ÂGE : 29 - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : célibataire MÉTIER : résident en hémato-oncologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 971 POINTS : 1270
TW IN RP : homophobie / deuil / mort d'un enfant TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieCODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [12/10] Sara #3 • Kai #1 • Dimery #2 • Dina (HG) • Gugus #3 • CeCe #2 • Sergio #2 • Maritza #2 • Ruben #4
La période la plus difficile de l’année était arrivée. Celle qu’il avait tant redouté et qui venait célébrer l’unique anniversaire qui ne l’enthousiasmerait jamais. La famille entière était à fleur de peau, en témoignaient les échanges incisifs sur les réseaux sociaux, et Diego avait bien du mal à savoir sur qui compter pour ne pas sombrer. Il avait posé sa semaine de vacances, l’ensemble des supérieurs n’avait pas été difficiles à convaincre vu la complexité de sa situation familiale et l’aisance avec laquelle il continuait malgré tout à faire la part des choses. Le problème était que tout cela n’était qu’une façade qui avait de plus en plus de mal à ne pas se fissurer jusqu’à s’effondrer totalement. En se réveillant, il avait décidé de se tourner vers un membre de sa famille pour la première fois, tenter de trouver refuge sans réellement demander à l’aide. Sara était sortie du théâtre après la représentation de l’après-midi en descendant les escaliers presque trop rapidement pour réaliser que Diego était là à l’attendre à la sortie, appuyé contre sa voiture. Sans grande surprise, son air agacé n’avait pas tardé à venir remplacer le sourire qu’elle adressait à ses collègues et il n’avait pu s’empêcher de rire. Peut-être que durant une journée comme celle-ci, le mexicain ne réussirait pas à être autre chose qu’un grand frère aimant envers elle. « Tout le monde avait des plans, tu ne vas quand même pas laisser ton grand frère tout seul ? » Sa moue triste était volontairement exagérée mais vite remplacée par un air un peu plus sérieux alors qu’il avait crevé l’abcès aussitôt. « On va faire en sorte que ce soit une belle journée. On peut évoquer nos souvenirs favoris avec elle ou tout simplement s’efforcer d’aller au bout de ces 24h. » Devant le sourire triste de Sara, Diego s’était repris à avoir de vieux réflexes qui n’avaient plus été les siens depuis qu’il avait quitté la maison familiale pour se lancer dans des études qui deviendraient le centre de sa vie. Il l’avait prise dans ses bras et l’avait serrée contre lui avant de déposer un baiser dans ses cheveux sombres. Il n’avait pas osé prononcer le te quiero qu’il ne réussissait à dire qu’au travers de message mais il le pensait au plus profond de son être à ce moment précis. En la libérant de son étreinte qu'elle n'avait pas refusé - c'était un bon début - il n'avait pu s'empêcher d'ajouter une touche d'humour pour rendre les choses moins tristes. « Tes collègues sont toutes jalouses, regarde un peu ça. » Et cette fois-ci, Diego ne se priverait pas pour accentuer tous les défauts qui étaient les siens à commencer par sa vanité si cela permettait à Sara d’étirer ses lèvres en un maigre sourire. En la voyant parfois il y pensait, mais ce jour-là en particulier il ne pensait qu’à cela. A la façon dont il avait hésité longuement avant de prendre la décision que ce serait à elle qu’il annoncerait la nouvelle en premier et c’était quelque chose qui continuait de le hanter. A ses yeux, elle ne serait jamais assez âgée pour qu’il puisse avoir la discussion avec elle, elle resterait toujours une enfant. « Ça a été, le boulot ? » Il lui avait ouvert la portière et se surprenait à trouver les bons gestes avec elle, agissant naturellement. Il était à son tour entré dans la voiture et avait posé ses mains sur le volant, attendant sa réponse et une destination car il avait réfléchi à tout sauf au programme.
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always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove
Sara Gutiérrez
l'explosion de paillettes
ÂGE : 25 ans, le quart de siècle atteint sans la maturité supposée aller avec (20.08.1998) SURNOM : Sara la fêtarde, la retardataire, l'emmerdeuse, la gamine, l'alcoolo, la relou... Vous avez le choix, elle répond à tout STATUT : Célibataire qui n'a aucune intention de se poser (on remercie les modèles parentaux catastrophiques en terme de couple) (le frangin et ses problèmes de couple sont pas mal non plus dans le genre) MÉTIER : Employée polyvalente à mi-temps au Twelve Happy Spectators depuis septembre 2021 et placeuse pour la Northlight Theater Company depuis mars 2023, son Bachelor's Degree en Biologie ne lui sert ni pour l'un ni pour l'autre (quelle surprise). Toujours pas prête à avouer à ses parents qu'elle ne compte pas reprendre ses études et que seule Marley lui fait miroiter un boulot qui en vaut la peine, elle s'enfonce dans ses mensonges sans réaliser qu'il vont finir par lui péter à la gueule. LOGEMENT : Depuis juillet, #200 Hughton Avenue, Redcliffe, dans un appartement en colocation avec Stella (cœur sur elle), Joseph (un drôle de bonhomme) et Dina (le fantôme). Vous pensez que ça n'a aucun sens ? Vous avez raison, mais elle s'en fout. POSTS : 4214 POINTS : 670
TW IN RP : Alcool, drogue, maladie infantile (cancer), mort, deuil, vulgarité TW IRL : RASGENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les beaux garçons. PETIT PLUS : Extravertie, souriante, sociable, loyale, franche • Irresponsable, immature, de mauvaise foi, provocatrice, excessive • Quatrième d'une fratrie de 7 : la famille avant tout, même quand ils lui donnent envie de s'arracher les cheveux • Incapable de faire le deuil de sa petite sœur partie en octobre, ne se le permet pas non plus • Les soirées comme échappatoires, avec tous les vices qui vont avec • 3 réorientations et un Bachelor de biologie arraché aux rattrapages pour finalement ne pas vouloir s'en servir • Voudrait faire du maquillage son métier mais ment par peur de décevoir ses parentsCODE COULEUR : Sara prend de mauvaises décisions en DD33AA RPs EN COURS : (17/∞)
→ Collègues et spectateur·rices au Twelve Happy Spectators (cinéma) : pré-liens
→ Collègues et spectateur·rices de la Northlight Theater Company (théâtre, Southern Cross Theater) : pré-liens
(#) Sujet: Re: sara #3 • i will try to fix you Ven 17 Nov 2023 - 15:22
I will try to fix you
@Diego Gutiérrez & Sara Gutiérrez Octobre 2023, devant le Southern Cross Theater, Redcliffe
Octobre n'a jamais été un mois que Sara attend avec impatience, au contraire agacée par la saison des pluies dont il annonce le début. Impossible pour Sara d'avoir hâte qu'arrive ce temps de merde qui la force à revoir ses tenues à la dernière minute et menace à tout instant son maquillage si elle n'utilise pas des produits à l'épreuve de l'eau. À la rigueur il y a Halloween qui est une fête rigolote, et mignonne lorsqu'elle amène Ale à la chasse aux bonbons en pouvant essayer sur lui des maquillages qu'il ne manque pas de réclamer avec une ardeur qui flatte toujours sa grande sœur. Maria aussi aimait que son aînée la maquille – et rien qu'à cette pensée, Sara a de nouveau envie de pleurer.
Dès l'instant où elle a ouvert les yeux ce matin, Sara a eu l'impression que plusieurs kilos de plomb alourdissaient son estomac. Elle n'a pas eu besoin de regarder la date sur son téléphone pour savoir quel anniversaire elle devait affronter aujourd'hui, l'ayant trop appréhendé pour faire mine de rien. Mine que tout va bien, qu'elle n'a pas envie de pleurer à chaque instant, qu'elle ne carbure pas au café malgré son ventre presque vide pour se donner la force de rester éveillée et à son poste malgré la nuit de merde qu'elle a passée et son cœur si douloureux. C'est à se demander comment elle tient debout, dans sa tenue noire reflétant l'état de son moral, les yeux maquillés de violet parce que c'était sa couleur préféré. Oh, elle a essayé d'avoir bonne mine la brune, soucieuse des apparences et surtout peu attirée par l'idée d'avoir à expliquer une crise de larmes à qui que ce soit comme l'an passé avec Maisie. Elle ne sait même pas combien de couches de fond de teint elle a mis, sans parler de l'anticerne qui laisse croire qu'elle a réussi à dormir cette nuit, et d'une telle quantité de brume fixatrice – dans l’espoir que tout son ravalement de façade reste en place – qu’elle a l’impression que ses cils sont en pierre.
C'est avec un sourire forcé, le même que depuis le début de la journée, que Sara salue ses collègues dans l'espoir qu'ils ne la retiennent pas plus longtemps. Elle a fini ses heures, elle veut s'enfuir d'ici, tout simplement. Un plan contrecarré par une silhouette qu'elle reconnaîtrait entre mille postée à la sortie de son lieu de travail, ses sourcils se fronçant par automatisme alors qu'elle ne peut s'empêcher de suspecter son frère de la fliquer. « Tout le monde avait des plans, tu ne vas quand même pas laisser ton grand frère tout seul ? » Il accompagne sa question d'un air triste, bon comédien qu'il est. « J'hésite. » Elle tente d'être sarcastique comme elle l'est toujours, mais le cœur n'y est pas plus que le ton de sa voix. « On va faire en sorte que ce soit une belle journée. On peut évoquer nos souvenirs favoris avec elle ou tout simplement s’efforcer d’aller au bout de ces 24h. » Si les lèvres de la brune s'étirent un peu face au comportement avenant de son aîné, son sourire est empli de tristesse rien qu'à l'évocation de leur petite sœur. Sourire qu'elle accompagne d'un haussement d'épaules comme si ça importait peu, mais en réalité c'est surtout qu'elle n'est pas certaine de la possibilité d'en faire une belle journée. Elle mentirait pourtant en affirmant qu'une part d'elle n'est pas heureuse de pouvoir passer la suite de la journée avec un membre de la famille, même si elle a sans doute trop de fierté pour l'admettre. « Tes collègues sont toutes jalouses, regarde un peu ça. » La vanité de Diego lui arrache un rictus alors qu'elle secoue la tête. « T'es con, » souffle-t-elle sans même qu'il y ait de la méchanceté dans ses mots – il fait l'idiot et elle le sait. « C'est sûr que t'as plus fière allure que lorsqu'il fallait construire un abri, » ajoute-t-elle, un brin moqueuse cette fois mais bien moins mordante qu'habituellement. Diego est comme elle, bien plus fringant à côté d'une jolie voiture que de branches avec lesquelles il faut construire une cabane. Il a tout du charmant fils à maman lorsqu'il ouvre la portière à sa petite sœur pour qu'elle puisse s'installer du côté passager, ce qu'elle fait. « Ça a été, le boulot ? » La brune ouvre le petit miroir de la voiture pour vérifier l'état de ses paupières colorées. Rien n'a coulé, signe qu'elle a survécu à tout le début de sa journée, c'est déjà ça. Alors elle hoche la tête. « Rien d'extraordinaire. » Elle n'a pas grand chose d'intéressant à raconter, ayant été tellement concentrée à ne pas pleurer depuis la première minute de son service qu'elle n'a même pas prêté attention au spectacle qui se jouait cet après-midi. « T'es en vacances ? Jusqu'à quand ? » qu'elle demande, se doutant que s'il est ici alors que le Soleil est encore visible dans le ciel et les rues habitées c'est qu'il ne travaille pas. Ce qui est rare, dans son cas. « Tu sais où tu veux qu'on aille ? » Elle le suivrait sans mal si c'était le cas, mais elle voit bien dans ses yeux que ça ne l'est pas. « T'y as pas réfléchi ? » qu'elle demande, simple constat sans l'once d'un reproche. Puis elle propose la première idée qui lui passe par la tête, aussi bête qu'elle puisse sembler. « Tu veux venir voir mon appart ? Vu l'heure j'pense qu'il y a personne, et on sera tranquilles. » Personne pour la voir pleurer si jamais elle craque malgré les heures qu'elle a passées à se donner une allure convenable.
(c) Miss Pie Haut : agnesadhista & katmcnamaragifs Bas : camilacabelloposts & xesoteric-extraterrestrialx
make your own dream into reality
Transferring your passion to your job is far easier than finding a job that happens to match your passion. We all have dreams. But in order to make dreams come into reality, it takes an awful lot of determination, dedication, self-discipline, and effort.
♥ :
Diego Gutiérrez
le schtroumpf coquet
ÂGE : 29 - 05/05/1994 SURNOM : Didi, évidemment STATUT : célibataire MÉTIER : résident en hémato-oncologie pédiatrique au St Vincent's hospital LOGEMENT : #17 fortitude valley en attendant de pouvoir s'offrir Spring Hill, il jalouse Alma POSTS : 971 POINTS : 1270
TW IN RP : homophobie / deuil / mort d'un enfant TW IRL : /GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime tout le monde. PETIT PLUS : ne s'est jamais vraiment remis d'avoir choisi d'annoncer la mort de Maria à Sara en premier > il noie son deuil et sa bisexualité dans le travail (ça ne fonctionne pas) > il jure en espagnol et clame haut et fort ses origines mexicaines > a adopté le chiot errant blessé que lui a ramené Cesar. Il s'appelle Tulum et il met un peu de piment et beaucoup de bazar dans sa vieCODE COULEUR : Diego minaude en medium purple RPs EN COURS : [12/10] Sara #3 • Kai #1 • Dimery #2 • Dina (HG) • Gugus #3 • CeCe #2 • Sergio #2 • Maritza #2 • Ruben #4
Rien n’avait été anticipé, il avait simplement ressenti le besoin d’être présent pour elle ce jour-là. Un simple réflexe, rien de calculé dans une tentative désespérée de se rapprocher d’elle. C’était probablement la seule note rafraîchissante dans une journée emplie d’une vague de tristesse dont aucun des Gutiérrez ne saurait se défaire. Il y avait forcément cette part de culpabilité qui le rongeait depuis ce fameux appel qui avait participé à l’encourager à la rejoindre jusqu’à son travail, alors même qu’il était évident que l’un des premiers réflexes de sa sœur aurait pu être de se braquer et de le laisser là, en plan. « J'hésite. » A la place, il avait réussi à faire apparaître un timide sourire sur son visage et c’était déjà une première étape de gagnée même s’il pouvait ressentir toute la difficulté que Sara avait à faire bonne figure. Elle ne l’avait pas rejeté, et il interprétait ça comme une volonté de sa part de partager cette journée avec une personne qui pouvait comprendre ce qu’elle traversait malgré la force avec laquelle elle nierait cette affirmation. Sara était la rebelle de la famille, une figure forte et la savoir aussi vulnérable n’était pas chose facile, même pour un grand frère qui savait les raisons qui l’amenaient à l’être aujourd’hui. S’il ne pouvait pas porter cette peine à sa place, il pouvait au moins tenter de lui faire oublier un peu, tout comme cela lui permettait d’oublier son propre chagrin. « T'es con, » Il avait imité son rictus, acceptant volontiers de l’entendre réagir ainsi parce que cela signifiait qu’il lui avait redonné un peu de baume au coeur. Juste un peu, une fraction de seconde dans une journée qui comportait vingt-quatre heures et chacune serait vécue comme un coup de poignard supplémentaire par sa cadette, il le savait. « C'est sûr que t'as plus fière allure que lorsqu'il fallait construire un abri, » Diego avait levé les yeux au ciel, il n’avait absolument pas anticipé que ce stage serait l’occasion idéal pour Sara de se moquer de lui encore et encore et que l’argument serait utilisé à outrance. Il n’avait pas répondu, se contentant de l’observer regarder son propre reflet dans le miroir avec une mine triste. Il s’était finalement ressaisi pour lui poser la plus banale des questions. « Rien d'extraordinaire. » Diego avait acquiescé en démarrant sa voiture avant de réaliser qu’il ne savait pas vraiment vers où il allait. « T'es en vacances ? Jusqu'à quand ? » « J’ai juste pris ma journée. Je savais que je serai pas capable d’être totalement efficace aujourd’hui. » Il avait tourné la tête vers elle pour lui accorder un sourire triste, parce qu’ils savaient tous les deux très bien ce qu cela voulait dire. Diego, de son côté, espérait pouvoir être bien plus efficace dans son rôle de grand frère.
Le silence s’était installé un peu trop longtemps pour que cela ne soit pas pesant et Sara l’avait heureusement brisé. « Tu sais où tu veux qu'on aille ? » Cette fois-ci, sa moue triste s’était transformée en une légère grimace que Sara avait comprise tout de suite. « T'y as pas réfléchi ? » Son regard était désolé et chaque émotion qu’il ressentait était décuplé, comme animé par ce manque de Maria qui était bien plus vif que n’importe quel autre jour de l’année. Il s’apprêtait à s’excuser mais au moment où il baissait la tête pour laisser s’échapper un soupir, Sara avait repris. « Tu veux venir voir mon appart ? Vu l'heure j'pense qu'il y a personne, et on sera tranquilles. » Les sourire qu’il lui accordait étaient toujours les mêmes. « Très bonne idée, on peut se prendre un truc à grignoter au passage. Et ce soir je t’invite à dîner si t’es sage » Diego lui avait donné un léger coup de coude avant d’enfin sortir le véhicule de son emplacement. C’était la fin d'après-midi et s’il n’était pas du genre à se réfugier dans la nourriture, la particularité de cette date lui donnait envie de se raccrocher à toute e qui pourrait leur apporter rien qu’un peu de réconfort. « Indique moi la route par contre, et me dis pas de tourner au dernier moment, je te connais… » Il la taquinait et cela semblait presque passer inaperçue tant Sara semblait n’être que l’ombre d’elle même. Ils avaient fait le reste du trajet en silence avant d’arriver dans son appartement. Diego avait posé sur la table les friandises qu’ils avaient achetées et qui leur permettraient de se distraire si la discussion devenait trop pesante. « Alors c’est ici que t’étudies après le boulot, hin ? » avait-il lancé avec un sourire fier, cherchant à tout prix à alimenter une discussion qui se faisait difficilement. Il ne voulait pas laisser le silence s’installer, ne voulait pas que leurs pensées prennent trop de place. « Vous êtes combien ici déjà ? C’est laquelle ta chambre ? » Il parlait trop parce que la vérité était qu’il comptait peut-être un peu plus qu’il ne l’avouerait sur Sara pour lui changer les idées.
always had high, high hopes
Had to have high, high hopes for a living, Shooting for the stars when I couldn't make a killing, Didn't have a dime but I always had a vision, Always had high, high hopes Had to have high, high hopes for a living, didn't know how but I always had a feeling I was gonna be that one in a million-byendlesslove