“I don’t believe you. You’re all red.” Avec un large sourire sur les lèvres tu vas pousser en arrière le beau visage de ta partenaire de ta main qui fait presque toute la taille de sa belle figure car tu es bien grand. Et bien rouge yep. Elle n’a pas tort mais t’assumes que moyennement et elle t’expose un peu plus, elle mérite bien ce geste envers elle qui est rapidement remplacé par un baiser et des jolis mots car tu l’aimes plus que tout. Tu l’aimes même quand elle t’affiche de la sorte. C’est bien plus drôle comme ça. Quand elle t’offre des occasions de la malmener avec justification. Pour une fois que tu ne la pinces pas ni la mord, qu’elle profite de ta jolie main sur son très beau visage.

Elle t’a filé sa culotte ensuite et très clairement c’est un geste que tu n’oublieras pas de si tôt car damn, tu as bien trop aimé. Tu es le gardien de ses sous vêtements et de tout ce qui se trouve sous ses vêtements aussi. Tu as pris un plaisir non dissimuler à toucher ses fesses au travers de sa robe. Ca t’a remonté à cette soirée au triffid de mars. Tu te demandes si elle a fait exprès de porter une robe de ce genre pour te remercier de ce que tu lui avais promis, une chanson chanté pour elle. She’s perfect I don’t deserve her.

***

“Oh god, j’ai l’impression de voir Will version grande.”
« Et moi Luna version adulte. »

Car elle est fucking adorable avec ses lunettes sur le nez. Tu sais qu’elle est dans sa happy place ici et c’est pas pour rien que vous venez tous les jours sans que tu n’aies une seule objection là dessus. Bird est illuminé ici et c’est clairement une des plus belles vues du monde. Tu veux ça tous les jours toi aussi. “Well, I have no clue where are your common room but you can visit mine anytime.” Elle te fait rire et ce n’est pas la première fois que vous partez dans un jeu de rôle à thème Harry Potter. Comme quoi l’air de Londres vous donne ce genre d’envies. Elle a déjà ses mains sur toi (une seule ok). “We have a fire that burns almost all the time.” Tu ris de l’entendre être si inspirée à faire de si beaux sous entendus pas sous entendus du tout. « J’ai une grande lance si besoin d’éteindre le feu. » T’es stupide, t’es très amusé. Tu essaies de garder ton sérieux malgré tout. T’arrives un petit peu.  “You’re very funny with those glasses. All serious and cute.” Elle vient t’embrasser le visage après tout ces compliments. « You’re very pretty with this face. » Autrement dit, telle qu’elle est. Tu fais ton loveur mais la vérité c’est qu’elle est si étincelante que tu n’as en aucun cas menti dans tes mots.

“I want to buy everything.” Tu vas acheter tout ce que tu as sur toi là. Tu aimes ce costume de Serdaigle que tu n’as pas chez toi. “Can I buy the shop itself ? Like being the owner ? Everything will be mine, then. Problem solved!” Tu hoches la tête. « People say money doesn’t buy happiness. Biggest lie in the world. » Tu n’es pas stupide au point de penser que juste l’argent rend heureux, nope. Mais c’est un bon début. L’argent t’a offert un toit et un sanctuaire où tu te sens enfin en sécurité et libre de faire ce que tu veux. Un sentiment qui t’a manqué toute ta vie avant ça. « You should open one of these shops in Brissy. You’d be the best at it except… » Tu marques une pause. « … don’t know if you’d let them take the things home. Yeah si no, you better make something like a museum. An Harry Potter exposition of the things you can buy in London. Or online. » Tu pars loin Jordan, mais t’es inspiré par ton oiseau et cet endroit. Tu visualise bien. Puis tu reprends ton sérieux deux secondes en lui pointant quelques chose sur le côté. « I really wanna buy this jacket for myself and see you wear it like we’re teenagers in love. » C’est carrément l’image que vous donnez Jordan, ça ne va pas être bien dur de faire genre. Est-ce qu’elle porterait les couleurs de Serdaigle parce que son partenaire est dans cette maison ci ?

« Et moi Luna version adulte. » t’es à la fois (très) flattée et (un peu) outrée. “Version adulte!!” tu t’exclames grossièrement, tirant la langue et la tronche pendant une fraction de seconde ; Luna est intemporelle, dans ton esprit, elle n’est pas une adulte, ni une enfant, elle est sa propre entité ancrée dans son univers où elle règne au milieu des Sombrals et des lutins à cloches - tu confonds avec ton univers à toi, petit oiseau. Mais heureusement qu’il ne t’en faut pas beaucoup pour retrouver de ta superbe - t’es certainement pas dans un lieu où tu vas tirer la tronche pendant cinq heures. C’est impossible. A part si tu ne trouves pas ta tête de lion. Nan, même ça, ça ne te chiffonnera pas. Internet existe. Un clic, quelques recherches et le tour est joué. Pourquoi tu n’y avais jamais pensé jusqu’à maintenant ? T’en sais rien. Mais là, tes yeux virevoltent partout et tu veux tout. Evidemment. Avide, fan, en adoration totale devant chaque objet, chaque décoration. C’est à ton tour d’être dans ton élément le plus intense. Oh que les studios et le parc d'attractions seront à faire. Tout ça te donne encore plus envie.

« J’ai une grande lance si besoin d’éteindre le feu. » tu lâches un rire absolument pas discret qui attire quelques paires d’yeux autour de vous mais, telle la Luna des Moldus (non, la lettre s’est perdue, okay, c’est touchy comme sujet), tu n’en as que faire. “I know you do.” une jolie et très efficace lance et- non pas le moment de commencer à avoir ces yeux-là avec l’expression la plus sous-entendue du monde parce qu’il n’y en a pas un pour rattraper l’autre, c’est vraiment exaspérant. « You’re very pretty with this face. » “I’m always pretty.” que tu dis avec prétention mais le sourire amusé malgré tout car tu n’en penses pas moins de toute façon.

« People say money doesn’t buy happiness. Biggest lie in the world. » tu fronces du nez. “I’m not sure that's a total lie, tho.” certes, tu as la sécurité de l’argent car ton compte en banque est plutôt bien fourni. Tu ne dépenses pas beaucoup ; tu n’as pas de loyer à payer, pas de crédit sur les bras et la plupart de tes dépenses ne valent quasiment rien car tu donnes à des brocantes, des vides greniers, des friperies. Tu es la reine de la négociation et c’est ce que tu préfères - tu fais même du troc à Elimbah. Tu n’aimes pas la société de consommation, l’idée que l’argent est roi - mais t’es faible quand il s’agit d’Harry Potter. « You should open one of these shops in Brissy. You’d be the best at it except… » tes yeux sont déjà en train de s’écarquiller, et c’est mauvais signe, ça. « … don’t know if you’d let them take the things home. Yeah si no, you better make something like a museum. An Harry Potter exposition of the things you can buy in London. Or online. » tu sens que t’as déjà la colonne vertébrale qui te chatouille alors que tu regardes Jordan sans vraiment le voir, n’entendant que ses mots qui passent dans ta cabosse en boucle. “You.are.a.fucking.genius.” tu le tapes sur le bras à chaque mot avant d’attraper son visage de tes mains - les deux - pour l’embrasser avec vigueur. T’as vraiment l’impression que c’est l’idée de l’année qu’il vient d’avoir.

« I really wanna buy this jacket for myself and see you wear it like we’re teenagers in love. » tes yeux dérivent vers la veste qu’il pointe du doigt et tu souris légèrement en entourant sa taille de tes bras. “We are teenagers in love. You know I would. My hubby is a ravenclaw. My fav is a ravenclaw. My lover is a ravenclaw.” ce n’est pas un défi hors de ta portée. “Lucky for you, and me, you’re not a slytherin.” malgré l’affection que t’as pour Malachi et Heather, c’est un grand non. “Est-ce que ça veut dire que tu porterai les magnifiques couleurs de la meilleure maison qu’est Gryffondor en retour ?” tu lèves ton minois vers lui, les paupières battantes derrière tes lunettes de Luna. En toute cohérence, jusqu’au bout.

“Version adulte!!” Tu n’aurais pas cru qu’elle s’insurge de la sorte mais ça te fait beaucoup sourire. Même rire. « Majeur quoi. » Que tu dis en essayant de te rattraper comme tu peux mais tu n’arrives pas à t’enlèver ce sourire amusé du visage. Bird outrée est beaucoup trop appétissante. Comme n’importe lequel de ses visages en réalité.

“I know you do.” Elle est cute à confirmer tes conneries et c’est bien ce genre de détails qui font qu’elle est tous les jours plus parfaite à tes yeux. Someone please explain how she does it. Car tu ne comprends vraiment pas comment c’est possible. “I’m always pretty.” La confiance qu’elle a en elle te soufflera toujours. Elle est très similaire à Rosa de ce côté là et damn fuck ce que ça te rend faible les femmes fortes.

“I’m not sure that's a total lie, tho.” Tu lèves un sourcil à sa réplique. « It’s not everything but it helps for sure. » Être dépendant de personnes mal attentionné à ton encontre, ou de personnes qui ne te donnent aucunes considération fut une des plus grandes difficultés de ta vie. Quand Maria t’a offert son toit tu as enfin pu commencer à avoir une vie stable malgré la tragédie que vous traversiez en même temps.

“You.are.a.fucking.genius.” Tu l’as vu au fur et à mesure de tes idées pas si folles qu’elle buvait tes mots. Elle le confirme avec ceux ci qui sont ponctués de petites tapes sur ton bras. Puis avec ses mains pour maintenir ton visage et l’embrasser avec ferveur. « Anything for you babe. » Ca va finir par être votre slogan à l’un et l’autre à force. Mais ça résume bien comment tu te sens vis à vis d’elle. Tu trouves que ce n’est pas cher payer en plus de tout car tu ferais tout pour elle mais au passage, c’est des choses qui te semblent naturelles. Y’a juste eu la chanson où tu as du mettre un peu plus du tiens, mais tu l’as fait et oui ça remonte à quelques jours mais tu en es si fier de toi, tu continues de te congratuler quotidiennement.

Elle regarde la veste en question tout en venant se coller un peu plus à toi. Un de tes bras qui se glisse autour d’elle car qui es tu pour refuser une étreinte de ta chère et tendre. Tu as ta baguette dans ta main qui est dans son dos. Car oui tu vas l’acheter, cette baguette est intégralement la tienne. “We are teenagers in love. You know I would. My hubby is a ravenclaw. My fav is a ravenclaw. My lover is a ravenclaw.” Non loin de toi l’idée qu’un jour tu remplisses les trois cases mais ouais, t’y as pensé. Tu vas déposer un baiser sur le bout de son nez. “Lucky for you, and me, you’re not a slytherin.” Elle te fait rire avec ses jugements sur les serpentards. « I feel very lucky. » Car y’a véritablement bien trop de choses qui vont parfaitement. Vous vous collez mieux que vous ne l’auriez pu si vous aviez essayé de le faire exprès. Ça s’invente pas ce genre de complémentarité. Tu n’en trouveras pas une deuxième comme elle de si tôt. I don’t want to. Ton coeur est pris. Tu es comblé. Tu profites tant qu’elle est à tes côtés. Tu espères le plus longtemps possible.

“Est-ce que ça veut dire que tu porterai les magnifiques couleurs de la meilleure maison qu’est Gryffondor en retour ?” Elle fait son petit show en battant des cils, elle a sûrement même une jambe relevée derrière elle pour donner encore plus de panache à sa performance. Tu hoches la tête sans aucune hésitation cependant. T’aimes bien lui couper l’herbe sous le pied. Y’a pas de doute sur la réponse à cette question. Elle est trop simple d’ailleurs cette interrogation. « Yeah of course. I’m proud to be your partner. » Que tu lui dis avant d’aller déposer un baiser sur le bout de son nez en serrant un peu plus fort ton bras autour d’elle. Tu ne relèves pas sur les mots pas du tout objectifs qu’elle a dit sur sa supposé meilleure maison. Ça lui fait plaisir, tu la laisses profiter. Tu aimes que ta maison soit la même que bien des gens qu’elle aime, tu aimes cette confirmation que tu es un nerd dans certains domaines. Tu peux parler pendant des heures sans interruption de certains sujets et ça te surprend également parfois. You know your shit Jordan. I do.

« Shall we buy this Harry Potter suitcase… » Que tu lui dis en pointant de ta baguette magique pour qu’elle regarde de quoi tu parles, même si tu es sûr qu’elle sait déjà de quoi tu parles. « … pour y mettre tous nos achats dedans et on ne part pas tant qu’elle est pas pleine ? » Tu sais qu’il sera facile pour Bird de la remplir. Peut être au moins qu’elle se mettra une limite même s’il y a d’autres sacs à disposition, comme un sac de sport de Quidditch. T’aimes l’idée d’avoir les valises qui vont avec leur contenu. T’es trop maniaque Jordan. I just want her to be happy. Et tu veux que ce soit bien rangé, classé, organisé. We’ll both be happy.

« Majeur quoi. »
“T’es pas obligé de le rappeler.”

Que tu bougonnes et marmonnes dans ta barbe, la moue déconfite et boudeuse à l’extrême. Être adulte a ses avantages mais être gosse en a encore plus à tes yeux. Tes souvenirs les plus heureux viennent de ton enfance, il faut dire. Ton entrée dans le monde adulte n’a pas été la meilleure qui soit et vu les épreuves, les décès, les erreurs de parcours, t’es vraiment persuadée qu’on aurait pas dû te laisser grandir au-delà de dix ans. Cependant, tu fais avec car les retourneurs de temps n’existent toujours pas et qu’au final, à cet instant précis, loin de Brisbane, loin de l’Australie, loin du corps de Dan qui se décompose sous terre, t’es bien. Tu vis une de tes meilleures vies auprès de Jordan. La meilleure tout sûrement. T’en es convaincue, en tout cas, quand tu lèves tes yeux vers lui. Jordan apporte un réconfort et une solidité que tu n’aurais jamais songé. Tu n’es pas sûre qu’il en ait conscience.

« It’s not everything but it helps for sure. » oh non, le débat ne va pas avoir lieu. Pas ici, pas dans une boutique harry potter. Ce n’est pas le moment de parler des méfaits de la société, du lobbying, de la consommation de masse et forcée, du pouvoir de l’argent sur tout le reste. Tu pinces tes lèvres tout en étouffant ton visage contre son torse pour t’empêcher d’en dire plus. Pas le moment ni le lieu, je te l’interdis. Tes opinions sont assez tranchées là-dessus, la faute (ou grâce) à ton éducation, certainement. Les Cadburry faisaient passer l’argent bien après le reste, ça n’a toujours été qu’un détail, trouvant toujours comment se débrouiller quoiqu’il arrive.

« Anything for you babe. » tu le sais et je le sens ; l’idée va te trotter à la tête. Tu vas y réfléchir, tu vas y penser, tu vas méditer, tu vas t’enjailler dessus. L’idée est superbe. Il n’y a pas de boutique et encore moins d’exposition Harry Potter à Brisbane. Ça pourrait faire un carton. Non pas que tu cherches l’appât du gain - évidemment non - mais l’idée d’aller tous les jours quelque part où tu serais entourée d’objets de la saga te fait fantasmer. Beaucoup. Limite si tu ne te remettrais pas à écrire de nouvelles fanfictions - évidemment que t’en as écrite par le passé. T’as même détourné des chansons réelles pour les faire coller au monde du sorcier. Ce détail ferait sûrement sourire Jordan. La bonne époque. « I feel very lucky. » “Moow.” que tu exprimes, attendrie, car tu n’as pas l’impression qu’il parle seulement de vos maisons respectives - ou alors c’est toi qui veut voir au-dessus de ce simple fait. Mais le fait est que toi aussi tu te sens cruellement chanceuse. Vous collez sur bien des points, vous complétez sur beaucoup d’autres. Vous nourrissez aussi vos différences mais c’est normal ; ça serait terriblement ennuyant autrement. Tu l’aimes si fort. Ca se sent dans la force de tes bras qui le serre contre toi. Jordan se fait une place de choix dans ta vie - pas forcément la plus évidente, la plus facile, mais il a un gros avantage sur le reste de la population entière : tu l’aimes complètement et totalement, avec un goût d’infini qui n’est pas pour te déplaire. L’humain aimant les oiseaux sait aussi leur parler, il faut croire. Tu ne te serais pas laissé piéger aussi facilement sinon.

« Yeah of course. I’m proud to be your partner. » c’est qu’il en rajoute et tu fais ressortir ta lippe inférieure dans une moue totalement attendrie et adorable alors que Jordan embrasse ton nez. Tu n’en attendais pas moins venant de lui. Mais ça fait du bien de l’entendre le répéter. D’autant que t’as aussi l’habitude qu’on te dénigre d’être dans la maison des lions - mais ça, c’est une autre histoire. “You know how to melt my heart.” que tu murmures doucement en ronronnant presque contre lui, les yeux lorgnant sur la veste et cherchant dans les coins en biais si y’a l’équivalent pour ta propre maison. Même si t’es pas sûre de vouloir la même chose car ce n’est pas très fun autrement. Tu peux largement prendre quelque chose d’ample pour toi qui ira à Jordan ; ce qui te fera une robe pourra lui fournir une veste, win win. T’aimes beaucoup trop de partager vos fringues quand vous le pouvez - surtout toi qui va jouer les voleuses, ouais.

« Shall we buy this Harry Potter suitcase… » t’hoches la tête frénétiquement. “Was planning to.” t’as besoin d’une valise en plus, de toute façon. Tu sens que tu vas galérer à fermer la tienne car chose promise chose dûe ; tu t’es ruinée (non) en vêtements et tissus en tout genre. Ça prend de la place. Tu n’en as pas assez. Tu vas forcément devoir t’asseoir dessus pour la fermer. Alors oui, tu l’avais déjà repéré, la valise. « … pour y mettre tous nos achats dedans et on ne part pas tant qu’elle est pas pleine ? » “ohmygod.” tu pinces ta lippe inférieure, tu fermes les yeux, tu grognes légèrement, mais dans le sens extasiant. T’es clairement en train de prendre ton pied rien qu’à l’idée. “Yes, please please please pleaaaaaaaaaaaaaaaase.” tu trépignes en tirant sur son haut comme, well vous avez compris, une enfant. Jordan et ses idées brillantes, bon dieu que tu l’adores. Tu vas prendre un exemplaire de la valise - tu fais attention que celle que tu prends est un état parfait, sans rayure, fissure, creux, impact - avant de relever le torse et le menton, et tes lunettes sur le nez, avec un sourire resplendissant. “J’ai une expo à compléter, après tout. Je vais être la meilleure cliente du globe.” que t’affirmes en te dirigeant vers les figurines - le diadème de Serdaigle te fait un oeil incroyable. Une couronne, elle est jolie et elle brille, forcément.

Autant dire que quand vous ressortez de là, t’es bien contente que l’hôtel n’est pas loin. T’es à peu près certaine que si vous revenez un jour, les vendeurs se rappelleront de toi. Tu n’as pas réussi à trouver le chapeau de lion - apparemment, il ne se fait pas alors tu sais ce que tu vas faire en arrivant à Brisbane. Mais tu t'es transformée en véritable petite Lovegood, outre la cape rouge et or que tu portes avec fierté directement sur les épaules. Le ridicule ne tue pas et ton visage est bien trop ravi pour te préoccuper du regard d’autrui ; de toute façon, c’est Londres. Ils n’ont pas l’air si surpris par l’extravagence, dans le coin. Ça change.