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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: [MARLEY] ❝ VICE ET VERSA #3
Jackson Mills

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: [MARLEY] ❝ VICE ET VERSA #3    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyMar 4 Avr 2023 - 19:31

2011 / VICE ET VERSA #3



MARLEY & JACKSON




«  Il me semble qu'il reste encore six mois ... »   Jax l'entend sourire à l'autre bout du fil, ce qui a pour effet d'illuminer ses traits. Quel régale d'entendre la voix de la métisse dont il avait presque oublié le timbre. « Je constate que tu comptes les jours. »  Répond-il avec insolence alors qu'il est le premier à cocher les cases du calendrier en prévision d'Athènes et de cette promesse que Lynch lui a faite. Mills court après l'or, c'est indéniable, c'est son but ultime, son graal personnel. Mais, chaque fois qu'il s'entraîne, une petite part de son esprit s'imagine la brune en show privé après la remise des médailles. Un fantasme autant qu'un stimulant : une motivation mentale que l'athlète tait car il sait parfaitement à quel point son coach serait en désaccord avec ce genre de préparation mentale. On n'a jamais vu un homme courir plus vite encombré d'une troisième jambe, c'est des conneries ! « Comment va mon sprinter préféré ? »   Le sourire de Jackson s'élargit, faisant remonter ses lunettes de soleil le long de son nez. Autour de lui tout le monde s'en fout, mais quiconque prêterait attention à sa posture relèverait que l'athlète vient de bomber fièrement le torse. « Top shape. J’suis presque prêt. »   Répond-il avec esbroufe, trop content de l'avoir au bout du fil pour prendre le risque de plomber l'ambiance avec des révélations sur sa santé mentale.

Jax se sent seul. Il sait que cette préparation est nécessaire mais se demande parfois s'il n'existerait pas d'autres moyens que de s'imposer une vie aussi stricte, aussi dénuée de saveurs. Le poulet et les haricots verts le rebutent, l'alarme de son téléphone sonnant 10 fois par jour afin de lui indiquer qu'il est l'heure de courir, de dormir ou de mander lui sort par les oreilles, même l'odeur du tartan imbibé des pluies d'été ne le fait plus autant vibrer qu'avant. Surement qu'il est en train de faire une overdose, que sa drogue athlétique est en train de peu à peu le ronger au point de le transformer en machine dont seule compte la vitesse d'accélération. Quelle fille a envie d'entendre ça ?  « Ton coach sait que tu appelles une fille pendant tes entraînements ? » Il laisse échapper un soupire résigné. Avouera-t-il à Marley que son téléphone dort sous scellé ? Que le deal est d'accepter de laisser l'objet dans un tiroir fermé à clé chaque soir, afin de récupérer convenablement ? Jax préfère garder cette information pour lui. Bientôt, on le soupçonnera d'être marié à l'entraîneur ! « Pas d’entraînement aujourd’hui. »  Alors il peut bien faire ce qu'il désire et ce que Mills désire c'est prolonger cet échange : « Comment va la plus belle ? »  Ses yeux se ferment derrière les verres de ses lunettes. L'athlète tente de visualiser à nouveau son visage, la couleur de ses yeux et les petits creux de ses fossettes lorsqu'elle sourit. Des images du Starbucks lui reviennent. Cette trace de chocolat au coin de sa bouche avant qu'elle ne le quitte sans qu'il n'ait eu le temps de la lui essuyer.  « Dis-moi que t'es libre ce soir. »  Il est probablement déjà trop tard pour l'inviter à partager un après-midi ensemble, mais Jax a la permission de minuit. S’teuplait - S’teuplait - S’teuplait supplie-t-il mentalement.

(c) sweet.lips
Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: [MARLEY] ❝ VICE ET VERSA #3
Jackson Mills

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: [MARLEY] ❝ VICE ET VERSA #3    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyMar 4 Avr 2023 - 3:41

2011 / VICE ET VERSA #3



MARLEY & JACKSON




Décembre.

Cela fait 3 mois que Jackson a été sélectionné. Depuis, sa vie est plus rythmée que du papier à musique. L'athlète se lève aux aurores, se pèse, mange un petit déjeuner de champion, commence par son premier entraînement de la journée, se douche, mange encore, fait la sieste, enchaîne sur le second entraînement de son programme, se douche, mange à nouveau, dort 20 minutes supplémentaire, termine par une troisième session de sprints, se douche une dernière fois, mange et se fait masser. Puis il mange encore avant d'aller se coucher avec l'impression délirante de ne plus avoir de vie, de n'exister que pour les jeux. Du matin au soir, du soir au matin, l'athlète n'a même plus le temps de voir ses amis. Ces derniers viennent parfois le supporter le long de la piste d'entraînement, mais Jax sent bien qu'il est en train de se couper du monde, d'entrer dans un univers au sein duquel même ses proches peinent à le suivre. Le week-end, il enchaine les strip, engrange le cash qu'il rapporte à la maison en soutien à son père, passe quelques heures avec sa sœur puis retourne à sa routine militaire.

À L'approche Noël, son coach a concédé une journée de repos. Mills n'a plus l'habitude. Il a perdu la notion du temps, n'a vu passer ni les jours, ni les semaines, encore moins les mois. Assis sur un banc face au rivage, le sportif observe les Brisbanais se baigner de soleil ou jouer au beach volley en famille. Il est sensé acheter des cadeaux pour ses proches mais n'a pas envie de courir de boutique en boutique afin de dénicher la perle rare. Jax ne demande qu'à se poser, faire un break, arrêter de voir le chrono de sa vie défiler à toute vitesse. Derrière ses lunettes de soleil, l'athlète suit du regard un groupe de filles s'en allant surfer. Cheveux, épaules, chute de reins, fesses, cuisses, mollets. Son œil critique inspecte sans qu'il s'émeuve de ce qu'il voit. À quoi ressemble Lynch en maillot de bain ? Jackson se le demande, lui qui a déjà rêvé la métisse dans plusieurs situations mais jamais sur la plage. Inconsciemment, le sportif sort son téléphone de sa poche. Dans le répertoire, le numéro de la jeune femme attend d'être composé depuis trop longtemps. Son seul et unique message se résume à une photo de citrouille envoyée à Halloween. Louisa a promis de ne le répéter à personne quand elle l'a pris en flagrant délit de mièvrerie : " M + J = :l: ". Il était fier de son découpage de courges, assez pour l'envoyer à la métisse en espérant la faire sourire derrière son écran ... mais n'a jamais reçu de réponse. Peut-être était-elle trop occupée sur le terrain, ou tout simplement plus intéressée. Un mois et demi plus tard, se souviendra-t-elle encore de lui ? Il n'y a qu'un seul moyen de le savoir : presser la touche appel.

« Hey ! » S'exclame-t-il lorsqu'on décroche au bout du fil. « C'est bien le tel de Marley ? » Et si elle lui avait donné un faux numéro ? Son cœur se serre à cette idée, mais Jax ne laissera rien paraître de sa déception si tel est le cas. Être triste ne l'aidera pas à passer sous la barre des 10 secondes.

(c) sweet.lips
Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (Midas & Amos #3) pressure like a grip and it won't let go
Amos Taylor

Réponses: 11
Vues: 647

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (Midas & Amos #3) pressure like a grip and it won't let go    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySam 1 Avr 2023 - 23:48



PRESSURE LIKE A GRIP
AND IT WON'T LET GO
Midas #3  

@Midas Sterling  

Je ne suis pas dérangé par les appels ou les textos de Midas. Pour être honnête, j’aime la relation qui se dessine devant nous, ce lien que nous tissons aujourd’hui et qui, jadis, n’était pas envisageable de par mon statut d’adulte et de père de famille. Bien sûr, je suis désolé d’avoir à taire mes sombres secrets : nulle utilité pour Midas d’être renseigné sur ce que Raelyn et moi trafiquons. Ceci étant, je n’ai jamais été un adepte du non-dit. Je n’ai jamais tiré le moindre bénéfice de mes mensonges non plus. Sauf que mon histoire n’est pas écrite pour être narrée dans son entièreté et j’ai appris à l’accepter. J’ai intégré que le pavois le plus large pour protéger ma famille était le silence, mais en est-il de même pour tous ? Peut-être. Certaines vérités se doivent d’être dissimulées derrière un drap opaque. Il convient d’interdire à quiconque de lever un pan de ce voile. Cette justification prévaut autant pour moi que pour mon cousin compte tenu de sa célébrité et au regard de Posy. Mais, pour Jo ? Est-il bon de l’endormir avec des boniments puisqu’il en est amoureux ? Assurément, non. J’ai tenté cette expérience avant lui et je n’y ai rien gagné. Dès lors, devant quelques-uns de ses messages, je suis chagriné parce que sa paire de baskets, je l’ai portée moi-aussi. Elle n’est pas confortable. La semelle semble présenter une épine qui s’enfonce dans la plante de nos pieds à chaque pas. On est alors ralenti. De temps à autre, on s’arrête et ainsi s’éloigne nos objectifs. On n’en distingue plus les couleurs et, peu à peu, il nous paraît tellement inaccessible que l’on baisse les bras. On se contente du surplace. On abandonne. On se convainc que c’est la fatalité quoique l’on souffre de notre échec. Dieu que je le connais, ce sentiment. Il s’acoquine avec la culpabilité et biaise nos comportements. Ce couple ne nous quitte que rarement. Il lui arrive simplement de se tapir dans notre ombre pour mieux bondir et nous assommer d’un coup de pioche. J’en ai fait les frais il n’y a pas longtemps alors que mon bébé était absent. Son retour a signé la fin d’une période de vache maigre. Le bonheur de ma famille est de nouveau entier. Rae et moi n’avons plus peur d’être séparés. Il nous arrive de le faire pour que l’un profite de la petite pendant que l’autre assure la permanence et règle les problèmes du Club ou du casino. Notre quotidien est plus sain. Mes envies de picoler sont réduites à leur minimum : ma volonté leur dame le pion. Dans ces conditions, je n’ai pas de scrupule à abandonner ma famille étroite, durant quelques heures, pour secourir l’un de mes proches.

Nous étions au bureau lorsque Midas a réclamé mon aide. Coincé sous les feux des projecteurs durant un bal de charité, il me sollicite pour le tirer de ce guêpier et il m’a arraché un sourire et un commentaire à destination de ma partenaire. “Je ne pourrais pas faire ça. Je tuerais de mes mains” lui ai-je lancé, l’avertissant des enjeux de mon départ. Avant de m’éclipser, je l’ai embrassée comme si c’était la dernière fois et j’ai promis que je ne traînerais pas, que je rentrerais d’ici une petite heure. J’ai également précisé que je serais rassuré si elle m’attendait là. Je suis néanmoins conscient de son indépendance et je n’ignore ni sa faculté à prendre soin d’elle ni son problème avec toute forme d’autorité, qu’elle existe ou non ou qu’elle soit bienveillante ou l’inverse. Je n’ai donc pas insisté. J’ai acté pour moi-même que je lui adressais quelques textos tout au long de la soirée afin de m’enquérir de nouvelles et de me rassurer, conséquence du traumatisme lié à la menace qui a plané sur la tête de Micah. En attendant, je pénètre dans le bâtiment en répétant à la lettre les indications de Midas et j’ai joué des coudes pour me frayer un chemin vers les jardins. Je suis attendu auprès d’une fontaine taillée dans la pierre et à l’effigie d’un lion. La place est vide de toute présence, si ce n’est celle de mon cousin que je salue à la hâte. «Ils t’ont envoyé tout seul pour affronter tous ses requins ?» ai-je plaisanté en m’asseyant sur le rebord de l’édifice ornemental, me moquant de l’eau fraîche qui m’asperge. « Tu as du répondre à combien de questions stupides avant de m’appeler pour que je te tire de là ? » Est-ce réellement ce qui le tracasse ? J’en doute. « Je suppose qu’elle n’est pas là.» Au contraire, c’est elle qui l’aurait aidé à s’échapper. « Pourquoi ?» Je me suis enquis sans indiscrétion : je suis là parce qu’il m’a fait demandé. Est-ce fou de conclure qu’il n’aura pas besoin d’être pincer pour passer à table ?


Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (Zoeya #3) I'm sorry...
Zoya Lewis

Réponses: 5
Vues: 574

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (Zoeya #3) I'm sorry...    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySam 1 Avr 2023 - 15:02
i'm sorry... - ft  @Freya Vranken #3  

25 décembre 2021. « Qu’est-ce que tu racontes ? Tu n’es pas la pire mère du monde ! » Elle ne peut pas comprendre, Freya. Elle ne le peut pas parce que Zoya l’a écarté de sa vie ces dernières semaines. Depuis cette dispute qu’elles avaient eu le mois dernier, plus aucun contact n’avait été tenté ou entrepris, que ce soit par l’une ou par l’autre. C’est aussi au même moment où la vie de Zoya a basculé, cette dernière perdant totalement pied dans ce rôle qu’elle ne pouvait s’attribuer, tellement elle fuyait ses responsabilités depuis des mois. Et si, jusqu’à présent, elle avait feint que cette nouvelle vie lui convenait, qu’elle vivait très bien le fait de laisser sa fille plusieurs soirs par semaine à ses proches pour aller se perdre dans les bras de Mickey, la Lewis, en plus des reproches formulés par sa famille ou ses ami.e.s, se, s’accablait elle-même pour le comportement qu’elle adoptait. Mais cette fuite en avant était nécessaire à ses yeux quand elle ne parvenait plus à assumer, n’arrivait à rien avec Chloe et avait l’impression de ne pas être la mère qu’elle méritait. « Je ne savais pas que tu étais encore en contact avec le père de Chloe. Tu as toujours refusé d’en parler. » Parce qu’elle le détestait et le déteste toujours. Encore plus même maintenant qu’il refuse de lui rendre sa fille, mais ça Freya l’ignore encore. Si elle a passé sous silence son histoire avec Freddy et son identité, c’est tout bonnement parce qu’elle ne voulait pas perdre son temps à parler de quelqu’un qui s’est montré odieux avec elle alors qu’elle a tenté de lui annoncer sa paternité. A aucun moment, elle a jugé que Freya ne méritait pas de savoir tout de cette histoire. Elle cherchait juste, se faisant, de ne pas user de la salive inutilement pour quelqu’un qui n’en valait pas la peine « C’est tout à fait normal de laisser un enfant à son père Zo’. Ça ne veut pas dire que tu as abandonné Chloe. » « C’était mon but, Freya ! La laisser avec lui et partir pour ne jamais revenir ». Son ton est catégorique, montrant qu’elle pensait réellement à ce qu’elle ne veut pourtant reconnaitre devant le père de sa fille qui se refuse de la lui rendre désormais. Et même si Zoya lui en veut de la priver de leur fille alors qu’elle est de retour, une part d’elle se dit qu’il a peut-être raison de le faire « Comment ça, il ne veut pas ? » « Il refuse tout simplement » réplique-t-elle entre deux sanglots, le regard toujours porté sur leurs mains liées. « J’ai du mal à te suivre Zo’… (…)Vous n’êtes pas en bons termes avec le père de Chloe ? » Zoya retrouve le regard de son amie, tournant sa tête de droite à gauche avec vivacité « Je n’ai jamais été en contact avec lui après avoir couché avec. La seule fois où j’ai essayé de reprendre contact avec lui, il s’est montré odieux ! Je voulais lui annoncer que le bébé que je portais était le sien mais, au vu de son comportement, j’ai renoncé. A partir de ce jour, je l’ai détesté de tout mon être ». Et c’est là où l’on retrouve toute la contradiction légendaire de Zoya. Elle le détestait, le déteste toujours et pourtant, c’est dans ses bras qu’elle a décidé d’abandonner sa fille. Elle en a honte, son regard fuyant à nouveau celui de sa meilleure amie « Je ne te demande pas de me donner son identité mais est-ce que quelqu’un sait de qui il s’agit ? Cameron ? Tony ? Ezekiel ? » A nouveau, sa tête acquiesce mais plus lentement cette fois « Cameron et Tony le savent maintenant » Parce qu’elle leur en a parlé pas plus tard que cette nuit, quand elle a été incapable de garder plus longtemps ce secret pesant pour elle. Un réveillon de Noël sans sa fille, dont elle a justifié son absence en disant à tous qu’elle a laissé Chloe avec son père – ce qui n’était pas un mensonge en soi – sans spécifier toutefois que cela ne relevait pas d’un choix délibéré de sa part – du moins, plus pour l’heure – mais d’un choix qu’on lui imposait. Le cœur lourd, elle a donc décidé d’en parler à deux de ses frères « Est-ce que tu as au moins parlé à l’un d’eux de ce qu'il se passe ? » « Oui, j’ai tout avoué à Cameron et Tony justement cette nuit… J’ai fait croire à tout le monde que Chloe était chez son père pour le réveillon mais quand je me suis retrouvée seule avec Cam’ et Tony, je leur ai tout avoué. J’avais besoin d’en parler… » Elle se justifie comme si cela était nécessaire. Marquant une pause, elle poursuit allant s’asseoir sur le rebord de la baignoire lentement « Ils m’ont proposé d’aller le voir pour récupérer Chloe de force. J’ai refusé ». Il était hors de question que cela se règle par la force ou que cela implique que l’histoire aille plus loin. « Je veux régler ça, seule » Et pourtant, elle se sent démunie, ne sait plus comment agir et c’est pour cette raison aussi qu’elle est revenue vers Freya. Elle a définitivement besoin de soutien, celui qu’elle a été incapable de demander en premier lieu et qui aurait surement permis d’éviter une telle situation. « Il s’appelle Freddy… Freddy Mulligan ». Frey’ ne lui en a pas fait la demande spécifique, mais Zoya avoue l’identité de celui qui refuse de lui rendre leur fille à cause de cette erreur stupide qu’elle a commise…

« Zo’ ? » Zoya relève le regard lorsque, après un long moment de silence, Freya hèle son surnom « Est-ce que c’est à cause de lui que tu as tourné le dos à tout le monde ? » Les sourcils de la Lewis se froncent alors, n’étant pas sûre de comprendre pourquoi Freya lui faisait une telle demande. « Non, bien sûr que non, Frey’ ». Il n’était nullement responsable de quoi que ce soit pour le coup « Si j’ai été aussi distante… c’est parce que je ne voulais pas reconnaitre que je n’y arrivais plus. Que j’étais en train de me perdre. Je sais que j’aurai dû demander de l’aide, vous en parler à tous que je me sentais démunie et pas à la hauteur pour ma fille… J’ai laissé mon égo prendre le dessus, ma fierté… » elle soupire lourdement, le sentiment de culpabilité reprenant place « Je suis désolée, Freya… tellement désolée ». Et elle éclate à nouveau en sanglots, portant ses mains devant ses yeux, bien que cela ne l’aidera pas à les stopper ou les camoufler.

(c) ANAPHORE

Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: la vita è una combinazione di pasta e magia (ugo)
Ugo De Luca

Réponses: 10
Vues: 857

Rechercher dans: tisser des liens   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: la vita è una combinazione di pasta e magia (ugo)    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySam 25 Mar 2023 - 21:42


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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: i wanna be right where you are (eliya #3)
Zoya Lewis

Réponses: 7
Vues: 984

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: i wanna be right where you are (eliya #3)    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyJeu 16 Mar 2023 - 18:00
i wanna be right where you are ft @Elijah Walker #3  

Juillet 2017. Il n’y a pas de demi-mesure avec Zoya. Passer du temps avec elle implique de l’extravagance et du haut en couleurs. Que ce soit par la passion, par la colère ou l’allégresse qu’elle peut démontrer, rien n’implique en tout cas de la sagesse comme celle actuelle dans laquelle Elijah et elle se trouvent soudainement plonger. Ça n’a jamais été le cas entre eux, Zoya ayant toujours été très expressive, très démonstrative et ça, en grande pompe, auprès de l’architecte. Il n’est évidemment pas question de sentiments mais d’attirance purement physique, ses agissements auprès de lui ayant toujours été très révélateur de sa personnalité. Celle du moins qui est la sienne au quotidien avec ceux qui lui sont proches – et le grand brun à ses côtés rejoint cette catégorie – où elle déborde d’énergie pour montrer tous les sentiments et émotions qui peuvent l’habiter. Elle sait cependant se tenir, être un peu plus calme quand cela est nécessaire – dans le cadre professionnel majoritairement parlant - mais, par ailleurs, Zoya reste elle-même. Jamais personne ne pourrait lui reprocher d’ailleurs de ne pas être entière et vraie. Les faux semblants ne sont pas pour elle. Alors, cette atmosphère étonnante qui plane au-dessus de leur tête aujourd’hui laisse une Zoya pas à l’aise dans l’exercice et c’est pour cette raison que la taquinerie est usée pour alléger un peu cette tension palpable – de quelque nature qu’elle puisse être.  « Disons que tu as tes bons jours, quand tu y es disposée » C’est d’un coup de coude dans le ventre qu’il hérite cette fois, puisqu’elle n’est pas en mesure de se dépêtrer de son emprise autour de sa taille – et elle ne l’a subi nullement, appréciant cette proximité qui est la leur, bien que différente de celle dont il est question dans leur conversation – venant le menacer la seconde suivante d’un index pointé sous son nez « Prends garde à ce que tu dis, tu risques de le regretter ». Il n’est pas question là de le bannir de toutes retrouvailles charnelles, mais plutôt de faire naitre la Zoya qui n’use plus de demi-mesure, capable de l’entraîner dans un coin, à l’abri des regards, pour lui montrer de quel bois elle se chauffe – et lui faire fermer son clapet sur ses soi-disant performances qu’il ose remettre en question. « Bien que je n’ai rien à te prouver… Autrement, tu ne finirai pas dans un état second à chaque fois ». La subtilité des mots pour ne pas parler grossièrement l’étonne elle-même, un sourire taquin sur le bout des lèvres alors que cet index pointé s’est lentement glissé le long de son torse, pour le déstabiliser au contact. Ses sourcils se haussent successivement d’un regard plein de sous-entendus encore avant qu’ils ne reprennent leur marche côte à côte.

Zoya n’a pas pu garder son étonnement pour elle plus longtemps, sommant de questions un Elijah qu’elle trouve transformé ce soir. Il est bien plus sage, bien plus silencieux, une attitude qu’elle n’a en rien accoutume de lui connaitre. Son expressivité, son aisance lui manque peut-être un tantinet mais c’est surtout cette invitation qu’il lui a faite qui la prend au dépourvu. Il est question de passer un moment ensemble différent de tout ceux qu’ils ont pu passer jusqu’à présent, notamment pour retrouver une complicité différente, celle qui est la leur à distance. Aux yeux de la photographe, une telle soirée aurait pu tout aussi bien se passer dans l’appartement de l’architecte, bien que la sagesse n’aurait pas été totalement de mise de la part d’une Zoya qui ne cache en rien l’attirance toujours prépondérante qu’elle peut ressentir à l’égard de l’américain d’adoption. « La soirée n’est pas finie. Tu auras tout le loisir de m’en faire la démonstration, petite larve » L’invitation alléchante n’est évidemment pas déclinée par la photographe dont le regard qu’elle lui offre en réponse ne manque pas d’être plus qu’explicite. Qu’ils le veulent ou non, malgré cette nouveauté qui plane au-dessus de leur relation, malgré cette volonté aussi de donner un souffle différent à celle-ci le temps d’une soirée, la conclusion de leur rencontre reste toujours similaire au précédente. Cependant, au vu des propos de l’architecte, qui se livre un peu plus sur ses intentions quant à cette soirée, peut-être que celle-ci sera plus tendre avec des conversations qui s’éterniseront jusqu’au bout de la nuit, avant de se tolérer un moment de retrouvaille qui leur est davantage caractéristique. En tout cas, Zoya avoue ne pas être contre cette idée, celle où il s’autoriserait à être un peu plus eux-mêmes lorsqu’ils se retrouvent en chair et en os, osant avoir des propos similaires à ceux qu’ils peuvent avoir par téléphone « En même temps, qui ne serait pas ravi de me voir ? » Alors qu’elle a adopté un air sérieux et qu’elle laisse apparaitre là une facette plus douce de sa personnalité, Elijah use d’un humour douteux qui ne manque pas de lui faire avoir un mouvement de recul de la tête. Doucement, sa tête se tourne de gauche à droite alors qu’elle le repousse un peu à nouveau, laissant échappé un « Estupido », dans la langue maternelle de sa mère – Elijah en connait les origines hispaniques et entendre Zoya en user ne l’étonnera en rien. Pourtant et ce malgré le petit surnom gentillet dont il hérite, le sourire de l’australienne s’attendrit davantage face à la boutade d’Elijah car, même si elle ne le formule pas, elle est ravie de le voir – mais il n’a pas besoin de mots pour le deviner. En revanche, ce qu’il ignore, c’est qu’il fait naitre en elle l’envie de l’avoir que pour elle, d’être la seule à se languir de sa présence, qu’il en soit de même pour lui et qu’ils s’abandonnent exclusivement l’un à l’autre plutôt qu’à cette relation floue qui peut être la leur. Une confession qu’elle ne fait pas alors que son regard se perd dans le sien azur, déstabilisant, visible cependant du fait du comportement qu’elle peut adopter face à lui, gardant cette tendresse et ce calme inégalée qui n’est pas sien habituellement.

Ses pas ralentissent jusqu’à venir se poster progressivement devant Elijah et donc stopper leur balade apaisée. Son regard, égarée dans le sien, Zoya confesse qu’elle aime particulièrement cette nouvelle facette qu’il lui fait découvrir ce soir, dénotant avec cette image incessante qu’il veut donner de lui. Celle d’un homme sûr de lui, certain de ses convictions – celles attenantes notamment à sa volonté de ne pas vouloir d’une quelconque relation – au point d’avoir parfois ce côté agaçant duquel cependant elle s’est accommodée. Mais ce soir, Elijah perd de sa superbe habituelle, et si cela peut paraitre péjoratif, il n’en est rien en réalité. Au contraire, Zoya est séduite, comme envoutée, ses gestes et son corps s’approchant du sien exprimant, à sa place, ce qu’elle n’est pas capable de dire à voix haute. « Je suis ravi de savoir que j’arrive encore à te prendre au dépourvu » Sa voix n’est plus qu’un murmure, ce geste doux qu’il adopte à son tour à son encontre ne manquant pas de la faire frissonner, lui faisant perdre jusqu’à son sourire. Le sérieux à regagner ses traits parce que ce soir, Elijah lui fait avoir le souffle coupé. « Et je suis ravi, aussi, que cette facette te plaise » Il ne devrait pas Elijah. Il ne devrait pas se risquer à plus avec Zoya. C’est tout ce qu’il fuit mais c’est tout ce qu’elle désire, à cet instant. A cet instant où elle prend conscience qu’elle l’aime, qu’elle en tombe plus amoureuse encore et qu’elle ne le laissera pas partir. Il se risque mais elle n’attend que ça. Plus que quelques centimètres les séparent désormais et elle prie pour qu’il finisse par les rompre. Et c’est ce qu’il fait, alors que son pouce passe délicatement sur ses lèvres en premier lieu avant que sa main entière n’aille se loger derrière sa nuque. Surtout, ses lèvres finissent par se fondre contre celle de la brune qui savourent la douceur de ce baiser, un de ceux qu’elle n’a jamais échangé encore avec lui. Il la prend au dépourvu à nouveau mais, dans son for intérieur, elle exalte. Elle ne laisse rien transparaitre, se laissant porter par ce baiser savoureux, qu’elle prolonge tout en venant nouer ses bras autour de la nuque de l’architecte. Zoya se sent divinement bien et n’a nullement envie de le lâcher et si, habituellement, elle laisse ses ardeurs s’exprimer, cette fois, elle se contient. L’instant est unique, presque sacré et lorsque ses lèvres se défont de celle d’Eli’, Zoya semble presque estomaquée, bien trop muette pour la personne qu’elle peut être. Son regard, porté sur le sol, ses bras toujours agrippés à sa nuque, elle semble nécessiter quelques secondes avant de retrouver le regard de celui dont elle ne peut nier l’amour qu’elle ressent, dans un besoin de retrouver contenance et de prendre son courage à deux mains pour lui demander ce qui pourrait s’apparenter à la question fatidique « Et ça, qu’est-ce que ça signifie, Eli’ ? ». Sa voix n’est qu’un murmure, qui se meurt parmi les bruits environnants, bien qu’elle ait fait abstraction de tout le reste depuis un moment. Ses pouces tracent des cercles invisibles sur sa peau alors qu’elle cherche des réponses dans son regard, celles qui lui donnera la conviction qu’il veut bien plus avec elle que ce qu’ils ont partagé jusqu’à présent. Ne nie pas, Elijah pourrait être les mots qui s’ensuivent mais qu’elle garde pour ne pas le brusquer. Son impatience se manifeste malgré elle alors que sa jambe s’agite dans un léger tremblement à peine perceptible et parce qu’elle pense qu’il a peut-être besoin d’être encouragée, c’est elle, cette fois, qui vient trouver ses lèvres. Lentement, usant de la même douceur avec laquelle il l’a embrassé la minute précédente, elle l’embrasse alors que son corps tout entier réclame le sien. Mais ce n’est pas ce qu’elle cherche à lui faire comprendre par ce rapprochement de plus. Elle souhaite lui montrer que son baiser à elle a les mêmes motivations que les siennes, qu’elle ressent la même chose à son égard et qu’elle est prête à accepter cette nouvelle définition de leur relation, si c’est ce qu’il veut réellement. Elle n’émettra aucune objection, prête à lui démontrer par bien d’autres manières tout ce qu’elle peut ressentir pour lui, même si cela ne s’opérera pas sur le champ, alors qu’il y a bien trop de regards indiscrets autour d’eux. Elle se détache à nouveau, affronte son regard immédiatement cette fois, pendu à celui-ci, pendu à ses lèvres. Réponds-moi, Elijah….  Il joue avec son impatience, c’est risqué.


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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (Loukas & Adriana) it's just a matter of time before the truth comes out
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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (Loukas & Adriana) it's just a matter of time before the truth comes out    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyDim 12 Mar 2023 - 11:07



it's just a matter of time before the truth comes out

feat {@=4648}Adriana Castillo{/@} {#}3{/#} &  {@=5994}Loukas Hardy{/@} {#}2{/#} ❀


Janvier 2023. « Quel culot ! Il lui apprend les recettes de notre mère ! De notre mère, Iris ! » Là où Iris parvient à conserver un certain calme, Adriana, elle, explose. Ce que l’ainée peut ressentir dans son for intérieur, la cadette l’exprime à voix haute et parce qu’elle ne peut pas lui reprocher sa réaction, elle se contente alors de fermer les yeux quelques secondes et d’acquiescer d’un léger hochement de tête, soupirant en même temps. Iris en veut tout autant à leur père d’avoir un tel toupet, surtout après avoir trahi leur mère – et elles – de la sorte. De s’être joué de cette double vie, de n’avoir aucun scrupule de le faire encore, sans aucune honte aucune devant son fils. Ce fils qui se trouve confronté à une colère inexpliquée de la part d’une Adriana plus que remontée, incapable de se canaliser quand elle est celle qui a le plus subit le choix de leur père. Ce père qui a choisi son autre famille, ce père qui a, finalement, choisi Loukas à sa place… Et même si Iris aimerait qu’elle parvienne à conserver un certain calme face à celui qui n’y est pour rien, elle n’ose lui en faire la demande. « Mais j’en ai rien à foutre de ce que tu penses de mes capacités vocales ! » Adriana désormais debout face à eux, a droit cependant à un regard réprobateur de son ainée face à la vulgarité utilisée et cette attaque directe envers Loukas. Si elle peut comprendre sa haine contre leur père, elle ne tient pas à ce que l’australien en paye les pots cassés – sans mauvais jeu de mot « J’espère que tu ne tenais pas trop à ce plat … » « Adriana ! ». Le choix qu’elle fait de jeter cette assiette à la poubelle, sans ménagement, est l’attaque de trop, rendant Loukas soudainement livide. Iris remarque qu’il s’éloigne de plus en plus d’elle sur le banc, alors qu’elle est restée immobile de son côté et après une grande inspiration, Iris se tourne vers lui pour lui expliquer les raisons de cette rencontre. « Por el amor de Dios, díselo ahora ! » Adriana s’impatiente, et au vu de la situation qui n’est déjà pas facile, Iris s’emporte légèrement contre sa cadette « Je vais te demander d’arrêter tout de suite Ade’, et si tu ne t’en sens pas capable, alors tu as toujours la possibilité de partir ! ». Son regard est ferme, tout comme le ton qu’elle emprunte pour s’adresser à sa sœur, ne pouvant plus tolérer qu’elle agisse comme elle le fait. La révélation qu’elle s’apprête à faire à Loukas n’est pas des plus faciles et elle aimerait qu’elle se montre compréhensive, d’autant plus quand il semble pris d’une panique soudaine face à laquelle Iris est prise au dépourvue - De papa ? Mais... qu'est-ce qu'il se passe ? Il lui est arrivé quelque chose de grave ? Elle l’observe sortir son portable, celui-ci tombant au sol la seconde suivante, son regard suivant l’appareil avant qu’il ne retrouve celui de Loukas - Il a eu un accident ? Est-ce qu'il... est vivant ? Spontanément, Iris se mouve enfin sur le banc pour se rapprocher à nouveau de Loukas et venir lui saisir ses deux mains. « Non, Loukas, il n’est rien arrivé à ton père… Il va bien » Elle présume du moins, mais ce qu’elle souhaite lui faire comprendre ici, c’est qu’elle et Adriana ne sont pas là pour lui annoncer une aussi terrible nouvelle… L’état du jeune homme n’aide en rien Iris qui semble perdre tous ses moyens aussi, laissant un moment de silence s’installer entre eux. Elle s’interroge finalement sur la nécessité de le mettre dans la confidence, quand elle est pourtant celle qui a initié cette rencontre dans ce but. Ses yeux cherchent alors ceux de sa cadette, comme pour se donner du courage, avant de les reporter sur Loukas pour lui avouer toute cette vérité qu’il est en droit de connaitre « J’imagine que ton père ne t’a jamais parlé d’une potentielle famille qu’il aurait eu avant de connaitre ta mère, je ne me trompe ? » Elle en doute, Loukas lui a livré pas mal d’éléments sur sa vie familiale, sur la proximité qu’il avait avec son père et jamais dans le récit n’est apparu cette éventualité « Ton père était marié à notre mère avant qu’il ne connaisse la tienne. Ils se sont connus au Mexique et nous y sommes restés jusqu’à l’âge de mes cinq ans, avant d’aménager, ici, à Brisbane. A mes dix ans, ils ont divorcé parce que ma mère a découvert qu’il menait une double vie. Cette femme, avec qui il était, était enceinte, alors que notre mère était enceinte d’Adriana au même moment ». Elle inclut sa sœur dans le récit, pivotant sa tête à nouveau vers celle-ci, son regard compréhensif quand elle sait que cette partie de l’histoire est la plus douloureuse pour sa cadette « Tu connais la suite de l’histoire… ». Il la connait puisque leur père a été présent dans la sienne, et non plus dans celle des deux jeunes femmes. Elle tente, de la sorte, de faire comprendre implicitement à Loukas la colère qu’Ade peut – injustement – avoir à son encontre. « Adriana et moi avons découvert cette vérité il y a deux mois… Et nous avons estimé que tu étais en droit de la connaitre aussi » Elle inclut Adriana dans ce choix, sait très bien qu’elle peut réagir à tout moment pour la contredire mais elle essaye là d’apaiser les choses et non de les rendre plus difficiles qu’elles ne peuvent déjà l’être.  « Je suis désolée, Loukas » d’être la porteuse de mauvaise nouvelle et de casser cette image visiblement parfaite qu’il pouvait avoir de leur père…

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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: i wanna be right where you are (eliya #3)
Zoya Lewis

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: i wanna be right where you are (eliya #3)    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyJeu 2 Mar 2023 - 23:16
i wanna be right where you are ft @Elijah Walker #3  

Juillet 2017. Les relations amoureuses n’ont jamais été le fort de Zoya. La dernière en date a été un véritable fiasco et elle en assume entièrement la responsabilité – enfin, à sa façon, Zoya restant Zoya. Parce qu’elle ose quand même dire que Finnley était ce petit-ami un peu gauche, qui manquait sûrement d’affirmation pour qu’elle puisse se voir aller plus loin avec, son manque de caractère face au sien écrasant ne pouvant permettre à leur relation de perdurer. Elle reconnait aussi, sans honte, que l’amour l’a effrayée à cette période de sa vie où elle était en plein épanouissement professionnel, sautant d’un avion à l’autre pour faire ses marques dans le domaine photographique. D’ailleurs, dans leur moment de confessions partagées, Zoya a été transparente à ce sujet avec Elijah, lui contant cette histoire avec le Coverdale, avouant qu’elle a été même jusqu’à lui faire croire qu’elle l’a trompé pour mettre fin à leur relation. Elle l’aimait, il l’aimait en retour, mais elle a choisi sa liberté, son égoïsme ayant aussi pris le dessus dans cette décision qui n’a pas été la plus évidente à prendre pour autant – même si elle a montré une indifférence totale au moment de sa rupture avec Finn.

La Lewis n’a aucun mal à reconnaitre l’intensité avec laquelle elle vit chacune de ses relations. Que celles-ci soient amicales, amoureuses ou charnelles, elle aime intensément et égoïstement. La personne qu’elle chérie est sienne, uniquement sienne, et ne doit manifester aucun intérêt pour quiconque d’autre. Une certaine logique peut être trouver dans sa perception d’une relation amoureuse, un peu moins dans une tout autre relation. Sauf qu’elle est ainsi, ne supportant pas l’idée qu’elle ne puisse pas être le centre de l’attention et ne puisse pas être tout et suffisante pour les personnes qui lui sont chères. La jalousie et possessivité de Zoya est donc excessive et, sur ce point, elle s’est permise de ne pas l’évoquer avec l’architecte. A quoi bon, après tout, quand elle estime elle aussi que leur relation n’ira jamais plus loin que celle charnelle qu’ils partagent à chacune de leurs retrouvailles. Bien sûr, elle n’aime pas le savoir en tout autre compagnie, préfère qu’il se contente de sa compagnie à elle, même si elle est occasionnelle, mais jamais elle ne l’a manifesté. C’est sûrement aussi pour cette raison que, lors de leur retrouvaille, Zoya se donne corps et âme à l’exercice, la passion avec laquelle elle s’offre à lui étant des plus ardentes.

Et si leurs retrouvailles ont toujours été dans le plus simple appareil – ou presque – les deux amants sont aujourd’hui dans un cadre qui n’est pas habituellement le leur. Un dîner en tête à tête, dans un restaurant réputé de la ville, qui change de leurs plats à emporter pris à la va vite afin de passer plus rapidement aux choses sérieuses – entendez par là, leurs ébats. Une atmosphère plus posée, où ils ont le temps d’échanger davantage qu’ils ne peuvent réellement le faire. Un sentiment agréable et nouveau, un sentiment qui surprend aussi la photographe qui n’a aucun mal à se perdre facilement dans les iris azurs d’Elijah. Une façon de le voir autrement, de le découvrir sous un autre jour, celui qu’elle ne lui connaissait jusqu’alors, et qu’elle ne pensait pas avoir le privilège de connaitre, tant il a toujours été catégorique sur leur relation. Rien de sérieux, rien de romantique, des limites posées que la jeune femme a balayé d’un revers de main quand elles ont été posées, peu intéressée par toutes ces mises en garde dont elle avait que faire. Pourtant, ce soir, elle ne peut s’empêcher de se demander si le jeune homme a changé son opinion à ce propos tant l’invitation l’a prise au dépourvue. Sans lui demander explicitement pour le moment, Zoya lui propose de prendre place sur un des bancs du grand parc qu’ils ont rejoint, alors qu’elle extirpe le beau brun de sa rêverie « S'installer, déjà ? On vient de passer deux heures assis sur nos fesses, espèce de larve » Et cette façon qu’il a de la bousculer légèrement, en la pinçant au niveau de sa taille, l’invite à se débattre, se tournant pour esquiver l’attaque, alors qu’elle repousse ses mains avec les siennes, ricanant face au contact. « Je le suis et je l’assume. Tu sais que je ne suis pas une grande sportive. Enfin… ça dépend ». Un clin d’œil, complice, taquin pour accompagner le sous-entendu et ils poursuivent leur marche à travers le parc. Elijah a ce geste, venant à nouer son bras derrière son dos, posant ainsi sa main sur sa hanche tout à l’attirant à lui de la plus naturelle des façons. Et c’est en reprenant leur promenade que la Lewis, encouragée par cette tendresse qu’il manifeste à son égard, demande les raisons de cette invitation particulière. « J'avais envie de te voir » Elle arque un sourcil, Zoya, peu convaincue par cette explication, alors qu’une moue se dessine sur ses lèvres « et je me suis dit que ce serait sympa, pour une fois, de passer un moment loin du bruit et des shots de tequila. Tu ne penses pas ? » Elle acquiesce, toujours avec un air dubitatif, ses épaules se haussant alors que sa main vient se sceller à celle qu’il a déposé sur sa hanche « Oh, tu sais, joli cœur, on aurait pu tout aussi bien passer un moment plus calme dans ton appartement. Bon, certes, on n’aurait pas été aussi sage qu’on peut l’être maintenant. Mais j’aurai pu te démontrer que je ne suis pas totalement une larve non plus » Elle s’en amuse, non pas qu’elle ne prend pas au sérieux ce qu’il lui dit, mais plus parce qu’elle a conscience de la portée réelle de ses paroles. Une façon de dédramatiser, d’alléger l’atmosphère entre eux et peut-être l’encourager dans le fait de ne pas avoir honte d’exprimer réellement ce qu’il souhaitait au fond de lui en lui proposant une telle soirée à ses côtés « Dans le fond, toutes nos vraies conversations, on les a par téléphone. Je trouvais ça dommage de ne pas les associer au plaisir de te voir, là, en face de moi. » Zoya tourne doucement sa tête en direction d’Elijah, tout en continuant de marcher à ses côtés, sentant sa prise se resserrer sur elle. Une sensation agréable parcoure son échine au même moment, autant du fait de ce geste que par les paroles qu’il prononce à son encontre, de cette envie – partagée – d’avoir des discussions plus profondes en étant en présence l’un de l’autre. « Et je suis vraiment content de te voir. Tu es rayonnante. » Elle est presque bouche bée la Zoya, alors que  les dernières lueurs du soleil se reflètent dans le regard de l’architecte « Je le suis aussi, Elijah ». Elle ralentit la cadence de leurs pas, venant à les interrompre au bout de quelques mètres, se pivotant totalement vers lui, une de ses mains venant à trouver lentement sa joue qu’elle caresse subtilement. Elle l’observe silencieusement, comme si elle le découvrait pour la première fois – c’est un peu le cas ce soir, tant il agit différemment avec elle – quelques secondes à peine, avant de rompre ce même silence – et le contact avec lenteur « Et tu as raison. J’aime ces conversations qu’on partage. Les avoir lorsqu’on se voit serait encore plus plaisant » encore faut-t-il qu’ils parviennent à s’ouvrir autant en se regardant dans le blanc des yeux mais il semblerait qu’avec toutes ces petites choses – leurs appels téléphoniques récurrents et, malgré tout, cette overdose – ils en aient les capacités autant l’un que l’autre « Je dois te dire que cette invitation m’a prise un peu au dépourvu. Mais, elle est loin de me déplaire… » Elle se risque à confesser que ce nouveau format entre eux lui plait bien plus qu’elle ne veut l’avouer, peut-être pour ne pas le faire fuir alors que tout semble apaisé et simple entre eux pour l’heure « J’aime beaucoup cette nouvelle facette que je découvre de toi ». Inconsciemment, elle s’est approchée de lui, leurs corps se frôlant l’un l’autre alors qu’une de ses mains se pose sur son avant-bras droit. Son regard ne se détache pas du sien et Zoya devient étonnamment bien trop calme, ce qu’elle n’ait jamais. Perturbée, intimidée, confuse, un peu de tout ça en même temps la rende soudainement ce qu’elle n’a jamais été, elle qui exprime bien trop fort ce qu’elle ressent et qui aurait sûrement sauté au cou de quiconque lui aurait fait une telle confidence et organisé une telle soirée en temps normal. Mais Elijah semble sortir du lot, sûrement parce qu’elle connait ses réticences et qu’elle préfère ne pas s’emporter avant que la certitude de son désir à lui ne soit manifesté.

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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (blake) i'm the reporter, baby, you could be the news.
Blake Aldridge

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Rechercher dans: tisser des liens   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (blake) i'm the reporter, baby, you could be the news.    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyMer 15 Fév 2023 - 22:41


Répertoire des sujets
janvier 2024
23. let's leave it all on the table ≈ logan novak #2
24. nice guys finish last ≈ allen aldridge #1

décembre 2023
22. sick of burying all feelings ≈ ambrose constantine #1

septembre 2023
17. therapy casino ≈ dorian kean #1
18. when the lights fade out all the sinners crawl ≈ august constantine #2
19. words i never meant and ones that got away ≈ flora constantine #3
20. let us make peace with what could have been ≈ jenna caldwell #2

août 2023
16. no retreat, no surrender (survival academy) ≈ eddie yang #2

juillet 2023
13. let your pride be the shovel and let your lies be the bricks ≈ greta moore #1
14. adventure seekers (survival academy) ≈ eddie yang #1
15. you're nothing but gasoline (survival academy) ≈ charlie fawcett #1

juin 2023
11. everything left but this wallet ≈ carl flanagan #1
12. what ifs and maybes ≈ elsa caldwell #1

mai 2023
09. je ne veux pas faire face, je préfère m'fuir ≈ logan novak #1
10. now i'm in exile, seein' you out ≈ stella ortega #1

avril 2023
07. the price you had to pay ≈ noor guerrero #1
08. closet party ≈ flora constantine #2 & elijah walker #2

mars 2023
04. get it done ≈ august constantine #1
05. sunset inside a frame (speed dating) ≈ sergio gutiérrez #1
06. one thing at a time ≈ sofia shaw #1

février 2023
01. it leads me back to you ≈ flora constantine #1
02. a figure in the distance, a movie reel of old pictures ≈ jenna caldwell #1

juillet 2022
03. i'm a riot through your borders, call me bulletproof ≈ elijah walker #1

univers alternatifs
21. countless hatreds built my shrine ≈ carl flanagan #2 (slasher)
Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (jackson #3) the memories come flooding back
Gabrielle Strange

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (jackson #3) the memories come flooding back    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyMar 14 Fév 2023 - 7:24

the memories come flooding back  ft  @Jackson Mills #3 
Mi-janvier 2023. Elle ignore dans quel état elle ressortira de tout ça mais a le pressentiment que la nouvelle de ce procès à venir va la pousser à se renfermer un peu plus dans son cocon, celui dans lequel elle aime se réfugier quand tout autour d’elle tend à s’écrouler « J'espère avoir le bon goût de ne pas faire ça ... » Il est préférable en effet qu’elle ne se mette pas à dos le seul allié qu’elle a, pour l’instant, dans cette affaire, les deux forces de caractère qu’ils peuvent être ne faisant jamais bon ménage quand le tout explose. Des éclats de voix, il y en aura sûrement, notamment après des heures de discussion, de suppositions et de pratiques qui vont les épuiser autant physiquement que moralement. La patience laissera place à l’énervement, l’angoisse à la colère mais ils semblent tout deux prédisposés à faire avec, à jongler au mieux pour qu’ils ne revivent pas une dispute similaire à celle d’il y a quelques mois de ça. Gabrielle promet de faire l’effort de ne pas se renfermer et Jax, dans ce « J'y crois. » spontané et sincère qu’il réplique, l’aide à s’accrocher à cette idée.

La conversation s’allège au fil des minutes, dans un échange qui se veut semblable à celui de deux amis qui se retrouvent après un long moment passé sans se donner de nouvelles. Il n’y a aucune amertume dans celle-ci, au contraire, quand leur amitié reprend place aussi facilement qu’elle a pu exploser. Gabrielle discute brièvement de son affaire en cours, celle que certains journaux se complaisent à narrer en y racontant ce qui les arrange – ce qui les feront le plus vendre surtout – mais aussi l’arrivée de sa petite sœur en ville et sa colocation avec celle-ci. Elle évite le sujet houleux de sa vie sentimentale, volontairement, et préfère se préoccuper des nouvelles que Jackson lui raconte à son sujet. L’évocation de sa réintégration – elle en est ravie et lui fait savoir – et le fait qu’il soit à la tête d’une association dont la cause est plus que louable la fait le féliciter et elle évoque même la possibilité de s’y inscrire très prochainement.

« On devrait s'entraîner. » Gabrielle termine la dernière gorgée de son thé alors que son regard est porté sur les passants qui défilent plus nombreux devant eux. « Passe à l'appart. Si tu m'poses les questions avec lesquels ils essayeront de nous piéger, j'pourrai préparer mes réponses ... » Elle ne peut être plus que d’accord avec ça et c’est pour cette raison qu’elle acquiesce vivement d’un signe de tête « Ce sera nécessaire. Je vais me pencher sur toutes les failles qu’ils pourront trouver te concernant, au sujet de ta perte de mémoire, de ta réintégration récente et du procès de Hoover pour nous y préparer elle va sûrement s’y pencher dès l’instant où elle retrouvera sa villa, ce qui annonce en parallèle, la couleur de son weekend. Une certaine hésitation peut se lire autant sur ses traits que dans ses paroles quand elle reprend ce ne sera pas agréable elle est certaine que c’est à ces exacts moments que leurs nerfs seront mis à rude épreuve on devra aussi travailler sur ta mémoire à propos de ce jour-là celui de la fusillade, elle entend. Elle semble l’avertir mais elle ne lui apprend rien, en réalité. Jackson en a conscience mais le formuler à voix haute leur permet aussi de mieux se préparer, autant l’un que l’autre, psychologiquement parlant face à ce qui les attend dans les jours, les semaines et mois à venir. Elle est confiante cependant du travail remarquable qu’ils parviendront à faire à deux et, après que Jackson ait confirmé qu’il était prêt à faire face à tout ça – elle n'en doutait pas une seule seconde –, les deux amis décident de se quitter là. Une étreinte est échangée cette fois, Gaby s’empare du thé glacé qu’il lui a offert un peu plus tôt, levant la cup pour l’en remercier à nouveau et ils se promettent de se recontacter le plus rapidement possible.  
 


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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (atlas) i used to recognize myself it's funny how reflections change
Atlas Siede

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Rechercher dans: tisser des liens   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (atlas) i used to recognize myself it's funny how reflections change    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyLun 13 Fév 2023 - 10:57

Répertoire des sujets
décembre 2023
18. picture perfect shiny family ≈ aliénor siede #1

décembre 2023
16. now you're the perfect mother to kids that aren't mine ≈ matilda middleton #7

octobre 2023
15. you've always been here right beside me ≈ mia siede #1
14. take only memories, leave nothing but footprints ≈ corey ferguson #1
13. saturday night is givin me a reason to rely on the strobe lights ≈ evelyn pearson #1

août 2023
13. you still got a heart to lose ≈ matilda middleton #6

juin 2023
12. ignorance is your new best friend ≈ ava good #2

février 2023
09. as scary as it gets it's just turbulence ≈ matilda middleton #4
08. festival of sheer madness ≈ lucy cavanagh #1
07. life is just perspective laughing when you've wrecked it ≈ amos taylor #6
06. 3"rolling with the little dreams instead of waiting on a bigger wave ≈ autumn galloway #3
05. i see a stranger in your eyes ≈ hayden siede #1
04. with the beast inside there's nowhere we can hide ≈ channing walker #1

janvier 2023
02. even if the sky is falling down know that you're safe and sound ≈ matilda middleton #2

septembre 2022
01. we're a world of strangers chasing signs ≈ matilda middleton #1

2022
17. there was one thing missing ≈ ginny williams #1
2011
11. best fake smile ≈ ava good #1

décembre 2002
10. just like way back when ≈ matilda middleton #5

novembre 2001
03. 3"some moments don't reverse ≈ matilda middleton #3




Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: ≈ bibliothèque
Isaac Jensen

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Rechercher dans: les clubs   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: ≈ bibliothèque    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyDim 12 Fév 2023 - 19:02
never never #3, colleen hoover & tarryn fisher
Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (Loukas & Adriana) it's just a matter of time before the truth comes out
Invité

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (Loukas & Adriana) it's just a matter of time before the truth comes out    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySam 11 Fév 2023 - 15:49



it's just a matter of time before the truth comes out

feat {@=4648}Adriana Castillo{/@} {#}3{/#} &  {@=5994}Loukas Hardy{/@} {#}2{/#} ❀


Janvier 2023. Le comportement qu’adopte Adriana ne présage rien de bon à l’échange qui va s’ensuivre. Iris en a conscience, sait qu’elle va devoir canaliser sa sœur d’un côté et user de douceur avec Loukas de l’autre quant à cette vérité qu’elle s’apprête à lui révéler. Adriana n’utilisera pas de pincettes et c’est pour cette raison qu’elle lui a expressément demandé, durant le trajet qui les a menées jusqu’ici, de la laisser parler en premier. Et si elle a acquiescé, il semblerait qu’Iris ait sérieusement du souci à se faire, alors qu’elle sert de bouclier humain entre Loukas et Adriana, se trouvant assise entre les deux sur le banc. « Ca va Loukas ? T’as passé de bonnes fêtes en famille ? Avec tes parents ? » Il n’en faut pas plus pour qu’Iris se retourne et capte le regard de sa cadette. Si Ade’ lui a offert un regard noir tout à l’heure, c’est au tour de l’ainée d’en faire de même, se retenant de ne pas la bousculer à nouveau – et la faire tomber du banc, au passage, peut-être que ça lui remettrait les idées en place. Elle sait que sa question est volontairement orienté vers sa famille, vers ce père surtout qui n’est plus le leur depuis des années et qu’elle amorce là, le départ de cette conversation qui ne va pas être évidente à avoir - Oui, ça va. Nous avons passé un bon moment en famille. Et vous alors ? « Très bon aussi ». Cette réponse spontanée est volontaire de la part d’Iris, parant ainsi Adriana à un quelconque commentaire supplémentaire. Parce qu’elle sait dans quel état d’esprit elle se trouve, jalouse de ce Noël de plus que Loukas a passé avec leur père, quand, elle, n'en a jamais eu l’opportunité d’un seul. De plus, l’attaque n’est pas la solution aujourd’hui et elle préfère changer de sujet au plus vite, ce que Loukas fait en reprenant la parole… ou presque - Je nous ai préparé des Muéganos. J’espère qu’ils seront bons. Mon père m’a donné la recette, et m’a expliqué comment les préparer.  Comme tu m’as raconté que tu… que vous veniez du Mexique, j’ai pensé que ça te rappellerait des souvenirs. J’espère rendre hommage à ta… à votre maman. Je les ai fait avec amour. Et si seulement il savait à quel point il rend hommage à leur mère. S’il savait que cette même recette, que son père – leur père – lui a donné, n'est autre que celle de Rosa. S’il savait que cette recette, elle l’a déjà réalisée elle-même avec leur père, les souvenirs émergent à nouveau dans son esprit. Et alors qu’elle se saisit de l’assiette, tentant au mieux de ne laisser rien transparaître avec un éternel sourire flanqué sur les lèvres, Iris ne peut dissimuler une certaine tristesse dans son regard, ses sourcils s’affaissant bien malgré elle. Elle se racle la gorge, tente de retrouver les yeux de son demi-frère pour le remercier « Merci, Loukas, ils ont l’air très bon et ils sont divinement bien réalisés ». La symbolique du geste la touche, la bonté et la gentillesse de Loukas également et pourtant, la peine est sûrement le sentiment le plus exacerbé chez elle à cet instant, au point où elle ne prend pas l’initiative de tester un des muéganos qu’il a soigneusement préparé. « J’y goûterai après », ajoute-t-elle ne voulant pas le vexer. Elle a besoin que la vérité sorte, et au plus vite, tant elle a l’impression d’étouffer. Elle dépose alors soigneusement l’assiette entre elle et Adriana et alors qu’elle s’apprêtait à reprendre la parole, Loukas le fait à sa place - Pour l’autre jour, je te propose d’oublier ce qu’il s’est passé et de repartir à zéro. Je ne voulais pas insinuer que tu ne savais pas chanter… et si à un moment je t’ai blessée, j’en suis désolé… Il s’adresse à Adriana et Iris trouve que la démarche qu’il entreprend est plus que louable. Son regard se tourne alors vers Ade’, la suppliant presque de celui-ci pour bien réagir et accepter ses excuses - au moins, si ce n’est reconnaître ses torts à elle aussi. Elle les laisse échanger, sans vraiment intervenir – du moins, elle essaye – et finit par reprendre la parole, au bout d’un moment « Loukas… Si je t’ai demandé de venir nous rejoindre aujourd’hui… c’est parce qu’Adriana et moi avons quelque chose à te dire… . Elle est bien trop évasive, en a conscience, et c’est pour cette raison qu’après une profonde inspiration, elle ajoute à propos de ton père » L’utilisation du “notre” est retenue pour le moment, volontairement, souhaitant avant tout prendre soin d’expliquer la situation à Loukas.  

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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (jackson #3) the memories come flooding back
Gabrielle Strange

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Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (jackson #3) the memories come flooding back    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySam 11 Fév 2023 - 8:46

the memories come flooding back  ft  @Jackson Mills #3 
Mi-janvier 2023. Jackson a cette bienveillance de lui proposer sa compagnie lorsqu’elle est prise de réflexion bien trop tardives et désordonnés qu’elle lui énumère. Gabrielle n’est pas sûre que l’exercice lui plaise, tant les réflexions sont poussées à un point tel qu’elles pourraient le pousser lui-même à des insomnies, qui sont devenues son quotidien nocturne à elle. « Y'a des manières plus agréables de passer ses nuits, c'est certain ... » Et la spontanéité de cette réponse ne manque pas de dérider ses traits, son air préoccupé laissant place à un plus léger. Un sourire nait donc sur ses lèvres, amusé, alors que sa tête se penche sur le côté, acquiesçant silencieusement à cette idée qu’il évoque. Certaines étreintes lui manquent suffisamment pour qu’elle comprenne de quoi il parle, quand ces manières charnelles de passer ses nuits ne font plus parties de son quotidien depuis quelques semaines. Il est certain que celles-ci auraient le mérite de lui faire oublier tous ses tracas quelques heures mais elle n’est même pas certaine d’être capable de se laisser aller à quelques folies du genre – surtout quand son cœur est ailleurs. « On va le faire plonger. Le reste, on peut pas le prévoir maintenant mais on y fera face. »  Il a cette conviction qu’elle partage avec lui, cette détermination que ce procès leur donnera gain de cause, malgré toutes les embûches sur leur chemin, celles face auxquelles ils devront se confronter pour y arriver. Il ne peut en être autrement, Gabrielle envisage tous les scénarios pour cette même raison, loin de vouloir baisser les bras d’avance quand elle sait l’équipe adverse tout autant redoutable que son ancien cabinet. Cela n’a pas le don de la faire flancher pour autant et c’est pour cette raison qu’elle acquiesce une nouvelle fois aux dires de l’agent avec une certaine détermination.  

« J'te déconseille de rester seule, en tout cas. » Après un court silence, la réflexion la sort à nouveau de sa rêverie et une sensation étrange la transperce. Gabrielle ne s’est jamais sentie aussi seule qu’à présent, quand elle n’a partagé avec personne d’autre la nouvelle de ce procès à venir, jusqu’à cette fusillade qui a été la principale raison de sa venue, ici, à Brisbane. Si Jackson adopte un air bienveillant et qu’elle comprend à nouveau le sous-entendu par le clin d’œil qu’il lui offre, l’air de l’avocate reste, cette fois, on ne peut plus sérieux, un soupir s’échappant même d’entre ses lèvres « Tu parles en connaissance de cause, n’est-ce pas ? ». Elle le pique inconsciemment par cette question qui se veut rhétorique, sûrement pour éviter de parler de son cas. Elle se renferme, elle le sait, la Strange se réfugiant dans son travail pour éviter de penser à ce soutien qu’elle aimerait pourtant avoir toujours à ses côtés. Channing ne fait plus partie de sa vie, il ignore même jusqu’à l’existence de cette histoire de fusillade et elle se sent incapable, pour l’heure, d’aller le retrouver pour lui en parler. « Désolé, je ne cherche pas à te blâmer, à nouveau elle retrouve le regard de l’agent, un fin sourire reprenant place sur ses lèvres.   j’essaye juste de ne pas montrer que j’emprunte sûrement le même chemin et que, dans quelques temps, tu pourras me dire i told you so » Gaby a toujours un fin sourire, ce masque éternel duquel elle semble incapable de se défaire. mais je vais m’appliquer à ce que ce ne soit pas trop le cas, cependant ». Une promesse qu’elle lui fait, une qu’elle se fait également pour elle-même. « Merci pour ton soutien, Jax ». Quoi qu’il arrive, Gabrielle sait qu’il sera là et que, d’une certaine manière, elle ne sera pas totalement seule.  


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Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 YV4dgvCSujet: (jackson #3) the memories come flooding back
Gabrielle Strange

Réponses: 10
Vues: 887

Rechercher dans: mémoire du passé   Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptySujet: (jackson #3) the memories come flooding back    Tag 3 sur 30 YEARS STILL YOUNG - Page 7 EmptyDim 5 Fév 2023 - 22:02

the memories come flooding back  ft  @Jackson Mills #3 
Mi-janvier 2023. Les conséquences de cette victoire ont été désastreuses, et Gabrielle mentirait si elle disait n’avoir jamais pensé qu’une défaite aurait peut-être été préférable pour son client. La Justice a fait ce qu’il fallait mais, ce jour-là, les deux tireurs, dans cette voiture noire aux vitres teintées, ont fait basculer la balance du mauvais côté. Ils ont été finalement les gagnants de ce procès, quand ils ont mis six pieds sous terre celui qu’ils cherchaient depuis le départ à faire tomber. Ils ont été les gagnants quand ils ont aussi ôté la vie à un autre innocent et qu’ils ont tenté d’en assassiner d’autres, Gabrielle compris. Une chance inouïe qu’elle a eu de s’en sortir, la présence de Jackson lui ayant permis de ne pas voir sa vie défiler une dernière fois devant ses yeux avant de laisser échapper son dernier souffle. Et alors que ce procès revient au goût du jour, où tout le monde souhaite que le seul tireur rescapé paye pour la mort de Jayden mais aussi de l’agent de sécurité, la présence de Jackson semble être la suite logique des événements, tels qu’ils se sont déroulés. Il n’était que témoin dans cette affaire, il s’est ensuite retrouvé au cœur même de celle-ci et sa présence est tout bonnement indispensable aux yeux de l’avocate. Que ce soit pour son témoignage mais aussi et surtout pour des raisons plus personnelles, la présence de l’agent à ses côtés lui paraissant être nécessaire pour l’aider à se sentir en sécurité le jour où elle devra retourner sur les terres californiennes.

Gabrielle lui en fait la demande plus ou moins explicitement et la réaction de l’agent est assez immédiate. Un de ses bras vient s’enrouler autour des épaules de l’avocate, un geste réconfortant face auquel elle se contente de lui répondre par un sourire reconnaissant.  Elle fait preuve d’une certaine retenue, volontaire,  alors qu’elle revêt son masque habituel où elle tente de ne laisser rien transparaître de ce qu’elle peut réellement sentir face à tout ça, face à cette sensation que tout s’écroule autour d’elle « J’accepte. » Un court silence de plus s’installe avant qu’elle ne murmure un « Merci » penchant légèrement sa tête vers lui pour venir la poser, durant une fraction de secondes à peine, sur son épaule.

« T’arrives à dormir ? » Gabrielle pouffe légèrement face à la question et se l’autorise parce qu’elle sait que Jackson en connaît la réponse. Non, elle n’arrive pas à fermer l’œil et cela a commencé bien avant qu’elle apprenne pour ce procès. La première et principale raison étant celle de sa rupture avec Channing et la deuxième étant celle de cette affaire actuellement en cours dont elle est en charge depuis des mois et qui est cruciale pour sa carrière professionnelle australienne. « Comme un bébé » c’est une réponse volontairement ironique qu’elle lui offre, un sourire toujours présent au coin de ses lèvres « Appelle si t’angoisses. » Le sérieux reprend place sur ses traits face aux mots de l’agent, son regard retrouvant le sol quelques instants « Ce n’est pas tant de l’angoisse qui me rend insomniaque elle le confirme finalement c’est surtout que je suis incapable de ne pas penser à tous les scénarios possibles et imaginables elle a retrouvé le regard de Jackson en prononçant ces derniers mots et si nos preuves n’étaient pas suffisantes ? Et même si nous parvenons à le faire tomber, est-ce que le schéma ne va pas se répéter en mettant d’autres personnes en danger ? Le gang est toujours debout elle ne pense même pas à sa propre sécurité dans tout ça et cela n’a rien d’étonnant quand il a fallu la convaincre de quitter Los Angeles sur le champ après la fusillade – Jackson a été le premier dans ce rôle, d’ailleurs. Elle marque à nouveau un temps de silence avant de reprendre je ne suis pas sûre que tu ais envie de passer des nuits entières à te torturer autant l’esprit » En réalité, elle sait qu’il en est capable, ce n’est pas comme s’ils ne se ressemblaient pas sur ce point et qu’ils ne l’avaient pas déjà fait pour le cas Hoover.


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