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 million dollar boat party (eliora #7)

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AuteurMessage
Flora Constantine
Flora Constantine
la petite souris
la petite souris
million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 7vHkInU Présent
ÂGE : trente-et-un ans (02.02.1993)
SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre
STATUT : une aiguille et du fil cousent entre eux les morceaux de son coeur fragilisé dont elle ignore comment stopper les saignements
MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir
LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon
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POSTS : 514 POINTS : 120

TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfant
CODE COULEUR : #7380B5
RPs EN COURS :
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ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.

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WEATHERTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.

million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 Exjd
STRINE › i'm only one call away, i'll be there to save the day. superman got nothing on me, i'm only one call away. call me, baby, if you need a friend. i just wanna give you love. reaching out to you, so take a chance. no matter where you go, know you're not alone. i'm only one call away. darling, if you feel like hope is gone, just run into my arms.

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POWERPUFF › uc.

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FLAKE › breathing flames from tourist trade. your eyes go quite frightening, you lock your gaze onto my face. heavy eyed crawling on the roadside, swinging from the street lights. i hope by the morning i will have grown back. i'll escape with him, show him all my skin, then i'll go. i'll go home.

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FLOYA › uc.

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FLINE › so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

RPs EN ATTENTE : auden #4
RPs TERMINÉS : (2022) auden #1ambrose #1(event) défilé weathertonelijah #1millie #1elijah #5james #1elijah #3auden #2bellamy #1carl #1

(2023) malone #1auden #3elijah #4elijah #2elijah #7elijah #8kieran #1elijah #6elijah #9jordan #1august #1elijah et blakeambrose #2penny #1blake #2shiloh #1elijah #16 aushiloh #2elijah #15tessa #1elijah #11eliora #12james #2ambrose #3kieran #2zoya #2blake #3millie #2


nanowrimo 2022 › 40 000 mots ✓
nanowrimo 2023 › 80 000 mots ✓

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AVATAR : emma watson
CRÉDITS : cristalline (avatar) astra (signature) loonywaltz (userbars)
DC : channing walker (ft. matthew daddario)
PSEUDO : eternalia, astre (amandine)
Femme (elle)
INSCRIT LE : 15/08/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t45755-we-accept-the-love-we-think-we-deserve-flora
https://www.30yearsstillyoung.com/t45768-flora-what-lies-beneath-the-surface
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Message(#) Sujet: Re: million dollar boat party (eliora #7) million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 EmptyLun 13 Fév - 13:08



million dollar boat party

Étrangère à la confusion manifeste sur les traits du brun, Flora se contente de le regarder se frotter les yeux sans pouvoir refréner un sourire coupable. Au réveil, n'importe qui est bien plus vulnérable qu'à aucun autre moment de la journée, et l'architecte ne fait pour son plus grand plaisir pas exception à la règle. La peau mordue par le soleil, les yeux cherchant à se préserver de la lumière, Elijah met quelques minutes à revenir à lui et à se tirer de peu importe quel songe Morphée l'avait retenu prisonnier. Avec ses cheveux en désordre et son short comique, son apparat actuel est de loin le plus simple qu'elle lui ait connu - le flegme de l'accueil de Weatherton et le chic-décontracté de la poissonnerie semblent bien loin, quoique pour la poissonnerie, en témoignent les homards sur le vêtement turquoise. Pour autant, celui qui bat des paupières d'un air un peu ahuri ne perd rien du charme qu'il dégage sans avoir besoin de fioritures diverses et variées, et probablement réaliserait-elle certaines choses en reconnaissant le trouver tout aussi attirant présentement que cintré dans un costume trois pièces. Un rire résonne discrètement entre eux alors qu'elle respecte plus ou moins silencieusement le temps dont il a besoin pour aligner ses pensées, l'attendant patiemment en le couvrant de son regard noisette. « Salut, Flora. » La voix rauque et l'air pas plus réveillé que lorsqu'elle a exercé une pression sur son épaule, Elijah s'étire et elle recule juste assez pour se rasseoir correctement après s'être penchée vers lui. et pour une personne ayant subi bien des excès la veille, il aurait presque bonne mine - presque. Ses cernes creusent son visage et il a l'air groggy, mais à sa place la brune n'aurait sûrement pas eu ne serait-ce le courage de se redresser - raison pour laquelle elle l'admire suspicieusement, un sourcil légèrement relevé au cas où il perdrait brusquement de ses couleurs et se précipiterait par dessus les barrières qui longent le pont. Mais l'héritier n'en fait rien, et acquiesce à son interrogation, vraisemblablement satisfait de son sommeil. « Comme un bébé. Et toi ? Tu n’as manqué de rien ? » Un peu surprise par son sens des priorités, elle secoue toutefois la tête dans un sourire. Elle n'a manqué de rien dans la cabine et aurait, au contraire, pu se contenter de bien moins - comme lui l'avait fait en s'endormant ici, à la merci du soleil et des sons ambiants, convaincu par les coussins moelleux. « Très bien, trop bien en réalité. » plaisante-t-elle doucement, se blottissant une seconde dans les vêtements amples qui pendent sur ses épaules. Le parfum ténu de leur propriétaire et celui frais de lessive se sont chamaillés la vedette toute la nuit contre sa peau, entre autres draps de soie et matelas de luxe. Flora, elle avait rarement aussi bien dormi que cette nuit, et l'expression de son visage témoigne de la véracité de ses propos. « Pourquoi est-ce que tu ne t'es pas trouvé une cabine toi aussi ? » l'interroge-t-elle assez spontanément, même si elle pense que l'aîné des Walker l'a guidée dans une par principe et n'a pas songé à s'offrir ce confort pour lui même, ou peut-être y avait-il pensé avant d'être distrait par les coussins et de s'en contenter. Peu importe, tant qu'il ait passé une bonne nuit. « Oh, merci, je crève de soif – bizarrement » Elle sourit lorsqu'il se saisit d'un des verres et le réduit à moitié en quelques gorgées, toujours aussi clouée par son énergie et sa facilité à se ressaisir - et plus les minutes passent, plus Flora doute qu'il se précipite par dessus bord pour rendre le contenu de son estomac. Elle lève à son tour son verre dans sa direction, un peu moqueuse, et en prend une gorgée plus raisonnable tout en laissant la brise marine soulever brièvement ses cheveux. « Tu es étrangement vif pour un réveil avec la gueule de bois. » commente-t-elle sans se défaire de son sourire, le regardant avec autant de bienveillance que de douceur. Tout est si simple en sa compagnie, et Elijah a la faculté de rendre n'importe quel moment évident et agréable sans sembler avoir besoin de faire des efforts démesurés pour y parvenir - il se tient là, tout sourire, taquin et de bonne humeur, et la Constantine n'a pas l'impression d'avoir besoin de quoique ce soit de plus. « J’ai pas la force de me traîner jusqu’en bas pour me laver » À cela, cependant, elle échappe un rire - voilà qui est bien plus réaliste. Ses lèvres révèlent son sourire, et elle secoue d'un air faussement las la tête en le regardant. « Maintenant tu es quelqu'un de normalement constitué. » souffle-t-elle en jetant un oeil derrière eux, en direction des cabines et des salles d'eau quelques mètres plus loin. Une nouvelle gorgée de jus d'orange en se reportant sur lui, et Flora ne se défait pas de son air amusé en attendant de le voir prendre une décision ou une autre - se rendormir ici ou se lever sur ses deux jambes en espérant ne pas les sentir se dérober. « Un peu de courage, tu peux le faire. » l'encourage-t-elle avec un peu plus de sérieux, le suivant du regard lorsqu'il se lève, puis fronçant les sourcils lorsqu'il lance par dessus son épaule en avoir pour deux minutes. Sa bouche acquiesçant d'une moue, elle bat toutefois lentement des paupières en le voyant se mettre à courir puis plonger dans l'eau turquoise qui les entoure. Redressant son dos sous la surprise, inquiète une seconde - comme si elle pouvait lui porter secours en cas de besoin, Flora abandonne son jus de fruits et se lève à son tour pour s'approcher des barrières du navire. La surface de l'eau tout à fait lisse, Elijah ne remonte que quelques secondes plus tard, secouant joyeusement la tête pour chasser l'eau de ses cheveux et lançant un regard victorieux dans sa direction. Bêtement, Flora s'apaise et secoue la tête en levant les yeux au ciel, amusée par son élan de folie. « Hâte que tu puisses me rejoindre ! » Elle chasse ses paroles d'un geste de la main, puis retourne sur les coussins sans se défaire de la légèreté qui anime ses traits, soufflant d'aise avant de se réinstaller sur les coussins où elle retrouve son téléphone portable - sans doute abandonné la veille. Encore un peu de batterie en réserve, le cellulaire s'anime sous les doigts de sa propriétaire et la demoiselle en profite pour faire un peu de tri dans ses notifications.

Allongée sur le ventre, pianotant distraitement sur son téléphone, la brune tend l'oreille en entendant s'avancer dans son dos. Elle termine son message à l'intention de sa colocataire puis repose son portable sur les coussins, se tournant à moitié vers celui dont les pas laissent des empreintes humides sur leur passage, s'étirant brièvement tout en conservant sa position latérale alors qu'Elijah est à nouveau à sa hauteur. Sa baignade improvisée n'équivaut pas à une douche, mais cela doit être suffisant pour se débarbouiller et patienter jusqu'à réunir assez de courage pour descendre au niveau inférieur - du moins, c'est ce qu'elle pense. Machinalement, ses yeux remontent le long de sa silhouette, en appréciant plus ou moins subtilement les courbes alors qu'il est déjà quasiment sec - mais la pilosité de son torse retient encore prisonnière quelques gouttes, et son attention s'y attarde avant de retrouver son regard. Il est beau, vraiment beau, et elle n'a cesse de se le répéter dès lors que son attention s'égare sur sa personne. Chez d'autres, Flora préférerait un torse lisse à un plus brut - mais ce détail lui plaît particulièrement chez celui qui se déplace négligemment, comme s'il n'était pas un véritable dieu grec en vadrouille. « Tu te sens mieux, elle est bonne ? » demande-t-elle avec un petit sourire, en profitant pour se tirer à sa contemplation. Elle le suit du regard lorsqu'il se penche pour finir son jus d'orange, puis sourit un peu davantage aux propos qui suivent. « Cet ensemble te va à ravir. Presque autant que ta robe d’hier, je dirais. D’ailleurs, je pense qu’elle doit bientôt être sèche. J’ai demandé qu’on te la lave. » Un certain amusement se dessine sur ses traits, avant de laisser place à une surprise quasi incrédule - faire laver sa tenue ? Ses lèvres s'entrouvrent en protestation même si elle a conscience qu'il est trop tard, et Flora expire par le nez en le courrouçant d'un regard à peine crédible. « Est-ce qu'il y a quoique ce soit à quoi tu ne penses pas ? » lui demande-t-elle en feignant le reproche, le ton doux, trop touchée pour lui en faire un quelconque. Il est prévenant et semble être partout à la fois, chose assez déroutante alors qu'elle le regarde avec un mélange de timidité et d'assurance. « Mais je t'accorde la remarque sur tes vêtements - il me va bien ce pyjama. Merci Eli. » plaisante-t-elle avec un regard pour son t-shirt à l'effigie de la célèbre franchise de baseball. Il n'y rien de plus confortable que des vêtements trop grands, et ceux de Elijah flottent allégrement sur sa silhouette. « Je vais chercher de la crème solaire. Tu veux quelque chose à boire, à manger ? » Ses yeux retrouvent les siens et elle hausse doucement les épaules, acquiesçant sans grande conviction. Elle ne mange jamais le matin, ou très rarement, toujours pressée par le temps et peu attirée par les paquets de céréales qui trônent dans ses placards - et, même s'il est davantage l'heure de bruncher que de prendre un petit déjeuner, Flora n'est pas davantage tentée. « Je n'ai pas très faim - mais si tu trouves un peu de jus d'orange en trop, pourquoi pas. » suggère-t-elle dans un sourire innocent, l'encourageant d'un signe de tête à aller dénicher un tube de crème avant de finir de la même couleur que l'animal à pinces sur son bas. Le temps pour elle de finir son verre et de se prélasser rêveusement sur les coussins, fermant les yeux le temps d'un souffle d'aise, Elijah est de retour les bras chargés - assez pour susciter le respect et un sens de l'équilibre insoupçonné. Elle se redresse, fait un peu de place, et ses yeux s'arrondissent progressivement à la vue de la garniture du plateau - et peut-être, finalement, que l'appétit monte. Elle n'ose toucher à rien, échappe un rire à moitié nerveux à la vue du caviar, et regarde Elijah commencer à piocher sans bouger. « Finalement - tu penses qu'il y en a assez pour deux ? » demande-t-elle dans un sourire taquin avant de prendre un morceau de mangue, incapable de savoir par où commencer. « J’ai l’impression qu’ils ont loupé le moment où j’ai frôlé le coma éthylique hier – ou alors, ils se sont dit qu’il fallait soigner le mal par le mal » Elle grimace à cela, sans jamais trop de sérieux, et se charge de les resservir en jus tandis que le brun se lève et s'éloigne pour se mettre de la crème. Une minute durant, elle est dépassée par la démesure de la situation - et de sa simplicité autant que de son extravagance. Tout cela est normal pour lui, mais elle a besoin d'encore un peu de temps pour s'y adapter - même si elle se débrouille déjà plutôt bien. Elijah se charge de se tartiner au prix d'incommensurables efforts, et elle s'amuse en coin en le regardant, l'attendant pour poursuivre de piocher dans le plateau et profitant ainsi du spectacle non négligeable auquel elle assiste. « Tiens. Je ne voudrais pas être responsable de tes brûlures au troisième degré. » Il termine et elle se saisit du tube dans un sourire, lui tendant son verre de jus en échange. « Mes brûlures ou ma noyade, au choix. » Elle le gratifie d'un clin d'oeil pour appuyer sa plaisanterie - probablement le premier qu'elle lui adresse même si lui l'a habituée à de nombreux, puis entreprend d'étaler de la crème protectrice sur ses bras et ses jambes, reprenant son innocence la seconde qui suit.

Ils reprennent leur brunch au rythme de conversations toutes plus légères les unes que les autres, plaisantant de ça et là, Flora ajustant sa position en tailleur en piochant - quoiqu'avec moins d'appétit que le brun, dans le plateau. Les fruits sont succulents, le granola est probablement le meilleur qu'elle ait eu la chance de goûter, et même s'il s'agit en majorité de gourmandise la brune prend plaisir à partager ce moment avec lui et à satisfaire son estomac - chose rare, compte tenu de son intérêt limité pour la nourriture. Elle n'a jamais été trop gourmande, mais est forcée de reconnaître que les préparations auxquelles elle goûte en compagnie de l'aîné des Walker sont toujours particulièrement bonnes. Portant une nouvelle fraise à ses lèvres, elle suit le geste d'Elijah vers son téléphone - et, comme lui, s'y reprend à deux fois lorsqu'il s'en saisit pour naviguer sur son écran. La Constantine se détourne vers l'océan par principe en le voyant s'y concentrer, un air serein sur les traits, et ne se reporte sur lui que lorsqu'il attire son attention. « Regarde ça, comme on est adorables » Elle fronce les sourcils et se penche vers le téléphone à son tour, faisant de l'ombre sur l'écran à l'aide de son main pour mieux y discerner la photo. Timidement, son assurance retombe et elle l'interroge d'un regard avant de se saisir du téléphone pour jeter un oeil aux commentaires et aux différentes réactions. Le cliché rend particulièrement bien, ils sont effectivement adorables et elle se pince l'intérieur de la joue. Bêtement, le rose lui monte aux joues, et elle rend son cellulaire à son propriétaire dans un sourire un peu coupable. « Je suis désolée - enfin, je ne sais pas si tu voulais apparaître comme ça avec moi. » souffle-t-elle en esquissant un sourire hésitant, coinçant nerveusement une mèche de cheveux derrière son oreille. Sa langue passe sur ses lèvres pour les hydrater, et elle poursuit après un petit haussement d'épaules. « La photo est belle, et moi je m'en moque - mais toi ? » l'interroge-t-elle en plongeant doucement son regard dans le sien, un sourire sur les lèvres pour mieux faire entendre ce qu'elle ajoute. « Pour ce que j'en sais, tu as peut-être quelqu'un ou des vues - la superbe brune qui était chez toi l'autre jour ? » l'interroge-t-elle avec un air qui se veut amusé. Elle réajuste distraitement sa position sur les coussins, puis reprend son verre dont elle dérobe une longue gorgée - de mimosa. « Mais tu es rayonnant dessus. et elle est chouette, cette photo. » précise-t-elle sans retrouver ses yeux. Flora, elle se moque de faire le tour des réseaux à ses côtés - à n'en pas douter que beaucoup voudraient être à sa place. Mais elle ignore le ressenti que peut avoir Eli fasse à un tel cliché, et aux rumeurs qu'il risque de susciter - est-ce vraiment bien vu pour un homme de son rang d'apparaître ainsi aux côtés d'une illustre inconnue ?
rainmaker



 
the innocence of my lips ☽ smear the innocence of my lips, feel you bruising me its boundless, you kill me and show me a world i feel whole in, never felt closer to demise, floating over all the stop signs and still i write pages of promise and cadence its quite alright baby

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Elijah Walker
Elijah Walker
les mauvaises décisions
les mauvaises décisions
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ÂGE : 39 ans (04/01/1985)
SURNOM : eli, simple et efficace
STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris
MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland.
LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle
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POSTS : 2522 POINTS : 2000

TW IN RP : ex-toxicomanie
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelle
CODE COULEUR : eli se pavane en #00B464
RPs EN COURS :

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WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.

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ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?

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ELETT ✵ boy, when I left you, you were young, i was gone, but not my love. i want you to be happy, free to run, get dizzy on caffeine, funny friends that make you laugh. i know you'll feel the ghost of some memories so warm.

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ELIYA ✵ yes my love, i confess to you - i am only here to break your heart in two. the very flower you chose that day, its only task was to decay. indeed, it's wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light - your loving arms are the true delight.


RPs EN ATTENTE : zoya #5

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Spoiler:

RPs TERMINÉS : elila #1channing #1lexie #1mila #1elila #2zoya #1walkers #1sofia #1eliora #1eliora #2 (au bunyip) rhett #1eliora #3eliora #4eliora #5lexie #3channing #3mila #2gabrielle #1xmas 2022eliora #6eliora #7ji-yoon #1rhett #2zoya #2lexie #4eliora #8naomi #1mila #3zoya #3rhett #3eliora #9blake #1eliora #10 + blake #2dahlia #1rhett #4walkers #3eliora #15eliora #16 (au)channing #6 (au)eliora #11savannah #1eliora #12mila #4zoya #4channing #4

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AVATAR : henry cavill
CRÉDITS : dramaclubsandwich (avatar), sillyrabbit81 (gif profil), henrycavilledits (gif signature), mon reuf (le reste)
DC : aucun
PSEUDO : balderdash, zoé
Femme (elle)
INSCRIT LE : 18/04/2022
https://www.30yearsstillyoung.com/t44193-survival-of-the-fittest-eli
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Million Dollar Boat Party
 
@Flora Constantine & Elijah Walker



Petit à petit, les dernières traces sacrément coriaces des rêves perturbants d’Eli s’évanouirent au profit de la réalité, mais le Walker ne fut nullement aidé par la similitude troublante du casting de ses songes et de sa vie réelle. L’homme à la maîtrise hors du commun des émotions gardait, vaille que vaille, un air apparemment imperturbable, ou tout du moins apte à dissimuler l’objet de son émoi. Arborant un sourire innocent et un air globalement assez endormi, Eli se concentra du mieux qu’il put sur la jeune femme, désormais tout à fait habillée, qui se tenait à ses côtés mais dont l’expression adorable ne manqua pas de susciter un tout autre type d'émoi chez l'héritier. Elle ne l'avait jamais laissé indifférent, mais cela n'avait pas été un fait remarquable en soi – Eli avait toujours été sensible aux charmes des femmes avec lesquelles il interagissait, ne niant jamais l'évidence lorsqu'il les trouvait attirantes ou particulièrement belles, sans nécessairement faire quoi que ce soit de cette sensibilité ; fort heureusement, Eli n'était pas un animal et, plutôt que de voir sa libido ou ses fantasmes se faire débordants, en était arrivé à considérer ces plastiques de rêve comme des œuvres d'art qu'il se plaisait à admirer de loin. Avec Flora, c'est un peu plus complexe – il se plaisait à croire qu'il considérait sa beauté de la même façon factuelle et dénuée d'arrière-pensée que celles dont il croisait régulièrement la route sans jamais s'y arrêter. Mais, en raisonnant de la sorte, il omettait complaisamment la façon dont il l'avait, de la plus naturelle des façons, draguée dès leur première rencontre, bien trop sensible à son charme pour ne pas se laisser emporter par le magnétisme qu'il l'avait sentie dégager alors qu'ils n'étaient que deux inconnus. Il omettait la déception piquante qu'avaient générée ses bonnes résolutions lorsque Channing l'avait confronté à ses responsabilités, et il omettait les petits bonds que faisait son cœur quand elle partait d'un petit rire à l'une de ses plaisanteries ou quand ses joues rosissaient légèrement lorsque leurs regards s'accrochaient un peu trop longtemps. Jusque là, Eli était parvenu à ignorer ces signaux qui lui suggéraient assez clairement qu'il n'était pas question que d'une attirance innocente qui ne signifiait rien de plus. Cette tâche se révélait toutefois bien plus ardue maintenant que ses rêves avaient trahi de la plus évidente des façons qu'il ne s'agissait pas que de cela. Eli aurait pu pousser le déni jusqu'au bout et maintenir que les rêves n'étaient pas porteurs de messages significatifs, qu'ils ne reflétaient pas les désirs qu'il nourrissait secrètement mais n'étaient que l'expression des vagabondages vides de sens de son inconscient. C'est d'ailleurs la façon dont il rationaliserait la situation dès que son cerveau encore trop embrumé par le sommeil et la gueule de bois retrouverait ses pleines capacités. Mais, en attendant, l'émoi et la perplexité qu'il éprouvait étaient irrépressibles et il n'était en état de déployer aucune parade pour y remédier. Tout au plus, il parvenait à composer une apparence relativement neutre, mais à l'intérieur, l'ouragan de questions et de doutes faisait ravage. Rester focalisé sur la conversation qui s'entama entre eux ne lui fut possible qu'au prix d'un effort surhumain, et, pour une fois dans sa vie, il fut reconnaissant à sa gueule de bois de fournir un alibi solide à son manque de réactivité. Laborieusement mais de manière assez convaincante, Eli retrouva l'air enjoué et léger dont il avait le secret, son expression innocente dissimulant remarquablement les pensées loin d'être orthodoxes que Flora aurait pu susciter chez lui après les rêves passionnés qu'elle lui avait inspirés. « Hein ? Ah, euh, en toute sincérité je me suis posé devant l'eau parce que je suis un homme poétique, puis je me suis endormi sur les coussins », confessa-t-il avec un sourire un poil narquois, nullement gêné d'admettre que son choix de literie était en réalité un échec critique, en réalité plutôt soulagé de paraître à peu près normal à l'issue des montagnes russes que son cerveau venait de lui faire traverser. De manière tout à fait miraculeuse, son imposture s'avéra fructueuse, car Flora lui fit bientôt remarquer qu'il avait l'air bien plus alerte qu'il ne l'aurait dû. Eli prit la remarque avec un soulagement qu'il parvint à faire passer pour de la désinvolture à laquelle vint se greffer une pointe de culpabilité lorsqu'il entreprit de lui expliquer pour quelle raison il parvenait à ne pas être réduit à un état végétatif. « J'ai subi trop de gueules de bois pour pouvoir me permettre d'être KO – sinon, ma productivité en aurait pris un coup, t'imagines. Du coup, j'imagine que mon corps s'est habitué, à force », répondit-il d'un ton sarcastique, pas fier pour un sou de passer pour un ivrogne, mais comme toujours, la vérité primait sur la bienséance dans la bouche du Walker. Le pire là-dedans était sans doute que ce tableau peu reluisant était loin de dépeindre le degré de débauche auquel il s'était longtemps habitué : si maintenant, Eli se considérait relativement sage bien que son pauvre foie devait sans doute en penser autrement, la réalité avait été toute autre il y a quelques années à peine. Ses deux décennies à l'étranger avaient été rythmées par des excès incalculables, et sa carrière à New York avait été bâtie à grands renforts d'aspirine en lendemain de veille et d'anxiolytiques pour apaiser des descentes un peu trop coriaces. Ses écarts ne se limitaient à l'époque d'ailleurs pas aux soirées scandaleuses qui succédaient aux heures de bureau. Ainsi, toutes les occasions avaient été bonnes pour sabrer le champagne en fin de réunion, et les journées trop longues ou trop fatigantes avaient été rendues plus supportables grâce à l’énergie que procuraient les drogues stimulantes. Vingt ans durant, Eli avait revêtu l’allure d’une véritable caricature de personnage de Tarantino, avant de se décider à enclencher la pédale de frein lorsqu’il avait fini par perdre tout contrôle sur ses dérapages. Avec ce contexte à l’esprit, il était donc plus compréhensible qu’admettre que les gueules de bois n’étaient plus réellement un problème pour lui ne soit, tristement, pas la confession la plus pénible à faire à Flora. Une confession qui ne l’empêcha par ailleurs en rien de le railler joyeusement, se permettant des piques moqueuses qui contrastaient avec la politesse dont elle faisait habituellement preuve à son égard.

Un bref plongeon plus tard, Eli se sentit enfin retrouver un semblant de forme dont l’acquisition ne tarderait pas à se compléter lorsqu’il aurait de la nourriture dans le ventre et de la protection sur la peau. En arrivant à nouveau près des coussins sur lesquels se prélassait Flora, Eli ne put réprimer un regard sur sa silhouette élancée, dont les courbes se devinaient approximativement sous les vêtements trop grands dont elle était affublée. La voir porter ses vieux vêtements de sport ne le laissait pas indifférent – et pour cause, les femmes qu’il voyait allongées nonchalamment, habillées de ses affaires à lui, l’étaient généralement dans un contexte bien particulier, dont l’intimité aurait eu raison de le faire rougir s’il avait été plus prude. Ce n’était ici bien évidemment pas le cas, pourtant, les connexions se firent impitoyablement dans son esprit torturé, et il dut se faire violence pour se concentrer sur la conversation qu’elle entama dès qu’elle s’aperçut de son retour à ses côtés. « Encore meilleure qu’hier soir », lui assura-t-il avec un sourire taquin, avant de la charrier sur la tenue source de ses états d’âme déstabilisants. Il ne tarda pas à retrouver son aisance, copieusement aidé par Flora qui entreprit bientôt de flatter son amour-propre en découvrant qu’il avait fait laver ses vêtements – par quelqu’un d’autre, lui n’ayant eu à bouger le moindre muscle, si ce n’est ceux de sa bouche pour énoncer la consigne. Mais c’était visiblement l’intention qui touchait Flora, et Eli arbora une expression faussement humble tandis que son coeur sembla faire un bond dans sa poitrine face à la reconnaissance presque scandalisée de la jeune femme. « Absolument rien. Je suis parfait – autant que toi dans ce pyjama », répliqua-t-il avec un sourire goguenard, qui se fit attendri en la voyant se pavaner dans ses vêtements trop grands, manifestement conquise par l’assortiment douteux qu’il avait composé au petit matin. « Garde-le, un petit mémento pour ne pas m’oublier. Mais ne dis rien à ton cousin, d’accord ? », charia-t-il d’un ton complice, réprimant l’envie de lui pincer la taille comme il l’avait spontanément fait la veille, tout désinhibé qu’il était à ce moment-là.

Même si la désinhibition et l’insouciance de la veille avaient disparu au profit d’un retour à la réalité qu’ils avaient tous deux cherché à fuir l’espace d’une soirée, la conversation se fit simple et spontanée entre les deux acolytes qui échangèrent piques et taquineries autour d’un véritable festin, lui en maillot criard, elle en pyjama de fortune. Et lorsque, au détour d’une boutade bien placée, Flora lui adressa pour la toute première fois un clin d’oeil porteur de la même complicité que celle à laquelle lui l’avait habituée à de nombreuses reprises, l’héritier crut sentir son cœur manquer un battement. Il adorait cette facette plus intrépide,moins contenue qu’elle s’autorisait à lui dévoiler de plus en plus, et qui compliquait considérablement son aptitude à feindre le désintérêt alors qu’elle faisait brûler en lui un sentiment indescriptible, loin d’être désagréable mais si perturbant qu’il aurait préféré ne pas le ressentir. Le temps s’égréna sans qu’ils n’en aient la moindre notion, trop concentrés sur leurs bavardages dont le sujet n’allait pourtant probablement pas révolutionner le cours de leurs vies, mais cela ne les rendait en rien moins indispensables à leurs yeux, qu’ils ne parvenaient à détacher l’un de l’autre. Ce n’était pas la première fois qu’ils partageaient cette énergie presque frénétique qui les faisait se perdre dans des conversations sans fin, mais la sensation restait aussi rafraîchissante que si elle avait été inédite, et ils auraient sans doute continué longtemps sur leur lancée de sujets sans aucun rapport les uns avec les autres si Eli n’avait pas, soudain, été distrait par le raz-de-marée de notifications qui avait envahi son téléphone. La découverte qu’il fit n’eut rien pour lui déplaire, et sur son visage se mêlaient amusement et tendresse lorsqu’il montra la photo à Flora et que celle-ci, une fois n’est pas coutume, piqua un fard qui lui donnait l’air absolument adorable. L’héritier ne tarda toutefois pas à froncer légèrement les sourcils, perplexe, en voyant sa réaction se faire étrange, d’abord par son non-verbal qui sembla trahir un malaise, puis par les explications absolument absurdes, introduites de surcroît par des excuses dont il ne comprit pas le sens, qu’elle lui fournit à voix basse. Il commençait à connaître, ne fût-ce qu’en partie, les réactions de Flora, et ne manqua pas de remarquer la prudence dans sa voix, les tics qu’elle avait avec ses cheveux, la façon dont elle s’humectait nerveusement les lèvres et le haussement d’épaules prétendument indifférent qui se succédèrent chez la jeune femme, qui s’inquiétait apparemment d’embarrasser le Walker en figurant à ses côtés sur sa photo d’anniversaire. « Qu’est-ce que tu racontes comme bêtises, Flora ? », interrogea-t-il avec perplexité, cherchant à comprendre ce qui avait bien pu donner cette impression erronée à la jeune femme, dont il ignorait à quel point l’estime d’elle était faible. Ses sourcils froncés se haussèrent alors, disparaissant presque derrière les boucles en désordre qui barraient son front, et sa bouche s’ouvrit dans un “O” parfait lorsqu’il crut comprendre ce qui semblait tant inquiéter la Constantine. Il éclata d’un rire franc et secoua la tête avant de retrouver son regard. « Mila ? Oh, non, pas du tout, détrompe-toi », pouffa-t-il, sans chercher à clarifier pour Flora la nature de sa relation pour le moins particulière avec l’italienne qui avait emménagé dans son appartement quelques mois auparavant – tout ce qui lui paraissait pertinent, c’était que la relation en question ne relevait en rien de l’engagement, ni des sentiments amoureux. Eli marqua une petite pause, avant de répondre de manière un peu plus exhaustive à la question que Flora lui avait posée à demi-mot. « Ni Mila, ni personne d’autre, d’ailleurs. Je… c’est pas mon truc. Les relations. Je pense que j’ai dû développer une allergie », plaisanta-t-il en feignant une légèreté toute composée d’amusement, un détachement dénué du moindre regret à ce sujet. « Au grand désespoir de ma mère, d’ailleurs. Mais donc, en attendant de l’apaiser elle, il n’y a personne susceptible d’être jaloux de cette photo – enfin, personne dont l’avis me semble pertinent », rectifia-t-il, l’air mutin, en terminant son verre de mimosa. Il n’avait pas l’habitude de se confier sur sa vie personnelle, et s’il était globalement remarquablement à l’aise avec Flora, ce sujet-là fit toutefois naître une drôle de sensation qu’il se garda bien de laisser remarquer sur ses traits détendus. « J’ai l’air d’un idiot bourré, dessus – ce qui reflète plutôt bien la réalité, finalement. Mais toi… tu as un très joli sourire, Flora. Et ça se voit qu’on rigolait bien, tous les deux. J’aime beaucoup cette photo », commenta-t-il sobrement, tapotant deux fois sur l’écran pour ajouter son like aux milliers qui s’accumulaient déjà sous le cliché. Il releva ensuite le regard vers elle, son sourire se faisant inquisiteur, bien que quelque peu timide. « Et toi ? Il y a quelqu’un qui a eu la chance de te conquérir ? J’espère que Weatherton et le DBD te laissent assez respirer pour prendre soin de ta vie privée », questionna-t-il, sous-entendant sur le ton de l’évidence qu’à ses yeux, les seuls motifs pouvant justifier le célibat de Flora seraient le surmenage ou l’exigence de la jeune femme – car pour Eli, il était évident et même incontestable que des prétendants, il devait y en avoir à la pelle. La veille encore, il avait fait les frais de l’excès de zèle de l’un d’entre eux, et il n’y avait nul doute qu’il n’en était qu’un parmi tant d’autres qui, bien comme Eli, s’étaient vus envoûtés par le charme si particulier et si magnétique de la belle Flora.

rainmaker



❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.

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Flora Constantine
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la petite souris
la petite souris
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ÂGE : trente-et-un ans (02.02.1993)
SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre
STATUT : une aiguille et du fil cousent entre eux les morceaux de son coeur fragilisé dont elle ignore comment stopper les saignements
MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir
LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon
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TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfant
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RPs EN COURS :
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ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.

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WEATHERTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.

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STRINE › i'm only one call away, i'll be there to save the day. superman got nothing on me, i'm only one call away. call me, baby, if you need a friend. i just wanna give you love. reaching out to you, so take a chance. no matter where you go, know you're not alone. i'm only one call away. darling, if you feel like hope is gone, just run into my arms.

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POWERPUFF › uc.

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FLAKE › breathing flames from tourist trade. your eyes go quite frightening, you lock your gaze onto my face. heavy eyed crawling on the roadside, swinging from the street lights. i hope by the morning i will have grown back. i'll escape with him, show him all my skin, then i'll go. i'll go home.

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FLOYA › uc.

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FLINE › so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

RPs EN ATTENTE : auden #4
RPs TERMINÉS : (2022) auden #1ambrose #1(event) défilé weathertonelijah #1millie #1elijah #5james #1elijah #3auden #2bellamy #1carl #1

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nanowrimo 2022 › 40 000 mots ✓
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AVATAR : emma watson
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Message(#) Sujet: Re: million dollar boat party (eliora #7) million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 EmptyMer 15 Fév - 18:27



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Elijah ne manque jamais une occasion de la surprendre. Flora, elle sait que l'impression qu'elle a de le connaître n'est qu'une illusion - mais plus il s'ouvre à elle et partage des détails sur sa vie, plus la brune se sent proche de la personne qu'il est derrière les apparences. Elle se plaît à découvrir des côtés plus sensibles de sa personne à l'allure si imperturbable, et aime se sentir un tantinet privilégiée de le voir sous cet angle. La brune, elle se force à se souvenir qu'il est celui au contrôle de leurs échanges et de la direction prise par les conversations auxquelles ils s'adonnent - mais elle aime, de plus en plus fréquemment, le taquiner sur un sujet puis un autre et user de sa malice pour l'encourager à laisser un peu de leste. et, à force de persévérance, elle avait décelé une minuscule faille dans sa parade - une qu'il ne semblait pas considérer comme telle, raison pour laquelle elle avait pu l'entrevoir. Le brun était, entre autres choses, un homme qui semblait accorder un point d'honneur tout particulier à l'honnêteté - et il s'agissait là d'une qualité à double tranchant. Son charisme, son éloquence et son flegme ne pouvaient que jouer en sa faveur, peu importe les circonstances : mais son honnêteté, quant à elle, pouvait se retourner contre lui. et si sous-entendre quelques déboires de jeunesse vraisemblablement responsables de sa teneur à l'alcool n'avait rien de dramatique dans leur situation, l'information n'étant pas une dont Flora ferait quoique ce soit si ce n'est sourire, la Constantine se surprit toutefois à l'imaginer devoir faire face à des journalistes malins. Avait-on déjà usé de stratagèmes en apparences respectables pour essayer de lui soutirer des informations ? Savait-il mentir, lorsqu'il y était contraint, et ce avec autant de facilité qu'il avait de faire tout ce qu'il entreprenait ? Ou pâtissait-il, assez bêtement, à contrer ce côté si spontané de sa personnalité ? Avait-il vraiment des faiblesses, ou prétendait-il en avoir certaines pour ne pas encourager autrui à déceler ses véritables ? Ses yeux noisette parcourent les siens aux nuances uniques, et la brune se contente de sourire doucement à ses aveux - celui de l'homme poétique puis celui de ses KO de jeunesse. Elle n'émet oralement aucune remarque quant à ce côté poétique - bien que son sourire appuie un air faussement réprobateur sur son hôte, son regard se faisant rieur face à la façon élégante qu'il a de lui admettre s'être endormi ici sans le choisir réellement. Ce n'est que la deuxième fois qu'Elijah fait mention de sa jeunesse, et pourtant Flora brûle d'en savoir davantage - il laisse deviner des déboires qui piquent sa curiosité, et elle serait ravie de l'entendre se décrire dans des situations peu flatteuses, curieuse de savoir ce qui pouvait bien l'attirer alors qu'il était un enfant à qui tout souriait. Sa curiosité n'a cependant rien de mal placé - si elle veut connaître ses mésaventures, c'est seulement pour pouvoir sourire au souvenir et le visualiser, pas pour le juger ou partager cela avec qui que ce soit. Flora, elle est probablement autant digne de confiance que lui est sincère - soit d'une manière surprenamment infaillible. Par la suite, la paire continue d'échanger, et ce jusqu'à ce que le grand brun pique une tête dans l'océan avant d'en ressortir revigoré et affamé. La petite souris se contente quant à elle de l'attendre, détendue dans les coussins, allant jusqu'à s'y prélasser un peu avant de le voir réapparaître et de se redonner une certaine contenance - tout à fait relative, compte tenu de son accoutrement et de sa position décontractée dans les assises. Elle sait qu'ils sont seuls, qu'aucun bourgeois ne la jugera, et Elijah ne le fera pas non plus. « Encore meilleure qu’hier soir » Elle sourit à la remarque, heureuse de l'entendre, et laisse ses lippes se ourler encore un peu davantage à la nouvelle qui suit - il a demandé à faire laver sa robe. Elle ne sait pas quand, ni comment il a pu se faire cette réflexion, mais l'accueille dans une agréable surprise - elle aime beaucoup ce pyjama de fortune, mais se voit mal regarder son appartement avec. Quoique - mais sa robe demeure son premier choix, et elle n'a aucune inquiétude quant à la précaution qu'a dû prendre peu importe qui l'a lavée. Le tissu, puisque cousu à la main, demeure plus fragile qu'une robe ordinaire - mais à en juger par ne serait-ce la couleur de la pièce, la brune pense à un rinçage amplement suffisant à la main qui ne risque nullement d'en altérer la qualité. et cela la fait sourire. « Absolument rien. Je suis parfait – autant que toi dans ce pyjama » Un rire s'échappe d'entre ses lèvres et elle secoue la tête, chassant prudemment le regard. Oh, parfait, il a tout l'air de l'être - mais ce n'est certainement pas son cas dans cet ensemble, avec ses cheveux emmêlés et son air idiot tant elle se sent détendue à ses côtés. « Ne dis pas de bêtises. » souffle-t-elle avec un semblant de reproche, ignorant si elle s'est faite entendre. « Garde-le, un petit mémento pour ne pas m’oublier. Mais ne dis rien à ton cousin, d’accord ? » Ses yeux retrouvent les siens, et Elijah doit commencer à s'habituer à l'air qu'elle adopte lorsqu'elle est surprise. Ses sourcils réhaussés, un sourire amusé sur la bouche qui s'avoue vaincu en une moue, elle n'insiste pas pour garder l'ensemble - elle manque cruellement de vêtements larges et informes pour s'y blottir sans état d'âme, et cette tenue aura une symbolique sentimentale en plus de se prêter parfaitement au rôle. « Je n'ai pas besoin de ce mémento pour ne pas t'oublier - mais deal, je le garde et je ne dirais rien à James. » acquiesce-t-elle en tendant la main pour sceller un genre de pacte, riant à nouveau alors que ses doigts fins et frais contrastent avec ceux toujours étrangement tièdes de l'héritier. Sa poigne est douce et ferme, et si ce n'est pas la première fois que leurs mains se touchent, elle trouve toutefois quelque chose de chaleureux dans cette poignée de mains. Quelque chose de léger et d'enfantin, une chose qu'elle n'avait pas encore partagé avec l'aîné des Walker et qui s'ajoute à la liste de toutes ces petites interactions auxquelles ils donnent vie.

Après ce nouvel excès de facilité et de naturel, les deux compères continuent de plaisanter jusqu'à ce que l'écran de téléphone de l'architecte s'allume sous une nuée de notifications - fait qui attire leurs regards, même si la demoiselle en détourne le sien et ne l'y reporte qu'une fois invitée à le faire. et la vue du mobile suscite en elle des sentiments tous plus contradictoires les uns que les autres, la chaleur se diffusant en elle avant d'être rattrapée par une vague de froid, la fierté faisant tambouriner son coeur puis l'inquiétude le faisant changer de rythme. Le cliché est superbe - il est de ceux dont la magie du moment se retranscrit, un considéré comme candide et frappant par son authenticité, et Flora l'aime beaucoup. Mais il ne trompe personne quant à la drôle d'alchimie qu'ils partagent, quant à l'aise qu'ils ont l'un auprès de l'autre, et la brune y interprète bien des détails qu'elle est incapable de regarder en face lorsqu'elle partage des moments aux côtés de l'héritier. Cette photo, elle lui saute aux yeux et sa simplicité est aussi troublante qu'effrayante. Alors elle panique - un peu, en quelque sorte, comme si cette image décrivait en lettres capitales leur lien tout à fait atypique et pourtant si criant de sens. « Qu’est-ce que tu racontes comme bêtises, Flora ? » Ses yeux retrouvent les siens et elle sent ses joues se réchauffer, naïvement, sans qu'elle ne puisse les en empêcher. Ses dents s'accrochent nerveusement à l'intérieur de sa lèvre inférieure, et elle assiste à l'expression hébétée du grand brun dont l'air se fait respectueusement amusé malgré son éclat de rire. Elle ne le quitte pas des yeux, parfaitement - ou presque si on occulte la façon dont son sourire s'étire nerveusement, immobile. « Mila ? Oh, non, pas du tout, détrompe-toi » Elle pensait qu'il irait un peu plus loin dans l'explication, mais il n'en fait rien - et elle trouve ça suspect malgré elle. Mila, la femme qui s'était ellipsée lors de sa venue, était tout à fait charmante - même superbe, si elle osait le reconnaître. Elle ne l'avait vue qu'une poignée de secondes, mais Flora n'avait pas eu besoin de la regarder davantage pour soupçonner la force de ses charmes auprès de la gente masculine. Sûrement italienne, elle avait de magnifiques cheveux bruns et brillants, des yeux bleus hypnotisants, de grands cils charbonneux et un corps tout en finesse sans manquer de courbes pour autant. Enveloppée dans ce qu'elle avait reconnu être une robe d'une grande maison, la jeune femme incarnait à n'en pas douter bien des fantasmes - et si Flora avait été de ce bord là, aucun doute qu'elle aurait voulu davantage qu'un sourire de la prétendue colocataire. et puisque cette dernière partageait le toit d'un homme lui aussi privilégié par une Dame Nature vraisemblablement inspirée, la Constantine peinait à croire qu'ils ne faisaient que se saluer le matin. Elle n'y croyait même pas une seule seconde, même si la moue peu convaincue qu'elle affiche ne donne pas lieu à davantage de questions. « Oh d'accord - pardon, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise. » Elle s'excuse sans en faire des montagnes, plus pour noyer le poisson qu'autre chose. « Ni Mila, ni personne d’autre, d’ailleurs. Je… c’est pas mon truc. Les relations. Je pense que j’ai dû développer une allergie » - « Une allergie ? » Cette fois-ci, c'est à son tour de pouffer, son visage se tordant en une expression aussi incrédule que profondément hilare - nerveusement, certes. Elle essaie de contenir un rire en gardant ses lèvres pressées l'une contre l'autre, échouant lamentablement, cachant sa bouche du revers de sa main en laissant éclater un rire à l'air libre, se forçant à se reprendre tandis que le brun continue. De toutes les réponses, elle n'avait certainement pas envisagé celle-ci - même s'il n'y avait rien d'aussi drôle qu'elle le laissait transparaître. Mais cela éclairait bien des zones d'ombres. « Au grand désespoir de ma mère, d’ailleurs. Mais donc, en attendant de l’apaiser elle, il n’y a personne susceptible d’être jaloux de cette photo – enfin, personne dont l’avis me semble pertinent. J’ai l’air d’un idiot bourré, dessus – ce qui reflète plutôt bien la réalité, finalement. Mais toi… tu as un très joli sourire, Flora. Et ça se voit qu’on rigolait bien, tous les deux. J’aime beaucoup cette photo » Elle acquiesce, déjà ailleurs, s'éclaircissant la gorge en reprenant une gorgée de mimosa. Peut-être était-il trop parfait finalement - et quelle autre explication à ce qu'elle s'apprête à sous entendre puisque Mila ne lui inspire aucune folie, et qu'il semble tout à fait désintéressé par la gente féminine au point qu'elle ne lui inspire aucun désir d'engagement et ce pas même alors qu'il a désormais trente huit ans ? « Je - c'est sûrement maladroit, et terriblement indiscret. Tu n'es pas obligé de me répondre, et je garderais le secret si tu veux bien me le confier. » commence-t-elle en le regardant, un air inhabituellement malicieux dans le regard en le regardant avec une bienveillance intacte derrière son amusement. « Est-ce que tu préfères les hommes ? » l'interroge-t-elle avec sérieux, pendue à ses lèvres. Elle l'avait vu embrasser une jeune femme en boîte de nuit, et un collègue au café lui avait raconté l'avoir vu en charmante compagnie - mais cela ne comptait pas, il s'agissait peut-être d'une amie, et peut-être avait-il été ivre au point de se laisser aller à ce petit jeu à l'Electric sans y trouver un quelconque intérêt autre que celui d'essayer. Flora se redresse dans son siège par la suite, continuant de siroter la boisson sur laquelle elle a jeté son dévolu, l'air serein. « Et toi ? Il y a quelqu’un qui a eu la chance de te conquérir ? J’espère que Weatherton et le DBD te laissent assez respirer pour prendre soin de ta vie privée » Après ce petit passage pour le moins déroutant, Flora reprend un peu de sérieux sans perdre de son sourire et de sa légèreté, mais haussant d'un air nonchalant les épaules comme elle se plaît à le faire dès lors que le sujet est un peu délicat. Elle s'humidifie, de la même façon, les lèvres et reporte son regard dans le sien avec un peu de taquinerie. « Plein de rouleaux de tissus se battent pour mes beaux yeux, ça me suffit amplement. » avoue-t-elle avec un drôle d'apaisement, camouflant d'une main de maître toutes ses faiblesses à ce sujet. Flora, elle sait qu'elle est assez mignonne pour une nuit, mais qu'on ne trouve pas d'intérêt supplémentaire chez elle après l'avoir obtenue. Elle partage un peu de chaleur de ça et là, rarement en réalité mais se plaisant à la compagnie d'un homme intéressant lorsqu'il lui plaît sous différents aspects, mais n'allant jamais au-delà. Elle préfère ne pas fréquenter la personne jusqu'à la voir se désintéresser, et préfère amplement l'intérêt à l'apparence si sincère lorsqu'il est nouveau que celui qui s'effrite peu à peu en découvrant qu'elle ne renferme rien de plus qu'un coeur trop tendre et des rires trop innocents. « Je ne suis pas aussi allergique que toi, cependant. » précise-t-elle sans trop savoir pourquoi. Flora, elle aimerait bien trouver quelqu'un - mais elle ne cherche pas pour autant, ça lui fait trop peur.
rainmaker



 
the innocence of my lips ☽ smear the innocence of my lips, feel you bruising me its boundless, you kill me and show me a world i feel whole in, never felt closer to demise, floating over all the stop signs and still i write pages of promise and cadence its quite alright baby

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Elijah Walker
Elijah Walker
les mauvaises décisions
les mauvaises décisions
million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 IAeu3cF Présent
ÂGE : 39 ans (04/01/1985)
SURNOM : eli, simple et efficace
STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris
MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland.
LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle
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POSTS : 2522 POINTS : 2000

TW IN RP : ex-toxicomanie
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelle
CODE COULEUR : eli se pavane en #00B464
RPs EN COURS :

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WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.

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ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?

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ELETT ✵ boy, when I left you, you were young, i was gone, but not my love. i want you to be happy, free to run, get dizzy on caffeine, funny friends that make you laugh. i know you'll feel the ghost of some memories so warm.

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ELIYA ✵ yes my love, i confess to you - i am only here to break your heart in two. the very flower you chose that day, its only task was to decay. indeed, it's wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light - your loving arms are the true delight.


RPs EN ATTENTE : zoya #5

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Message(#) Sujet: Re: million dollar boat party (eliora #7) million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 17:14




Million Dollar Boat Party
 
@Flora Constantine & Elijah Walker



« C'est vrai que je suis plutôt inoubliable », renchérit-il avec un petit rire, son expression adorable incitant Flora à ne pas lui tenir rigueur de sa délicieuse arrogance que sa maîtrise de l'ironie aurait presque rendue acceptable. Tant au sens propre que figuré, Eli prenait ses aises aux côtés de Flora. Au terme d'une poignée de main complice autour du pyjama dont il lui avait fait don, Eli gratifia la petite souris de Weatherton d'un sourire rayonnant et s'installa un peu plus confortablement. Parfaitement dans son élément, il s'allongea perpendiculairement à elle après lui avoir tendu son téléphone, reposant le haut de son corps contre le dossier constitué par des coussins relevés contre la paroi derrière eux. Il fouilla quelques instants dans les recoins du siège dont seuls eux deux semblaient avoir profité la veille, et en extirpa victorieusement son paquet de cigarettes et sa paire de lunettes de soleil qu'il posa sur son nez, revêtant instantanément l'allure d'une star de cinéma des années cinquante, un portrait qu'il acheva de peaufiner en allumant le petit cylindre de tabac qu'il avait nonchalamment calé entre ses lèvres. À la place de l'eau qui avait ruisselé le long de son torse quelques moments auparavant, de petites gouttes de sueur perlaient et glissaient le long de son cou pour se perdre dans la toison qui recouvrait son torse exposé au soleil brûlant de l'été australien. Il fallait être sacrément stupide pour s'exposer ainsi au soleil à l'heure la plus chaude de la journée, ou bien sacrément insouciant, comme pouvait souvent l'être l'aîné Walker, qui n'était de surcroît pas dans sa meilleure forme pour prendre des décisions éclairées. Il tira tranquillement sur sa cigarette, s'amusant bientôt, une expression de surprise attendrie venant habiller ses traits, de la réaction déconcertante de la jeune femme visiblement gênée par la fameuse photo que lui-même adorait sans la moindre retenue. Lui apparut absolument à l'aise, dans son élément, bien loin des questionnements qui l'avaient taraudé encore quelques instants auparavant. La photo aurait pourtant pu soulever bien des interrogations supplémentaires : les expressions et l'énergie qu'elle avait immortalisées témoignaient d'une complicité qui ne s'inventait pas, et les commentaires sous la publication allaient dans ce sens, chacun y allant de sa spéculation quant aux connotations qu'elle véhiculait. Conquête, amie proche ou fiancée : les qualificatifs employés à titre hypothétique pour désigner Flora étaient nombreux, et parmi eux ne figuraient certainement pas ceux d'employée ni de connaissance. Étrangement, cela ne dérangea ni ne déstabilisa l'héritier, dont le flegme et la légèreté habituels avaient repris leurs droits et le rendaient à nouveau à même de s'amuser de tout et de balayer d'un revers de la main tout questionnement susceptible d'envisager que les commentaires, sans refléter la stricte vérité, n'étaient pas totalement incongrus et à côté de la plaque. Dans l'esprit borné et bétonné par le déni d'Eli, la réflexion s'arrêtait tout simplement à qu'est-ce qu'on est beaux et rieurs sur cette photo, et cela lui convenait naturellement tout à fait.

Pendant quelques instants, Eli fut ravi de voir son assurance revenue, sans plus avoir à fournir d’efforts pour se donner contenance en présence d’une Flora dont la compagnie était redevenue synonyme de spontanéité et de simplicité. Avec son habileté coutumière, il répondit laconiquement aux interrogations de Flora, sans s’arrêter sur l’expression sceptique de cette dernière lorsqu’il survola de la plus superficielle des manières le sujet de sa relation avec Mila, se contentant d’un nouveau sourire rassurant lorsqu’elle lui présenta des excuses dont, à nouveau, il ne comprit pas vraiment la raison d’être. « Ne t’excuse pas. Tu ne me mets jamais mal à l’aise », glissa-t-il tranquillement en tirant sur sa cigarette, nullement perturbé par les questionnements de Flora. Il était toutefois bien loin de se douter de la tournure que s’apprêtait à prendre la conversation juste après que ses maigres explications concernant son célibat eurent arraché un rire à la jeune femme, qui se fit incrédule à son tour. L’hilarité de Flora se fit contagieuse et Eli fit écho à son large sourire, tout en se demandant à quoi elle pensait lorsque son expression se fit étrangement absente. Il ne la pressa toutefois pas et détourna la tête pour contempler l’eau turquoise de la baie, tout en portant son verre à ses lèvres. Lorsque Flora reprit la parole, son ton si doux et prévenant qu’il en sembla hésitant, Eli reporta son regard sur elle, intrigué de savoir où elle voulait en venir. Lorsque la question qui brûlait visiblement les lèvres de la brune atteignit les oreilles de l’héritier, celui-ci resta interdit et arbora simplement une expression ébahie, très manifestement pris de court par les propos de Flora qu’il n’avait absolument pas vus venir. Ses lèvres s’étirèrent légèrement, tandis que ses sourcils se haussèrent à nouveau, et le silence se fit pendant les une à deux secondes qu’il lui fallut pour reprendre contenance. Car décontenancé, il l’était très certainement – une fois n’est pas coutume, l’imperturbable masque d’Eli s’effrita sous l’effet d’une stupéfaction comique. L’espace d’un instant, son expression évoquait furieusement à celle d’un smiley, et Eli ressembla à s’y méprendre à cet alignement d’emojis que Flora adorait utiliser en juxtaposant deux yeux et une bouche au milieu. « Non, je ne crois pas », répondit-il finalement, le rire qui lui chatouillait la gorge nettement audible dans sa voix. « C’est pas faute d’avoir essayé, d’ailleurs – j’ai eu une phase d’exploration, il y a longtemps, quand j’étais plus curieux que je ne le suis maintenant… mais ça n’a pas été concluant », précisa-t-il avec un petit rire, jetant à vau-l’eau la pudeur qui allait habituellement de paire avec son honnêteté dont il ne sous-estimait nullement la dangerosité pour sa propre intimité qu’il gardait si jalousement. Avec Flora, la transparence était étonnamment facile, bien que manifestement, certains sujets vinrent sur le tapis plus facilement que d’autres, comme une certaine italienne au sujet de laquelle il ne s’était pas épanché. « C’est parce que j’ai parlé d’allergie que tu as tiqué ? », demanda-t-il avec une curiosité franche, cherchant à comprendre quels signaux il avait envoyés pour la conduire à cette conclusion qui, loin de l’offenser, l’avait pour le moins désarçonné. Une chose était sûre : il était parvenu à faire passer inaperçus tant son rêve que l’effet que ce dernier avait exercé sur lui au réveil. À cette pensée, Eli pouffa doucement, avant de se redresser dans un grognement pour éteindre sa cigarette dans le cendrier et de se rallonger tout de suite après, tournant à nouveau la tête vers Flora. « J’ai pas été chanceux en amour. J’ai beaucoup souffert après une relation très destructrice, il y a quelques années. Ça m’a propulsé dans une période très sombre, et j’ai eu beaucoup de mal à m’en sortir », expliqua-t-il finalement, surpris de la facilité avec laquelle les mots lui vinrent pour évoquer la partie la plus douloureuse de sa vie, dont il ne parlait pour ainsi dire jamais. « Après ça, je me suis dit que c’était une expérience que je ne voulais plus jamais réitérer… et finalement, je pense que c’est pas plus mal pour moi de fonctionner comme ça », argua-t-il avec un sourire qui ne fut pas dénué de cynisme. « Bien sûr, quand tu m’as demandé si j’avais quelqu’un dans ma vie, je ne t’ai pas balancé de but en blanc que je fuyais les histoires sérieuses – j’avais pas particulièrement envie de passer pour un gros con, mais bon, appelons un chat un chat. » Il pouffa, l’air légèrement désolé sans pour autant sembler honteux de ce mode de vie qu’il avait adopté depuis des années et dans lequel il se complaisait de manière plutôt satisfaisante. Il espérait simplement ne pas baisser dans l’estime de la brune, se convaincant que c’était uniquement parce qu’il la considérait beaucoup et qu’il voudrait que la réciproque reste vraie. Brièvement et de manière assez étrange, il eut envie de se justifier, de lui préciser qu’il n’était pas un briseur de coeurs ni un manipulateur, qu’il mettait un point d’honneur à ne jamais manquer de respect ni de considération, et que jamais il n’alimentait de faux espoirs chez celles qu’il entreprenait de charmer. Il ne fit toutefois rien de tout cela, conscient que ce serait de mauvais goût et tout à fait hors propos. Il n’était certainement pas là pour vanter ses propres qualités, ni pour la convaincre de son honnêteté en tant qu’amant. Cela aurait été malvenu, et même absurde lorsqu’il y réfléchissait à deux reprises. Pourtant, l’impulsion avait été là, péniblement réfrénée par l’héritier qui peinait à comprendre le fil conducteur que ses pensées s’obstinait à suivre bien malgré lui.

Lorsque la conversation dévia sur la vie sentimentale de Flora, Eli s’attendit à voir celle-ci trahir la timidité et l’embarras qui la submergeaient assez facilement lors de leurs discussions et il se demanda même s’il n’avait pas été trop intrusif en lui retournant sa question, soucieux de ne pas la mettre à mal en la bousculant dans son intimité. Pourtant, la jeune femme fit preuve d’une sérénité et d’une aisance toutes particulières en lui répondant sur le ton de l’humour, soutirant une nouvelle moue amusée à Eli qui hocha la tête entendue. « Comme je les comprends », commenta-t-il au sujet des rouleaux de tissu dont elle confia partager la vie, une expression malicieuse habillant ses traits. La réponse lui était venue comme ça, spontanément, avec une légèreté appuyée par sa moue taquine, pourtant, elle ne reflétait que la plus stricte vérité : s’il avait été moins têtu et obstiné, Eli aurait sans doute été en tête de file à se battre pour les beaux yeux noisette de la styliste en herbe. S’il avait été en mesure de l’admettre, aurait-il peut-être mieux compris pourquoi il s’était senti bizarrement mal à l’aise, presque envahi de doutes lorsqu’il avait évoqué son propre voeu de célibat dont il s’était pourtant juré qu’il ne reviendrait pas dessus, convaincu qu’il avait suffisamment souffert de son engagement passé pour prendre le risque d’être blessé à nouveau ? Jamais il n’avait été insatisfait de troquer son ancien penchant pour le romantisme et l’engagement contre un mode de vie sans attaches et dénué du risque de se voir happé par des sentiments dangereux qui n’étaient plus les bienvenus dans son cœur méfiant. S’il avait été moins aveuglé par son déni, il aurait peut-être identifié la façon dont ce même coeur avait bondi, de manière presque imperceptible, dans sa poitrine lorsque Flora avait formulé une plaisanterie au sujet de prétendants fictifs, mais dont il était pourtant convaincu qu’ils existaient bel et bien dans le quotidien de la jeune femme. Eli ne s’attarda pourtant nullement sur ces considérations, trop concentré sur les propos de sa comparse pour perdre du temps à affronter ses propres pensées. Toujours allongé sur le dos, il croisa les mains sur son ventre en écoutant avec intérêt Flora, la tête toujours tournée vers elle, ses prunelles turquoise pétillant derrière les verres fumés de ses lunettes de soleil. Et ses lèvres de s’étirer à nouveau en un sourire en coin lorsqu’elle affirma être moins allergique que lui, attendri autant qu’il n’était amusé. « C’est plutôt rassurant », murmura-t-il, avant de poursuivre, sur le ton de la plaisanterie, « Si je peux te donner un conseil, ne deviens pas une imbécile aigrie comme moi, ce serait du gâchis. » Et peut-être qu’une pointe de mélancolie perça dans sa voix à cet instant-là, sans qu’il sût en identifier la raison.

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❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.

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Flora Constantine
Flora Constantine
la petite souris
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ÂGE : trente-et-un ans (02.02.1993)
SURNOM : flo sonne comme une évidence, elle entend également constantine de temps à autre
STATUT : une aiguille et du fil cousent entre eux les morceaux de son coeur fragilisé dont elle ignore comment stopper les saignements
MÉTIER : ses rêves abandonnés, elle est à présent barista au dbd en journée et barmaid à l'electric playground le soir
LOGEMENT : au #03 james street à fortitude valley. elle partage cet appartement avec Millie, des cochonneries entassées dans les placards et de précieux rouleaux de tissus dans un coin du salon
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POSTS : 514 POINTS : 120

TW IN RP : ptsd, achluophobie, maladie, deuil. mentions : overdose, addiction, drogue, relation abusive
GENRE : Je suis une femme
ORIENTATION : J'aime les beaux garçons.
PETIT PLUS : née à Sydney, elle vit à Brisbane depuis ses six ans › terrible cuisinière, elle mange toutes les cochonneries qui lui tombent sous la main › rêve de devenir styliste › elle a développé une peur phobique de l'obscurité suite à un accident de voiture › artiste, elle passe des heures à dessiner tous les jours › elle adore les animaux, peu importe qu'ils soient mignons ou non › maladroite, deux pieds gauches et un sourire innocent pour s'excuser d'avoir renversé votre café › elle rêve de voyages et d'évasion › très douce, grande enfant
CODE COULEUR : #7380B5
RPs EN COURS :
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ELIORA › you still know of dawn, but you always return. when you hid under my black wings, they couldn't have protected you from anything. once in flight they would have let go. you would have once again wound up below. only broken, indeed, its wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light.

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WEATHERTINE › under the surface, you don't know what you'll find until it's your time. no second chances but all we can do is try. i made up my mind. i can't see you but i hear your call. baby, hold on now, we're going home. if we make it or we don't, we won't be alone. if you're waiting all your life, you won't ever go. when I see your light shine, i know i'm home.

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STRINE › i'm only one call away, i'll be there to save the day. superman got nothing on me, i'm only one call away. call me, baby, if you need a friend. i just wanna give you love. reaching out to you, so take a chance. no matter where you go, know you're not alone. i'm only one call away. darling, if you feel like hope is gone, just run into my arms.

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POWERPUFF › uc.

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FLAKE › breathing flames from tourist trade. your eyes go quite frightening, you lock your gaze onto my face. heavy eyed crawling on the roadside, swinging from the street lights. i hope by the morning i will have grown back. i'll escape with him, show him all my skin, then i'll go. i'll go home.

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FLOYA › uc.

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FLINE › so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

RPs EN ATTENTE : auden #4
RPs TERMINÉS : (2022) auden #1ambrose #1(event) défilé weathertonelijah #1millie #1elijah #5james #1elijah #3auden #2bellamy #1carl #1

(2023) malone #1auden #3elijah #4elijah #2elijah #7elijah #8kieran #1elijah #6elijah #9jordan #1august #1elijah et blakeambrose #2penny #1blake #2shiloh #1elijah #16 aushiloh #2elijah #15tessa #1elijah #11eliora #12james #2ambrose #3kieran #2zoya #2blake #3millie #2


nanowrimo 2022 › 40 000 mots ✓
nanowrimo 2023 › 80 000 mots ✓

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AVATAR : emma watson
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DC : channing walker (ft. matthew daddario)
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Message(#) Sujet: Re: million dollar boat party (eliora #7) million dollar boat party (eliora #7) - Page 2 EmptyDim 19 Fév - 13:44



million dollar boat party

« C'est vrai que je suis plutôt inoubliable » Il l'est - pas de la façon dont il le sous entend avec malice, mais Elijah est bel et bien inoubliable. De sa facilité à la faire sourire à celle dont de minuscules fossettes se dessinent au coin de son sourire, de son implacable assurance à ses charmes tous plus déconcertants les uns que les autres, l'héritier est tout sauf ordinaire. et peu importe quand leurs interactions prendront fin, Flora sait qu'elle ne l'oubliera pas. Il a été son tout premier client, un homme particulièrement charismatique et un avec qui elle a eu une facilité rare à s'ouvrir et échanger, et que leurs entrevues cessent demain ou dans plusieurs mois Elijah a désormais une place toute particulière dans son coeur et ses souvenirs. Si elle était plus honnête avec elle-même, la brune aurait pu se douter dès le premier jour au showroom que le Walker ne serait pas qu'un joli minois sur lequel elle ne reviendrait pas. Mais forte quant à nier l'évidence, elle avait voulu se convaincre en vain qu'il ne deviendrait jamais davantage que ce qu'il était destiné à être dans un premier temps - un client, un qu'elle aurait dû diriger vers plus compétent qu'elle au moment où leurs yeux se sont croisés. Mais Flora avait été maladroite en fermant son carnet de dessins, plus idiote encore en entamant une conversation avec lui plutôt que de se presser à l'arrière boutique pour trouver plus compétent qu'elle, et elle devait à présent faire avec lui et ses clins d'oeil, lui et ses taquineries, lui et son maudit regard particolore. et elle devrait faire avec jusqu'à ce que les années effacent péniblement tous les détails dont elle s'était imprégnée à force d'heures passées à le regarder.

Son sourire s'étire pudiquement à la façon qu'il a de reprendre le fil de leur conversation, ignorant royalement l'air désabusé qu'elle adopte en levant les yeux au ciel tout en secouant la tête de gauche à droite. Elijah tire tranquillement sur sa cigarette alors qu'il poursuit pour éclairer certaines zones d'ombres, et la brune s'excuse distraitement pour chasser un quelconque malentendu. « Ne t’excuse pas. Tu ne me mets jamais mal à l’aise » Il est imperturbable. Elle marque une pause en le regardant, et continue de l'écouter avant d'assembler peu à peu les pièces du puzzle que l'architecte lui fournit une par une, la faisant s'interrompre plusieurs secondes en laissant ses yeux divaguer dans le flou qui les entoure. Flora ne s'est pas posée la question, et maintenant que plusieurs connexions se font dans son esprit, la brunette réalise que la possibilité expliquerait beaucoup de choses. Alors, sans trop parvenir à se retenir - elle n'essaie pas, la Constantine éclate nerveusement de rire à la mention de l'allergie. Elle remarque entre deux secousses l'air aussi amusé que suspicieux du brun qui ne comprend pas la raison de son euphorie soudaine, et elle peine à se ressaisir pour formuler ses doutes responsables des légères crampes qui tiraillent ses joues. et, à son tour, Elijah se fige avant d'échapper une légère plaisanterie, n'apparaissant pas autant décontenancé qu'il aurait pu l'être en répondant par la négative, même si son visage ahuri continue de l'amuser. « Non, je ne crois pas. C’est pas faute d’avoir essayé, d’ailleurs – j’ai eu une phase d’exploration, il y a longtemps, quand j’étais plus curieux que je ne le suis maintenant… mais ça n’a pas été concluant » oh - son sourire retombe un peu, étrangement, et elle bat des paupières en le regardant. Elle se sent idiote mais acquiesce en forçant ses joues à se détendre, étirant une seconde durant sa mâchoire en y passant sa main, analysant difficilement la nouvelle. Il n'est pas perturbé, au contraire, et cela ne l'aide pas vraiment à le cerner. Flora se passe une main dans les cheveux et se pince brièvement les lèvres, cherchant quoi dire maintenant qu'il doit se demander comment elle en est arrivée à une pareille déduction, s'éclaircissant la gorge. « C’est parce que j’ai parlé d’allergie que tu as tiqué ? » Ses yeux trouvent les siens et elle sourit bêtement en le regardant, secouant la tête de gauche à droite, entrouvrant la bouche sans qu'aucun son n'en sorte. « Non - enfin si. » corrige-t-elle lorsqu'elle prend finalement la parole, regardant la cigarette qu'il se penche pour écraser, puis suivant l'aise dont son corps témoigne alors qu'il se rallonge. « C'est stupide d'avoir des aprioris comme ça et de tirer des conclusions sans rien savoir. Mais Mila est vraiment superbe, et je me suis dis que - ça ne me regarde pas, laisse. » Elle chasse ses propres mots d'un geste de la main, la reportant ensuite sur le tissu de son t-shirt qu'elle torture un instant.

Flora, elle a bien plus de manies nerveuses qu'elle ne s'en rend compte, et ignore vite quoi faire de ses mains, de son visage ou de ses cheveux dès lors qu'elle est dans une situation délicate. Pourtant, elle n'est pas mal à l'aise en la compagnie du brun, mais est incapable d'expliquer pourquoi elle perd autant le peu de moyens qu'elle a. Le temps de quelques minutes, ni l'un ni l'autre ne reprend la parole, et Elijah est finalement celui qui rompt le silence au moment où elle se reporte sur lui. « J’ai pas été chanceux en amour. J’ai beaucoup souffert après une relation très destructrice, il y a quelques années. Ça m’a propulsé dans une période très sombre, et j’ai eu beaucoup de mal à m’en sortir » Lentement, toute trace d'amusement se volatilise définitivement de ses traits, et Flora se surprend à l'écouter lui partager avec une étrange spontanéité l'une des raisons derrière son choix de ne pas souhaiter s'engager aux côtés de quelqu'un. Elle ne pensait pas qu'il le ferait, n'avait même pas considéré qu'il se justifie d'une quelconque façon que ce soit, et ses sourcils se froncent progressivement. « Après ça, je me suis dit que c’était une expérience que je ne voulais plus jamais réitérer… et finalement, je pense que c’est pas plus mal pour moi de fonctionner comme ça » La bouche légèrement entrouverte sous la surprise, les sourcils toujours plissés, elle peine à croire ce qu'il lui partage. Lui, l'héritier de l'empire de l'immobilier, s'est fait briser le coeur et l'a laissé se changer en glace ? Flora bat des paupières, semble le regarder dans son ensemble, puis se reporte dans ses yeux en refermant la bouche. « Bien sûr, quand tu m’as demandé si j’avais quelqu’un dans ma vie, je ne t’ai pas balancé de but en blanc que je fuyais les histoires sérieuses – j’avais pas particulièrement envie de passer pour un gros con, mais bon, appelons un chat un chat. » Ses mains ont depuis le début de ses explications cessé de triturer le t-shirt de sport, et elle déglutit posément en le regardant. Il pouffe doucement et elle esquisse un sourire, l'air bien plus absent que celui vif et enjoué qu'elle affichait quelques minutes plus tôt. « Merci de me partager ça, même si tu n'étais pas obligé. » murmure-t-elle doucement, baissant le regard. Alors, finalement, il n'était pas si différent qu'il s'en donnait l'air - mais elle ne lui en voulait pas. En réalité, cette version de l'histoire est bien moins surprenante que celle qu'elle se plaisait à écrire en apprenant à le côtoyer, mais la Constantine n'a finalement aucune raison d'être surprise. Un premier amour, une vision de l'amour détruite, une plaie qui ne cicatrice pas et contamine les autres coeurs qu'elle touche. Le discours est le même auprès de tous ceux qui craignent de s'engager, ou presque, et cela en serait presque rassurant qu'Elijah ne soit pas si différent des autres n'est-ce pas ? « Je vois, je comprends. » Elle ne comprend pas, non. Mais ce n'est pas une discussion qu'elle veut avoir avec le brun, et elle préfère amplement faire abstraction de ce qu'elle vient d'apprendre pour ne pas se mettre à essayer de le considérer comme quelqu'un d'ordinaire. Il ne l'est pas, même si cette partie de lui l'est terriblement. « Je trouve ça triste, dommage même. Mais je respecte. » poursuit-il doucement en recroisant ses yeux azur une seconde.

La conversation se poursuit, plus posément que de la façon dont elle a commencé, et Flora précise sa situation sans s'y attarder plus que de raison. Elle est toute aussi célibataire que lui mais n'est pas assez dégoûtée de l'amour pour y renoncer définitivement. L'histoire qu'elle a partagé avec Blake a été belle, rythmée par des moments qu'elle ne regrette pour rien au monde, et peu importe que la fin ait été malheureuse et que l'abandon du blond lui ait longtemps provoqué des insomnies, elle ne regrette rien. Elle n'a pas de remord et souhaite au contraire retrouver un jour une personne avec qui écrire une nouvelle histoire et créer de nouveaux souvenirs comme ceux qu'elle a forgé par le passé. C'est un risque qu'elle est prête à prendre, un qui à ses yeux en vaut la peine, et elle est un peu décontenancée qu'un homme comme Elijah - un influent, beau garçon et au caractère aussi trempé, renonce à partager son quotidien avec quelqu'un sous prétexte que son coeur ait été martyrisé par le passé. « C’est plutôt rassurant. Si je peux te donner un conseil, ne deviens pas une imbécile aigrie comme moi, ce serait du gâchis. » Ses yeux, qui fuient depuis plusieurs minutes les siens, les retrouvent alors qu'elle esquisse un sourire - ou du moins les perçoivent au travers de ses lunettes fumées. « Je suis plus coriace que ça. » murmure-t-elle dans un clin d'oeil, le ton doux mais sans appel. et finalement, la demoiselle se lève, conservant un air assez léger pour préserver la bulle dans laquelle ils ont toujours évolué ensemble. « Ne bouge pas, tu peux continuer de lézarder. Mais la journée est déjà bien avancée, et je ferais mieux d'y aller - je bosse demain, j'ai des trucs à préparer. » précise-t-elle dans un sourire, sa main se dressant pour le décourager à la suivre, puis s'agitant distraitement dans l'air en désignant d'un geste du pouce le vide derrière elle. « Je peux demander au barman pour ma robe ? » l'interroge-t-elle avant d'acquiescer à sa réponse. « Merci pour tout Elijah - prends soin de toi, et ne brûle pas ici. » lance-t-elle en s'éloignant, un air un peu moqueur mais pas dénudé de bienveillance, s'éloignant sur le pont après avoir récupéré son portable et accordé un dernier regard à l'héritier.
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the innocence of my lips ☽ smear the innocence of my lips, feel you bruising me its boundless, you kill me and show me a world i feel whole in, never felt closer to demise, floating over all the stop signs and still i write pages of promise and cadence its quite alright baby

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Elijah Walker
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les mauvaises décisions
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ÂGE : 39 ans (04/01/1985)
SURNOM : eli, simple et efficace
STATUT : cœur autrefois brisé, désormais jalousement gardé, mais dont l’armure ne cesse de se craqueler face à une adorable petite souris
MÉTIER : architecte au sein du walker group, et chargé du cours de recherche en environnement et durabilité à la faculté d'architecture de l'université du queensland.
LOGEMENT : un penthouse lumineux à spring hill, qu’il partage avec son chat siamois zelda et ses deux nouvelles recrues félines, safflina et drogon - ou plutôt dans lequel il est autorisé à rester tant qu’il n’oublie pas de remplir leur gamelle
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TW IN RP : ex-toxicomanie
GENRE : Je suis un homme
ORIENTATION : J'aime les jolies filles.
PETIT PLUS : né à Brisbane, il a sillonné les plus belles régions du globe une fois sa majorité atteinte puis s’est installé à New York avant de revenir dans la ville qui l’a vu grandir fin 2021 ✵ aîné de la fratrie Walker ✵ architecte depuis plus de dix ans, il excelle dans son travail ✵ un passé riche d’excès en tous genres, le seul vice ayant persisté au travers des années étant la cigarette ✵ (trop) honnête, il préfère une vérité blessante à un mensonge confortable ✵ très sociable, doué avec les mots et le sourire facile, sa façade s’effondre lorsque l'interaction devient trop réelle
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RPs EN COURS :

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WALKER ✵ we don't talk much, not anymore. broken bottles and slammin' doors, but we still care about each other, say we care about each other. i know life took us far away, but I still dream 'bout the good old days. when we took care of each other, we were livin' for each other.

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ELIORA ✵ gimme what you got - your talk is incredible, so, so, so unusual. you taste like surfing videos. i'm going to read your mind, who you hiding? you fake your shyness, i just wish that i could see through you... hot glue, vape juice, hit undo, how the hell are you so cool?

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ELETT ✵ boy, when I left you, you were young, i was gone, but not my love. i want you to be happy, free to run, get dizzy on caffeine, funny friends that make you laugh. i know you'll feel the ghost of some memories so warm.

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ELIYA ✵ yes my love, i confess to you - i am only here to break your heart in two. the very flower you chose that day, its only task was to decay. indeed, it's wrong to keep you near me. one could call me cruel and deceiving, but in your sacred air i am full of light - your loving arms are the true delight.


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Million Dollar Boat Party
 
@Flora Constantine & Elijah Walker



Passée la surprise d'avoir suscité des doutes au sujet de sa sexualité auprès de Flora, Eli fut gagné par une curiosité perplexe. Bien qu'il fût parfaitement à l'aise avec la question en elle-même, il y avait quelque chose de perturbant dans le fait que ce soit Flora qui la lui adresse. S'il s'était comporté ces derniers mois de la plus irréprochables des manières, soucieux de ne pas truffer son discours de signaux susceptibles de laisser entendre qu'il avait des intentions potentiellement inadéquates, il n'en oubliait pas moins la façon dont il avait interagi avec Flora lors de leurs premières rencontres. À ce moment-là, sans jamais entamer de jeux de séduction franchouillards, Eli n'était jamais parvenu ni n'avait réellement essayé de dissimuler combien il était sensible au charme de Flora. Il n'avait jamais rien tenté, mais cette retenue avait été motivée uniquement par de la politesse et la réticence à se montrer trop entreprenant sans être à peu près sûr que son intérêt était partagé. Mais, si Chan et ses discours moralisateurs n'étaient pas venus s'interposer, il ne faisait pas de réel doute qu'Eli aurait fini par inviter Flora à boire un verre en-dehors du cadre strict de leur collaboration professionnelle. Son instinct, qui ne le trompait que rarement, lui avait suggéré qu'à l'époque de leurs premières discussions, Flora n'était pas désintéressée et qu'il aurait pu avoir une chance de la séduire s'il avait fait preuve d'initiative. Mais son frère s'était chargé de semer le doute à ce sujet, lui ouvrant les yeux sur la hiérarchie entre Flora et lui, qui compliquait la tâche à la jeune femme si celle-ci voulait l'éconduire et la contraignait presque à jouer le jeu qu'il s'était permis d'initier de crainte de voir son contrat s'envoler. Cette lecture aussi cynique que déprimante de la situation, il avait essayé de la contester, et il avait tenté de convaincre un Channing à l'intraitable scepticisme que l'étincelle qu'il avait perçue chez Flora était authentique – avant de se rendre compte qu'il ne la connaissait pas plus que ça, et qu'il était en réalité tour à fait possible, n'en déplaise à son égo, qu'elle jouait effectivement la comédie simplement pour le brosser dans le sens du poil. À partir de là, sa posture vis-à-vis d'elle n'était plus là même, et il n'avait pas perçu de signaux chez Flora qui lui indiquaient qu'elle était déçue de ce changement de paradigme. Cela ne l'empêchait toutefois pas d'être perplexe face au constat qu'elle n'avait visiblement pas compris l'intérêt qu'il lui avait témoigné, et que ce dernier était passé inaperçu au point de la faire questionner son orientation sexuelle. En se creusant les méninges, il en arriva à un constat qui n'eut rien pour lui plaire : cette alchimie entre eux, qu'il avait crue si réciproque, n'avait sans doute été que le fruit de son imagination et, au maximum, de la politesse d'une Flora qui n'avait visiblement pas compris les désirs qu'il avait pensés si évidente. Ce crétin de Chan aurait-il donc vu juste ? Eli ne put se consoler à ce sujet qu'en faisant une observation, qui lui mit quelque peu du baume au cœur, mais, de la plus frustrante des manières, bien moins que ce qu'il n'aurait dû : même si l'attirance des premiers jours n'avait pas été partagée, la complicité et le lien étrangement amical qui les unissait depuis, eux, ne pouvaient s'inventer et devaient être réels. C'était tout ce qui pouvait bien compter, pas vrai ? Même si son subconscient avait profité de son sommeil pour lui faire découvrir Flora sous des coutures connotées bien différemment, il savait qu'il n'aspirait à rien de plus entre eux. Plus fort encore, il venait de le lui dire en toutes lettres, fermant toutes les portes vers un plus entre eux, comme il le faisait systématiquement depuis neuf ans. C'était comme cela que cela devait se passer entre eux, comme cela qu'il s'était convaincu qu'il voulait que cela se passe entre eux. Par conséquent, il n'avait aucune raison de se sentir perturbé par la question de Flora, étant donné qu'il ne s'avouait aucun objectif romantique à son égard et qu'il ne s'agissait pas d'une question de fierté mal placée comme cela pouvait l'être chez les hommes qui faisaient l'amalgame entre virilité et hétérosexualité.

Pourtant, sous couvert d'une curiosité anodine, Eli cherchait à comprendre. La réponse de Flora à sa question posée en apparence avec légèreté ne fit toutefois rien pour l'apaiser, et au lieu de cela, le poussa au pied du mur. Un sourire goguenard étira les lèvres d'Eli alors qu'il laissa échapper un rire nerveux. « Damn, tu vas vraiment me faire prononcer les mots, pas vrai ? », s’exclama-t-il en se grattant la nuque, tout en se faisant la réflexion que la vie serait parfois bien plus facile s’il s’autorisait l’un ou l’autre petit mensonge blanc de temps en temps dans des situations comme celle-ci. Il poussa un léger soupir, nullement agacé mais visiblement légèrement embarrassé, sans toutefois se départir de son inlassable sourire. « Je n’entrerai pas dans les détails, par respect pour elle. Ce n’est pas dans mes habitudes d’embrasser pour raconter. » Ses joues rosirent et il se racla légèrement la gorge. « C’est remarquable, comme je ne peux rien te cacher », plaisanta-t-il, s’amusant du constat criant de vérité. « Je ne mens à personne, mais d’habitude, je suis un peu plus doué que ça pour le bluff – ou pour détourner la conversation », confia-t-il, faisant par la même occasion exactement ce dont il parlait.

La conversation se détourna finalement d’elle-même, bien qu’elle ne changeât pas réellement de thématique en s’arquant autour des déboires sentimentaux de l’héritier. Conformément à ce qu’il avait confié au sujet de son incapacité à lui dissimuler la vérité, il se lança dans le récit de ses mésaventures passées avec une franchise inhabituelle lorsqu’il s’agissait de cet épineux sujet de conversation. À l’issue de sa prise de parole, il tenta de jauger sa réaction, déstabilisé de la voir silencieuse et réservée. À nouveau, une vague de confusion s’empara d’Eli, qui crut déceler un mélange de déception et de résignation chez la jeune femme dont les pensées se lisaient habituellement comme un livre ouvert, mais qu’il peinait à cerner aussi bien que d’ordinaire. La réponse, soufflée dans un murmure par Flora, provoqua un remuement désagréable dans les entrailles d’Eli, qui réprima à grand peine un froncement des sourcils. et s’abstint de tout commentaire. Triste, dommage même. Elle disait comprendre et respecter, mais la réticence était perceptible dans sa voix douce, et l’héritier se serait bien passé du sentiment que celle-ci vint éveiller en lui. De la même façon, lorsqu’il tenta, quelques minutes plus tard, de plaisanter sur le sujet en se décrivant comme un imbécile aigri, la réponse taquine de Flora exerça sur lui un tout autre effet que les piques qu’elle avait déjà pu lui lancer et dont la légèreté n’avait jamais manqué de le faire rire, même à ses propres dépens. « Je n’en doute pas un instant », répondit-il sincèrement, tentant de se faire aussi complice qu’auparavant mais ayant nettement perdu de sa superbe, sans réellement comprendre pour quelle raison.

Mais elle le prit d’autant plus au dépourvu qu’à l’issue de cette étrange conversation, elle se leva sans cérémonie, presque précipitamment. Eli se redressa sur ses coudes, une vague expression de perplexité sur ses traits, mais il fut coupé dans son élan par Flora qui le somma, joignant le geste à la parole, de rester installé. Son premier instinct fut de protester – mais il se garda bien de le faire, conscient qu’elle lui avait déjà consacré de nombreuses heures de plus que ce à quoi il aurait dû avoir droit. Et puis, il ne fallait surtout pas qu’il ait l’air désespéré. Alors, il se contenta de hocher la tête et de lui décrocher un sourire rayonnant qui camoufla remarquablement la confusion et la déception qui bouillonnaient en lui. « Oh – bien sûr, courage pour tout ça, Flora. Oui, il te l’a mise de côté, je pense qu’elle doit être dans ta cabine, mais il pourra te dire ça mieux que moi », répondit-il aussi sereinement que possible. Il voulut se lever, sans trop savoir pour quoi faire : l’étreindre, l’embrasser sur la joue comme elle l’avait fait la veille ? Il n’eut toutefois pas le temps de contempler ses options qu’elle était déjà en train de s’éloigner, manifestement pressée de s’en aller. Il hocha la tête, tous sourires. « Ne t’en fais pas pour moi, je suis un grand garçon. Merci à toi, Flora, c’était génial de t’avoir. » Il la regarda s’éloigner, levant la main vers elle lorsqu’elle jeta un dernier coup d’oeil avant de disparaître en haut des marches qui menaient à l’avant du yacht, et se détourna finalement, tout en s’efforçant d’ignorer la tempête d’émotions perturbantes et contradictoires qui grondait en lui. Bien vite, l’impression d’avoir tout gâché, sans savoir exactement quoi, le submergea et l’emplit d’une frustration sourde. Une frustration qui ne tarderait pas à céder à un inexplicable sentiment de culpabilité, prêt à le ronger de l’intérieur pour les heures à venir.

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❝oh my lungs are begging me to beg for you❞ all of these highs and all of these lows don't keep me company. i've been breathing you in and drinking you down, you're the only remedy. say you're gonna hold my head up, say you're gonna break my fall ; say you're gonna stay forever, baby, this is all i want. cause all my bones are begging me to beg for you, begging me to beg for your love.

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