“Let's go pour la chambre!” Tu t'exclames en souriant en l'entrainant par la main derrière toi pour monter à l'étage.

A peine la porte refermée, que t'as déjà tes mains sur ses joues pour entrainer sa bouche contre la tienne. “Oniradehorsplustard.” Que tu lui dis entre deux baisers. Vous avez tout le temps du monde même s'il est hors de question de faire des cochonneries avec la moitié de la famille sous le toit. Cependant, c'est pas ça qui t'empêche de passer tes mains sous son haut. “T'es spécialement appétissant aujourd'hui.” Que tu déclares avec l'air malin en appréciant sa tenue. Des trucs tout serrés, il en faut pas plus pour te rendre dingue. Oh, ça rappelle personne d'autre ?

Tu as visiblement choisi la bonne réponse vu son entrain. Vos sourires sont magnifique à vos lèvres. Tu la suis, profitant de mater le plus beau fessier de toute la planète. Tu te lèches les lèvres sans même t’en rendre compte. Puis quand vous êtes dans sa chambre elle te saute dessus, ses lèvres sur les tiennes, tu la serres contre toi en répondant au baiser. Tes mains vont attraper ses fesses quand elle te fait un joli compliment. « Hmmmm… Toi aussi. » Tu n’as pas vu ses fesses depuis moins de 24h mais quand même ça a l’air d’être trop long vu ta réaction à son corps qui a été loin de toi pendant des heuuuuurs. « Hmmm… You’re so hot. » Tu ajoutes en allant déposer un petit baiser sur ses lèvres, la regardant de toute ta grandeur, tes mains qui palpent bien la marchandise.

Ses mains sur tes fesses alors que t'apprécies de retrouver son tronc, tu humes en guise de réponse à ses paroles. “Pas de bêtises avec la famille à trois pas, je te préviens.” Que tu murmures avec un petit sourire alors que ta tête finit par se lover contre son torse, ses mains retrouvant le creux de son dos. “Tu m'as manqué. Ca va être dur les deux semaines sans toi.” Tu souffles en fermant les yeux.

“Pas de bêtises avec la famille à trois pas, je te préviens.” Ca te fait largement sourire cette précision. « Quoi t’as pas envie de te sentir ado de nouveau ? Je peux être trèèèèès silencieux. » T’as un sourire très amusé sur ton visage.

“Tu m'as manqué. Ca va être dur les deux semaines sans toi.” Tu la serres un peu plus contre toi car il est vrai que ton départ s’approche. Tu déposes un baiser sur le dessus de sa tête. « Tu peux toujours venir si tu veux. Je t’ai pas proposé parce que tu bosses. » Tu frottes doucement son dos. « Ca serait la très belle vie si je pouvais t’embarquer tout le temps avec moi. » Tu poses ta tête sur le dessus de la sienne tentant d’être encore plus proche d’elle. Pour ne faire qu’un.

Jordan te fait rire à faire son petit malin. “Toi, oui, moi, c'est moins sûr. Et j'ai pas envie de le savoir maintenant.” Tes parties de jambes en l'air à Elimbah étaient seulement quand il n'y avait que toi et l'autre partie. Des gens proches ou Jordan. Le nombre est très limite et se tient sur une main, à vrai dire. Déjà que t'amènais pas grand monde chez toi à Brisbane alors à Elimbah, il fallait vraiment que tu sois un minimum proche pour que ça arrive. Ne profane pas le lit adolescente de Birdie Cadburry qui le veut.

Ca se transforme en hug et une douce proposition mais vite rattrapé par la réalité de la vie. “Ca serait bien mais... On finirait par se tuer.” Tu ne vas pas lui rappeler ton motto préféré quand même, si ? “Je vais bosser, ouais. C'est pas le moment de fermer boutique pendant 2 semaines.” Pas si proche de l'ouverture, non. Tu lèves son tee shirt afin de pouvoir inspirer pleinement son torse. On dirait que tu fais le peau sur peau mais c'est les bébés qui font ça normalement. I'm a baby. “Je vais finir par vraiment m'habituer à ces visites surprises le 25 décembre, t'sais.”

“Toi, oui, moi, c'est moins sûr. Et j'ai pas envie de le savoir maintenant.” Ton sourire ne se défait pas. Tu aurais presque envie de la défier et c’est ce que tu fais d’un regard de petit con. Si jamais elle est opé, mais quelque chose te dit qu’elle ne se laissera pas aller ce qui est très dommage à ton avis.

“Ca serait bien mais... On finirait par se tuer.” Tu fais non de la tête. T’es pas d’accord avec elle. « N’importe quoi. » “Je vais bosser, ouais. C'est pas le moment de fermer boutique pendant 2 semaines.” Tu vas déposer un baiser sur ses cheveux. Tu sais qu’elle bosse dure. Elle soulève ton t-shirt et ça te fait marrer. Tu la laisses faire, ça te flatte qu’elle ait autant besoin de te sentir proche comme ça. “Je vais finir par vraiment m'habituer à ces visites surprises le 25 décembre, t'sais.” « Tu peux. » Car tu aimes ça aussi, c’est toi qui est trop accro et qui vient à chaque fois sans préavis.

« N’importe quoi. » T'en aurais des doutes mais tu n'as pas envie de le contredire. Pour une fois. Ca fait des mois que vous n'avez pas été réellement séparé, comme en janvier qui arrive, mais vous n'étiez pas l'un sur l'autre pour autant 24/7. Et c'est important à tes yeux. Jordan le sait, tu ne vas pas le répéter. « Tu peux. » Tu souris et tu le serres un peu plus. “C'est pas bon de me donner de mauvaises habitudes.” Puis tu réalises un truc qui te fait sortir ton minois pour lever le menton vers lui. “Joyeux anniversaire d'union, ma moitié à moi.” Bon, y a peut-être un jour de décalage mais t'es pas loin. Vous étiez en tête à tête y a un an. Et à Paris. A Disneyland. Un de tes meilleurs Noël.

“C'est pas bon de me donner de mauvaises habitudes.” Un sourire sur ton visage alors que tu la gardes toujours autant contre toi. Tu vas pour répondre mais y’a son visage qui sort de ton torse d’un coup. “Joyeux anniversaire d'union, ma moitié à moi.” Ton sourire se fait bien plus large à ses mots. « C’est vrai. Ca fait un an. » Tu regardes son beau minois sous tes yeux, ton sourire tout tendre sur tes lèvres. « Joyeux anniversaire. » Tu vas déposer un baiser sur son nez. « Sache que j’aime te donner des mauvaises habitudes. » T’es tout doux. « J’aime imaginer tous nos 25 décembre ensemble pour le reste de nos vies. » Tu murmures doucement. Ca te fait beaucoup de bien.

T'es contente d'avoir été celle qui y a pensé. Il faut dire que ce symbole est important pour toi. Ce n'est pas étonnant que ton cerveau a fonctionné pour ça. Par contre, Jordan est très doué pour être tout doux et te traiter comme une vraie petite princesse des temps modernes. « Sache que j’aime te donner des mauvaises habitudes. » “T'es trop bon avec moi.” Que tu ronronnes doucement en passant de nouveau tes doigts contre sa peau. « J’aime imaginer tous nos 25 décembre ensemble pour le reste de nos vies. » “C'est le deal, nan ?” Que tu murmures en penchant la tête. “L'an prochain, on réunit tout le monde.” Vous serez bien et mieux préparés l'an prochain. Et t'espère qu'y aura pas eu de cyclone juste avant.

“T'es trop bon avec moi.” Si elle est heureuse, tu es heureux. Tu la regardes de toute ta hauteur. Elle t’aime. Elle aime ton corps. C’est comme si tu t’en rendais compte à chaque fois que tu la voyais faire ce genre de chose alors que tu le sais. Mais il est si dur pour toi de t’aimer, ça te frappe toujours et puis ça devient plus comme une caresse sur ton âme. “C'est le deal, nan ?” Tu ne t’en étais pas rendu compte mais oui. “L'an prochain, on réunit tout le monde.” Tu hoches la tête et va déposer un baiser sur le bout de son nez. « Le 25 ou le 24 ? »

Jordan pose la question qui te fait râler doucement mais avec un large sourire. “Jooooor... J'en sais rien, tu me demandes ça là! Les deux ?” Après tout, plus de plaisir, non ? “On verra l'an prochain. Mais la maison est assez grande pour que tout le monde reste à dormir s'il faut.” Vous avez même une dépendance. Tu secoues les épaules avant de déposer des bisous sur son torse. “Mais pour l'instant, c'est toi qui est condamné à dormir à la casa del Cadburn.” Que tu glousses.

“Jooooor... J'en sais rien, tu me demandes ça là! Les deux ?” Ca te fait sourire de la voir déjà être saoulé par ta question que tu poses un an à l’avance. T’as envie de la manger. “On verra l'an prochain. Mais la maison est assez grande pour que tout le monde reste à dormir s'il faut.” Tu hoches la tête, vous avez eu la preuve que vous pouvez avoir bien du monde entre vos murs. “Mais pour l'instant, c'est toi qui est condamné à dormir à la casa del Cadburn.” Tu frissonnes à ses baisers sur ton torse. Tu caresses son dos doucement. « Tu veux que je reste dormir ? » Tu demandes plutôt surpris car ce n’était pas dans ton intention.

« Tu veux que je reste dormir ? » T'as un air drôle au visage. “Maintenant que t'es là... T'avais prévu de repartir directement là ?” Tu serai rentrée chez vous si Jordan n'était pas venu - et c'est ce qui était convenu afin de passer une des deux journées de Noël tous les deux. Mais vu qu'il est là, y a rien de mal à poursuivre ton petit séjour à Elimbah. T'as l'impression que ça fait longtemps que tu n'es pas venue. Ce qui n'est pas totalement faux à vrai dire.