Sweet fantasy - Byron&Jordan

Octobre 2020
(outfit) C’est que ta soirée ne va pas être celle qui était prévue nope. Sam vient de te faire faux bond ou tu avais mal compris ? Tu ne sais pas mais en tout cas, vous ne vous voyez pas ce soir et c’est un problème. Tu t’étais mis en tête que tu allais baiser ce soir et depuis que tu as remis le pied à l’étrier, tu te défrustres des trois années d’abstinence que tu t’es infligé. C’était pas un sacrifice à l’époque, tu ne ressentais juste pas le besoin, l’envie, t’as eu besoin de rester seul dans ta tête et dans ton corps. Remettre les choses en place. Réaliser doucement mais sûrement que Rosa est bel et bien partie de l’autre côté cette fois. Tu as même cru que tu n’allais plus jamais avoir envie de personne, le sexe est passé très loin dans ta liste de priorités et d’envies c’était étrange. Cette année tu sais pas ce qu’il s’est passé de spécial, peut être que le temps a juste fait son oeuvre mais tu as de nouveau repris à reconnecter avec des gens émotionnellement et physiquement. Ce soir c’était prévu de t’amuser avec Sam et te voilà en train d’envoyer quelques SMS pour voir si y’a pas quelqu’un d’autre de dispo pour tirer un coup. Tu n’y vas pas par quatre chemin dans ton SMS car tu n’as pas de temps à perdre. Trent n’est pas dispo, dommage, c’est la première personne que tu as contacté car tu es à l’aise avec ellui. Vous connaissez bien vos corps respectifs vu depuis quand vous couchez ensemble mais nope.

Ce soir c’est Byron qui a répondu par l’affirmative. Tu es agréablement surpris parce que ça fait quelques années que tu ne l’as pas vu. Zero contact avec lui pendant trois années au moins et voilà qu’il te dit de le rejoindre à son boulot. Dès qu’il te file l’adresse tu te mets en chemin même si faudra attendre la fin de son service. Ca te file beaucoup trop de souvenirs de te retrouver sur son lieu de travail. Y’a un côté de ta tête qui se demande s’il est toujours aussi hot le gars. Ca serait fâcheux qu’il soit devenu hideux mais là t’es beaucoup trop en chien pour t’arrêter à ça. Tu t’installes au bar alors qu’il bosse. Tu l’observes avec un léger sourire en coin aux lèvres, il est toujours aussi hot. Tu le fixes sans honte attendant de le voir se pointer jusqu’à toi car oui, tu vas commander à boire au passage. « Hey… » Tu peux pas t’empêcher de déjà te lécher les lèvres. Jordan. T’es vraiment trop excité par avance. « Tu me fais un cocktail personnalisé ? Un truc bien sucré avec du citron si possible. » Ouh tu as des demandes en plus Jordan hein. Je lui rends son job plus fun. Ok on va dire ça.

@Byron Oberkampf

:

Sweet fantasy

Feat @Jordan Fisher

[Hey ! J'ai envie de baiser ! T'es dispo ? ] Surprise lorsque je lis ce message provenant de... Jordan ! Oui Jordan ! Il avait disparu des écrans radars depuis combien de temps ? Deux ans ? Au moins. Un sourire apparaît au coin de mes lèvres. Je jette un rapide coup d’œil à l'horloge du bar. Fermeture dans moins d'une heure. Timing parfait. Je pianote quelques mots [Banco ! Je t'attends !] J'envoie ce premier message. Dans un second temps, j'envoie mes coordonnées GPS. Ce court interlude, me redonne du pep's pour poursuivre le boulot. Jusqu'à l'arrivée du beau gosse. Jusqu'à la fermeture prochaine du bar. Jusqu'à ce que nous nous laissions envahir par nos pulsions respectives.

Il arrive. Je le vois. Il entre. Il s'approche. Il n'a pas vraiment changé, si ce n'est de coiffure. Blond. Presque blanc. Je manque de verser le contenu de mon shaker sur le comptoir. Je me ressaisis. Lui s'approche, d'un pas conquérant. Il s'installe à quelques pas de moi. Je sens son regard sur moi. Déstabilisant. Il me met à nu. Je termine de servir mon client. Un collègue s'apprête à prendre sa commande. Je l'arrête en lui attrapant le bras au vol « Glenn, je m'en occupe ! Commence plutôt à débarrasser les tables du fonds... L'heure tourne ! » Il s'exécute et quitte son poste avec un plateau vide et un chiffon humide sur l'épaule.

Je le suis un instant du regard avant de me tourner vers Jordan. « Tu arrives à point nommé ! Cinq plus tard, je n'aurais pas pu techniquement te servir ! » Dis-je en lui envoyant un clin d’œil amusé. « Quel étonnement ! » Je ne m'attendais plus à le revoir. J'ignorais qu'il avait toujours mon numéro. Depuis le temps... Nos parties de jambes à l'air n'étaient qu'un lointain souvenir. Jusqu'à ce soir et son message sans équivoque. Sur le ton de la plaisanterie, je le questionne : « Alors, je suis quelle roue de secours ? La dixième ? » J'esquisse un petit rire tandis que je l'entends me commander un cocktail avec du citron... Et sucré... « Un daïquiri ça te va ? » Question rhétorique. Je ne lui laisse pas vraiment le choix. J'attrape un shaker. J'y verse du sirop de sucre de canne. Je sors du citron vert que je presse sous ses yeux. Le jus produit rejoint le premier ingrédient. J'y ajoute du rhum. Je referme le shaker que je secoue énergiquement. « Alors, qu'est-ce que tu deviens ? » Demande-je tout en attrapant un verre pour y déverser le savoureux mélange. Dernière petite touche avant de le servir, je tranche une rondelle de citron que je glisse à l'intérieur du verre. « Monsieur est servi ! » Je pousse le verre à lui avant de regarder le cadran de l'horloge. Nous sommes passés sous la barre du quart d'heure. D'une voix forte et intelligible j'annonce la fermeture prochaine du bar « Mesdames et messieurs, merci de terminer vos consommations, le bar va fermer ! » Je me tourne vers Jordan. « Prends ton temps, c'est moi qui ferme ! » Je glisse un main dans ma poche et en extirpe un trousseau de clefs que je secoue devant lui. Puis je prends congés pour aider mes collègues à nettoyer et ranger les premières tables qui se vident.

Petit à petit, les clients sortent et Jordan se retrouve rapidement seul au bar, à siroter son cocktail. Et à m'observer m'agiter ici ou là. Derrière le comptoir, je fais les comptes et contrôle le journal de caisse. « Dans cinq minutes je suis à toi ! » Je regarde la salle. Glenn et les autres serveurs terminent de ranger. Tout est nickel. « C'est bon les gars ! Vous pouvez y aller, je fermerais tout ! Passez une bonne fin de soirée et une bonne nuit ! » Je les accompagne jusqu'à l'entrée. Dernières accolades, dernières salutations et je ferme la porte à double tour. J'ouvre un boîtier et j'abaisse le rideau de fer. Je me retourne. Seul reste présent Jordan. Dans cette grande salle vide. « Nous sommes seuls... T'es chaud ? » Demande-je, même si je connais déjà la réponse.

Octobre 2020
Tu n’entends pas ce qu’ils disent mais tu vois bien que Byron stoppe l’autre serveur de venir vers toi. Nice. Si le gars se fait possessif même pour te servir un verre ça te donne encore plus envie qu’il te possède de bien d’autres façon ce soir. « Tu arrives à point nommé ! Cinq plus tard, je n'aurais pas pu techniquement te servir ! » Tu sais pas pourquoi il dit ça mais tu apprécies qu’il souligne ton timing parfait, même inconsciemment. Tu vois des signes partout et tu apprécies quand tu remarques que l’univers confirme que ça c’était le bon choix pour la suite de ta journée. « Quel étonnement ! » « Mais pile au bon moment. » Que tu ajoutes parce que tu aimes véritablement trop ce détail qui pour toi n’en est pas un au fond.

« Alors, je suis quelle roue de secours ? La dixième ? » Il te fait rire et tu tapes du pied alors que tu te marres en l’entendant dire ça. « Nan j’ai pas autant de plan cul dans mon téléphone. » Tu parles une pause. « Cinquième peut être. J’ai pas compté. » Oh Jordan. Ca t’amuse. « Un daïquiri ça te va ? » « Parfait. » Que tu réponds alors qu’il est déjà en train de se mettre en oeuvre. « Alors, qu'est-ce que tu deviens ? » Tu sais même plus où tu en étais dans ta vie quand vous avez arrêté de vous voir donc c’est pas une question simple à répondre. Il veut pas savoir littéralement. Ouais, il est juste en train d’être poli. « Ca va. La vie va. » Que tu réponds sans véritablement savoir quoi dire d’autre. T’as autre chose en tête pour être honnête là. « Et toi ? » Que tu retournes naturellement.

« Monsieur est servi ! » « Merci. » Que tu réponds naturellement en prenant le verre, déjà en train de le porter à tes lèvres pour goûter. « Mesdames et messieurs, merci de terminer vos consommations, le bar va fermer ! » Tu sais que tu vas partir avec lui donc tu ne le prends pas pour toi. « Prends ton temps, c'est moi qui ferme ! » Mais tu trouves ça cute qu’il te le précise quand même. Tu te sens privilégié autant que considéré. Ca fait du bien. C’était véritablement le bon choix de tenter un SMS à Byron malgré les années qui sont passés et la franchise dont tu as fait preuve dans ton message. T’as pas de temps à perdre. « Dans cinq minutes je suis à toi ! » Et voilà qu’il continue de te donner des informations sur ses allés et venus alors qu’au fond de toi tu te dis qu’il n’a pas besoin, mais il le fait quand même. T’as très hâte de pouvoir lui montrer combien sa considération te fait déjà presque bander. Il doit sûrement pouvoir le lire dans ton regard qui est posé sur lui. Tu bois ton verre alors que tes pensées sont déjà en train de virevolté sur la suite car ton milieu frétille déjà bien trop depuis quelques heures. You are so horny. « C'est bon les gars ! Vous pouvez y aller, je fermerais tout ! Passez une bonne fin de soirée et une bonne nuit ! » Tu les regardes tous se dire au revoir et ils ont bien l’air de s’entendre. Bosser ici a l’air fun.

« Nous sommes seuls... T'es chaud ? » « Je suis bouillant. » Que tu dis sans chercher à cacher quoi que ce soit car c’est bien là le but de toute ta venue. Le temps est quelque chose de précieux. « Tu peux me baiser sur le comptoir? » Que tu demandes sérieusement car damn… L’endroit est totalement pour vous. « Ou sur une table… » Que tu ajoutes alors que tes yeux se posent sur l’immensité de l’endroit. Tu te lèches les lèvres avant de retourner tes yeux vers Byron. « Faut profiter... » Qui te dit qu’il ne le fait pas régulièrement Jordan. Nope tu sais pas, mais toi tu sais que c’est pas ton quotidien alors oui tu veux profiter de l’occasion qui est si belle. Y'a pas de vis à vis nan ? Il a fermé le rideau de fer.

:

Sweet fantasy

Feat @Jordan Fisher

Nous échangeons des banalités. Sur mon positionnement sur son 'Echelle Plan Cul'. Il me rassure, tandis que nous en rions. « Cinquième, ce n'est pas si mal ! » Plutôt fier d'être autant considéré. Et qui sait, je vais pouvoir faire d'une pierre deux coups. Le faire grimper au rideau et remonter dans le classement. S'ensuit la question fourre-tout, tandis que je suis en pleine préparation de sa boisson alcoolisée. Question tellement basique que sa réponse l'est tout autant. Toujours mystérieux le jeune homme. « Moi ? Toujours fidèle au poste pour dépanner. Bon pied. Bon œil ! » Dis-je tandis qu'il me retourne la question.

Les minutes s'échappent. Il est l'heure de pousser les fêtards vers la sortie. Le bar ferme ses portes. Nous rangeons chaises et tables. Nous nettoyons les verres et autres vaisselles usagés. Seule entorse aux habitudes. Je laisse la musique. Le gros du travail effectué, j'invite mes collègues à prendre congés. Afin qu'il me laisse seul. Avec lui. Ultime au revoir. Je tourne deux fois la clef dans la serrure. J'abaisse le rideau. Nous sommes seuls. Bercés par la musique d'ambiance du bar. Je me tourne vers lui. Je n'y vais pas par quatre chemins. Et sa réponse est limpide. Comme de l'eau de roche. Je m'approche de lui. Ma main se pose sur son cou. Je le pousse contre le comptoir. « Si tu es bouillant, nous pouvons commencer les choses sérieuses ! » Je l'embrasse. Un baiser qui n'a rien de naturel. Je suis affamé. D'autant qu'il a fait remonter la sève en moi et le frottement de nos corps n'arrange rien à l'affaire. Et quand, il énumère les espaces sur lesquels il veut que je le possède, l'excitation devient grandissante. « Toi, tu assouvis tes fantasmes ! » Lui souffle-je au creux de l'oreille, avant de mordiller son lobe. Ce n'est pas pour me déplaire. Au contraire. Cela nous offre tellement de possibilités à explorer. Pour mon plaisir. Pour le sien. Je vais plus loin et je complète sa liste « Sur le billard ! » Soufflé-je en déposant un baiser dans son cou. « Contre le flipper ! » Tellement de choix. « En plus, il a tendance à suivre les mouvements ! » Coup de rein sur coup de rein, le flipper bouge en cadence. « Fais ton choix... En attendant, j'ouvre officiellement les hostilités ! » Je le libère mon étreinte. Avec mon index, je passe en revue son corps, j'effleure son torse, jusqu'à arriver au niveau de son entrejambe. Déjà, une bosse apparaît sous son pantalon tandis que je palpe généreusement l'endroit. Sans demander mon dû, je m'agenouille et je libère son phallus de sa prison. Je le prends en main... « Coquin ! Tu bandes déjà comme un âne ! » Je lève les yeux vers lui et, sans attendre le feu vert, je me jette sur sa chose, comme un lion affamé. Je sens son sexe continuer à grandir dans ma bouche tandis que ma langue titille son gland et que j'effectue des va-et-vient. Au point de heurter le fonds de ma gorge, de couper par intermittence ma respiration. J'apprécie cette entrée en matière. Ça serait faible de ma part de lui avouer, mais sa bite m'avait manqué... Que la fête commence !

Octobre 2020
« Cinquième, ce n'est pas si mal ! » Il te fait véritablement beaucoup sourire avec sa réparti. Surtout qu’il ne prend rien de tout ça mal. Ceci n’est qu’un échange de bon procéder. Du cul. Du bon temps. « Moi ? Toujours fidèle au poste pour dépanner. Bon pied. Bon œil ! » Il est très clair que ni l’un ni l’autre n’a réellement envie de savoir quoi de neuf depuis la dernière fois. Même son statut HIV tu n’en as pas besoin, tu pratiques le safe sex et tu te testes régulièrement.

Quand vous êtes seuls il ne perd pas de temps pour créer le contact entre vous. Il a raison. Le temps c’est quelque chose de précieux. « Si tu es bouillant, nous pouvons commencer les choses sérieuses ! » Vos bouches se rejoignent et il a l’air d’avoir envie plus que toi au final. Tu sais pas si c’est toi qui lui fait cet effet ou s’il n’a pas déchargé depuis longtemps mais c’est carrément agréable. Une de tes mains va sur ses fesses alors que l’autre profite de tâter son torse avant que tu proposes quelques plans pour la suite. « Toi, tu assouvis tes fantasmes ! » Tu apprécies de le sentir s’en prendre à ton oreille en même temps qu’il répond. Le multitask c’est bien. « Sur le billard ! » Oh ? « Contre le flipper ! » Tu commences à te marrer de l’entendre continuer son listing au milieu de ses baisers. « En plus, il a tendance à suivre les mouvements ! » C’est qu’il est vraiment drôle en plus. « Fais ton choix... En attendant, j'ouvre officiellement les hostilités ! » Tu le regardes se mettre à genoux face à toi et t’es déjà en train de te lécher les lèvres d’anticipation.

Il ne perd pas de temps pour tâter le terrain, pour ton plus grand plaisir. « Coquin ! Tu bandes déjà comme un âne ! » Il attend toujours pas pour te prendre en bouche et une de tes mains va se glisser dans ses cheveux. Il montre ses capacités buccales monsieur Byron et il te fait gémir plutôt fortement. T’as même pas eu le temps de choisir quel endroit tu veux investir, tu veux juste tirer ton coup maintenant que les festivités sont ouvertes. Tu es dans le besoin. Ouais. Ton cerveau est éteint.

Mais tu arrives quand même à trouver la présence d’esprit de vous guider jusqu’au flipper. Habillé de latex, tu donnes en premier lieu car tu n’es pas égoïste. Tes yeux qui vont et viennent sur le corps de Byron parsemé de cicatrices. Tu mords beaucoup sa peau, peut être trop. C’est ton langage silencieux pour lui faire comprendre qu’il peut y aller lui aussi. T’as envie d’avoir mal en même temps qu’il fait du bien. Il va finir avec des marques yep. Après le premier round (car tu supposes qu’il va y en avoir plusieurs vu toutes les propositions qu’il a fait des endroits à investir par ici), tu réalises que tu y es allé peut être un peu fort vu les marques que tu peux voir sur sa peau. « Je me suis laissé emporter on dirait… » C’est pas on dirait c’est carrément le cas même Jordan. Tu n’es franchement pas désolé car ce premier round était tout ce dont tu avais besoin pour te défrustrer. C’est d’ailleurs pourquoi tu ne t’excuses pas. Tu vas juste t’appuyer contre le flipper car t’es fatigué. Eh oui c’est du sport tout ça. Mais du sport qui te laisse un beau sourire assez large sur le visage.

:

Sweet fantasy

Feat @Jordan Fisher

Nous sommes seuls. Je ne tergiverse pas longtemps avant de l'adosser contre le comptoir et de m'agenouiller devant lui. Délicatement, j'abaisse son pantalon. Son boxer. Et je prends son dard en bouche. Doucement, je fais des va-et-vient et je laisse ma langue agir sur son phallus. J'entends ses gémissements. Il apprécie ma prise d'initiative semble-t-il. D'ailleurs, je sens une main se poser à l'arrière de mon crâne. Sa main. Elle ébouriffe mes cheveux. Avant d'entrer dans la danse et me pousser, je dirais même plus, me forcer à engloutir plus encore son engin. Au point d'attendre l'étouffement, à certains moments. J'aime cette sensation de ne pas être maître des événements. D'autant plus lorsque je sens que mon partenaire apprécie l'instant.

Il en veut plus. Il n'est pas rassasié. Il veut passer à la vitesse supérieure. Je ne peux m'y opposer. Je le regarde. Il me regarde. Sa bite est tendue. Dernier coup de langue, avant qu'il m'oblige à me relever. Directif, il me pousse vers le flipper. Lorsque mon corps rentre en contact avec celui-ci, sa stabilité est mis à mal. Le ventre face au plateau, mes yeux observent le fronton tandis que je sens que Jordan abaisse doucement jean et sous-vêtement. Peu à peu, mon cul s'offre à lui. Il joue avec mes nerfs tandis que j'attends qu'il prenne possession de moi. Ma respiration est saccadée. Jusqu'à ce que son sexe pénètre en moi. Plaisir absolu. Nous ne formons qu'un seul corps. Tandis que les premiers à-coups sont supportable et me procurent de belles sensations, le jeune homme perd peu à peu le contrôle. Je le vois. Le visage dirigée vers le fronton du flipper, j'aperçois dans le reflet le sien. Concentré sur ses coups de rein. De plus en plus puissants. Je perçois toute la hargne qu'il y met, pour mon plus grand plaisir. Je ne peux retenir mes gémissements face à ses va-et-vient réguliers. Son phallus en moi, il se penche sur moi, il passe un bras autour de mon cou et m'invite à me redresser. Je me laisse faire, en positionnant seulement mes mains sur le rebord. Et je continue à encaisser ses assauts tandis qu'il passe à une étape supérieure. En me mordant. Surpris dans un premier temps, je le laisse faire. Ce soir, à cet instant, je lui appartiens. Il peut faire ce qu'il veut de moi. Même me mordre si cela participe à lui procurer du plaisir. Et à décharger sa frustration. Évidente. Temps de pause où je le laisse faire. Et je 'souffre' en silence. Avant de l'inviter à reprendre de plus bel. Et qu'il donne tout ce qu'il a. Il s'exécute. Et donne quelques coups bien sentis qui, outre me procurer une satisfaction intense, entraînent le flipper dans une valse singulière.

Moment d’accalmie. De nouveau avachi sur la machine, je sens qu'il se retire. Je reste de marbre quelques instants, continuant à lui montrer mon fessier. Peut-être espéré-je qu'il ne soit pas rassasier et qu'il veuille bien encore me le titiller encore un peu. Transpirant, je me redresse à nouveau. Je retire pantalon et caleçon tombés à mes chevilles et je me retourne. J'aperçois un visage satisfait. Même s'il constate ne pas y être allé de main morte dans ses morsures. « Ça fait partie du jeu, non ? » Souffle-je. Je n'avoue qu'à demi mot mon côté parfois un peu masochiste. Je me recule et je m'approche du comptoir. Profitant de mon retrait auprès du flipper, il s'y accoude. Exténué. Avant de poursuivre notre petit jeu coquin, je passe de l'autre côté et j'attrape de chopes de bière, que je remplis à la tireuse. Je n'ai pas la force de faire des cocktails. Il m'a épuisé le Jordan. « Rien de mieux qu'une bonne bière fraîche. Pour reprendre des forces... Avant le deuxième round ! » Parce que je compte bien qu'il y ait un deuxième round. Pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Et pouvoir constater que son petit cul est toujours aussi chaleureux. Nu comme un vers, les deux chopes en main, je reviens vers lui et lui en tend une. De ma main de nouveau libre, j'en profite pour lui tâter le paquet, avant qu'elle ne s'intéresse plus spécifiquement, à son verso. Je sens que ses fesses n'attendent qu'une chose : s'amuser elles aussi. Nous consommons nos bières et, à peine sommes-nous à sec que je le dirige vers le billard. Non pas pour jouer avec les queues et les boules qui y sont présentes, mais pour qu'il prenne soin des miennes. « C'est reparti mon grand ! » Dis-je le sourire aux lèvres et les yeux brillants d'excitation. À son tour de m'honorer. D'un revers de main, je pousse le triangle dans un coin et je m'assoie sur le billard. Je regarde mon entrejambe. Je le regarde lui. Sans un mot, je lui fais comprendre ce qu'il lui reste à faire. Pour commencer. Échange de bons procédés.

Octobre 2020
« Ça fait partie du jeu, non ? » Tu hoches la tête, appréciant réellement la simplicité de tout le moment avec Byron. Tu as réellement besoin de plus de partenaires sexuels comme lui. Ceux là où tu ne te sens pas jugé de tes envies quand tu oses aller de ce côté là. C’est également pour cela que tu es plutôt du genre à avoir trois sex Friends car c’est la qualité et pas la quantité qui compte à présent. Tu ne veux que faire du bien autant à ton corps qu’à ton âme. Tu as assez subi dans le passé. Ce temps là est révolu.

Tu regardes le cul de Byron se déplacer pour apparemment vous servir à boire. Vraiment un plan cul premium celui là. Tu te félicites de l’avoir recontacté sans cogiter trop longtemps malgré les années qui vous séparent. « Rien de mieux qu'une bonne bière fraîche. Pour reprendre des forces... Avant le deuxième round ! » Ton sourire est large alors que tu prends la bière. « Merci. » Car il a raison et tu es content de voir que vous êtes sur la même longueur d’ondes pour la suite de la soirée. Quand il revient vers toi avec ton verre il profite pour te tâter tranquillement ce que tu laisses faire. Tu apprécies de voir qu’il aime ton corps car il est bien le seul de vous deux. « T’inquiètes pas, elles vont être à toi. » Que tu dis alors que tu le sens s’attarder sur tes fesses. Vous le voulez autant l’un que l’autre.

« C'est reparti mon grand ! » Et tu le vois qu’en plus il décide que ce sera sur le billard. Fuck yes. Tu ne le dis pas avec des mots mais ton regard et l’air sur ton visage parle pour toi. Tu finis ta bière d’un trait car tu as envie de le suivre la dessus et tu files lui offrir tes fesses sur le billard du bar. Tu espères qu’il aura autant d’égard pour ton orifice que tu ne l’as fait. Cependant tu ne dis rien car t’es totalement maso et tu apprécies la douleur. Tu laisses donc le destin décider de ton sort car dans tous les cas, c’est ce que tu veux. Un point important c’est que Byron soit protégé et tu y prends bien soin s’il ne l’a pas fait en premier lieu. Le dos sur le tapis du billard tu mates son corps au dessus du tiens en l’incitant à aller plus fort et plus loin. Tu joues de tes hanches autant que tu le peux pour vos plaisirs respectifs. Tu es plutôt très vocal, appréciant beaucoup trop l’endroit où vous êtes en train de vous amuser tous les deux. Tu ne t’empêches pas d’aller le mordre de plus belle quand sa peau est à proximité de tes dents, espérant qu’il te rende l’a pareille. Tu te laisses aller un peu plus fort, tu testes ses limites à chaque fois plus que celle d’avant, tu comptes pas aller trop loin, tu le respectes et tu n’as pas envie que ces retrouvailles soient également un point final. C’est beaucoup trop fun avec lui, ça fait du bien.

:

Sweet fantasy

Feat @Jordan Fisher

Nous nous octroyons un léger moment de répit. Histoire de reprendre notre souffle. Et nous désaltérer. Je le laisse, un instant, pour nous servir une bonne bière fraîche à la pression. Après ce moment torride, il faut que la température ambiante redescende. Je remplis les chopes. Je profite de la situation pour glisser dans ma main un glaçon. Doucement, je le passe dans le creux de mon cou. Fraîcheur bienfaitrice. Je frissonne tandis que le glaçon fond et les gouttelettes froides glissent sur ma peau, le long de mon échine. Le glaçon, n'ayant pas le temps de fondre dans sa totalité, je le pose sur le comptoir pour qu'il termine sa liquéfaction et je retourne vers Jordan, en tenant dans ma main les deux chopes. Je lui en offre une. Avant de profiter de ma main libre pour tâter la marchandise. Et j'apprécie ses formes. Je mordille ma lèvre inférieure. Affamé par tant de promesse. Et la bière que je tiens dans la main, n'étanchera pas cette soif. Et sa remarque me fait rire. « J'espère bien ! » Dis-je en envoyant un clin d’œil appuyé en direction du blond, avant de porter la bière à mes lèvres. Et d'en descendre quelques gorgées. Même si je reconnais le bienfait de la bière, je n'ai envie que d'une chose. Le retourner sur le billard. Je finis ma chope. Je patiente quelques instants. Il finit la sienne. Ni une, ni deux, je récupère la sienne et les poses sur la première table que je vois. Je ne peux attendre une seconde de plus. Et je le pousse vers le billard. Mes yeux s'attardent, brillants, sur son postérieur. Et j'ai envie de marquer mon territoire. D'ailleurs, tandis qu'il était sur 'pause', mon phallus reprend de la vigueur, à la seule pensée d'honorer le cul de Jordan.

Docile, Jordan se met en position. Il s'installe sur le dos. Et il attend la sentence. Je m'approche. Et, avant d'entrer en lui, j'enfile un préservatif autour de mon sexe. Puis, sans être trop hâtif, je commence à le pénétrer. Tout en douceur. Sans cesser de le regarder droit dans les yeux. Je veux lire dans son regard, le plaisir que je lui procure. Et pour cela, je lui assène des coups de rein. Vifs. Il ne peut retenir des gémissements. Et cela a tendance à m'exciter plus encore. Afin de lui offrir plus, je prends un nouvel appui, en positionnant mes mains de part et d'autre de sa tête, et laisse ses jambes, posées sur mes épaules. Et je donne d'autres à-coup puissants. Mon visage est près du sien. Soudainement, je le sens mordiller la peau de mon coup. Je serre les dents. J'ai mal. Mais je laisse l'excitation prendre le dessus. Et poursuis mes va-et-vient. Parfois doux. Parfois plus intenses. Au gré de mes pulsions. Et des siennes.

Je m'arrête en lui. Je le regarde. Et je plonge sur lui. Je l'embrasse. Et mes lèvres descendent sur son torse. Et je mordille ses tétons et la chair dans le creux de son cou. « Moi aussi, je peux être carnivore ! » Dis-je en avant de lui offrir un magistral coup de rein.

Octobre 2020
Byron joue le rôle à fond, tu veux pas croire que tu lui donnes chaud à ce point là. Ca reste très plaisant de le voir sortir le grand jeu, ou du moins, c’est comme ça que tu le prends quand tu le vois jouer avec un glaçon. Le sourire sur tes lèvres est toujours bel et bien là. « J'espère bien ! » Il a vraiment rien à craindre. Tu es même en train de te demander si vous allez finir chez lui ou chez toi, car ça ne poserait pas de problème. Tu ne dis pas non à prolonger encore plus votre moment ensemble. Qui sait quand sera la prochaine fois ? La vie est pleine de surprise.

Comme les coups forts que Byron t’assène et que tu encaisses non sans grimacer toute fois. Loin de toi l’envie qu’il s’arrête malgré tout, tu aimes trop quand le plaisir est mélangé à la douleur. « T’arrête pas… » Que tu lui dis pour prévenir avant de guérir. Tu t’occuperas des séquelles plus tard si y’en a. Pour le moment c’est le cadet de tes soucis car tout est au poil. Il s’en prend fortement à toi avec ses dents et tu apprécies qu’il le fasse. Il a retenu que t’aimais ça. « Moi aussi, je peux être carnivore ! » T’as pas le temps de répondre car il y va plus fort et plus loin sans préavis. Ta main qui se crispe fort sur son bras mais tu ne lui diras jamais de s’arrêter. Tu apprécies toutes les sensations.

Totalement exténué, tu n’es plus très sûr d’avoir envie de l’embarquer chez toi. Tu n’as qu’une envie c’est te reposer. Il a donné tout ce que tu as voulu et vraiment, tu n’aurais pas pu rêver mieux pour ce soir. Toujours allongé sur la table de billard, l’extase est passée il n’y a pas si longtemps. Ton souffle est plus rapide qu’à l’habituel. Tu laisses le temps faire son oeuvre avant de te redresser une fois l’osmose passée. « La prochaine fois on fera ça sur le comptoir. » Que tu lui dis naturellement et avec un sourire en coin au visage. « J’attendrais pas trois ans pour te rappeler. » Que tu avances. « Enfin je crois pas. » Tu te rattrapes car encore une fois, tu ne vois pas l’avenir.

:

Sweet fantasy

Feat @Jordan Fisher

Je ne traîne pas pour prendre position. Et prendre possession de son corps. J'aime sentir le plaisir que je lui procure. Mes va-et-vient sont rythmés. Parfois tendre. D'autres fois plus énergique. Et, en fonction d'eux, Jordan s'adonne à quelques vocalises, témoignages du plaisir qu'il l'habite. Même si, à quelques moments, ses gémissements sont teintés de douleur. Son visage se crispe. Mais il ne dit rien. Il encaisse sans rechigner. Car il aime ce savant mélange que je lui offre. Et il en redemande lorsque j'ose mettre le frein sur nos ébats. J'ai envie de prendre un nouvel appui. Pour lui donner d'autres sensations. Et, avant de poursuivre, je m'amuse avec sa peau. Je le mordille. Il n'émet aucun veto à ma hardiesse. Je poursuis. Peut-être un peu fort. Je sens sa main se resserrer sur mon bras. Fortement. Il ne m'en faut pas plus pour stopper nette cette initiative. Et de reprendre activement ma pénétration. Sans ménager mes efforts. Puisque c'est ce qu'il m'a fait comprendre. Et je donne tout. Pour le satisfaire. Jusqu'au moment où j’atteins le point de non retour. Et je décharge dans mon préservatif. Satisfait. Avant de basculer sur le côté, reprendre ma respiration et mes esprits.

Et nous laissons les secondes s'égrainaient. Sans un mot. Avant qu'il ne se redresse et propose que nous poursuivions, une prochaine fois, notre aventure sexuelle sur le comptoir. « J'avoue qu'il est très attirant ! » Soufflé-je, sans dissimuler mon sourire. Si nous attendions un peu, peut-être que nous pourrions poursuivre notre chevauchée fantastique. Mais, pour l'un comme pour l'autre, autant faire durer le plaisir. Et envisager une autre séance. Pas dans trois ans. Je ris. « Je ne sais pas si je vais avoir la patience d'attendre autant ! » Surtout en me faisant miroiter un tel programme. Je me relève. Je retire mon préservatif, je le condamne en faisant un nœud à l'extrémité avant de le jeter à la poubelle. Je me retourne et lui tend une main pour l'aider à se relever. « Tu veux peut-être prendre une douche avant de partir ? » Nous avons bien sué, nous nous sommes bien dépensés. « Et promis, je ne te suivrais pas ! » Je plonge mon regard dans le sien. « Sauf si tu le veux ! » On peut remettre le couvert. Mais je dois reprendre des forces pour ça. Malgré mon endurance, il m'a épuisé. Et je ne veux pas bâcler cet hypothétique troisième round. Autant rester sur une bonne note. Et se revoir rapidement. Pour continuer à s'amuser sans se prendre la tête. Du coup, je me ravise. « Non c'est une mauvaise idée... » Je vais vers le bar et je nous sers une nouvelle tournée. Histoire de se désaltérer et de mettre un point final à ses retrouvailles. Avant les prochaines.

Octobre 2020
« J'avoue qu'il est très attirant ! » Tu te demande si ça veut dire qu’il l’a déjà fait ou non. Les deux sont possibles et vu qu’il est le maître des lieux en quelque sorte, une partie de toi se dit qu’il n’a pas attendu tes envies pour investir ce beau comptoir. Sa répartie te fait en tout cas beaucoup sourire. C’est énormément de bonnes vibes quand t’es avec Byron. « Je ne sais pas si je vais avoir la patience d'attendre autant ! » Très clairement tu avais oublié comme les choses étaient simples et bonnes avec lui. Il vient de passer en haut de ta liste pour la prochaine fois que tu t’en sens l’envie. « Tu veux peut-être prendre une douche avant de partir ? » Une noble proposition qu’il te fait là. « Et promis, je ne te suivrais pas ! » Tu ris de l’entendre. « Sauf si tu le veux ! » Tu ris encore plus mais tu captes bien qu’il y a une ouverture si l’envie te prend. « Non c'est une mauvaise idée... » Il a changé trois fois de réponse avant que toi même tu ne dises ton désir.

Tu t’es remis sur tes pieds pour récupérer tes habits. « Je vais rentrer. » Tu déclines. Tu prendras la douche chez Maria et tu iras te coucher pour dormir comme un bébé tellement t’as donné de ta personne ce soir. Tu vas avoir mal au dos c’est sûr. C’est cool le flipper et le billard mais c’est pas confortable. Tu termines de remettre tes fringues et tu le vois vous servir une nouvelle tournée. Vraiment c’est royal ici. Tu vérifies que tu as ton téléphone, ton portefeuille, t’es prêt à filer mais tu vas le rejoindre au comptoir pour profiter de ce dernier verre. « Merci. » Que tu lui dis en allant déposer un baiser sur ses lèvres qui est aussi un au revoir au passage.

:

Contenu sponsorisé