ÂGE : 52 ans (18.04.71) SURNOM : Serg, quoique peu de personnes s'y risquent. Papa, à de très rares occasions. STATUT : Divorcé depuis 2002 sans jamais avoir réussi à tourner la page MÉTIER : Agent artistique en perpétuelle quête de diamants bruts LOGEMENT : #230 Edward Street, Spring Hill avec sa fille Paola à mi-temps, et son doberman. Depuis l'incendie, il vit (temporairement ?) au #32 Parkland Boulevard avec son ex-femme, Maritza, et les derniers gosses, Cesar et Alejandro POSTS : 1552 POINTS : 190
TW IN RP : manipulation, violence psychologique, homophobie, abandon parental, sexe, alcool, maladie infantile GENRE : Je suis un homme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : Beau parleur et manipulateur de première, ses intérêts passent avant tout ≈ Père de sept enfants qu'il a abandonné depuis vingt ans, et d'un bébé surprise venu se rajouter au lot en août 2022. Une vasectomie en avril 2022 s'est assurée que ce serait le dernier ≈ A fait fortune dans les contrats artistiques et les placements financiers ≈ Passionné de sports extrêmes -même les plus illégaux-, de jeux d'argents et de soirées prestigieuses ≈ Vit seul avec sa chienne doberman, Etna ≈ La peur de vieillir le guette ; il met un point d'honneur à s'entretenir du mieux qu'il peut.CODE COULEUR : #990000 RPs EN COURS :
AVATAR : Mark Consuelos CRÉDITS : tiph (avatar) + jokeperalta (gif profil & signa) + hipdict (profil) + harley (sergio et ses activités nocturnes) DC : albane (aka bébé banane), emery (aka le céleri) et garrett PSEUDO : tiph INSCRIT LE : 02/06/2021
(#) Sujet: two kinds of troubles (Lara #5) Lun 18 Sep 2023 - 23:20
two kinds of troubles
I was born smarter than most into this world of disarray. I was told to listen to all the dumb shit people say but I dig wisdom from my own well and I never had a moment of doubt. I worded a thesis at six years old that had the world all figured out, it goes : women - men, that's two kinds of trouble. Enemies - friends, just two kinds of trouble
Dire que Sergio était débordé aurait été un euphémisme. Entre la création de son agence, la maison et Paola à mi-temps, il ne se souvenait pas de la dernière soirée passée à profiter de son temps. Son emploi du temps restait idyllique d’un point de vue extérieur au vu du nombre de déjeuners extérieurs et de rencontres avec des clients. Mais chaque contact qu’il avait avec son cercle semblait soit être familial, soit professionnel. Cela faisait quelques jours (ou semaines ?) désormais qu’il avait parlé à Lara, implicitement promis de passer au club. Lui qui avait pris ses quartiers au Paradise fut un temps semblait vouloir se faire oublier. Pourtant, quand il passa enfin le pas de la porte, il eut droit au même traitement de faveur que d’habitude. Les filles l’accueillirent comme s’il était leur client préféré et il lui sembla voir un enthousiasme sincère. Sans doute parce que chaque dollar qu’il n’avait pas à payer dans ses verres finissait en pourboire. Il les avait observées, s’était demandé avec un certain amusement lesquelles d’entre elles l’appelaient ‘daddy’. Lara n’avait pas été particulièrement loquace sur le sujet et son ego devait admettre vouloir en savoir plus. Ses manières, en revanche, imposaient le silence, le sourire aimable et les politesses amicales. Comme d’habitude, il fut installé à sa table préférée, celle qui permettait une vue d’ensemble sur le club sans être trop proche du rebord de la scène, réservée au profil de clients qu’il méprisait particulièrement. Sans même qu’il n’ait à demander, le fameux whisky lui fut servi sec, sans glaçons. Les billets glissés sur la table, et il n’eut plus qu’à siroter en contemplant ce qui se passait. Rien n’avait changé dans l’ambiance du club. Que ce soit la qualité du spectacle, du service, ou le prestige qui émanait de l’atmosphère. Si l’investissement de base pour ce club pouvait paraître risqué, Sergio ne se faisait aucun souci pour sa capacité à prospérer dans le temps. D’autant plus s’il continuait d’être privilégié de la sorte. Et pourtant, seul à sa table, quelque chose semblait différent. Son regard s’attardait moins, son esprit n’envisageait pas une seule seconde de réserver une danse privée. Il ne profitait pas autant qu’il l’aurait voulu, attendant juste patiemment que Lara apparaisse dans son champ de vision. Il était après tout venu pour la voir plus que pour profiter de ce qui se tramait sur scène. C’était une curieuse sensation que de vouloir être à la maison plutôt qu’à s’amuser. Maritza lui lancerait certainement un de ses savants regards noirs si elle le savait ici. Ce n’était pas comme s’il avait des comptes à rendre ; après tout, une nuit ensemble était bien loin de vouloir signifier qu’elle était prête à lui pardonner. Mais le fait qu’il soit prêt à tout pour essayer de regagner ses bonnes grâces signifiait qu’il y aurait des concessions à faire, dont le Paradise. Elle méritait au moins cette forme de respect. Finalement, du coin de l’œil, il vit enfin la propriétaire des lieux apparaître. Elle n’était pas difficile à identifier, il suffisait de chercher la jeune femme en rose. Une des filles s’approcha d’elle pour lui susurrer quelque chose à l’oreille et il se pencha doucement du siège pour trinquer en sa direction dès que son regard se tourna vers lui. Ce ne fut qu’une question de secondes avant qu’elle ne le rejoigne, naviguant entre les sièges avec cette prestance qui ne passait jamais inaperçue. « Je commençais à me demander si tu étais là ce soir ou si tu étais occupée avec l’un de tes multiples projets. » Il avait tiqué sur la mention du centre, il ne pouvait pas le nier. Il avait un certain chic pour vouloir investir son argent dans des endroits qui ne lui demanderaient pas de travail mais assureraient des revenus. « Nouvelle recrue ? » demanda-t-il nonchalamment en pointant du menton la blonde sur la scène. Il ne ferait pas l’affront à Lara des banalités mondaines.
Lord knows I've got habits to break. I'm really good at being good at goodbyes. I'm gonna give you fair warning that I'm not a saint, but I could be if I tried • sheepirl.
Lara Pearson
la langue bien pendue
ÂGE : 30 ans (02.03.1993) SURNOM : baby pearson, the girl with the loud mouth, sugar... tu laisses les gens choisir, tu ne réagis plus depuis longtemps STATUT : mariée à son boulot, vous la trouverez très certainement dans son club, assise sur les genoux de votre père (sorry, he's her dad now) MÉTIER : girl boss ou auto-entrepreneuse, tu aurais pu t'arrêter à ton club de strip-tease, Paradise City, dans Redcliffe ou même les cours de danse que tu donnes, mais tu as jeté ton dévolu sur un complexe d'appartements qui dans quelques années accueillera un centre de remise en beauté, une gym, un spa et un studio de danse (oui tu fais les choses en grand) LOGEMENT : au milieu des cartons à Spring Hill, au 70 st pauls terrace, à la recherche de quelque chose d'autre POSTS : 821 POINTS : 290
TW IN RP : alcoolisme, intimidation (verbale & physique), nudité partielle et totale (strip-tease), mention de prostitution, prise de drogues et abus/violences physiques TW IRL : racisme, homophobie, transphobie, relations sexuelles non-consenties et/ou explicites (le suggéré et la métaphore filée sont mes meilleurs amis)GENRE : Je suis une femme ORIENTATION : J'aime les jolies filles. PETIT PLUS : black girl magic, y'all can't stand it • membre du clan des Pearson, tu as la chance de ne pas être sous les feux des projecteurs contrairement à certains • homosexuelle et fière de l'être • accro aux mini-jupes et à la malbouffe, que personne n'essaye de changer tes habitudes alimentaires • la danse est ta première passion et tu as réussi à en faire ton métier • vocale et toujours bruyante, tu ne passes pas inaperçue, surtout pas quand on sait que le rose est ta couleur préférée et qu'on le retrouve partout dans ta garde robe mais pas que • capable de mettre toute ta vie dans un sac à dosCODE COULEUR : #ff33cc RPs EN COURS :
pearsons • Even if you can't see, I'll never leave, cause you're the key to the kingdom. You're the key to the kingdom. Here some things you have to know, it go hard from have to grow. When you feel you've had enough, you gotta breathe. Just remember who you are, you forget, look to the stars. Even the strong, yeah, the weak...
diana • I'd like to make you suffer thought we loved one another, I saw all my old lovers around, be quiet, don't make a sound. 'Cause all my girls like to fight fight, fight, fight, fight. Al my girls like to fight, throw the first punch, now that we're done...
itziar • If you're gonna brag, make sure it's your money you flaunt, depend on no one else to give you what you want. The shoes on my feet, I bought it. The clothes I'm wearing, I bought it. The rock I'm rocking, I bought it. Cause I depend on me if I want it.
Si ton téléphone pouvait arrêter de sonner, cela t'arrangerait grandement. Voilà ce que tu te dis alors que tu refermes la porte du bureau que tu viens de quitter et l'appel que tu viens de terminer. La nuit est peut-être tombée sur Brisbane et pour certains, c'est le moment de ne plus décrocher leur téléphone justement, d'oublier tous leurs problèmes et de se laisser aller. Pas pour toi, il faut toujours gérer le club, le club doit tout de même tourner, il y a tous les détails à régler et il y a toujours toutes ces choses que tu as sur le feu. Peut-être que tu as vu trop grand, il y a encore des fonds à mettre dans la rénovation de ton dernier bien immobilier. Visiblement, réparer la tuyauterie va nécessiter plus de travail que prévu, et l'autre propriétaire des lieux n'est pas disponible. Il est à Bali avec sa copine du moment et il s'attend à ce que tu t'occupes de tout ça. Il attend toujours ta liste d'investisseur potentiels et la présentation que tu lui as promis car tu as retravaillé le projet et peaufiner un peu plus l'idée après ta discussion avec Evelyn. Et il y a toujours le club, la police qui commence à renifler trop près pour une histoire stupide. Et c'est tout aussi stupide qu'on vienne te voir parce qu'une des danseuses ne trouve pas sa tenue, une autre va être en retard d'une heure et... Tu pousses un soupir, tu remontes ta robe bustier rose sur ta poitrine et tu trouves des solutions. Quand tes talons claquent quelques moments plus tard, c'est quand tu diriges vers la salle principale, tu as retrouvé tes longs gants roses au passage, ils agrémentent ta tenue et te couvrent un peu plus, mais ce n'est pas comme si c'était ce que tu cherchais à faire, pas vrai ? Tu supposes que de loin, tu as l'air en contrôle et en passant près des tables, tu repères automatiquement Sergio. Seul. Tu n'as pas besoin de jouer des coudes pour le rejoindre, du tout même, on s'écarte presque sur ton passage et quand tu finis par l'atteindre, tu hausses les épaules. Seulement pour t'emparer de son verre à lui et le vider sans aucune hésitation. Pas très poli et le whisky te brûle un peu trop la bouche, tant pis, tu vas en avoir besoin. "Je suis là, je tiens à peine debout mais je suis là." C'est le plus important, tu portes ton attention toi aussi sur la scène, et tu tires la chaise à côté de lui alors que tu réponds. "Hmm ? Non, nouvelle perruque, elle est là depuis longtemps." Les hommes sont vraiment des créatures fascinantes, voilà ce que tu te dis l'instant suivant, te tournant de nouveau vers Sergio. Le temps est passé depuis votre dernière conversation de visu et il a loupé beaucoup de choses. Mais ce n'était pas comme si vous étiez particulièrement proches et que tu devais lui donner de tes nouvelles, pas vrai ? Ce n'est pas comme cela que tu le vois, c'est un partenaire d'affaires avant tout, ni plus, ni moins, pas besoin d'y voir autre chose ou de voir sa présence comme rassurante. "Mais je ne devrais pas être étonnée, pas comme si vous passiez au club pour poser des questions personnelles et envahissantes à mes danseuses pas vrai ?" Du tout, Sergio est comme toi, il n'aime pas perdre son temps, il va droit au but et si tu sais qu'il apprécie le club, son atmosphère et ses services, cela ne peut pas être la seule raison de sa venue, pas vrai ? Tant pis, tu décides de jouer les idiotes, le reste commence à devenir un peu trop fatiguant. "Comment va Paola? Ça fait depuis une éternité que je n'ai pas vu cette petite." Depuis très longtemps, tu ne peux pas mettre des séances de baby sitting dans ton emploi du temps en ce moment."Oui, c'est elle ma préférée, je le redis au cas où ce n'était pas clair par message." Il a le droit à un clin d'oeil. "Mais vous n'êtes pas là pour échanger des plaisanteries, je me trompe ?"
Yeah, b*tch, I said what I said, I'd rather be famous instead, , I let all that get to my head, I don't care, I paint the town red, Mm, she the devil, she a bad lil' bitch, she a rebel...
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