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 (penisy #6) let me be home for anything

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Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
(penisy #6) let me be home for anything Hu5cwsy Présent
ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
(penisy #6) let me be home for anything F0c82cd6bbcf2807fee54a1977213311e7cfc0c2
POSTS : 13683 POINTS : 60

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

+ the one and only (04)isaac #21isaac #22isaac #23isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : eddie #3 › rory #12 › you?

(penisy #6) let me be home for anything Pennyyytinder
compte actif d'avril à juillet 2021.
RPs TERMINÉS :
(penisy #6) let me be home for anything Ezgif-com-gif-maker-7
penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


(penisy #6) let me be home for anything Wqmp
AVATAR : emma roberts.
CRÉDITS : (av. harley) › (sign. siren charms) › (crackships penisy. harley & gwennifergifs ♡) › (crackship cringer. nairobi ♡) › (tinder profile. AMGK ♡) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t34574-penny-stringer
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Message(#) Sujet: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyJeu 30 Sep 2021 - 15:56



And darling, this is more than anything I felt before
You're everything that I want, but I didn't think I'd find


Le vol est long. Bien trop long. Tu ne peux t’empêcher de penser que c’est un peu stupide, de faire presque dix-huit heures d’avion pour passer une dizaine de jours seulement à Brisbane avant de devoir refaire le chemin inverse pour retourner à Los Angeles. C’est stupide sans doute, mais tu ne regrettes pas d’avoir cette place à côté de Rory, bien trop impatiente pour ces quelques journées de congé après trois longues semaines parsemées d’entrevues, d’évènements et d’obligations dont tu avais oublié l’existence pendant cette longue pause de projets et de promotions. Tu avais besoin de cette semaine pour souffler et te redonner l’énergie nécessaire pour survivre à la suite de la tournée promotionnelle. Tu avais besoin de te ressourcer un peu et tu savais que de faire ce long voyage, aussi épuisant soit-il, était la meilleure chose que tu puisses faire. Surtout, oh surtout, tu étais impatiente de pouvoir revoir Isaac. Impatiente de pouvoir le serrer dans tes bras, impatiente de pouvoir l’embrasser à nouveau, impatiente de pouvoir sentir son parfum et de pouvoir toucher sa peau. Tu ne te souvenais pas la dernière fois que tu t’étais sentie ainsi, tu peinais même à être certaine que ça ait déjà été le cas un jour. Tout de ta relation avec Isaac avait un goût de nouveau, d’inédit. Tu te plaisais à croire que votre rencontre n’était pas qu’un simple coup de chance, persuadée qu’il était entré dans ta vie pour te faire découvrir une facette de ton existence qui t’avait jusque là complètement échappé. Tu ne saurais l’expliquer clairement tant ça te semblait complètement fou, mais plutôt que de tout remettre en question constamment, comme tu avais la mauvaise habitude de le faire, tu te laissais bercer par les vagues d’émotions qui t’habitaient quand tu pensais à lui, heureuse à la simple idée de pouvoir passer autant de temps que possible auprès de lui pendant cette dizaine de jours, les trois dernières semaines t’ayant paru horriblement longue sans sa présence.

L’atterrissage se fait en douceur, tout comme ta sortie de l’engin. L’impatience ne fait qu’augmenter avec chaque minute qui file. Chaque étape est un pas de plus vers la sortie et c’est à la récolte des bagages que ton chemin quitte celui du Craine que tu vas revoir ici-même dans une dizaine de jours, si ce n’est pas avant, ne doutant pas que la production tentera de vous placer quelques engagements en terre australienne pendant ce qui est censée être quelques journées de repos. Ce n’est pas à ça que tu penses toutefois une fois que tu as trouvé ta valise qui est presque aussi grosse que toi, celle que tu traînes de peine et de misère, en plus de ce sac dans lequel se trouve plusieurs livres et magazines de tout genre ainsi que le dernier kit anti-ennui en date qu’Isaac t’a préparé avant ton départ. Tu te fonds facilement dans la masse de gens pressés, ta nouvelle couleur de cheveux aidant sans doute à te camoufler, en plus de ce look un peu défraîchi de fille qui vient de passer la dernière journée et demie dans un avion. Dans le but de paraître aussi inaperçu que possible, tu as aussi enfilé une des vestes que tu as emprunté – sans lui demander la permission – à Isaac avant de partir et dans laquelle tu as dormi toutes les nuits, au point que cette dernière ne sent plus comme lui, mais c’est plutôt imprégné de ton parfum. Tu te fais un chemin au travers la foule de gens qui attendent encore leurs bagages, la sortie si près que tu as l’impression qu’il y a des dizaines, peut-être même des centaines de papillons qui virevoltent dans ton estomac d’excitation et d’appréhension. Une fois que tu es sortie de la dernière zone sécurisée, c’est ton regard qui papillonne sur cette foule de gens qui attendent impatiemment l’être cher. Tu cherches Isaac et un énorme sourire vient habiter tes lèvres lorsque tu le trouves enfin, un peu à part. Sans vraiment y penser, tu accélères le pas jusqu’à lui, abandonnant ta valise et ton sac à quelques mètres de lui pour mieux pouvoir lui sauter dans les bras dès que tu arrives à sa hauteur. Tes jambes viennent enlacer sa taille, tes bras s’enlacent autour de son cou et tes lèvres trouvent rapidement les siennes. « Dis-le. » que tu murmures contre ses lèvres alors que tes yeux viennent trouver les siens, un éclat de malice s’installant dans le fond de ton regard. « Dis-le encore. » Ce n’est pas précis et pourtant, tu ne doutes pas un seul instant qu’Isaac va comprendre rapidement ce à quoi tu fais référence alors que tu l’embrasses à nouveau. Tu ne lui laisses toutefois pas le temps d’être le premier à le dire quand tu viens nicher ton visage dans le creux de son cou et que tes lèvres trouvent le chemin de son oreille, contre laquelle tu souffles un léger « Je t’aime » avant de reculer ton visage pour pouvoir enfin l’observer, comme s’il avait réellement eu le temps de changer dans les trois dernières semaines. Vous n’aviez pas encore prononcé ces mots de vive-voix, les échangeant seulement sur vos écrans et l’impatience avait clairement pris le dessus sur ta raison quand c’est bien la seule chose que tu voulais entendre, que tu voulais lui dire dans l’immédiat. Tu te laisses finalement glisser jusqu’à ce que tes pieds retrouvent le sol, ne t’éloignant pourtant pas de l’infirmier dont la simple présence t’apaise, te faisant presque oublier la fatigue et tes muscles endoloris d’être restés dans la même position trop longtemps. « Tu m’as tellement manqué. »



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Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
(penisy #6) let me be home for anything FQgUS3L Présent
ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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POSTS : 28488 POINTS : 180

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
amy ∆ caitriona #2 ∆ lexie ∆ angus #2

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(compte désactivé en juillet 2021)

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(roa, juin 2020)
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(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Julian Morris
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DC : Kai Luz & Max Novak
INSCRIT LE : 08/04/2018
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyLun 11 Oct 2021 - 1:47



Absence makes the heart grow fonder, tu avais à d'innombrables reprises entendu l'adage, et si tu n'y avais précédemment jamais adhéré, jadis davantage partisan du loin des yeux, loin du cœur, depuis que tu fréquentais Penny, tu saisissais toute l'amère véracité de ces célèbres propos. La jeune femme avait cruellement manqué à ta vie lorsqu'elle s'était envolée avec un ami pour Mexico, après que vous aviez partagé votre première nuit d'amour, mais cette semaine te paraissait bien plus douce que les trois que vous aviez passées séparés alors qu'elle se trouvait à Los Angeles. Jamais tu ne t'étais plaint, respectant entièrement ses engagements professionnels et la soutenant sans limite, mais Dieu que ton quotidien était fade et lancinant sans la présence de l'australienne à tes côtés. Tu te perdais très régulièrement dans tes pensées, savourant vos précieux révolus souvenirs et songeant à en créer de sublimes nouveaux. Tu avais chéri ardemment les nouvelles technologies qui vous permettaient de rester en contact presque tous les jours en dépit du décalage horaire et de vos emplois du temps parfois surchargés. Tu t'étais noyé dans le travail pour que le temps passe plus vite, fuyant presque ta maison vide de sa présence et ton lit abandonné de sa chaleur et de son parfum. Jamais quelqu'un t'avait manqué comme Penny auparavant, et à ce simple constat, tu savais que les mots que tu lui avais formulés avec un naturel désarmant, réalisant la sémantique uniquement après les avoir envoyés par écrans interposés, ne pouvaient être plus honnêtes.

Tu avais trépigné d'impatience toute la journée, surveillé l'arrivée des vols comme un chasseur traque avidement sa proie. Ton téléphone portable menaçait de s'éteindre par son faible pourcentage de batterie tant tu avais essayé de tuer le temps sur diverses applications sur lesquelles jamais tu ne savais te concentrer réellement, toutes tes pensées orientées vers la vingtenaire. Enfin, vous allez vous retrouver. Ce ne serait que pour une dizaine de jours confirmés à Brisbane mais tu te fichais bien de ce futur assez lointain, tout ce qui comptait pour toi était que dans quelques dizaines de minutes, tu pourrais étreindre amoureusement la Stringer à l'en faire suffoquer de ton affection.

Tu t'étais stratégiquement positionné à l'arrivée des vols internationaux, vérifiant toutes les cinq minutes que tu te trouvais bien à la bonne porte. Lorsque les voyageurs affluaient par groupes, tu sentais ton cœur battre contre ta poitrine par anticipation et tes yeux scrutaient énergiquement chaque visage à la recherche de celle que tu aimais. Ce fut toutefois Penny qui te repéra en premier, et sa silhouette n'était qu'à quelques centimètres de la tienne lorsque tu t'imprégnais de sa chevelure nouvellement brune. Tu enlaçais ta petite amie, la soulevant du sol, tournoyant dans cet aéroport bondé de personnes liées par des émotions intenses. Ses jambes viennent se nouer autour de ta taille et tu inspirais profondément son parfum, ton myocarde tonnant à tout rompre de bonheur de l'avoir contre toi. Enfin, elle était de retour. Vous échangez un baiser amoureusement, le goût de ses lèvres et vos souffles se mêlant redonnant spontanément des couleurs à ta vie. L'air est de nouveau plus agréable, les jours plus lumineux, le futur plus jovial. « Dis-le. » Elle te susurre contre tes lèvres et ton sourire est immense sur ton portrait. Tu captes son éclat de malice mais c'est par un nouveau baiser et en la serrant davantage contre toi que tu lui indiques que tu l'aimes tendrement, énormément. « Dis-le encore. » Elle niche son visage contre ton cou, tu sens ta chaire frissonner sous le passage de sa bouche. « Je t’aime. » Elle te glisse à ton oreille avant de vos pupilles se lovent. « Je t’aime aussi, » tu avoues, le minois fidèle représentation de la béatitude. « Je t’aime tellement, » tu exposes avec sérieux, ricochant contre le manque que son absence a créé. Tu la reposes délicatement au sol et caresses doucement ses joues. Tu poses tes mains sur ses épaules que tu devines fatiguées par tout le trajet et les derniers jours chargés, remarquant qu'elle arbore ta veste, ce qui te fait sourire, amusé. « Elle te va bien aussi, ma veste. » Tu commentes avec fierté, évoquant les autres vêtements qu'elle porte dans l'intimité de votre quotidien. « T'es ma favorite dans tous les domaines. Dont ma voleuse favorite. C'est une autre facette d'être VIP. » Tu glisses en posant de nouveau tes lèvres contre les siennes. « Tu m’as tellement manqué. » « Toi aussi. J'ai cru qu'aujourd'hui n'arriverait jamais, » tu avoues avant de l'attirer de nouveau contre toi dans une étreinte affectueuse. Tu repères l'immense valise de la jeune femme et son sac à main puis vas les empoigner. « Tu veux aller quelque part ? Rentrer directement ? » A la maison, tu penses, ses affaires attendant sagement, une place de choix lui ayant été créée depuis des semaines dans chacune des pièces de la maison qu'elle arpente, et que tu augmentes à chaque fois que tu en as le temps. Durant son absence, tu en as profité pour lui installer un nouveau meuble dans la chambre, ainsi qu'une petite bibliothèque où elle pourra ranger ses livres, soucieux d'anéantir les quelques petites difficultés qu'elle a pu rencontrer lorsqu'elle vivait chez toi. Tu as aussi amélioré la salle de bain en l'aménageant d'un endroit où elle pourrait y poser ses cosmétiques avec plus de place et y as installé un miroir et une lumière supplémentaire, rien que pour elle. Tu as fondé quelques coins à elle, qu'elle pourra faire évoluer comme il lui sera le mieux : tu resteras à sa disposition pour faire de chez toi son chez elle comme elle le souhaitera. Tu as conscience que l'actrice dispose encore de son loft, mais tu désires vraiment qu'elle se sente chez toi comme elle est chez elle, considérant que sa personne fait de ton domicile la différence entre house et home. Tu as même fait le stock de chocolat, connaissant son penchant pour cette gourmandise. « Le voyage n'était pas trop fatiguant ? » Tu demandes avec attention. « Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour ton grand retour à Brisbane ? » Tu questionnes, malicieux, entremêlant tes doigts aux siens, comme si tu redoutais de la perdre de nouveau dans les prochaines minutes, comme si ces trois semaines avaient été bien trop sèches et qu'il te fallait compenser en la sentant contre toi même par ce subtil contact, comme si tu voulais lui répéter, par tous les moyens qui te traversaient l'esprit, dans quelle mesure tu l'aimais.



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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyMar 12 Oct 2021 - 17:48



Le moment est digne de la plus clichée des scènes d’un film à l’eau de rose, mais tu t’en fiches éperdument. Tout ce qui compte dans l’instant présent, c’est d’enfin pouvoir le serrer contre toi, d’enfin retrouver ses lèvres, d’enfin pouvoir sentir son souffle sur ta peau. Si tu as été partie plus longtemps lorsque tu étais à Monaco au moins de juin, les trois dernières semaines à Los Angeles t’ont paru bien plus longues, sans doute parce que votre relation a bien changé avant ton départ. Et elle prend encore un énorme tournant alors que tu murmures ses mots que tu n’offres que trop rarement, ceux qui pourtant sont remplis de sens chaque fois que ton regard se pose sur l’infirmier. Jamais personne n’a su te faire ressentir ce tourbillon d’émotions avant lui, jamais personne n’a su te faire tourner la tête comme il sait le faire, jamais personne n’a su te mettre complètement en confiance si rapidement, avec une telle aisance. Alors, tu le penses plus fort que tu n’as jamais pensé quoique ce soit auparavant. Tu l’aimes, c’est d’une évidence telle que de ne pas le dire serait bien plus difficile que de le susurrer aujourd’hui contre ses lèvres, dans cet aéroport bondé où le reste du monde s’efface pourtant alors que rien n’importe plus que lui à tes yeux. « Je t’aime aussi. » Ton sourire fait écho au sien alors que les mots viennent provoquer un amas de frissons dans tout ton être. « Je t’aime tellement. » Tu poses une nouvelle fois tes lèvres contre les siennes alors que tes pieds retrouvent doucement le sol, sans que tu ne cherches à te libérer de cette étreinte de laquelle tu ne saurais te passer maintenant qu’il est à nouveau juste là, à tes côtés. La douceur de ses mains sur ton visage te fait du bien et tu en oublierais presque toute la fatigue qui se fait pourtant ressentir dans tous tes membres, dont tes épaules sur lesquelles il pose ses doigts. « Elle te va bien aussi, ma veste. » Tu baisses les yeux sur cette dernière dans laquelle tu te perds complètement, mais qui a su t’apporter un certain réconfort pendant ces quelques semaines loin de ton amoureux. « Elle a perdu ton odeur. » que tu lui avoues avec une moue de gamine déçue. « T’es ma favorite dans tous les domaines. Dont ma voleuse favorite. C’est une autre facette d’être VIP. » Tu glousses légèrement alors qu’il fait allusion au fait que tu aies prise sa veste sans lui demander sa permission, chose que tu ne regrettes pas et que tu as bien l’intention de réitérer pour ton prochain voyage, avec un autre morceau de linge lui appartenant imprégner de son parfum dont tu ne saurais te lasser. « Ça, c’est mon rôle préféré. » Être VIP dans sa vie, avec tous les différents avantages que ça comporte, ceux que tu découvres au fil des semaines, qu’il invente sans doute au fur et à mesure, mais qui te font sourire comme peu de choses savent véritablement le faire. « Et toi, t’es mon préféré. Pour tout. » que tu confirmes alors que tu niches ta tête contre son torse.

« Toi aussi. J’ai cru qu’aujourd’hui n’arriverait jamais. » Tu hoches doucement la tête, le sentiment bien familier. Être loin des gens qui te sont chers n’étaient pourtant pas un concept nouveau pour toi. Tu vivais loin de ta famille depuis une dizaine d’années maintenant, tu étais une habituée des obligations professionnelles qui te faisaient voyager ici et là dans le pays à plusieurs reprises dans l’année et pourtant, chaque nouveau voyage qui t’éloignait d’Isaac était une nouvelle forme de torture, comme si jamais personne n’avait su t’être essentiel comme l’homme l’était devenu dans ton quotidien en quelques mois seulement. « J’ai l’impression de passer mon temps à partir loin de toi alors que tout ce que je veux, c’est être avec toi. » que tu lui avoues, tes doigts se liant aux siens. C’étaient d’abord des voyages pour le plaisir qui vous avaient séparés, et puis c’était ton travail qui se chargeait de le faire encore et encore pour les semaines à venir. Tu ne savais pas de quoi serait fait la prochaine année, mais une partie de toi espérait que tu ne sois emmenée à rester à Brisbane pour quelques mois, au moins, avant ton prochain déplacement important. « Tu veux aller quelque part? Rentrer directement? » « Rentrer. Je suis fatiguée. » que tu admets alors qu’il s’empare de ta valise et de ton sac. Le voyage a été long et tu n’as pas beaucoup dormi dans l’avion. Tu ne voulais qu’une chose : retrouver le confort de cette maison à Toowong, te blottir contre Isaac et oublier le reste du monde pendant une journée ou deux. « Le voyage n’était pas trop fatiguant? » À cette question, tu ne fais que lui offrir une légère grimace alors que vos pas vous guident rapidement jusqu’à l’extérieur de cet aéroport bondé, en direction du stationnement où se trouve la voiture de ton amoureux. « Je pense que tes kits anti-ennuis sont en train de perdre un peu de leur charme. » que tu admets, non pas parce que ce que Isaac y met manque d’intérêt, mais plutôt parce que tu as fait tellement d’heures d’avion dans les derniers mois que plus rien ne saurait véritablement te distraire pendant ces voyages qui semblent souvent sans fin. « Qu’est-ce qui te ferait plaisir pour ton grand retour à Brisbane? » « Toi. Juste toi. » que tu réponds avec tout autant de malice que lui. Tu n’avais besoin de rien tant qu’il était là. Mieux encore, tu ne voulais tout simplement pas avoir à le partager pour un moment. Tu voulais fermer ton téléphone, couper le monde autour de vous et rattraper le temps perdu de ces trois dernières semaines.

Isaac se charge de mettre tes valises dans le coffre de sa voiture alors que tu sors justement ton téléphone de ton sac à main pour l’ouvrir, malgré ta volonté bien présente de le laisser fermer. Tu t’étais retrouvée déconnectée du monde pendant presque une journée entière et tu connaissais assez bien ta mère pour savoir qu’elle voudrait que tu lui envoies un message pour lui indiquer que tu étais bien rentrée à Brisbane sans complication. Tu viens t’installer du côté passager de la voiture alors que tu remarques avec surprise que ta mère a tenté de t’appeler une dizaine de fois dans la dernière heure, ce qui est tout de même un peu excessif, même pour ta génitrice qui sait souvent se faire insistante sans même le réaliser. Tu n’as même pas le temps de déverrouiller ton téléphone que tu reçois un nouvel appel FaceTime de sa part, auquel tu réponds au même moment qu’Isaac vient s’installer derrière le volant. « Penelope Grace Stringer. » Uh-oh. Ce n’est jamais bon signe quand ta mère commence un appel en t’appelant par ton nom complet. « T’avais pas envie de nous dire que tu as déménagé? » What now? « J’ai pas déménagé. De quoi tu parles? » Si tu étais moins fatiguée, moins surprise aussi, peut-être aurais-tu remarquée le décor familier derrière ta mère. Mais tout ce que tu veux, c’est le regard sévère de cette dernière alors qu’en arrière-plan, tu peux entendre les différents bruits de bouche que ton frère aime faire. « Ton colocataire vient de nous dire que tu n’es pas passée à ton loft depuis des semaines. » Il y a tellement d’éléments dans cette phrase qui ne font pas de sens pour ton cerveau endormi que tu ne sais même pas par quoi commencer. « Mon coloc? T’as parlé à Yelahiah? » « On est chez toi Penny, on voulait te faire la surprise, mais apparemment que tu ne vis plus ici! » Oh. Ton regard passe rapidement de ton écran jusqu’au visage d’Isaac dont tu ne déchiffres pas l’expression avant de te concentrer à nouveau sur le portrait pixelisé de Kerrie Stringer. « On? T’es avec David? » Oui Penny, réveilles toi, tu l’as entendu il y a quelques secondes à peine. « Ton père est là aussi. » Oh dear. Toi qui voulais te couper du monde en arrivant ce soir, faut croire que l’univers en avait décidé bien autrement. « Est-ce que tu conduis avec ton téléphone dans les mains? Tu sais à quel point c’est dangereux! » « Non maman, je conduis pas. Je suis avec Isaac. » « Ooooh. » Le regard de ta mère change tout de suite alors que tu lui mentionnes ce prénom qu’elle a entendu entre les branches sans que tu ne prennes vraiment le temps de lui expliquer l’importance qu’était venu prendre l’infirmier dans ton quotidien, voulant le faire de vive-voix mais n’ayant jusqu’à maintenant pas eu l’occasion de le faire vu tous tes déplacements. « Envoie-moi l’adresse où tu vis et on te rejoint là-bas rapidement. » « Maman, c’est pas nécessaire, je vais passer au loft, je - » « Sois pas ridicule Penny, à tout de suite. » Et parce qu’elle te connaît ta mère, elle s’empresse de raccrocher alors que tu réalises peu à peu l’implication de cette conversation à laquelle Isaac vient d’assister dans un silence le plus complet. Tu réalises aussi que tu n’as même pas pris le temps de l’introduire, non pas que ta mère ne t’ait réellement donné le temps de le faire non plus. « Je suis désolée, je pensais pas qu’ils viendraient comme ça. » Ni même qu’il viendrait à les rencontrer si rapidement, dans des circonstances qui vous échappent complètement. « Tu peux me déposer au loft si tu veux, on est pas obligés de faire ça comme ça. » que tu suggères d’une petite voix, incertaine de vouloir le mettre devant le fait accompli de tes parents et ton frère qui débarque à sa maison pour dieu-seul-sait combien de temps.



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Isaac Jensen
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le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
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ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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POSTS : 28488 POINTS : 180

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
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(roa, juin 2020)
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyDim 24 Oct 2021 - 5:17



Penny est enfin de retour à Brisbane et tout ton organisme est inhibé d'un bonheur innommable. La distance est rapidement réduite entre vous, tu l'étreins telle la merveille qu'elle compose à tes yeux et il t'est difficile de consentir à la relâcher tant elle t'a manquée, tant tu désires la sentir contre toi. Tes lèvres se déposent amoureusement contre les siennes. Elle te formule, de vive voix, cet aveu que tu avais initié des jours plus tôt par téléphones interposés, ces mots exposant tout l'amour que tu vouais à son égard et que tu avais pianotés sur ton clavier puis envoyés muni d'une aisance déconcertante rimant avec l'évidence qu'elle représentait inexorablement dans ta vie. Vos sourires irradient la félicité et tu lui déclares à quel point tu l'aimes, avant que vos souffles ne se mêlent de nouveau dans une embrassade.

Tu reposes l'actrice au sol, caressent doucement son visage avant de poser tes mains sur ses épaules que tu devines nouées de fatigue. Tu remarques qu'elle arbore ta veste, ce qui te fait sourire, te rend fier. « Elle a perdu ton odeur. » Ton rictus s'élargit. « C'est un problème facile à résoudre, » tu promets avant d'ajouter un volet à son rôle de VIP de ta vie. « Ça, c’est mon rôle préféré. » Ton regard est lumineux de gaieté et tu viens poser doucement un baiser sur sa tempe, mesurant peu à peu le fait que Penny est bien de retour sur le territoire australien. « Et toi, t’es mon préféré. Pour tout. » Ton cœur vient manquer un battement, profondément touché, alors que celle qui le fait tonner une mélodie si agréable depuis des semaines vient poser sa tête contre ton buste. Tu caresses délicatement ses cheveux en lui signifiant qu'elle t'avait aussi énormément manquée. « J’ai l’impression de passer mon temps à partir loin de toi alors que tout ce que je veux, c’est être avec toi. » Tu affiches une mine désolée, partageant avec elle cette volonté que vous soyez ensemble et cette déception de devoir vous  séparer pour certaines obligations ou projets. Néanmoins, tu as conscience que les raisons pour lesquelles Penny avaient quitté l'Australie étaient toutes légitimes et très utiles, même si pendant ces séjours à l'étranger, tu avais regretté le fait de ne pas être avec elle et avais hautement apprécié la possibilité de continuer de communiquer avec l'actrice via les réseaux sociaux. « On va rattraper le temps passé loin de l'autre et faire compter le temps qu'on passe ensemble, » tu soumets, ambitieux et confiant, ton regard rivé vers l'avenir et les aventures qui vous attendaient. Tu portes sa main à laquelle elle a entremêlé vos doigts à ta bouche afin d'y déposer un baiser, puis t'intéresses à la prochaine destination qu'elle convoite. « Rentrer. Je suis fatiguée. » Tu hoches doucement la tête, compréhensif, et t'empares de ses affaires, prenant la direction de la sortie de l'aéroport. Tu la questionnes sur le déroulé du vol, à quoi elle t'explique : « Je pense que tes kits anti-ennuis sont en train de perdre un peu de leur charme. » « Tu vas pouvoir avoir du repos bien mérité. Qu’est-ce qui te ferait plaisir pour ton grand retour à Brisbane? » Tu demandes, t'éprenant de la mission d'instaurer un retour aussi agréable que possible de Penny à Brisbane suite à son séjour professionnel de l'autre côté de l'océan. « Toi. Juste toi. » Tu laisses échapper un léger rire, favorisant éhontément cette réponse, alors que vous évoluez sur le parking. « Encore une fois, nous sommes sur la même longueur d'ondes, » tu avoues avant de déverrouiller ta voiture, ouvrir la portière à ta petite amie pour qu'elle puisse s'installer sur le siège passager, et loger ses affaires dans le coffre.

Quand tu prends place derrière le volant de ta voiture, tu découvres le second prénom de ton interlocutrice. « Penelope Grace Stringer. » Tu lui adresses un regard interrogatif, soupçonnant que ce qui suivra risque de ressembler à des réprimandes. Tu démarres le moteur de ta voiture, optant pour silencieusement mordre les kilomètres qui vous séparent de Toowong pendant que Penny se justifie sur le fait qu'en effet, elle a quasiment emménagé chez toi - à ton plus grand ravissement. Tu soupçonnes que sa famille est de l'autre côté du téléphone et qu'ils ont réalisé le voyage de Torquay pour surprendre l'actrice. Tu lorgnes sur la vingtenaire quand tu l'entends prononcer ton prénom et te mords discrètement la lèvre inférieure, dans une stratégie de voiler ton amusement, en étant témoin de l'obtention par la femme de ce que manifestement, elle voulait de ta petite amie. La conversation prend fin et après quelques secondes de silence, Penny reprend la parole : « Je suis désolée, je pensais pas qu’ils viendraient comme ça. » « Tes parents et ton frère ? » Tu sollicites confirmation. « Tu peux me déposer au loft si tu veux, on est pas obligés de faire ça comme ça. » Tu hoches la tête en signe de dénégation. « Ca ne me dérange pas. C'est vraiment comme tu préfères, » tu offres carte blanche à ta compagnie. Puis tu plisses doucement les yeux, faisant l'inventaire de ce que tu avais chez toi pour potentiellement faire bonne impression auprès des proches de Penny, tout en priant qu'Azrael n'ait pas manifesté une énième révolte durant ton absence - sa spécialité depuis le départ de la Stringer. Tu ne voulais pas qu'ils te prennent pour un éventuel sauvage. « Ca fait combien de temps que tu ne les as pas vus ? » Tu demandes, intéressé, pensant par la même occasion que tu pourrais aussi présenter Penny à tes parents. Vous l'aviez déjà brièvement évoquée, mais les circonstances ne s'étaient jamais alignées pour que vous concrétisiez une quelconque rencontre. Puis, la réaction de Mrs Stringer quand elle a entendu ton prénom te revient soudainement en mémoire. « Tu as déjà parlé de moi à ta mère ? » Tu affiches un sourire tendre, avant de complimenter : « Il te va bien, ton deuxième prénom. »



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Dernière édition par Isaac Jensen le Dim 24 Oct 2021 - 17:26, édité 1 fois
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Penny Stringer
Penny Stringer
l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
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ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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POSTS : 13683 POINTS : 60

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

+ the one and only (04)isaac #21isaac #22isaac #23isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : eddie #3 › rory #12 › you?

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compte actif d'avril à juillet 2021.
RPs TERMINÉS :
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penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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AVATAR : emma roberts.
CRÉDITS : (av. harley) › (sign. siren charms) › (crackships penisy. harley & gwennifergifs ♡) › (crackship cringer. nairobi ♡) › (tinder profile. AMGK ♡) › (dessin. mapartche ♡) › (gifs signa. gwennifergifs) › (userbars. loonywaltz)
DC : autumn galloway (ft. lucy boynton)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyDim 24 Oct 2021 - 15:29



« C’est un problème facile à résoudre. »
« J’ai beaucoup mieux juste là de toute façon. »

Pour les dix prochains jours, tu n’aurais pas besoin d’une veste pour retrouver l’odeur de ton amoureux. Tu n’aurais qu’à nicher ton nez dans son cou, contre son torse. Redécouvrir avec envie chaque parcelle de son être alors que déjà, tu ne savais te contenter des quelques caresses que vous pouviez vous offrir en public. Tu ne voulais qu’une seule et unique chose : le retrouver dans l’intimité de cette maison à Toowong qui était tranquillement en train de devenir tienne. Tu voulais pouvoir t’endormir ton corps entremêlé au sien et ne pas avoir à penser pendant quelques jours qu’il te faudrait une fois de plus lui dire au revoir pour quelques semaines, avant qu’il ne vienne te rejoindre à Los Angeles.  « On va rattraper le temps passés loin de l’autre et faire compter le temps qu’on passe ensemble. » Tu hoches doucement la tête, en approbation avec ces quelques mots prononcés avec douceur. Tu voulais croire que ce ne serait pas toujours ainsi, que les choses se calmeraient éventuellement et que tu serais emmenée à passer plus de temps à Brisbane et dans les environs, mais tu n’en savais rien. Tu étais encore prise dans cet entre-deux, éternellement perdue entre ton envie de voir ta carrière prendre un nouveau tournant, ou cette ambition nouvelle de te poser et de faire autre chose. Isaac te promet du repos bien mérité tout en te demandant ce que tu voulais faire pour bien profiter de ton retour à Brisbane et tu n’avais qu’une seule réponse à lui offrir. Tu voulais profiter de lui au maximum pendant ces quelques jours qui passeraient bien trop vite, tu le savais d’avance. « Encore une fois, nous sommes sur la même longueur d’ondes. » « Ça veut dire beaucoup de temps juste tous les deux, vêtements optionnels? » Tu échappes un léger rire, dépose une dernière fois tes lèvres sur les siennes alors qu’il vient déverrouiller la voiture, t’ouvrant la portière du côté passager.

Ça ne prend que quelques minutes d’attention données à ton téléphone pour que les plans de la soirée changent complètement. Ce qui devait être une soirée tranquille de retrouvailles n’impliquant qu’Isaac et toi venait de se transformer en potentiel rencontre entre ton amoureux et ta famille, quelque chose que tu n’aurais su prévoir vu la surprise de cette visite. Ta mère insiste et elle ne te donne pas le temps de lui offrir – ou imposer – un autre choix alors que tu ne sais toujours pas où se situe Isaac face à cette possibilité. Se sent-il seulement prêt à faire face au clan Stringer? Tu lui avais peu parlé de tes parents, t’attardant plus souvent sur le lien particulier que tu partageais avec ton cadet. Isaac savait donc que David était autiste non-verbal, étant aussi d’une déficience intellectuelle importante. Mais par-dessus tout ça, il connaissait l’étendu de l’amour que tu portais pour ton petit frère, que tu étais prête à n’importe quoi pour lui et qu’il était sans l’ombre d’un doute l’une des personnes les plus importantes dans ta vie. Tu lui avais vaguement partagé les quelques intérêts de ton frère, lui parlant de son amour pour les balançoires, pour les films Disney avec des chansons et tout ce qui fait de la lumière, tout comme tu lui avais parlé de son aversion pour le bruit, d’où son port presque constant de coquilles pour camoufler les sons environnant, en plus de son besoin important de stimulation orale qui l’emmenait à souvent mâchouiller sur ce qu’on appelle un chew-toy qu’il portait en permanence autour du cou. Malgré tout, tu demeurais éternellement nerveuse de présenter ton frère, effrayée d’un quelconque jugement, bien que tu susses parfaitement que ton amoureux serait bien la dernière personne sur terre à avoir une opinion négative sur David.

« Tes parents et ton frère? » Isaac te demande une confirmation et tu fais signe que oui de la tête. Ce n’est pas comme ça que tu avais imaginé présenter l’infirmier à ta famille. Tu pensais avoir un peu plus de temps pour t’y préparer mentalement, et tu craignais que le Jensen ne se sente pas prêt, mais comme à son habitude, ton petit-ami demeure d’un calme olympien, te donnant le choix de prendre la décision avec laquelle tu es la plus confortable. « Ça ne me dérange pas. C’est vraiment comme tu préfères. » « T’es certain? » Au-delà de ta nervosité face à l’imprévu, tu voulais sincèrement que tes parents aient la chance de rencontrer Isaac. Tu voulais aussi introduire ton frère à cet homme qui avait changé ta vie sur tous les aspects dans les derniers mois. « Ils sont curieux, mais promis, ils sont pas méchants. » que tu souffles avec un léger rire nerveux alors que tu ouvres la conversation avec ta mère pour lui envoyer l’adresse d’Isaac. Tu redoutais un peu l’interrogatoire que ta mère ferait passer à Isaac une fois en face à face, mais tu savais qu’il n’y avait rien qu’Isaac pourrait dire qui lui déplairait. « Ça fait combien de temps que tu ne les as pas vu? » Tu mets quelques instants avant de te souvenir de ta dernière visite à Torquay. Ça fait longtemps, beaucoup trop longtemps. Surtout parce que tu avais l’habitude d’y aller à tous les mois, si ce n’est pas deux fois par mois, avant de reprendre tes activités professionnelles en décembre dernier. « Au mois de mai. Avant de partir pour Monaco. » Tu étais censée y aller pour un week-end après ton anniversaire, mais tu avais tardé à faire des plans concrets et ce sont tes parents qui se sont retrouvés à être absents pendant les seules journées que tu avais de libres. « On s’appelle plusieurs fois par semaine, mais ce n’est pas la même chose. » Surtout pour ton frère avec qui il est bien difficile d’avoir des interactions au travers d’un écran. « Tu as déjà parlé de moi à ta mère? » Tu tournes la tête vers ton amoureux qui affiche un air satisfait. « C’est possible. » que tu souffles, comme si tu tenais à garder le mystère alors que la réaction de ta mère parlait pourtant très fort. « J’avais l’intention de lui en dire plus en face à face, mais l’occasion ne s’est pas présentée avant aujourd’hui. » Rien de mieux pour lui parler d’Isaac que de lui présenter directement, pas vrai? « Tes parents savent pour moi? » Pour nous. Pour le sérieux de votre relation. Tu avais fait face à une Oakley qui ne savait pas il y a plusieurs mois de ça pendant une activité avec le Royaume Enchanté, et puis Phoebe avait été choqué d’apprendre pour ton existence lorsqu’elle était venue rendre visite à son frère. Tu étais curieuse de savoir à qui le Jensen s’était confié sur votre relation. « Il te va bien, ton deuxième prénom. » Tu ris doucement. « Il n’est à utiliser que si j’ai fait une bêtise, je te préviens. » que tu l’intimes avec humour dans la voix. « C’est quoi, le tien? » Vous tournez déjà sur la rue qui mène jusqu’à la maison d’Isaac, la route entre cette dernière et l’aéroport étant assez minime. Tu regardes partout sur la rue pour être certaine qu’il n’y a pas de voiture contenant ta famille qui vous attend. Vous êtes arrivés avant eux, c’est déjà ça. « On ferait sans doute mieux de rentrer avant qu’ils arrivent. J’ai besoin d’une douche. » Et d’une sieste, mais apparemment que ça, ça allait attendre à plus tard.



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ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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POSTS : 28488 POINTS : 180

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
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DC : Kai Luz & Max Novak
INSCRIT LE : 08/04/2018
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyDim 24 Oct 2021 - 18:35



Le sourire est immuable sur tes lèvres alors que vos retrouvailles se poursuivent tendrement, que vos sentiments sont proclamés entre baisers et caresses réservés. Du temps passé ensemble semble s'inscrire à votre programme des prochains jours, vos deux esprits de nouveau sur la même longueur d'ondes, et tu t'estimes très satisfait de disposer d'un planning assez léger pour les semaines qui suivent : ceci te permettra de profiter de la présence de ta petite amie au maximum, selon son emploi du temps. Vous quittez l'aéroport pour rejoindre ton véhicule garé sur le parking. « Ça veut dire beaucoup de temps juste tous les deux, vêtements optionnels? » Ton rire fait écho au sien et tu presses suavement tes lippes contre les tiennes, consentant : « Très optionnels, même. » Tu lui ouvres la portière de ta voiture et entreprends d'entreposer ses affaires dans le coffre.

Lorsque tu la rejoins en prenant place derrière le volant, tu constates que ton interlocutrice est en FaceTime. Tu soupçonnes promptement qu'elle discute avec ses proches, possiblement sa mère, qui t'amuse par son attitude assurée et sa volonté de fer à retrouver sa fille aujourd'hui. Spontanément, tu indiques à la Stringer que ça ne te dérange absolument pas de rencontrer sa famille, s'il s'agit là de son souhait. Tu suivras avec plaisir ce que ton amoureuse juge le plus opportun. « T’es certain? » Tu acquiesces. « Certain. C'est toi qui voit, je te suis. » Tu annonces avec un sourire complice, avant de prendre la main de la jeune femme de celle qui t'était libre. « Ils sont curieux, mais promis, ils sont pas méchants. » Tu lorgnes vers ton interlocutrice, redoutant un peu le niveau de curiosité, un léger rire nerveux en filant entre tes lippes. « J'en doute pas, » tu formules cependant à l'égard de l'absence de mauvaises intentions : les chiens ne font pas des chats. Tu l'interroges par la suite sur leur dernière rencontre et apprends que celle-ci remonte à sept mois. « C'est super qu'ils aient fait la route jusqu'ici pour te voir, » tu valorises. « On s’appelle plusieurs fois par semaine, mais ce n’est pas la même chose. » Tu hoches la tête, compréhensif, te réjouissant que la vingtenaire puisse passer du temps de qualité avec ses proches sous peu.

Ta voiture s'éloigne de l'aéroport pour prendre la route menant à Toowong. Curieux, tu t'intéresses à ce que l'actrice aurait pu conté à ton sujet à sa mère, qui avait l'air de ne pas être totalement étrangère à ton prénom vu sa réaction lorsque Penny l'a articulé. « C’est possible. » Un sourire fier et en coin s'insinue sur tes lippes. « J’avais l’intention de lui en dire plus en face à face, mais l’occasion ne s’est pas présentée avant aujourd’hui. » Tu opines de nouveau, comprenant parfaitement cette décision. Tu avais également préféré parler de Penny à tes proches de vive voix, plutôt que par téléphone, ce qui t'avait valu les foudres de l'une de tes sœurs. « Tes parents savent pour moi ? » Tu pinces tes lèvres, feintant de te concentrer sur le traffic. « Ils savent que je suis en couple avec une Penny. Je pensais extrapoler leurs connaissances de toi, avec toi, » tu soumets timidement, dissimulant le fait que la mèche avait surtout été vendue auprès de tes géniteurs par tes sœurs et non par toi-même. La vérité était que la distance t'éloignait émotionnellement de tes parents, aussi horrible que cela soit à reconnaître. Tu serais toujours présents pour eux et les aimais comme étais reconnaissant de ce qu'ils avaient fait pour toi, mais tu ne les impliquais pas tant dans ta vie de tous les jours. Ta relation avec ton père avait été assez autoritaire et vous peiniez à vous rejoindre sur des opinions. Tu n'avais pas le cœur à ce qu'il se permette de juger ton couple comme beaucoup d'autres aspects de ta vie, ce qui te conduisait à garder ta vie privée quasiment secrète vis-à-vis d'eux, évitant ainsi tout conflit, heurt et mensonge. Cela ne réduisait absolument pas l'essentiel que représentait Penny à tes yeux, c'était plutôt ta manière de protéger ce que vous avez. « Mais il y a beaucoup de choses que mes parents ne savent pas sur moi. » Tu justifies. Ce sujet était très large, et tu étais prêt à en discuter avec la Stringer si le cœur lui en disait lorsque les circonstances s'y prêteraient.

Tu tentes un habile changement de sujet en relevant son deuxième prénom. « Il n’est à utiliser que si j’ai fait une bêtise, je te préviens. » Tu émets un léger rire. « J'en prends bonne note, » tu prononces avec malice, faussement menaçant. « C’est quoi, le tien? » « J'ai bien peur qu'il te faudra trouver quelque chose d'autre à utiliser si jamais je fais des bêtises parce que je n'en ai pas, » tu avoues, précisant avec un haussement d'épaule : « Je crois que mes parents n'ont jamais été très inspirés avec les prénoms. Mes autres frère et sœurs n'en ont pas non plus. » Ton prochain virage vous permet d'avoir en vue ta maisonnée. Penny inspecte la chaussée à la recherche de sa famille et tu te stationnes devant ta porte d'entrée. « On ferait sans doute mieux de rentrer avant qu’ils arrivent. J’ai besoin d’une douche. » Tu hoches la tête. « Passe devant si tu veux, je vais rentrer tes affaires pendant que tu te douches. » Tu stoppes le moteur. « Je te préviens, il est fort possible qu'Azrael te fasse la fête. »



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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
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ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
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RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyLun 25 Oct 2021 - 11:23



« Très optionnels, même. »

Tu aimes tout de ce plan qui se profile sous tes yeux, excepté le fait que bien trop rapidement, le plan disparaît pour laisser place à un autre que tu n’aurais jamais pu anticiper. Ce n’est pas que tu n’es pas contente de cette visite surprise de la part de tes parents et de ton frère, au contraire. C’est seulement que cette visite n’est pas exactement comme les autres, qu’elle comporte un élément de plus, un élément que tu as toujours éviter par le passé. Celui de présenter la personne que tu fréquentes à ta famille. Tu sais bien pourtant qu’Isaac est bien plus qu’une simple fréquentation. Que tu n’as pas la moindre intention à ce qu’il ne soit que passager dans ta vie alors que tu te dessines bien plus que tu ne veux l’admettre un futur à ses côtés, sans trop savoir quelle forme ce dernier prendra. C’est sa réaction à lui qui vient te conforter dans le fait que ce n’est pas la pire des idées. Après tout, ce serait arrivé bien plus tôt que tard, non? « Certain. C’est toi qui voit, je te suis. » Tu hoches la tête et mets encore quelques secondes avant de te décider à envoyer l’adresse à ta mère. « J’en doute pas. » Tu lui offres un sourire alors que tu serres ses doigts un peu plus fort. Si tu sais pertinemment que tout va bien se passer, ne doutant ni de ta famille ni de ton amoureux, tu ne peux tout de même pas te défaire de cette nervosité qui se fait ressentir dans le fond de ton ventre. Tu décides tout de même de voir cette dernière comme un bon signe : tu veux que tout se passe à la perfection parce que tu sais qu’Isaac est dans ta vie pour y rester. Il n’est pas ce genre d’homme qu’on laisse filer une fois qu’il entre dans ta vie. C’est le genre d’homme avec qui tu as envie de faire des plans, de rêver grand. De ces rêves que tu avais presque oublié au travers des années. « C’est super qu’ils aient fait la route jusqu’ici pour venir te voir. » Tu hoches la tête, souriante. « C’est surprenant. David est pas vraiment fan des avions. » Le vol Melbourne-Brisbane n’est pas trop long, fort heureusement. C’est plutôt l’aéroport, tous les bruits et tous les gens qui s’y trouvent qui stimule un peu trop ton frère qui peine à gérer avec autant d’action dans un même endroit.

« Ils savent que je suis en couple avec une Penny. Je pensais extrapoler leurs connaissances de toi, avec toi. » « Oh. » La confidence t’arrache un léger sourire. Il semblerait que sur ce fait aussi, vous ayez été sur la même longueur d’ondes, voulant aborder le sujet de votre couple avec vos proches de vive-voix plutôt que de le faire par messages textes ou même au téléphone. « C’est un plan que tu comptais mettre en branle prochainement? » que tu lui demandes curieuse, la voix pleine de malice. Autant lui demander pendant que ça semble être le nouveau sujet du jour. Ton regard se perd sur les rues maintes et maintes fois parcourues. Tu as déjà hâte de retrouver la maison et tu espères avoir le temps ne serait-ce que de prendre une douche et de te rafraîchir légèrement avant l’arrivée de ta famille. « Mais il y a beaucoup de choses que mes parents ne savent pas sur moi. » Tu retournes la tête vers ton amoureux qui a gardé un air étrangement sérieux en prononçant ces quelques mots. « Beaucoup? » que tu répètes, légèrement incrédule. Tu peux déjà deviner quelques points sensibles que l’infirmier t’a confié dernièrement, qui demeurent peut-être des points flous dans l’esprit de ses parents. Tu as rapidement compris au cours de vos échanges que si Isaac semblait avoir une certaine facilité à s’ouvrir à toi, de la même manière que tu te sentais complètement à l’aise de lui parler de tes parts d’ombres, il demeurait de manière générale un homme plutôt mystérieux et secret et il semblerait que cet aspect de sa personnalité s’appliquait aussi avec sa famille. Tu étais bien tout l’opposé quand depuis ton plus jeune âge, tu avais toujours vu ta mère comme étant ta première confidente. Le changement de sujet ce fait sous la forme de ton deuxième prénom, prénom qui n’est que très rarement utilisé et jamais pour de bonnes raisons. « J’ai bien peur qu’il te faudra trouver quelque chose d’autre à utiliser si jamais je fais des bêtises parce que je n’en ai pas. Je crois que mes parents n’ont jamais été très inspirés avec les prénoms. Mes autres frère et sœurs n’en ont pas non plus. » « Je pense que ça veut surtout dire que tu ne peux pas faire de bêtises. » que tu répliques avec un sourire joueur sur les lèvres, ravie de la distraction alors que tu vois la maison s’approcher, sans toutefois voir quelconque trace de ta famille. « Passe devant si tu veux, je vais rentrer tes affaires pendant que tu te douches. » Tu souffles un léger merci alors que tu viens poser tes lèvres sur les siennes, prête à sortir de la voiture lorsqu’Isaac t’avertit du tempérament tannant d’Azrael depuis ton absence. « Je te préviens, il est fort possible qu’Azrael te fasse la fête. » Tu échappes un léger rire en secouant la tête. « Il m’en veut toujours d’être parti? » que tu demandes alors que tu sors rapidement de la voiture, mettant la main sur le double des clés du Jensen, t’arrêtant une seconde à peine pour dire bonjour à un Azrael qui miaule bruyamment en te voyant avant de poursuivre ton chemin jusqu’à l’étage.

Tu n’as pas vraiment le temps de t’attarder sur toutes les petites choses qui ont changé dans la maison, comme l’apparition de cette bibliothèque vide dans la chambre d’Isaac ou cette armoire soudainement vide dans la salle de bain, juste à côté d’une nouvelle lumière installée près du miroir, mais tu ne peux t’empêcher d’être touchée par tous ces ajouts qui ont été fait pour toi. En un temps record, tu sautes sous la douche et t’empresses d’enfiler une robe d’été aux motifs fleuries, voulant tout de même accueillir tes parents avec un minimum d’effort malgré le temps qui te manque pour te préparer plus longuement. Ton timing est impeccable quand tu entends la sonnette retentir au moment même que tu redescends l’escalier qui mène au rez-de-chaussée. Un coup d’œil en coin te permet d’apercevoir ton amoureux dans la cuisine alors que tu t’occupes d’aller accueillir ta famille à la porte. Tu les invites à rentrer, remarquant ton frère qui comme à son habitude reste légèrement en retrait, à la recherche d’un quelconque signe que l’endroit lui est familier bien que ce dernier ne le soit pas. Un sourire vient tout de même habiter ses lèvres lorsqu’il t’aperçoit enfin et tu le salues en langage des signes, à quoi il te répond avant de se mettre à sauter sur place dans l’entrée. Tu les invites à te suivre au salon où Isaac vous rejoint rapidement. « Maman, papa, je vous présente Isaac. Isaac, je te présente mes parents, Kerrie et Jack Stringer. » Tu fais bien formelle comme ça et ta mère s’empresse de s’approcher de ton amoureux à qui elle fait la bise alors que ton père suit derrière pour lui tendre la main. Ton attention est toutefois portée sur ton petit frère qui découvre déjà les différents coins du salon. « David, j’ai quelqu’un à te présenter. Tu peux dire bonjour à Isaac? » Il met quelques secondes avant de se retourner vers toi, et quelques secondes de plus avant de suivre ton doigt qui pointe en direction de ton petit-ami. L’interaction ne dure qu’une demi-seconde, mais quand ton frère pose ses yeux sur Isaac, tu le vois qui vient taper son front maladroitement, sa manière de dire bonjour, ce qui te fait sourire. Ta mère lui tend son iPad sur lequel elle a déjà mis un film Disney et David s’en empare et s’installe sur le divan pour regarder pour la millième fois les folles aventures de Moana. « Ça me fait vraiment plaisir de vous voir. » que tu dis en te retournant vers tes parents. « Ça faisait trop longtemps. » surenchérit rapidement ta mère alors qu’elle tourne à nouveau son attention vers Isaac. « Et puis je m’impatientais de finalement rencontrer ce fameux Isaac. Il est rare que Penny nous mentionne les personnes qu’elle fréquente. » Thanks for that, mum.



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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyMer 27 Oct 2021 - 4:18



Les plans casaniers que vous élaborez au sein de vos retrouvailles après plus semaines distancés sont rapidement mis en suspens, la famille de Penny ayant ambitionné de surprendre ta petite amie en faisant le déplacement de Torquay à Brisbane. Tu considères le geste fortement sympathique, surtout lorsque la jeune femme t'apprend qu'elle n'a pas vu ses proches en face à face depuis le mois de mai dernier. Tu apprécies le fait qu'elle puisse profiter de sa famille dès son retour, tout en lui laissant l'entière liberté de t'inclure à ces échanges ou pas. Si ton amoureuse opte pour te présenter plus tard à ses parents et son frère, tu ne t'en offusqueras absolument pas, comme tu es partant pour accueillir ce jour les trois membres de la famille à ton domicile. Tu respecteras son choix quel qu'il soit et offres une carte totalement blanche à l'actrice, qui finit par texter l'adresse de ta maisonnée à son aïeul.

Ta voiture mord les kilomètres séparant l'aéroport de Brisbane au quartier résidentiel de Toowong. Compatissant avec le tumulte de sensations psychiques et physiques que tu soupçonnes Penny ressentir en ce moment, tu profites de l'arrêt à un stop pour déposer un tendre baiser sur sa joue, tes doigts entremêlés aux siens. Tu lui confies quelques temps plus tard, au fil de votre conversation, que tes parents savent que tu fréquentes quelqu'un mais que tu préférais qu'ils en apprennent davantage sur la jeune femme en la rencontrant en chaire et en os. Le « oh » qu'émet l'australienne t'arrache un bref rire nerveux et tu mordilles doucement ta lèvre inférieure lorsqu'elle te demande : « C’est un plan que tu comptais mettre en branle prochainement? » Tu hausses doucement une épaule. « Si tu étais partante et selon tes disponibilités, oui, » tu avoues timidement. Vous aviez déjà abordé cette éventualité dans le passé, mais il te semblait que le moment ne s'était jamais vraiment présenté - et tu ne l'avais pas non plus provoqué. La vérité était que tu étais un peu nerveux à l'idée que ta petite amie rencontre tes parents et avec le recul, tu constatais que tu n'avais jamais vraiment peint un tableau très éclatant de ceux-ci, même si tu les aimais sincèrement.

Tu expliquais à la vingtenaire qu'il y avait beaucoup d'aspects de ta vie que tes géniteurs ignoraient, banalisant de la sorte le fait qu'elle n'ait été présentée officiellement à ceux-ci encore. Cela ne signifiait aucunement que tu ne prenais pas votre relation au sérieux - tout au contraire. Simplement, aussi détaché cela puisse sonner, tu valorisais plutôt le fait que Penny rencontre des personnes que tu fréquentais régulièrement plutôt que tes parents à qui il t'arrivait de ne pas parler des semaines durant. Sans compter que tu aimais vos moments à deux aussi. « Beaucoup ? » Tu l'entends s'étonner et tu acquiesces discrètement. « J'ai toujours été très secret, avec eux. » Tu avais conscience des divergences que tu entretenais avec leurs points de vue et ne désirais aucunement entrer en conflit avec eux. Puis, par nature, tu demeurais quelqu'un de très réservé, peinant énormément à te confier sur ce qui se trimait au fond de ton être. Naturellement, tu intériorisais énormément, ce qui avait su te consumer dangereusement. Ce n'était que depuis ta tentative de suicide que tu apprenais peu à peu, telle une thérapie, à communiquer davantage avec tes amis proches, ces quelques rares personnes qui avaient su te mettre en confiance. « J'aime parler avec toi. Je me suis toujours senti libre de tout pouvoir te dire. » Tu confies, sincère. Dès vos premiers échanges par téléphones interposés, cette aisance déconcertante à pouvoir discuter librement de tout avec Penny t'avait saisi. Au fil de vos rencontres et à mesure de votre relation, la jeune femme s'était imposée comme une personne en qui tu vouais une entière et infaillible confiance. Tu chérissais le fait qu'avec elle, tu t'autorisais et t'épanouissais à être qui tu étais, sans réserve ni artifice. Tu te sentais accepté de A à Z, avec tes qualités et tes défauts, considérant ton passé rythmé d'échecs et de réussite et ton futur aux ambitions timorées. Tu ne redoutais jamais la réaction de Penny, comme ses mots ne t'avaient jamais heurté. Tout au contraire, ta petite amie te surprenait régulièrement en disant ou faisant exactement ce dont tu avais besoin - et dont tu ignorais toi-même la nature avant qu'elle ne s'y applique - ce qui te faisait irrémédiablement toujours du bien. Tu ignorais ce que tu avais bien pu commettre pour mériter un tel trésor, mais une chose était certaine : tu en mesurais l'inestimable valeur et la choyais sans relâche. « Avec toi, je peux être 100% moi. » Tu conclus, reconnaissant et heureux.

Relevant le deuxième prénom de la Stringer, tu la renseignes sur le fait que ta fratrie ne possède pas de second prénom. « Je pense que ça veut surtout dire que tu ne peux pas faire de bêtises, » en déduit Penny et tu échappes un léger rire. « C'était donc ça, la stratégie de mes parents. Très très malins, » tu commentes avec humour. Tu te stationnes devant ton domicile et suggères à l'actrice de se rafraîchir après sa traversée du Pacifique pendant que tu rentres ses affaires. Tu la préviens sur le caractère possiblement bruyant de ton chat. « Il m’en veut toujours d’être parti? » « Tu nous as manquée à tous les deux, » tu présentes avec un sourire en coin.

Pendant que l'eau de la douche coule dans la salle de bain, tu as déposé la grosse valide de Penny dans la chambre et son sac à main dans la cuisine, si jamais elle avait besoin de quelque chose s'y trouvant en redescendant dans les pièces principales de la demeure. Azrael a finit par réclamer à sortir, possiblement pour effectuer une petite visite de courtoisie à Romy, ce que tu juges d'excellente initiative. Comme ça, si jamais les autres Stringer ne sont pas partisans des félins, ils n'auront pas à y être confrontés. Tu aperçois la silhouette de Penny passer devant la cuisine au même moment où la sonnette de la maison retentit. Tu entends le groupuscule évoluer vers le salon, où tu les rejoins. « Maman, papa, je vous présente Isaac. Isaac, je te présente mes parents, Kerrie et Jack Stringer. » Derechef, la prénommée Kerrie s'approche de toi pour te faire la bise, puis tu reçois une poigne solide de la part de Jack. « Ravi de vous rencontrer, » tu prononces sincèrement, sourire aux lippes. « David, j’ai quelqu’un à te présenter. Tu peux dire bonjour à Isaac? » Le frère de Penny pose ses yeux sur ta silhouette, tape son front maladroitement, et tu lui adresses un sourire amical, regrettant de ne pas savoir exactement comment réagir avec David. Kerrie sort un Ipad, David s'installe sur le canapé et tu te satisfais dans le fait qu'il semble se sentir relativement bien chez toi. « Ça me fait vraiment plaisir de vous voir, » se réjouit Penny, ce qui invoque une expression heureuse sur ton portrait. « Ça faisait trop longtemps, » estime la mère Stringer, ce qui t'arrache un léger rictus amusé. « Et puis je m’impatientais de finalement rencontrer ce fameux Isaac. Il est rare que Penny nous mentionne les personnes qu’elle fréquente. » Tu te retiens de lorgner vers ta petite amie. Fameux Isaac ? Tu faisais partie des personnes rares desquelles elle avait parlées avec ses parents ? Tes joues prennent une légère teinte rosée bien que tu tires une fierté certaine à ce privilège. « Ca me fait plaisir de vous rencontrer. Et je me sens chanceux qu'elle vous ait parlé de moi, maintenant, » tu confies. « Est-ce que je peux vous servir quelque chose à boire ? » Tu proposes poliment, prêt à filer vers la cuisine dès que des vœux de breuvages seront formulés pour servir des rafraîchissements et sortir quelques snacks et amuses bouches. « Je vous en prie, installez-vous. Faites comme chez vous, » tu convies en démontrant les sièges. « Vous êtes familiers de Brisbane ? » Tu t'intéresses.



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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
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ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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POSTS : 13683 POINTS : 60

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyMer 27 Oct 2021 - 19:43



C’est une nouvelle étape qui se place sur votre chemin alors qu’Isaac s’apprête à rencontrer tes parents et ton frère et que tu lui demandes en retour s’il avait envie que tu rencontres ses parents prochainement. Si tu as déjà rencontré ses sœurs dans des contextes moins formels, tu espères tout de même avoir la chance de les voir à nouveau, en présence de ton amoureux, surtout que tu n’es pas certaine d’avoir fait une si bonne impression auprès de Phoebe qui semblait très surprise de faire ta connaissance. Tu es rassurée de savoir qu’au moins, les parents d’Isaac sont au courant de ton existence, même s’il semblerait qu’ils ne connaissent pas grands détails à ton sujet. « Si tu étais partant et selon tes disponibilités, oui. » Ton sourire s’étire davantage sur ton visage à l’idée, bien que dans l’immédiat, tu ne peux gérer qu’avec un set de parents : les tiens. « Peut-être à notre retour de Los Angeles? » Si toi tu repartais déjà dans une dizaine de jours à peine, vous aviez déjà pris un billet d’avion pour Isaac pour qu’il puisse venir te rejoindre à la mi-novembre et assister à son premier tapis rouge, celui qui vous présenterait enfin en tant que couple aux yeux non seulement de la population australienne, mais même à un niveau global puisqu’il s’agissait d’un évènement Netflix très médiatisé. Tu essayais de ne pas y penser trop d’avance toutefois, cette simple idée te donnant le tournis. Il te fallait d’ailleurs gérer avec un premier moment créant chez toi une certaine nervosité : la rencontre entre tes parents et Isaac.

Mais quand Isaac t’apprend garder beaucoup de secrets sur sa personne vis-à-vis de ses parents, tu ne peux t’empêcher de te questionner à savoir à quel point il peut être mystérieux auprès de sa famille. « J’ai toujours été très secret, envers eux. » Tu hoches la tête, quoique curieuse de comprendre la raison qui l’a poussé à se renfermer ainsi. Tu te souvenais de quelques brins d’informations qu’Isaac t’avait partagé ici et là au sujet de sa famille, particulièrement de ses parents, de cette impression qu’il n’avait pas su être à la hauteur des espérances et des aspirations que ces derniers avaient eues pour lui. Étais-ce pour ces raisons qu’il ressentait toujours le besoin aujourd’hui de masquer certains aspects de sa personne? Tu n’osais pas vraiment lui demander en ce moment, ne jugeant pas le moment opportun pour une telle discussion. « J’aime parler avec toi. Je me suis toujours senti libre de tout pouvoir te dire. » Tu poses un regard attendri sur ton amoureux alors que tu poses une main sur sa cuisse, serrant légèrement cette dernière, touchée par ses propos. « Avec toi, je peux être 100% moi. » « Et je ne veux jamais que ça change. » que tu confirmes en hochant légèrement la tête. Tu avais appris des choses difficiles au sujet de son passé avant ton départ pour la cité des anges, mais tu t’étais assurée que cela ne vienne pas changer, ni même teinter la manière dont tu agis avec lui. Si c’était un mensonge de dire que tu ne t’inquiètes pas un peu plus de l’état psychologique de ton amoureux, tu oses croire qu’il te dirait s’il se trouvait à nouveau dans une période plus difficile et il te prouve aujourd’hui encore qu’il ne ressent aucune gêne à être complètement vrai avec toi.

Tu souffles de soulagement lorsque tu vois la maison apparaître dans ton champ de vision sans la moindre trace de ta famille, contente de disposer ne serait-ce que d’une pognée de minutes pour prendre le temps d’arriver, de prendre une douche et de te rafraîchir avant d’accueillir tes proches. Comme Isaac te l’avait dit, Azrael t’offre un accueil digne de ce nom, mais il faudra, malheureusement pour le chat roux, attendre à plus tard pour une séance de papouilles qui en vaut véritablement la peine. C’est en un temps record que tu te prépares modestement, ravie de pouvoir nettoyer ne serait-ce qu’un peu de cette sensation désagréable qui te suit lorsque tu reviens d’un long voyage en avion. L’arrivée de ta famille se passe sans anicroche et il te suffit de poser les yeux sur le visage de tes parents pour comprendre qu’ils sont vraiment contents de te voir, tout comme tu l’es tout autant d’enfin pouvoir les serrer dans tes bras après plusieurs mois à seulement pouvoir leur parler au téléphone. Tu observes attentivement ton amoureux lors de ces premiers moments échangés avec tes parents et puis ton attention se porte sur ton frère qui offre un bonjour en langage des signes à Isaac avant de se retrouver occupé par la tablette que ta mère lui tend. Ça n’en prend pas plus pour que ton frère se perde dans le monde des couleurs et des chansons du film qui défile sur l’écran et si tu as normalement l’habitude de t’installer avec lui pendant un moment, tu le délaisses pour suivre la conversation entre tes parents et ton amoureux.

Ta mère est rapide et enchaîne les commentaires qui te valent des joues rougies, mais Isaac étant le parfait gentleman qu’il est, ne semble pas faire de cas des bribes d’informations que lui offre sans gêne ta mère au sujet de tes fréquentations passées. « Ça me fait plaisir de vous rencontrer. Et je me sens chanceux que Penny vous ait parlé de moi, maintenant. Est-ce que je peux vous offrir quelque chose à boire? » Ton père s’empresse de répondre qu’il aimerait bien boire un thé, ce à quoi ta mère répond qu’elle aussi n’est pas contre l’idée et ton amoureux disparaît quelques minutes pour préparer les boissons chaudes. « Tu ne nous avais pas dit qu’il était si beau, ni que c’était si sérieux. » « Maman! » tu hisses dans un murmure, comme une gamine qui ne voudrait pas que son crush entende les mots prononcés par sa mère. « Quoi? C’est vrai! Tu reviens de plusieurs semaines outre-mer et tu ne passes même pas chez toi? Est-ce que tu as encore des choses qui t’appartiennent dans ton loft? » Tu roules des yeux devant les nombreuses exagérations de ta mère qui elle ne peut s’empêcher de rire, beaucoup trop satisfaite de ses petits commentaires, auxquels tu n’as toutefois pas le temps de répondre avant qu’Isaac ne revienne avec deux tasses d’eau bouillante qu’il tend à tes parents. « Je vous en prie, installez-vous. Faites comme chez vous. » C’est donc un à un que vous vous installez sur les différents sièges toujours disponibles du salon, et sans grande surprise, tu finis assise à côté de ton frère qui vient poser une main sur ta cuisse pour que tu lui fasses des pressions, ce que tu t’empresses de faire tout en suivant la conversation.

« Vous êtes familiers de Brisbane? » « Plus ou moins. On est venus quelques fois depuis que Penny y est installée, mais c’est normalement elle qui nous rend visite. » Ça a toujours été plus simple ainsi après tout, le déplacement d’une seule personne étant plus facile que le déplacement de trois. « Je vais faire mon possible pour venir plus souvent après la promo, promis. » « C’est quand tu veux ma chérie, et tu sais que ton ami est la bienvenue aussi. » Oh elle se croit maligne ta mère, quand elle utilise le mot ami en sachant pertinemment que tu allais la corriger. Elle ne rêve que de t’entendre confirmer ce qu’elle a déjà compris, mais que tu ne lui as pas encore dit. « Isaac est plus qu’un ami maman. » Elle trépignerait presque sur son siège, Kerrie Stringer, alors que père lui envoie un regard qui veut tout dire, mais qui n’a jamais eu le moindre effet sur ta mère. Tu tournes ton attention sur Isaac, posant sur lui un regard amoureux. « Je dirai même que c’est plutôt sérieux entre nous. » Ça y est, ta mère risque de faire une syncope, mais c’est bien la vérité vu les mots que vous vous êtes échangés à ton arrivée à l’aéroport, des mots que tu ne prononces pratiquement jamais, tes parents et ton frère ayant longtemps été les seuls à les recevoir. Ton père, toujours plus posé et discret que ta mère, t’offre un sourire. « Je suis content pour vous. » Et tu sais qu’il l’est, son regard s’attardant plus longuement sur toi avec ce petit quelque chose que seul ton père savait t’offrir sans jamais avoir à dire quoique ce soit. Ta mère elle, s’est déjà lancée dans un interrogatoire sur la vie complète d’Isaac, l’interrogeant sur son travail, sa famille, ses ambitions, tous ses sujets que vous aviez déjà abordés jusqu’à maintenant et dont les réponses ne te surprennent pas, en plus de sembler faire plaisir à ta mère qui semble elle-même avoir un léger crush sur ton amoureux.

Les heures filent ainsi, la conversation coulant de source entre ton amoureux et tes parents à ton plus grand bonheur. Tu assures à tes parents qu’ils n’ont pas besoin d’aller à l’hôtel, qu’ils peuvent rester à ton loft où tu sais qu’ils seront plus confortables, surtout maintenant que tu sais que Yelahiah n’y est plus de manière permanente comme te l’a annoncé brusquement son dernier message texte. Tes parents sont en ville. J’me pousse. J’ai laissé ma clé sous le paillasson. » Tu n’étais pas certaine de savoir s’il se poussait pour quelques jours seulement ou pour toujours, bien peu intéressée de connaître la réponse quand cette colocation aura bien été atypique du début jusqu’à la fin. Une fois la porte refermée derrière ton père, tu pousses un long soupir avant de te retourner vers ton amoureux et de passer tes bras autour de sa taille. Tu es épuisée, cette soirée surprise en plus du décalage horaire et du nombre d’heures que tu n’oses même plus compter depuis ton réveil t’ont complètement vidé. « Et puis? Ton verdict sur le clan Stringer? » que tu lui demandes avec malice, posant tes lèvres dans le creux de son cou, te blottissant un peu plus contre lui.



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Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
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ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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POSTS : 28488 POINTS : 180

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
amy ∆ caitriona #2 ∆ lexie ∆ angus #2

(penisy #6) let me be home for anything Cule
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(roa, juin 2020)
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grisy
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(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Julian Morris
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DC : Kai Luz & Max Novak
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyVen 5 Nov 2021 - 1:47



Vous vous êtes verbalisé vos premiers "je t'aime" au sein du flux et reflux des voyageurs, tu as senti ton cœur se réadapter au tambour du sien, tes poumons se sont éclos en s'enivrant de son odeur. Penny est de retour à tes côtés et tu chéris vos retrouvailles qui annoncent plusieurs moments privilégiés ensemble. Tes lèvres caressent tendrement sa peau, ses lippes se pressent délicieusement sur ta chaire, vos mains ne quittent pas le corps de l'autre et finalement vous abandonnez le théâtre des allers et des retours pour vous orienter vers le stationnement de l'aéroport où est garée ta voiture. Une fois en son habitacle, Penny reçoit un appel de sa mère. Déjà intrigué par ces personnes auprès desquelles ton amoureuse a grandi, tu lui laisses l'entière liberté d'opter si tu rencontres ses parents et son frère aujourd'hui ou éventuellement dans le futur. Un parallélisme des formes en découle et réservé, tu lui indiques que tu avais aussi songé à la présenter à tes parents. « Peut-être à notre retour de Los Angeles? » te soumet l'actrice et tu souris doucement avant de porter l'une de ses mains à ta bouche afin d'y déposer un baiser. Tu aimes tous ces plans que vous élaborez, ceux qui n'imposent aucune pression et t'insufflent irrémédiablement l'envie de découvrir ce que le futur vous réserve. Penny te donne foi en la vie dans tous ses détails, en assurant simplement qu'elle sera présente et que vous avez des événements à vivre ensemble, petits et grands. Par sa manière d'être, elle te fait croire peu à peu que la vie n'est pas qu'une prison dont il faut succomber l'issue : elle peut aussi constituer un champs regorgeant de belles opportunités. « C'est une bonne idée, » tu valides, entremêlant suavement tes doigts aux siens.

Timoré, tu expliques à Penny que tu es très secret envers tes géniteurs, contrairement au comportement que tu adoptes en sa compagnie, la vingtenaire te procurant cet inestimable et innovante confiance à te montrer entièrement tel que tu es, sans filtre ni artifice. « Et je ne veux jamais que ça change. » Un nouveau sourire s'installe sur ton portrait. La jeune femme avait naturellement prouvé être plus que capable d'entendre tes plus sombres secrets, que tu lui avais déjà révélés. Elle les avait acceptés, sans altérer le regard qu'elle te dédiait, et pour cela, tu lui en étais infiniment reconnaissant comme l'aimais toujours davantage. Elle t'inoculait de la force comme de la sérénité. Elle était celle avec qui tu te sentais bien, celle qui t'inspirais le bonheur et l'épanouissement.

Arrivés à Toowong, Penny dispose de temps pour se rafraîchir avant l'arrivée des membres de sa famille. Pendant qu'elle se douche, tu rentres ses affaires, déposant sa grosse valise dans la chambre et son sac à main dans le salon. Comme parfaitement synchronisés, ta petite amie revenait au rez-de-chaussée au même moment où la sonnette de la demeure retentit et elle accueille ses parents ainsi que son frère. Rapidement, les présentations se font et le portrait d'une famille unie et aimante se dresse immanquablement devant toi. Tu découvres fièrement le traitement de faveur que semble t'avoir dédié Penny vis-à-vis de sa mère, puis tout en t'efforçant de ne pas lorgner malicieusement vers ton amoureuse, tu questionnes Jack et Kerrie sur une éventuelle boisson qu'ils aimeraient avoir. Ils s'accordent sur un thé et tu délaisses les Stringers pour préparer le nécessaire, te plaisant à leur accorder également du temps pour eux. Lorsque tu reviens à leur hauteur, tu les invites spontanément à prendre place et faire comme chez eux, rassuré de constater que David semble aussi avoir trouvé une place qui lui plait.

Assis au salon, tu inities, intéressé, la conversation. Tu prends connaissance des quelques visites effectuées à Brisbane, bien que Penny est celle qui effectue davantage le déplacement pour retrouver ses proches. Tu souris tendrement à l'actrice que tu couves d'amour du regard alors qu'elle promet à ses parents passer davantage de temps avec eux et son cadet suite à sa promo, valorisant toute cette belle et immuable affection qu'elle leur dédie. Les Stringers t'apparaissaient comme une famille soudée, ce dont tu étais admiratif. « C’est quand tu veux ma chérie, et tu sais que ton ami est la bienvenue aussi. » Tu adresses un regard reconnaissant à Kerrie. « Isaac est plus qu’un ami maman. » Le spectacle succédant cette réplique est digne du cinéma : la mère se redresse sur son siège tandis que le regard du père est éloquent. Tu mords discrètement ta lèvre inférieure, nerveux mais ressentant une profonde fierté d'être présenté comme étant plus qu'un ami par Penny. Tu te serais satisfait d'adopter un profil bas si cela avait convenu davantage à l'australienne, mais cela te fait énormément plaisir que la nature de votre relation soit ainsi exposée, encore plus quand Penny ajoute, comme si elle lisait dans tes pensées : « Je dirai même que c’est plutôt sérieux entre nous. » Ton cœur bat en appréhension dans ta cage thoracique, stressé face aux Stringers seniors auprès desquels tu espères ne pas paraître insuffisant pour endosser un tel rôle dans la vie de Penny. « Oui, » tu glisses maladroitement, l'envie de saisir cette perche de signifier à quel point tu aimais Penny te happant. « J'aime beaucoup Penny. Je m'estime chanceux de l'avoir rencontrée. » Tu déclares avec une inébranlable franchise, à défaut d'avoir peut-être su articuler les termes les plus judicieux. Ton regard se pose sur sa silhouette ; si tu redoutais commettre un potentiel faux pas auprès de ses proches, l'amour que tu lui dédiais et qui faisait étinceler tes pupilles était pour sa part totalement assuré. « Je suis content pour vous, » te rassure Jack et tu n'as finalement pas l'opportunité de réellement angoisser sur la perception que peuvent avoir les parents de ta petite amie sur ta personne ni sur l'éventualité de ne pas être à leur hauteur que Kerrie t'assène d'une multitude de questions salvatrices car elles te distraient et t'animent aisément au sein de la conversation.

Les heures sonnent tels de simples minutes à discuter avec les Stringer que tu apprécies grandement pouvoir apprendre à connaître. Tu valorises les sujets que vous abordez tout comme ce que vous pouvez échanger, sincèrement intéressé par le vécu et le quotidien du clan auquel Penny appartient. Lorsque la nuit menace de recouvrir Brisbane de son sombre manteau, ils décident de retourner à leur hôtel et tu leur aurais presque proposé les chambres de l'étage de ta maison s'il n'avaient pas déjà refusé le loft de Penny. La porte se referme derrière le trio et tu échappes un léger rire, pêlemêle de nervosité, satisfaction et soulagement, alors que la Stringer revient vers toi, exténuée. Tu poses doucement tes lèvres sur son front, elle glisse ses bras autour de ta taille. « Et puis? Ton verdict sur le clan Stringer? » Tu sens ses lèvres se faufiler dans ton cou, y créant une multitude de savoureux frissons. « Les chiens ne font pas des chats : ils sont bons, tout comme toi. » Kerrie t'avait rapidement mis à l'aise et tu avais senti dans le regard de Jack toute la bonté qu'il pouvait contenir. David, quant à lui, t'avait apparu comme un jeune homme très doux. En somme, une famille emplie d'amour et de bienveillance. « J'ai adoré les rencontrer, » tu confies avec un franc sourire avant d'embrasser amoureusement ta petite amie. « De chouettes gens, les Stringers, » tu commentes avec malice, en acquiesçant, avant de déposer un nouveau baiser sur les lippes de ton interlocutrice. « A entendre ta mère, j'avais l'impression d'être la star de nous deux. Tu as autant parlé de moi ? » Tu questionnes, taquin, avant de glisser tes bras sous les jambes de la vingtenaire pour la prendre dans tes bras. « Cuisine, salon ou chambre ? » Tu la questionnes sur la destination qu'elle préfère. « Je vais me répéter : » tu préviens avant de baiser sa joue. « Je t'aime et tu m'as manqué. Je suis content que tu sois de retour. »



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Penny Stringer
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ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

+ the one and only (04)isaac #21isaac #22isaac #23isaac (ff)isaac (tel).
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compte actif d'avril à juillet 2021.
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AVATAR : emma roberts.
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DC : autumn galloway (ft. lucy boynton)
PSEUDO : vlastuin › marie.
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyVen 5 Nov 2021 - 12:33



Tu n’avais jamais véritablement pris le temps d’imaginer de quoi aurait l’air la scène quand tu viendrais à présenter ton amoureux à tes parents, mais si tu avais dû te créer un scénario quelconque, il ressemblerait sans aucun doute à la scène qui se joue sous tes yeux. Ta mère est fidèle à elle-même avec ses questions et ses commentaires qui cherchent une réaction quelconque, un air espiègle sur son visage alors qu’elle cherche à percer la profondeur de ta relation avec l’infirmier. Ton père lui, éternel observateur, juge de la scène, se contentant de relater l’essentiel sans jamais donner l’impression qu’il est froid ou indifférent. Et puis il y a David, qui a son rôle toujours aussi important à tes yeux, bien que la scène se déroule sans grande intervention de sa part, son attention complètement portée sur les images colorées qui défilent sous ses yeux et les chansons animées qui pulsent dans ses oreilles. Ton regard trouve celui de ton amoureux alors qu’il n’est pas bien difficile de comprendre qu’ils ont été rares par le passé, voire inexistants, les moments où tu as présenté un homme comme étant plus qu’un ami à tes parents. « Oui. » Ton cœur s’emballe à l’entente de ce simple mot, quand bien même tu connaissais parfaitement la réponse à ce qui était bien plus un énoncé qu’une question. Évidemment que les choses se voulaient de plus en plus sérieuses entre vous alors qu’une heure plus tôt à peine, tu lui murmurais ses quelques mots à l’importance capitale à tes yeux. Toi qui as si longtemps eu peur de tomber amoureuse, tu réalisais enfin que la chute n’était pas si effrayante finalement quand la bonne personne serait toujours là pour t’attraper. Et de ça, tu ne doutais aucunement. Isaac serait toujours là pour te rattraper, comme tu lui avais promis que tu serais toujours là pour l’aider à se relever, peu importe les chutes, peu importe les faiblesses. « J’aime beaucoup Penny. Je m’estime chanceux de l’avoir rencontrée. » Tu voudrais être plus près de lui dans l’immédiat, serrer sa main, poser tes lèvres sur sa joue, lui murmurer à quel point tu l’aimes toi aussi, mais tu ne peux qu’espérer que le regard que tu lui lances au travers du salon sache traduire tout ça. Pendant quelques secondes, il n’y a que lui et toi dans la pièce, mais ça ne dure pas assez longtemps quand la voix de ton père se fait entendre et que rapidement, ta mère reprend son interrogatoire et toi, tu te tournes vers ton frère qui fait ses vocalises sur les airs de Moana, sans comprendre l’importance du moment qui vient pourtant de se jouer sous son nez.

La fatigue prend le dessus au fil des heures qui passent, mais tu profites de chaque instant avec tes proches, grappillent chaque rire que tu partages avec ton frère, chaque anecdote que tes parents partagent sur leur quotidien. Tu réalises encore une fois à quel point ils te manquent et qu’être loin d’eux est sans doute le sacrifice qui te coûte le plus dans ton choix de carrière ainsi que dans ton choix de t’être établie de manière permanente à Brisbane. Une chose est certaine toutefois, tu ne te verrais pas vivre ailleurs. Tu ne te verrais pas partir de manière volontaire loin d’Isaac quand tu sais que toute sa vie est ici, ses sœurs, son travail, son cercle social et que le simple fait de le quitter des semaines durant pour tes obligations professionnelles te coûtent encore plus que tu ne le laisses paraître. Dès que la porte se referme derrière ta famille, tu retrouves le confort des bras d’Isaac, la fatigue te happant de plein fouet bien que tu désirais ardemment prolonger le moment en tête à tête avec ton amoureux. « Les chiens ne font pas des chats : ils sont bons, tout comme toi. » Ça te fait plaisir de l’entendre et tu le lui communiques en venant poser tes lèvres contre les siennes. « J’ai adoré les rencontrer. » Tu hoches la tête, resserre ton étreinte autour de sa taille. « Ça s’est vraiment bien passé. » que tu souffles, soulagée, bien que tu n’en doutais pas un seul instant. Même l’effet surprise n’a pas su déstabiliser ton petit-ami qui s’est fait aussi charmant qu’à son habitude et qui a impressionné tes parents, tu le sais avant même qu’ils ne te le confirment, bien que les connaissant, ça ne tardera pas à arriver. Le visage d’Isaac se rapproche du tien alors qu’il vient capturer tes lèvres à nouveau et tu ne peux retenir un soupir de soulagement, de le sentir juste là contre toi après ces longues semaines à seulement pouvoir lui parler au travers d’un écran. « De chouettes gens, les Stringer. » « On a une réputation à préserver après tout. » Pas le moins du monde, quand tu es bien la seule Stringer moindrement reconnue et que ta réputation a déjà bien cher payé il n’y a pas si longtemps, mais tout est dit sur un ton de plaisanterie et de malice qui te fait du bien, simplement contente d’avoir pu profiter de ta famille en plus de ton amoureux, même si ce n’est pas ainsi que tu imaginais ta première soirée de retour à Brisbane. « À entendre ta mère, j’avais l’impression d’être la star de nous deux. Tu as autant parlé de moi? » Tu te sens rougir légèrement alors que tu hausses les épaules, jouant l’innocence. « Oh tu sais, il y a longtemps que j’ai cessé d’impressionner ma mère. » que tu souffles dans un rire alors que tu plonges ton regard dans celui du Jensen. « Il est possible toutefois que ton prénom se soit retrouvé dans la grande majorité de mes conversations avec ma mère depuis juillet. » D’abord au passage, ici et là, et puis plus souvent quand elle a bien fini par réaliser que le décor derrière toi était bien plus souvent de sa maison que de ton loft.

Isaac vient glisser ses bras sous tes jambes pour te soulever, ce qui t’arrache un léger rire. « Cuisine, salon ou chambre? » Tu fais mine d’y réfléchir pendant quelques secondes. « La cuisine est un vrai bordel, mais je me dis que ça peut être le problème de futur Isy et futur Penny? » Tu te moques doucement, n’ayant pas vraiment envie de penser à ces tasses et ces assiettes qui se sont empilées dans l’évier pendant la soirée. « La chambre. Je peux monter toute seule si tu veux. » que tu suggères en riant, même si tu le connais assez bien pour savoir qu’il n’a pas la moindre intention de te lâcher. Sans hésiter, tu passes tes bras autour de son cou alors que ses lèvres viennent trouver ta joue. « Je vais me répéter : je t’aime et tu m’as manqué. Je suis content que tu sois de retour. » « Je pense que je vais jamais me tanner de les entendre, ces mots-là. » que tu souffles doucement contre ses lèvres avant de l’embrasser à nouveau, avec plus de passion et de fougue, bien déterminée de lui faire comprendre physiquement et autrement à quel point il t’a manqué pendant ces trois semaines. Isaac vous emmène jusqu’à la chambre et il te dépose doucement sur son lit et tu ne tardes pas à mettre la main sur le collet de son chandail pour l’approcher de toi avec le peu d’énergie que tu possèdes encore, retrouvant sa chaleur contre la tienne, pressant ton corps plus fort contre le sien. « Je t’aime. » que tu souffles à ton tour entre deux baisers, les mots de simples murmures contre ses lèvres. Tu l’incites à s’étendre, dos sur le matelas alors que tu viens te blottir contre lui, tes lèvres trouvant le chemin jusqu’à sa joue, jouant de ton souffle contre la peau de sa nuque. Entre deux baisers laissés sur sa chaire, tu relèves la tête légèrement. « J’ai vu qu’il y a eu quelques ajouts dans cette pièce pendant mon absence. » Comme la bibliothèque qui est encore vide, ou cette commode qui se trouve à côté de ce qui est devenu ton bord du lit.



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Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
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ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptySam 6 Nov 2021 - 18:20



La porte du domicile se referme sur la silhouette des parents et du frère cadet de Penny, concluant cette rencontre à l'improviste. Tu te complais au sein de cette surprise, qui t'a permis de rencontrer la famille de ta petite amie sur le vif tout en t'épargnant de te tracasser sur le déroulé et les conséquences au préalable de ce premier échange. Tu ne sais pas si Kerrie est une professionnelle des surprises, mais sur cette décision dont tu soupçonnes elle est à l'origine, tu lui en es reconnaissant. Une fierté amoureuse t'enlace face au rôle que t'accorde Penny, à cette présentation qu'elle a acceptée, à ces propos qu'elle tient à ton sujet vis-à-vis de ses proches. Tous ses gestes te confortent dans ton opinion que votre relation surplombe la précieuse longueur d'ondes sur laquelle vous vous retrouvez. Vous partagez bien plus à tes yeux que des points communs et visions similaires. Vous vous vouez une affection particulière, ton cœur bat un tambour novateur, dédié uniquement à la Stringer. Dès vos premiers échanges, tu savais qu'elle t'était spéciale. Tu étais épris de cette inestimable sensation de te trouver dans un rêve, tant c'était beau.

Tes mains se posent dans le dos de ta petite amie, exténuée par son séjour outre-mer, son voyage puis cette soirée de retrouvailles. Tu presses doucement tes lèvres sur son front alors qu'elle glisse ses bras autour de ta taille et tu lui confies avoir adoré rencontrer sa famille qui te semble aussi aimante que bienveillante. « Ça s’est vraiment bien passé. » Tu souris doucement, émettant un « Ouf » de soulagement. « Je passe ce test, alors, » tu commentes sur un ton léger avant de prendre tendrement possession des lèvres de ton interlocutrice pour l'embrasser. Tu souris en coin lorsque Penny rebondit sur ta conclusion sur sa famille en évoquant la réputation des Stringers à préserver, et te permets curieusement de revenir sur les propos tenus par Kerrie qui laissait penser que ta petite amie avait parlé de toi à plusieurs reprises. Penny hausse ses épaules, ses joues prenant une légère teinte rosée adorable. « Oh tu sais, il y a longtemps que j’ai cessé d’impressionner ma mère. Il est possible toutefois que ton prénom se soit retrouvé dans la grande majorité de mes conversations avec ma mère depuis juillet. » Tu hausses les sourcils, agréablement surpris. Si tu as tenu ta famille à distance de ton changement de statut social par peur du jugement, Penny est néanmoins très populaire auprès de tes amis proches : tu parles énormément d'elle à Kane et Noa, ainsi qu'à tes collègues avec qui tu es lié d'amitié. Kane, ton soutien dans ton inscription sur la plateforme de rencontres, a été notamment témoin de tes sentiments dès tes premières conversations avec Penny qui ont suivi votre match. « Il est possible que tu sois fameuse aussi auprès de mes amis... » Tu avoues avec un air malicieux, avant de hisser la jeune femme dans tes bras. Elle t'a tant manqué que tu ressens ce besoin inavouable de l'avoir au plus proche de ton être.

A la mode d'un taximan, tu la questionnes sur la destination qu'elle favorise. « La cuisine est un vrai bordel, mais je me dis que ça peut être le problème de futur Isy et futur Penny? » Tu acquiesces vigoureusement, large sourire aux lippes. « Je vote pour cette procrastination. » « La chambre. Je peux monter toute seule si tu veux. » « Mh-mh. Excellent choix, » tu commentes, sans pour autant lâcher ton emprise sur l'actrice, appréciant le contact de ses mains qui se faufilent derrière ton cou et de son souffle qui se casse sensuellement sur ta joue. Tu plonges amoureusement ton regard dans ses prunelles et te permets de radoter, ton cœur battant la chamade du bonheur de vous retrouver, de passer du temps en tête à tête : « Je vais me répéter : je t’aime et tu m’as manqué. Je suis content que tu sois de retour. » « Je pense que je vais jamais me tanner de les entendre, ces mots-là. » « Une autre excellente chose. Je ne suis pas sûr de pouvoir toujours les retenir. Déjà que je n'ai pas su les retenir quand mes doigts les ont tapés... Comme le naturel qui revient au galop. » Tu justifies tel un enfant pris en flagrant délit d'excès, avant que vos souffles ne se retrouvent dans un baiser qui remporte promptement en fougue et passion, que tu prolonges tant tu souhaiterais que jamais il ne s'achève.

Dans la chambre, tu déposes précautionneusement ta petite amie sur le matelas. Ses doigts se referment sur le col de ton chandail et armé d'un sourire en coin, tu suis docilement la direction dans laquelle Penny t'attire. Ta bouche vient de nouveau chérir la sienne, son « Je t’aime, » te fait allégrement sourire contre ses lippes, tu lui fais écho entre deux autres baisers, ta bouche se logeant suavement dans son cou, et vous vous allongez sur le lit, blottis l'un contre l'autre. Un soupir de contentement franchit la barrière de tes lèvres alors que vous êtes désormais posés et tes mains viennent doucement caresser ses cheveux puis son dos, Penny taquinant ta joue et ta nuque de ses délicieux baisers. « J’ai vu qu’il y a eu quelques ajouts dans cette pièce pendant mon absence. » Un rictus satisfait apparaît sur ton portrait. « J'ai voulu faire tout ce à quoi j'ai pensé pour que ce soit comme chez toi, ici. » Ton regard se plonge dans celui de ton interlocutrice. « Tu peux vraiment considérer cette maison comme la tienne, si tu veux, tu sais. Je serais plus que comblé que cette maison soit la tienne aussi. » Tu présentes, caressant doucement sa joue. « Et peu importe ce que tu préfères, parce que c'est vraiment comme tu veux, ça me fait plaisir de faire des modifications qui permettent de te sentir mieux ici. Tout ce que je veux, c'est que tu te sentes bien. » Tu indiques sincèrement. Tu respecteras tous ses choix et ses besoins spontanément, son bien-être représentant l'une de tes priorités, tout comme tu désirais faciliter ses passages à Toowong et les rendre aussi confortables que possible. Secrètement, tu ambitionnais aussi que Penny s'y sente si bien qu'elle opte pour y rester sur le long-terme, mais tu laissais à l'australienne le loisir de l'élucider. « C'est que des propositions, aussi. Je peux améliorer avec grand plaisir ce que j'ai fait en suivant tes instructions, » tu reconnais pouvoir facilement être à côté de la plaque, même si tu avais fait de ton mieux pour offrir de l'espace aux endroits qui te semblaient le plus judicieux à Penny. Tu presses de nouveau tes lèvres contre les siennes irrésistibles et exprimes avec admiration : « Je ne savais pas que tu maîtrisais l'Auslan. » Tu soupçonnais que la Stringer avait appris la langue des signes australienne pour communiquer plus facilement avec David et quand bien même tu assimilais aisément les raisons ayant motivée Penny à emmagasiner ce savoir, tu demeurais très admiratif de tout cet amour qu'elle déployait pour soutenir et accompagner au quotidien son jeune frère. Encore une fois, Penny te démontrait à quel point elle était dotée d'un grand cœur.



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Penny Stringer
Penny Stringer
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyDim 7 Nov 2021 - 13:17



« Ouf. » Sa réaction te fait rire. Tu n’avais pas le moindre doute quant au fait que tes parents apprécieraient Isaac, c’était une évidence même à tes yeux. Il faut dire que tes parents t’avaient toujours laissé faire tes propres choix en ce qui était attrait à tes amis et tes fréquentations et tu ne les avais que très rarement entendus porter le moindre jugement à quelqu’un faisant partie de ton entourage. Mais Isaac était une classe à part, sur tous les points et tu ne doutais pas une seule seconde qu’il allait savoir charmer tes parents, ta mère tout particulièrement, comme il t’avait charmé : en un rien de temps. Tes doigts caressent son dos alors que tu lèves la tête pour croiser son visage. « Je passe ce test, alors. » « Tu en doutais? » que tu lui demandes d’une voix mielleuse. « T’as été absolument parfait, comme toujours. » Tu savais que tu allais entendre parler de cette soirée pendant longtemps et que ta mère insisterait sans relâche pour que vous veniez passer quelques jours à Torquay, comme si vos horaires n’étaient pas assez hectiques et incompatibles sans ça. Tu ne voulais pas penser à ça toutefois, simplement soulagée que la soirée ait tiré à sa fin vu le niveau de fatigue qui t’assène et ton besoin d’enfin te retrouver seule avec ton amoureux dont la présence t’a atrocement manqué dans les dernières semaines. « Il est possible que tu sois fameuse aussi auprès de mes amis… » que laisse sous-entendre Isaac ce qui étire ton sourire davantage. « C’est vrai? » L’idée te fait rougir autant qu’elle te plaît. Tu n’avais pas encore eu la chance de rencontrer beaucoup des amis d’Isaac, tout comme lui non plus, n’avait pas eu l’occasion d’être présenté à tes amis les plus chers, bien qu’il connaisse déjà très bien l’une d’entre elle. « Faut dire que toi t’avais déjà une longueur d’avance avec Joy. » Si les choses avec l’interne n’étaient toujours pas au beau fixe, elle demeurait tout de même l’une de tes meilleures amies et tu n’avais pas baissé les bras à l’idée de réparer ce que tu avais brisé quelques mois plus tôt. « Peux-tu croire que pendant toutes ces années, on avait une amie en commun et ça aura pris Tinder pour qu’on se rencontre? Je suis certaine que Joy m’avait déjà parlé de toi et que j’ai juste pas accroché sur les détails. » Et quelle erreur. Si tu avais su qu’une telle perle se cachait si près de toi, tu aurais mieux regardé bien plus tôt, bien que tu ne regrettais rien de la manière dont votre histoire avait évolué, persuadée comme il te l’avait dit par le passé que rien n’arrive pour rien et que votre meilleur timing était maintenant.

« Je vote pour cette procrastination. » Tu hoches la tête, satisfaite de cette réponse alors que tu loves ton corps toujours un peu plus contre le sien. « Mh-mh. Excellent choix. » Tu étais tentée de proposer le salon, ne serait-ce que parce que tu crains de t’endormir trop vite en allant directement à la chambre, mais la fatigue l’emporte sur le reste et tu sais qu’ultimement, vous serez bien plus confortable là-haut que vous ne pouvez l’être dans le salon. C’est le monde qui arrête de tourner dès l’instant où ses lèvres retrouvent les tiennes, que tes doigts retrouvent la douceur de sa peau et que tu te retrouves bien incapable de le lâcher des yeux. « Une autre excellente chose. Je ne suis pas sûr de pouvoir toujours les retenir. Déjà que je n’ai pas su les retenir quand mes doigts les ont tapés… Comme le naturel qui revient au galop. » Tu échappes un léger rire alors que tu réponds avec engouement à son baiser. « T’as pas besoin de les retenir. » que tu souffles, sincère. Tu ne pensais pas les dire si rapidement et avec une telle facilité, mais la vérité se trouvait juste là sous vos yeux et tu n’avais pas envie de t’en priver alors que ça, comme tout le reste, semble être une évidence qui est impossible à nier. Vous ne tardez pas à prendre le chemin de la chambre à coucher, entre lèvres qui se cherchent et se trouvent et des mains qui se font de plus en plus baladeuses jusqu’à ce que tu ne retrouves le confort du lit et que tu invites Isaac à s’approcher de toi à nouveau, incapable de te séparer de son étreinte maintenant que tu l’as retrouvé. Le confort et la sécurité que tu éprouves à te retrouver blottit contre lui est sans égal et tu te demandes comment tu vas faire pour t’en passer encore pendant plusieurs semaines lorsqu’il te faudra repartir à Los Angeles. Tu chasses la pensée aussitôt qu’elle se fait une place dans ton esprit, déterminée à profiter du moment présent et à grappiller chaque seconde à ses côtés.

« J’ai voulu faire tout ce à quoi j’ai pensé pour que ce soit comme chez toi, ici. » Tu es touchée par l’attention, bien que tu ne puisses t’empêcher de te demander si tu avais commencé à prendre un peu trop de place dans la maison d’Isaac. Si la bibliothèque était encore vide, tu avais eu le temps de remarquer la commode ne l’était pas, les quelques vêtements que tu avais sans doute oubliés ici et là lors de tes dernières visites ayant trouvé leur place dans les tiroirs, tout comme certains de tes produits avaient trouvé place sur une étagère qui semblait désormais t’être dédiée. Mais à la manière dont il te regarde, tu comprends rapidement qu’il n’était pas agacé de tomber sur tes affaires, bien au contraire. « Tu peux vraiment considérer cette maison comme la tienne, si tu veux, tu sais. Je serais plus que comblé que cette maison soit la tienne aussi. » Tes yeux s’agrandissent légèrement alors que tu n’es pas certaine de bien comprendre ce qu’il t’annonce, ou te demande? Tu ne saurais vraiment dire dans l’immédiat, la fatigue embrumant ton cerveau bien que tu t’accroches à chaque parole qu’il t’offre. « Et peu importe ce que tu préfères, parce que c’est vraiment comme tu veux, ça me fait plaisir de faire des modifications qui permettent de te sentir mieux ici. Tout ce que je veux, c’est que tu te sentes bien. » « Tu te répètes mon amour. » que tu souffles dans un rire, avant de venir capturer ses lèvres pour toute réponse. Tes doigts viennent doucement caresser sa joue alors que tu délies vos lèvres pour mieux plonger ton regard dans le sien. « Est-ce que tu es en train de me demander de déménager ici officiellement? » Tu insistes sur le officiellement parce que la vérité c’est que lorsque tu n’es pas en déplacement quelconque, tu es toujours ici. Tu vas et viens à ta guise, qu’Isaac soit présent ou non ce qui t’a d’ailleurs valu quelques rencontres malaisantes avec ses proches. Si ton nom n’est pas encore sur la boîte aux lettres et que tu possèdes encore ton propre logis, officieusement parlant, c’est déjà comme si tu habitais dans cette maison.

« C’est que des propositions aussi. Je peux améliorer avec grand plaisir ce que j’ai fait en suivant tes instructions. » « T’as rien besoin d’améliorer. Elle est déjà parfaite, cette maison. » Ce n’est pas une bibliothèque ou une commode qui va changer le fait que tu t’y es sentie comme chez toi dès les premiers instants, même si tu es reconnaissante pour tous les efforts et toute l’attention qu’Isaac a mis sur ce projet. « Tu te sentirais vraiment prêt à ce que ça devienne notre maison? » Pas juste la maison d’Isaac dont tu possèdes un double des clés et que tu squattes en permanence. Les battements de ton cœur s’accélèrent alors que tu viens passer l’une de tes jambes au-dessus des siennes, resserrant ton étreinte contre lui sans jamais le quitter des yeux. « Tu sais, elle exagérait pas vraiment ma mère, quand elle disait que je parle jamais de mes fréquentations ou que je leur présente jamais les personnes avec qui je sors… » À l’exception même de Micah et des quelques rumeurs qui ont filé dans les médias au sujet de ta vie amoureuse, tu as toujours gardé ce pan de ta vie pour toi parce que jamais tu n’avais imaginé quelconque relation éphémère devenir quoique ce soit sur le long terme. Tu préférais papillonner ici et là sans jamais t’attacher à qui que ce soit dans un besoin éternel de préserver ta liberté. Le contraire complet de ce que tu faisais pourtant avec Isaac depuis qu’il était entré dans ta vie. « Je n’ai eu qu’une seule relation plus ou moins sérieuse, et encore, c’est rien comme toi tu as pu avoir par le passé… » Tu étais bien incapable de ne pas comparer le fait que tu n’avais jamais été avec quelqu’un de manière sérieuse et sur le long terme avec le fait que lui avait déjà demandé une autre en mariage en plus d’avoir fait des plans de fonder une famille. Tu savais que ça n’enlevait rien au sérieux de votre relation ni aux sentiments que vous aviez l’un pour l’autre, mais une partie de toi restait effrayée de penser que vous n’étiez pas vraiment au même niveau en termes d’expériences. « Je dis pas ça parce que je veux pas vivre avec toi ou parce que je veux ralentir quoique ce soit, au contraire. » Tu te redresses légèrement, bien que tu ne veuilles pas briser tous les contacts physiques entre vous. « Ça me fait seulement un peu peur parce que j’ai pas la moindre idée de ce que je fais. » que tu lui avoues en te mordillant la lèvre et en échappant un petit rire nerveux avant de revenir poser ta tête contre son torse. « Je ne savais pas que tu maîtrisais l’Auslan. » Tu mets quelques secondes à suivre le changement de conversation, un sourire plus calme se plaçant sur tes lèvres alors que tu songes à ton petit frère. « Je connais surtout la base, l’essentiel pour communiquer avec David. » Ton frère communiquait majoritairement à l’aide de sa tablette ainsi qu’avec quelques signes, bien qu’il fût souvent trop distrait pour bien se faire comprendre avec ses derniers. « J’pourrais t’apprendre, si tu veux. C’est pas très compliqué. » Et ce n’était certainement pas grand-chose, mais le simple fait qu’Isaac ait remarqué ça en plus de prendre la peine de le mentionner venait te prouver une fois de plus à quel point tu n’aurais pas pu rêver mieux que lui comme partenaire de vie.



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Isaac Jensen
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le coeur au bout des doigts
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ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
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PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyDim 7 Nov 2021 - 23:36



Le rire mélodieux de Penny retentit harmonieusement à tes oreilles alors que tu prononces un « ouf » de soulagement quant au déroulé de ta première rencontre avec les parents de l'actrice qui s'est selon elle bien déroulée. Un sourire heureux épouse tes lippes, tu la serres précieusement contre toi, concluant que tu avais passé ce test. « Tu en doutais? T’as été absolument parfait, comme toujours. » Ton sourire s'élargit, à la fois fier et intimidé des qualificatifs employés par ta petite amie auquel tu n'adhères guère personnellement. Tu déposes suavement tes lèvres sur son front, avant d'articuler doucement : « Oui, mais j'ai bien peur, bien que j'en sois très fier, que tu sois aussi un peu biaisée sur mon cas, » tu taquines. « J'suis vraiment content, si ça s'est bien passé. Je veux pas commettre d'impair vis-à-vis de tes proches. » Tu prononces avec sérieux, avant de laisser entendre que Penny endossait une certaine popularité auprès de tes amis proches - la famille que tu t'étais choisie. « C’est vrai? » Elle t'interroge et tu te mords la lèvre inférieure tout en acquiesçant, malicieux. « Bien sûr. Depuis notre rencontre sur Tinder, Kane est assiégé de tout ce que je ressens à ton égard. Mais ça n'a pas l'air de le déranger, c'est un romantique, il aime bien ces histoires-là. » Tu exposes, tes traits comme ton teint trahissant ta gêne. Dès votre première conversation via l'application de rencontres, tu t'étais enthousiasmé tel un fanboy auprès de ton ami. Bien sûr, tu ne te permettais pas de révéler des informations privées sur la Stringer à l'australien, mais tu lui avais décrit à quel point tu l'aimais, comme tu te sentais avec elle, et avais énuméré les innombrables aspects de la vingtenaire que tu admirais. « Faut dire que toi t’avais déjà une longueur d’avance avec Joy. » Tu hoches la tête. « La première fois que je lui ai parlé de toi, c'était lors de la soirée de mon anniversaire. Elle m'a dit que j'avais le même sourire débile que son amie avait quand elle parlait du mec avec qui elle avait matché. » Tu relates avec amusement. « Je lui ai dit à ce moment-là que tu me rendais vraiment heureux. » Tu ressasses avec tendresse, ton regard portant une tristesse compatissante que les deux amies soient désormais en froid. Tu espérais sincèrement qu'elles puissent renouer. « Vous n'allez pas rester en froid indéfiniment. Je suis sûr que ça s'arrangera entre vous, » tu oses, confiant. Les deux femmes avaient selon toi trop partagé pour qu'un trait soit si drastiquement tiré sur leur relation. « Peux-tu croire que pendant toutes ces années, on avait une amie en commun et ça aura pris Tinder pour qu’on se rencontre? Je suis certaine que Joy m’avait déjà parlé de toi et que j’ai juste pas accroché sur les détails. » Tu émets un bref rire, avant de juger : « C'est dingue. » Tu marques une pause, songeur. « Parfois j'y pense et je regrette un peu, parce que j'aurais aimé te rencontrer plus tôt, pour avoir eu encore plus de temps avec toi, » tu avoues, rictus à la commissure de ta bouche. « Mais en y réfléchissant, je me dis aussi que c'est mieux comme ça. Je préfère que tu me connaisses sous ce jour-là que sous une ancienne version de moi-même. Je me dis que comme ça, tu as la meilleure version à date, » tu confies, timoré, en paix avec ce temps perdu, certain que vous étiez simplement dus pour vous rencontrer à ces étapes précises de vos vies, en succession des épreuves que vous avez vécues précédemment respectivement.

Avide de proximité avec la femme que tu aimes, tu la prends dans tes bras dans une étreinte. Vous optez pour délaisser la vaisselle reposant dans la cuisine et quitte à radoter, tu déclares à Penny à quel point tu l'aimes et elle t'a manquée. « T’as pas besoin de les retenir, » elle te souffle après un baiser fougueux et tu embrasses suavement sa joue et son cou avant de glisser avec malice : « Merci de ta bienveillance. » Tes lèvres se faufilent près de son oreille, au creux de laquelle tu susurres : « Je t'aime. » Tu prends ensuite la direction de la chambre à coucher puis déposes précautionneusement Penny sur le matelas. Vous vous installez dans votre lit confortablement, lovés l'un contre l'autre, le temps à rattraper, l'amour à partager.

Ton souffle se mêle sensuellement au sien, ta bouche crée de complices sillons sur sa peau douce. Tu te délectes de sa chaleur, t'enivres de son odeur, t'enthousiasmes tout entier de sa présence qui t'a tant manqué ces jours durant. Tes mains choyant son dos, tu l'entends te présenter son constat quant aux quelques ajouts que tu avais appliqués au domicile. Tu lui confies ta volonté de faire cette maison sienne, qu'elle se sente à l'aise au sein de cette demeure où tu considères qu'elle y détient intégralement sa place. « Tu te répètes mon amour, » elle accuse dans un rire et tu souris largement, prolongeant le baiser qu'elle t'offre. « Je mets ta bienveillance à l'épreuve, » tu justifies alors que ses doigts dansent sur ta joue, que vos âmes par le miroir de vos regards se retrouvent. « Est-ce que tu es en train de me demander de déménager ici officiellement? » Tu souris en coin, l'examines quelques secondes du regard. « Je te l'offre, » tu n'exhibais pas l'audace - malgré qu'elle ait un rôle important dans votre couple - de lui demander d'effectuer un tel changement dans son quotidien, quand bien même tu adorerais qu'elle emménage officiellement à Toowong. « J'aimerais beaucoup que tu t'installes ici. Mais c'est comme tu préfères. » Tu dégages doucement une mèche des cheveux de Penny, caresses le dos de sa main de tes doigts.

A défaut qu'elle opte pour un changement officiel de domicile, tu indiques toutefois être à sa disposition pour apporter toutes modifications qui faciliteraient son temps dans la propriété. « T’as rien besoin d’améliorer. Elle est déjà parfaite, cette maison. » Tu lui souris, la couves du regard. « Tu te sentirais vraiment prêt à ce que ça devienne notre maison? » Tu hausses les sourcils, pas tout à fait sûr de mesurer toute l'importance que Penny dédiait à ce potentiel changement de résidence. Certes, cette maison représentait l'une de tes plus grandes possessions, mais Penny la transformait inexorablement en véritable et chaleureux foyer. Pour toi, il t'apparaissait comme une évidence doublée d'une bénédiction qu'elle s'y installe. Tu serais comblé qu'elle élise domicile sous ce toit. Néanmoins, tu assimiles que cela représente une grande étape, un choix signifiant qui se répercuterait sur son quotidien - et lui retirait peut-être aussi un point de chute ? La jeune femme appuie l'une de ses jambes au-dessus des tiennes, tu poses ta paume sur celle-ci comme pour consolider votre étreinte. « Oui, vraiment, » tu confirmes sur un ton assuré. « Ca sonne très bien à mes oreilles. » Tu ajoutes, malicieux. « Tu sais, elle exagérait pas vraiment ma mère, quand elle disait que je parle jamais de mes fréquentations ou que je leur présente jamais les personnes avec qui je sors… » Tu observes silencieusement Penny, attentif. « Je n’ai eu qu’une seule relation plus ou moins sérieuse, et encore, c’est rien comme toi tu as pu avoir par le passé… Je dis pas ça parce que je veux pas vivre avec toi ou parce que je veux ralentir quoique ce soit, au contraire. » Ton sourire en coin réapparaît, ta petite amie se redresse sur le lit, tu la suis du regard. « Ça me fait seulement un peu peur parce que j’ai pas la moindre idée de ce que je fais. » Elle émet un léger rire nerveux avant que sa têt ne repose sur ton torse. Tu viens doucement caresser ses cheveux, tout en exprimant : « Tu sais, je pense qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise réponse à notre histoire ni aux décisions qu'on peut faire et qui nous concerne. On a un cheminement et je pense qu'on peut le suivre comme ça nous semble le mieux. On n'est pas obligé de faire des lignes droites : on peut faire des pas en arrière et des pas de côté. On peut faire tout ce qui nous semble le mieux. Mais l'important, c'est qu'on fasse ce qui nous semble le mieux pour nous, pour qu'on soit bien individuellement et à deux. En somme, je crois qu'il n'y a pas de mode d'emploi : l'important est de faire ce qui nous va, même si c'est pas toujours facile à définir, ce qui nous va. » Tu laisses filer quelques secondes. « Y'a pas de pression à avoir, on y va à notre rythme. On peut décider quelque chose et revenir sur notre décision après, ou changer d'avis, ou attendre un peu. Moi, tout me va, surtout si ça veut dire que tu es au moins un peu dans ma vie. » Et encore mieux si tu es beaucoup dans ma vie. Tu glisses avec malice. « On ne sait pas de quoi demain est fait ni les conséquences de nos choix. Mais si je peux te donner un conseil, ce serait juste de suivre ton ressenti. Puis il paraît que les folies sont les seules choses qu'on ne regrette pas ? » Tu rappelles, reprenant des propos que vous aviez échangés par téléphones interposés des semaines plus tôt. « C'est vraiment une offre que je te fais et elle n'a pas de durée d'expiration. Tu as ma clef quoi qu'il en soit, tu es toujours la bienvenue ici, je t'aime toujours autant peu importe ce qui te semble le plus juste pour toi. » Tu grimaces doucement, rectifiant : « Non, en fait, je t'aimerais pas toujours autant. J't'aimerais encore plus. J't'aime toujours un peu plus. » Tu poses tes mains sur son dos dans une étreinte. « Je n'ai pas la moindre idée de ce que je fais non plus, j'écoute juste mon cœur et mes trippes. » Tu reprends tes caresses dans son dos. « Je veux juste que tu sois bien, et je te promets d'être à tes côtés pour que tu t'épanouisses. » Tu t'étais engagé, lors de son anniversaire, de l'épauler dans toutes ses décisions qui ambitionneraient son bien-être, d'être un inébranlable soutien dans cette voie. Aujourd'hui ne dérogeait assurément pas à cette promesse, même si cela impliquait directement la teneur de votre relation. Penny t'étais précieuse, tu ne désirais que son bonheur sincère. « Mine de rien, tu pourrais mettre ton loft en location, et tu passes déjà pas mal de temps ici. » Tu argumentes espièglement toutefois.

Tu reviens ensuite, admiratif, sur la communication de Penny en Auslan avec son frère. « Je connais surtout la base, l’essentiel pour communiquer avec David. J’pourrais t’apprendre, si tu veux. C’est pas très compliqué. » L'appréciation emprunte tes traits. « Je veux bien, » tu réponds spontanément. « J'en connais quelques uns, mais ce sont des signes que j'ai appris avec les patients dans le cadre de leurs prises en charge à l'hôpital. Je trouvais ça essentiel de pouvoir au minimum communiquer plus facilement sur leurs besoins et ce qui se passait. » Tu mesurais à quel point un séjour hospitalier pouvait susciter de la peur et du stress, encore plus lorsqu'on ne pouvait pas spontanément échanger avec les personnes nous prenant en charge. Tu avais conscience que tu ne faisais pas grand-chose avec tes quelques signes acquis à la volée et la volonté d'être capable de bien plus t'habitait ; tu lisais toutefois le soulagement et la reconnaissance chez quelques patients qui appréciaient cet effort opéré pour abaisser au moins un peu ces barrières du langage qui vous séparaient. « Est-ce qu'il y a d'autres moyens que vous utilisez pour communiquer ? » Tu questionnes, sincèrement intéressé par cette relation fraternelle qui t'avait apparue chérie par les deux partis.



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Penny Stringer
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l’ère de l'apaisement
l’ère de l'apaisement
(penisy #6) let me be home for anything Hu5cwsy Présent
ÂGE : trente-et-un ans (03.08.1992)
SURNOM : Penny étant déjà le surnom de Penelope, difficile de faire bien plus court.
STATUT : deux ans qu'il lui fait vivre la plus folle et la plus belle des histoires, Isaac est tout pour elle et plus encore.
MÉTIER : actrice et bénévole dans plusieurs organismes.
LOGEMENT : la maison à Toowong commence à se faire petite entre Jude, Maia et l'arrivée imminente des jumeaux.
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POSTS : 13683 POINTS : 60

TW IN RP : mentions d'agression sexuelle, neurodiversité, parentalité, mentions d'abandon d'enfant.
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : elle a un jeune frère autiste qu'elle aime plus que tout et surprotège › fière belle-maman de Jude (13.09.2018) et maman de Maia (14.06.2022) et les jumeaux Jack et Mila (01.08.2023) › bénévole auprès des enfants malades depuis 2020 › être devant la caméra lui manque, mais elle sait son temps auprès des siens plus précieux que jamais.
CODE COULEUR : Penny crée des malaises en mediumorchid ou en teal.
RPs EN COURS : (03)flora #2micah #4scarlett.

+ the one and only (04)isaac #21isaac #22isaac #23isaac (ff)isaac (tel).
RPs EN ATTENTE : eddie #3 › rory #12 › you?

(penisy #6) let me be home for anything Pennyyytinder
compte actif d'avril à juillet 2021.
RPs TERMINÉS :
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penisycause baby, the best part of me is you.
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cf. fiche de liens (chronologie des sujets tenue à jour.)


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DC : autumn galloway (ft. lucy boynton)
PSEUDO : vlastuin › marie.
Femme (elle)
INSCRIT LE : 27/10/2020
https://www.30yearsstillyoung.com/t34526-when-the-party-s-over-penny
https://www.30yearsstillyoung.com/t40283-penny-never-let-me-down-just-lead-me-home
https://www.30yearsstillyoung.com/t34574-penny-stringer
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Message(#) Sujet: Re: (penisy #6) let me be home for anything (penisy #6) let me be home for anything EmptyLun 8 Nov 2021 - 14:16



« Oui, mais j’ai bien peur, bien que j’en sois très fier, que tu sois aussi un peu biaisée sur mon cas. » Tu secoues la tête vigoureusement. « Pas le moins du monde. » que tu répètes avec assurance, même si ce n’est pas tout à fait vrai. Bien sûr que tu es biaisée, tes sentiments le rendant encore plus merveilleux à tes yeux, bien que tu demeures persuadée que les personnes dotées d’une telle douceur comme Isaac sont rares et précieuses et qu’il n’est pas difficile d’estimer leur valeur. « J’suis vraiment content, si ça s’est bien passé. J’veux pas commettre d’impair vis-à-vis de tes proches. » « Y’a pas de si, j’te promets que mes parents t’ont adoré et David aussi. » C’est le genre de chose qui est bien difficile à cerner, l’attention qu’accorde ton frère aux étrangers de manière générale n’aidant pas à indiquer une quelconque appréciation, mais toi, tu sais. Dans la manière que ton frère s’est rapidement mis à l’aise dans un endroit nouveau, une maison qui n’était pas sienne mais qu’il a pu découvrir à son rythme et selon ses envies au cours de la soirée sans jamais être arrêter ou juger. Ce sont des petites choses qui font toute la différence pour lui, et le genre de choses qui font que toi, tu ne peux que tomber un peu plus amoureuse de cet homme devant toi, avec sa sincérité touchante et ses insécurités que tu tentes de chasser du revers de la main. « Bien sûr. Depuis notre rencontre sur Tinder, Kane est assiégé de tout ce que je ressens à ton égard. Mais ça n’a pas l’air de le déranger, c’est un romantique, il aime bien ces histoires-là. » « C’est vrai qu’elle est plutôt belle, notre histoire. » que tu souffles contre ses lèvres, amusée. Si tu savais qu’il existait de belles histoires d’amour issues de Tinder, ces dernières se faisaient bien plus rares comparativement aux nombreux coups d’un soir normalement recherché sur ce genre d’applications. Tu n’avais aucune attente et pourtant, tu avais trouvé le gros lot. Moins d’une chance sur un million. Une chance que tu chérissais avec tout ton être.

« La première fois que je lui ai parlé de toi, c’était lors de ma soirée d’anniversaire. Elle m’a dit que j’avais le même sourire débile que son amie avait quand elle parlait du mec avec qui elle avait matché. » Un air surpris et légèrement choqué se place sur ton visage alors que tu apprends tout juste que Joy avait parlé de toi avec Isaac, même après votre dispute. « La fourbe, elle était pas censée te dire ça. » que tu souffles dans un rire, bien que tu ne regrettais pas d’apprendre ces petits détails sur vos débuts que toi-même tu ne connaissais pas. « Je lui ai dit à ce moment-là que tu me rendais vraiment heureux. » Tu approches à nouveau ton visage du sien pour l’embrasser lorsque tu réalises un détail. « Attends. Tu lui as dit ça à ton anniversaire? Au début du mois de mai? On avait à peine eu quelques dates à ce moment-là. » C’était avant que tu partes un mois pour Monaco avec Chloe, avant votre premier baiser, votre première fois et toutes celles qui ont suivi ensuite. Avant que cette chimie qui s’était développée par messages textes ne prennent une forme réelle, physique. Et il disait dès lors, avant même de savoir quelle tournure votre relation prendrait, que tu le rendais heureux? « Chaque fois que j’me dis que c’est impossible d’être plus charmée par toi que je ne le suis déjà, tu finis toujours par me surprendre, Isaac Jensen. » Tu secoues légèrement la tête alors qu’un léger rire file de tes lèvres, le regard que tu poses sur lui plus amoureux que jamais. « Vous n’allez pas rester en froid indéfiniment. Je suis sûr que ça s’arrangera entre vous. » À ça, tu ne fais que hausser légèrement les épaules. Elle évitait toujours tes appels et tes messages textes et quand tu avais été la voir à l’hôpital, elle n’avait pas été très enclin à vouloir ouvrir la porte vers de potentielles réconciliations, te faisant ainsi comprendre qu’elle t’en voulait encore. Tu ne voulais toutefois pas te laisser abattre par ça, pas ce soir alors que tu retrouvais Isaac et que tu voulais lui dédier ton entière attention. « C’est dingue. Parfois j’y pense et je regrette un peu, parce que j’aurais aimé te rencontrer plus tôt, pour avoir eu encore plus de temps avec toi. » Tu hoches la tête en accord avec ses paroles. « Mais en y réfléchissant, je me dis aussi que c’est mieux comme ça. Je préfère que tu me connaisses sous ce jour-là que sous une ancienne version de moi-même. Je me dis que comme ça, tu as la meilleure version à date. » Un sourire étire tes lèvres et tu viens les poser tendrement contre sa joue. « J’peux pas changer le passé, mais j’ai pas envie de connaître un futur sans toi. » Et ça, c’est une réalisation qui te fait peur dès l’instant où tu la mentionnes, bien que teintée d’une sincérité que tu ne saurais camoufler. Tu ne voulais pas d’un futur sans Isaac, c’était un fait, mais c’était terriblement effrayant de réaliser une fois de plus l’ampleur de tes sentiments pour lui en si peu de temps, toi qui avais sans cesse juré que tu ne serais jamais une de ces filles-là, à se perdre corps et âme dans une relation à peine naissante. C’est que tu ne savais pas encore à quel point ça peut être merveilleux, de se perdre dans le jeu.

« Merci de ta bienveillance. » Tu pouffes de rire alors que tu sens les lèvres d’Isaac glisser jusqu’à ton oreille, ce qui te provoque d’énormes frissons. « Je t’aime. » Doigts liés dans son cou, corps pressé contre le sien, tu le laisses te guider jusqu’à la chambre et tu laisses enfin ton corps dire tout ce qu’il n’a pas pu lui dire pendant ces longues semaines où vous étiez séparés. Les mains qui se perdent sur le corps, à la recherche de toujours un peu plus de contact, le souffle qui se coupe contre les lèvres de l’autre et une fièvre qui ne manquerait pas d’augmenter, si la fatigue ne se faisait pas autant ressentir, tournant le moment rapidement en quelque chose de plus doux et de plus serein, où tu retrouves ta place contre lui, l’endroit où tu te sens le mieux, le plus en sécurité dans ce moment, ses bras qui t’entourent et qui te gardent près de lui, where you belong. Quand tu abordes les quelques nouveautés dans la maison, tu sens la conversation dérivée sur une autre chose pour laquelle tu ne t’étais pas préparée ce soir, comme si ce retour se voulait bien plus surprenant que tout ce que tu aurais pu imaginer. « Je mets ta bienveillance à l’épreuve. » Ce n’est pas vraiment ce qui t’intéresse toutefois quand tu lui demandes finalement de te confirmer ou non ce que tu crois avoir compris des paroles de ton amoureux. Il te regarde pendant quelques secondes en silence, secondes pendant lesquelles tu as l’impression que ton cœur va littéralement exploser dans ta poitrine. « Je te l’offre. » Tes yeux s’agrandissent, alors que même si tu avais deviné, tu as l’impression d’être prise par surprise par le tournant de cette conversation. « J’aimerais beaucoup que tu t’installes ici. Mais c’est comme tu préfères. » Ce n’est pas tant une demande tant qu’une proposition, bien que la ligne soit mince et le résultat final le même : le choix de réellement vivre ici ou non. Que cette maison soit ton chez toi pour de vrai, que tu ne prétendes plus être surprise et choquée quand on te demande si tu as déménagé parce que tu ne passes plus de temps dans ton loft, préférant de loin retrouver le confort des bras d’Isaac dans ce lit qui, quelque part, est déjà devenu tien.

Comme si tu n’avais toujours pas compris, tu reformules la question, lui demandant s’il se sentait véritablement prêt pour une telle étape qui te semble soudainement bien plus grande qu’elle ne l’est réellement, quand officieusement, tu passes déjà tout ton temps ici lorsque tu te trouves à Brisbane. Il y a toutefois quelque chose de si sérieux à l’idée de vivre officiellement avec quelqu’un, une étape que tu n’as jamais franchie avec qui que ce soit par le passé, que tu vois tes anciennes habitudes reprendre un peu le dessus, ne serait-ce que le temps que tu assimiles tout ce qui se passe dans ton état de fatigue avancé. « Oui, vraiment. » Le fait que lui ne semble avoir aucune hésitation te rassure presque autant que cela accentue légèrement la panique qui monte d’un cran. « Ça sonne très bien à tes oreilles. » « Ça fait longtemps que tu y penses? » que tu lui demandes. Ça ne peut certainement pas faire si longtemps quand tu réalises que vous êtes officiellement ensemble depuis moins de quatre mois, bien que tu aies l’impression que ça fasse bien plus longtemps tant il a pris une place importante et imposante dans ton univers. Est-ce que ça s’était présentée à lui comme une évidence, de la même manière que tu ne t’étais jamais véritablement posé la question à savoir si tu passais trop de nuits ici chaque fois que tu étais de passage à Brisbane? Tu échappes un long soupir avant de lui confier tes doutes et tes peurs entourant cette étape, blâmant ton manque d’expérience pour ton choc initial. Ses doigts se perdent dans tes cheveux et tu t’efforces de calmer les battements de ton cœur qui continuent de cogner trop fort à ton goût. « Tu sais, je pense qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse à notre histoire ni aux décisions qu’on peut faire et qui nous concerne. On a un cheminement et je pense qu’on peut le suivre comme ça nous semble le mieux. On n’est pas obligé de faire des lignes droites : on peut faire des pas en arrière et des pas de côté. On peut faire tout ce qui nous semble le mieux. Mais l’importante, c’est qu’on fasse ce qui nous semble le mieux pour nous, pour qu’on soit bien individuellement et à deux. En somme, je crois qu’il n’y a pas de mode d’emploi : l’important est de faire ce qui nous va, même si c’est pas toujours facile à définir, ce qui nous va. » Tu lèves légèrement la tête, pour croiser son regard. « Y’a pas de pression à avoir, on y va à notre rythme. On peut décider quelque chose et revenir sur notre décision après, ou changer d’avis, ou attendre un peu. Moi, tout me va, surtout si ça veut dire que tu es au moins un peu dans ma vie. » « Un peu? » que tu souffles avec un rire, alors que tu étais au moins certaine d’une chose : tu ne voulais pas qu’être un peu dans sa vie, tout comme tu ne saurais pas te contenter d’un peu de lui dans la tienne. Tu voulais tout de lui et tu savais bien au fond de toi que lui aussi, voulait tout de toi. Alors pourquoi est-ce que tu étais si nerveuse soudainement?

« On ne sait pas de quoi demain est fait ni les conséquences de nos choix. Mais si je peux te donner un conseil, ce serait juste de suivre ton ressenti. Puis il paraît que les folies sont les seules choses qu’on ne regrette pas? » « Oh Oscar, il a toujours le bon mot celui-là. » que tu souffles amusée, éternellement étonnée du pouvoir qu’Isaac pouvait avoir sur toi, te faisant vivre toute une gamme d’émotions en si peu de temps. « C’est vraiment une offre que je te fais et elle n’a pas de durée d’expiration. Tu as ma clef quoi qu’il en soit, tu es toujours la bienvenue ici, je t’aime toujours autant peu importe ce qui te semble le plus juste pour toi. Non, en fait, je t’aimerais pas toujours autant. J’t’aimerais encore plus. J’t’aime toujours un peu plus. » « Isy. » que tu souffles, émue par tous ses mots et ses sentiments qu’il n’hésite jamais à te partager. Jamais auparavant on ne t’avait aimé d’une telle façon, tout comme tu étais persuadée que jamais tu n’avais aimé qui que ce soit de la manière dont tu aimes Isaac. « Je n’ai pas la moindre idée de ce que je fais non plus, j’écoute juste mon cœur et mes trippes. Je veux juste que tu sois bien, et je te promets d’être à tes côtés pour que tu t’épanouisses. » Pour tout réponse, ce sont tes lèvres qui retrouvent les siennes, ton baiser éloquent là où les mots semblent continuellement te manquer. « Mon cœur et mes trippes me disent que je devrais pas me poser autant de questions quand je sais parfaitement qu’il n’y a rien que j’aime plus que de m’endormir avec toi et commencer mes journées à tes côtés. » Ils sont bien là, les seuls faits qui l’emportent réellement au milieu de tout ça. Tu n’as pas envie d’être ailleurs qu’ici lorsque tu es en ville et juste ça, ça devrait te suffire pour faire pencher la balance vers une réponse qui se veut plus qu’évidente. « Mine de rien, tu pourrais mettre ton loft en location, et tu passes déjà pas mal de temps ici. » « C’est vrai… » que tu souffles, tes doigts dansant continuellement sur le torse de ton amoureux. « Ou alors j’pourrais carrément le mettre à vendre. Yelahiah s’en va et j’y suis jamais de toute façon. » Et juste là, comme ça, c’est l’éclat dans tes yeux qui répond à son offre, c’est ton corps qui se presse un peu plus contre le sien pour lui rappeler encore et encore que tu ne veux être nulle part ailleurs que juste ici.

« Je veux bien. J’en connais quelques-uns, mais ce sont des signes que j’ai appris avec les patients dans le cadre de leurs prises en charge à l’hôpital. Je trouvais ça essentiel de pouvoir au minimum communiquer plus facilement sur leurs besoins et ce qui se passait. » Tu secoues la tête, sans cesse ébahie du cœur qu’Isaac mettait à son travail d’infirmier aux urgences. Tu ne doutais pas un seul instant que ce n’était pas tout le monde qui avait à cœur de s’enquérir d’une telle base qui va au-delà de ses fonctions ne serait-ce que pour rendre confortable certains de ses patients. « Est-ce que je t’ai dit récemment que t’es vraiment le plus bel humain que j’ai jamais eu la chance de rencontrer? » Tes doigts viennent de nouveau caresser sa joue alors que tes lèvres trouvent doucement les siennes, continuellement attirées par ces dernières. « Est-ce qu’il y a d’autres moyens que vous utilisez pour communiquer? » Isaac s’intéresse un peu plus à ton frère, ce qui te fait vraiment plaisir. Tu devines qu’il souhaite sans doute pouvoir augmenter ses propres moyens de communiquer avec lui, la prochaine fois qu’il aura l’occasion de le voir, ce qui arrivera plus tôt que tard tu l’espères. « Il comprend assez bien quand on lui parle verbalement, et il est capable de répondre ou de faire quelques demandes courtes et simples à l’aide d’une application sur son iPad qui lui sert en quelque sorte de voix. » tu expliques avec intérêt, ce sujet te tenant particulièrement à cœur. « Mais il s’est toujours contenté de l’essentiel. Demander à manger, à boire, d’aller dans ses endroits préférés, qu’on lui mette ses films préférés et des choses du genre. » La vie que ton frère mène peut sembler simple dit de cette façon, mais tu as toujours préféré te concentrer sur le fait qu’il est heureux. Elles sont loin derrière, les crises parce qu’il n’arrivait pas à se faire comprendre, son incapacité à gérer les stimulus du monde qui l’entoure. Ça aura pris plusieurs années, mais tes parents et ses différents intervenants auront trouvé les bons outils pour que David puisse être bien, tout simplement. Réalisant que tu portes toujours cette robe que tu as choisis rapidement avant l’arrivée de tes parents, tu t’assois sur le lit et tourne le dos à Isaac. « Tu pourrais défaire le zip s’il-te-plaît? J’ai envie de me mettre confortable. » Après les longues heures de vol et cette soirée, tu ne voulais qu’une chose, te désencombrer de tout vêtement inconfortable et tout simplement profiter de la présence de ton amoureux, de toutes les façons possibles.



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