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 (penisy #6) let me be home for anything

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Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
(penisy #6) let me be home for anything - Page 2 FQgUS3L Présent
ÂGE : 39 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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POSTS : 28492 POINTS : 100

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
amy ∆ caitriona #2 ∆ lexie ∆ angus #2

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(roa, juin 2020)
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grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
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(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
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AVATAR : Julian Morris
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DC : Kai Luz & Max Novak
INSCRIT LE : 08/04/2018
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything - Page 2 EmptyVen 12 Nov - 20:11



« Pas le moins du monde, » Penny défend, alors que tu soupçonnes que son opinion sur ta personne soit biaisée par les sentiments que vous vous vouez. Tu souris en coin, épris d'une fierté malicieuse, émettant un « mhmh » avant de te délecter de ses irrésistibles lèvres. Tu es à la fois heureux et soulagé si tu as fait bonne impression auprès des proches de ta petite amie, souhaitant ardemment ne pas commettre de faux pas vis-à-vis de ces personnes auxquelles Penny tient chèrement. « Y’a pas de si, j’te promets que mes parents t’ont adoré et David aussi. » Tu remarques à ce même instant que tu avais, malgré l'effet de surprise que tu favorisais, imposé une certaine pression sur tes épaules, celle-ci s'évanouissant devant l'affirmation de ton interlocutrice en qui tu dédies une confiance inébranlable. S'il t'avait semblé que le courant était passé de manière plutôt aisée entre toi et les parents de l'actrice, ceux-ci t'étant apparus comme deux individus aussi bons que bienveillants, il t'avait été plus difficile de jauger David, quand bien même tu étais prêt à produire le moindre acte qui aurait pu lui permettre d'être à l'aise sous ce toit. Tu embrasses Penny, reconnaissant d'avoir pu rencontrer sa famille et que cet échange se soit déroulé sous de bonnes auspices. Par la suite, tu lui présentes la popularité qu'elle détient également auprès des gens que tu apprécies, notamment Kane qui est soigneusement informé de votre romance depuis son début. « C’est vrai qu’elle est plutôt belle, notre histoire, » Penny souffle et tu prolonges le baiser qu'elle t'offre, ton portrait lumineux, tes bras venant enlacer affectueusement ton amoureuse.

Tu poursuis tes confidences en exposant la teneur d'une conversation que tu avais également eue avec Joy au sujet de Penny. « La fourbe, elle était pas censée te dire ça, » annonce la Stringer dans un rire, bien qu'un air surpris et légèrement choqué étire ses traits. Tu ris doucement. « Elle est sans foi ni loi, Joy, » tu présentes, admiratif du fort caractère de l'interne qui ne se laisse assurément pas marcher sur les pieds et a toujours la tête bien haute, confiante et consciente de sa valeur. Tu ajoutes avoir signifié, lors de cette soirée particulière, à ton amie et collègue à quel point Penny te rendait - déjà - heureux. « Attends. Tu lui as dit ça à ton anniversaire? Au début du mois de mai? On avait à peine eu quelques dates à ce moment-là. » « Il ne m'en a pas fallu beaucoup, » tu reconnais, sourire immuable sur tes lèvres. Penny t'était présentée comme une évidence : ce naturel qui vous unissait dès vos premiers échanges, cette chimie exponentielle qui vous liait délicieusement l'un à l'autre. Découvrir Penny au fil du temps n'avait rimé qu'à l'aimer davantage, chaque facette de son être te séduisant et t'impressionnant. Ce qui te faisait le plus peur dans ta relation avec la vingtenaire était que celle-ci prenne un jour fin, persuadé que son déroulé ne pourrait être que beau, malgré les embûches, les épreuves, les failles et les différends. C'était auprès de la Stringer que tu désirais faire ta route, tu l'aimais déjà infiniment, sous toutes ses coutures, dans ses qualités comme ses défauts, dans ses réussites comme ses échecs, dans ses cauchemars comme ses récompenses. Tu la valorisais de A à Z, tu étais tombé en amour de ce riche et merveilleux nuancier qu'elle composait. « Chaque fois que j’me dis que c’est impossible d’être plus charmée par toi que je ne le suis déjà, tu finis toujours par me surprendre, Isaac Jensen. » « L'effet de surprise est mon arme principale pour ne pas que tu te lasses de moi. » Tu joues, tes mains caressant ses épaules et ses bras. « Je remarque qu'on a encore un nouveau point commun, » tu ajoutes, l'actrice parvenant toujours à agréablement te surprendre, s'imposant chaque jour davantage comme la femme de ta vie.

La Petterson représente aussi ce contact que Penny et toi aviez en commun depuis des années sans que jamais vous ne vous rencontriez par son intermédiaire. Bien que tu aurais aimé passer encore plus de temps avec l'australienne, tu te confortes dans l'idée que le moment de vos premiers échanges sur Tinder devait être le plus opportun. Et finalement, tu préfères que la Stringer te connaisse sous le jour sous lequel tu évoluais désormais plutôt que celui qui t'obscurcissait davantage précédemment. « J’peux pas changer le passé, mais j’ai pas envie de connaître un futur sans toi, » Penny formule et ses propos te touchent en plein cœur, par leur intensité, leur sincérité, et tout l'engagement qu'ils peuvent contenir. Avide de proximité, tu prends l'actrice dans tes bras, quitte à lui arracher un léger esclaffement, puis adresses avant de prendre possession doucement de ses lèvres : « Moi non plus. Je te veux dans mon avenir. »

Vous migrez vers la chambre où la proximité de vos corps peut enfin être reine ; vos souffles se mêlent, vos mains épousent vos peaux, vos lèvres se pressent contre vos épidermes. Tu enlaces la jeune femme dans tes bras, tes doigts traçant des sillons sur ses bras dénudés ; et sans réellement crier garde, le constat des quelques travaux que tu avais menés dans la demeure se transforment en une offre que la jeune femme y élise domicile. Son air surpris te fait légèrement sourire, tu soulignes le fait que la décision de son emménagement est entièrement sienne, bien que tu aimerais beaucoup qu'elle décide de vivre sous le même toit que toi. Après tout, c'est sa présence qui fait de cette maison un foyer que tu choies énormément. Tu devines progressivement toutefois que cette étape est lourde de sémantique pour ta petite amie, quand tu suis un fil de pensée beaucoup plus linéaire qui se contente sur l'observation que puisqu'elle est beaucoup chez toi et que vous semblez bien vous entendre à vivre ensemble, elle peut s'y installer indéfiniment. Tu es néanmoins en mesure d'assimiler que ce changement soit assez drastique, voire effrayant. Tu prends la parole pour lui exprimer ta vision des choses, comme quoi l'important te semblait être que vous suiviez les orientations que vous permettaient de vous épanouir, individuellement comme à deux. Si cela signifiait de mettre des éléments en suspens ou de revenir sur des décisions, tu t'y plierais instantanément, l'essentiel étant que Penny se sente bien dans votre couple. Tu ne voulais pas l'influencer, lui imposer des choix qui ne lui convenaient pas ou qui la rendraient perplexe. Tu refusais de presser, t'inspirant de sa propre capacité à se montrer patiente envers tes secrets, notamment sur le volet sinistre de ton histoire que tu lui avais relaté récemment. Tu souhaitais que vous y allez à votre rythme, quitte à ralentir pour vous épargner de trébucher. Tu voulais qu'elle soit heureuse, et priais pour que vous ayez un avenir à deux. « Un peu? » répète-t-elle lorsque tu lui formules, timoré, la voir au moins un peu dans ta vie. Tu te mords doucement les lèvres, la serres davantage contre toi, clames la vérité : « Autant que possible. » Tu poses un baiser son front.

Une ode à Oscar Wilde et des conseils téméraires suivis de l'amour que tu consacrais à Penny et ton rêve que son bien-être soit total résonnent dans les murs de la chambre à coucher et te valent un baiser riche d'émotions. Tes doigts effleurent suavement sa joue, puis glissent sur son épaule. « Mon cœur et mes trippes me disent que je devrais pas me poser autant de questions quand je sais parfaitement qu’il n’y a rien que j’aime plus que de m’endormir avec toi et commencer mes journées à tes côtés. » « C'est vrai que c'est plutôt pas mal, comme fin et début de journée, » tu reconnais avec espièglerie. « C'est même certains de mes moments préférés. » Tu enchéris avec un aspect plus pécunier de cette discussion : la possible mise en location du loft. « Ou alors j’pourrais carrément le mettre à vendre. Yelahiah s’en va et j’y suis jamais de toute façon. » Tu croises le regard de Penny, y lisant une réponse affirmative à ton offre. « Tu pourrais... » Tu souffles alors que le corps de la jeune femme se presse au tien, que son parfum t'enivre davantage, que ton cœur bat un peu plus fort dans ta poitrine, juste sous son oreille.

Vous reprenez confortablement place sur le matelas, tes doigts poursuivent les caresses sur la chevelure de Penny, tu ressasses la communication entre David et Penny en Auslan. Cette dernière t'offre de t'apprendre les termes qu'elle connait et tu acceptes spontanément, désireux de pouvoir échanger plus facilement avec la population. Tu connaissais bien quelques signes, mais tu te heurtais toujours au sentiment de te sentir démuni. Tu reconnaissais les pistes d'amélioration qui se présentaient à toi et étais reconnaissant que la Stringer puisse t'enseigner ces outils-là à lier le monde davantage. « Est-ce que je t’ai dit récemment que t’es vraiment le plus bel humain que j’ai jamais eu la chance de rencontrer? » Tu hoches la tête en signe de dénégation, taquin. « Je crois pas. Je sais plus. J'ai un doute... » Les doigts fins de l'australienne caressent tendrement ta joue, tu te délectes du goût de sa bouche, tes mains caressant son dos. « Est-ce que je t’ai dit récemment à quel point je t'aimais et suis content de te retrouver ? » Vous souffles se distançant, tu te permets de questionner, sincèrement intéressé, Penny sur les modes de communication qu'elle entretien avec son cadet. « Il comprend assez bien quand on lui parle verbalement, et il est capable de répondre ou de faire quelques demandes courtes et simples à l’aide d’une application sur son iPad qui lui sert en quelque sorte de voix. » Tu acquiesces, notamment admiratif de l'évolution de la technologie qui servait à David. « Mais il s’est toujours contenté de l’essentiel. Demander à manger, à boire, d’aller dans ses endroits préférés, qu’on lui mette ses films préférés et des choses du genre. » « C'est quoi, ses endroits et ses films préférés ? » Tu interroges derechef.

Penny se défait de votre étreinte pour s'asseoir sur le lit, ton regard la suivant. « Tu pourrais défaire le zip s’il-te-plaît? J’ai envie de me mettre confortable. » Un sourire en coin creuse la commissure de tes lèvres et tu te redresses à ton tour, t'exécutant. Tes doigts viennent dégager précautionneusement ses cheveux pour les regrouper derrière une de ses épaules, puis saisissent délicatement la fermeture éclaire. Ta bouche se pose suavement sur son cou, base du cheminement de doux baisers que tu offres à sa peau que tu dénudes peu à peu, au fur que le chariot traverse le tracé de la fermeture. Les deux pans se séparant jusqu'à la naissance de ses reins, tu fais doucement glisser l'étoffe des épaules de ta petite amie pour que la robe sombre sur le matelas, tes lèvres baisant sensuellement son cou, tes mains caressant ses bras pour lui éviter d'avoir froid. Tu l'aides à se défaire entièrement de son vêtement puis lui faisant désormais face, ton cœur toujours plus gonflé d'euphorie de la retrouver à tes côtés, tu l'embrasses amoureusement, passionnément, la guidant en position allongée sur le matelas, remontant le drap sur son corps bien que l'une de tes mains choie affectueusement son flanc sous le tissu.



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Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
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ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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POSTS : 13683 POINTS : 0

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

+ the one and only (04)isaac #21isaac #22isaac #23isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : eddie #3 › rory #12 › you?

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compte actif d'avril à juillet 2021.
RPs TERMINÉS :
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penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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AVATAR : emma roberts.
CRÉDITS : (av. harley) › (sign. siren charms) › (crackships penisy. harley & gwennifergifs ♡) › (crackship cringer. nairobi ♡) › (tinder profile. AMGK ♡) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything - Page 2 EmptySam 13 Nov - 14:46



« Elle est sans foi ni loi, Joy. » Tu hoches la tête, acquiesçant d’un sourire triste alors que tu es forcée de te rappeler encore et encore de l’état actuel de votre amitié pourtant vieille d’une quinzaine d’années. Ce n’est pas Isaac qui allait t’apprendre le moindre morceau sur la personnalité de ta meilleure amie, tu avais bien souvent fait les frais du fort caractère de la Petterson, bien que jamais comme présentement alors que tu ne voulais qu’une chose : te faire pardonner tes erreurs et réparer les pots cassés. Tu ne veux toutefois pas t’attarder sur ces réalisations qui te font encore beaucoup de peine, ton retour étant quelque chose à célébrer avec ton amoureux dont les confidences se font toujours de plus en plus surprenantes. D’apprendre que tu le rendais déjà heureux alors que vous aviez à peine commencer à vous fréquenter, votre relation encore à un stade purement platonique te fait sourire sans doute plus que de raison. C’était incroyable que de repenser à cette période, qui te semblait aussi rapprochée que lointaine selon les moments, et de réaliser l’intensité à laquelle votre lien s’était créé. Les confidences si aisément échangées, l’envie constante de recevoir un message de sa part, la peur que ça ne se traduise pas en personne seulement pour réaliser que c’était mieux encore. Vouloir le voir, toujours un peu plus, redécouvrir cette envie d’une autre personne et se perdre dans toutes ces émotions qui sont plus belles et plus douces les unes des autres. Il était magique à tes yeux, Isaac, doté de pouvoirs que personne n’avait su avoir sur ta personne avant lui et tu étais terriblement heureuse de te laisser ensorceler par l’infirmier. « Il ne m’en a pas fallu beaucoup. » À défaut de savoir quoi lui dire pour traduire comment tu te sens d’entendre une telle confidence, tu l’embrasses une fois de plus. Avec autant de fougue, de passion et d’amour que tu le peux, t’accrochant à lui comme si tu avais soudainement peur de le voir se dérober sous tes doigts.

« L’effet de surprise est mon arme principale pour ne pas que tu te lasses de moi. » Tu échappes un léger rire, l’idée même que tu puisses te lasser de lui te semblant aussi ridicule qu’impossible. « Je remarque qu’on a encore un nouveau point commun. » « Ça te surprend encore? » que tu souffles, amusée. Ils s’accumulaient, vos points communs, vos valeurs qui se rejoignaient, vos rêves si différents mais qui semblaient toujours par s’agencer d’une manière ou d’une autre. Ce qui ne devait pas fonctionner trouver sa raison d’être entre vous et ça ne t’en prenait pas vraiment plus pour être convaincue que tout ce que tu vivais déjà avec Isaac avait son importance capitale dans ta vie. Il n’était pas de ceux qui seraient de passage, oh non, jamais. Isaac, dès les premiers instants, il avait laissé sa marque et tu comptais bien faire de lui l’un des personnages principaux, si ce n’est le personnage principal du film de ta vie. Tu ne pouvais pas imaginer meilleur homme pour endosser le rôle et si tu n’étais pas naïve au point de croire que tout serait toujours aussi beau et aussi doux, tu demeurais convaincue qu’avec là, tu n’aurais jamais plus à craindre les tempêtes qu’il te faudrait affronter dans les années à venir. « Moi non plus. Je te veux dans mon avenir. » Ça ne prenait rien de plus pour que ton cœur s’emballe une fois de plus devant le sérieux de la conversation, quand bien même tu le savais aussi sincère que tu pouvais l’être et que rien ne faisait plus de sens que ces promesses à demi soufflés entre deux baisers. Tu étais bien. Tu voulais que ça continue et Isaac, avec chaque caresse, chaque baiser qu’il posait sur ton épiderme, te rappelait encore et encore à quel point l’immensité de tes sentiments pour lui était réciproque.

Vous étiez chanceux, incroyablement chanceux de vous être trouvés dans ce monde de fous.

Alors même si sa proposition te terrifie, même si elle te fait reculer légèrement, même si elle semble venir bien plus rapidement que tu n’aurais pu te l’imaginer, ce n’est réellement qu’une formalité tant tout de vos actions parlent déjà pour vous. « Autant que possible. » C’est ce qu’il veut de toi et ce que tu espères de lui. D’être là, autant que possible. Chaque fois que tu te retrouves à Brisbane, c’est chez lui que tu passes tout ton temps. Dans la commode juste à côté de toi que repose les vêtements que tu n’as pas emmené avec toi à Los Angeles. Dans ce lit que tu as envie de t’endormir et de te réveiller jour après jour. Avec lui que tu as envie de passer chaque minute libre entre vos deux horaires bien trop remplis entre vos divers engagements et responsabilités. Pour calmer tes angoisses, Isaac te fait comprendre que le choix t’appartient et que peu importe ta décision, rien n'a besoin d’être couler dans le béton. Qu’un pas en avant peut être repris, modifié, disparaître, si tu en ressens le besoin. Il ne force pas, jamais Isaac, et c’est sans doute parce qu’il n’y a aucune pression que tu le sais que la bonne chose à faire, la décision que tu as vraiment envie de prendre, c’est d’accepter son offre. « C’est vrai que c’est plutôt pas mal, comme fin et début de journée. C’est même certains de mes moments préférés. » « Ah tiens, encore un point commun. » que tu chantonnes en riant doucement. Ton sourire se fait aussi espiègle que le sien alors que tu peines à réaliser l’ampleur de la décision que vous vous apprêtez à prendre, tous les deux. « Tu pourrais… » Tu opines d’un hochement de la tête rapide, scellant cette décision d’un énième baiser qui veut tout dire alors que déjà, tu penses à tout ce qu’il te faudra mettre en ordre avant de procéder à la vente de ton loft. Ça, tout comme l’amas de vaisselle sur le comptoir de la cuisine, c’est un problème pour la Penny du futur. La Penny du présent, elle, n’a qu’à se concentrer à célébrer allègrement cette décision dans les bras de l’homme qu’elle aime.

L’intérêt que porte Isaac pour le Auslan et son envie de communiquer plus efficacement autant avec ton frère qu’avec des patients aux difficultés auditives te touchent grandement, te rappellent l’immensité du cœur de ton amoureux. « Je crois pas. Je sais plus. J’ai un doute. » Tu secoues la tête tout en riant doucement, multipliant les caresses à l’égard du Jensen alors que tu plonges ton regard dans le sien. « T’es l’homme le plus doux et le plus attentionné que je connaisse. » Et tu ne dis pas simplement ça parce qu’il est ton amoureux, non. Tu le penses sincèrement. Tu en connais plusieurs, hommes bons avec le cœur sur la main, Rory et Angus étant les premiers noms qui te viennent automatiquement en tête, mais Isaac avait quelque chose de plus, ce côté altruiste qui ne s’invente pas, d’une bonté telle que tu ne pouvais qu’avoir peur parfois que des personnes malintentionnées se jouent de cet aspect de sa personne, comme c’est sans doute arrivé par le passé. « Est-ce que je t’ai dit récemment à quel point je t’aimais et suis content de te retrouver? » Tu fais mine d’y réfléchir pendant quelques secondes. « Tu as peut-être abordé le sujet vaguement… » que tu souffles, sans être capable de retenir un rire plus longtemps. « Mais ça aussi, c’est le genre de choses que je vais jamais me tanner d’entendre. » Tes lèvres viennent trouver le cou d’Isaac pendant quelques secondes avant qu’il ne t’interroge un peu plus sur ton frère et les différentes façons que ce dernier utilise pour communiquer. « C’est quoi, ses endroits et ses films préférés? » Tu souris, toujours aussi charmée par l’intérêt sincère que porte Isaac pour ton petit frère. « Il aime beaucoup les parcs et ces films préférés sont tous les Disney, surtout ceux avec de la musique. » Ce qui veut dire une grande majorité. « J’ai dû voir La belle et tête un million de fois quand j’étais ado. Je partais pour l’école, il regardait ce film et c’était encore le même quand je rentrais le soir. » que tu relates, un sourire aux lèvres. Petit David était devenu grand, mais la grande majorité des intérêts qu’il avait développé enfant l’avait suivi jusqu’à aujourd’hui. « Il y a un grand parc, près de chez mes parents, et mon père y va avec lui à tous les soirs, beau temps, mauvais temps. » Et quand tu es à Torquay, c’est toi qui prends le relai de cette routine du soir qui est ancrée dans l’horaire de ton frère depuis une bonne quinzaine d’années au moins. « David est un homme de routine. Il aime savoir quand et comment les choses vont se passer, mais avec les années, il est de plus en plus flexible, ce qui offre quelques libertés nouvelles à mes parents. »

Tu pourrais parler de ton frère pendant des heures, surtout avec quelqu’un qui s’y intéresse avec autant de sincérité qu’Isaac, mais la fatigue prend le dessus alors que tu ne cherches qu’à te mettre confortable et retrouver ta place dans les bras de ton petit-ami. Sans se faire prier, il déplace tes cheveux pour mieux avoir accès à la fermeture éclair qu’il défait tranquillement, laissant un sillon de baisers sur ta peau nouvellement dénudée, ce qui t’arrache des frissons ainsi qu’un léger gémissement. Il fait glisser la robe le long de tes bras avant que tu ne sois complètement dévêtue de cette dernière, laissant découvrir ton corps à moitié dénudée. Isaac capture tes lèvres à nouveau et tu réponds au baiser avec avidité, le manque des dernières semaines te revenant comme une vague subite à laquelle tu n’as pas envie de résister. Il t’incite à te coucher sur le matelas et tu l’invites à te surplomber, peu désireuse de te défaire de l’étreinte. Tes doigts se font plutôt entreprenants, se glissant sous le chandail de l’infirmier pour l’aider à s’en débarrasser à son tour, ton souffle se voulant déjà plus erratiques entre les baisers. « T’as pas idée à quel point tu m’as manqué… » que tu murmures contre ses lèvres, avant de laisser les tiennes se faire légèrement plus agressives, redécouvrant avec ardeur la mâchoire, la nuque et les épaules dénudées d’Isaac, y laissant de fines marques alors que tes doigts s’enfoncent dans la chaire de son dos, ton corps enivré de toutes ses sensations que lui seul parvient à te faire ressentir.



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TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything - Page 2 EmptyJeu 30 Déc - 17:15



Tu déposes un délicat baiser sur la joue de Penny, désireux d'en faire un baume contre le sourire triste qui se dessine sur le portrait de l'australienne, dans l'espoir vain de gommer un peu le chagrin qui incombe à l'amitié en souffrance qui la lie à Joy. Tu aimerais tant voir les deux jeunes femmes se réconcilier. Tu as tenté à quelques reprises, précautionneux, de prier à ton amie et collègue de prendre du recul et essayer de se mettre à la place de la Stringer, tout en t'évertuant à ne pas t'immiscer dans une relation qui n'est pas la tienne, de peur de fourrer ton nez dans des affaires qui ne te concernent pas. Tu es persuadé que Penny manque autant à Joy que l'inverse est vraie et que cette situation ne complait aucune des deux femmes, qui gagneraient sans nul doute à remettre les compteurs de leurs différends à zéro. D'autre part, cela te désole que ces quinze années de proximité soient rabattues en une seule conversation, surtout lorsque cela génère de l'amertume. Ce n'était pas dérisoire que ces personnes aient été proches si longtemps ; à tes yeux, cela démontrait qu'elles gagnaient à se fréquenter.

Joy était par ailleurs l'une des première personnes à qui tu avais parlé de Penny. L'occasion s'était présentée le soir de ton anniversaire et à ce moment, l'actrice s'était déjà trouvée une place toute particulière, toute dédiée, dans ton cœur. « Il ne m’en a pas fallu beaucoup. » Tu avoues quand ton interlocutrice s'étonne que tu aies tenu de tels propos après seulement quelques dates passés ensemble. Penny composait une évidence à ton âme, un vecteur à ton bonheur. Tu avais rencontré des femmes avant elle, alors que tu étais célibataire, et même si deux d'entre elles t'avaient laissé entendre qu'elles étaient intéressées pour que vous alliez plus loin, tu n'avais jamais pu te résoudre à poursuivre une telle voie avec elles. Penny, quant à elle, représentait une toute autre affaire : elle dénotait de sensations totalement différentes que celles que tu avais ressenties par le passé. Tu n'avais même pas eu à te poser la question d'un futur avec l'actrice, tu savais au fond de toi que tu en rêvais. Cela pouvait probablement sonner effrayant, frisait peut-être la folie, pourtant, dans son assurance, cette certitude détenait aussi un côté réconfortant. Il n'y avait pas de doute qui brouillait ta vision, aucun choix à faire, ni de dilemme à trancher : c'était simplement comme ça - et ça t'était idéal.

Tu taquines sur ton emploi de tout effet de surprise, souris largement en écoutant l'harmonieuse mélodie du rire de ton interlocutrice. Tu t'émerveilles sur les points communs qui vous unie, telles les étoiles vous constituant se rejoignant pour ériger de merveilleuses constellations. Même si tu as conscience que vos cieux ne seront pas toujours bleus, tu te sens armé pour survivre à tous les tourments, chasser quelconques nuages, apprendre à danser sous les torrents, avec Penny à tes côtés. Tu mesures une partie des défis que cela requiert, cependant, la jeune femme te donne non seulement du courage mais aussi un goût inédit pour la vie. Elle t'insuffle de la confiance pour la suite, et ce parfum t'est inestimable. Tes lèves pressent amoureusement les siennes, une avidité exponentielle de proximité réchauffant ton sang, après que vous vous êtes laissés entendre que cet avenir, vous le désirez à deux.

L'éventualité que Penny s'installe sous ton toit s'intensifie de réalisme au fil de votre conversation. Si tu ouvres les portes de ton domicile et ferais de ton royaume le sien avec grand plaisir, tu refuses totalement de presser ou pousser la Stringer à effectuer un pas qu'elle ne se sentirait pas prête à poser, ou de précipiter une étape. Tu la rassures également sur le fait qu'il lui sera toujours possible de faire marche arrière, comme de modifier toutes les conditions vous reliant quand cela signifie son bien-être. Ton but ultime est qu'elle sache que tu désires passer autant de temps qu'il t'est alloué auprès d'elle et que tu l'aimes à l'infini, ce qui rime avec ta volonté d'œuvrer pour que l'actrice s'épanouisse sous ses conditions et que toi, comme tu le lui avais promis le jour de son anniversaire, tu seras toujours présent pour la soutenir dans ses décisions et sur sa voie vers son bien-être.
Tu ne peux toutefois pas réprimer un sourire satisfait quand Penny parle de vendre son loft, cette optique te confirmant que peut-être que l'australienne pencherait sur l'option de s'installer à Toowong. Même le baiser que vous échangerait ne saura l'effacer, ce rictus fier de partager encore davantage de ton quotidien avec ton amoureuse.

Vous abandonnez le désordre de l'étage pour vous réfugier dans la chambre à coucher. Tes mains caressent sensuellement la chaire de Penny, vos souffles se mêlent au sein de tendres baisers ; vous échangez les mots que vous n'avez pas pu vous offrir de vive voix, un océan vous séparant plus tôt. Tu glisses un baiser dans son cou alors qu'elle rit de ta réplique jouasse. « T’es l’homme le plus doux et le plus attentionné que je connaisse. » Tu lèves ton regard vers ta petite amie, touché par ses propos, t'autorisant à apprécier cette manière qu'elle avait de te voir, quand tu te dénigrais incessamment. « T’es la femme la plus courageuse et généreuse que je connaisse. » Tu étais indubitablement admiratif de l'indéniable résilience comme l'immense bonté que possédait Penny. Elle était une femme forte, dotée d'un cœur d'or, qui agissait pour le bien des autres. « Est-ce que je t’ai dit récemment à quel point je t’aimais et suis content de te retrouver ? » Tu poursuis, ton rythme cardiaque s'accélérant dans ta cage thoracique, fanfaron. L'australienne arbore une mine songeuse avant de prononcer : « Tu as peut-être abordé le sujet vaguement… » Tu empruntes mine faussement indignée par ton comportement, susurrant un complice « vaguement... » alors que Penny échappe un petit rire. « Mais ça aussi, c’est le genre de choses que je vais jamais me tanner d’entendre. » Ses lèvres se posent contre les tiennes.

Tu t'intéresses ensuite à David, intrigué par ce jeune homme qui avait l'air si doux et que tu aimerais apprendre à connaître si l'opportunité se présentait à toi. « Il aime beaucoup les parcs et ses films préférés sont tous les Disney, surtout ceux avec de la musique. » Tu souris, notant dans ta mémoire les informations que te donnait Penny sur son frère, sincèrement intéressé. « J’ai dû voir La belle et bête un million de fois quand j’étais ado. Je partais pour l’école, il regardait ce film et c’était encore le même quand je rentrais le soir. » Tu souris doucement, tes doigts jouant contre les siens, te plaisant à imaginer cette partie de l'adolescence de Penny. « Il y a un grand parc, près de chez mes parents, et mon père y va avec lui à tous les soirs, beau temps, mauvais temps. » Le dévouement du patriarche te fait chaud au cœur et tu comprends dorénavant de qui Penny a hérité sa bonté. « C'est une belle tradition. » Tu te permets de commenter. « David est un homme de routine. Il aime savoir quand et comment les choses vont se passer, mais avec les années, il est de plus en plus flexible, ce qui offre quelques libertés nouvelles à mes parents. » Tu écoutes attentivement, une multitude d'interrogations germant dans ton cerveau. Tu te demandais si David aimait l'océan autant que sa sœur, s'il avait un Disney favoris, s'il était gourmand ou n'acceptait que certains aliments, s'il avait des phobies à surtout éviter, s'il appréciait certaines activités sportives, s'il favorisait les outils électroniques. Tu te mordilles la lèvre pour ne pas asséner ta petite amie de questions alors que tu lis l'exténuation sur ses traits. Tu la recueilles plutôt dans tes bras puis glisses précautionneusement ses cheveux derrière l'une de ses épaules pour la défaire de sa robe, baisant chèrement chaque centimètre de peau que tu dévoiles à mesure que la fermeture éclair descend dans son dos. Ses gémissements en retour accroissent la température de ton être et tu contemples le corps qu'elle te dévoile en terminant d'ôter sa robe. « T’es tellement belle, » tu souffles, contemplatif, avant que l'inciter à s'allonger sur le lit et qu'elle te prie de la rejoindre en la surplombant. Ses doigts fins glissent sous ton chandail, créant des sillons spontanément par des frissons, et tu finis par tirer sur le col de ce premier pour le rejeter hors du lit. Tu embrasses avec fougue ta petite amie, la passion s'intensifiant à chaque saccade de vos respirations, invoquant le tambour battant de ton cœur. « T’as pas idée à quel point tu m’as manqué… » Sa bouche arpente ta mâchoire, ses mains effleurent ta peau. Tout ton être est frénésie sous les délicieuses marques d'affection de Penny et le monde s'efface autour de toi pour qu'il ne soit constitué plus que d'elle, reine de ton univers. Ses paumes sont brûlantes sur ton épiderme conquise, ses ongles glissent dans ton dos et tu aimerais sentir son contact sur ta personne indéterminément. Tu te délectes de son parfum ; son souffle et ses baisers pulsent ton organisme d'une puissante envie d'elle. Tu la désires aussi fort que tu l'aimes, tu la veux aussi puissamment que tu la choies. Tu convoites que tous tes instants avec elle soient épris de l'éternité, tant tu rêverais que jamais ils ne s'arrêtent. Tu aspires à lui démontrer, par ton âme et ton palpitant effervescents, tonitruant de ces émotions sensationnelles qu'elle inocule en toi, à quel point elle t'est inestimable, puisque les mots te semblent si faibles lorsque tu lui dédies, muni de toute l'essence franche qui te constitue : « Je t'aime, Penny Stringer. »



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