ta présence pour m’énerver contre quelque chose de tangible, au moins, alors qu’elle elle n’était plus là. « Du coup j’ai préféré tout lui dire et tout arrêter. A Margot, hein, du coup. Dis-moi si tu suis pas tout, la bière monte déjà un peu. » Je m’essuie le bout du nez d’un revers de main et j’ai conscience que c’est un réflexe tout droit venu de Spencer, parce qu’elle m’imprègne jusqu’ici, j’ai même peur qu’elle se voit dans chacun de mes gestes et de mes mots. Je suis incapable de mesurer à quel point elle m’a changée. « Je sais pas si ça aide ou quoi, mais elle est au courant pour toi aussi. Enfin, je t’ai pas nommée spécifiquement, mais j’ai dit que j’avais été amoureuse de quelqu’un d’autre. » C’est la seule justice que je peux te donner, maintenant, trop longtemps après. Je me sens plus nulle que jamais, plus pourrie encore qu’avant. Il se passe un long moment, une grosse quantité d’anges culs nus avant que je retrouve mes mots, la voix plus stable et effacée : « J’suis désolée, tu sais. Je te dirais bien que je regrette et que si je pouvais remonter le temps, je ferais les choses bien, je t’en parlerais et j’arrêterais tout avec elle avant de commencer quoi que ce soit avec toi, mais ça a pas de valeur. » J’essaie plus de me trouver d’arc de rédemption, voilà ce qui a le plus changé ; j’ai bien compris que j’étais pas la protagoniste de quoi que ce soit et que je méritais une baffe plutôt qu’un pardon. « Et tu mériterais mieux, quoi qu’il en soit. » Dire que j’ai mis des mois à y réfléchir, à nous, à tout ça et ce que je t’ai fait subir. Le sacro-saint Sky Daddy est fier, j’en mettrais ma main au feu. Je me redresse, maladroite et distincte, et sors mon propre paquet pour te tendre une clope à mon tour - je ne veux plus rien te devoir après ce soir : « Puis voilà, c’est la vie, j’essaie de vivre ma vinaigrette sans trop me bouffer la conscience avec tout ça, et parfois je préférerais que tu m’aies insultée à mort pour mieux le vivre. » Tu peux toujours, même, au lieu de me proposer une clope et de rire à mes conneries. Comment je fais pour me fustiger maintenant ? « Et toi, t’as trouvé mieux, moins conne, plus stable ? J’ai vu une meuf sur ton instagram l’autre jour, la brune là, mais j’ai pas cherché plus, et j’ai regardé comme ça et pas parce que je te stalkais ou quoi, donc bon, j’ai pas de détails ni rien, et j’en demande pas, tu vois je dis ça comme ça. »


if it brings me to my knees it's a bad religion -- to me it's nothing but a one-man cult and cyanide in my styrofoam cup (c)flotsam.
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Marceline Griffiths
Marceline Griffiths
la furie de vivre
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ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion.
SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel.
STATUT : Championne du cœur chamallow en mille morceaux et du surinvestissement, elle vient de réaliser son crush sur sa bestie Andy #gaypanic
MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la série Netflix "Together". Gagnante du Golden Globe de la meilleure actrice dans une mini-série pour ce rôle. Elle a depuis joué dans plusieurs films, notamment la romcom lesbienne "Summer Loving" et le film indé "meet me at midnight". Actuellement à l'affiche de Roaring, un spin-off sur les Lannisters, aux côtés de ses cousines Maddy et Mabel.
LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End.
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TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : esfp | actrice connue à qui l'anonymat manque | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | lesbienne au cœur trop souvent brisé | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"
CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699
RPs EN COURS :

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ANDREA "I could see this view a hundred times, pale blue sky reflected in your eyes, so give me a reason and don't say no, no. And the note from the locket, you keep it in your pocket, since I gave it to you, there's a heart on your sleeve, I'll take it when I leave and hold it for you." // 01 02 03 04 05 06 07 08 09

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MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones" // 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10

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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 7 Juin 2023 - 15:28



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Now I'm in exile, seein' you out



Malgré les clichés sur la communauté queer, je n’avais jamais vraiment réussi à rester amie avec une ex. J’en avais recroisé certaines, parce qu’on évoluait souvent dans les mêmes groupes d’amis, mais finalement, inlassablement, l’une disparaissait, déménageait, les potes prenaient partis. Mes relations ne finissaient pas assez bien pour qu’on reste en bons termes, et si jamais on s’en sortait pas trop mal, c’était moi qui n’arrivait pas à éteindre mes sentiments si je n’avais pas de bonnes raisons. A vrai dire, je crois que j’étais encore un peu amoureuse d’au moins trois de mes anciennes copines. J’observai Mac dans la pénombre, éclairée à peine par les étoiles du ciel, et je me demandai où était mes sentiments pour elle, où est-ce qu’allait l’amour qu’on avait ressenti et partagé, une fois que tout était terminé. Etait-ce possible de tout disparaisse vraiment ? Je lui en voulais encore tellement, mais je pouvais encore ressentir l’éléctricité résiduelle dans mes veines quand Mac passait sa main dans ses cheveux, qu’elle riait. « Eh, mieux vaut le taf que l’amour avec une débile comme moi. On ramène pas de golden globes. » J’eus un petit rire jaune.  « Plus d’argent, moins de peine de coeur, en effet », répliquai-je avec un petit sourire crispé. Même si je savais très bien que j’aurais payé tout l’argent de mon compte en banque pour faire apparaître une femme qui m’aimerait, vraiment, et ne m’abandonnerait jamais, et oui, je savais que ça faisait de moi une pauvre fille désespérée pour de l’affection et de la stabilité. Mais au bout d’un moment, je connaissais mes failles. Au moins, essayai-je de me dire, Mac ne devait pas avoir plus de chance en amour que moi, non ? « Spencer est revenue. » … Eh beh non, elle en avait plus. Je me retins de lever les yeux au ciel pour maudir l’univers.

« Tu sais, celle qui m’avait… »  « Je sais qui c’est », le coupai-je, un peu brusquement. Elle avait oublié que notre première soirée ensemble avait consisté à jeter des cailloux et maudire nos exs ? Comment ne pas se souvenir de Spencer, qui avait occupé une si grosse place dans les cicactrices du coeur de Mac.  « Du coup j’ai préféré tout lui dire et tout arrêter. A Margot, hein, du coup. Dis-moi si tu suis pas tout, la bière monte déjà un peu. Je sais pas si ça aide ou quoi, mais elle est au courant pour toi aussi. Enfin, je t’ai pas nommée spécifiquement, mais j’ai dit que j’avais été amoureuse de quelqu’un d’autre. » Je me crispai à cette évocation. Elle se racontait donc vraiment qu’elle avait été amoureuse… Je ne savais pas comment je me sentais avec tout ça. Une part de moi avait envie de lui dire que ce n’était pas ça, l’amour, mais malheureusement, je n’étais pas sûre que ça soit autre chose. C’était ridicule, notre relation avait été si courte, si chaotique, si fausse maintenant que je connaissais l’existence de Margot. Mais il y avait eu une étincelle. Une émotion.  « J’espère qu’elle t’a bien engueulée », répondis-je  en tirant sur ma cigarette. Ouch pour Margot : se faire plaquer parce que ta meuf retourne avec son ex de merde, et tu apprends au passage qu’elle t’a trompée avec une autre ? Décidément, Mac en brisait, des coeurs. « J’suis désolée, tu sais. Je te dirais bien que je regrette et que si je pouvais remonter le temps, je ferais les choses bien, je t’en parlerais et j’arrêterais tout avec elle avant de commencer quoi que ce soit avec toi, mais ça a pas de valeur. » Si j’étais une personne plus douce, plsu mature, peut-être que je lui donnerais l’absolution. Mais je ne peux pas. Alors je me contente de répondre :  « Non, en effet, ça ne change pas grand chose. Mais j’espère que ça t’aura appris une leçon et que tu le referas à personne. » Ma voix tremblait légèrement, et j’ajoutai, avec une touche d’humour passif agressif :  « Même si je suppose que Spencer le mériterait bien après tout ce qu’elle t’a fait. » Et elle l’avait reprise ? Eh ben… Mac était peut-être aussi bête en amour que moi.

« Et tu mériterais mieux, quoi qu’il en soit. Puis voilà, c’est la vie, j’essaie de vivre ma vinaigrette sans trop me bouffer la conscience avec tout ça, et parfois je préférerais que tu m’aies insultée à mort pour mieux le vivre. » J’eus un petit rire :  « T’es vraiment une connasse, Mac. »  Lui dis-je en prenant la cigarette qu’elle me tendait. Le coeur n’y était pas vraiment, je me demandais pourquoi. Parce qu’en réalité, elle avait vraiment été affreuse. Peut-être que ma rage était trop vers Jiyeon, à présent, ou peut-être que j’étais trop triste, trop lasse, de toute cette malchance. « Et toi, t’as trouvé mieux, moins conne, plus stable ? J’ai vu une meuf sur ton instagram l’autre jour, la brune là, mais j’ai pas cherché plus, et j’ai regardé comme ça et pas parce que je te stalkais ou quoi, donc bon, j’ai pas de détails ni rien, et j’en demande pas, tu vois je dis ça comme ça. » J’inspirai une énorme bouffée de tabac pour masquer l’âcre dans ma gorge à l’évocation de Jiyeon.  « Ouch, Mac, t’es même pas assez obsédée avec moi pour me stalker proprement et savoir que je me suis faite trompée publiquement par ma dernière ex ? » Demandai-je avec un sourire en coin. J’ôtai une petite peau morte qui s’était décollée de ma lèvre, attrapée par le filtre de la cigarette.  « Elle s’appelait Jiyeon. On était ensemble quelques mois et ensuite elle a chopé son ex dans une boîte de nuit et ça a fait la une des journaux. » J’haussai les épaules.  « Et maintenant tu es de retour avec ton ex. Décidément, quoi, j’ai une sorte de double malédiction avec la tromperie et les exs ? » C’était dit avec un ton léger, comme si je plaisantais, mais en réalité, j’étais sûre que Mac pouvait deviner ma détresse dans ma voix.  « De toute façon, elle était beaucoup trop renfermée émotionnellement pour moi. Inaccessible. Comme beaucoup de mes exs, je dois avoir un type. Tu étais différente, toi, cela dit », concédai-je, des bribes de notre relation me revenant.  « C’est ça que je ne comprendrais jamais vraiment. Pendant un moment je me suis dit, oh, je n’ai été qu’une distraction à ta relation, que tu voulais juste t’amuser. Mais j’ai l’impression qu’en trois jours, on se racontait déjà tous nos secrets, nos peines, on avait cette connexion… On était loin du plan cul pour tromper sa meuf. Mais du coup, je n’arrive pas à saisir… Tu croyais qu’il se passerait quoi ? Que tu allais m’avouer pour Margot et que j’allais t’absoudre, qu’on allait se mettre ensemble alors qu’il y avait un si gros mensonge dès le départ ? » Ma voix n’était plus désespérée, simplement curieuse, triste.  « Est-ce que c'est ce qui s'est passé avec Spencer ? » Demandai-je, essayant de comprendre.


@Mac Sutherland I love you




 
I'm so afraid I sealed my fate
gathered with a coven round a sorceress' table, a greater woman has faith but even statues crumble if they're made to wait, I'm so afraid I sealed my fate, no sign of soulmates, I'm just a paperweight in shades of greige, spending my last coin so someone will tell me it'll be ok / please, I've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company, let it once be me





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Mac Sutherland
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
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TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental)
TW IRL : age gaps romancés, grooming
GENRE : Je suis une femme
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SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

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DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

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MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.

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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.

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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 14 Juin 2023 - 22:23


Je ne sais pas ce qui vient me posséder quand je me dis que ce serait une bonne idée de tout te raconter : tu t’en fous assurément, ça ne guérira pas les plaies que j’ai pu t’infliger, et tu me trouveras sûrement hypocrite - Dieu sait qu’à ta place, j’aurais pris tout ça pour des mensonges. Ca fait quoi, quelques mois depuis nous, rien du tout à l’échelle du monde, et pourtant j’ai l’horrible sensation que celui-ci n’a pas cessé de changer, m’entraînant dans une course folle dans laquelle je ne maîtrise plus grand-chose, sinon ma capacité à reconnaître quand j’ai foiré et à m’excuser pour mes erreurs. Et je m’y accroche comme une perdue, quitte à te parler de ma rupture avec Margot pour remonter le fil. « Ouais, je faisais pas trop la maligne, sur le coup. » Quand j’y repense, j’entends toujours les cris, ou peut-être que je les fantasme, parce que Margot n’a jamais été du genre à crier ou à s’énerver. Et c’est pire, dans tous les sens possibles : elle n’a rien dit, ou trop peu, alors que je venais de confirmer absolument toutes ses pires craintes sur nous deux après l’avoir maladroitement réconfortée sans y croire pendant des années. J’aurais aimé qu’elle gueule plus, qu’elle contrôle moins, qu’elle arrête de me regarder avec cette tendresse heurtée et qu’elle m’en foute une, qu’elle ne m’enlace pas avec affection comme si c’était à elle de me protéger. Je n’avais jamais autant détesté sa douceur que ce jour où j’avais besoin qu’on me haïsse. Et j'ai peut-être besoin que toi, tu prennes le relais, à moins que j'espère que tu m'aides à trouver ma paix. Comme imaginé, mes excuses ne changent rien, sinon que tu me conseilles de ne pas poursuivre le schéma avec d'autres. J'ai envie de rire, à mon tour, et c'est absurde, l'évidence avec laquelle je pense que je ne reproduirais jamais mes pires penchants avec Spencer. « Je suis pas sûre qu’elle le mériterait. Elle allait pas bien. » C’était un de ces cas où ce n’était la faute de personne, ou alors peut-être juste du temps et des personnalités qui ne pouvaient plus se réconcilier. Spencer promenait sur ses épaules un poids qui manquait de l’écraser à tout instant et moi, je rajoutais encore une charge avec mes inquiétudes et mon besoin de contrôle. On s’est fait du mal, avant d’apprendre à s’aimer comme il faut. Malgré tous nos efforts, on en fait toujours, et ça fait partie de ces choses que j’accepte comme inévitables.

Je préfère dévier sur l’humour pour relâcher l’attention sur Spencer, refocaliser sur nous deux, et c’est presque satisfaisant, que tu m’insultes - même si tu le dis sur le ton de la plaisanterie et que j’y réponds d’un rire, je sens la pointe de vérité, et ça fait foutrement du bien. « Ouah, merci. J’ai perdu dix kilos d’un coup, là. » Je les ai déjà perdus en enchaînant les clopes pour apaiser ma nervosité. J’enchaîne en repassant l’attention sur toi ; la nouvelle copine dont on parlait dans les médias et sur les réseaux surtout ne m’avait pas échappé, et j’étais incapable de définir si c’était par curiosité malsaine ou par pur hasard, que j’en savais autant. Je ne m’avance pas davantage sur la rupture dont il était question dans les dernières rumeurs : autant te montrer à toi que ça ne m’affecte d’aucune façon, même si c’est le cas. « Ouais, donc pas moins pire, ni moins conne, et à peu près aussi stable, quoi », je commente, sans me demander une seule seconde si c’est bien ma place de commenter. Mais c’est vrai que tu as un genre : le genre qui fuit dès que ça se corse ou que ça commence à s’engager. « Merde. Désolée pour toi. » Au moins, dis-toi que ça ne peut pas être pire. Je le garde pour moi, de peur de verser de l’huile sur le feu. « Spencer a jamais été mon ex, pas vraiment. C’était…compliqué », précisé-je quand même par souci d’honnêteté, « donc tu vois, le pattern est pas complet, c’est pas une malédiction. Pas sûre que ce soit rassurant, mais au moins c’est là. » Si on en avait discuté à l’époque, tu te serais foutue de ma gueule avec le cliché des deux meilleures potes qui sont amoureuses depuis la nuit des temps mais qui n’en parlent jamais, et peut-être que ça m’aurait donnée l’impulsion de courir après, ou au moins d’être sincère avec Margot, au lieu de me forcer à être heureuse ailleurs.

On y arrive, au moment où tu me dis que nous deux, ça a été différent. Mes sourcils se haussent sans que je ne les contrôle et je décide plutôt de river mon regard à l’horizon, dans la nuit brumeuse qui ne laisse rien filtrer. Et bordel, j’ai envie de te prendre dans mes bras, de te dire merci merci merci de partager le sentiment, de pas me laisser me dire que je me suis fourvoyée en long en large, de me dire, quelque part, que tu me comprends, que tu m’as vue pour ce que j’étais et tant pis si tout n’était pas beau : tu savais que sur cette partie-là, au moins, j’avais été sincère. Je sens le picotement familier dans le nez qui me force à crisper mes maxillaires pour juguler mes émotions. « Non. Spencer savait, tout ça, elle a toujours su. J’ai arrêté avec Margot dès qu’on a décidé de tenter quelque chose. » Parce que Spencer était déjà là, quand Margot est arrivée, qu’elle a tout de suite su que j’essayais de passer à autre chose, à quelqu’un qui n’était plus elle. Elle a toujours su, aussi, qu’elle n’aurait qu’à claquer du doigt pour que je foute tout en l’air, et elle a eu la décence de jamais me le demander. Je saisis en même temps que j’ai mieux fait les choses avec elle que je ne l’ai jamais fait avec toi, ou avec Margot. L’injustice de tout ça me saute aux yeux et me prend à la gorge : vous méritiez mieux, ce mieux-là représentant le strict minimum, et même ça, j’ai pas été foutue de vous l’offrir. J’en reviens à nous avant de me perdre là-dessus : « Je sais pas, Marceline », je me borne à ça, c’est plus facile et moins risqué. « J’avais vraiment pas réfléchi jusque-là. » Je gratte ma joue et sors une énième clope. « Ce que je sais c’est que ce qu’on avait c’était vrai, c’était beau, et je voulais pas que ça s’arrête. Si ça avait tenu qu’à moi, dans un autre monde, y aurait pas eu tout ça, et j’aurais pas été assez conne pour tout foirer de la sorte. » Je me demande où on en serait, nous deux, dans ce monde-là, si ça aurait marché, et je ne peux m’empêcher d’espérer que oui, qu’on aurait toutes les deux trouvé ce qu’on cherchait l’une dans l’autre, sans passif ni mensonges. « J’espérais rien, je pense, juste éviter la réalité et aller bien avec toi. Ou que tu me pardonnes, peut-être, oui, et qu’on continue comme ça parce que ça aurait eu du sens et parce que ça marchait bien entre nous, que t’avais envie de voir où ça irait. Je sais pas. » J’hausse les épaules en signe d’impuissance. « T'aurais préféré que je te le dise d'emblée ? Ou que je tente jamais rien ? »

@Marceline Griffiths :l:


if it brings me to my knees it's a bad religion -- to me it's nothing but a one-man cult and cyanide in my styrofoam cup (c)flotsam.
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Marceline Griffiths
Marceline Griffiths
la furie de vivre
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ÂGE : 32 ans, née le 2 avril. Une fille l'a plantée en date quand elle a appris que Marceline était bélier, ascendant lion et lunaire scorpion.
SURNOM : Les gens dans la rue l'appellent souvent Lizzie, à cause du personnage qu'elle a joué dans la série Netflix "Together". Les gens qui l'aiment, ou qui veulent l'embêter, l'appellent Marcel.
STATUT : Championne du cœur chamallow en mille morceaux et du surinvestissement, elle vient de réaliser son crush sur sa bestie Andy #gaypanic
MÉTIER : Actrice contrariée par la célébrité soudaine. Elle a commencé à se faire un nom dans le milieu du théâtre, et elle a percé à l'écran en étant la vedette de la série Netflix "Together". Gagnante du Golden Globe de la meilleure actrice dans une mini-série pour ce rôle. Elle a depuis joué dans plusieurs films, notamment la romcom lesbienne "Summer Loving" et le film indé "meet me at midnight". Actuellement à l'affiche de Roaring, un spin-off sur les Lannisters, aux côtés de ses cousines Maddy et Mabel.
LOGEMENT : Elle s'enterre les dimanches dans une maison colorée au 12 Hardgrave Road, à West End.
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TW IN RP : problèmes familiaux, dépendance affective, alcool
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : esfp | actrice connue à qui l'anonymat manque | charmante, drôle, piquante, caractérielle | theater kid at heart | toujours partante pour un gin tonic, une soirée, un karaoké | lesbienne au cœur trop souvent brisé | ses amis sont sa chosen family | très (trop) intense | adore la couleur, pour ses habits ou sa déco | a peur de l'abandon | habituée à la compétition familiale nocive | "i'm a mirrorball, i'll show you every version of yourself tonight"
CODE COULEUR : écume les karaokés de Brisbane en #ff6699
RPs EN COURS :

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ANDREA "I could see this view a hundred times, pale blue sky reflected in your eyes, so give me a reason and don't say no, no. And the note from the locket, you keep it in your pocket, since I gave it to you, there's a heart on your sleeve, I'll take it when I leave and hold it for you." // 01 02 03 04 05 06 07 08 09

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MABEL "And I can go anywhere I want, anywhere I want, just not home, and you can aim for my heart, go for blood, but you would still miss me in your bones" // 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10

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RAPHAEL "you took a Polaroid of us, then discovered, the rest of the world was black and white but we were in screaming color" // 01

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MAC "Didn't they tell us don't rush into things? Didn't you flash your green eyes at me? Haven't you heard what becomes of curious minds? Ooh, didn't it all seem new and exciting? I felt your arms twisting around me, I should've slept with one eye open at night." // 01 02 03 04

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JIYEON "You are an expert at sorry a nd keeping the lines blurry, never impressed by me acing your tests / All the girls that you've run dry have tired, lifeless eyes 'cause you burned them out" //#01 #02 #03 #04 #05 #06 #07

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GRIFFITHS "I didn't have it in myself to go with grace, and you're the hero flying around, saving face, and if I'm dead to you, why are you at the wake?" // #01 #02 #03 #04

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CARL "I knew you were trouble when you walked in, so shame on me now" //#01 #02 #03 #04

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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMar 25 Juil 2023 - 20:44




balancing on breaking branches
I think I've seen this film before
And I didn't like the ending
You're not my homeland anymore
So what am I defending now?
You were my town
Now I'm in exile, seein' you out



C’était dans ce genre de moment que je réalisais que j’avais grandi, que je veillissais. J’étais persuadée que la Marceline d’il y a dix ans (cinq ans, même, soyons honnête…) n’aurait jamais parlé aussi calmement avec Mac, ou même avec Jiyeon. Non, j’aurais hurlé, fait une scène devant toute la boîte de nuit. Je ne savais pas trop ce qui avait changé, peut-être que le fait d’être connue et scrutée changeait mon rapport au monde, que je n’avais plus envie que tout se retrouve sur la une de TMZ et que je passe pour une diva. Ou peut-être que mon coeur était simplement trop usé pour supporter des nouveaux drames. J’avais coupé les petites cicatrices des mêmes blessures, à répétition, par les mêmes problèmes, les mêmes émotions.

« Spencer a jamais été mon ex, pas vraiment. C’était…compliqué. Donc tu vois, le pattern est pas complet, c’est pas une malédiction. Pas sûre que ce soit rassurant, mais au moins c’est là. » J’haussai les épaules, les yeux tournés vers les réverbères au loin qui nous servaient d’étoiles. « Oui, je ne sais pas. Ma première petite amie sérieuse a fini marié avec la fille avec qui elle m’avait trompée, alors j’ai toujours eu cette impression que j’étais la copine avant la mariée, une sorte d’étape. C’est peut-être juste l’histoire que je me raconte. »

Je me souvenais encore d’une dispute avec une ex, qui me reprochait de créer des prophéties auto-réalitrices, de toujours vouloir être la victime d’amour malsain, jamais assez bien pour moi, de toujours me dire qu’on ne m’aimait pas autant que j’aimais, qu’on m’abandonnerait. Et j’avais crié, je m’étais défendue. Et elle m’avait dit cette phrase que je n’avais pas compris, sur le coup.

“Tout le monde ne souffre pas de la façon dont ils sont aimés, Marceline.”

Maintenant, je comprenais. Je souffrais aussi par mes choix, mes décisions, mes émotions. Je souffrais des situations dans lesquelles je me mettais, les histoires que je me racontais.

« Non. Spencer savait, tout ça, elle a toujours su. J’ai arrêté avec Margot dès qu’on a décidé de tenter quelque chose. » Je poussai un soupir malgré moi. Et voilà, on y retournait, je ne pouvais pas m’empêcher de me dire : mais si elle l’a fait avec Spencer, pourquoi elle ne l’a pas fait avec moi ? Je mordillai l’ongle de mon index, songeuse, me demandant si ça valait la peine d’être honnête avec Mac, ou s’il fallait garder une once de fierté. « Putain, Mac, c’est vraiment dur de pas me dire intérieurement que tu as fait avec Spencer ce que tu ne pouvais pas faire avec moi… » Je soupirai et levai les deux mains, haussant un peu les épaules : « Mais je sais que c’est différent avec elle. Qu’elle est différente. Un jour je serais mature et je te dirais que je te souhaite tout le bonheur du monde avec elle. »

Mais pour l’instant, ce n’était pas tant Spencer qui m’intéressait que les bribes de ma relation avec Mac, essayer de comprendre. De toute façon, j’avais définitivement abandonné mon honneur, au profit d’une vulnérabilité honteuse dont je ne savais pas me défaire.

« Je sais pas, Marceline. J’avais vraiment pas réfléchi jusque-là. » On fumait à la chaîne, sûrement pour avoir une excuse de rester dehors à discuter. « Ce que je sais c’est que ce qu’on avait c’était vrai, c’était beau, et je voulais pas que ça s’arrête. Si ça avait tenu qu’à moi, dans un autre monde, y aurait pas eu tout ça, et j’aurais pas été assez conne pour tout foirer de la sorte. J’espérais rien, je pense, juste éviter la réalité et aller bien avec toi. Ou que tu me pardonnes, peut-être, oui, et qu’on continue comme ça parce que ça aurait eu du sens et parce que ça marchait bien entre nous, que t’avais envie de voir où ça irait. Je sais pas. » De toute évidence, Mac vivait beaucoup plus dans le moment présent que moi quand il s’agissait de relation amoureuse. J’étais plutôt du genre à prévoir la chûte en avance, ou au contraire, m’imaginer mariée après deux rendez-vous. Parfois les deux en même temps. « Un autre monde... Bah, écoute, apparemment, les réalités alternatives existent d’après la physique quantite. Peut-être que dans l’une d’elles on est ensemble. » J’eus un petit rire affectueux. « T’inquiète pas, j’ai tendance à l’auto-sabotage amoureux, je ne suis pas sûre que ça aurait marché, donc dans une autre réalité, c’est moi qui aurait ruiné la relation. » J’imaginais facilement les disputes, j’en avais vécues tellement. « T’as même plutôt de la chance d’être dans une réalité où je ne t’ai pas crevé les pneus ou envoyé des centaines de textos. Une de exs a fait une ordonnance restrictive contre moi. » J’avouai ça en riant, parce que j’avais bu, parce que cette vie était étrange, de fumer avec Mac en souriant, amère que j’étais, un peu paumée. « Ne vends pas ce scoop aux tabloïds », ajoutai-je, plaisantant à moitié.


@Mac Sutherland  I love you




 
I'm so afraid I sealed my fate
gathered with a coven round a sorceress' table, a greater woman has faith but even statues crumble if they're made to wait, I'm so afraid I sealed my fate, no sign of soulmates, I'm just a paperweight in shades of greige, spending my last coin so someone will tell me it'll be ok / please, I've been on my knees, change the prophecy, don't want money, just someone who wants my company, let it once be me





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Mac Sutherland
Mac Sutherland
la peur du vide
ÂGE : 27 ans (06/07).
SURNOM : juste 'mac'.
STATUT : fiancée à spencer, elle essaie de faire les choses bien, cette fois.
MÉTIER : prend un peu du grade en tant que responsable de comm et agente un peu officieuse pour une écrivaine bien connue, pas peu fière de l'avoir soudoyée pour vendre les droits de son bouquin pour une adaptation au grand écran.
LOGEMENT : elle partage un appart à logan city et un peu plus de sa vie tous les jours avec spencer en priant pour que ça tienne.
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POSTS : 1005 POINTS : 80

TW IN RP : relations malsaines et adultère (passés), deuil (parental)
TW IRL : age gaps romancés, grooming
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
CODE COULEUR : #996699
RPs EN COURS : marceline#3 › balancing on brеaking branches 756e5f7051122f90db6745a0168af17556b2c77e
SPENCER i'm sure we're taller in another dimension, you say we're small and not worth the mention. you're tired of moving, your body's aching, we could vacay, there's places to go- clearly this isn't all that there is. you dream of walls that hold us imprisoned; it's just a skull, least that's what they call it, and we're free to roam.

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DAISY you pin me to the ground, eight years old with a replica gun pushin' in my skull saying you're gonna kill me if I tell, never did and I never will, that house was living hell.

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MARGOT i'll say the words you'd always hoped, set our hearts racing even though i know that it's all over. i know i can't keep calling, cause everytime i run, i keep on falling on you.

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MARCELINE i don't wanna wake up, i don't know who you are, you must be some combination of people in my subconscious. i'm no good at lying, on my back or through my teeth, but i'm good at dreaming.

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Message(#) Sujet: Re: marceline#3 › balancing on brеaking branches marceline#3 › balancing on brеaking branches EmptyMer 8 Nov 2023 - 15:26


J’ai du mal à croire qu’on est là, clope au bec sur la rambarde d’un bar, à discuter sans cris ni pleurs, et c’est sûrement parce que je n’ai jamais envisagé recevoir quelque sorte de pardon que ce soit de ta part, Marceline. Déjà parce que je n’en mérite pas, et cette vérité est ancrée en moi depuis déjà un moment ; ensuite, parce que je n’ai jamais pris la peine de m’excuser réellement pour ce qui s’était passé entre nous, pour la façon dont ça s’est fini. Je crois que je suis douée pour tout saboter et pour me barrer ensuite, je préfère les oeillères à la dure vérité qui blesse et ça a toujours été mon mode opératoire, parce que personne non plus n’a estimé que je méritais qu’on reste. Je rends ce qu’on me donne et je le fais bien, tellement bien que je frappe au centuple, je suis mesquine dans ma rancoeur, lâche dans mes torts. Tu es ma victime la plus sanglante, je pense, et tu n’as jamais eu droit à un mea culpa ou à la possibilité de m’écharper à ta guise. C’est facile, pour moi : je reviens, tu as commencé à faire ta paix avec tout ça et je ne récolte que la Marceline plus mesurée qui a pu prendre du recul. Je n’ai pas l’amante contre son gré que j’ai laissée dans son appartement l’autre fois, j’ai cette femme qui me parle de malédictions et de ses échecs en série, prête à en rire pour que la pilule passe mieux.

C’est tout aussi con, toutes tes histoires, parce qu’il s’avère que je vais sûrement épouser celle que j’avais en tête avant que tu passes par-là et que me prenne l’envie de lâcher prise pour de bon. Je me demande souvent ce qui se serait passé entre nous, si Spencer n’était pas revenue. Je me demande encore plus ce qui se serait passé si elle était revenue plus tard. Peut-être qu’on l’a évitée de peu, ta prophétie. Et je le sais : c’est éternellement plus facile de se poser des questions sur des faits passés plutôt que de se demander ce qui est encore bien tangible. Et si Spence ne sortait jamais de désintox, si elle décidait de me quitter parce que c’est trop dur ? Si elle repartait sans me prévenir, comme la première fois ? Je me dis qu’on a ce qu’on mérite, et pour moi, ça n’a jamais été une sentence très rassurante. « Je sais », je me contente de rétorquer à ta jalousie différée, parce que merde, que puis-je dire à ça ? T’as raison, au fond. Pourquoi elle et pas toi ? Ca n’a aucun sens, et pourtant c’est là, la vérité indicible que ce sera toujours elle, même si elle repart ou manque de clamser encore quatre fois. « J’peux que te dire que c’est une énième preuve que j’étais pas la bonne, si t’avais besoin de continuer la liste. » Je ne peux pas te l’expliquer, celle-là, pour la simple raison que je ne peux pas me l’expliquer non plus. Ce sera toujours Spencer, même si elle me traînait dans la boue et me désertait tous les quatre matins.

Nouvelle clope, et ça te donne l’élan nécessaire pour passer aux questions incisives, à ce qui aurait pu être si j’avais été moins conne et si j’avais avoué mes torts d’emblée ; je ne sais pas s’il y a un monde où elle existe, cette Mac-là, cette meuf qui pense aux autres plutôt qu’à elle et qui ne se dégage pas de ses responsabilités. J’aimerais penser que oui. C’est ce que je te dis, en prenant l’hypothèse la plus incroyable que je n’aurais pas tout fait foirer à nouveau, si tu m’avais laissé une seconde chance ; je déduis à ton sourire amusé que toi, t’as une idée tout aussi reluisante, peut-être un peu plus élaborée, le genre où t’as déjà réfléchi à tes torts et à toutes les issues possibles. « J’espère que dans cet autre monde, t’as pris un chien et qu’il me déteste, purement pour te venger de cette timeline. » Si le karma n’existe pas ici, autant qu’il vienne me mordre dans toutes mes autres vies. T’as raison : j’ai de la chance de n’avoir que ton ire en différé et pas en physique partout sur ma caisse ou dans mes mails. « Sérieux ? » je m’esclaffe à ta révélation, soudainement bien plus soulagée d’avoir échappé à une Marceline plus radicale. « J’me foutrais de ta gueule mais j’ai volontairement foncé dans la caisse de ma meilleure pote parce qu’elle avait couché avec ma copine. » Mais c’est particulier, entre Daisy et moi. On a grandi comme des soeurs, on s’est battues toute notre vie, on a été là pour le pire et on s’est bouffées un peu plus en voyant ce qu’on devenait, y a autant de rancoeur que d’affection mal exprimée et on attend jamais plus l’une de l’autre. On s’aime, profondément, mais je ne crois pas qu’on se soit jamais vraiment appréciées. C’est si facile, de tout blâmer avec Spencer sur elle. « Je sais jamais en vouloir aux bonnes personnes, je crois. Faut croire que ça nous fait encore ça en commun. » Un regard entendu suffit à faire passer le message, je pense. J’espère. J’attends toujours, quelque part, que tu reprennes tes esprits et que tu me foutes dehors, parce que quelque part, je crois que j’ai profondément besoin qu’on m’en veuille. Qu’on me tienne pour responsable de tout, même ce qui n’est pas de mon ressort, et que je sois à genoux une bonne fois pour toutes afin de payer pour les fois où j’ai été épargnée sans le mériter.

Un ange passe, mais ça pourrait tout aussi bien être dix : je te détaille du coin de l’oeil, encore peu convaincue que tu ne vas pas essayer de me frapper ou me faire basculer, à moins que tu ne chopes ma cigarette pour l’écraser sous ton talon. Ca te ressemblerait davantage, déjà. A la place de toute crainte, c’est un lourd soupir qui m’échappe. J’ai l’impression que la hache de guerre a été posée, sans qu’on ait réussi à l’enterrer ; je m’en tire avec une tape sur les doigts et un sacré bagage émotionnel à défaire, mais c’est moins que ce que je mérite et j’en suis la première déçue. « Ça m'a fait du bien, je crois », je lâche et je n’ose pas te demander si c’est ton cas aussi, ou si tu n’as pas envie de cracher encore un peu plus. « Mais j’vais pas te pourrir ta soirée davantage. » Je sais que j’ai sûrement mon sourire contrit de chiot tristoune à la con, mais je le contrôle même pas - je termine la boisson et écrase ma clope sous mon propre pied (fort, comme j’aurais voulu que tu le fasses), puis je me décolle de la barrière pour me signer. Une main sur ton épaule, un peu timide mais surtout désolée, affectueuse mais incroyablement consciente d’être de trop. « Prends soin d’toi. Je suis pas loin si t’as envie d’une autre boisson, je paierai ma tournée. » Et je me dégage sans rien dire de plus, parce qu’il est temps que je te laisse l’espace de faire ta paix avec tout ça.

Fin (je crois)

@Marceline Griffiths I love you


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