AccueilAccueil  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Besoin d'un coup de main pour t'intégrer ?
Clique ici pour trouver un parrain et relever les défis du nouveau !
Le forum a besoin de vous pour vivre
N'oubliez pas de voter autant que possible.
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Isaac Jensen
Isaac Jensen
le coeur au bout des doigts
le coeur au bout des doigts
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 FQgUS3L Présent
ÂGE : 38 ans (13.05.85)
SURNOM : Isy
STATUT : Penny est le soleil et l'amour de sa vie, l'évidence avec laquelle il écrit sa plus belle histoire et s'autorise à réaliser des rêves de bonheur
MÉTIER : Infirmier au service des urgences, vice-président de l'association Run for Judy, infirmier bénévole à la Croix Rouge et aux Flying Doctors, sapeur-pompier volontaire et surtout : papa comblé de Jude (13.09.2018), Maia (14.06.2022), Jack et Mila (01.08.2023)
LOGEMENT : Sa maison, située au #17 toowong, est devenue leur foyer en octobre 2021, duquel irradient épanouissement, plénitude et bienveillance
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 90374fe4c7cf647c214f3d806c6aaa253436d73e
POSTS : 28488 POINTS : 180

TW IN RP : dépression, anxiété, automutilation, idées suicidaires, tentative de suicide, mentions d'abandon d'enfant
PETIT PLUS : Emménage à Brisbane en 2003 ∆ il exerce en qualité d'infirmier au st vincent's depuis 2006 puis est affecté aux urgences en 2013 ∆ une suite de blessures anéantit sa carrière de joueur de football australien en 2010 ∆ il attente à ses jours en mars 2018 et reprend le travail en septembre 2018 ∆ finaliste de ROA en 2020 ∆ il se soigne contre son anxio-dépression, après avoir longtemps refusé son diagnostic
CODE COULEUR : Isy s'exprime en #9966ff ou slateblue
RPs EN COURS :
RPs EN ATTENTE :
amy ∆ caitriona #2 ∆ lexie ∆ angus #2

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Cule
(compte désactivé en juillet 2021)

RPs TERMINÉS :
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Rwe2
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 LNatll2

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 8kgf
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 37QO3DK

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Tumblr_oxiezbq1pn1qmb4pvo8_250

(roa, juin 2020)
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Travel-road-trip-animated-gif-3
grisy
(s1) lancementlove #4grace #1grace, greg, siennaweek-end #1grace #2grace #3
(s2) grace #4grace #5grace, elias, kieraneliasivylove #5love #6
(s3) elias, kieran, grace, sienna, jack
(s4) épreuve semaine 4grace #6martin
(s5) épreuve 1 semaine 5épreuve 2 semaine 5épreuve 3 semaine 5résultats
(finale) grace #7raftinggrace #8grace #9
AVATAR : Julian Morris
CRÉDITS : eternal-lust (ava), solosands (sign), loonywaltz (ub), la confiserie (illustration personnalisée), am (tinder), harley (gifs), Drink Positive (gif maddy/isy), may0osh (gif olivia), wcrldofresources (gif matilda), truelove (gif grisy)
DC : Kai Luz & Max Novak
INSCRIT LE : 08/04/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t19429-isy-strive-for-progress-not-perfection
https://www.30yearsstillyoung.com/t19472-isy-notebook
https://www.30yearsstillyoung.com/t19596-isaac-jensen
https://open.spotify.com/playlist/3mzlBoYcxEFsR5dBzkGvpo?si=786a

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 EmptyDim 08 Oct 2023, 11:29



Le bébé repu et épanoui dans son berceau, Deborah et moi avions reprit le cours de notre soirée au salon. L'électricité faisant défaut, l'ambiance se voulait tamisée grâce au secours des bougies et de la bouteille de vin qui ne réclamait qu'à être vidée.

Les doutes de Deborah sur la nature de son implication dans la vie de son enfant sont nombreux, tout comme je soupçonne la jeune femme indécise sur plusieurs volets de son histoire. J'en tire ici une forme de prudence, un caractère aussi réfléchi qu'ouvert qui lui permet d'analyser chaque circonstance pour s'orienter vers le dessein qui lui sonne le plus juste. J'en interprète aussi un courage sans nom et une intelligence rare car il n'est assurément pas procuré à tous de disposer de cette qualité altruiste d'oser se remettre en question et de savoir prendre du recul tout comme de se projeter. Un sourire s'esquisse sur mes lippes lorsque l'irlandaise préfère néanmoins se focaliser sur ce qui est : son fils est placé sous les soins du foyer que je forme avec Lucy et au sein duquel la Brody sera toujours la bienvenue.

Bienvenue qui a des goûts de plus en plus amers lorsqu'il est question de ma place dans l'existence de Lucy. A mesure des jours qui se déroulent, l'angoisse s'amplifie de perdre la femme que j'aime éperdument tout en me surprenant à la conjuguer de plus en plus au passé, comme si mes synapses s'étaient déjà fait une raison à la voir retirée de la liste des protagonistes de mon histoire. La condition humaine dicte néanmoins une certaine réticence au changement et fervent de stabilité, imaginer un futur sans l'assistante sociale me glace le sang tout en inculquant un profond sentiment de malaise en moi - le vertige de perdre celle qui aura plusieurs années composé une constante, un pilier dans mon quotidien. L'heure de faire le deuil sur le passé carillonne mais je me perds au sein de ces limbes tortueuses, refusant d'affronter cette vérité qui pourtant est flagrante, tant que même ma fiancée ne commet plus d'effort pour m'épargner la connaissance qu'elle me trompe sans vergogne.

« J’imagine que tu attends de l’honnêteté de ma part, » fait Deborah lorsque je lui demande, voix timoré mais coeur criant, si elle estime que Lucy et moi sommes faits pour être ensemble. Une vision bien romantique, épousant l'utopie, qui agite de nombreuses autres inquiétudes. Je refuse que mon interlocutrice considère que son fils souffre d'être placé sous la responsabilité d'un duo qui bat de l'aile, quand en aucun cas le petit n'est délaissé ou subit une atmosphère lourde dans la maison - pour cela, encore faudrait-il que Lucy soit présente ou que nous cessions de jouer la comédie lorsque nous nous retrouvions. Je rejette aussi l'éventualité que le nourrisson nous soit retiré et, par la même occasion, que Deborah n'ait plus de raison de venir à la maison. Peu à peu, inavouablement, la brune comble la place de la femme qui partageait précédemment mon lit. C'est désormais à l'irlandaise que je me confie et elle est la première personne à qui je pense lorsque je désire partager une bonne nouvelle. Elle est celle avec qui je veux éprendre les silences, car en sa compagnie ils sont apaisants et non pesants. Mes pupilles se rivent sur sa bouche à laquelle elle porte le vin et impassible, je l'écoute signifier : « Si vous avez eu l’autorisation de garder des enfants, je pense que vous allez bien ensemble oui. » Je me fige, encaissant le constat comme un échec, même si cette autorisation demeure indubitablement une bénédiction. « Sur le papier en tout cas. » Je pouffe légèrement avant de chercher du réconfort au fond de mon verre. La mascarade s'y noirait-elle ? « J’ai du mal à croire qu’on soit fait pour quelqu’un en particulier. Je crois davantage à l’idée qu’on a des rencontres à faire pour ce que les gens ont à nous apporter et ce qu’on peut leur apporter également. Parfois ça peut durer longtemps parce que cette personne nous apporte beaucoup et nous aide à évoluer dans le bon sens chaque jour. D’autres fois, ça se termine parce que les choses sont ainsi faites. » Je considère quelques instants Deborah, surpris par cette manière de penser que je n'avais jamais envisagée auparavant. « En quelque sorte, tu considères les relations comme des leçons à tirer ? » Comme si nous étions des élèves de la vie, qu'on s'apprenait l'un de l'autre et que lorsque l'enseignement avait été inculqué d'une personne, nous passions à la suivante, avides des richesses de chacun. La vision était à la fois belle et désolante car elle rappelait le caractère fragile des relations. « Est-ce que tu penses que ton histoire avec Lucy a encore de belles choses à t’apporter ? C’est ça la question. » Un rictus désolé, je marque une pause quand bien même la réponse m'est spontanée. « Je pense que c'est moi qui n'ait plus rien à lui apporter. » Et ainsi, elle se transforme en maîtresse de ces professeurs qui lui apportent ce qu'elle convoite et que je ne peux lui prodiguer. « Est-ce que je t'apporte de belles choses ? » Je questionne d'une voix douce. Au-delà de la proximité avec son fils et une amitié qui se tisse à mesure des semaines, apportais-je à la jeune femme ? Et surtout, conçoit-elle que je puisse continuer à lui apporter ? « Parce que toi, oui. » L'émeraude de mes yeux se loge sur son portrait, sincère et affectueux. Mon coeur, quant à lui, tambourine dans sa cage thoracique, virulent d'éloquence. « Et je pense qu'il y a d'autres belles choses qu'on peut s'apporter l'un l'autre. Je l'aimerais, en tout cas. » Un salto intégral me happe ; organique, émotionnel, existentiel.



La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 BKa2n3B
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 3836688744:

Revenir en haut Aller en bas
Deborah Brody
Deborah Brody
l'obscure clarté
l'obscure clarté
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 MTtf4TM Absent
ÂGE : Trente-six ans. (26.02.88)
SURNOM : Deb, Debbie, parfois Brody.
STATUT : L'officiel et l'officieux se croisent en la personne de Camil. Amoureux publics, amants privés, la lisière est fine mais la différence est notable.
MÉTIER : En formation d'ambulancière.
LOGEMENT : Maison au #320 à Carmody Road (TOOWONG).
(c) Cocaïne
POSTS : 34116 POINTS : 120

TW IN RP : TW régulièrement mentionnés : Maternité. Abandon. Dépression. Sexualité. (TW mentionnés en fin 2021- milieu 2023 : TS. Violences physiques et verbales. Consommation d'alcool et de médicaments en excès)
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime tout le monde.
PETIT PLUS : A Brisbane depuis l'été 2016. Avant ça, elle a toujours vécu à Dublin en Irlande. • Elle a donné naissance à un petit garçon le 20 avril 2017 dont elle n'a pas la garde. • Depuis début 2023, elle se remet d'une dépression commencée en octobre 2021 suite à une grossesse nerveuse. Elle retrouve peu à peu un équilibre et une certaine paix.
CODE COULEUR : #3D8D6B
RPs EN COURS :

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Tumblr-e6f8d8230f50ba42013fef4f03f9fa4b-1af5c3d9-1280
KEEDY – L'amitié est familière et veut sourire et s'égayer ; elle va aux visages épanouis, aux cœurs ouverts et se refuse aux âmes sombres et repliées.

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Ezgif-1-e997db6f841
SMIDY – And I tend to close my eyes when it hurts sometimes. I fall into your arms. I'll be safe in your sound til I come back around.

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Ezgif-com-effects
MIDY – Il y a un moment où les mots s'usent. Et le silence commence à raconter.

2023 – Camil#9Cade#3Faith#1Joseph#10Alexandra#1

2024 – Mason#1Malik#1Camil#10

RPs EN ATTENTE :
RPs TERMINÉS :

2018 –
Joseph#1Ben#1Vitto#1Kane & Wren#1Wren#UA
2019 – Elwyn#1Mitchell#1Austin#1Allie & Nino#1Camil#1Raelyn#1Raelyn & Joseph#2Joseph#3Raelyn#3One shotJoseph#4Calie#1Camil#2Joseph#5Mitchell#2Wren#2
2020 – Camil#3Camil#4 (& Sixtine#1)Joseph#UAJoseph#6Jax#1Jax#2Camil#5Wren#3
2021 – Camil#6Svetlana#1Wren#4Joseph#7Jean#1Heather#1Jackson#1Camil#7Sunan#1Sergio & Gabriel#UAIsaac#UA
2022 – Harold#1Jackson#2Jordan#UAJordan#1Mabel#1Louisa#1Cade#1Adorján#1Joseph#8Camil#8Caleb#1Jackson#3Jackson#4Sunsan#2Hayden#1Andrew#1
2023 – Cade#2Jackson#5Joseph#9Jackson#6

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Potager2023
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 A6v1OZr
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 LkjGlzk
La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 H6Kkwzz

AVATAR : Daisy Lowe.
CRÉDITS : cocaïne (ava) • modération (le potager)
DC :
PSEUDO : Cocaïne.
INSCRIT LE : 28/11/2018
https://www.30yearsstillyoung.com/t22389-acid-candy-d-brody
https://www.30yearsstillyoung.com/t37713-notebook-d-brody
https://www.30yearsstillyoung.com/t22593-deborah-brody
https://rpgressource.tumblr.com/

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 Empty
Message(#) Sujet: Re: La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve. - Page 2 EmptySam 02 Mar 2024, 18:34


La question n’était pas si simple. Les relations ne sont-elles que des leçons à tirer ? Il était difficile de résumer les relations amoureuses de cette façon mais… « Tu fais bien de dire en quelque sorte. L’humain est plus complexe que ça. » Haussant les épaules, elle enrichissait tout de même sa pensée. « C’est à nuancer mais j’ai du mal à croire que les sentiments, à eux seuls, puissent être suffisants pour rester avec une personne toute sa vie. Est-ce que ce n’est pas le fait de trouver quelqu’un intéressant qui enclenche tout le reste ? De nos jours, on se désintéresse aisément des choses et des personnes qui ne nous apportent rien. Si on ne peut pas à se limiter à cette explication, si j’admets que c’est plus complexe et que ce n’est pas la seule variable, je reste persuadée que ça fait partie intégrante des sentiments qu’on peut ressentir envers une personne. » Sans intéressement, sans admiration pour l’autre, pas d’amour ou très peu de chance d’en avoir. C’est ainsi qu’elle voyait les choses. « Ceci étant dit, je n’exclus pas la possibilité de trouver une personne intéressante toute sa vie. Elle est probablement juste très difficile à trouver. » et elle n’excluait pas aussi l’idée que deux personnes puissent s’aimer parce qu’elles s’intéressent à la même chose et souhaitent évoluer ensemble dans ce(s) domaine(s). Tout était question de tirer l’autre vers le haut.

Ce n’était pas sans peine et compassion qu’elle écoutait Isaac lui avouer qu’il craignait ne plus apporter assez à Lucy. « Je suis sincèrement désolée pour vous deux. » d’autant plus pour lui parce qu’elle avait compris depuis longtemps que ce n’était pas pour aller faire un jogging que Lucy quittait la maison. Elle aurait pu chercher à le consoler, lui dire que ce n’était pas vrai mais Deborah n’était pas de ce genre-là. Elle détestait arrondir les angles juste pour la bienséance quand les choses étaient aussi évidentes. Ça reviendrait à lui mentir et elle ne souhaitait pas le faire. Alors forcément, lorsqu’il lui demandait s’il lui apportait de belles choses parce que c’était le cas la concernant vis-à-vis de lui, elle hésitait un instant à répondre. On pourrait facilement croire qu’elle ne voulait pas le blesser en lui répondant qu’il n’apportait rien d’autres que ce qu’ils avaient déjà. La réalité était toute autre. C’était même tout le contraire de ce que les apparences pouvaient laisser croire. Le pincement de ses lèvres laissait entrevoir qu’elle se retenait de laisser son cœur parler. Celui-là même qui frappait de toutes ses forces contre sa cage thoracique, celui qui lui hurlait de fondre sur ses lèvres sans un mot, de laisser tout son corps exprimer ce qu’elle n’était pas capable de dire.

L’inspiration qu’elle prenait était sans équivoque sur le besoin de courage et la nécessité de faire baisser son stress. Elle ne cherchait même pas à la cacher. « Tu m’apportes déjà bien plus, peut-être malgré toi. » Elle ne voulait pas trop s’avancer sur ce qu’il pouvait ressentir. Deborah a toujours été de ceux à être prudent sur les sentiments pour s’éviter des déceptions et de la douleur. Cet instant ne passait pas au travers des mailles du filet. Elle restait prudente, elle ne s’emballait pas trop vite. « Je l’aimerai aussi mais je crains que ce soit au-delà d’une raisonnable amitié me concernant. » L’honnêteté, le désir de ne pas lui mentir et ce pavé dans la marre. Son cœur avait été plus fort que sa raison, ses lèvres avaient suivi le mouvement pour lui avouer qu’elle était en train de s’amouracher de lui et s’ils continuaient dans ce sens, à s’apporter de belles choses, elle ne serait plus capable d’être raisonnable comme elle peut l’être maintenant. Elle savait que c’était un terrain glissant (pour ne pas dire casse gueule) parce qu’elle prenait le risque de se faire envoyer sur les roses et elle n’oserait probablement plus venir. Quitte ou double.


LA VERITABLE PAIX DE L'ESPRIT VIENT DE L'ACCEPTATION DU PIRE.
Revenir en haut Aller en bas
 

La mère a(b)ime, l'enfant (c)rêve.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
30 YEARS STILL YOUNG :: 
voyager vers d'autres horizons.
 :: hors du temps :: univers alternatifs
-