Elle fait sa chipie à mettre ses mains devant son magnifique fessier mais c’est trop tard, tu l’as fait ton baiser sur sa jolie peau blanche. Tu voudrais avoir son cul sous le nez comme ça tous les jours à tous les instants. “Je me pose la question très souvent.” C’est même elle qui te l’a dit en premier si tes souvenirs sont bons. Tu aimes juste déclarer les choses évidentes dont vous êtes tous les deux d’accord. Ca fait toujours du bien à l’âme quand vous êtes d’accord inconditionnellement. “D’ailleurs, je trouve ça offensant que tu sois encore habillé.” Evidemment. Ca te fait très largement sourire, surtout qu’elle est en train de venir sur toi. “A part si t’attends que je te déshabille à ta place.” Tu aimes sentir ses mains sur ton t-shirt, prête à te dévêtir. “C’est la règle de mon atelier. On laisse tomber les fringues avant de passer le seuil.” Un rire s’échappe de tes lèvres, car bien sûr elle a cette règle. « Evidemment. Le péage. » Que tu paies de ton corps. “Après tout, comment je peux faire les mesures et tout ça si y a des fringues, hein ?”

Tu es extrêmement amusé par ses mots, tu vas passer tes bras autour d’elle - faisant attention à ton verre dans ta main. Tu la regardes avec un large sourire au visage avant de prendre la parole. « J’adore quand tu cherches n’importe quelle excuse pour justifier que tu me déshabilles… » Tu vas déposer un baiser sur son nez. « C’est comme quand tu trouvais toutes les raisons de m’embrasser quand on était pas encore officiellement ensemble. » T’avais l’impression de gagner un point à chaque fois que c’était elle qui succombait en premier. Tu aimais voir qu’elle avait envie de tes lèvres à ce point là. Très très bon pour l’égo. « T’as vraiment besoin de mes mesures pour le costume ? Je peux le voir ? » Tu demandes sans la quitter des yeux. Damn ce qu’ils te font rêver ces yeux bleus. Et oui tu as encore une semi crampe à l’heure où l’on parle.

« Evidemment. Le péage. » La dent prend la lippe en otage alors que le regard sur Jordan reste pétillant à la fois de malice et d’envie. Le fiancé a tout compris aux propos de sa douce ; le péage, la douane pour passer le seuil du terrain à conquérir est forcément l’offrande de sa personne. Telle une petite sylphe émourachée qu’elle est, les mains remontent un peu l’ourlet, glissant dessous avec une petite attente langoureuse. Birdie est tellement mordue, elle a tellement les yeux en étoile, et Birdie a aussi un peu faim apparemment. Il suffit de peu pour réveiller de nouveau son appétit grandissant - de luxure plutôt que de gourmandise.

Les bras de Jordan viennent l’envelopper et voilà qu’elle est malencontreusement collée à lui - c’est fâcheux, hein. « J’adore quand tu cherches n’importe quelle excuse pour justifier que tu me déshabilles… » “Oops.” Qu’elle murmure alors qu’il embrasse son nez. Elle ne s’excusera pas pour avoir ce comportement. « C’est comme quand tu trouvais toutes les raisons de m’embrasser quand on était pas encore officiellement ensemble. » Le sourire grandissant, la petite fée est toute adorable à caresser la peau de son compagnon. Ce ventre, ces petits abdos qui sont perceptibles, suffisant à la porter quand il le faut. Elle aurait bien envie d’aller en croquer un bout telle la créature affamée de son corps qu’elle est constamment. “Où serait le fun si je te le demandais directement ?” La demande est enfantine et légère car clairement, ce n’est qu’un jeu. Un jeu où elle ne compte pas les points, où seules ses lèvres sur les siennes comptent. « T’as vraiment besoin de mes mesures pour le costume ? Je peux le voir ? » Voyons. “C’est pas comme si j’ai tes mesures depuis quoi… Deux ans ?” Elle se moque gentiment de lui en allant l’agripper sur les flancs tout en tendant sa nuque vers lui. “A part si t’as changé de centimètre quelque part mais… Je sens qu’un seul truc qui a augmenté pour l’instant.” Elle glousse en sentant que Jordan est toujours raide et c’est clairement le sous entendu lubrique fort qu’elle fait. “Tu peux le voir mais sans ça…” Birdie finit enfin par faire glisser le tissu contre le torse de son fiancé afin de l’en défaire, faisant attention à son verre pour ne pas en mettre partout. “Et avec un baiser pour la créatrice.” Qu’elle conclut en allant mettre ses mains à plat sur sa peau remplie de tatouages. Beautiful.

“Où serait le fun si je te le demandais directement ?” Elle est si belle avec ses grands sourires, y’a ton coeur qui se gonfle tellement d’amour pour elle c’est incroyable. Et puis ces cheveux noirs là, t’as l’impression que tu as presque une autre femme dans tes bras mais non c’est bien elle et ce n’est pas du jeu de rôle cette fois ci. Même si c’est pas comme les tatouages, ça reste temporaire, c’est plus long qu’un simple costume portée pour une soirée, ou une journée.

C’est pas comme si j’ai tes mesures depuis quoi… Deux ans ?” « Ouais c’est pour ça ! » Tu es mignon car tu savais qu’elle sortait une excuse mais t’as quand même eu le doute si elle avait vraiment besoin de tes mesures. Tu veux que le bien pour ton costume. Tu t’es fait avoir comme un bleu. T’es mignon. Elle aussi est mignonne à être toute accrochée à toi. “A part si t’as changé de centimètre quelque part mais… Je sens qu’un seul truc qui a augmenté pour l’instant.” C’est pas faux et elle aime bien le souligner. Elle aime ce pouvoir qu’elle a sur toi et tu aimes la voir avec cet air dans les yeux. « La faute à qui ? » Tu dis de manière très très amusé.

“Tu peux le voir mais sans ça…” Elle ôte ton haut en faisant attention à ton verre toujours dans ta main. “Et avec un baiser pour la créatrice.” « Et on se fait baiser par la créatrice ? » Tu répètes ce que tu as entendu oui oui. Ce que la partie « petit con » de ton être a entendu surtout. Tu maintiens Birdie de ton bras libre. « J’aime bien ce péage. J’attends que ça… » Tu ajoutes au cas où elle aurait pas compris. Après tout c’est elle qui arrête pas de parler encore et encore et encore de ton milieu tout dur. C’est toi qui est passé en sex worker maintenant. Tu aimes beaucoup. Tu serais son assistant du sexe pour l’éternité. Tu aimes tellement quand elle a tout le pouvoir.

« Ouais c’est pour ça ! » Pour ça quoi ? Birdie n’est pas certaine de comprendre ce que Jordan veut dire avec cette exclamation mais ça ne l’empêche pas de l’attirer contre elle malgré tout. Ses mains continuent à le caresser tout en serrant sa peau dans le processus. La coquine sait l’effet qu’elle a sur son compagnon ; y’a juste à voir le regard émouraché que lui-même pose sur elle pour sentir toute son affection. Qui est un bien faible mot, à vrai dire, si on cumule toutes les déclarations dont Jordan est capable. « La faute à qui ? » La voilà se frottant légèrement à son entrejambe, un sourire imitant le sien, aussi amusée que lui. “Not my fault if you’re attracted to me.” A peine. Quand elle repense qu’il a fallu juste un sneak peek sur sa poitrine pourtant moins vertigineuse et impressionnante que d’autres pour entraîner toute cette belle aventure… Elle n’aurait pas cru.

« Et on se fait baiser par la créatrice ? » Y’en a qui ne perdent rien pour attendre et ça l’exclaffe énormément, la Cadburn. Ses doigts parcourent avec allégresse ce torse ferme qui ne demande qu’à être bouffé, en vrai, non ? Ou c’est juste elle ? « J’aime bien ce péage. J’attends que ça… » “Yeah ?” Qu’elle demande en détournant une de ses mains pour aller la plonger doucement mais sûrement vers le sud. “La créatrice a passé trois jours seule. Elle a besoin d’autre chose que ses doigts.” Birdie lui fait bien comprendre ce qu’elle veut alors que sa tête fond sur son torse. Elle l’y embrasse, plusieurs fois, tout en atteignant sa zone la plus masculine de sa main. Elle picore et elle lèche aussi, ses doigts restant par-dessus son vêtement pour le masser. “I’ll show you the outfit later… Please make love to me first.” Demande-t-elle plus frontalement. Elle a juste envie de le retrouver pleinement.

Ses mains sur toi sont vraiment comme le plus doux des velours sur ta peau. Elle est d’humeur chipie et ça lui va si bien au teint. “Not my fault if you’re attracted to me.” Evidemment que ce n’est pas de sa faute et tu ne changerais tout ça pour rien au monde. Tu profites de trouver une ouverture pour glisser un beau retournement de situation et tu te sens bien malin.  “Yeah ?” « Yeah ? »  Tu réponds de la même façon qu’elle avec un sourire très amusé. Tu sens qu’elle est en train de se rapprocher de ton milieu et tu penses pas qu’elle va s’arrêter et te frustrer. Elle te veut encore plus. “La créatrice a passé trois jours seule. Elle a besoin d’autre chose que ses doigts.” Tu te mords la lèvre de l’imaginer s’amuser toute seule… Ton esprit est altéré par sa main sur ta queue. Tu la regardes bien dans les yeux.Keep going. Ses lèvres sont sur ta peau et le second round est lancé. “I’ll show you the outfit later… Please make love to me first.” Tu hoches la tête, adorant qu’elle demande si poliment. Tu vas manger doucement ses lèvres, emporté par les sensations qu’elle te fait ressentir avec toutes ses mains et lèvres sur toi. « Anything you want. » Tu confirmes que tu vas lui faire l’amour et elle te baise au second sens du terme car tu n’as pas ta requête exaucé. Ca n’est pas un problème pour toi. Tu es ok de lui faire l’amour n’importe quand, jusqu’à la fin des temps - quand tu es dans le bon état d’esprit bien évidemment. Tu vas poser ton verre et tu investis son corps et ses tréfonds une deuxième fois, mais dans une autre configuration.

Quelques minutes plus tard, tu es nu - bien évidemment - jamais elle ne te laissera garder tes fringues alors qu’elle n’a pas eu le plaisir de ton corps depuis trois très très long jours. Tu lui as fait l’amour comme demandé, pour ton plus grand plaisir. Tu es avachi sur un coussin géant qui se trouve dans son atelier. Satisfait. Heureux. Un doux sourire sur ton visage tu réalises un truc. « J’étais en train de discuter avec un pote pour le boulot et ça doit faire une heure qu’il attend une réponse. Oopsie. » Tu dis alors que tu n’es pas désolé du tout. « J’ai des priorités, le corps de ma fiancée avec sa nouvelle chevelure en plus… Dear god… »  Tu ajoutes car c’est toujours aussi beau et très nouveau. Tu vas avoir besoin d’un moment pour t’y faire, et quand ce sera le cas, elle sera sûrement de retour à blonde, car ça sera terminé.

« Yeah ? » Ce petit con réagit de la même façon que toi et ça mériterait un châtiment digne de cette offense. Sans rire. Jordan recherche souvent ce genre d’action de ta part, ce n’est pas nouveau et c’est ce qui fait que ça fonctionne si bien. En tout cas, sur ce plan-là, ça s’emboîte toujours aussi parfaitement que deux legos et dans n’importe quel sens. Vous fonctionnez, c’est le plus important. Vous savez vous éloigner quand il le faut, quand l’envie se fait ressentir. Enfin, tant que c’est prévenu. Tu ne t’en remettras sûrement jamais de l’avoir vu prendre ses affaires pour te foutre à la gueule qu’il dormait chez Maria. Heureusement que c’était qu’une seule nuit. C’est de l’histoire ancienne mais ça reste encore frais dans ta petite cabosse. Ça te rappelle que Jordan est capable de le refaire une nouvelle fois. De façon définitive si ça se trouve. Tu ne sais pas. Mais ça a été une telle claque que tu ne l’oublieras pas si tôt. Ça rôdera perpétuellement quelque part dans les tréfonds de ton esprit. « Anything you want. » Voilà des mots que tu préfères entendre. Tes mains glissent à son cou et vous voilà partis pour des retrouvailles à deux cette fois-ci.

T’es collée à Jordan, sur l’énorme coussin en forme de chat que t’as pas résisté de prendre quand tu l’as vu. T’as tellement besoin de le sentir contre toi, comme un nouveau-né ayant besoin du peau à peau pour sentir l’odeur rassurante de ses parents. C’est de ton fiancé dont t’as besoin d’être rassurée, constamment ; non, il n’est pas parti. Techniquement, c’est toi qui est partie trois jours seule mais c’est Elimbah. Personne ne peut t’en vouloir pour ça. Encore moins Jordan ; il est bien placé pour le comprendre. « J’étais en train de discuter avec un pote pour le boulot et ça doit faire une heure qu’il attend une réponse. Oopsie. » Un bref rire s’échappe de tes lèvres alors que le soleil t’éblouit si fort via les grandes fenêtres de ton atelier royal que t’en plisses les yeux avant de cacher ton visage dans le creux du cou de Jordan. « J’ai des priorités, le corps de ma fiancée avec sa nouvelle chevelure en plus… Dear god… » Là, tu relèves un peu le buste pour mieux voir son visage. “Si ça te fait de l’effet à ce point, je vais garder cette couleur pour un moment.” Une de tes mains va caresser sa joue. “Je suis même pas désolée pour ton pote. Je passe avant le taf.” Que tu dis en te penchant pour aller l’embrasser doucement sur les lippes. “En parlant de taf…” Il faut te décoller pour lui montrer son costume. Mais tu préfères l’embrasser une fois de plus. “Faut que je te montre…” Et encore. “Ta tenue.” Et encore. “Ugh, j’ai pas envie de bouger pour l’instant.” Que tu dis en t’affalant comme une masse sur lui - tu sais que Jordan adore ça, et toi aussi. Vous savez être littéralement collés l’un à l’autre mais pas trop non plus. L’équilibre parfait. “Tu m’as trop manqué. J’suis bien là.” Que tu grommelles alors que ta joue est plaquée contre son torse, comme le reste de ta personne. “Raconte moi plutôt si t’as eu des trucs louches.” Tu te lèveras après. Promis.