ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Dina Esteves & Sara Gutiérrez Juillet 2023, la coloc, #200 Hughton Avenue, Redcliffe
Il est tard lorsque Sara sort de chez son ami après avoir passé bien dix minutes à retrouver sa deuxième basket – n'allez pas lui demander ce qu'elle foutait dans la salle de bain alors que le reste de ses affaires était dans la chambre. À moins qu'il soit tôt, elle ne sait pas trop le terme qui convient le mieux quand il n'y a que la Lune dans le ciel mais que le Soleil ne devrait plus trop tarder. Elle esquisse un minuscule sourire à l'idée qu'à son retour aucun Gutiérrez ne sera là pour lui dire que ce n'est pas raisonnable, qu'elle travaille demain – enfin, aujourd'hui. C'est le meilleur point au fait de ne plus vivre chez Mamá, celui de se sentir libre et de n'avoir à justifier ses horaires d'allers et venues à personnes. D'autant plus qu'elle le sait, qu'elle travaille aujourd'hui. Mais elle commence le boulot tard, elle a donc toute la matinée pour dormir – et c'est bien ce qu'elle compte faire une fois rentrée chez elle. Enfin pour l'instant elle a un bout de chemin à faire à pied avant d'être dans son lit, raison pour laquelle elle branche ses écouteurs à son téléphone et en met un dans ses oreilles avant de sortir de l'immeuble.
Rihanna laisse place à Bad Bunny dans ses oreilles lorsqu'elle remarque une silhouette sur le trottoir en face. Comment ne pas la remarquer alors qu'il n'y a personne dans les rues à cette heure ? D'après le GPS – oui parce qu'elle est encore obligée de s'en servir pour rentrer, son aménagement étant récent –, elle n'est plus très loin de l'appartement alors elle décide de s'en foutre. La nana va sûrement tourner dans une autre rue à un moment ou un autre, c'est pas son souci. Enfin, ça le devient un peu plus lorsqu'elle se rend compte qu'elle ne tourne dans aucune autre ruelle mais emprunte exactement la même rue qu'elle. Une fois, deux fois – elle se rapproche de l'appartement, commence à reconnaître les immeubles qui l'entourent, et l'inconnue est toujours là. Elles s'échangent un regard mais aucun mot, et il y a une drôle d'ambiance à présent. Elles ne sont que deux – pas étonnant vu l'heure – mais à force ça devient bizarre que cette nana emprunte le même chemin qu'elle depuis tout à l'heure. Alors, traversée par un éclair de lucidité – qui prouve que son alcoolémie est bien descendue ces dernières heures, quelle chance –, Sara baisse le volume dans son écouteur et ralentit un peu le pas. Juste pour être sûre. Elle continue de marcher mais plus lentement, presque rassurée de voir l'autre ne pas l'imiter et finalement disparaître au coin de rue que la Gutiérrez devra emprunter ensuite.
* * * * *
Cette rue, sa rue, elle l'emprunte quelques minutes après, contente de constater que l'inconnue n'y est pas et donc ne l'attend pas. Elle se sent soulager puis se dit que c'est con. Elle devient parano, c'est débile – mais quand même, elle l'a suivie un moment, c'était louche. Enfin c'est fini : la Gutiérrez se dirige à présent vers son immeuble, en monte les marches puis enfonce sa clef dans la porte de l'appartement. Elle force un peu, faisant comme lui a expliqué Stella le jour de la visite – oups pour le bruit que ça fait, c'est l'humidité d'après cette dernière. Elle ne s'attendait absolument pas à tomber sur la nana de tout à l'heure en ouvrant la porte : les yeux ronds comme des soucoupes, Sara étouffe un cri de surprise en plaquant sa main sur sa bouche, à présent persuadée que l'autre l'a suivie puis attendue chez elle. Sans pour autant pouvoir l'expliquer, ni savoir quoi faire : la brune reste juste là, toisant l'inconnue avec ce mélange de méfiance et de... bah ouais de peur, soyons honnêtes. Ils font quoi dans les séries ? Ils s'enfuient en courant ou ils meurent tués par la tarée qui les a suivis dans la rue ? Une tarée pas bien grande en plus, mais Sara l'est encore moins alors elle devrait plutôt se mettre à courir dans l'espoir de la semer malgré ses petites jambes – ce qu'elle ne fait pas, peut-être dans l'espoir qu'un cri suffirait à alerter Stella ou Jo en cas de danger. Ils ont le sommeil lourd à quel point, ses nouveaux colocs ?
(c) Miss Pie Haut : julicnbaker & unknown (tenor.com) Bas : unknown (tenor.com) & camilacabelloposts (insta @camila_cabello)
I am the master
of my fate
ANAPHORE
I am the captain
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(c)crackintime
♥ :
Dina Reyes
la diva de l'acrobatie
ÂGE : 31 yo. (19.01.1993) SURNOM : D., dee, la meuf là ou encore "hé mais c'est pas toi qui a joué dans-" ; c'est pas ce qui manque. STATUT : c'est pourtant pas faute de tenter les applis de rencontres. MÉTIER : stunt performer: elle réalise les cascades et les scènes de bagarre de vos actrices préférées, le tout sans (presque) jamais se blesser ; une prouesse quand on connaît sa maladresse. 2024, elle se remet à l'acting et se retrouve en tête d'affiche d'une prochaine adaptation de bouquin. LOGEMENT : elle a récemment racheté le #200 hughton avenue, sur redcliffe. elle y vit en coloc avec sara, primrose et willow, les dernières arrivantes. POSTS : 421 POINTS : 60
TW IN RP : alcoolisme d'un proche, pression familiale. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : ancienne enfant star, elle a joué dans un paquet de films et de séries jusqu'à ses 12 ans › elle passe beaucoup de temps à l'étranger pour des tournages plus ou moins conséquents › sillonne les apps de rencontre sans trop savoir ce qu'elle chercheCODE COULEUR : dina s'extasie en teal RPs EN COURS : sara#1 › margot#1 › movie drama club › marceline#2 ›
Peut-être que t’aurais pas dû sortir, ce soir. Pas que la soirée était merdique, non, mais t’es pas encore tout à fait remise de ton jetlag, alors t’as un peu de mal à assumer l’état de fatigue qui va avec. Pourtant, quand t’as reçu la proposition de tes potes pour aller boire un coup et rattraper le temps perdu, t’as pas hésité une seconde. T’auras tout le temps et l’occasion de subir et regretter ta décision hâtive demain, va. Enfin tout à l’heure, vu que t’es à peu près certaine que le soleil est déjà à deux doigts de pointer le bout de son nez, là. T’as aucune idée de l’heure qu’il est, ton portable a pas tenu la charge et t’as oublié ta montre connectée, alors tu ne peux compter que sur tes skills de scouts pour essayer de deviner. Mais il est à la fois trop tard et bien trop tôt pour un tel exploit, surtout vu comme t’as pas mal enchainé les bières pendant la soirée. Si Elena avait été là, elle t’aurait engueulée ou dit de te calmer, et sur le papier tu sais qu’elle a raison et que c’est risqué vu le passif du paternel, mais c’est pas comme si tu faisais ça souvent. Quand tu bosses tu sors pas, quand tu rentres t’as à peine le temps, alors bon. Et puis ça faisait longtemps, les prochaines fois tu seras raisonnable, promis. Il te faut un moment pour remarquer l’unique autre personne qui se trouve dans la rue, pas loin de toi. La nana est pas beaucoup plus grande que toi et a au moins l’air d’avoir la capacité de marcher droit ; toi tu tombes pas, déjà, et ça relève de l’exploit à ce niveau là. T’en penserais rien, de cette meuf, si elle prenait pas systématiquement les mêmes virages que toi. Y a des échanges de regards perplexes l’air de dire “tu veux quoi toi ?”, des poings qui se serrent dans les poches du hoodie, juste au cas où ; t’as beau être à deux cent bornes de tes pompes, t’es suffisamment confiante en tes capacités martiales pour savoir que s’il y a bagarre, t’auras le dessus sans même verser une goutte de sueur. Bon sauf si l’autre a un flingue, auquel cas t’as pas de super-pouvoirs pour te défendre. Finalement, l’autre ralenti l’allure et toi tu continues à grandes enjambées, sur tes gardes -enfin autant que possible-, avant de jeter un dernier coup d’oeil par-dessus ton épaule juste avant de changer de rue. Rapidement, t’es devant ton immeuble et tu t’y engouffres en vérifier encore, mais rien, tu l’as perdue. Ouf, c’était juste un coup de flippe pour rien, un moment de paranoïa pas franchement justifié mais c’est terminé. Quatre à quatre, tu montes les escaliers pour rejoindre la porte de l’appart. Un tour de clé, tu rentres en faisant le moins de bruit possible pour te diriger directement vers la cuisine, t’as besoin de boire de l’eau, beaucoup d’eau, avant de même songer à aller te coucher. Au stade où t’es, tu sais même pas si tu peux t’éviter la gueule de bois mais autant tenter quand même. T’as à peine terminé ton premier verre d’eau que la porte s’ouvre et tu t’attends à voir Stella rentrer de soirée aussi, ou partir bosser peut-être, mais non. C’est la meuf de la rue. « Heu… » What the actual fuck ? Qu’est-ce qu’elle fout là ? Tu poses pas la question de savoir comment elle est rentrée parce que d’un seul coup tu doutes bien avoir correctement refermé la porte, t’as pas eu le temps, du coup n’importe qui était capable d’entrer. Faut un sacré culot, quand même ? « Si c’est un autographe que tu veux, suivre les gens chez eux c’est pas la meilleure façon, hein. » Rapide coup d’oeil par-dessus l’épaule de l’autre, prête à voir débarquer genre des types cagoulés et armés, façon kidnapping organisé par la mafia ou tu sais pas, mais rien. Juste la meuf qui reste avec sa main devant sa bouche, l’air aussi choquée que si on venait de lui annoncer que son père allait se remarier avec une nana encore plus jeune qu’elle. Le moindre mouvement brusque et elle se prend un gobelet plein de flotte dans la tronche. Enfin si t’arrives à la toucher, ce qui est loin d’être sûr.
Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
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@Dina Esteves & Sara Gutiérrez Juillet 2023, la coloc, #200 Hughton Avenue, Redcliffe
En poussant la porte de son appartement, Sara s'attendait à tout sauf à tomber sur l'inconnue qui empruntait les mêmes routes qu'elle un peu plus tôt dans la soirée. À ce moment-là, elle pensait que la brune la suivait, mais puisqu'elle ne l'a pas suivie après qu'elle est ralentie l'allure dans l'espoir de la laisser partir... Ouais, elle pensait vraiment avoir juste été un peu parano et s'être imaginé des trucs stupides. Sauf que maintenant qu'elle se retrouve face à la nana en question dans son appartement, Sara elle flippe et se dit que finalement ce n'était peut-être pas un hasard que leurs chemins se soient suivis si longtemps. Est-ce qu'elle avait déjà repéré son appartement et comptait l'y attendre pour... Faire quoi, en fait ? La kidnapper. Putain, le seul truc qui la rassure un peu dans cette histoire c'est que l'inconnue semble aussi paumée qu'elle – ce qui est bizarre, quand on a un plan de psychopathe en tête. « Heu… » Quoi, la meuf cherche une excuse pour justifier qu'elle soit entrée totalement illégalement ici ? Comment elle a fait d'ailleurs ? C'est Stella qui a oublié de fermer la porte avant de se coucher ? Ça lui semble peu probable, elle est sérieuse la Ortega, pas du genre à oublier des trucs importants pour leur sécurité. Peut-être Jo, mais bon elle a du mal à se l'imaginer. Et pour une fois l'erreur ne peut pas provenir d'elle-même puisqu'elle est directement allée du théâtre à sa soirée. Alors qui ? Est-ce que l'inconnu a le double de ses clés ? Ou a volé le trousseau d'un ou d'une de ses colocs ? Ah ah, hyper flippant comme scénario. « Si c’est un autographe que tu veux, suivre les gens chez eux c’est pas la meilleure façon, hein. » « Un autographe ? Mais t'es qui ? » Personne qu'elle connaît, en tout cas c'est ce que Sara pense et c'est ce qui la rend d'autant plus méfiante. Pas que la Gutiérrez soit particulièrement cinéphile – pourtant ce n'est pas faute de l'avoir prétendu pour être embauchée au Twelve il y a deux ans – ou connaisse parfaitement toutes les célébrités susceptibles de se trouver à Brisbane en ce moment, mais elle passe suffisamment de temps sur les réseaux sociaux pour reconnaître dans la vraie vie les stars qu'elle y voit – comme Laurie, qu'elle a reconnu au premier coup d'œil alors qu'elle faisait simplement du lèche-vitrine. Il faut dire que Sara passe un peu trop de temps par jour à scroller sur Instagram et à découvrir qui sort avec qui, qui a trompé qui, qui va jouer avec qui dans le prochain film qui en une après-midi rapporta plus que ses deux salaires sur un an... Alors elle a du mal à croire qu'elle n'aurait pas reconnu l'une de ces personnes, même en rentrant de chez un coup d'un soir. Bon après, l'obscurité des lieux et l'heure avancée ne joue pas en leur faveur – ni l'alcool que chacune a bu avant de ce face-à-face, bien sûr. « C'est toi qui m'a suivie, je t'ai vue sur le chemin. » Bon le fait que la Gutiérrez l'ait laissée partir devant et que l'autre ne se soit pas arrêtée contredit un peu cette version mais, hé, qu'elle n'essaie pas de la lui faire à l'envers et de se faire passer pour la victime, ça ne marchera pas. « Comment t'es entrée chez moi ? » Est-ce qu'elle a la clé ou est-ce qu'un des colocs a oublié de fermer la porte ? Qu'elle sache à quel point elle doit flipper que cette nana ait pu entrer chez elle.
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TW IN RP : alcoolisme d'un proche, pression familiale. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : ancienne enfant star, elle a joué dans un paquet de films et de séries jusqu'à ses 12 ans › elle passe beaucoup de temps à l'étranger pour des tournages plus ou moins conséquents › sillonne les apps de rencontre sans trop savoir ce qu'elle chercheCODE COULEUR : dina s'extasie en teal RPs EN COURS : sara#1 › margot#1 › movie drama club › marceline#2 ›
Décidément, il est plus fréquenté au milieu de la nuit que prévu, cet appart. Toi qui avait prévu de rentrer vite fait, de prendre un truc à grailler dans le frigo et de disparaître dans ta chambre jusqu’à la nuit prochaine, tu te retrouves bien embêtée. C’est pas compliqué pourtant, tout ce que tu demandes c’est de pouvoir vivre ta vie de vampire sans tout le temps tomber sur des gens, c’est pas non plus la mer à boire quoi. Alors voilà, tu plaisantes en parlant d’autographe, et c’est sans doute un peu présomptueux de ta part mais tu sais jamais, t’es déjà tombée sur des gens bizarres qui se souviennent très bien de tes apparitions dans tel ou tel épisode de Grey’s Anatomy ou qu’importe quelles séries qui comptent pourtant des centaines d’épisodes. Ta carrière publique, ça fait une paye qu’elle est terminée et ça te va bien comme ça. « Personne, c’était une vanne. » Soit elle est très douée pour faire semblant de rien, soit elle ne sait vraiment pas qui tu es, auquel cas c’est tant mieux. T’es loin d’être une giga star d’Hollywood, tes heures de gloire et de reconnaissance sont passées depuis des années, maintenant, alors si tu peux éviter de rappeler au premier venu que t’as ce genre de bagage derrière toi, tu préfères éviter. « Moi qui- Hein ? Mais de quoi tu parles ? » Genre t’es passée devant elle et tu l’as perdue de vue y a un moment déjà, preuve en est c’est toi qui est arrivée ici la première, ça fait zéro sens ce qu’elle raconte la nana. Et soit elle est très bonne actrice, soit elle est convaincue d’avoir raison. « T’sais c’est pas interdit de marcher dans la même direction que les gens dans la rue, hein. » C’est peut-être pas le meilleur moment pour faire de l’esprit, mais c’est un peu ton seul mécanisme pour tenter de comprendre toute la situation tant c’est grotesque. « J’habite ici. » Tu réponds en lâchant un rire à la con, circonspecte face à son accusation qui ne fait pour le moment aucun sens dans ton esprit à moitié embrumé par la fatigue. Chez moi, qu’elle ose dire, non mais le toupet de la meuf vraiment, y a de quoi halluciner là. A moins que… « Attends. » Pause. Les engrenages de ton cerveau semblent enfin se mettre en route et rassembler petit à petit les éléments que t’as réussi à grappiller jusque là. « Attends, t’es une des nouvelles à la coloc ? » Ca fait presque sens, maintenant. Faut dire que le début de la “rencontre” a été tellement bizarre que c’est pas tellement le premier truc qui a effleuré ton esprit. « Stella m’en a parlé vite fait l’autre coup, » quand t’as manqué de lui faire avoir une attaque au milieu de la nuit. Un peu comme là, décidément, ça va finir par devenir un running gag cette histoire. C’est pas tellement ta faute, t’es pas encore tout à fait remise sur le bon fuseau horaire, alors pour le moment tu vis basiquement la nuit, tu sors la nuit et tu te reposes pendant qu’il fait jour et que tout le monde vaque à ses occupations. Enfin visiblement, t’as face à toi un autre oiseau nocturne et à bien y penser, t’as croisé plus de monde sur les coups de trois ou quatre heures du matin qu’au milieu de la journée (pour les rares fois où t’as daigné sortir de ton antre pour aller bouffer un truc en te servant de la lumière naturelle au lieu de la torche de ton téléphone, quoi.) « Lara, c’est ça ? » Sara, tu le sais, mais elle corrigera d’elle-même si c’est la bonne personne, et si jamais c’est pas le cas t’as plus qu’à faire ta Karen et menacer d’appeler les flics ou un truc du genre. Au pire, au pire, t’as pas peur de dire que t’es capable de la foutre à terre en deux temps trois mouvements, mais elle a pas besoin de le savoir.
Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
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Sara croit rêver : la potentielle tarée qui l'a suivie jusqu'à chez elle lui parle d'autographe comme si elle était quelqu'un. Sauf que son visage ne dit rien à la Gutiérrez qui part donc du principe qu'elle lui a sorti le premier mensonge qui lui est venu. « Personne, c’était une vanne. » L'obscurité de l'appartement n'aide pas son pauvre cerveau à identifier qui lui fait face, pas plus que l'heure tardive – ou matinal, le Soleil se lèverait qu'elle ne serait pas étonnée –, mais dans tous les cas cette femme n'a rien à foutre chez elle en pleine nuit. Déjà qu'elle l'a suivie pendant une bonne partie de son trajet retour... Non vraiment, c'est flippant. Et lorsqu'elle l'accuse directement, l'autre fait mine d'être perdue. Sara applaudirait bien ses talents de comédienne tant elle n'y croit pas. « Moi qui- Hein ? Mais de quoi tu parles ? » C'était pas clair peut-être ? « T’sais c’est pas interdit de marcher dans la même direction que les gens dans la rue, hein. » Suivre les gens non plus c'est pas interdit, mais c'est carrément suspect comme comportement. Pourtant la Gutiérrez ne répond même pas à cette remarque débile, trop occupée à demander à l'inconnue comment elle a pu rentrer chez elle avant elle. Est-ce que c'est Stella qui a oublié de fermer la porte à clé ? Ou Joseph ? Ou la coloc fantôme – non, elle elle n'est jamais là, elle ne doit même pas être dans son lit et n'est sûrement pas entrée dans l'appart. « J’habite ici. » À quel point elle doit s'inquiéter là tout de suite ? Hurler ? Partir en courant ? Appeler quelqu'un à l'aide ? Est-ce que Stella va l'entendre ? Et Joseph, est-ce qu'il est rentré du taff ? Et les voisins, ils servent à quelque chose ? Elle sait se battre la nana en face ? Elle a pas l'air bien grande, mais Sara ne l'est pas non plus... Et ne sait absolument pas se défendre.
« Attends. » Attends quoi ? Qu'elle lui pète la tronche ? Elle n'a pas super envie d'attendre, d'un seul coup. « Attends, t’es une des nouvelles à la coloc ? » Les sourcils de la Gutiérrez se fronce, elle est perdue, ne pige qu'à moitié ce que l'autre lui raconte, se demande . Au moins l'inconnue n'est pas violente et ne l'approche pas, elle doit se contenter de ça en terme d'éléments rassurants dans cette histoire. « Stella m’en a parlé vite fait l’autre coup. » C'est au moment où l'inconnue prononce le prénom de leur connaissance commune que tout s'éclaire dans l'esprit de Sara. « Putain t'es la coloc qui est jamais là ! » s'exclame-t-elle, sourcils arrondis et bouche marquant le mélange de stupeur et d'une espère de soulagement. Coloc qui n'a pas de prénom puisque Stella ne lui a pas partagé cette information. Il faut dire que Sara ne l'a pas réclamé non plus, supposant qu'elle ne la croiserait jamais. Loupé. Mais maintenant qu'elle se rend compte que cette inconnue flippante n'est autre que la fameuse quatrième colocataire, elle sent déjà son cœur se calmer et son rythme respiratoire redescendre. « Lara, c’est ça ? » « Stella t'a dit que je m'appelais Lara ? » Scandaleux, on écorche pas le prénom de la Gutiérrez comme ça. « J'm'appelle Sara, pas Lara, » corrige-t-elle en secouant la tête de gauche à droite dans un geste de désapprobation. Elle glisse ensuite ses mains sur son visage en soupirant, comme pour reprendre un peu ses esprits. « Ok t'es pas une psychopathe... » C'est juste la colocataire fantôme. La Gutiérrez relève les yeux vers celle à qui elle ne peut pas toujours donner de prénom quand bien même elles partagent le même appartement. « Stella m'a pas dit comment tu t'appelais. Elle m'a juste dit que tu n'étais pas souvent là. » D'où le fait qu'elle ne sache rien d'elle, parce que ça ne l'intéressait pas de retenir des trucs sur une personne qu'elle ne verrait jamais. Elle aurait dû. « C'est quoi ton prénom du coup ? » Il serait temps de le savoir, ouais.
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ÂGE : 31 yo. (19.01.1993) SURNOM : D., dee, la meuf là ou encore "hé mais c'est pas toi qui a joué dans-" ; c'est pas ce qui manque. STATUT : c'est pourtant pas faute de tenter les applis de rencontres. MÉTIER : stunt performer: elle réalise les cascades et les scènes de bagarre de vos actrices préférées, le tout sans (presque) jamais se blesser ; une prouesse quand on connaît sa maladresse. 2024, elle se remet à l'acting et se retrouve en tête d'affiche d'une prochaine adaptation de bouquin. LOGEMENT : elle a récemment racheté le #200 hughton avenue, sur redcliffe. elle y vit en coloc avec sara, primrose et willow, les dernières arrivantes. POSTS : 421 POINTS : 60
TW IN RP : alcoolisme d'un proche, pression familiale. GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : ancienne enfant star, elle a joué dans un paquet de films et de séries jusqu'à ses 12 ans › elle passe beaucoup de temps à l'étranger pour des tournages plus ou moins conséquents › sillonne les apps de rencontre sans trop savoir ce qu'elle chercheCODE COULEUR : dina s'extasie en teal RPs EN COURS : sara#1 › margot#1 › movie drama club › marceline#2 ›
La confusion est générale et t’es bien trop fatiguée pour additionner deux et deux. Factuellement, toute la situation est étrange, vous vous rejetez la faute, accusant mutuellement l’autre d’être une stalkeuse et croyant dur comme fer être dans votre bon droit. C’est vrai quoi, y a aucune trace d’effraction, pas de signe apparent de danger et pourtant vous vous retrouvez inexorablement au même endroit sans trop savoir ce que l’autre fout là. Toi t’habites ici, la jeune femme à côté prétend qu’elle aussi et t’as beau détailler sa silhouette avec méfiance, tu ne discernes rien d’inhabituel chez elle. Soudain, ça te frappe presque aussi sûrement qu’un coup dans la tronche. Y a d’autres personnes qui vivent ici et que tu n’as pas croisées jusqu’à présent ; t’as même pas pris la peine de faire tes devoirs et de faire de la reconnaissance sur les réseaux sociaux pour voir à quoi ils ressemblent, bien trop occupée à profiter de ton retour en ville pour ça. Alors tu tentes, tu drop name Stella histoire de voir si ça cause une réaction et ça semble fonctionner. Pour autant, ça ne prouve rien, il te faut plus d’informations. Tu rigoles bêtement lorsqu’elle te qualifie de coloc qui n’est jamais là et déjà, tu te sens plus détendue parce que comment elle pourrait savoir ça en plus du nom de la proprio ? « Y paraît, ouais. » A moins d’être une enquêtrice hors pair, tu doutes beaucoup. Dernier test de ta part, une erreur glissée dans son prénom aka la seule information que tu aies en ta possession. Pourtant Sara corrige sans la moindre hésitation et sans aucun bégaiement de sa part, seulement là, tu te permets d’enfin baisser ta garde. « Ah, désolée j’ai pas une super mémoire des prénoms. » L’excuse est facile et toute trouvée, mais t’es sûre que ça passe. « Sara ok, je m’en souviendrai, » à la place, tu fais mine de mémoriser le patronyme en acquiesçant doucement. Ca ne sera pas trop compliqué vu que tu le savais déjà, mais quitte à être une actrice payée, autant t’en servir parfois. « Dina. » Tu te présentes enfin, un sourire se dessinant sur ton visage. T’avoues, tu trouves ça plutôt drôle que les trois meufs de la coloc aient des prénoms en deux syllabes comme ça. « Et je suis effectivement pas souvent là à cause du boulot. » Pour l’instant, tu le gardes pour toi, ça viendra en temps voulu. « Genre ça fait une semaine à peine que je suis revenue et même là, j’suis pas mal en vadrouille en ville. » Y a ton père, ta soeur, tes potes qui se comptent sur les doigts d’une main et surtout toutes les activités que t’as jamais le temps de faire quand t’es en déplacement comme par exemple aller au cinéma ou juste prendre un verre dans un bar. « Désolée pour ça, c’était un peu bizarre comme situation. » Sûre qu’elle sera d’accord avec toi, Sara. « Et heu pardon si t’as eu peur, aussi. Promis j’le ferai plus. » Enfin pour le coup, ta coloc saura à quoi s’en tenir et ne se laissera probablement plus impressionner par une nana qui n’atteint à peine le mètre soixante qui l’attend dans son appart. « Ok du coup va falloir que je trouve un moyen de faire flipper le dernier coloc, j’ai pas encore eu l’occasion de le croiser. » Implicitement, t’avoues à mi-mots avoir fait peur à Stella, aussi. Va vraiment falloir que tu bosses sur tes timings sinon ça va mal finir. « Tu veux boire un truc ? J’ai refais des courses tout à l’heure y a des bières au frais. Ou des sodas. » Dans la mesure où tu sais pas qui consomme quoi, t’as pris un peu de tout pour remplir les placards et le garde-manger. « Remarque il est tard, tu voulais peut-être aller te coucher en fait. » Toi tu vas sûrement traîner encore un peu, t’es pas si fatiguée que ça encore.
Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices au Queensland Performing Arts Centre(théâtre)
@Dina Esteves & Sara Gutiérrez Juillet 2023, la coloc, #200 Hughton Avenue, Redcliffe
Qu'est-ce que c'est que ce bordel ? Cette situation a tout d'une comédie pas dingue diffusée tard à la télé : personne ne comprend rien, il y a quiproquo sur quiproquo et la réalisation casse toute l'intrigue d'un claquement de doigts. Sara ne va cependant pas s'en plaindre, bien contente d'apprendre que l'inconnue qui l'a suivie dans la rue – qui ne l'a donc pas suivie, d'ailleurs – n'est pas une inconnue aux intentions louches mais bien sa colocataire fantôme. Stella lui en a parlé brièvement lorsqu'elle a visité l'appartement le mois dernier, c'est vrai. Elle lui a peut-être même donné le prénom de celle qui n'est jamais là, mais sans surprise la Gutiérrez n'a pas fait l'effort de le retenir car elle a supposé qu'elles ne se croiseraient jamais. Cette soirée lui a donné la chair de poule mais aussi tort sur la question : la quatrième colocataire est bien ici, en chair et en os, et n'a apparemment pas l'intention de la tuer. Tant mieux. « Y paraît, ouais. » Secouant la tête lorsque son prénom est écorché, elle corrige aussitôt l'erreur afin de ne plus être appelée Lara par accident. Erk. « Ah, désolée j’ai pas une super mémoire des prénoms. » De ça, Sara ne se formalise pas, après tout elle n'a pas non plus retenu le prénom de sa vis-à-vis, si tant est que Stella le lui ait donné. « Sara ok, je m’en souviendrai. » Accusant Stella au lieu d'admettre qu'elle n'a pas jugé utile de retenir le prénom d'une colocataire qui n'est jamais là, elle lui retourne la question. « Dina. » La Gutiérrez hoche la tête et répond à son sourire, honnêtement très soulagée que le problème d'une possible stalkeuse qui l'aurait suivi jusqu'à chez elle n'ait été qu'un bête malentendu. « Et bah enchantée, Dina, » lâche-t-elle avec un rire nerveux, passant rapidement une main sur son visage. « Et je suis effectivement pas souvent là à cause du boulot. » C'est ce que lui avait expliqué Stella, ouais. Ça n'avait rien d'un problème à ses yeux, après tout ça leur laissait plus d'espace dans les pièces communes en étant trois au lieu du quatre théorique. « Genre ça fait une semaine à peine que je suis revenue et même là, j’suis pas mal en vadrouille en ville. » D'un hochement de tête, elle lui signifie qu'elle comprend. Loin d'elle l'idée de s'insurger qu'elle soit en vadrouille alors que c'est littéralement la raison pour laquelle elle rentre tard un soir sur deux. L'autre c'est le boulot, et encore certains soirs elle parvient à enchaîner les deux – certaines représentations au théâtre ne finissent pas si tard que ça, pour son plus grand bonheur. « Désolée pour ça, c’était un peu bizarre comme situation. » « Ouais, » admet-elle, les visages se déformant d'une légère grimace sans pour autant qu'elle lui en veuille pour ça. Au moins elles s'en souviendront, de leur rencontre. « Et heu pardon si t’as eu peur, aussi. Promis j’le ferai plus. » Sara esquisse un sourire amusé, la trouvant tout de suite bien plus sympa maintenant qu'elle sait qu'elle n'est pas ici dans le but de la tuer. « T'as eu peur aussi donc on peut dire qu'on est quittes, t'inquiète, » assure-t-elle avec un haussement d'épaules. Et puis maintenant qu'elle sait à quoi ressemble sa troisième colocataire, il n'y a pas de raison qu'elle flippe en la croisant devant chez elle ou dans sa cuisine. « Ok du coup va falloir que je trouve un moyen de faire flipper le dernier coloc, j’ai pas encore eu l’occasion de le croiser. » « Tu risques de plus galérer que pour moi, il a pas l'air du genre facile à impressionner, » explique-t-elle alors qu'elle ne connaît en réalité pas grand chose à son sujet. Elle sait qu'il s'appelle Joseph et qu'il est vieux – bien quinze de plus qu'elle et donc que Dina, qui a l'air d'être dans la vingtaine elle aussi –, ce qui lui suffit de croire qu'il ne sursautera pas au premier « Bouh ! » d'une nana d'un mètre soixante à peine.
Vrai qu'à mieux la regarder, elle n'a pas une carrure à faire peur, Dina. Enfin bon, quand on ouvre la porte de son appartement on flippe forcément lorsqu'on tombe sur quelqu'un qu'on ne connaît pas, qu'importe que la personne ressemble à une brindille ou à une armoire à glace. « Tu veux boire un truc ? J’ai refais des courses tout à l’heure y a des bières au frais. Ou des sodas. » La perspective d'un soda est parfaite, Sara et sa gueule de bois en perspective ne peuvent pas le nier. « Remarque il est tard, tu voulais peut-être aller te coucher en fait. » « J'crois que j'ai tellement d'adrénaline dans le sang que je pourrai pas dormir avant une bonne heure, » explique-t-elle avec un petit rire. Entre ça et son rythme cardiaque qui a pété des records, elle se sent effectivement bien réveillée. « J'veux bien un coca, si t'as. Sinon, n'importe quel soda, j'suis pas chiante. » Elle va juste éviter la bière, ayant déjà bien picolé toute la soirée. « Tu bosses dans quoi du coup, pour être jamais là ? » Elle ne s'imagine même pas que la question puisse paraître indiscrète, après tout c'est l'autre qui a amené le sujet dans la discussion. « T'es une star qui se cache ? » Elle se souvient qu'elle lui a parlé d'un autographe, à un moment durant tout ce bordel, et cherche donc un métier qui pourrait aussi expliquer cette drôle de supposition.
(c) Miss Pie Haut : julicnbaker & unknown (tenor.com) Bas : unknown (tenor.com) & camilacabelloposts (insta @camila_cabello)
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of my fate
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I am the captain
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♥ :
Dina Reyes
la diva de l'acrobatie
ÂGE : 31 yo. (19.01.1993) SURNOM : D., dee, la meuf là ou encore "hé mais c'est pas toi qui a joué dans-" ; c'est pas ce qui manque. STATUT : c'est pourtant pas faute de tenter les applis de rencontres. MÉTIER : stunt performer: elle réalise les cascades et les scènes de bagarre de vos actrices préférées, le tout sans (presque) jamais se blesser ; une prouesse quand on connaît sa maladresse. 2024, elle se remet à l'acting et se retrouve en tête d'affiche d'une prochaine adaptation de bouquin. LOGEMENT : elle a récemment racheté le #200 hughton avenue, sur redcliffe. elle y vit en coloc avec sara, primrose et willow, les dernières arrivantes. POSTS : 421 POINTS : 60
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Panique et confusion sont les maîtres mots de ce début -enfin plutôt fin- de soirée, et plus globalement de tes rencontres avec les autres personnes étant supposées partager cet appartement avec toi. Stella, check. Sara, check. N’en reste plus qu’un et les comptes seront bons. Le soufflé retombe enfin, la méfiance mutuelle s’estompe enfin et vous pouvez commencer à discuter tranquillement après cette frayeur qui aurait pu mal tourner assez rapidement si vous aviez été moins modérées chacune de votre côté. Ce que t’espères juste, c’est qu’elle n’a pas eu le réflexe d’envoyer un SOS à un proche pendant votre rencontre et que quelqu’un ne va pas décider de débarquer armé jusqu’aux dents d’un spray au poivre ou d’une batte de baseball pour venir te refaire le portrait. « J’ai pas eu peur, j’ai juste été… Surprise. » Quelle mauvaise foi, vraiment. Sourire amusé pour faire passer ça pour une vanne et tu hausses les épaules d’un air que tu veux désinvolte. « Même les tough guys peuvent être impressionnables si on s’y prend bien. » C’est même parfois plus facile mais ça, ils ne l’avoueront jamais face à qui que ce soit, plutôt mourir. « Pas que ça soit dans mes plans, hein. » Tu reprends en te rendant compte que ça pouvait facilement être mal interprété. « Même pour toi ou pour Stella, c’était pas prévu. » Bon, faut que t’arrêtes de parler. « Bon, pour la prochaine fois autant que tu sois prévenue, j’ai tendance à rentrer tard quand je suis en ville, » comme elle a pu le constater à ses dépends, mais au moins la voilà au courant des tes horaires d’oiseau de nuit lorsque tu vis à Brisbane, pas qu’elle ou les autres se retrouvent étonnés de te voir débarquer sur les coups de quatre heures du matin alors que ça fait six mois que tu n’as pas donné signe de vie. Léger ricanement face au constat de Sara, tu ne peux qu’approuver. « Alors là, je te le fais pas dire. » Toi qui comptait aller roupiller tranquille, va te falloir un petit moment avant de récupérer un rythme cardiaque à peu près convenable. En guise de gage de paix, t’offres ce que tu peux, ce que t’as sous la main et qui généralement est suffisant pour un signe de bonne foi menant à une trève amplement méritée. Boire ou manger, c’est un langage universel que tous comprennent et que la coloc semble apprécier. Vague signe de la tête, tu vas fouiller le frigo à la recherche du soda promis que tu lui tends dans l’instant, « tiens, » et avec le sourire s’il vous plait, même fatiguée et ébranlée par une rencontre chaotique, tu sais faire. Au passage, t’en prends un pour toi avant de t’installer sur une chaise et te poser enfin, ça ne pourra faire que du bien. Comme pour Stella, tu vas te retrouver à discuter de ce que tu fais après une peur panique et une bagarre à peine évitée, décidément, ça vire au running gag cette histoire. « Heu… Non. Non, je suis pas une star et non je me cache pas. » Pschit, ta canette s’ouvre et t’en prends une gorgée avant de continuer. « J’bosse dans le milieu du cinéma mais j’suis dans les équipes de l’ombre. » Y en a tellement qui bossent derrière les caméras plutôt que devant, toutes ces personnes qui n’ont, à ton sens, pas la reconnaissance qu’ils méritent. « J’bosse sur des sets à LA ou un peu partout dans le monde, du coup j’voyage pas mal. » Et ta vie à toi est souvent mise en pause parce que tu ne sais pas dire stop. « Enfin là j’devrais pas bouger avant un ou deux mois, tout dépend. » T’es pas à l’abri de repartir la semaine prochaine juste parce qu’une opportunité se présente. « Et toi alors ? Tu bosses tard ou tu rentres juste de soirée ? » que tu renvoies en appuyant tes coudes sur la table.
Sara Gutiérrez
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ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
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@Dina Esteves & Sara Gutiérrez Juillet 2023, la coloc, #200 Hughton Avenue, Redcliffe
Le coup de stress passé et la situation clarifiée, Sara se sent tout de suite plus à l'aise pour discuter avec cette colocataire fantôme que lui a mentionnée Stella le jour où elle a visité l'appartement. Elle ne lui en veut même pas, considérant qu'elles ont toutes les deux eu une frayeur et sont donc quittes. « J’ai pas eu peur, j’ai juste été… Surprise. » Avec le regard qu'elle pose sur elle et le sourire en coin qui se glisse sur ses lèvres, la Gutiérrez n'a même pas besoin de lui dire à voix haute « C'est ça ouais ! » – ça se lit dans ses yeux. Apparemment c'est une habitude pour Dina de faire flipper les personnes vivant sous ce toit : il ne lui reste que Jo, même si la mission risque d'être plus compliquée. « Même les tough guys peuvent être impressionnables si on s’y prend bien. » « Pense à filmer ta prouesse alors. » Histoire qu'elle ne soit pas la seule à profiter du spectacle. « Pas que ça soit dans mes plans, hein. » « J'suis déçue, » rétorque-t-elle d'une voix digne d'une dramaqueen – elle lui a vendu du rêve et maintenant elle se rétracte, bien sûr que c'est dramatique. « Même pour toi ou pour Stella, c’était pas prévu. » « J'espère bien. » Manquerait plus qu'elle ait prévu de lui foutre la trouille en la suivant un soir dans la rue et en lui faisant croire à une effraction chez elle ! C'est quel genre de coloc ça au juste ? « Bon, pour la prochaine fois autant que tu sois prévenue, j’ai tendance à rentrer tard quand je suis en ville. » Ça leur fait un point commun. « Ouais moi aussi. » Si ce n'était pas le cas, elles n'auraient pas eu cette rencontre improbable et terrifiante. « Enfin, t'as dû le remarquer du coup. » Apparemment elles risquent de se recroiser sur les coups de trois-quatre heures du matin, marchant plus ou moins droit à cause de l'alcool ou de la fatigue. Au moins maintenant, elles sont toutes les deux prévenues de l'existence de l'autre, ça devrait limiter les risques de syncope.
Sara aurait bien voulu aller se coucher, mais elle sent encore son cœur battre trop vite dans sa cage thoracique et sait pertinemment qu'elle n'est pas prête de s'endormir. « Alors là, je te le fais pas dire. » Quitte à être éveillée, autant rester ici à discuter avec cette colocataire qu'elle ne voit jamais, elles n'en auront peut-être pas souvent l'occasion. Et boire un soda, puisque Dina vient de faire des courses. « tiens. » Ouvrant la canette dans un classique pschhhht, la Gutiérrez ne se gêne pas pour se montrer un peu curieuse avant de la porter à ses lèvres. Si l'autre ne veut pas répondre, elle n'a qu'à le dire, sinon elle n'échappera pas à ses questions. « Heu… Non. Non, je suis pas une star et non je me cache pas. » Toute ouïe, Sara s'assied face à sa colocataire et penche légèrement la tête sur le côté, attendant la suite. « J’bosse dans le milieu du cinéma mais j’suis dans les équipes de l’ombre. » Sans surprise, la mention de ce milieu l'intéresse. « T'es dans l'équipe de maquillage ou un truc du genre ? Les costumes ? » Est-ce qu'elle va découvrir que sa colocataire fantôme exerce le job dont elle rêve depuis des mois ? Le destin se fout-il de sa gueule à ce point ? « J’bosse sur des sets à LA ou un peu partout dans le monde, du coup j’voyage pas mal. » La Gutiérrez hoche la tête avant de boire un peu plus de son soda. Parfois elle en rêve, de bosser sur des tournages de dingue, de maquiller les acteurs et actrices de films qui font briller tant d'yeux au cinéma. Mais elle se dit aussi que ça la ferait chier d'être loin de Brisbane trop longtemps. Elle ne pourrait pas voir Ale ni le reste de sa fratrie, et puis elle n'ose pas imaginer les SMS inquiets que lui enverrait sa mère tous les deux jours pour savoir où elle est et si elle va bien. « Enfin là j’devrais pas bouger avant un ou deux mois, tout dépend. » Nouveau hochement de tête. Elles vont peut-être se croiser un peu, finalement. « C'est cool. Ça te plaît, de voyager autant ? » Elle ne se l'infligerait pas si ce n'était pas le cas, si ? « Et toi alors ? Tu bosses tard ou tu rentres juste de soirée ? » Nouvelle gorgée de soda. « Là je rentre de soirée, mais parfois c'est parce que je travaille tard. » Elle ne passe pas toutes ses soirées à picoler jusqu'à plus soif, quand même. « Je bosse dans un théâtre et dans un cinéma, alors parfois je fais les nocturnes. » C'est au moins quelque chose sur laquelle elle n'a pas menti durant ses entretiens d'embauche : elle n'a aucun souci avec le fait de rester éveillée tard. « Ça fait pas autant rêver, je sais, » constate-t-elle avec un haussement d'épaules et une certaine ironie dans la voix, portant encore une fois sa canette à ses lèvres pour y noyer son désespoir que son métier de rêve soit inatteignable.
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« Promis la prochaine fois je sors avec une Go-pro arnachée et j’en fais un tuto sur YouTube. » Que tu dis en ricanant, pas loin d’être sérieuse. Ca fonctionne sur internet les cours de self-defense ? Y a peut-être un filon à exploiter là. Et puis, y a moyen que ça fasse un peu rire la toile de voir une petite nana d’à peine 1m60 défoncer avec aisance un type avec une carrure d’armoire à glace. Tu lâches un léger rire en haussant les épaules lorsque Sara réciproque l’avertissement sur les horaires auxquels vous risquez de vous croiser. « Au moins en le sachant on s’évitera les coups de lacrymo à la tronche et les crises de panique. » Le pire dans tout ça, c’est que t’es à peu près sûre que vos seules entrevues se feront sur cette période-là, de vrais oiseaux de nuit. Ni l’une ni l’autre, vous n’avez l’air décidées à aller dormir après ce rush d’adrénaline, autant en profiter pour discuter un peu (paraît que c’est pas mal de connaître les gens avec qui on est supposé vivre). T’évoques rapidement ta direction de carrière, expliquant plus ou moins les raisons de tes absences longue durée. A sa question, tu secoues la tête en reposant ton soda. « Pas loin, je fais du stunt. » C’est un peu une façon de maquiller les scènes d’action, finalement. « Parfois de la figuration un peu, mais c’est surtout les perso qu’on remarque pas et qui se font dézinguer par les héros. » Tu ne les compte plus, les scènes où tu t’es retrouvée à jouer un mafia goon dans le fond de la scène, l’avantage c’est que peu importe le nombre de fois où ça arrive, ça t’amuse toujours autant ce genre de tout petit rôle. « C’est trop bien, ouais. » Bien sûr que c’est trop bien, qui ne rêverait pas d’être payé à voyager tout au long de l’année ? « Après j’vais pas mentir, c’est un sacré rythme et c’est pas toujours facile, d’où le fait que je prenne des pauses de plusieurs mois avant de repartir au moins aussi longtemps. » Sous-entendu, tu vas redisparaître sur une base régulière et il ne faudra pas s’en formaliser. « Par contre c’est pas exclu que je prenne une année sabbatique à un moment donné, y a plein de trucs que je voudrai faire ici mais j’ai jamais le temps de rien. » A vrai dire t’as l’impression de passer à côté de tellement de choses en étant jamais là, c’est un peu frustrant à la longue. Lorsque Sara parle des jobs qu’elle fait, tu ne peux t’empêcher de noter un certain lien entre les deux. « Dis pas ça, c'est cool aussi. » Et puis ça doit être sacrément plus posé que ce que toi tu fais. « Du coup j'en conclue que t'aimes bien ce qui tourne autour de l'art ? Ou c'est juste des jobs comme ça ? » Alimentaire, pour faire passer le temps ou peut-être même qu'elle est encore étudiante ? Dans ce cas de figure, y a pas de mauvaise réponse.
Sara Gutiérrez
la poudre désenchantée
ÂGE : 26 ans, le quart de siècle à présent dépassé, la maturité tant attendue ayant plutôt pris la forme de vérité forcée (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire, plus adepte des coups d'un soir que des rêves de prince charmant MÉTIER : Jongle entre son boulot au Twelve Happy Spectators et celui au Queensland Performing Arts Centre où Marley la formait en douce pour devenir maquilleuse. Avant de partir, cette dernière a laissé son nom à une agente artistique un peu terrifiante, ce qui serait idéal si Gayle n'était pas aussi l'associée de son propre père... LOGEMENT : #200 Hughton Avenue, Redcliffe, depuis plus d'un an, mais le quatuor est devenu duo cet hiver : il ne reste que Dina et elle, et puisque la première voyage sans cesse c'est sur la Gutiérrez que retombe la responsabilité de faire des visites – quel stress POSTS : 4780 POINTS : 170
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Fière de ses origines mexicaines, 4e d'une fratrie de 7, aime sa famille plus que tout mais leur ment aussi beaucoup • A perdu sa petite sœur bien trop jeune, ne s'en remet pas vraiment • S'évade grâce aux soirées, l'alcool, la beuh • Devrait arrêter de fumer, mais ce n'est jamais la bonne période • 2 boulots de couverture et 1 déménagement pour cacher à sa famille qu'elle se forme non officiellement pour devenir maquilleuse, mais tout s'apprête à exploserCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (10/∞)
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@Dina Esteves & Sara Gutiérrez Juillet 2023, la coloc, #200 Hughton Avenue, Redcliffe
Sara n'a aucun doute sur le fait que l'effrayer ne soit pas difficile comparé à Jo, le seul mec de la coloc, qui a plus l'air d'un gars renfermé et renfrogné que d'un jovial qui goûte la vie à pleine dents. Alors si la terreur du #200 Hughton Avenue veut frapper à nouveau et le prendre pour cible, elle aimerait bien voir ça. « Promis la prochaine fois je sors avec une Go-pro arnachée et j’en fais un tuto sur YouTube. » « J'ai hâte, » assure-t-elle en pouffant, parce qu'évidemment voir une de ses colocs en terroriser un autre dans une vidéo Youtube ça ne peut être qu'hilarant. Pas qu'elle ait trouvé ça super marrant quand elle en a été victime quelques minutes plus tôt, cela dit... Enfin au moins maintenant, elles sont prévenues quant au fait que ce sont deux oiseaux de nuit qui risquent de se recroiser. « Au moins en le sachant on s’évitera les coups de lacrymo à la tronche et les crises de panique. » La Gutiérrez approuve d'un hochement de tête. « Ouais, c'est mieux. » Ça va qu'aucune des deux ne se soient sentis assez téméraires pour envoyer son poing dans le nez de l'autre, elles auraient eu l'air bien connes aux urgences si elles avaient dû expliquer leur situation.
La frayeur étant passé, c'est autour d'un soda qu'elles discutent à présent. C'est quand même plus agréable, comme situation, et avec un peu de chance ça laissera assez de temps à leur organisme pour se calmer et entamer une nuit – semi-nuit ? – paisible. Quand Dina lui dit travailler sans le milieu du cinéma, la Gutiérrez s'imagine tout de suite des jobs qui la font rêver – et ce serait mentir de prétendre qu'elle n'est pas un peu jalouse. Enfin au moins elle se dit que ça peut toujours servir, d'avoir des contacts dans le milieu. « Pas loin, je fais du stunt. » C'est là qu'elle est censée comprendre que si elles s'étaient battues, Dina l'aurait mise au tapis en moins de deux ? « Parfois de la figuration un peu, mais c’est surtout les perso qu’on remarque pas et qui se font dézinguer par les héros. » « C'est super cool ! » Elle a fait mieux, en terme de timing. « Enfin, pas que tu te fasses dézinguer, mais comme taff. » Ça fait rêver en tout cas, parce que ça implique d'être sur des plateaux de tournage et de côtoyer des stars ce qui, indéniablement, fout des étoiles dans les yeux de sa colocataire. « Ça arrive souvent que des gens te reconnaissent ? » Sara, quand on la reconnaît, c'est parce qu'on connaît sa fratrie. Sept morveux, pas forcément les plus angéliques qui soient – l'aîné en tête de liste –, tous à Brisbane jusqu'à peu, ça forge une sacrée réputation familiale qui ne manque pas de la suivre. Et parfois ça la fout même dans la merde, un cadeau de ses frangins et frangins – mais surtout frangins – dont elle se passerait bien. Ça n'implique pas une célébrité qui permet les voyages, la découverte des États-Unis, Hemsworth sur la table d'à côté à la pause dej. « C’est trop bien, ouais. » Au moins la cascadeuse semble kiffer son métier, c'est chouette. « Après j’vais pas mentir, c’est un sacré rythme et c’est pas toujours facile, d’où le fait que je prenne des pauses de plusieurs mois avant de repartir au moins aussi longtemps. » « Ouais ça doit être crevant. » Enfin elle imagine, parce qu'elle ne connaît la notion de décalage horaire qu'en théorie. Quoi que, parfois en cours elle était persuadée que certains de ses profs n'étaient pas sur le même fuseau horaire d'elle. « Par contre c’est pas exclu que je prenne une année sabbatique à un moment donné, y a plein de trucs que je voudrai faire ici mais j’ai jamais le temps de rien. » De toute façon la Gutiérrez a bien compris qu'elle ne devait pas s'inquiéter si elle ne la voyait plus pendant plusieurs mois. « T'as jamais de tournage dans le coin ? » Brisbane ça attire sûrement moins de réalisateurs que Los Angeles ou New York, mais quand même il y a des trucs à faire dans le coin non ? Ne serait-ce qu'à Sydney ou Canberra qui ne sont pas si loin que ça par rapport aux États-Unis.
Après une nouvelle gorgée de coca, c'est à Sara d'expliquer ce qu'elle fait dans la vie. Rien d'incroyable comparé à sa colocataire : c'est pas en étant à la caisse – ou dans les toilettes – d'un cinéma qu'on fout des étoiles dans les yeux des gens, et encore moins en étant placeuse. Personne, gamin, ne rêve de faire ça, et pour cause ce n'est pas passionnant. Mais mine de rien ça lui plaît plus que les jobs auxquels la prédestinaient ses études, alors elle suppose que c'est quand même pas mal. « Dis pas ça, c'est cool aussi. » Cool, cool, c'est un bien grand mot. « J'ai jamais rencontré le moindre acteur au Twelve. » C'est un petit cinéma de quartier qui peine à ne pas couler, quel acteur ou actrice, même australienne, aurait l'idée d'y foutre un pied en passant par Brisbane ? « C'est le ciné où je bosse, à Fortitude Valley. Si jamais tu veux y faire un tour, j't'offrirai du popcorn gratuit si t'achètes une place, » assure-t-elle avec un petit éclat de rire. Bon, faudra qu'elle se planque de Maisie pour le faire, mais elle a l'habitude. « Du coup j'en conclue que t'aimes bien ce qui tourne autour de l'art ? Ou c'est juste des jobs comme ça ? » Un léger hochement de tête. « Ouais, j'aime bien ça. » Elle esquisse un sourire. Quand elle a postulé au Twelve, c'était surtout par attrait pour le monde du cinéma et du grandiose – elle n'est même pas cinéphile, Sara, mais elle joue bien la comédie et ne se voyait vraiment pas bosser dans un laboratoire. « C'est des boulots alimentaires en vrai, mais plus sympas que d'autres. » Elle porte sa canette à ses lèvres tout en se rappelant cette année à bosser dans une supérette. Elle préfère le Twelve, c'est sûr, sauf peut-être quand il faut récurer les chiottes. « Ce que j'aime vraiment c'est les coulisses, les costumes, le maquillage, tout ça. » C'est plus facile à assumer maintenant que Marley l'aide et lui montre qu'il y a peut-être une place pour elle dans ce monde, qu'importe qu'elle n'ait pas fait les bonnes études, eut le déclic tard ou mente à ses proches à ce sujet – elle fait les trois, jackpot. Elle lui a dit que ce n'était pas important tant qu'elle aime ce qu'elle fait et qu'elle persévère, et c'est le cas. La brune ne s'est jamais autant appliqué en se préparant le matin que ces derniers mois, et pourtant Dieu sait qu'elle passait déjà beaucoup de temps dans la salle de bain avant. « Bon, ça se voit plus trop là, mais il paraît que je maquille bien. » Son maquillage a un peu coulé après toutes ses heures passées à danser, mais ses yeux colorés attestent toujours qu'elle n'a pas lésiné sur les paillettes pour briller avant de sortir hier.
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