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 (ginny) there was one thing missing

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Atlas Siede
Atlas Siede
le raz de marée
le raz de marée
(ginny) there was one thing missing FQgUS3L Présent
ÂGE : quarante et un an, né un soir d'halloween quatre-vingt-deux.
SURNOM : Siede pour la plupart des gens, Capitaine pour ses frères d'armes.
STATUT : sa vie sentimentale n'est qu'une série d'opportunités manquées
MÉTIER : pilote de l'aéronautique navale, capitaine du squadron 816. en arrêt prolongé suite à son accident.
LOGEMENT : il a accepter de partager son canapé de la déprime avec Ginny au #21 hardgrave road, west end.
(ginny) there was one thing missing YlkH
POSTS : 7299 POINTS : 330

TW IN RP : crise de panique/angoisse, excès de colère, accident, douleur physique.
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : second né de la fratrie Siede › s'est engagé dans l'armée après le Lycée, il a n'a fait que grimper les échelons pour arriver au grade de capitaine › a eu un accident de vol fin novembre 2021 › il a perdu trois ans de souvenirs (période 2018 à 2021) › il aimerait être père mais n'a jamais su se poser dans sa vie, en attendant il est le tonton cool pour les enfants de ses amis › amoureux de Matilda depuis toujours.
CODE COULEUR : Atlas donne des ordres en seagreen
RPs EN COURS : (06) ginny #1 (fb)ally #1amos #8ginny #2lewis #1

(ginny) there was one thing missing Yarvcat3
ginny #1 & #2 › i passed the pictures around of all the years that we stood there on the sidelines, wishing for right now. we are the kings and the queens. you traded your baseball cap for a crown. when they gave us our trophies, and we held them up for our town, and the cynics were outraged screaming, "this is absurd". 'cause for a moment, a band of thieves in ripped up jeans got to rule the world

(ginny) there was one thing missing Brd6p7wz
lewis #1 › if i was dying on my knees, you would be the one to rescue me and if you were drowned at sea i'd give you my lungs so you could breathe. i've got you brother

(ginny) there was one thing missing 5abv93b7
ally #1 › in our family portrait we look pretty happy. we look pretty normal, let's go back to that. in our family portrait we look pretty happy. let's play pretend, act like it goes naturally. can we work it out? can we be a family? i promise i'll be better, mommy i'll do anything.


RPs EN ATTENTE : louis #1


RPs TERMINÉS : (2023) matilda #2channinghaydenautumn #3amos #6lucy #1matilda #4matilda #5 (fb)matilda #6evelynmatilda #7ava #2

(2022) matilda #1

(flashbacks) matilda #3 (2001)matilda #5 (2002)ava #1 (2011)
AVATAR : ryan gosling
CRÉDITS : harley (avatar), pinterest (gif profil), rainbowkarolina (gif ginny), putalittleloveonme (gif lewis), emziness (gif ally), hqgifhunting (gif signa), loonywaltz (ub)
DC : shiloh atkins, la reconstruction (ft. haley lu richardson), arthur coventry, l'aigle de sang (ft. françois civil), nina craine, le coeur abandonné (ft. suki waterhouse)
PSEUDO : paindep.
INSCRIT LE : 26/12/2017
https://www.30yearsstillyoung.com/t48003-we-re-a-world-of-strangers-chasin-signs-atlas
https://www.30yearsstillyoung.com/t48240-atlas-i-used-to-recognize-myself-it-s-funny-how-reflections-change
https://www.30yearsstillyoung.com/t48612-atlas-siede

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Message(#) Sujet: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptyDim 28 Jan - 13:33




(c) daisyridleyedits & katesgifsrp
there was one thing missing

Atlas était fatigué, épuisé de toute l’attention bien trop délicate que l’on déversait à tout bout de champ sur sa personne. Il pouvait amplement comprendre l’inquiétude de ses proches, après des semaines passées dans le coma et un pronostic qui n’avait cessé d’osciller entre la vie et d’un destin plus tragique, ils en étaient ressortis aussi fragiliser que lui. Il pouvait l’entendre, mais il ne supportait plus le regard empli de larmes que Mia posait sur lui, les longs silences qui lui offraient Amos et la manière dont tout le monde semblait prendre des pincettes pour s’adresser à lui. Son hospitalisation ne faisait que s’éterniser et puis les mots, centre de rééducation, ont été prononcé et Atlas s’était vu perdre pied. Il était conscient de ses nouvelles limitations, à l’affût de ces nouvelles douleurs qui venaient tirailler sur ses muscles et qui l’empêchaient de se déplacer à sa guise, mais il se refusait à l’idée de se retrouver enfermé dans un centre. Sa mémoire avait beau lui jouer des tours, il s’était tourné vers ceux qui avaient toujours su répondre présent pour lui comme il avait su le faire pour eux. Si le silence de Jill n’avait rien eu d’étonnant, celui de Matt se voulait étrangement inhabituel. Et puis Ginny avait répondu, petit rayon de soleil venu réchauffer sa journée d’une simple proposition accueillie comme une prophétie.

Il avait pris son invitation à venir la rejoindre comme la possibilité de se prouver qu’il était encore capable. Un défi envers lui-même, un pari contre son propre corps, pour venir déjouer le discours éternellement défaitiste des médecins. Une manière de prouver au corps médical, mais également à ses sœurs, qu’il était encore capable de se déplacer seul, capable de faire sans qu’on lui propose le moindre aménagement et que l’on s’adresse à lui comme on le ferait auprès d’un animal blessé. Certes, il avait pris le taxi plutôt que le train pour se rendre à l’aéroport. D’accord, il s’était contenté de s’asseoir près de sa porte d’embarquement plutôt que de vadrouiller dans les couloirs du terminal. Oui, une hôtesse de l’air, lui avait proposé d’embarquer en premier en apercevant sa béquille. Mais Atlas restait capable. Il devait juste ignorer la douleur lancinante qui irradiait le long de sa hanche dès qu’il se devait de marcher pour plusieurs mètres d’affilés. Rien qu’un verre de champagne et quelques anti-douleurs ne sauraient gérer le temps du vol. Têtu comme une mule, il était parti contre l’avis des médecins, sans rien dire à sa famille. Qu’ils aillent tous au diable, Atlas venait de passer trois mois confiner dans un hôpital, il avait besoin d’ailleurs, besoin de prendre l’air, besoin de voir un visage familier qui ne le cajolerait pas pendant des heures.

Elle lui avait donné l’adresse d’un café, non loin du Airbnb qu’il avait déniché à la dernière minute. Plus têtu que jamais, il avait vérifié la distance sur son téléphone, avant de se persuader de pouvoir rejoindre le lieu de rendez-vous à pied. Sa béquille ne le quittait plus, il se faisait lentement à l’idée de devoir compter sur l’objet pour un bon moment encore. Il détestait l’image que cela renvoyait de lui, cette faiblesse visible aux yeux de tous, mais Atlas s’était fixé un objectif. Six mois. Pas un de plus. Dans six mois, il n’aurait plus besoin de cette fichue béquille, qu’importent les douleurs. En attendant, les quelques mètres qui le séparaient du café, lui paraissait se transformer en véritable parcours du combattant. Refusant de s’arrêter, il persistait à mettre un pied devant l’autre, sentant peu à peu son corps se réveiller, animant la douleur qui était désormais ancrée à sa hanche. Il avait vu le regard d’une jeune femme qui avait hésité à venir l’aider, il s’était redressé et lui avait lancer un sourire. Il pouvait le faire, quand bien même il paraissait transpirer comme un fou sous un effort aussi simple.

Il avait senti son regard sur lui avant même d’apercevoir sa silhouette. Elle l’attendait devant la boutique, prétextant ne pas l’avoir vu. Il la remerciera plus tard. Passant une main sur son front trempé de sueur, Atlas se redressa pour franchir les quelques mètres qui lui restaient pour atteindre sa destination, le regard fixé sur celle qu’il n’avait pas vu depuis trois mois, ou plus encore ? « T’as vieilli, non ? » Il ne put s’empêcher de la taquiner. Le monde paraissait tourner légèrement autour de lui, mais il avait réussi. « Hey Ginny. » Dans un murmure accompagner d’un faible sourire qui s’immisçait à la commissure de ses lèvres.




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Ginny Williams
Ginny Williams
la persistance de la mémoire
la persistance de la mémoire
ÂGE : 34 ans, poissons ascendant gémeaux (05/03).
STATUT : Auden a dit les mots mais elle n'a pas encore vu les papiers (tombe amoureuse des garçons de qui on lui dit de se méfier since 1990).
MÉTIER : peintre et photographe, d'abord et avant tout. elle a passé les deux dernières années à jouer à la réalisatrice de jour et à la poétesse de nuit. caresse le rêve de publier les quatre (!!!) livres pour enfants qu’elle a conceptualisés, des textes aux illustrations, d’ici la fin de 2024.
LOGEMENT : #21 hardgrave road, west end, où elle a la garde partagée avec Atlas du canapé officiel de la déprime.
(ginny) there was one thing missing B54cef7e1d870b61be079bdb1f9bfbf4
POSTS : 214 POINTS : 870

TW IN RP : environnement sectaire, anxiété de performance, ptsd familiaux, violence conjugale (vécue).
TW IRL : rien à signaler.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
CODE COULEUR : cadetblue
RPs EN COURS : Autumn #2 + Anna + Sienna + Savannah + Evelyn + Ugo (fb) + Milena + Atlas (fb) + Val (fb) + Auden #114 + Kieran (fb) + Atlas #2 + Ezra #25 + Swann #6 + Jude + Megan #2

(ginny) there was one thing missing Tumblr_inline_o2nlm0Ezm51rifr4k_500
MCRAINE - A sun from the waste land calling, bringing us back home. Shadows will guide you, show what's true. Thoughts of the garden calling fading out too soon. Is this what we have become?

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GINAUDEN - "The problem is all inside your head," she said to me. "It's really not my habit to intrude but I'll repeat myself at the risk of being crude". There must be fifty ways to leave your lover. Fifty ways to leave your lover.

(ginny) there was one thing missing B07f107c4e4b1997282d4cc5cae86702f8618cf5
EZNNY - There is whiskey in the water, and there is death upon the vine. There is a desert veiled in pavement, and there's a city of seven hills. And all our debris flows to the ocean. To meet again, I hope it will.

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ATLINNY - You can drive all night looking for the answers in the pouring rain. Funny how it seems like yesterday as I recall, you were out of place. Gathered up your things and slipped away. No time at all, but we have all the time in the world.

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JUDINNY - and if the whole world is crashing down on you, fall through space out of mind with me. little memories, marching on your little feet. say will it spin, will it soar? under us, like a wave, empires will fall.

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OCTOBRINIA - i can feel a new expression on my face, can feel a glowing sensation taking place. summer's night with a magic moon, everytime you walk into the room.

RPs EN ATTENTE : Auden #115 (fb)

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RPs TERMINÉS : Auden #111 + Swann #4 + Auden #112 + Auden #113 + Mcraine #5 + Ezra #24 + Midas + Megan
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PSEUDO : hub
Femme (elle)
INSCRIT LE : 07/11/2023
https://www.30yearsstillyoung.com/t52028-ebs-flows-ginny
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Message(#) Sujet: Re: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptyMer 31 Jan - 3:06



J’ai couru. De l’appartement de David jusqu’à la gare, de la gare jusqu’au premier café, du premier café jusqu’au second - parce qu’évidemment, j’avais noté la mauvaise adresse de la mauvaise franchise sur un bout de papier volé, écrit avec empressement d’un reste de pastel. Des mèches dans tous les sens et les joues plus roses que si un coup de soleil s’était attaqué à moi les jours où peindre des fresques à découvert se faisait sans chapeau. Je vais bien. Je suis à bout de souffle, un poing dans les côtes, et j’ai l’air d’aller bien, plutôt. Tout est relatif. Pour cette passante qui me sourit, et à qui je dédie un sourire en retour, la vie va particulièrement bien. Pour David, qui ce matin encore se perdait dans mes croquis l’air aussi intrigué qu’impressionné, je n’ai jamais autant eu du plaisir à dessiner que maintenant. Pour ces voisins qui me saluent chaque fois que je sors à l’aventure au détour d’un parc ou d’une balade en bord du fleuve, je me porte à merveille. Même pour mes parents, je me maintiens. Je n’ai ni ces tremblements typiques qui forcent mes doigts à se triturer les uns les autres. Je n’ai pas la voix qui grince, pas même ce voile devant les yeux. À leur avis, j’ai appris à être plus forte que tout le reste, plus forte que ce qu’on ressent lorsqu’on reçoit un appel un doux dimanche matin vous annonçant que votre frère est - « T’as vieilli, non ? » « Le soleil de Sydney fait des ravages sur ma peau de pêche. » que votre frère, après avoir cru être meilleur que les vagues, a - « J’espère que t’as pas fait l’impasse sur l’écran solaire, d’ailleurs. » que votre frère, alors que ses derniers mots pour vous n’étaient pas les plus doux ni les plus brillants, est -

- j’expire. Le sourire sur mes lèvres fera son temps, aux yeux d’Atlas. La répartie de bac à sable, elle aussi, passera plutôt bien derrière un filtre de sueur commandité par la canicule des derniers jours, ici. Du bout du pouce, je taquine celui que je connais d’aussi loin que je me souvienne comme l’un des meilleurs amis de mon frère en pressant la ride entre ses sourcils. Je l’ai bien vu arriver, de l’autre côté de la rue, avec sa béquille et son orgueil tous les deux mal placés. Encore heureux, j’en étais à défiler mentalement tous mes filtres et toutes mes précautions, chaque élément passible de pouvoir me servir de bouée de sauvetage au cas où je sente le souvenir de Matt remonter. Le souvenir qui est toujours là au final, flottant, flou, de plus en plus. Un jour, dans quelques mois, je me réveillerai en panique d’être incapable de me rappeler son visage dans les moindres détails. Par chance, malgré tout, ce jour-là n’est pas encore arrivé. « Hey Ginny. » c’était une bonne idée sur papier. De lui dire de passer me voir dans ma nouvelle ville, ma nouvelle vie. De lui lancer le défi de tout lâcher un bref moment et de voir à quoi ressemblait le quotidien de la si grande et si célèbre artiste-peintre que l’éternelle petite soeur de Matt avait bien pu devenir, de l’autre côté du pays. Dans les faits, c’était une jolie épopée à memory lane, une visite de mon quartier et de mes endroits préférés. Une façon de partager un peu de ma routine avec quelqu’un qui m’a vue tracer des horreurs dans mes premiers cahiers et croire qu’elles feraient les musées. « Hey, Attila. » mais lorsque la blague franchit mes lèvres et que je m'entends prononcer l’un des milliers de surnoms qu’on lui donnait pour l’énerver et faire changement d’Atlas, c’est un peu plus compliqué. J’entends Matt le dire, je l’entends d’une façon claire, nette et précise et -

« Elle est un peu déprimante, ta conquête du jour. » sans vraiment m’en rendre compte, je nous ai dirigés vers l’intérieur, le temps de traverser le café pour ressortir dans leur jolie cour arrière. Les tables sont éparpillées autour d'un petit jardin à ciel ouvert, et à peine une poignée de clients s’est installée par ci par là. L’endroit est presque à nous, et ma main se tend vers lui. C’est sa béquille que je veux, la pauvre qui semble tellement l’enrager que j’aurais peur pour elle qu’elle finisse sur un bûcher avant minuit. « Je peux? » encore heureux que j’ai lâchement traîné mon sac à dos et mes pastels avec moi. Ce sont eux qui me servent d’échappatoire, quand - quand. Il me suffit simplement de choisir une ou deux couleurs et de laisser les traits expier ce qui remonte, ce qui fait trop mal à l’intérieur. Si Atlas l’autorise, j’expierai ce que je tente de cacher à grand coup de sourires et de regards faussement brillants d’un ou deux tatouages permanents sur sa troisième jambe. Je devrais sûrement lui demander d’où elle vient, sa blessure. Mais étrangement, maintenant qu’il est devant moi et que mes yeux se plongent dans les siens, j’ai envie de parler de beau. Le sale, le laid, le douloureux peut attendre. Une béquille barbouillée à la fois.




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ginny #1 & #2 › i passed the pictures around of all the years that we stood there on the sidelines, wishing for right now. we are the kings and the queens. you traded your baseball cap for a crown. when they gave us our trophies, and we held them up for our town, and the cynics were outraged screaming, "this is absurd". 'cause for a moment, a band of thieves in ripped up jeans got to rule the world

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ally #1 › in our family portrait we look pretty happy. we look pretty normal, let's go back to that. in our family portrait we look pretty happy. let's play pretend, act like it goes naturally. can we work it out? can we be a family? i promise i'll be better, mommy i'll do anything.


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Message(#) Sujet: Re: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptySam 17 Fév - 13:50




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there was one thing missing

Si son corps lui hurlait de ravaler sa fierté à coup de douleur lancinante qui, il le savait, continuerait à le hanter pour les prochaines heures, son esprit se sentit immédiatement apaisé à la vision de ce visage si familier. Il ne l’avait pas oublié, il en avait eu peur avant de monter dans cet avion, d’avoir imaginé les traits autour de ses yeux rieurs, d’avoir fabriqué de toute pièce les intonations de sa voix, simplement parce que son prénom et leur lien avait persister dans les pages de sa mémoire. Mais Ginny se dressait face à lui, fidèle à l’image qu’il avait su conserver dans un coin de son esprit. « Le soleil de Sydney fait des ravages sur ma peau de pêche. » Et tout sonnait à nouveau pareil. « J’espère que t’as pas fait l’impasse sur l’écran solaire, d’ailleurs. » Un rire léger lui échappa, au travers d’un énième soupire cherchant à rééquilibrer sa respiration. « Rappelle-moi qui de nous deux est l’Australien dans l’équation ? » Il se faisait fi de leurs origines communes. Pour la blague. Pour le temps que ça lui fera gagner à ne pas parler de ce qui se trame pour lui. S’il n’était pas aussi obsédé avec l’idée de vouloir se montrer sous son meilleur jour, comme si de rien était, Atlas aurait déjà noter les détails. Le sourire de Ginny qui n’en était pas vraiment un, comment ses doigts étaient immédiatement venus frôler sa peau pour s’assurer qu’il était bel et bien réel et tout le reste. Les petites choses qu’il avait pour habitude de relever auprès de ses sœurs, les éléments qui faisaient de lui ce grand-frère terrible à leurs yeux, toujours capables de savoir lire entre les lignes. Il n’en était plus là, il avait perdu de son doigté et… « Hey, Attila. » Il se vint relâcher l’inspiration qu’il paraissait avoir retenue jusque-là. Et si auparavant, il aurait pu faire la tête pour avoir osé un tel affront, aujourd’hui, il accueillait le surnom avec une nostalgie nouvelle. « T’as pas idée à quel point ça fait du bien d’entendre ça. » Elle ne prenait pas de gants à ses côtés, ne le traitait pas tel l’infirme qu’il était devenu, mais simplement comme son égal. Et Atlas se demanda, une fois encore, pourquoi Matt n’avait jamais répondu au moindre de ses appels.

« Elle est un peu déprimante, ta conquête du jour. » La cadette des McGrath perpétuait la distraction, l’ayant entraîné dans le cœur du café sans qu’Atlas ne se voie grimacer à chaque nouveau pas. « J’ai ramené mon plus beau modèle pourtant. » Comme s’il en possédait toute une collection et que son accompagnement se devait éternel. Non. Il se refusait à cette éventualité. Il allait s’en sortir, il allait pouvoir marcher seul à nouveau. Rien ne le retiendra prisonnier encore plus longtemps. « Je peux? » Il sait ce qu’elle attendait, alors que ses doigts fouillaient déjà les recoins de son sac à dos. Ginny qui n’avait jamais su entretenir une conversation sans gribouiller sur un bout de papier. « Go wild. » Peut-être que l’œuvre vaudra son pesant d’or un de ces jours. « Faut bien que je reparte avec un original de McGrath. » Comme s’il n’était venu que pour ça. Comme si ça avait de l’importance. Ce n’était que des mots fait pour remplir les silences qu’ils avaient toujours détesté, l’un comme l’autre.

Un serveur, c’était matérialisé au bout de leur table, Atlas avait demandé un café, et plus faiblement ensuite un verre d’eau fraîche. Mais son regard n’avait jamais quitté les traits de celle qui avait si longtemps été la gamine qui venait les emmerder avec Matt. « Tu m’expliques pourquoi j’ai dû faire 1000km pour te voir ? » Était-ce nouveau ? Est-ce qu’il avait oublié ? Et pourquoi Matt ne lui répondait pas ? Les questions se précipitaient à la commissure de ses lèvres, mais Atlas cherchait à retenir son élan. « On fuit qui ? » N’était-elle pas mariée ? Avec ce gars-là, toujours silencieux, constamment absorber par sa musique ? Ou était-ce un autre ? Ses souvenirs se voulaient confus. Atlas n’était plus sûr de rien et avec Mia qui ne voulait rien lui dire, qui lui avait dit d’aller voir par lui-même.




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MÉTIER : peintre et photographe, d'abord et avant tout. elle a passé les deux dernières années à jouer à la réalisatrice de jour et à la poétesse de nuit. caresse le rêve de publier les quatre (!!!) livres pour enfants qu’elle a conceptualisés, des textes aux illustrations, d’ici la fin de 2024.
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MCRAINE - A sun from the waste land calling, bringing us back home. Shadows will guide you, show what's true. Thoughts of the garden calling fading out too soon. Is this what we have become?

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GINAUDEN - "The problem is all inside your head," she said to me. "It's really not my habit to intrude but I'll repeat myself at the risk of being crude". There must be fifty ways to leave your lover. Fifty ways to leave your lover.

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EZNNY - There is whiskey in the water, and there is death upon the vine. There is a desert veiled in pavement, and there's a city of seven hills. And all our debris flows to the ocean. To meet again, I hope it will.

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ATLINNY - You can drive all night looking for the answers in the pouring rain. Funny how it seems like yesterday as I recall, you were out of place. Gathered up your things and slipped away. No time at all, but we have all the time in the world.

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Message(#) Sujet: Re: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptyVen 1 Mar - 23:14



« Rappelle-moi qui de nous deux est l’Australien dans l’équation ? »
« Je sais mieux surfer que toi! »

Renchérir se fait tout seul, comme le pincement au coeur qui vient avec. Dans l’élan, j’avais à peine pris le temps de réfléchir - ne me le suis justement pas donné - pour flirter avec la nostalgie des prises de bec autour d’un feu de camp, sur la plage, où trois McGrath s’obstinaient avec un pauvre et seul Siede à savoir qui était plus australien que l’autre. Les combats pour trouver qui détenait la palme de l’aristocratie anglaise aussi étaient plutôt salés, même si Matt et Hayden finissaient presque toujours à égalité lorsqu’ils dégainaient leurs accents à trancher au couteau. Ma- « T’as pas idée à quel point ça fait du bien d’entendre ça. » t’as pas idée à quel point ça fait mal de ne pas l’entendre le dire, lui, ça. Je profite du soupir de soulagement d'Atlas pour m’y raccrocher, un sourire de plus tatoué sur mes lèvres et un rayon de soleil qui me brûle la nuque plus tard. « Tu sens différent. » quand il passe près de moi pour entrer au café, j’en profite pour chercher son parfum d’avant sur sa peau. Avant a changé pour lui aussi, apparemment.

Ce n’est pas une mauvaise chose, que la terrasse déborde de plantes exotiques et de fleurs de toutes les couleurs. Tout autour, on a vite l’impression d’être avalés par une faune sauvage et luxuriante qui a son propre agenda et qui ne se gêne pas pour nous rappeler qu’on vit en son royaume aussi longtemps qu’elle l’autorisera. D’une main, j’attends qu’Atlas me fournisse son canevas du jour pour pouvoir tenter d’y gribouiller quelque chose de coloré, d’extravagant. Quelque chose qui lui donnera une bonne raison d’arborer un air tout sauf assuré lorsqu’il aura sa béquille sous le bras. Ce n’est pas sa blessure qui le mettra dans tous ses états, c’est un tableau expressionniste qui attirera les regards à la place. Donnant donnant. « Go wild. » je laisse une fossette se creuser sur ma joue, simple confirmation qu’il vient de me donner feu vert et que je ne risque pas d’aller dans la demie-mesure. Elle est loin, la Ginny qui s’excusait de faire de l’aquarelle floue et délavée derrière ses propres carnets de notes. Surtout depuis qu’elle passe le plus clair de ses nuits à graffer les briques de la ville plus souvent illégalement que l’inverse. « Faut bien que je reparte avec un original de McGrath. » « Si tu vends mon boulot pour t’acheter une villa je te le pardonnerai jamais. » hilare, mes mots volent vers lui mais mon regard ne lâche pas la boîte de crayon que je filtre du bout des doigts en vitesse, concentrée. « Sauf si elle est à Brighton. Pour ça, je peux négocier. » mon amour pour la ville où on avait notre safe space, Bailey et moi, remonte sans même que je ne pense à filtrer la confession. Atlas doit se rappeler de l’endroit pour l’avoir entendu être mentionné une fois ou deux, j’en suis sûre. Il comprendra ce qu’il y a à comprendre, à savoir qu’un jour, je retournerais y vivre sans la moindre hésitation.

« Tu m’expliques pourquoi j’ai dû faire 1000km pour te voir ? » je n’ai pas sursauté lorsque le serveur a maladroitement déposé mon café glacé sous mon nez ; mais lorsqu’Atlas pose sa question, c’est mon corps en entier qui frissonne malgré la canicule. « On fuit qui ? » le rire que je lâche est lâche, justement. Désarticulé. « J’espérais attendre le dessert avant de casser l’ambiance. » je sais que je n’ai pas besoin de mettre la table avec lui, que je peux tout simplement tirer le pansement et qu’on partira de là ensuite. Mais, mais - « On fuit Brisbane. » ce n’est pas un mensonge. On fuit Brisbane et ce qu’elle signifie. Entre ma vie là-bas et celle de Matt qui - « La routine. » qui a pris la place, depuis les dernières semaines. Ce n’est pas la routine d’avant, c’est une routine pire, un horaire qui nous serre à la gorge et qui donne très peu de marge de manoeuvre. « Le stress, la pression, les crises de panique, les mauvaises insomnies, les silences encore plus mauvais que ça... » j’espérais stupidement que ce soit temporaire. Ou que le passage de mes parents ait été en cause. Qu’une fois la page tournée, le deuil fait… j’ai la langue pâteuse, les yeux humides, l’envie irrépressible de changer de discours et en même temps le besoin viscéral de vider mon sac avant de parler de quoi que ce soit d’autre. « Et on fuit Auden, aussi. » qu’il a connu principalement à travers Matt et ses commentaires, j’ai envie de dire. Si je peux bien faire honneur à mon frère de cette façon, ce sera au moins le cas ainsi. « Ça s’est pas super bien passé quand je lui ai annoncé que je voulais venir étudier à Sydney un temps. » j’ai l’impression que tout se mélange, dans mes explications. Prenant le temps d’inspirer une énième fois, je réalise que mes yeux ont fui ceux d’Atlas dès que j’ai commencé à parler. Fuyarde en bonne et dûe forme, je relève quand même le menton vers lui, plongeant mes prunelles dans les siennes une seconde une vraie. J'essaie de rire ; je réussis presque. « Ta faute, tu as posé des questions. » la vie serait si simple si mes réponses l’étaient elles aussi.




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Atlas Siede
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ÂGE : quarante et un an, né un soir d'halloween quatre-vingt-deux.
SURNOM : Siede pour la plupart des gens, Capitaine pour ses frères d'armes.
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LOGEMENT : il a accepter de partager son canapé de la déprime avec Ginny au #21 hardgrave road, west end.
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Message(#) Sujet: Re: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptyVen 12 Avr - 19:18




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« Tu sens différent. » La remarque se voulait presque anodine. Les années qui se sont écoulées, le temps qui passe, les différences qui s'impriment sur la peau. Le cours naturel des choses. Transcender par une odeur qui ne voulait se décoller de son épiderme, quelque chose d’atrocement aseptisé, témoin de son séjour prolongé entre les murs d’une institution médicalisée. Un point qu’il aurait aimé qu’elle ne relève pas, qui ne soit pas souligné de cette manière. Une réalité qu’il se refusait d’accepter, ce que son odeur et cette fichue canne voulaient bien dire à propos de lui. Atlas étira un sourire sur ses lèvres sans émettre le moindre commentaire. Tout paraissait avoir changé sans qu’il n’ait le sentiment de pouvoir en saisir toute la dimension.

Il était tellement plus simple de se plonger dans des habitudes. Laisser Ginny jouer avec sa boîte de crayons de couleur. L’observer froncé les sourcils alors que ses doigts paraissaient hésiter entre deux teintes qui lui semblaient si identiques au travers de son prisme de novice. Il en avait passé des heures à chercher à comprendre comment l’esprit de Ginny créait. Aujourd’hui encore, il s’amuse à réaliser que ce n'était pas le fonctionnement qui se voulait intéressant, mais le simple plaisir d’assister au processus. Elle avait assez confiance en lui pour se laisser aller à sa création, sans se soucier de l’extérieur. Il gardait l'œil ouvert pour elle. « Si tu vends mon boulot pour t’acheter une villa je te le pardonnerai jamais. » Il eut un léger rire, levant les yeux au ciel devant une telle affirmation. « Tu pourrais pas. » Lui en vouloir. Ils avaient essayé bien des fois par le passé. Pour de simples différends ou parce que Matt avait fini de jouer avec ses nerfs. Même le silence continu de ce dernier n’amenait pas Atlas à vouloir le rayer de sa vie. Pas encore, pas sans réponses, sans explication. « Sauf si elle est à Brighton. Pour ça, je peux négocier. » La mention de cette ville le fit tiquer. Il n’était pas le seul à être différent. Il l’avait noté dès l’instant où il s’était retrouvé à ses côtés. Que Ginny mentionne cette vie d’avant n’avait strictement rien d’anodin. Quelque chose chez elle se voulait différent. De la manière dont elle se tenait, à la façon dont son sourire ne fait plus briller le moindre éclat au fond de ses prunelles. Chez elle aussi, le temps avait fait son œuvre de manière cruelle. Venant écorcher sa joie de vivre et sa passion.

Atlas aurait pu attendre, il aurait pu profiter de l’instant, des retrouvailles, mais ce n’était pas dans sa personnalité que de se vouloir patient. Il avait oublié tant de choses, il était temps de recoller les morceaux. « J’espérais attendre le dessert avant de casser l’ambiance. » Elle le respectait assez pour ne pas prétendre à un rien. Il lui en accorda un léger sourire. « J’ai du temps à rattraper. » Elle n’avait pas la moindre idée à quel point il passait son temps à courir après le temps perdu, à la recherche de tout ce qui ne faisait guère de sens à ses yeux désormais. Qu’est-ce qu’il avait oublié ? Qu’est-ce qui avait bien pu passer à la trappe ? « On fuit Brisbane. » Il aurait pu le deviner tout seul. « La routine. » Elle n’avait jamais été capable d’en conserver une plus de quelques semaines à la fois. Rien ne paraissait tant hors de l’ordinaire. Et pourtant, il y avait encore tout ce qu’elle paraissait avoir tant de mal à lui confier. « Le stress, la pression, les crises de panique, les mauvaises insomnies, les silences encore plus mauvais que ça… » Qu’est-ce qu’il avait bien pu louper ? Il lui manquait des cartes dans son jeu, des épisodes de la série et des chapitres dans le livre. Il pouvait le voir à la manière dont elle se tenait, si fragile, prête à céder sous un barrage de larmes qu’elle se refusait à laisser couler. Et lui ne pouvait que froncer les sourcils à la recherche d’une réponse qu’il était persuadé de connaître, mais qui semblait lui échapper à mesure qu’il courrait vers la lumière. « Et on fuit Auden, aussi. » Il connaissait ce prénom. C’était qui encore celui-là ? Il lui fallait un instant. « Ça s’est pas super bien passé quand je lui ai annoncé que je voulais venir étudier à Sydney un temps. » Il détestait cette sensation de ne pas être certain de tout comprendre, d’avoir la preuve ultime que sa mémoire ne cessait de lui jouer des tours. « Attends, Auden ? » Putain, ça lui revenait maintenant. « L’italien ? » Il dû se retenir pour ne pas employer la qualificatif que Matt avait pour habitude d’utiliser pour ce dernier. « Depuis quand on se soucie de ce qu’il pense celui-là ? » Qu’est-ce qu’il avait tant loupé en quelques années ? Pourquoi rien ne paraissait faire sens. « Ta faute, tu as posé des questions. » Elle rit faussement alors qu’Atlas cherche encore à raccrocher les wagons. Auden était devenu important ? Il l’avait toujours été pour elle, qu’importe combien elle voulait le nier. Bailey n’était qu’une façade, le militaire l’avait compris au premier jour. Mais Auden se voulait d’être un vilain secret, rien de plus. Pas vrai ? « Attends… C’est pour ça que Matt fait la gueule ? » À quel point ils se sont déchirés à cause d’un connard insignifiant ? La mention du prénom de son frère provoqua une réaction chez Ginny qu’il n’était pas sûr de comprendre. Comme si elle le suppliait de ne surtout pas parler de lui. « Il réponds à aucun de mes appels. » Et ce n’était pas normal, il en avait parfaitement conscience désormais. « J’ai pris ton parti à un moment ou quoi ? » Il serait peut-être temps de lui dire, que le coup qu’il avait reçu sur la tête avait supprimé quelques bandes du film de sa vie. Mais Atlas se voulait sans mot, à tenter de comprendre quelque chose qui ne pouvait faire sens.




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Ginny Williams
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la persistance de la mémoire
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MÉTIER : peintre et photographe, d'abord et avant tout. elle a passé les deux dernières années à jouer à la réalisatrice de jour et à la poétesse de nuit. caresse le rêve de publier les quatre (!!!) livres pour enfants qu’elle a conceptualisés, des textes aux illustrations, d’ici la fin de 2024.
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Message(#) Sujet: Re: (ginny) there was one thing missing (ginny) there was one thing missing EmptyDim 21 Avr - 20:43



« J’ai du temps à rattraper. » l’envie de le traiter d’adulte, de vieille branche, de senior me brûle les lèvres mais je préfère les noyer dans une énième gorgée de café. Atlas prend des nouvelles et c’est tout à son honneur, il pose simplement les questions qui fâchent, questions que même David n’aborde pas depuis qu’il a compris que tout ce qui touchait Brisbane était synonyme de corde sensible pour moi. Que la ville en soi signifiait tellement d’émotions refoulées, de regrets tout sauf assumés, de malaises et de mal-êtres qui s'éternisent. Il l’évite, il me trouve mille et unes autres distractions, il embrasse ma nuque jusqu’à ce que j’oublie ce à quoi je pensais une seconde plus tôt. Le vide laissé par le retour de Sloan chez Auden, celui constant d’un Noah qui voyage entre les deux villes sans jamais vraiment sortir de ses valises, les quelques heures après les départs où je peins du bout du pinceau, en silence, les pensées qui remontent sur ce qui s’est passé il y a quelques semaines déjà, à propos de Ma - « Attends, Auden ? » fidèle à lui-même, Atlas rattrape mes pensées noires au vol. Sa surprise me provoque un sursaut, puis un éclat de rire de voir à quel point il fronce les sourcils. C’était moins une - j’approchais trop du bord du gouffre pour ne pas m’y laisser tomber. Sans le savoir, Atlas m’a de nouveau rattrapée par la ceinture, ramenée vive, les pieds bien ancrés sur terre. « L’italien ? » doucement, j’hoche de la tête, sentant un sourire naître sur mes lèvres, un vrai celui-là. Mes fossettes n’ont rien de faux. « Depuis quand on se soucie de ce qu’il pense celui-là ? » sans y penser, je me redresse, liste mentalement toute les raisons qui font que la réponse devrait être depuis que je l’ai marié. Depuis qu’il est le père de l’un de mes fils. Depuis que je lui en veux de toutes mes forces d’avoir tenu le même discours que mes parents à la seconde où j’ai voulu partir, que je ne lui pardonnerai jamais d’avoir cru qu’il avait le droit de jouer ce rôle-là et d’avoir tout gâché en l’interprétant à la perfection. « Depuis - t’as raison. » même si Auden a tenu la place de l’homme de ma vie pendant tellement de temps que j’ignore si quelqu’un d’autre pourra prendre le relais un jour, ça n’empêche pas le fait que ce qu’il pense n’est plus important, pour moi, maintenant. Il a décidé d’aller d’un côté, j’ai choisi d’aller de l’autre, et en partant il m’a bien fait comprendre que peu importe si je revenais ou non, tout serait fini. Tant que cela ne concerne pas Sloan, Auden et ce qu’il a à dire sur moi et sur un ancien nous ne vaut pas la peine que je m’y attarde.

Décidée, j’hoche de la tête pour clore le sujet, pour confirmer à Atlas que je ne serai pas celle qui s’éternisera sur des miettes quand ce qu’il articule me coupe net le souffle. « Attends… C’est pour ça que Matt fait la gueule ? » horrifiée, je sens mes yeux s’écarquiller sans même prendre une seule seconde pour retenir l’expression. « Il réponds à aucun de mes appels. » la scène est terrifiante, les paroles d’Atlas se chevauchent, je sens le souffle dans ma gorge se bloquer par tant d’appréhension. Non, c’est impossible, ça ne se peut pas, c’est complètement ridicule, Jill avait promis, mes parents n’aura jamais fait ça, personne n’aurait tenu ça mort, personne ne l’aurait pas mis au courant, il n’aurait pas pu - « J’ai pris ton parti à un moment ou quoi ? » mes doigts s’attardent à refermer les crayons un après l’autre. Les bouchons qui tiquent sur les parois des pastels forment le seul son qu’on puisse entendre à la ronde, j’ai l’impression. « Matt… » penser son nom fait mal, dire son nom est insupportable. J’en veux au monde entier, j’en veux aux vagues, je lui en veux aussi, évidemment, tellement fort que j’ignore si un jour je serai capable de lui pardonner. D’être parti aussi vite que ça, sans jamais me dire adieu, sans jamais savoir à quel point je l’aimais, à quel point je l’aime encore assez pour que ma voix soit incapable de prononcer son prénom sans se casser sur ma langue aussi vite. « Tu lui as parlé quand, la dernière fois? » ce n’est pas à moi de faire ça, tout le monde sait à quel point j’ai mal pris l’annonce. À quel point je suis incapable de manger et de dormir convenablement depuis des mois. À quel point ils ont tous peur, à quel point ils se regardent du coin de l’oeil en sachant très bien que je suis trop fragile pour l’adresser, trop fragile pour avoir les épaules de quelqu’un qui ne disparaît pas dans sa propre ombre encore et encore après tout ça. Dans la sienne. « Et Lily? Et Jill? Et les parents? » mes questions sont stupides, si rhétoriques. Elles déboulent comme une avalanche, le bombardent, forment la parfaite stratégie de fuite, lâche, si lâche Ginny. Bien sûr qu’il n’aurait pas dit tout ça si quelqu’un le lui avait appris. Ce n’est la faute de personne, sauf celle de Matt d'avoir pris sa planche ce matin-là. La rage flotte, à quelque part entre les remords de ne pas y avoir pensé plus tôt, les regrets de faire tout ça si mal, tellement à l’envers. « Oh, Atlas. » comment est-ce qu’on dit ces choses-là? Comment est-ce qu’on les dit sans dire les mots qui sont encore si irréels, si affreux, si intangibles tant ils prennent racines dans un monde que j’évite comme la peste depuis qu’il est parti. Depuis qu’il est devenu des cendres. « Matt a eu un accident de surf. » les larmes se pointent au coin de mes yeux, mais je ne lui ferai pas ça. Ce n’est pas moi qui l’apprends aujourd’hui, je sais déjà tout par coeur, je sais déjà tout de l’appel reçu, du vol de nuit dans le plus petit avion qui ait bien pu partir de l’aéroport de Sydney vers Brisbane. Je sais déjà tout par coeur de la veille et de toute la journée ensuite, des visages qui se confondent, de tous ceux qui y étaient et de tous ceux qui n’en ont pas été capables. Il doit être en mission ailleurs, il doit être basé dans un autre pays, il doit être incapable de lui dire au revoir, il doit être plus fidèle à lui-même que je l’ai été, hypocrite, à regarder la tombe sans jamais arriver à lever les yeux. « J’arrive pas à croire que personne ne te l’a dit, je… je suis tellement désolée… » encore elle fuit, encore, la petite Ginny qui remet la faute et le problème ailleurs. Les autres n’existent pas, quand je redresse le menton pour plonger mes yeux dans ceux de Atlas. Matt est parti. « J’ai pas été capable d’aller à Brisbane depuis. » alors je suis partie moi aussi.




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