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 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped

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Amos Taylor
Amos Taylor
le faiseur de rêves
le faiseur de rêves
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped MTtf4TM Présent
ÂGE : 46 ans (02/05/1977)
STATUT : Elle a gommé ses ratures, effacé ses coquilles. Elle lui a rappelé que derrière le tragique se terrent parfois de belles histoires d'amour. Elle est sa renaissance, son renouveau et, aujourd'hui, ils sont ensemble parents d'une petite Micah née en décembre 2021.
MÉTIER : Propriétaire d'un casino que Raelyn a appelé "Octopus". Bras droit de Raelyn au Club, il gère l'acheminement et la revente des armes illégales.
LOGEMENT : Il vit depuis janvier 2021 avec Raelyn au 721 Daisy Hill Road à Logan City, dans un loft dont il tait l’adresse. Il possède également un catamaran dans un emplacement privé et, lui aussi, inconnu tous. Rae et lui, pour leur couverture, louent aussi un appartement "témoin" pour recevoir leurs proches et, de cette manière, conserver le secret de leur adresse.
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 7fe8de8179bb678c6559b1728cea5e5732d143b9
POSTS : 7232 POINTS : 0

TW IN RP : Dépression › Suicide › Alcoolisme › TSPT › Coma éthylique › Deuil › Addiction › Overdose d'un proche › Meurtre › Décès d'un proche
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : Il ne cuisine pas, mais il sait faire à manger › C'est un excellent nageur › Après l'accident, il n'a plus plongé pendant des années. Il a recommencé récemment grâce à Raelyn › Alcoolique notoire. Il l'admet et essaie de se soigner après que les médecins lui ont promis une mort anticipée s'il n'arrêtait pas › La mauvaise foi est son arme préférée › Il fume beaucoup trop pour son bien › Il est obsédé par la sécurité de Raelyn, mais aussi celle de Micah. Sa peur de la perdre est grandissante et ne semble pas vouloir s'éteindre.
CODE COULEUR : 66cc66
RPs EN COURS : (7+2=9) Amelyn #96Midas #4Anwar #2Rhett #3Abramos #1Samuel #1Chad #5 › Atlas 7#

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
Amelyn 96 ⊹ I was lost until I found me in you. I saw a side of me that I was scared to, but now I hear my name and I'm running your way. I still look at you with eyes that want you. When you move, you make my oceans move too. It's my desire that you feed, you know just what I need. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 56314a9c59aee1395475bcb536c1c83e8a68d224
Atlas #7 ⊹ I am the key to the lock in your house. That keeps your toys in the basement. Do not cry out or hit the alarm, you know we're friends till we die.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Tumblr_nm1d3lw4051qg8dzlo4_r1_250
Taylor & Sterling Chad #5 & Midas #4 & Samuel #1 & Abraham#1 ⊹ By faith, being moved by the fear of God, he made ready an ark for the salvation of his family

UNIVERS ALTERNATIFS :


AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Deuy
Amelyn UAchp 12 & chp 13 › ⊹ Everybody knows that baby's got new clothes, but lately I see her ribbons and her bows have fallen from her curls. She takes just like a woman. She makes love just like a woman and she aches just like a woman. But she breaks just like a little girl. ☽ 12345678910111213


RPs EN ATTENTE : Jonah
RPs TERMINÉS : Liste mise à jour dans la fiche de liens.


AVATAR : Bradley cooper
CRÉDITS : Stairsjumper (avatar), Loma (gifs signature), harley (crackships profil), WALDOSIA. (code signature), casiopeis (gif from serena) hillsidepacks
DC : Nope
PSEUDO : Ci!
Femme (elle)
INSCRIT LE : 16/12/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t28495-amos-taylor-my-senses-have-been-stripped
https://www.30yearsstillyoung.com/t28558-amos-taylor-ace-of-spades

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Message(#) Sujet: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:18






Amos Taylor
I'm not sleepy and there is no place I'm going to...
Pièce d'identité

NOM ≈ Taylor. PRÉNOM(S) ≈ Amos ÂGE ≈ 42 ans LIEU DE NAISSANCE ≈ Australie. Kilcoy STATUT SOCIAL ≈ marié. Sa femme attend avec impatience qu'il signe les papiers du divorce qu'elle lui a adressé il y a un sacré bout de temps maintenant. MÉTIER ≈ Il gère, à l'essai et pour le compte du Club, une espèce de casino clandestin. ORIENTATION SEXUELLE ≈ Hétérosexuelle GROUPE ≈ Se renseigner 40 ANS, MODE D'EMPLOI AVATAR CHOISI ≈ Bradley Cooper

Les informations en vrac

1. Amos est un homme désordonné et désorganisé, raison pour laquelle, durant longtemps, il décrivit sa vie comme une succession d’imprévus heureux ou d’habitudes rassurantes. Son flirt avec la fille du révérend est l’exemple parfait de la première tandis que le rythme de la vie à la ferme de son père en est l’autre. Se lever pour travailler aux champs ou à retaper les bâtiments constituait une routine qui lui offrait un semblant de stabilité. Quant à Sarah, ils se sont fréquentés longtemps, mais sans le connaître vraiment. Ils se voyaient depuis des années à l’Eglise du village près de Kilcoy sans que rien ne laisse présumer qu’ils auraient ensemble un enfant né d’un mariage au départ heureux. Aujourd’hui, leur union n’est plus qu’un terrain en friche, mais l’idée d’y renoncer l’angoisse. Il est un rempart trop précieux, il l’empêche de bousculer vers le néant ou la folie, il n’a pas encore statué. 2.L’armée est un sujet sensible pour lui. Elle constitue un échec de plus puisqu’il ne retrouva jamais sa place dans ses rangs suite à une expérience des plus malheureuses. Démineur-plongeur, son escadron a été appelé pour "éteindre" les risques liés à un chapelet de mine retrouvé en mer. Ils se chargèrent de les "traiter". Ils en oublièrent une. L'explosion fut fatale à la majorité de ses hommes. Lui, il a survécu et, s'il tenta de ne laisser personne derrière, il se jugea pleutre et lâche malgré son prétexte de taille : Sofia. Il devait rester en vie pour elle. Elle lui permit de se relever d’un choc post-traumatique qui l’empêche, aujourd’hui encore, de s’aimer et d’être serein. Il souffre d’insomnie plus souvent qu’à son tour. L’alcool l’aide, mais il n’est pas la panacée. Physiquement, il ressort de cette accident quelques cicatrices sans importance, mais il les chérit. Il lui rappelle cette famille de substitution qu'il n'a pas pu sauver. 3. Il ne croit pas en Dieu malgré son éducation proprement protestante. Sa mère, fondamentalement pieuse, a tenté d’entrer dans la tête de ses fils la Bible et ses versets. Le pragmatisme d’Amos a toujours été source de discorde. Aujourd’hui, leur relation est toujours conflictuelle. Il l’adore, la réciproque est vraie, sauf qu’il ne supporte pas l’entendre lui rabâcher que Dieu a sauvé son enfant, qu’Il peut l’aider, que sa femme, elle le sait et qu’elle l’a compris, qu’elle devrait lui servir d’exemple. Il est et restera ce fils incrédule cependant. Il ne veut ni l’entendre ni respecter ses conseils. Alors, il l’évite avec application. 4. Alors que les médecins-conseils de l’armée l’arrêtèrent suit à son choc post-traumatique, il n’a pas cherché à trouver du travail, se contentant de sa solde et de petits boulots ça et là – principalement pour son père – afin d’ arrondir les fins de mois. Il a aussi donné des cours de boxe aux gamins du coin, sport qu’il pratique depuis son plus jeune âge. Il s’est essayé au karaté pour s’occuper et au Krav Maga également. Il ne s’agissait cependant que d’un substitut. Il ne s’est jamais plus senti capable de prendre en main de grandes responsabilités et la mort de Sofia ne l’aida pas. Il n’est toujours pas en droit de retrouver son ancien métier, le seul qui lui donnait l’impression d’avoir réussi sa vie. Néanmoins, son besoin de vengeance lui rend un peu en motivation. Il s’est découvert des talents qu’il ne soupçonnait pas : prendre du recul, en l’occurrence, et c’est toujours bien utile pour sauver sa peau. 5. Il boit encore énormément. Lorsqu’il doit retrouver ses moyens, il prend un rail de coke. Pour compenser, il reste un fervent abonné des centres de sports et il fréquente toujours les rings et les Dojos. Il pratique pour se nourrir de l’impression qu’il sauvera sa bonne santé, qu’il la préservera. Il n’assume pas réellement d’être un alcoolique notoire. Il se vexe dès lors qu’on le lui dit et, étant donné qu’il n’est pas très bavard, il se renferme comme une huître et lui tirer un mot devient dès lors impossible. Celui qui y parvient peut se flatter d’avoir réalisé un exploit. 6. Après le passage à tabac d’un malotru qui offusqua autant qu’il plût à Raelyn, il profita de l’intérêt de cette dernière pour grappiller une place au sein du Club. C’était son objectif et, à force de volonté – et parce qu’il se doute être au goût de la jolie blonde – elle lui offrit ce qu’il désirait. Il tient tout le monde à l’œil, y compris Mitchell, qu’il ne brusque pas. Il laisse la jeune femme planter dans la tête de son associé qu’Amos est un homme de confiance. Elle se porte garante pour lui et, il le sent, il finira par entrer dans les petits papiers du grand patron. 7.Plus pragmatique qu’intellectuel, il se fie à son instinct et n’est absolument pas sensible à l’art. Il ne trouve aucun intérêt à s’émerveiller devant un tableau. Il ne comprend pas non plus qu’on puisse se pâmer face à des danseurs et il ne comprend rien à la poésie. Il aimait la musique. Il n’est plus capable d’en écouter depuis la mort de sa fille. Aujourd’hui, il est « désémotionalisé » et il n’envisage pas de renouer avec un quelconque sentiment. Il le ralentirait. Il l’empêcherait d’atteindre ses desseins. Sa part d’ombre, il en a besoin et il est bien heureux d’être capable de couper un doigt, de crever un oeil ou de tuer de sang-froid s’il le fait pour sa gosse. Il n’est plus que distance désormais, mais sa conscience le rattrape encore quelque fois, s’il est sobre. 8. Le jeu et les cartes tiennent une place importante dans sa vie. Le soir, avec ses frères et ses parents, c’était leur distraction familiale. Il les manie donc très bien et aurait pu faire un bon croupier. Il en tient le rôle, parfois, si c’est nécessaire. Il joue encore souvent et rêve de défier Mitchell, persuadé qu’il lui apprendra que son maître existe. A une époque, cette passion aurait pu le mener sur le chemin de l’addiction, mais il en choisit une autre, bien pire. Qu’importe, les cartes sont pour lui un anti-stress, qu’il joue ou qu’il les manipule, simplement.  9. Aîné d’une famille composée de trois garçons, il ne s’est jamais senti investi d’une quelconque mission concernant ses cadets. Ce sont tous des fortes têtes, ils savent se débrouiller. Même Chad, qu’il a toujours vu comme quelqu’un de plus délicat, a la ressource pour se défendre. Il n’empêche que, si leur quotidien est parfois parsemé de conflits – c’est le B-A-BA des familles saines – il les aime démesurément, ses frangins. Il n’a simplement jamais su comme le dire ou le montrer. 10. C’est un amoureux de la mer depuis sa plus tendre enfance. Le bruit des vagues l’apaise et, souvent, il regrette de ne pas en être plus proche. S’il se décrit comme quelqu’un dénué d’ambition, il rêve de posséder son bateau et de s’isoler au large des côtes. C’est d’autant plus vrai aujourd’hui qu’il se sent prisonnier de sa peine et de sa culpabilité. Vivre complètement seul, tel un naufragé sur une île déserte, ça ne lui déplait pas comme idée. Peut-être, un jour, lorsqu’il sera débarrasser de sa rancœur, quand il aura assouvi sa soif de vengeance, il se lancera. 11. Il ne se qualifie pas comme quelqu'un de conservateur, mais il réagit toujours selon les réflexes archaïques, presque ataviques, de son père. L'homme est le chef de famille qui doit répondre aux besoin des siens. Son pendant féminin ne peut être totalement indépendant. Il a beau être séparé de Sarah, il n'en reste pas moins inquiet pour elle, soucieux de son bien-être et attend toujours d'elle qu'elle lui rende des comptes, ce qu'elle ne prétend plus faire.

Le joueur derrière l'écran

Sur le net, on m'appelle Ci., mais appelez-moi Trop compliqué . J'ai la trentaine, et je viens de Belgique. J'ai découvert 30YSY grâce à moi , et j'ai cédé à m'inscrire parce que Je l'aime. Malgré mon emploi du temps chargé, je pourrai tout de même être présent(e) 7/7. Mon personnage est un SCÉNARIO DE Raelyn Blackwell et le PRE-LIEN de Chad Taylor. Je suis content(e) de vous rejoindre dans l'aventure et Un mot d'amour pour l'aventure.

Pour recenser votre avatar
Code:
<pris>Bradley Cooper ≈</pris> Amos Taylor

à remplir si vous refusez le doublon de prénom
Code:
<pris>Amos</pris>





--- and suddenly
i was there, caught up in a dream, running after a new reality.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped JLuMeCF
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped TiuE8UW
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped B2ZhCTC

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped MjUFQYH
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Dernière édition par Amos Taylor le Sam 22 Fév 2020 - 20:35, édité 11 fois
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STATUT : Elle a gommé ses ratures, effacé ses coquilles. Elle lui a rappelé que derrière le tragique se terrent parfois de belles histoires d'amour. Elle est sa renaissance, son renouveau et, aujourd'hui, ils sont ensemble parents d'une petite Micah née en décembre 2021.
MÉTIER : Propriétaire d'un casino que Raelyn a appelé "Octopus". Bras droit de Raelyn au Club, il gère l'acheminement et la revente des armes illégales.
LOGEMENT : Il vit depuis janvier 2021 avec Raelyn au 721 Daisy Hill Road à Logan City, dans un loft dont il tait l’adresse. Il possède également un catamaran dans un emplacement privé et, lui aussi, inconnu tous. Rae et lui, pour leur couverture, louent aussi un appartement "témoin" pour recevoir leurs proches et, de cette manière, conserver le secret de leur adresse.
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ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : Il ne cuisine pas, mais il sait faire à manger › C'est un excellent nageur › Après l'accident, il n'a plus plongé pendant des années. Il a recommencé récemment grâce à Raelyn › Alcoolique notoire. Il l'admet et essaie de se soigner après que les médecins lui ont promis une mort anticipée s'il n'arrêtait pas › La mauvaise foi est son arme préférée › Il fume beaucoup trop pour son bien › Il est obsédé par la sécurité de Raelyn, mais aussi celle de Micah. Sa peur de la perdre est grandissante et ne semble pas vouloir s'éteindre.
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Amelyn 96 ⊹ I was lost until I found me in you. I saw a side of me that I was scared to, but now I hear my name and I'm running your way. I still look at you with eyes that want you. When you move, you make my oceans move too. It's my desire that you feed, you know just what I need. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

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Atlas #7 ⊹ I am the key to the lock in your house. That keeps your toys in the basement. Do not cry out or hit the alarm, you know we're friends till we die.

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Taylor & Sterling Chad #5 & Midas #4 & Samuel #1 & Abraham#1 ⊹ By faith, being moved by the fear of God, he made ready an ark for the salvation of his family

UNIVERS ALTERNATIFS :


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Amelyn UAchp 12 & chp 13 › ⊹ Everybody knows that baby's got new clothes, but lately I see her ribbons and her bows have fallen from her curls. She takes just like a woman. She makes love just like a woman and she aches just like a woman. But she breaks just like a little girl. ☽ 12345678910111213


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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:19






QUANDO VINCI, TUTTI AMICI
quando perdi, sei solo


1995. Sa tête posée au creux de mon bras l’engourdit, mais je n’ose pas broncher. Au contraire, j’approfondis ma respiration afin que Sarah, qui m’a déjà hélé d’un chuchotement, me croie endormi. Elle est d’humeur bavarde. Le sexe a ce pouvoir étrange sur les femmes. Dès lors qu’elles reprennent leur esprit, elles s’imaginent que l’instant est propice aux confidences, faute aux âneries que leur vend les comédies romantiques d’Hollywood, de cette connerie à l’état brut qui les oblige à croire encore aux princes charmants et avenants, celui qui, après l’étreinte, scelle un coup grâce à l'aveu. Mais, depuis quand est-il un privilège ? Comment pourrait-il l’être s’il est teinté de la couleur de l’obligation ? « Amos, je sais bien que tu ne dors pas. » insiste-t-elle dans un coup de poker, me secouant légèrement. Sa voix est doucereuse. Elle avance à tâtons comme un dresseur de lions face à un fauve. Elle chercher à amadouer ma nature secrète et taciturne et je me demande sérieusement, en ouvrant les yeux, ce qu’elle me prête en douleur pour la justifier. « Parle-moi de toi, tu veux ? » Non ! C’est tout ce qui me vint à l’esprit avant que mon regard ne croise le sien. Je me radoucis aussitôt, car elle est belle, Sarah. Elle n’est pas dessinée au pinceau. Elle a les traits sévères des femmes de caractère qui en grandit dans la campagne. Ils contrastent avec la délicatesse de son timbre, avec la chaleur de sa peau nue contre la mienne et avec la douceur de ses lèvres. Ils dénotent la bonhomie. Elle est enjouée, la fille du pasteur. Rien ne semble pouvoir l’atteindre grâce à son éducation pieuse. Elle trouve toujours les mots pour rassurer ou apaiser une angoisse. Et, pour la première fois depuis le jour de notre rencontre – ça remonte à si loin que je m’en souviens à peine - je sens croître la graine du sentiment qu’elle planta dans mon cœur à mon insu. « De moi ? » Je répétais surtout pour gagner du temps. Taiseux par essence, je souffre d’une tendance atavique à éluder toutes questions destinées à envahir mon jardin secret.

En réalité, je n’ai pas grand-chose à cacher. J’en ai même très peu à raconter, voire rien ou rien qu’elle ne sache déjà. Je ne suis qu’un jeune adulte dans la moyenne, avec une vie... moyenne... et issu d’une famille tout aussi... moyenne. Ma mère, de confession protestante, se plaît à raconter qu'elle est le fruit de la liaison entre un amiral londonien débarqué pendant la guerre. Sauf que je n’en sais pas plus. Je ne l’ai pas écoutée et je n’ai rien vérifié. Dommage. Ce pseudo-drame aurait fait mousser ma partenaire et, mieux encore, j’aurais pu me libérer de mon malaise à l’idée de cette romanesque fadaise. Là, assommé et alangui, je me sens pris de court, coincé, tenté de lui révéler que je ne suis qu’un gars lambda. « Que veux-tu que je te dise ? Je suis né ici, comme toi, j’ai dix-neuf ans, je ne sais pas quoi faire de ma vie, alors j’aide mon père à la ferme et j’encanaille la fille du Pasteur, en quête de l’inspiration divine. Fin de l’histoire. » livrais-je sans détail et avec l’espoir qu’elle s’en contentera. « Je sais déjà tout ça. Moi, ce que je veux savoir, c’est ce que tu aimes, quelles sont tes passions, je ne sais pas. Ce que tu es… » Elle se redressa, s’appuyant sur le montant du lit, et je soupirai de lassitude. Elle ne lâcherait pas l’affaire, mais sa ténacité ne comptait-elle pas parmi mes qualités préférées ? Elle me parlait davantage que ses grands yeux suppliants. « OK. De toute façon, tu t’endormiras avant la fin tellement c’est ennuyeux. » Ainsi, lui narrais-je ma passion pour la boxe et pour les cartes. Je lui confiai les relations conflictuelles que j’entretenais avec ma mère et la complicité que je partage avec mon père. Je lui racontai combien Chad me déroutait par son raffinement et ses ambitions. Moi, j’en manque. J’envisage bien d’essayer l’université, mais ce n’est qu’un leurre pour me bercer de l’illusion que je ne suis pas un bon à rien. Je lui rapportai mon amour pour la mer et de mon désir de posséder mon propre bateau, un jour prochain, si j’en ai les moyens. « ça te choque toi, que je sois pas comme toi ? Que je ne crois pas ? » Je jetai un œil dans sa direction. Elle ne dormait pas. Elle buvait mes paroles et son rire cristallin, alors qu’elle me confirmait se moquer éperdument de mon absence de fois, me fit l’effet d’une caresse pour l’oreille. Alors, je l’embrassai, soulagé d’avoir vidé mon sac, convaincu que nous partagerions plus qu’une idylle Sarah et moi.

***

1995. « Pardon ? Toi ? À l’armée ? » s’esclaffa ma mère d’un rire moqueur. Elle y croyait autant que mon projet de faire le tour du monde ou de devenir avocat. A ma décharge, ces idées poussèrent que j’avais à peine dix ans, mais dans mon souvenir, elle réagit plus ou moins de façon identique. Nous étions loin de sa joie lorsque je lui annonçai que Sarah et moi formions un couple et que nous espérions nous marier. Elle l’aime beaucoup. Elle adore ses manières et, surtout « c’est une fille de bonne éducation, pas comme la précédente. Je détestais ces manières de jésuite » répétait-elle drapée dans son manteau de fierté. Moi, je faisais semblant de ne pas entendre ses louanges envers l’une et ses critiques envers mon ex. Discuter avec ma mère est énergiphage. Alors, fort de mes habitudes, je fermai les écoutilles pour admirer l’image sans le son. « Ça demande de la rigueur, de l’organisation et tu n’as rien de tout ça. Est-ce que je dois te rappeler toutes les erreurs que tu as accumulées à te comporter comme un gosse capricieux ? Tu as vexé le Pasteur en courtisant sa fille sans lui en toucher un mot.» La défiance m’aurait volontiers poussé à souligner que Sarah était déjà majeure, mais je préférai me servir un verre de bourbon, sec, qu’il m’arrache la gorge et me réduise au silence.« Tu as recommencé deux fois ta dernière année au collège. » Et pour cause, je n’allais pas souvent en classe, ce que je me gardai de lui avouer. « Et tu n’as même pas été fichu d’obtenir une bourse. Alors, que Chad… lui… » Mon cadet… l’être raffiné, l’esthète, celui qui voit sa vie à l’université et non pas de ce bled paumé. Si je suis fier de ses choix, il m’arrive d’envier cet amour et cette fierté démesurée que maman nourrit pour son agneau. Pourtant, je sais que je n’ai jamais été fait pour les bancs scolaires. Je le lui chante depuis des années, mais elle refuse de m’entendre. Je suis un homme pragmatique, instinctif, qui roule aux principes, pas au pouvoir. Ma condition, elle me convient plutôt bien, à moi. « Et tu veux faire l’armée. Mais, redescends sur Terre, s’il te plaît. » J’y étais. J’avais les deux pieds bien ancrés au sol. Je ne fus jamais aussi convaincu de l’un de mes choix, si ce n’est mes noces avec ma jolie rousse. Et, quand bien même, ma situation ne m’offrait que peu d’options.

Jusqu’alors, ma femme et moi étions arrivés à joindre les deux bouts grâce à nos sacrifices. Elle bosse chez un fleuriste et, le soir, elle donne des cours d’étude biblique à la paroisse. Moi, j’aide mon père à la ferme le week-end et, la semaine, je travaille dans un complexe sportif. Je balaie, je range, je souscris les abonnements des clients de passage, renouvelle ceux des habitués et profite gratuitement des installations. Je n’y ai pas d’avenir, pas d’espoir d’épouser une carrière d’hommes d’affaires, mais j’ai toujours été dénué d’ambition pécuniaire ou non. Je prends la vie comme elle vient, accueillant les imprévus comme de bonnes surprises. En existe-t-elle une plus merveilleuse et plus délicieuse que celle d’être bientôt père ? « Sarah est enceinte. » Je lâchai l’information, sans ménagement, comme un bombardier largue son missile au-dessus de Bagdad et je me réjouis de son effet sur la superbe de ma mère. Elle tomba des nues et sur son fauteuil. Elle s’y avachit, la tête prise entre ses mains. Elle jura, émis des hypothèses toutes plus dégradantes les unes que les autres. Elle m’épargna l’avortement – que son Dieu en soit remercié – mais elle était prête à se substituer à mon rôle le temps que j’obtienne un vrai diplôme. Cette fois, la vérité prévalant sur le mensonge, je l’assommai d’un coup de massue. « Il n’y a pas, Maman. Ça ne m’intéresse pas. » À mieux, visiblement. Elle se réfugia dans sa chambre, furieuse, déçue, à court de mots. Elle m’abandonna au milieu de salon familial où mon père, en prenant la parole, me fit sursauter. Il était aussi discret que je pouvais l’être, si bien que j’oubliai qu’il assista à l’entièreté de la scène presque dramatique. « C’est la meilleure chose à faire, fils. T’occupe pas d’elle. Elle se calmera. Dans une heure, elle t’appellera pour te dire qu’elle est heureuse d’être grand-mère.» Je reconnus dans son regard une lueur de fierté qui finit de me rassurer. J’étais, à ses yeux, devenu un adulte responsable, enfin.  

***

2008. Il est des missions qui nous blessent, qui marquent la tête et le cœur d’un soldat au fer rouge, des missions qui nous changent. J’aime prétendre que je suis solide, que l’explosion d’une partie de mon escadron par ma faute ne m’a pas impacté, que les médecins ont eu tort de m’arrêter, mais ce n’est qu’un mensonge éhonté. J’ai côtoyé la mort de trop près, les disparus me poursuivent et, bien que je ne sois pas le seul survivant, l’absence de mes compagnons de galère laissent trop de place à ma culpabilité. Elle me ronge, jour après jour, nuit après nuit. Elle insinue des cauchemars si cohérents qu’ils me paraissent réels. Je me réveille alors en sueur, la respiration haletante et fou de douleur. Sarah, malgré ses efforts, n’est plus qu’un maigre réconfort. J’en trouve à peine à partager mon expérience avec les "gens comme moi", ceux que l’erreur a détruit, ceux qui se rassemblent dans des réunions pour parler de leurs maux. Je ne m’y sens pas vraiment à ma place. Je n’ai pas perdu un membre. Je ne suis pas rentré au pays avec une patte folle. J’ai des cicatrices de brûlures, mais je m’en sors bien. Trop bien. Ma femme, néanmoins lassée par mes absences, n’a pas quitté le nid, emportant avec elle son amour et notre fille. Elles sont là, toutes les deux, et quelques fois, mu par la force du désespoir, je tente vainement de m’accrocher à leur affection ou à mes vieux souvenirs pour dessiner un sourire sur mes lèvres. Je pense à la naissance de Sofia, à ses joues rondes, ses grands yeux étonnés et ses menottes qui entouraient mon doigt en babillant. Je me rappelle mes inquiétudes à la voir grandir trop vite, mes fous-rires face à ses mots d’enfants et ma patience quand elle me tressait les cheveux ou qu’elle me maquillait. Ma gamine est pleine de vie. Elle s’illustre par l’insouciance de ses 11 ans et Dieu qu’elle me fait du bien. Tandis que sa mère désespère à remarquer le faux-contact entre mon regard triste et mes sourires surfaits, Sofia me ressuscite de sa candeur et de sa jeunesse. Est-ce honteux de l’utiliser pour tenir debout ? Est-ce le comportement d’un bon père que de lester ses frêles épaules du poids de ma guérison ? Elle est à l’aube de l’adolescence. Elle renoncera bientôt à ses poupées et à ses peluches. Elle s’essuiera la joue quand nous l’embrasserons devant l’école, si tant est que ça nous soit encore autorisé. Ne devrais-je pas, pour son bien, lui permettre de se construire sans de telles responsabilités ? Certes, elle n’en a pas réellement conscience, mais elle s’inquiète pour moi, je le sais. Elle rivalise d’ingéniosité pour m’amuser, encouragée par Sarah qui a bien saisi toute l’influence qu’elle a sur moi. Elle est loin d’être dupe, ma femme de foi. Elle me cède sa place pour les devoirs et les repas. Elle me laisse prendre soin de mon enfant parce que Sofia tient lieu de médicaments, d’antidépresseur. Elle me maintient en vie et, de temps à autre, nos rôles s’inversent. Elle ne cherche plus mes bras pour se rassurer, elle s’y complaît surtout pour apaiser mon angoisse tandis qu’elle s’installe à mes côtés, devant la télévision, réclamant un Disney pour nous occuper. « Je t’aime, papa. » dit-elle alors avec gravité. Et moi, j’embrasse son front en lui jurant que je serai toujours là, dans la joie et dans l’adversité.

***

2015.« A Brisbane ? Mais, quel intérêt ? Il y a une fac ici, à Kilcoy» s’insurge Sarah qui, je devais l’admettre, n’avait pas tout à fait tort. Elle est moins reconnue, mais l’enseignement n’y est pas moins de qualité. A quoi tient-elle la volonté de Sofia de nous quitter ? ME quitter ? Derrière cette décision se cache une histoire d’amour folle qui ne dura pas, c'est l'évidence. Ma fille est trop sensible pour l’amour. Elle le prouva durant sa seizième année alors qu’elle pleurait, enfermée dans sa chambre, le cœur brisé par l’un de ses camarades. Il ne voulait plus d’elle, elle peina à s’en remettre et je déployai des trésors d’ingéniosité pour la soutenir, l’amuser, l’aider à redorer le blason de son estime de soi. Ce petit con l’avait salement mis à mal et, depuis lors, je redoute chaque jour celui où elle m’annoncera qu’elle est amoureuse, que je ne serai plus le seule et unique homme de sa vie, le plus beau, le plus fort, son modèle, son héros. Un autre prendrait bientôt ma place et je rongeai mon frein pour ne pas intervenir dans la conversation. Je n’aurais rien d’agréable à dire de toute façon. « Ouais, je sais, mais mon option est bien plus réputée à la fac de Brisbane. Les statistiques démontrent que… » Elle nous endort avec des chiffres. Sarah écarquille de grands yeux. Elle était perdue. Je ne payais pas de mine moi non plus. Sofia était somme tout plus instruite que ses parents. « Je ne comprends rien à ce que tu racontes. Je préfère que tu restes là, avec nous. Tu n’es pas d’accord, Amos ? » Honnête, je me désolidariserais pas de mon épouse. Je n’aimais pas l’idée que mon bébé s’envole du nid, mais j’étais conscient que nous ne pourrions la retenir prisonnière. Sofia a des rêves de grandeur et, si un homme se terre sous ceux-ci, nous aurions beau nous battre que nous ressortirons perdant. Au mieux, elle ne quitterait pas Kilcoy, mais elle nous en voudrait tant et si bien que notre complicité en souffrirait. Alors, je grognai, ce qui signifiait, dans mon langage, que je ne me prononçais pas ou pas encore. « Je ne partirai pas toute seule. Anna vient avec moi. Ses parents nous ont trouvé un petit appartement. Et, de toute façon, il y a parrain là-bas. Je serai en sécurité.» « Mais il a sa vie. » Sans nous, pensa-t-elle sans le prononcer. Mes frères sont un sujet délicat dans mon couple. Si le dialogue est difficile avec ces derniers, je les aime profondément et je ne supporte pas que leur choix soit remis en cause. « Et, on a pas les moyens… » « Ce n’est pas grave. Je me trouverai un petit job pour participer au loyer. Ça devrait vous rassurer si je ne suis pas sur le Campus. » insista-t-elle avec cet enthousiasme qui ravissait mon cœur de père. Personnellement, je considérais en avoir trop entendu déjà. Elle nous menait en bateau. Elle avait tout préparé et, à défaut d’être un génie, je la connais trop bien pour me laisser berner. « Présente-le nous. » lançais-je en me redressant sur le fauteuil. « Pardon ? » Sa surprise confirma mon intuition et je poursuivis : « Invite-le à manger à la maison, demain soir. Ensuite, on rediscutera de tout ça. » conclus-je sous le regard effaré de mon épouse. Je ne pris pas le temps de répondre à ses questions cependant. Je me levai et quittai le salon sans un mot de plus. Qu’aurais-je pu ajouter ? Mon cœur battait mal. D’ici quelques mois, je perdrai le sens de ma vie et je le vivais comme une douloureuse épreuve.

***

2017 Elle pleure, tout le temps, en silence parfois, en secret régulièrement. Elle pleure la disparition de son enfant et, si sa peine rencontre la mienne, seul mon regard délavé en témoigne. Le dialogue est rompu entre Sofia et moi. Il l’est depuis qu’un agent de police nous somma de nous rendre à Brisbane pour identifier le corps inanimé de notre bébé. La communication s’est brisée en même temps que nos cœurs et que l’espoir, celui qui nous était interdit, faute aux doutes. Nous ne vibrons au diapason, ma femme et moi, et c’était entièrement ma faute. Qu’avais-je répliqué lorsque ses grands yeux me suppliaient de la rassurer ? De la prendre dans ses bras ? D’adoucir son innommable souffrance à l’aide de mots réconfortants ? Qu’avais-je fait pour la soutenir à part sombrer moi-même ? Rien. Rien d’utile. Rien qui solidifie un couple face à l’adversité. En aurais-je eu envie que j’en aurais été incapable. Je suis mort en même temps que Sofia. Certes, je respire et je marche. Mais, mon encéphalogramme émotionnel est plat. Alors, je me mûre dans de profond silence interrompu par la politesse et Sofia, elle m’en veut. Elle me déteste d’être égoïste, de n’entendre que les geignements de ma propre douleur et les regards qu’elle me jette sont de plus en plus noirs. Aurais-je tenté une approche que j’aurais été étonné qu’elle ne me fiche à la porte de notre maison. C’était couru d’avance. Je lui répondis : « Comme tu voudras. », persuadé que mon abnégation la soulagerait. Dommage que je sois moins doué pour les relations humaines qu’avec des gants de boxe. J’aurais pu enrayer cette crise avant qu’elle ne m’assomme pour de bon. « C’est tout ? » cracha-t-elle, ivre de rage. « Tu vas partir comme ça ? » Je haussai un sourcil circonspect. J’étais en quête d’un mot malin, d’une réplique intelligente pour désamorcer la bombe, mais rien ne me vint. « C’est ce que tu as demandé. » Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase qu’elle bondit sur moi, cognant mon torse du plat de la main. « Tu es un sale type. Amos. Ta mère a raison, tu es un putain de raté. Tout ça, c’est de ta faute. C’est de ta faute si ma petite fille est morte. C’est toi qui l’as laissée partir. C’est toi qui n’as pas voulu déménager pour qu’on s’installe près d’elle. » Lorsqu’elle émit cette éventualité, j’y songeai, vraiment, avant de statuer contre. Sofia avait besoin qu’on préserve son indépendance et moi, de me racheter d’avoir fait d’elle mon pilier. « Tu n’as pas su la protéger parce que tu es trop lâche, Amos. Tu es… tu es une raclure. » Elle me gifla et, assailli par ma culpabilité, je l’attrapai par les épaules et je la lançai sur le lit. J’avais l’écume au coin des lèvres tant j’étais fou de colère, mais n’avait-elle pas raison, finalement ? N’aurais-je pas pu empêcher cette tragédie ? J’ignore si j’aurais été en mesure de la violenter. Ce dont j’étais certain, c’était que je n’avais aucun mot à lui opposer pour ma défense. Elle n’avait pas vraiment tort. Aussi, ramassais-je un sac que j’emplis de quelques fringues au hasard et je m’en allai, crachant à ses pieds avant de quitter la chambre. Je me réfugiai dans un bar dans lequel je picolai, chaque jour que Dieu fait.

***

2018 Et je me sens comme un vagabond à vivre cacher dans la grange de la ferme familiale, à picoler ma gnôle tout seul depuis que le patron du bar m’a viré parce que l’ivresse me rend agressif avec les autres clients. Sarah prétend que je ne suis plus qu’un alcoolique, elle refuse tout dialogue, persuadée qu’il n’est désormais plus à rien sauver entre nous. Elle parle divorce, mais je fais semblant de ne pas comprendre, de ne pas l’entendre. Quand bien même souhaiterait-elle me faire parvenir une lettre de son avocat qu’elle ne saurait à quelle adresse l’envoyer. Je m’accroche donc à l’idée que tout va bien, que je gère parfaitement la situation et qu’elle me va bien finalement. Sauf que je suis furieux. Je ne la déteste pas encore, mon épouse, mais elle le doit à tous ses chats que j’ai à fouetter, à toutes ses réponses que je cherche inlassablement afin d’adoucir ma peine. J’ai perdu ma raison de vivre. Ma fille est morte d’une overdose. La police l’a retrouvée nue, dans un lit défait, étouffée dans sa bile. Mon cerveau malade imagine la scène et elle me hante autant que mes questions et mes remords. Qu’avais-je raté avec Sofia ? A quel moment étais-je devenu un mauvais père, un démissionnaire ? Qui lui avait fourni cette merde qui la tua ? L’avait-elle ingérée de son plein gré ? Lui avait-on forcé la main ? Ne l’avais-je pas assez entouré d’amour pour qu’elle juge bon de me confier ses misères ? Je l’avais au téléphone une fois par semaine, voire plus, comment avais-je pu passer à côté de sa détresse ? Quand nous lui rendions visite, elle était toujours la même, amaigrie, certes, mais rayonnante de joie de vivre. Était-ce cependant une excuse valable pour ignorer mon échec ? Et, Chad, pourquoi n’avait-il rien vu ? N’était-il pas son parrain ? N’était-ce pas son rôle que de veiller à son bien-être ? Que de se substituer à moi alors que j’étais loin d’elle ? Rien ne présageait qu’un tel drame nous frapperait et Dieu que j’en souffre. Je bois pour oublier, mais c’est inutile. L’alcool fait émerger ce qu’il y a de pire dans ma personnalité. Je suis violent, teigneux, dénué d’empathie. Or, ça ne m’aide en rien. Au contraire, je me trouve détestable de faire payer à mes proches les frais de ma colère et de ma culpabilité.

« Amos… » me hèle mon père tandis que je demeure avachi sur mon matelas gonflable, une bière à la main, les cheveux défaits et mouillés d’une transpiration crasse. « Amos… Tu peux répondre. Je sais que tu dors là, tout comme tu sais qu’on a des chambres libres à l’intérieur. » Je peine à me redresser. Je dois déployer un effort surhumain et, une fois debout, je réalise que la tête me tourne. J’ai avalé plus de whisky, de bière et de vodka (pas dans cet ordre) que mon corps pouvait en supporter, mais j’avale tout de même une nouvelle gorgée au goulot avant d’affronter mon paternel et ma honte. Sarah a balancé. Elle appela ma mère à la rescousse qui choisit de m’envoyer son père. C’était prévisible, finalement. « Tu sais que je n’ai rien à te dire ? » crachais-je presque vexé par sa proposition. Parmi les pièces vides, il y avait ma vieille chambre d’adolescent. Quelle déchéance que de la réinvestir. « J’ai juste besoin que tu m’écoutes.» Perte de temps que de me braquer, il n’attendit pas mon approbation pour bavasser. « Nous aimions tous Sofia. » L’évocation de son prénom – je ne le prononçais jamais plus – me déchira le cœur. Poings et mâchoires serrés, je me fis violence pour ne pas gifler le chef de famille. « Je sais comme c’est difficile ce qui t’arrive. » « Qu’est-ce que tu sais, toi ? » Toi qui ignores tout du vide de l’absence. Il hocha négativement de la tête, bienveillant, mais tout à ma rage, je ne vis rien de sa volonté de me venir en aide. Je préférais lui cracher tout mon venin. « C’est parce que tu es aux premières loges de ma décadence que tu es là. Alors, ne me dis plus jamais que tu sais ce qui me blesse ou pas. Tu ne sais pas ce que c’est de pas être fichu de trouver les bons mots pour retenir ta femme. Tu ne sais pas non plus ce que c’est de sentir coupable d’avoir tout raté, de n’avoir rien vu du malheur de son enfant. Tu ne peux pas savoir parce que tu as le privilège d’être là, pour essayer d’agir, alors que moi, je n’ai rien vu. J’étais absent quand elle a eu le plus besoin de moi. » hurlais-je en lançant ma bouteille à travers la pièce. Papa ne cilla pas. « Dégage maintenant. Je ne veux plus te voir, ni toi, ni personne. » Il ramassa sa dignité, mais avant de partir, il m’administra un uppercut verbal qui me déstabilisa. « Tu t’en prends aux mauvaises personnes, fils. Si seulement tu utilisais tout ça pour te sauver. » dit-il, las et visiblement inquiet. Et s’il avait raison ? Et si j’étais toujours en vie pour rendre justice à mon bébé ? Le soir même, je frappais à la porte de la maison de mon enfance et je présentai des excuses. Quelques mois plus tard, je partais pour Brisbane.

***

2019 - Il ne restait plus grand-chose sur mes comptes en banque lorsque je m’installai à Brisbane et, si je me dégotai un petit studio me rappelant mes premières années de mariage, je le devais à la générosité de mon père. Heureux que je me mette en mouvement, il m’aida financièrement, en plus de m’avoir soutenu dans ma démarche, du moins, pour ce qu’il en savait. Un vent nouveau soufflait dans mon dos. Il ne me débarrassait pas de ma peine, de ma culpabilité ou de mes addictions, mais je me nourrissais désormais d’un objectif peu louable, certes, mais stimulant. Ici, là où ma fille périt, j’effleurais du doigt l’espoir de trouver ma rédemption à chaque fois que je grapillais des informations sur Sofia. Au départ, elles étaient maigres, mais c’est comme pour l’argent, il n’y a pas de petits profits. Peu à peu, à questionner ses camarades de classe, le mystère désépaississait. Je détestais ce que j’apprenais, mais je m’efforçais de garder loin la déception, l’angoisse et le jugement. D’aucuns des récits de ses potes de fac ne ressemblaient à mon enfant. Je ne l’avais pas élevée pour qu’elle oublie son honneur et salisse sa réputation dans la drogue et dans la luxure. Comme je l’avais sacralisée, tous étaient responsables, de la sale gosse qui la fit entrer de l’autre côté du miroir à ses dealers. Ils furent faciles à trouver et à impressionner. Ma carrure – le sport compense les conséquences de l’alcool – joua pour beaucoup. D’une certaine manière, elle m’ouvrait pas mal de portes. Je trouvai un boulot de vigile dans un grand magasin, un job de journée qui me permettait de mener mes entreprises à bien le soir venu. Ma dernière rencontre avec l’un de ses pourris qui entraîna mon enfant vers les limbes fut de toute la plus fructueuse. Je ressortis de notre aparté avec les noms de fournisseurs, celui qui me permettrait d’entrer en contact avec les membres de ce que certains appelaient le Club. Ils étaient rares. C’était même étonnant que j’aie été rencardé sur le sujet. Grâce au concours d’un porc qui prit ma gamine pour une pute, j’appris qu’elle travaillait pour cette organisation secrète et/ou clandestine. Sans contact, ce fut difficile de les trouver. Mais, le monde de la nuit n’est rien qu’une fille de joie qui écarte facilement les cuisses dès lors qu’on la traite avec égard. Un peu d’argent, un service rendu, et je gagnais des adresses, des coordonnées et les portes s’ouvrirent devant moi. L’une me permit d’endosser le rôle de garde du corps pour un type qui travaillait étroitement avec ces criminels. C’était mon heure. Je le sentais.

Je tombai des nues en découvrant que le rendez-vous de mon patron – gros bonnet du nom de Stanton – n’avait rien d’un mufle déguisé avec élégance, à la gueule patibulaire, à la mine dure à cause de sa vie dangereuse, aux rires gras et au torse bombé par le pouvoir. Au contraire, elle était aussi haute que mon ex-femme. Son blond polaire – platine ? – adoucissait la sévérité de ses traits. Ils n’étaient pas grossiers. Ils témoignaient de sa force de caractère. Je n’irais pas jusqu’à prétendre qu’elle me plut au premier regard. Je dirais plutôt qu’elle m’intrigua, parce qu’elle était différente, en plus d’être ma carte de visite. Cette impression s’amplifiait à chaque fois qu’elle était amenée à travailler avec mon boss. Je finis par la suivre, non pour en apprendre plus sur elle, mais parce qu’elle était la clé, la carte au trésor qui détient le secret de l’emplacement du Graal. Elle était devenue, à sa manière, plus précieuse que mon statut au sein du milieu malfrat que j’avais rejoint, soit un petit poisson dans l’océan de la pègre. Toutefois, lorsque l’un de mes collègues s’autorisa à poser sa main crasseuse sur la fesse musclée et rebondie de la femme d’affaires, je réagis au quart de tour, sans réfléchir, parce qu’imbibé d’alcool, sans doute… je crois. Je le tabassai sans préambule, marquant des points que je ne cherchai pas à gagner. Ô bien sûr, elle fit mine de s’offusquer. Elle est forte, Raelyn. Elle n’a pas besoin du soutien d’un homme. Les chevaliers servants, ça l’embête, elle le laisse aux autres, aux sentimentales. Il n’empêche qu’il cherchait quelqu’un au Club pour jouer le rôle de videur. J’étais le gars rêvé, celui envoyé la providence qui m’enchante. Je veillai aux intérêts de tous pieusement, me retenant de grappiller des informations sur mon enfant. J’estimais qu’il était trop tôt, à moins de chercher à susciter l’intérêt du boss. C’était mon objectif, certes, mais je souhaitais m’y prendre autrement, en le découvrant au préalable et le pêcher grâce à l’hameçon de la camaraderie distance. Le poker semblait tout indiqué. Nous jouâmes une partie, puis une autre, gagnant ou perdant selon l’image que j’espérais renvoyer. A choisir, c’était celle du gars sans histoire ni sympathique ni désagréable. A présent que je représentais pour lui ce joueur à la hauteur de son talent pour le bluff, j’osai une proposition au profit des affaires du club. « La cave est aménagée. L’ambiance pourrait y être agréable. Pourquoi ne pas créer un casino clandestin avec de véritables croupiers. Poker. Black Jack. Pari. Roulette. Tu as déjà l’alcool et les gonzesses…ça pourrait plaire à ta clientèle. » Je déchiffrai dans ses yeux que c’était plié. Il adhérait, regrettait presque ne pas y avoir songé avant moi. J’étais « engagé », à l’essai, et depuis je m’emploie à lui remplir les poches. L’argent, c’est comme le sexe ou la violence, ça délie les langues. L’argent, ça rend imprudent.









--- and suddenly
i was there, caught up in a dream, running after a new reality.

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Dernière édition par Amos Taylor le Mer 1 Juil 2020 - 21:27, édité 13 fois
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Raelyn Blackwell
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la muse des cauchemars
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ÂGE : 37 ans (23.12.1986) - capricorne ascendant scorpion
SURNOM : Raelyn est le prénom qu'elle s'est choisi, elle est née Rachel-Lynn.
STATUT : Amos a bouleversé toutes ses certitudes : la reine des glaces est loin désormais, et le couple s'est marié à l'abri des regards en avril 2022. Ils sont parents d'une petite Micah depuis deux ans. (26.12.2021)
MÉTIER : Boss du Club, la pègre de Brisbane, depuis février 2021. Copropriétaire avec Amos de l'Octopus, un Casino qui a ouvert ses portes en avril 2021. Baronne de la drogue, reine de la nuit et jeune maman, une vie somme toute bien remplie.
LOGEMENT : Maintenant à trois, dans un vieil entrepôt transformé en luxueux loft au 721 Daisy Hill Road à Logan City. L'adresse de leur domicile est un secret que le couple garde jalousement.
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TW IN RP : Prise et mention de drogues dures, overdose, violences verbales et physiques banalisées, banalisation du meurtre, menaces, univers de la pègre, misogynie, alcool.
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : des nerfs d'acier et 1m55 de charisme, de magnétisme, d'implacabilité, de jalousie et de violence › accro à la cigarette, alcoolique à ses heures perdues, elle luttera toute sa vie contre son addiction à la cocaïne › opportuniste et prête à tout pour servir ses propres intérêts, elle possède une notion de bien et de mal particulière › longtemps volage, elle l'a été jusqu'à ce qu'elle tombe amoureuse d'Amos › récupère le contrôle du Club en février 2021, devenant le leader de l’organisation criminelle › fin janvier 2023, elle abat Lou Aberline, tuant de ses propres mains pour la première fois.
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RPs EN COURS :
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(05) abrahamspencer #13amos #96danaë #1 › cecilia #1

(ua) amelyn UA #12amelyn UA #13zombie amelyn #2

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amelyn #96 ☆ i don't know just how it happened, i let down my guard, swore I'd never fall in love again but I fell hard. you came into my crazy world like a cool and cleansing wave. before I knew what hit me, baby, you were flowing though my veins. i'm addicted to you, hooked on your love, like a powerful drug i can't get enough of.

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spencer #13 ☆ you know there's still a place for people like us, the same blood runs in every hand. take another walk out of your fake world, please put all the drugs out of your hand. you'll see that you can breathe without no back up, so much stuff you got to understand.

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danaë #1 ☆ what brings you to the lost and found, dear ? won't you pull up a seat ? everybody got a price around here to play, make me an offer, what will it be ? welcome to the playground, follow me. tell me your nightmares and fantasies, sink into the wasteland underneath.

(pré-liens)
le cluble casino l'octopus

RPs TERMINÉS : liste tenue à jour dans ma fiche de liens

― statistiques RP ―
2024 ☆ 202320222021

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amelyn ☆ i was lost until i found me in you. i saw a side of me that i was scared to, but now i hear my name and i'm running your way. i still look at you with eyes that want you. when you move, you make my oceans move too. it's my desire that you feed, you know just what I need. you got power, you got power over me ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

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AVATAR : Lady Gaga
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DC : Megan Williams (Sydney Sweeney) & Midas Sterling (Tom Blyth)
PSEUDO : stairsjumper
Femme (elle)
INSCRIT LE : 21/02/2019
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:21



(Profite, Raelyn ne sera pas aussi élogieuse AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2390413160)

MON DIEU VOUS ICI BEAU JEUNE HOMME AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 206649278 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 3956312242 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 394614564 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1949770018

Ton retour m'a vraiment fait énormément plaisir, ton retour sous ces traits c'est juste la perfection AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 667269207 Je te l'ai déjà dit mais ta vision du personnage était telle que j'étais certaine de ne jamais retrouver à ta hauteur, et je suis vraiment heureuse que Amos soit de retour dans la vie de Raelyn avec toi aux commandes AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 394614564

Tu me combles, j'ai si hâte AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 826475116 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1484806105 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2891754501

PS : T'es beau tu sais ? AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 3258319053




:gniark: :


Dernière édition par Raelyn Blackwell le Mer 15 Jan 2020 - 21:26, édité 2 fois
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:22



Re-bienvenue à la maison et bon courage pour la fin de ta fiche (déjà bien entamée) !
Hâte de pouvoir faire un petit RP avec toi.
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Amos Taylor
Amos Taylor
le faiseur de rêves
le faiseur de rêves
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped MTtf4TM Présent
ÂGE : 46 ans (02/05/1977)
STATUT : Elle a gommé ses ratures, effacé ses coquilles. Elle lui a rappelé que derrière le tragique se terrent parfois de belles histoires d'amour. Elle est sa renaissance, son renouveau et, aujourd'hui, ils sont ensemble parents d'une petite Micah née en décembre 2021.
MÉTIER : Propriétaire d'un casino que Raelyn a appelé "Octopus". Bras droit de Raelyn au Club, il gère l'acheminement et la revente des armes illégales.
LOGEMENT : Il vit depuis janvier 2021 avec Raelyn au 721 Daisy Hill Road à Logan City, dans un loft dont il tait l’adresse. Il possède également un catamaran dans un emplacement privé et, lui aussi, inconnu tous. Rae et lui, pour leur couverture, louent aussi un appartement "témoin" pour recevoir leurs proches et, de cette manière, conserver le secret de leur adresse.
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 7fe8de8179bb678c6559b1728cea5e5732d143b9
POSTS : 7232 POINTS : 0

TW IN RP : Dépression › Suicide › Alcoolisme › TSPT › Coma éthylique › Deuil › Addiction › Overdose d'un proche › Meurtre › Décès d'un proche
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : Je n'aime que ma moitié.
PETIT PLUS : Il ne cuisine pas, mais il sait faire à manger › C'est un excellent nageur › Après l'accident, il n'a plus plongé pendant des années. Il a recommencé récemment grâce à Raelyn › Alcoolique notoire. Il l'admet et essaie de se soigner après que les médecins lui ont promis une mort anticipée s'il n'arrêtait pas › La mauvaise foi est son arme préférée › Il fume beaucoup trop pour son bien › Il est obsédé par la sécurité de Raelyn, mais aussi celle de Micah. Sa peur de la perdre est grandissante et ne semble pas vouloir s'éteindre.
CODE COULEUR : 66cc66
RPs EN COURS : (7+2=9) Amelyn #96Midas #4Anwar #2Rhett #3Abramos #1Samuel #1Chad #5 › Atlas 7#

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 0ca41f4f930cbaeae8e9a2d29a926cecd384086c
Amelyn 96 ⊹ I was lost until I found me in you. I saw a side of me that I was scared to, but now I hear my name and I'm running your way. I still look at you with eyes that want you. When you move, you make my oceans move too. It's my desire that you feed, you know just what I need. ☽ 123456789101112131415161718192021222324252627282930313233343536373839404142434445464748495051525354555657585960616263646566676869707172737475767778798081828384858687888990919293949596

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 56314a9c59aee1395475bcb536c1c83e8a68d224
Atlas #7 ⊹ I am the key to the lock in your house. That keeps your toys in the basement. Do not cry out or hit the alarm, you know we're friends till we die.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Tumblr_nm1d3lw4051qg8dzlo4_r1_250
Taylor & Sterling Chad #5 & Midas #4 & Samuel #1 & Abraham#1 ⊹ By faith, being moved by the fear of God, he made ready an ark for the salvation of his family

UNIVERS ALTERNATIFS :


AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Deuy
Amelyn UAchp 12 & chp 13 › ⊹ Everybody knows that baby's got new clothes, but lately I see her ribbons and her bows have fallen from her curls. She takes just like a woman. She makes love just like a woman and she aches just like a woman. But she breaks just like a little girl. ☽ 12345678910111213


RPs EN ATTENTE : Jonah
RPs TERMINÉS : Liste mise à jour dans la fiche de liens.


AVATAR : Bradley cooper
CRÉDITS : Stairsjumper (avatar), Loma (gifs signature), harley (crackships profil), WALDOSIA. (code signature), casiopeis (gif from serena) hillsidepacks
DC : Nope
PSEUDO : Ci!
Femme (elle)
INSCRIT LE : 16/12/2019
https://www.30yearsstillyoung.com/t28495-amos-taylor-my-senses-have-been-stripped
https://www.30yearsstillyoung.com/t28558-amos-taylor-ace-of-spades

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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:23


@Raelyn Blackwell c'est tout ?

@Jimena Valladores Elle tout à modifier looolll



--- and suddenly
i was there, caught up in a dream, running after a new reality.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped JLuMeCF
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped TiuE8UW
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped B2ZhCTC

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped MjUFQYH
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Hod8yO6
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Qsba
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped X69W5fv

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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:25


rebienvenue si je comprends bien !
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:34


Re bienvenue à toi AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 4251317097

Comme convenu, j'attends notre petit lien avec Justin AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 3300762870

Comment ce choix de vava de dingue de la mort qui tue AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 4222248358
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:36


rebienvenue par ici avec ce super choix de scénario AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 199959295 :l: tu le sais sûrement déjà mais tu es vraiment entre de très bonnes mains avec raelyn AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 674657830 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1949770018
bon courage pour la réécriture de ta fiche du coup AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2523491165
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:37


Re bienvenue chez toi :l:
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:38


Re-bienvenue par ici ! AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1949770018
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Joseph Keegan
Joseph Keegan
la balle à blanc
la balle à blanc
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 9OYzxwd Présent
ÂGE : 41 ans. 26/04/1983. Comment ça il est encore en vie ? C'était pas prévu dans le script, putain.
SURNOM : Jo. C'est court et c'est simple mais, surtout, ça lui permet de se présenter sans utiliser le vrai prénom qu'il déteste.
STATUT : Il ne trouvera peut-être jamais la femme de sa vie. Il n'a rien à offrir, si ce n'est qu'un cœur battant faiblement sous ses cinquante couches de poussière.
MÉTIER : Concierge de nuit à l'hôpital St Vincent. Il en voit littéralement de toutes les couleurs. Ça ne l'empêche pas de faire le clown devant les enfants alités pour leur remonter le moral.
LOGEMENT : IL A UN APPARTEMENT ! OUI OUI ! Célébrons cela avec une bonne coupe de vin et un petit joint à consommer sur le balcon, évidemment, pour ne pas enfumer ses colocataires Stella, Sara et 25% Dina.
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped A96e19b4bc7772da7007f72b8608af7c
POSTS : 36260 POINTS : 170

TW IN RP : Drogue, dépendance, violence, abus sexuels.
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : Il paraît qu’il n’est pas bien dans sa tête mais il fait de son mieux pour ne pas être le méchant de l’histoire. Il a de bonnes valeurs, Joseph, seulement, il n’est pas né dans un monde fait pour lui. Les punitions que lui infligeaient son père tambourinent encore dans son crâne – il essaye d’oublier en s’entourant de bonnes personnes sans jamais réaliser qu’il brise tout ce qu’il tient dans ses mains. Il craint de mourir seul, comme tout le monde, mais la mort en elle-même ne l’inquiète pas. Il croit que sa dernière chance n'est pas encore arrivée.
RPs EN COURS : AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Tumblr_nk9munzdRB1rl6zbso5_r1_250 EMMA. You're anchored in the past and wishing for a future with a ghost. Can't you see that this is a dead end ? - Emma

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Tumblr_inline_phcaxytzks1t8bm8b_250 KEEDY. The burning sensation never stops. You just get used to it. When it's done consuming you, somehow, it makes you feel alive. - Deb [10]

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Giphy La coloc des petits foufous. It shouldn't work. And it doesn't. WhatsApp - Stella

(7) Sunny [2] - Maritza [2] - Greta - Birdie [3]

UA : Itziar #1
RPs TERMINÉS : Yanis - Blake - Yanis [2] - Aubrey - Aubrey [2] - Kane - Aubrey [3] - Liam - Owen - Aubrey [4] - Tess - Blake [2 ripblake] - Jolex - Aubrey [5] - Gaby [ab] - Lindsey [ab] - Clara - Eve - Jolex [2] - Jolex [3] - Jolex [4] - Primrose - Sid - Juliana - Gabriel L. - Romy - Caroline - Deborah [2] - Terrence - Charlie - Gabriel L. [2] - Lily - Freya - Adrian [FB] - Manthas [FB] - Jessalyn - Lily [2] - Alfie&Juliana - Théodore - Savannah - Spidey - Romy [2] - Murphy - Alfie [2] - Deborah [3] - Louanor [FB] - Lily [1] - Deborah [4] - Birdie [FB] - Lou - Juliana [2] - Robin-Hope [FB] - Greg - Deb [5UA] - Murphy [2] - Blake [FB] - Alfie [3] - Lily [2] - Kyte [FB] - Tobias - Geisa [abandonné] - Blake [2] - Greg [2] - Charles - Sin - Olivia [FB] - Olivia & Lily - Blaze [FB] - Lily [3] - Blake [3] - Lily [4] [FB] - Primrose [2] - Ichabod - Matt & Lily - Rhea [FB] - Lou [2] - Deb [6] - Olivia [3] - Vitto - Ichabotte [2] - Sawyer [FB] - Alice - Alfie [4] - Jacob - Ichabotte [3] - Lily [5] - Lou [3] - Sid & Lily - Ilaria - Lily [6] - Sawyer [2][FB] - Lily [7] - Alfie [5][FB] - Lou [4] - Lily [8] - Sawyer 3 [FB] - Federico [ab] - Lily [9] - Deb [7] - Jasper - Jules - Lou [5] - Prim - Finn - Lily [10][FB] - Jules [2] - Lily [11] et Alfie [7] - Lily 11 - Deb [8] - Laila - Lily 12 - Jules [3] - Sunny [FB] - Mickey - Lily 13 - Maritza - Lily 14 - Cody #1 [UA] - Mickey [2] - Deb [9]

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped B4pd
Parce que je ne serais rien sans les mots de Deborah.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped Tenor
ALEPH. Je me souviens deux enfants trop petits pour se soucier des conséquences. Je vois deux hommes qui se sont cassé les jambes en tombant de trop haut.

AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped E0a4faf8fde5666a1a397a16876388f804a7da9b
KEEGANs. - Raconte-moi une histoire dans laquelle ils sont heureux.

AVATAR : Sebastian Stan.
CRÉDITS : Emily May Rose pour les ratons de la signa, Harleystuff pour le vava.
DC : Raph le flamant, Archie le varan et Sami l'ocelot.
PSEUDO : Mapartche.
INSCRIT LE : 25/09/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t21527-pardonnez-moi-mon-pere-j-ai-peche-sans-un-permis-de-peche
https://www.30yearsstillyoung.com/t45364-joseph-raphael-archie-fiche-commune#2301640

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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:39


Rebienvenue ici ! :l:




Ill and doomed
King raccoon ☽ Let's pick the truth that we believe in like a bad religion, tell me all your original sins. So many questionable choices. We love the sound that our voice makes. Man, this echo chamber's getting loud. Let's just watch the world burn, thinking about each other.
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:39


Bon retour parmi nous :l:
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:48


Déjà  AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 199959295
Alors
1) Bradley  AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235
2) ta plume est toujours aussi douce jpp j'ai l'impression de lire un livre AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121
3) Ton perso  AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1290498195 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1290498195
4) Pardon j'ai pas trouvé les mots, les smileys représentent bien mieux ma pensée Rolling Eyes
Rebienvue du coup, j'ai hâte de te voir en jeu, et de développer notre lien  AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 692915883
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:51


Re-bienvenue à toi AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2523491165
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Message(#) Sujet: Re: AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped EmptyMer 15 Jan 2020 - 21:53


NON MAIS C'EST SÉRIEUX ? AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121
Toi avec le magnifique scénario de Raelyn, Carter va tellement te détester, te haïr et tout et tout AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 3217047551 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2078041801 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121
AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1017170121 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 199959295 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 224775235
Le flic qui double le club, j'adore tellement ouais j'étais pas là avant, parce que apparemment tu l'as déjà jouée, si je comprend bien AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 1949770018 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 873483867
(re)bienvenue sur le forum ma joliiie AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 394614564 AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 394614564
Je lis tout ça, je lis tout ton mp et je te répond très vite, je suis toute joie AMOS Taylor ▬ My senses have been stripped 2279683226
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